Regardons tout d'abord la double croix issue de Scriptoral,
cf. double_croix.htm#43
:
|
Fig.
2 : Double croix scriptorale
|
|
elle se décompose en une croix 1-6-7-8-9 du travail
humain, car de Saint André, et en une croix 5-2-3-4
(ordre du signe de croix catholique) du travail divin, car
Croix de Résurrection du Christ. Nous remarquons
que la seconde tient tout entière dans l'intervalle
1...6 de la première, qui enchaîne ensuite
continuement 7-8-9.
Puisqu'en cette dernière c'est de l'homme qu'il s'agit,
voyons maintenant ce qu'Annick de Souzenelle explique de
lui, à partir de la représentation numérique
du nom de Yahweh qu'elle donne dans "Le Symbolisme
du Corps humain" (Ed. Albin Michel) :
|
Fig.
3 : Représentation numérique
du nom de Yahweh par
A. de Souzenelle
|
|
"Le
nombre 6, écrit-elle, symbolise l'Homme au
départ de sa formation. Créé
le sixième jour de la Genèse, il récapitule
les 6 premiers jours de la Création".
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain"
(Ed. Albin Michel).
|
|
C'est pourquoi la lettre "Vav", de nombre 6, signifie
"et", car, ajoute-t-elle :
|
"L'Homme
est conjonction.
Il relie d'une part tous les éléments
du cosmos entre eux, dans leurs contradictions et
leurs complémentarités respectives
(les deux Hé)..."
|
|
Mettons en réserve pour la suite de ce fichier :
|
le nombre 55
qu'affichent ces 2 Hé réunis ;
le fait que,
signifiant souffle, vie, existence, être... ils
soient contradictoires et complémentaires, comme
composition-interprétation et destruction-transformation,
les composants de chacun des 4 cycles de Scriptoral, eux-mêmes
souffles de vie (cf. pyramide.htm#scriptoral).
|
et revenons
à la suite de son texte correspondant à l'enchaînement
6-7-8-9 de la croix de Saint André (cf. #cro)
: |
"...d'autre
part la terre et le ciel (l'ensemble Hé Vav
Hé et le Yod dont la valeur 10 unifie les
deux Hé). Cette unification fait l'objet
même de l'Histoire de l'Homme dont la vocation
est de passer du 6 au 10 en assumant le 7, 8 et
9. Ce passage du 6 au 10 s'accomplit au fur et à
mesure des mariages successifs des deux Hé.
Sur le plan biologique, la formation d'un enfant
dans le ventre de sa mère obéit à
cette même loi : au 6e mois l'enfant est formé.
Mais ce qui se passe dans la matrice pendant les
7e, 8e et 9e mois symbolise la vie entière
de l'enfant entre sa naissance et sa mort. c'est
une étape capitale dont je parlerai dans
l'étude du sang.
Lorsque l'enfant naît, il symbolise le 10,
le Yod, l'enfant divin qu'il est appelé à
mettre au monde en lui à la fin du "9e
mois" de son histoire... ce que devrait être
sa mort."
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain"
(Ed. Albin Michel).
|
|
L'espace allant de la source 1 au 6 récapitule donc
les 6 premiers jours de la création, selon A. de
Souzenelle (cf. #esp), curieusement,
la double croix scriptorale (cf. #cro)
montre que c'est en cet espace de la croix du travail humain
que se loge le 5-2-3-4 de la Croix divine.
1-6 assemblés donnent à nouveau le nombre
16, début de la suite initiatique 16-17-18 (cf. paroles_d_ange.htm#n12
et 384_suite.htm#cou), et
comme par asar,
ce qu'A. de Souzenelle appelle le
|
"déploiement du
Nom Divin Hé Vav Hé, expir divino
humain"
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain"
(Ed. Albin Michel).
|
|
est de total
16 ( 5 + 6 + 5, cf. #yod).
L'auteur ajoute, au sujet du chemin 7-8-9 restant à
parcourir jusqu'à 10 :
|
"De l'achèvement
du sixième jour dans l'Homme jusqu'à
la reconquête du 10 par ce dernier, de la
Genèse à l'Apocalypse (...) à
l'inspir humano-divin."
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain"
(Ed. Albin Michel).
|
|
C'est clairement dire que ce qui se passe pour l'enfant
dans la matrice du 6ème au 9ème mois, préfigurant
la vie entière de l'individu à naître,
se passe également pour l'humanité de la Genèse
à l'Apocalypse. Or, Y voit là une confirmation de l'interprétation
qu'il fait de
ses signes, selon laquelle l'arrestation de Louis XVI à
Varennes est le fait de la Providence divine (Louis XVI
étant l'héritier d'une monarchie d'origine
davidique, et, par delà, atlante initiée (?)
- cf. cergy_atlante.htm#des - et devant ressusciter avec la monarchie qu'il représente
en la personne du grand monarque).
En effet,
|
le nombre de ce roi est le 16, qui est celui de "Hé
Vav Hé", "l'expir divino humain"
;
comme par asar,
son destin se joue en 1789, où apparaissent 7-8-9
;
7-8-9 est la réduction théosophique de 16-17-18,
les niveaux de conscience de l'ange formant la passerelle
du matériel au spirituel (cf. paroles_d_ange.htm#par),
et l'actuel passage à l'ère spirituelle
du Verseau est un temps messianique appelant une Révélation,
ce qui est le sens d'Apocalypse, dont Scriptoral est pour Y le vaisseau ;
999 est l'achèvement de 789, où les chiffres des
centaines, des dizaines et des unités ont tous
franchi , à partir de 7, 8 ou 9 l'espace qui les
séparait de 9 quand il y en avait un ;
1999 (via 1+9+9+9=28=>2+8=10=Yod=>1+0=1)
passe dans sa réduction théosophique par
le 10 du Yod ;
depuis le 7-8-9 de 1789, 1999 est bien la date présentée
par Nostradamus, comme celle de la résurrection
de la grande monarchie française et de Louis XVI,
en la personne du "grand Roy d'Angolmois", en
"mil neuf cens nonante neuf sept mois", ce que Y interprète
comme étant le 18 Mars 2000, au Parlement de Rennes
(cf. interpretation.htm#ton)
;
le grand monarque étant le lieutenant du Christ est bien
celui qui, par "l'inspir humano divin" reconquiert
le Yod divin, à partir du 16 de "l'expir divino
humain", qui fit expirer Louis XVI, après
avoir fait expirer Jésus, lui aussi d'origine davidique,
plus de seize siècles auparavant, en vue de leurs
résurrections dans les personnes du Christ et de
Chyren.
|
En fait, ce qu'Annick de Souzenelle présente comme le mode d'accomplissement
individuel de chaque homme, doit, selon les signes de Y,
être aussi universellement pris
en charge par un homme de Dieu, son enfant prodigue et second
fils, de la même manière que le premier se chargea
du péché du monde.
