Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
.
SOMMAIRE MUSIQUE ARBRE DE VIE
CHROMOPHONIE SCRIPTORALE
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A.- L'ARBRE DE VIE
SELON YOCHK'O SEFFER


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X
ARBRE DE VIE



X, 1. LA BEAUTE SAUVERA LE MONDE
(Dostoïevski)

X, 2. MUSIQUE, GUIDE SPIRITUEL

X, 3. SPIRITUALITE = VIE DU PRINCIPE DE VIE

X, 4. AMOUR, AME DE L'INTELLIGENCE

X, 5. COMPRENDRE L'AMOUR, AIMER L'INTELLIGENCE

X, 6. AMOUR INTELLIGENT = ARBRE DE VIE



En cliquant sur les 3 tableaux de "Chromophonie scriptorale",
vous entrez dans 72 pages comprenant :
- la Préface de Léopold Sédar Senghor,
- 10 x 1 page de présentation de cycle + 6 tableaux avec leur interprétation poétique particulière,
- une interpretation générale de "Chromophonie scriptorale".
Pour avancer, cliquez, sur l'un des 6 noms de tableaux ci-dessus, puis sur les tableaux eux-mêmes.


Au milieu des ténèbres et de la laideur (X, 1), la beauté relie la terre et le ciel,
elle est flamme et danse et jouissance (X, 1),
guide spirituel (X, 2),
que, seul, peut préserver
le mariage d'amour et d'intelligence (X, 4 à X, 6).



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1.-
Y,
PAROLES DE L'ANGE
ET MULTIPLES PAR 9 DE 1 A 111

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513 et 153 ne sont pas des nombres anodins pour Y : 153 est le nombre symbolique des poissons du dernier évangile de Jean (cf. rennes_thabor.htm#pec) et des fenêtres du château de Versailles (cf. versailles_vers_ailleurs.htm#16). 513 est lié pour lui au Temple et à Mozart : 1513 est la date de la destruction de la commanderie du Temple par les Suisses sous les murs de Dijon (cf. interpretation.htm#mor), Pierre y remplacera Jean (cf. rennes_thabor.htm#dij) ; entre le retour de l'arrestation de Varennes, le 22.06.1791, et la mort de Mozart, le 5.12.1791, il y a 5 mois 13 jours, où le compositeur crée sa "Flûte enchantée", avec une fille de la Reine de la Nuit bien proche de Marie-Antoinette (cf. interpretation.htm#mozart), tandis que le donjon du Temple, où celle-ci entrera en Août 1792 avec sa famille, fait partie d'un don des ancêtres royaux de cette famille, celui de l'Enclos du Temple, don de Philippe le Hardi remontant à 513 ans (Août 1279).

Remarquant que 513 et 153 contenaient les mêmes chiffres, et se rappelant que 153, somme théosophique de 17 (1+2+3+4etc... jusqu'à 17 = 153), était aussi 9 fois 17, comme 513 était 9 fois 57,
Y constata que 17 et 57 étaient reliés par le fait que le second était à la fin de son initiation, (puisque, selon les signes, au début de son règne (cf. paris-varenne.htm#mon) et le premier au centre du début de celle-ci, représentée par la suite initiatique 16-17-18, de produits par 9 égaux à 144-153-162 (cf. paroles_d_ange.htm#par). Ainsi, les 16-17-18.2 terminaient en Février le signe du Verseau, commencé par le 21 Janvier, date d'exécution de Louis XVI, et 18, le troisième de ces nombres, multiplié par le nombre 9 de la connaissance, redonnait 16.2 à travers 162, 16 plus 2 étant par ailleurs égal à 18 (qui est 2 fois 9) dans une sorte de boucle se bouclant.

Y décida alors d'établir la suite des multiples par 9 des nombres 1 à 111, soient 9 à 999 (l'année nostradamique fatidique du IIème millénaire de l'ère chrétienne) en alignant tous les multiples composés des mêmes chiffres, par exemple : 279, 297, 729, 792, 927, 972) Il écrivit en rouge les nombres qui lui étaient familiers





Fig. 1 : Multiples par 9 des nombres 1 à 111
(avec alignement des multiples composés des mêmes chiffres)



Première remarque de Y : 16 et 49, tous deux dans sa date de naissance (16.2.49), sont reliés par leurs multiples par 9 : 144 et 441, inverses l'un de l'autre, ce qui ne manque pas de logique : en effet, selon son interprétation des paroles de l'ange (cf. paroles_d_ange.htm#par), 16 représente le dernier niveau de l'évolution matérielle et 49 le dernier niveau de l'évolution spirituelle, le nombre 9 étant, selon Scriptoral, celui de l'achèvement du travail humain, aboutissement de la croix de Saint André 1-6-7-8-9, avant le retour à 10 divin (cf. double_croix.htm#dou) ; dans cette optique, il est logique que 16 et 49 s'inversent dans leurs multiples par 9, comme s'inversent le matériel et le spirituel, l'humain trop humain et le divin (voire par exemple l'"Eloge de la Folie" d'Erasme : la sagesse de l'homme est folie pour Dieu et la Sagesse de Dieu Folie pour l'homme).

Autre constatation : les premiers nombres de chaque ligne descendent en continu de 1 à 5 et de 10 à 16, puis ils se succèdent en une suite apparemment illogique - mais apparemment seulement, cf. #ill - et discontinue de 21 à 111 ; or, les coupures 5/10 et 16/21 correspondent à des jonctions (les résolvant ?) dans la vie de Chyren, dans celle de Louis XVI et dans la sienne propre :

Chyren, de nombre 5 puisqu'Henri V, étant lieutenant du Christ, a opéré le retour à l'UN, au Père, symbolisé par le nombre 10 (1+0=1),
Louis XVI, guillotiné le 21.1.1793 a joint dans la mort son nombre 16 au 21 du premier jour du Verseau (de plus 1.1793 est de total 21 - 1+1+7+9+3=21 -, 21.1.1793 est donc aussi 21.21),
Y joint lui aussi le 16 au 21, puisque né en Côte d'Or de numéro 21 sous les nombres 16 de sa date de naissance (16.2.49) et de sa fête le 16.7, qui passera l'année de son mariage (16/17.7.71), au 9.9 (annonce de 1999 ?)


Par ailleurs, quatre autres alignements sont en rapport avec ses signes :

126-162-261-621, multiples par 9 de 14-18-29-69 :

14, numéro de sa première habitation, rue Mozart, est le nombre de Louis XIV, qui lui est présenté comme son prédecesseur solaire, côté couchant, celui dont il doit inverser le pouvoir ;
18, est l'aboutissement de son passage initiatique, placé dans l'ordre 17-16-18 (cf.
paroles_d_ange.htm#par) ;
29, numéro de son actuelle habitation dans les Fonds Bleus, c'est l'inverse de 92, date de l'abolition monarchique (1792), qu'il doit à son tour inverser, selon les signes ;
69, toujours selon les signes, est le nombre des rois de France qui le précèdent.

135-153-315-351-513, multiples par 9 de 15-17-35-39-57-59 :

15, est le nombre de Louis XV, entre Louis XIV et Louis XVI, l'annonceur du "déluge" - de sang - qui le suivit avec la Terreur et l'abolition monarchique ;
17, la coupure annoncée depuis les pythagoriciens (cf. 384_suite.htm#cou) et incarnée dans l'histoire de France par Louis XVII, où elle est issue du "déluge" annoncé par le 15, coupure dont Nostradamus annonce la solution par une résurrection monarchique (cf. interpretation.htm#ava), et que Y résout par Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral).
35, le numéro de l'Ille et Vilaine et de Rennes, destination du "Va-à-rennes" et chemin de cette solution au "déluge" (cf. varennes_va-a-rennes.htm#222) et la valeur numérique de... VARENNES (4+1+9+5+5+5+5+1) !
39, l'âge de Y en 1988, lorsqu'il se signale comme "cavalier seul" avec son auto-édition de "La Voie Scriptorale" (cf. plus.htm#lav).
57, le numéro de l'Hôtel Matignon, lieu du gouvernement de la France, donné à Y comme son âge au début de son règne (cf. paris-varenne.htm#mon).
59, numéro du nord, département de provenance de Y , lorsqu'il arriva à Rennes de Cambrai, "fond du nord" de la prophétie (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#est), car "fond" de la France, en tant que sa première capitale.