Voyons maintenant ce que cet auteur dit des nombres 7, 8 et
9 : |
"Le
7 est plénitude, rassasiement à un
niveau (les deux Hé se sont pleinement unis)
; il implique un retrait une mutation dont il symbolise
l'aspect négatif.
Le 8 qui le suit est une barrière épreuve.
Celui qui la passe atteint à une nouvelle
naissance < naissance, résurrection >,
aspect positif de la mutation.
Le 9 symbolise la perfection, l'achèvement
des mondes créés."
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain"
(Ed. Albin Michel).
|
|
Y retrouve
totalement dans ces définitions l'enseignement de
ses signes :
|
le 7 est réduction
théosophique de 16, qui correspond bien à
travers Louis XVI à un rassasiement
à un certain niveau, celui de l'absolutisme
monarchique Louis XIVème, où les
deux Hé se sont pleinement unis, si
l'on considère comme Hé(s), non pas composition-interprétation
et destruction-transformation (cf. I-II et III-IV de pyramide.htm#sol)
ce qui est la donne de notre actuel changement d'ère
astrologique, mais composition et interprétation
(cf. I et II - qui sont bien opposés et complémentaires
comme indiqué en #opp -, de
pyramide.htm#interpretation),
ce qui était la donne du Siècle de Louis
XIV, où l'architecture, la littérature et
les arts atteignirent un sommet de la composition-interprétation.
Ce rassasiement implique bien un retrait : la décapitation du 21.1.1793, où Louis
XVI symbolise l'aspect négatif,
entraînant une mutation : la République "que l'on cuidera estre une
rénovation de siècle" (Nostradamus),
et, par-delà, pour Y,
la pyramide inversée de Scriptoral, (cf. pyramide.htm#scriptoral),
17ème pyramide résolvant la coupure du 17
(cf. 384_suite.htm#cou),
négation du négatif symbolisé par
la pyramide à l'endroit de l'absolutisme Louis
XIVème.
Le 8 est réduction
théosophique de 17, qui est bien une barrière-épreuve,
la coupure du 17 (cf. 384_suite.htm#cou)
incarnée
dans notre histoire par Louis XVII, barrière-épreuve
sur laquelle la France continue d'achopper (problème
du coeur disparu dans la dernière analyse d'ADN)
; barrière créant la rupture 16-21, dans
la suite des multiplicateurs de 9 du tableau ci-dessus
(cf. #tab) ; barrière dans l'enchaînement
des cycles pyramidaux, obligeant à rompre avec
lui pour aller à l'ouverture de la lumière
de Scriptoral, qui est naissance, résurrection
(cf. pyramide.htm#scriptoral).
Le 9
est bien, dans le CNTR-TC (cf. double_croix.htm#9),
et dans la croix de Saint André (cf. #cro),
l'aboutissement du travail humain, permettant le retour
au Père qui le touche dans le 10. Il est donc achèvement,
perfection des mondes créés,
d'autant plus, qu'il est réduction théosophique
de 18, premier niveau de l'univers spirituel selon l'ange
(cf. paroles_d_ange.htm#par).
C'est pourquoi, nous dit Annick de Souzenelle :
|
"Dans
le 10, l'Homme atteint à la déification
en retrouvant la source à laquelle se réintègre
avec lui le cosmos tout entier, mondes visibles
et invisibles. Mettant au monde l'enfant divin,
le Yod, il atteint en Hé-Vav-Hé son
propre noyau et devient son NOM. Tous nos NOMS,
germes de Vie dans lesquels Elohim souffle l'Adam
(Genèse II, 7), sont contenus en Hé-Vav-Hé."
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain"
(Ed. Albin Michel)..
|
|
Pour Annick de Souzenelle, la déification de l'homme
est l'aboutissement normal de son évolution, par la
conquête de son NOM. Y en
conclut que s'être découvert Dieu, fils prodigue
du Père, n'était donc pas une hérésie
par rapport à cette logique séphirotique, c'était
simplement le fait d'avoir accompli son NOM. Et, lui, qui,
à cette occasion avait découvert que Abouhey
lu dans le sens hébraïque donnait Yehouba et signifiait
Temple, maison, fille, pupille de Dieu (cf. auteur.htm#yhvbh),
découvrit encore, que Bouhey, son nom, lu dans le sens
hébraïque, faisait apparaître |
Y
: le Yod,
he
évoquant Hé, signifiant souffle,
la
conjonction (le Vav = et) des deux Hé (= souffles)
de Yahweh, à travers Bouhe incluant he (= Hé),
Bouhe,
signifiant souffle en gascon, comme Hé.
|
Revenons
sur le double 5 donné par les deux Hé de Yahweh
(cf. #55), qui évoque 55 : Lui aussi
se retrouve, comme par asar,
dans le pont résurrectionnel unissant, selon la tradition
prophétique et les signes de Y,
l'arrestation de Varennes à la Vème République
de 1999, ce qui confirme pour Y l'idée
d'une arrestation par la volonté de Dieu : |
55
est dans la mort de Mozart, le 5.12.1791 à 0h 55,
Mozart donné à Y comme
le guide spirituel de la résurrection monarchique
(cf. interpretation.htm#mozart
et interpretation.htm#temple)
;
Varennes
est dans la Meuse de numéro 55
;
55
termine l'espace symbolique du 47 au 57 de la rue de Varenne,
reliant l'ambassade d'Italie, pays de l'Etat du Vatican
et l'Hôtel Matignon, lieu du gouvernement de la
France (cf. jacques_chirac.htm#del)
;
de
47 à 57, il y a 10 numéros, total des deux
chiffres de 55 ;
1999,
l'année de Résurrection du "grand Roy
d'Angolmois" se situe sous la présidence du Vème Président
de la Vème République,
ce qui évoque un double V, d'où 55 ;
la
valeur numérique du nom de Jacques Chirac, le Vème
Président de la Vème République,
est... 55 par 22
+ 33 (cf. jacques_chirac.htm#22).
|
|
A côté de cette lecture triangulaire des 10 séphiroths issue de #ain
sur laquelle nous reviendrons en détail, l'auteur
propose une lecture verticale, où deux triades latérales
entourent une colonne centrale de 4 séphiroths, ce
qu'Y représenta ainsi :
|
.gif)
Fig. 7 : Représentation
verticale des 10 séphiroths
selon une lecture proposée par
Annick de Souzenelle
in "Le Symbolisme du
Corps humain" (Ed. Albin Michel).
|
|
Annick de Souzenelle voit à droite "le bras
droit de Dieu", contenant Sagesse, Miséricorde,
Victoire puissante, et à gauche son "bras gauche",
composé d'Intelligence, Justice rigoureuse et Gloire
majestueuse, avec, au centre, la colonne de l'équilibre
: Couronne, Beauté, Fondement, Royaume. Cette colonne
centrale est l'épée du Verbe de Dieu, le déploiement
de son Nom (cf. #yod) :
|
|
au total, lui aussi 16 (10 + 6) et aux deux tranchants latéraux,
les deux "Hé" de valeur 5.
Cet ensemble aligne verticalement les séphiroths
de la manière suivante :
|
|
soient 3 + 4 + 3, ce qui, pour la première fois dans
Scriptoral, fit apparaître à Y le
nombre 343, qui est le cube
de 7, autrement dit :
|
3
+ 4 + 3 > 343 = 7 x 7 x 7 = 73 |
|
alors que 666, 888, 999 s'étaient déjà
signalés à plusieurs reprises à Y |
comme
multiples de 111,
et par
le produit des 3 chiffres qui les composent (6x6x6, 8x8x8,
9x9x9) ou par le cube de l'un d'eux (63, 83,
93), ce qui revient au même.
|
Voyant que la
suite des cubes de 6, 7, 8, 9 était maintenant complète
(cette suite symbolisant pour lui l'achèvement du
travail humain dans la croix de Saint André, et pour
A. de Souzenelle la vie de l'homme, de la formation à
la mort), Y décida
de regarder ce que lui donnait la succession de leur cube
en Scriptoral, et il trouva :
|
666 > 63
= 216, qui contient 21.6, date de
l'arrestation de Varennes ;
777 > 73 =
343, composé des nombres 3, 4 et 3, qui est celui
des séphiroths formant le verbe de Dieu aux deux
tranchants latéraux (les deux Hé), cf. #keth
;
888 > 83 = 512, qui relie Mozart, le Temple, et la monarchie française,
cf. interpretation.htm#temple
;
999 > 93 = 729, composé des chiffres de 279 et 792, années
1279 et 1792 du IIème millénaire de l'ère
chrétienne reliant, via 512/513, Temple, monarchie
et Mozart, cf. interpretation.htm#temple.
|
Y en
conclut, que (parce qu'il exprimait l'organisation même
de l'Arbre de Vie, en étant le début de l'achèvement 73-83-93 reliant la monarchie française au Temple et à
Mozart) 73 fondait
cette relation sur l'Arbre de Vie hébraïque lui-même,
ce qui était un nouveau signe de la survivance monarchique
d'origine davidique, et cela, d'autant plus que ses signes
lui donnaient 666 comme fondement (Yesod) à cet achèvement,
cf. #ain, |
666, dont le produit des trois 6 est le cube d'un nombre
symbole de la formation de l'homme,
666,
dont le produit des trois 6 est 216, faisant apparaître
21.6, date de l'arrestation de Varennes, date liée
à celle de la naissance de Y,
le 16.2, puisqu'elle en réorganise l'ordre 1-6-2
des chiffres en 2-1-6.
|
C'est dire, pour Y,
que le 10 (le Yod, la Révélation divine, c'est
à dire l'Apocalypse) résultant de cet enchaînement 63-73-83-93
a pour genèse
l'arrestation de Varennes et l'exécution de Louis XVI,
de ce XVI qui apparaît en hauteur et en largeur dans
l'écriture numérique même du Nom de Dieu
donnée par Annick de Souzenelle : |
|
....10 |
|
|
5 |
.+.. 6 |
+
5 |
=
16 |
|
|
|
|
|
=
1 6 |
|
|
|
|
C'est pourquoi, pour Y,
la croix de Saint André de Scriptoral (cf.
#cro),
affichant 1...6789, c'est d'abord |
|
genèse du chemin à parcourir
jusqu'en 1999, ou plutôt "mil neuf cens nonante
neuf sept mois" cf. interpretation.htm#ava.
|
REPRESENTATION TRIANGULAIRE
DES SEPHIROTH,
SES CORRESPONDANCES
AVEC LE TABLEAU NUMERIQUE DE Y
Retour à 4
|
GRANDE FACE DIVINE
(les 3 séphiroth supérieurs) |
Revenons maintenant à la représentation triangulaire
des séphiroths et à sa correspondance avec le
tableau numérique ci-dessus, cf. #tab.
Le premier aspect divin à se faire connaître,
c'est la Couronne, elle est ouverte comme Scriptoral, la pyramide
inversée, et pose sur la triade supérieure des
séphiroths, celle de la transcendance divine. Voici
ce qu'en dit A. de Souzenelle : |
Kether

(Couronne) |
Binah
(Intelligence) |
Hokmah
(Sagesse) |
"Ces
trois premières séphiroth, unies
sans confusion, distinctes sans séparation,
sont appelées "Grande Face Divine"."