666, multiple par 9 de 74 : 74 inverse 47, qui, dans les âges, est celui de l'initiation. Or, c'est l'âge de Y au moment où il rencontra "Monsieur 88" (cf. paris-varenne.htm#mon), lequel habitait cité de Varennes (le saint des saints de la rue de Varenne) entre le... 47 (!) de cette rue (où il manque le numéro 49 - année de naissance de Y, 49ème niveau de l'ange...-), or ce 47 y est le numéro de l'ambassade d'Italie, pays de l'état du Vatican et donc de l'Eglise catholique, dont la France, symbolisée par le 57 de cette même rue, est la fille aînée.

Quoi d'étonnant donc à ce que l'achèvement humain de 74 (son produit par 9) soit 666, le nombre de la Bête de l'Apocalypse, puisque 74 inverse 47, le nombre de l'initiation ?

74, en son début (multiplié par 1) est lié à Louis XVI qui commence son règne le 10 Mai 1774 - ce 74 est d'ailleurs directement lié à 111, puisque le sacre du roi aura lieu 1 an, 1 mois, et 1 jour plus tard, le 11 Juin 1775 (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111) -, 74 est également lié au grand-père de
Y, né le 21.9.1874 (date réussissant à associer le centenaire du début du règne de Louis XVI à l'anniversaire de son abolition et de celui de la monarchie, le 21.9.1792), 74 est aussi dans la naissance qui donna à Y le "choix du roi", le 18.12.1974, bicentenaire du début du règne de Louis XVI et anniversaire de la sortie du donjon du Temple de Madame Royale, sa fille, le 18.12.1795 - madame Royale faillit de plus naître le 18.12.1778 - (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#219) ; 74, enfin, c'est le numéro de la route nationale Dijon-Beaune, la RN 74, qui relia pendant 18 ans Y à son grand-père.

Y en déduisit que, de toutes ces naissances (d'un règne, d'un grand-père, d'une fille) à sa renaissance (la résurrection annoncée par Nostradamus et ses signes), il y avait un goulet d'obscurité contraignant sa lignée à redescendre au niveau tripal de l'instinct, symbolisé par 666, le nombre de la Bête de l'Apocalypse.

999, multiple par 9 de 111 : 999 est l'achèvement de 111 (son produit par 9), or la 999ème année du IIème millénaire de l'ère chrétienne est précisément celle où s'enracine, selon Nostradamus, la résurrection de Chyren, le grand monarque, qui doit aller chercher le Saint Pape, 111ème pontife de la prophétie de Saint Malachie et successeur direct de Jean-Paul II (cf. rennes_thabor.htm#mor), les signes donnant à Y pour date à cette résurrection le 18.3.2000. Comme par asar, ces deux traditions prophétiques se recoupent dans le temps juste au bon moment. (Nous verrons plus loin, en #ain, comment 111 est lié à 37 et 74 et 999 à 333 et 666).


Mais, il y a plus,
Y découvre en effet des correspondances étonnantes

d'une part, entre la double croix de Scriptoral et les indications d'Annick de Souzenelle dans "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel),
et, d'autre part, entre son tableau numérique des multiples par 9 de 1 à 111 et l'Arbre de Vie lui-même.





2.- DOUBLE CROIX SCRIPTORALE
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Regardons tout d'abord la double croix issue de Scriptoral, cf. double_croix.htm#43 :




1
 
9
 
8
 
7
 
6
et
 
5
 
4
(8)
3
 
2
 

Fig. 2 : Double croix scriptorale


elle se décompose en une croix 1-6-7-8-9 du travail humain, car de Saint André, et en une croix 5-2-3-4 (ordre du signe de croix catholique) du travail divin, car Croix de Résurrection du Christ. Nous remarquons que la seconde tient tout entière dans l'intervalle 1...6 de la première, qui enchaîne ensuite continuement 7-8-9.