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps
humain" (Ed. Albin Michel).
|
|
|
Et voici la correspondance de cette première triade
avec le tableau numérique : |
Fig. 6 : Correspondance établie par Y
entre
le haut de son tableau des multiples par 9 de 1 à 111
avec la Couronne et la Grande Face Divine
représentée
par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in "Le
Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).
|
|
On y remarque, dans Kether, la Couronne, les unités
de gauche descendant dans les 5
chiffres 1-2-3-4-5, et les dizaines remontant dans les 5
chiffres 5 (de 54) - 6 (de 63) - 7 (de 72) - 8
(de 81) - 9 (de 9, qui n'est plus une dizaine), pour déboucher
sur le 10 du Retour à l'UN : (9 x) 10 = 90.
Ces deux 5 donnant le 10 du Yod ne sont bien sûr pas sans évoquer et le 55 précédent, et
les deux Hé de Yahweh,
d'autant plus qu'en bas de la Couronne un 6
(celui de Vav ?) - cf. #yod - les sépare
: |
5=45- |
6=54 |
Hé-Vav-Hé
|
5 - 6 - 5 |
|
|
Quant à la triade située sous la couronne, on
remarque que les multiplicateurs de 9 à gauche descendent
continuement de 10 à 16 pour remonter tout aussi continuement
de 17 à 20, puis discontinuement de 20 à 99,
multiple par 9 de 11, ce qui ne manque pas d'intérêt
: |
99, qui évoque
1999, l'année fatidique de résurrection
royale et divine, touche, comme par asar,
(9x)10=90, correspondant à Kether - la Couronne,
la séphirah du retour à l'UN, alors que
la réduction théosophique de 1999 est précisément 1 par 28 et 10 ;
16 et 49, à
proximité des séphiroth Binah (Intelligence)
et Hokmah (Sagesse) entourent ce qu'Annick de Souzenelle
appelle "la matrice de l'Etre Divin" (cf.#ain),
or, l'interprétation des paroles de l'ange par Y le conduisit,
en paroles_d_ange.htm#par
et paroles_d_ange.htm#hyp,
à montrer que l'évolution spirituelle de
l'être allait de la passerelle des niveaux 16-18
au niveau 49.
|
Le premier nombre succèdant à 16
dans le tableau #cor est 21
et il est intéressant de souligner à
quel point 21 est lié
au 16 de Louis dans la mort de
la monarchie qu'il représente (et dans sa Résurrection
?) alors même que la mort enfermera Marie-Antoinette
dans le 16 d'un mari dont elle
ne cessa de s'éloigner au temps de sa splendeur : |
Louis
XVI est arrêté
à Varennes le 21 Juin
1791, au solstice d'été ;
La
monarchie qu'il représente sera abolie le 21
Septembre 1792, à l'équinoxe
d'automne ;
Louis
XVI sera décapité le 21 Janvier 1793, jour d'entrée dans le signe du Verseau
;
Marie-Antoinette
sera décapitée le 16
Octobre 1793 ;
Y, est né
dans le 21 (Côte d'Or),
le 16.2.49, avec une fête
le 16.7, qui passera au 9.9
en 1971 ;
Pour Y,
"l'avant-apres" de la résurrection du
"grand Roy d'Angolmois" débutera le 21
Mars 1999 (cf. interpretation.htm#ava),
jour de l'équinoxe de printemps, et ce 21.3
sera le coup
d'envoi et la clé de son interprétation
du quatrain nostradamique sur 1999.
|
PETITE FACE
(les 7 séphiroth inférieurs)
|
Venons
maintenant aux deux triades inférieures : |
Din
(Justice - Rigueur) |
Hesed
(Miséricorde) |
Tipheret
(Beauté - Coeur divin) |
Hod
(Gloire - Majesté) |
Netzah
(Victoire - Puissance) |
Yesod
(Fondement) |
Malkuth
(Royaume) |
|
|
Voici ce qu'Annick de Souzenelle dit des 7 séphiroth
inférieurs :
|
"
Les sept suivantes ou sept séphiroth de la
construction, sont appelées "Petite
Face". Elles sont les archétypes de
la Création sur lesquels se structurent les
sept jours de la Genèse. Elles comprennent
deux triades inversées par rapport à
la première et Malkuth."
Annick
de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain"
(Ed. Albin Michel).
|
|
Commençons par la correspondance de la première
triade de la Petite Face avec le tableau numérique #tab
:
|
Fig.
6 : Correspondance établie par Y
entre
le second paragraphe
de son tableau des multiples par 9 de 1 à 111 (#tab)
avec la Petite Face
représentée
par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in "Le
Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).
|
|
Cette triade débute donc avec le nombre 21 (cf. #lep)
à proximité de la séphora Din de Justice
et de Rigueur, issue de celle d'Intelligence (Binah), à
proximité de laquelle se trouvait le nombre 16. Elle
oppose les nombres 189 - (9x)21=189 - et 981 touchant à
Hesed-Miséricorde, nombre qui évoque pour Y 1981, l'année d'élection de François
Mitterrand à la 4ème présidence de
la Vème République, une élection qui
se fit sous le signe de la suppression de la peine de mort,
et d'une miséricorde d'avocat ayant besoin d'être
équilibrée par la Rigueur et la Justice (Din)
du juge.
Les multiplicateurs 91 et 99 entourent la porte des Dieux,
porte de la naissance de l'Etre divin. Comme par asar,
ils évoquent 1791 et 1999, c'est à dire les
dates de mort de Mozart, d'arrestation de Louis XVI et de
résurrection du "grand Roy d'Angolmois"
menant, selon les signes de Y, de la source
de la conception de Chyren, lieutenant du Christ et donc
Etre divin, à la résurrection monarchique
qu'il incarne.