Puisqu'en cette dernière c'est de l'homme qu'il s'agit, voyons maintenant ce qu'Annick de Souzenelle explique de lui, à partir de la représentation numérique du nom de Yahweh qu'elle donne dans "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel) :





Fig. 3 : Représentation numérique
du nom de Yahweh par
A. de Souzenelle



"Le nombre 6, écrit-elle, symbolise l'Homme au départ de sa formation. Créé le sixième jour de la Genèse, il récapitule les 6 premiers jours de la Création".
Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


C'est pourquoi la lettre "Vav", de nombre 6, signifie "et", car, ajoute-t-elle :

"L'Homme est conjonction.
Il relie d'une part tous les éléments du cosmos entre eux, dans leurs contradictions et leurs complémentarités respectives (les deux Hé)..."


Mettons en réserve pour la suite de ce fichier :

le nombre 55 qu'affichent ces 2 Hé réunis ;
le fait que, signifiant souffle, vie, existence, être... ils soient contradictoires et complémentaires, comme composition-interprétation et destruction-transformation, les composants de chacun des 4 cycles de Scriptoral, eux-mêmes souffles de vie (cf. pyramide.htm#scriptoral).

et revenons à la suite de son texte correspondant à l'enchaînement 6-7-8-9 de la croix de Saint André (cf. #cro) :

"...d'autre part la terre et le ciel (l'ensemble Hé Vav Hé et le Yod dont la valeur 10 unifie les deux Hé). Cette unification fait l'objet même de l'Histoire de l'Homme dont la vocation est de passer du 6 au 10 en assumant le 7, 8 et 9. Ce passage du 6 au 10 s'accomplit au fur et à mesure des mariages successifs des deux Hé.

Sur le plan biologique, la formation d'un enfant dans le ventre de sa mère obéit à cette même loi : au 6e mois l'enfant est formé. Mais ce qui se passe dans la matrice pendant les 7e, 8e et 9e mois symbolise la vie entière de l'enfant entre sa naissance et sa mort. c'est une étape capitale dont je parlerai dans l'étude du sang.
Lorsque l'enfant naît, il symbolise le 10, le Yod, l'enfant divin qu'il est appelé à mettre au monde en lui à la fin du "9e mois" de son histoire... ce que devrait être sa mort."

Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


L'espace allant de la source 1 au 6 récapitule donc les 6 premiers jours de la création, selon A. de Souzenelle (cf. #esp), curieusement, la double croix scriptorale (cf. #cro) montre que c'est en cet espace de la croix du travail humain que se loge le 5-2-3-4 de la Croix divine.
1-6 assemblés donnent à nouveau le nombre 16, début de la suite initiatique 16-17-18 (cf. paroles_d_ange.htm#n12 et 384_suite.htm#cou), et comme par asar, ce qu'A. de Souzenelle appelle le


"déploiement du Nom Divin Hé Vav Hé, expir divino humain"
Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).

est de total 16 ( 5 + 6 + 5, cf. #yod).

L'auteur ajoute, au sujet du chemin 7-8-9 restant à parcourir jusqu'à 10 :


"De l'achèvement du sixième jour dans l'Homme jusqu'à la reconquête du 10 par ce dernier, de la Genèse à l'Apocalypse (...) à l'inspir humano-divin."
Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


C'est clairement dire que ce qui se passe pour l'enfant dans la matrice du 6ème au 9ème mois, préfigurant la vie entière de l'individu à naître, se passe également pour l'humanité de la Genèse à l'Apocalypse. Or,
Y voit là une confirmation de l'interprétation qu'il fait de ses signes, selon laquelle l'arrestation de Louis XVI à Varennes est le fait de la Providence divine (Louis XVI étant l'héritier d'une monarchie d'origine davidique, et, par delà, atlante initiée (?) - cf. cergy_atlante.htm#des - et devant ressusciter avec la monarchie qu'il représente en la personne du grand monarque).

En effet,

le nombre de ce roi est le 16, qui est celui de "Hé Vav Hé", "l'expir divino humain" ;
comme par asar, son destin se joue en 1789, où apparaissent 7-8-9 ;

7-8-9 est la réduction théosophique de 16-17-18, les niveaux de conscience de l'ange formant la passerelle du matériel au spirituel (cf. paroles_d_ange.htm#par), et l'actuel passage à l'ère spirituelle du Verseau est un temps messianique appelant une Révélation, ce qui est le sens d'Apocalypse, dont Scriptoral est pour Y le vaisseau ;
999 est l'achèvement de 789, où les chiffres des centaines, des dizaines et des unités ont tous franchi , à partir de 7, 8 ou 9 l'espace qui les séparait de 9 quand il y en avait un ;
1999 (via 1+9+9+9=28=>2+8=10=Yod=>1+0=1) passe dans sa réduction théosophique par le 10 du Yod ;
depuis le 7-8-9 de 1789, 1999 est bien la date présentée par Nostradamus, comme celle de la résurrection de la grande monarchie française et de Louis XVI, en la personne du "grand Roy d'Angolmois", en "mil neuf cens nonante neuf sept mois", ce que Y interprète comme étant le 18 Mars 2000, au Parlement de Rennes (cf. interpretation.htm#ton) ;
le grand monarque étant le lieutenant du Christ est bien celui qui, par "l'inspir humano divin" reconquiert le Yod divin, à partir du 16 de "l'expir divino humain", qui fit expirer Louis XVI, après avoir fait expirer Jésus, lui aussi d'origine davidique, plus de seize siècles auparavant, en vue de leurs résurrections dans les personnes du Christ et de Chyren.


En fait, ce qu'Annick de Souzenelle présente comme le mode d'accomplissement individuel de chaque homme, doit, selon les signes de Y, être aussi universellement pris en charge par un homme de Dieu, son enfant prodigue et second fils, de la même manière que le premier se chargea du péché du monde.

Voyons maintenant ce que cet auteur dit des nombres 7, 8 et 9 :


"Le 7 est plénitude, rassasiement à un niveau (les deux Hé se sont pleinement unis) ; il implique un retrait une mutation dont il symbolise l'aspect négatif.

Le 8 qui le suit est une barrière épreuve. Celui qui la passe atteint à une nouvelle naissance < naissance, résurrection >, aspect positif de la mutation.

Le 9 symbolise la perfection, l'achèvement des mondes créés."

Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).

Y retrouve totalement dans ces définitions l'enseignement de ses signes :

le 7 est réduction théosophique de 16, qui correspond bien à travers Louis XVI à un rassasiement à un certain niveau, celui de l'absolutisme monarchique Louis XIVème, où les deux Hé se sont pleinement unis, si l'on considère comme Hé(s), non pas composition-interprétation et destruction-transformation (cf. I-II et III-IV de pyramide.htm#sol) ce qui est la donne de notre actuel changement d'ère astrologique, mais composition et interprétation (cf. I et II - qui sont bien opposés et complémentaires comme indiqué en #opp -, de pyramide.htm#interpretation), ce qui était la donne du Siècle de Louis XIV, où l'architecture, la littérature et les arts atteignirent un sommet de la composition-interprétation. Ce rassasiement implique bien un retrait : la décapitation du 21.1.1793, où Louis XVI symbolise l'aspect négatif, entraînant une mutation : la République "que l'on cuidera estre une rénovation de siècle" (Nostradamus), et, par-delà, pour Y, la pyramide inversée de Scriptoral, (cf. pyramide.htm#scriptoral), 17ème pyramide résolvant la coupure du 17 (cf. 384_suite.htm#cou), négation du négatif symbolisé par la pyramide à l'endroit de l'absolutisme Louis XIVème.
Le 8 est réduction théosophique de 17, qui est bien une barrière-épreuve, la coupure du 17 (cf. 384_suite.htm#cou) incarnée dans notre histoire par Louis XVII, barrière-épreuve sur laquelle la France continue d'achopper (problème du coeur disparu dans la dernière analyse d'ADN) ; barrière créant la rupture 16-21, dans la suite des multiplicateurs de 9 du tableau ci-dessus (cf. #tab) ; barrière dans l'enchaînement des cycles pyramidaux, obligeant à rompre avec lui pour aller à l'ouverture de la lumière de Scriptoral, qui est naissance, résurrection (cf. pyramide.htm#scriptoral).
Le 9 est bien, dans le CNTR-TC (cf. double_croix.htm#9), et dans la croix de Saint André (cf. #cro), l'aboutissement du travail humain, permettant le retour au Père qui le touche dans le 10. Il est donc achèvement, perfection des mondes créés, d'autant plus, qu'il est réduction théosophique de 18, premier niveau de l'univers spirituel selon l'ange (cf. paroles_d_ange.htm#par). C'est pourquoi, nous dit Annick de Souzenelle :