La ligne contenant (9x)31=279, (9x)81=729, (9x)88=792 et
(9x)108=972 est très intéressante. Elle entoure
la matrice de l'Etre spirituel, et, pour Y, 31 et 279 y lient Mozart au Temple et à la monarchie
(31 ans est l'âge où il déclara, dans
sa correspondance, la mort sa meilleure amie et 1279, la date où la monarchie donna aux templiers
l'enclos du Temple, qui sera l'antichambre de sa mort) ;
81, 88 et 792, lui donnent 1981, 1988, 1792, les deux dates
d'élection de François Mitterrand et la date
d'abolition de la monarchie, ce qui rappelle le lien Robespierre
- Mitterrand (cf. mythe_errant.htm#rob)
; 972, c'est 1972, la naissance de la recherche scriptorale
à Dakar et 108 pourrait bien être le nombre
des prétendants Louis XVII ou descendants, à
cette époque !... Pour finir, remarquons que la valeur
numérique se trouvant vers Tipheret-Coeur-Beauté
est 333 moitié de 666, touchant à Yesod-Fondement.
|
La triade inférieure
aboutit à Yesod-Fondement. C'est, pour A. de Souzenelle,
l'ensemble uro-génital, source de procréation
: |
Fig.
7 : Correspondance établie par Y
entre
le troisième paragraphe
de son tableau des multiples par 9 de 1 à 111 (#tab)
avec la seconde triade de la Petite Face
représentée
par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in "Le
Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).
|
|
Les multiplicateurs
touchant aux séphiroth sont : |
41 |
107 |
de
réduction
théosophique : |
5 |
8 |
74 |
2 |
|
Ainsi placés, 5-8-2 opposent les seconds chiffres
du Fils (5) et de l'Esprit (8) pour les faire aboutir au
second chiffre du Père (2) dans l'ordre descendant
de la poutre verticale de la croix du Christ (Cf. double_croix.htm#123
et #cro). Ils révèlent
donc, entre 5 et 8 l'opposition, d'une part, de "Hod-Gloire-Majesté",
reflet de "Binah-Intelligence" et "Din-Justice-Rigueur"
et, d'autre part de "Netzah-Victoire-Puissance",
reflet de "Hockmah-Sagesse" et "Hesed-Miséricorde".
Cette opposition donne naissance à "Yesod-Fondement",
et il est très curieux de remarquer que, entre "Hod"
et "Netzah", (9x)41=369 et (9x)107=963 comme (9x)71=639
et (9x)77=693 (qui entourent la "Porte des Hommes"
où naît l'Etre spirituel) ont pour centre (9x)74=666,
puisque :
|
41
+ 33 = 74 = 107 - 33,
71 + 3 = 74 = 77 - 3,
369 + 297 = 666 = 963 - 297,
639 + 27 = 666 = 693 - 27. |
74 a
donc deux faces : d'un côté (en son achèvement
?) il donne 666 et le nombre de la Bête de l'Apocalypse,
symbole du pire, et, de l'autre (en son début ?) il
ouvre sur le meilleur : l'Homme du spirituel au divin. Voilà
pour Y une
seconde raison expliquant que ce nombre le relie à
son ascendance et à sa descendance, et celles-ci à
Louis XVI et à sa fille (cf. #666).
Reste "Malkuth-Royaume", où se déversent
toutes les énergies divines, le total achèvement
du créé. Comme par asar,
le touche le nombre 999, donné par Nostradamus à
l'année qui vit la résurrection du grand monarque
dans le IIème millénaire de l'ère chrétienne. |
Fig.
8 : Correspondance établie par Y
entre
le quatrième paragraphe
de son tableau des multiples par 9 de 1 à 111 (#tab)
avec "Malluth", au bas de la Petite Face
représentée
par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in "Le
Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).
|
Et (9x111)=999,
touchant à "Malkuth",
est la somme
de (9x)37=333, touchant à "Tipheret",
et de (9x)74=666, touchant à Yesod,
ce qui va amener Y à
aller beaucoup plus loin.
|
En effet, remarquant
: |
que sa pyramide
de l'interprétation s'ouvrait comme "Kether-Couronne",
que "Malkuth-Royaume",
où se déversent toutes les énergies
divines, correspondait tout à fait au centre de
la sphère de Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral)
que "Kether"
et les trois triades étaient 4, comme les pyramides
des cycles créateurs,
que les pyramides
inversées étaient 3 comme "Kether"
et les 2 triades inversées,
et que la pyramide
de la composition était la seule à être
pointe en haut dans les cycles créateurs, comme
la triade de la "Grande Face divine" était
la seule à avoir cette orientation dans l'Arbre
de Vie,
|
Y fit
correspondre "Kether" et les 3 triades de l'Arbre
de Vie
aux 4 pyramides de
composition-interprétation / destruction-transformation
du cycle créateur (cf. pyramide.htm#sol),
ce qui donna :
|
Fig.
9 : Correspondance établie par Y entre
la figure 4 ci-dessus (#ain)
et l'enchaînement composition-interprétation
/ destruction transformation
du cycle créateur de Scriptoral (cf. pyramide.htm#sol).
|
|
Mais, pour que
la correspondance soit totalement exacte, il fallait donner
à cet Arbre de Vie la forme d'un cycle créateur
pyramidal, ce que Y réalisa, non sur l'Arbre de Vie lui-même, mais
sur le tableau numérique qu'il lui fit correspondre,
ce qui donna : |
Fig.
10 :
Réorientation du tableau numérique
ci-dessus (cf. #tab)
dans sa correspondance avec l'Arbre de Vie d'Annick
de Souzenelle (#ain2)
suivant la forme de l'enchaînement
composition-interprétation / destruction
transformation
du cycle créateur de Scriptoral (cf. pyramide.htm#sol).
|
|
Y se
demanda alors si cette transformation était justifiée,
et vit qu'elle l'était pleinement pour deux raisons
: |
premièrement,
les deux triades inférieures correspondaient aux
pyramides de destruction-transformation, or il y avait
bien une destruction : celle du rectangle les unissant,
et une transformation : celle de la situation de la triade
inférieure ainsi que de l'orientation générale
de l'ensemble :
|
Fig.
11 :
"DESTRUCTION"
dans le rectangle unissant les deux triades inférieures,
"TRANSFORMATION"
sous la triade à relever et réorienter.
|
|
et
surtout, deuxièmement, la somme des multiplicateurs
de chaque ligne de #tab
était
constituée des nombres 1, 10 ou 100 ou de leur
somme totale ou partielle multipliée totalement
ou partiellement par 1, 2 ou 4 (11, 101, 110, 111, 211,
222, 444, 111 et ses multiples 222 et 444 étant
majoritaires dans le tableau). Il
y avait toutefois deux exceptions : 37, touchant à
"Tipheret", et 74, touchant à "Yesod".
Or, 37 + 74 placés sur une même ligne ou
sur un même arc de cercle étaient égaux
à... 111 (cf. fig. 12), signe
pour Y que
son cycle créateur pyramidal de composition-interprétation
/ destruction-transformation est bien le Nouvel Arbre
de Vie, ce qui est on ne peut plus logique, puisqu'en
se multipliant 4 fois il engendre ce que les signes lui
donnent comme la Jérusalem Céleste, la Cité
de Vie qu'il charpente, où sont précisément
les Arbres de Vie !
|
Fig.
12 :
Réduction des lignes de la figure 10 (cf. #10)
à la somme de leurs multiplicateurs.
|
|
Cette
transformation de l'Arbre de Vie traditionnel engendrait
donc une quatrième
triade joignant les deux triades de la "Petite Face"
triade formée de : |
Tipheret
(Coeur-Beauté) |
Yesod
(Fondement) |
Malkuth

(Royaume) |
|
|
Y se
demanda ensuite quelle relation cette configuration pouvait
avoir avec le symbolisme du corps humain donné par
A. de Souzenelle, où "Kether" est la Couronne
: |
"Kether",
la Couronne, devient Interprétation pour Y,
"la grande Face divine", la Tête, devient
Composition pour Y,
"la petite face", 1ère triade inférieure,
le thorax, aboutissant à "Tipheret",
le Coeur, devient
Destruction pour Y,
"la petite face", 2ème triade inférieure,
l'ensemble uro-génital, aboutissant à "Yesod",
le Fondement, devient
Transformation pour Y,
"Malkuth",
les Pieds, devient
la source centrale d'énergie entre Destruction
et Transformation pour Y.
|
Il s'aperçut
alors que cela correspondait à la
position assise de la palabre africaine : |
Interprétation
y restait la Couronne,
Composition
y restait la Tête,
Destruction
y restait le thorax, mais avec "Tipheret", le
Coeur, descendant au niveau de
"Yesod", le Fondement, comme le souffle dans
la respiration abdominale,
Transformation,
par contre, y devenait le triangle "Yesod",
Fondement - genoux, de l'homme assis, Pieds ramenés
sous lui,
le
centre énergétique y restait "Malkuth",
le Royaume correspondant aux Pieds ramenés sous
soi et aboutissement de "Tipheret" et de "Yesod".
|
Y se
demanda encore quel pouvait être le sens de cette mise
au même niveau du coeur et du sexe, et il découvrit
que sans le coeur, le sexe plaçait l'homme au-dessous
de la bête en rut, l'exact nombre 666 de la "Bête"
apocalyptique, car, ce qui est du domaine des animaux n'est
pas de celui de l'humanité, et devient apocalyptique,
au pire sens du terme, quand elle s'y réduit. Par contre,
lorsque le couple unit le coeur à la chair, "Tipheret"
à "Yesod", 333 à 666, l'Amour à
l'Instinct, il parachève l'acte procréateur
en 999, il se place à la Porte de l'UN qu'est 1000
de réduction théosophique 1. |
Mais, ce n'est pas tout. Y s'aperçut aussi : |
que le triangle
de l'Interprétation (#12), correspondant
à "Kether-Couronne", était de
total 55 (1+11+11+11+11+10), nombre lié (cf#5et5)
à Mozart, Varennes, la rue de Varenne et symbole
des deux "Hé" représentant les
deux tranchants de l'épée du Verbe de Dieu
(cf. #keth), or Jésus est l'Interprète
de l'Ancien Testament, le premier à avoir suprêmement
manié cette épée, et, comme par asar,
ce 55 se retrouve au lieu de l'Interprétation.
que 888 totalisait les nombres du triangle de la Composition (#12) correspondant à la "grande
Face divine". Or, le produit de ses trois 8 donne
512 (cf. interpretation.htm#mor).
888 ne symbolise-t-il pas le plan, la Composition, de
Dieu reliant Temple et monarchie via Mozart ? Voir aussi
ce qui est dit de 8 en #789, la Composition
n'est-elle pas très exactement, comme le nombre
8, une barrière-épreuve que l'interprète
doit dépasser pour atteindre à une nouvelle
"naissance, résurrection" ?
que
1902 (#12)
totalisait le triangle de la Destruction
séparant les deux triades inférieures. Or,
curieusement, trois ans avant la loi de Séparation
de l'Eglise et de l'Etat, en 1905, 1902
est l'année où le pape Léon XIII
ouvre, entre autres, les archives du Vatican à
la curiosité des chercheurs, ce qui, nous dit le
Larousse, fit faire un progrès décisif à
l'exégèse catholique. Mais... ces archives
du Vatican : ne sont-elles pas le lieu où se trouve
la clé du mystère Louis XVII, c'est à
dire du Plan de Dieu sur l'évolution du pouvoir
humain ?
que 2949 (#12)
totalisait le triangle de la Transformation.
Y y
vit la jonction de 29 (inversion du 92 - 1792 - de l'abolition
monarchique) et de 49, lié,
selon ses signes, à
la résurrection monarchique (cf. #222)
;
que
ce triangle de la Transformation était, de plus,
remarquable, et il en
donna deux versions :
|
l'une de 9
lignes (#12),
elle montre l'aboutissement de la Transformation au
niveau de base de la Composition, ce qui correspond
au travail de l'improvisateur - compositeur de base,
qui ne filtre pas son inspiration comme le véritable
compositeur, ce que montrent les départs des
côtés : ceux d'un rectangle, et non d'un
triangle qui se rétrécit par filtration
au fur et à mesure de son élévation.
Le Coran, qui refuse la filtration du verbe des prophètes
est l'exemple de cette composition de base, à
la différence de la Bible, composition filtrée
;
la
seconde version a 8 lignes, associant les deux 222,
elle fait apparaître six 444 et laisse la possibilité
d'additionner 211 et 74 en 285 (cf. #13)
:
|
Fig.