"Dans le 10, l'Homme atteint à la déification en retrouvant la source à laquelle se réintègre avec lui le cosmos tout entier, mondes visibles et invisibles. Mettant au monde l'enfant divin, le Yod, il atteint en Hé-Vav-Hé son propre noyau et devient son NOM. Tous nos NOMS, germes de Vie dans lesquels Elohim souffle l'Adam (Genèse II, 7), sont contenus en Hé-Vav-Hé."

Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel)..


Pour Annick de Souzenelle, la déification de l'homme est l'aboutissement normal de son évolution, par la conquête de son NOM.
Y en conclut que s'être découvert Dieu, fils prodigue du Père, n'était donc pas une hérésie par rapport à cette logique séphirotique, c'était simplement le fait d'avoir accompli son NOM. Et, lui, qui, à cette occasion avait découvert que Abouhey lu dans le sens hébraïque donnait Yehouba et signifiait Temple, maison, fille, pupille de Dieu (cf. auteur.htm#yhvbh), découvrit encore, que Bouhey, son nom, lu dans le sens hébraïque, faisait apparaître

Y : le Yod,
he évoquant Hé, signifiant souffle,
la conjonction (le Vav = et) des deux Hé (= souffles) de Yahweh, à travers Bouhe incluant he (= Hé),
Bouhe, signifiant souffle en gascon, comme Hé.

Revenons sur le double 5 donné par les deux Hé de Yahweh (cf. #55), qui évoque 55 : Lui aussi se retrouve, comme par asar, dans le pont résurrectionnel unissant, selon la tradition prophétique et les signes de Y, l'arrestation de Varennes à la Vème République de 1999, ce qui confirme pour Y l'idée d'une arrestation par la volonté de Dieu :

55 est dans la mort de Mozart, le 5.12.1791 à 0h 55, Mozart donné à Y comme le guide spirituel de la résurrection monarchique (cf. interpretation.htm#mozart et interpretation.htm#temple) ;
Varennes est dans la Meuse de numéro 55 ;
55 termine l'espace symbolique du 47 au 57 de la rue de Varenne, reliant l'ambassade d'Italie, pays de l'Etat du Vatican et l'Hôtel Matignon, lieu du gouvernement de la France (cf. jacques_chirac.htm#del) ;
de 47 à 57, il y a 10 numéros, total des deux chiffres de 55 ;
1999, l'année de Résurrection du "grand Roy d'Angolmois" se situe sous la présidence du Vème Président de la Vème République, ce qui évoque un double V, d'où 55 ;
la valeur numérique du nom de Jacques Chirac, le Vème Président de la Vème République, est... 55 par 22 + 33 (cf. jacques_chirac.htm#22).




3.- MULTIPLES PAR 9 DE 1 A 111,
PAROLES DE L'ANGE,
ET ARBRE SEPHIROTIQUE D'ANNICK DE SOUZENELLE

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Dans la suite de son ouvrage, Annick de Souzenelle représente l'Arbre de Vie, Arbre des Séphiroth, pluriel de Séphirah, "sepher" étant le livre contenant la Tradition, ce qui ne pouvait pas manquer de rappeler à Y le nom, figurant en tête de ce fichier, de celui qui l'initia à la connaissance de la symbolique et qui fut à l'origine de sa découverte de Scriptoral : Yochk'o Seffer.

L'Arbre de Vie est construit à partir de la jonction de 10 Séphiroth., au-dessus desquels la tradition kabalistique place

"Ain
Ain Soph
Ain Soph Aor"


ce qui n'a rien d'étonnant pour une tradition qui enferme la lumière dans la pyramide à l'endroit et close.

"Ain Soph Aor" signifie "l'infinie lumière",
"Ain Soph" qui le domine signifie "sans fin, infini", ce qui peut encore se concevoir,
mais "Ain", tout en haut signifie "Rien" : on peut se demander comment la lumière qui est en dessous peut être infinie, si, plus haut il y a "Rien" qui la finit !