13 :
Réduction à 8 des 9 lignes de la figure
12 (cf. #12).
|
|
444, c'est,
selon Y,
la poutre Mitte|D|rranD
de la croix de Lorraine gaulliste (cf. 5eme_republique.htm#rep),
qui équilibre la poutre verticale Charles
De GaullE,
symbolisée par 345 (3+4+5 = 12 = 4+4+4)
(cf. nombres.htm#val).
Or ici, 444 s'élève verticalement par
rapport à sa base, en se multipliant par 6 (nombre
de la création divine de l'Homme selon A. de
Souzenelle). L'association de 285 (nombre ascendant
de la divine croix du Christ en #cro)
et de ces six 444, c'est donc, pour Y,
la jonction de l'Homme et de Dieu, par la Volonté
de Dieu.
Remarquons que 2664, la somme des six 444 du triangle
de la Transformation, est une transformation de 666,
le nombre de la Bête, où l'un des 6 extrêmes
s'est divisé en 2 et 4, pour encadrer 66 : Une
confirmation de l'ambivalence de 74 (cf. #74),
d'autant plus que 2664, c'est aussi 36 fois 74, soit
6 fois 6 fois 74, 444 étant lui-même 6
fois 74 !...
|
Après quoi, il découvrit un
nouveau signe : l'ensemble "Tipheret-Yesod-Malkuth"
était de total 333 + 666 + 999 = 1998,
et 1998 était l'achèvement
de 222, puisqu'égal à
222 x 9. Or, 1998 était
l'année de ses 49 ans,
et 49 était le nombre
: |
de
son année d'une naissance cyanosée aux forceps,
comme si la "Bête" avait voulu l'arrêter
là,
d'"Hockmah-Sagesse"
dans la correspondance ci-dessus (cf. #hoc),
le
nombre manquant rue de Varenne, entre le 47 de l'Ambassade
d'Italie et le 57 de l'Hôtel Matignon (cf. jacques_chirac.htm#49),
le
nombre du dernier niveau d'évolution spirituelle
donné par l'Ange gardien (cf. paroles_d_ange.htm#par
et paroles_d_ange.htm#hyp).
|
222,
double de 111 touchant au règne et au sacre de Louis
XVI, était , quant à lui, présent : |
à
Varennes (cf. varennes_va-a-rennes.htm#222),
dans les 222 mètres séparant la maison de
Préfontaines de la voûte de l'église,
222 mètres donnant 35 minutes aux poursuivants
du roi par la Grâce de Dieu, pour l'arrêter
sous la voûte de l'Eglise de Dieu, et donc, pour Y,
selon la volonté de Dieu ;
dans
les dates mêmes de l'arrestation de Varennes : 20-22.6.1791.
|
Mais,
222,
"catalyseur (?)" de la chute de la monarchie, a
une double face, puisqu'il accompagne aussi sa survivance
: |
il
couvre au Donjon du Temple le probable échange
de Louis XVII (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111)
il est lié
(cf. #222) à Y que
les signes disent Chyren.
|
222 et
49 sont donc liés par 1998 à Y,
Varennes et la rue de Varenne, Louis XVI et la probable survivance
de Louis XVII. C'est pourquoi, Y voit
dans le 49 de Sagesse et de totale évolution spirituelle,
lié au 16 d'Intelligence par ses dates de naissance
et de fête (16.2.49, 16.7), le maillon manquant dans
la rue de Varenne entre la Mère - Eglise, symbolisée
par le numéro 47, et la Fille aînée -
France, symbolisée par le 57, signe après tant
d'autres, qu'il peut être l'artisan de la réconciliation
: Chyren, le grand monarque.
|
Y
chercha ensuite si la suite apparemment illogique des multiplicateurs
de #tab
n'avait pas une
logique cachée. Il plaça donc sur une même
ligne les multiplicateurs 1 à 111 de ce tableau ayant
pour produit des nombres composés des mêmes
chiffres, et obtint une espèce d'aile d'oiseau en
piqué, où il mit sur fond jaune les continuités
les plus importantes : 1 à 9, 10 à 20 et 50
à 56. Il engloba cette dernière suite dans
l'ensemble 47 à 57 représentant les numéros
significatifs de la rue de Varennes (cf. jacques_chirac.htm#del).
Cela donna #ill :
|
Fig.
14 :
Sur une même ligne horizontale, les multiplicateurs
1 à 111 de 9,
dont les produits sont des nombres composés
des mêmes chiffres (cf #tab)
|
|
Il y remarqua
que :
|
la
somme de 10, 11, 12, 13, 14, 15 et 16 était égale
à 91, évoquant
1791 et donc arrestation de Varennes et mort de Mozart
;
la
somme des nombres 17 à 20, séparant 16 de
21 dans la suite du tableau #tab,
était égale à 74 : le chemin le reliant à son ascendance et à
sa descendance, et se poursuivant dans l'association "Tipheret
- Yesod" le liant, par-delà 666, à
999, 1998, 49 et 222 ;
|
Mais
il s'intéressa surtout à la suite 47 - 57, où
il découvrit : |
une
montée jusqu'à 49 mettant ce nombre en évidence ;
une
plongée de 49 sur
la suite 50 à 53
descendante, 50 évoquant
pour lui la Voûte Cinquantenaire de la rue de Varenne
et François Mitterrand, et 53,
la clef de la relation 51-55 (cf.
jacques_chirac.htm#49
et jacques_chirac.htm#53)
; il en déduisit en Juin 2000 qu'il resterait caché
jusqu'à 53 ans. Relisant
cela dans le récent été 2004 (nous
sommes le 15 Octobre 2004), il s'aperçut que le
présent site fut mis en ligne le 6 Décembre
2002, et qu'il commença à y parler de lui
en 2003, or Y
eut 54
ans le 16.2.2003 ;
une
remontée 54-57, continue
de 54 à 56
pour se propulser en 57 douze
lignes plus haut, espace le plus grand séparant
deux nombres d'une même colonne en #ill,
un
parallèle entre le 55 de cette remontée et le 51
de la descente 50-53,
quand 51-55 symbolisait au
départ la distance Marne (51)
- Meuse/Varennes (55) de
la poursuite de la famille royale, ce qui avait été
l'accélération d'une descente continue pour
cette dernière, et qui, ici, se trouvait en descente-remontée,
rappelant que 51-55 était aussi dans l'espace 47-57 de la rue de Varenne, où, là, il symbolisait
pour Y la remontée de Chyren ;
un
très étonnant total des nombres de la remontée,
confirmant pour Y cette
remontée de Chyren :
|
54
+ 55 + 56 + 57 =... 222 !
|
|
222,
dont l'achèvement 1998
correspondait aux 49 ans de Y,
49 ans lui ayant donné
le numéro manquant de la remontée 47-57
de la rue de Varenne, 222 qui,
ici donc, inversait les 222 mètres
de Varennes, où se jouèrent en 35 minutes l'arrestation
et la mort de la monarchie (cf. varennes_va-a-rennes.htm#pla
et varennes_va-a-rennes.htm#222),
222 qui, ici, avait tout l'air
d'être résurrectionnel, comme celui qui couvre
probablement l'échange de Louis XVII (cf.
pierres_d_angles_suite.htm#111).
|
Se rappelant la
contradiction qu'il trouva dans le fait que "Ain Soph
Aor", l'Infinie Lumière, aboutisse à "Ain",
Rien (cf #ain), puisque Rien finirait l'Infinie
Lumière, qui, du coup ne serait plus infinie, Y se
dit que la seule vérité susceptible de justifier
cela serait que Tout soit en Rien.
Or, l'arithmétique théosophique lui montrait
que ce qui existait de toute éternité, ce n'était
par Rien mais Tout. En effet, 1 étant la réduction
théosophique de 10 comme de 10.000.000.000, nous avons
: |
9 + 1 =
10 > 1
9.999.999.999 + 1 = 10.000.000.000 > 1
|
|
9 ou infiniment
de 9 est ou sont l'achèvement de la création,
c'est le tout de l'homme, mais quand le Père se manifeste
et lui ajoute son 1, le total se réduit théosophiquement
à 1, c'est à dire que, quelque soit la multitude
des 9, elle n'est que 0, c'est à dire Rien, en cette
addition.
En fait, le tout de l'homme (9
ou 9.999.9...) est le Rien (0) du Père qui est 1,
et qui, dans ce 1 est Tout
lorsqu'il se manifeste. C'est dire que |
le
tout de l'homme est le
Rien du Tout,
et donc que
l'Homme existe par purs Amour, Générosité
et Gratuité du Père |
contrairement
à ce que dit le titre du film : "Dieu a besoin
des Hommes".
Si le Père est 1, quand
Alpha, et 10, quand Oméga,
il est 11 (1 + 10) quand Alpha
et Oméga, et... 111, quand
Créateur ? 1,
11 et 111 étant de réduction théosophique 1,
2, 3, nous retrouvons
bien, là, les chiffres du Père (cf. double_croix.htm#123).
Et Y constata que sa réorganisation
de l'Arbre de Vie correspondait à cette conception
par l'inversion de : |
"AIN
AIN SOPH
AIN SOPH AOR"
en
"AIN SOPH AOR
AIN SOPH
AIN" |
|
Il plaça "Ain", "Rien", sous Scriptoral
qui lui est donné comme la représentation de
la Jérusalem Céleste (cf. pyramide.htm#jer),
"Ain Soph", l'"Infini", au bas de la pyramide
et de la sphère, et "Ain Soph Aor", "l'Infinie
Lumière", à partir de la sortie de sphère
de cette Cité, dont les Arbres de Vie sont bien, comme
indiqué dans l'Apocalypse, autour de la place centrale
où se trouve le trône de Dieu et de l'Agneau,
et d'où jaillit le Fleuve de Vie : |
"Puis
l'Ange me montra le fleuve de Vie, limpide comme
du cristal, qui jaillissait du trône de Dieu
et de l'Agneau. Au milieu de la place, de part et
d'autre du fleuve, il y a les arbres de Vie qui
fructifient douze fois, une fois chaque mois et
leurs feuilles peuvent guérir les païens."
(Apocalypse de Jean, 22, 1-2, in La sainte Bible,
aux Ed. du Cerf.)
|
Cf. #15 :
|
Fig.
15 : Scriptoral et ses "Arbres de Vie"
(Préfiguration
laïque d'une relation politique droite-centre / gauche
achevée,
et spirituelle d'une Jérusalem céleste, synthèse judéo-christiano
/ islamique,
liée à la trimourti Brahma-Vishnu / Shiva indoue ;
char d'énergie-lumière : Mer-ka-bah égyptien, ou Merkavah
hébraïque,
Scriptoral, en son carré au sortir de la sphère,
correspond aussi au mandala bouddhiste
(portes, artères, 4 carrés de bases pyramidales, diagonales)
le carré Sator s'y inscrit (cf. pierres_d_angles.htm#scr),
et
384, poutre horizontale de la double croix scriptorale,
lue dans le sens du signe de croix catholique,
est le point de départ des 29 notes de l'Ame
du Monde pour Platon (cf : 384.htm#384)
>>> Scriptoral = instrument de syncrétisme
philosophico-religieux ?
voir l'apport des paroles de l'ange gardien enregistré
par Norbert Monroe
en paroles_d_ange.htm#lap,
voir les Arbres de Vie en arbre_de_vie.htm#15.)
|
|
Y vit d'ailleurs une confirmation de sa conception
dans les lignes qui suivent : |
"De
malédiction, il n'y en aura plus ; le trône
de Dieu et de l'Agneau sera dressé dans la
ville, et les serviteurs de Dieu l'adoreront ; ils
verront sa face et son nom sera sur leurs fronts.
De nuit, il n'y en aura plus ; ils se passeront
de lampe ou de soleil pour s'éclairer, car
le seigneur Dieu répandra sur eux sa lumière,
et ils règneront pour les siècles
des siècles." (Apocalypse de Jean, 22,
3-5, in La sainte Bible, aux Ed. du Cerf.)
|
|
Dans la Jérusalem Céleste, il n'y a pas de "Rien",
il n'y a que Lumière, "Infinie Lumière",
la face de Dieu Lui-même est visible, en Lumière
donc, face de ce Yahweh, dont les hébreux n'osaient
pas formuler le NOM.
|