C'est pourquoi Y pensa, que cet Arbre de Vie de la kabale hébraïque était appelé à évoluer, d'autant plus, que, le regardant dans la représentation d'Annick de Souzenelle (cf.#ain)...




Fig. 4 : L'Arbre des Séphiroth,
d'après Annick de Souzenelle in
"Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel),
- les liaisons jaunes, sont tirées d'un Arbre séphirotique extrait d'Oedipus Aegyptiacus
(Athanase Kircher, Rome, 1652.)

...il fut étonné par les correspondances qu'il découvrit avec son tableau des multiples par 9 de 1 à 111 (cf. #tab). Les quatre premières furent celles-ci :

Multiples par 9


Séphiroths

(9 x) 10 = 90>>>>>>>>>>>
(9 x) 37 = 333>>>>>>>>>>
(9 x) 74 = 666>>>>>>>>>>
(9 x) 111 = 999>>>>>>>>>

>>>>>>>>>>>>>Retour à l'Un
>>Tipheret - Coeur - Beauté
>>>>>>>>Yesod - Fondement
>>>>>>>>Malkuth - Royaume


A partir de là, il représenta son tableau numérique en correspondance avec l'arbre des Séphiroths (cf. #cor) :


Résolution d'écran pour voir le tableau en entier : 1280 x 1024



Fig. 5 : Correspondance établie par
Y
entre son tableau des multiples par 9 de 1à
111
et l'arbre séphirotique
d'Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).






4.- DEUX REPRESENTATIONS
DES SEPHIROTH :
- VERTICALE
- TRIANGULAIRE

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REPRESENTATION VERTICALE
DES SEPHIROTH
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A côté de cette lecture triangulaire des 10 séphiroths issue de #ain sur laquelle nous reviendrons en détail, l'auteur propose une lecture verticale, où deux triades latérales entourent une colonne centrale de 4 séphiroths, ce qu'
Y représenta ainsi :





Fig. 7 : Représentation verticale des 10 séphiroths
selon une lecture proposée par
Annick de Souzenelle
in "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


Annick de Souzenelle voit à droite "le bras droit de Dieu", contenant Sagesse, Miséricorde, Victoire puissante, et à gauche son "bras gauche", composé d'Intelligence, Justice rigoureuse et Gloire majestueuse, avec, au centre, la colonne de l'équilibre : Couronne, Beauté, Fondement, Royaume. Cette colonne centrale est l'épée du Verbe de Dieu, le déploiement de son Nom (cf. #yod) :

 
10
 
5
 
5
 
6
 


au total, lui aussi 16 (10 + 6) et aux deux tranchants latéraux, les deux "Hé" de valeur 5.

Cet ensemble aligne verticalement les séphiroths de la manière suivante :
















soient 3 + 4 + 3, ce qui, pour la première fois dans Scriptoral, fit apparaître à
Y le nombre 343, qui est le cube de 7, autrement dit :

3 + 4 + 3 > 343 = 7 x 7 x 7 = 73

alors que 666, 888, 999 s'étaient déjà signalés à plusieurs reprises à
Y

comme multiples de 111,
et par le produit des 3 chiffres qui les composent (6x6x6, 8x8x8, 9x9x9) ou par le cube de l'un d'eux (63, 83, 93), ce qui revient au même.

Voyant que la suite des cubes de 6, 7, 8, 9 était maintenant complète (cette suite symbolisant pour lui l'achèvement du travail humain dans la croix de Saint André, et pour A. de Souzenelle la vie de l'homme, de la formation à la mort), Y décida de regarder ce que lui donnait la succession de leur cube en Scriptoral, et il trouva :

666 > 63 = 216, qui contient 21.6, date de l'arrestation de Varennes ;
777 > 73 = 343, composé des nombres 3, 4 et 3, qui est celui des séphiroths formant le verbe de Dieu aux deux tranchants latéraux (les deux Hé), cf. #keth ;

888 > 83 = 512, qui relie Mozart, le Temple, et la monarchie française, cf. interpretation.htm#temple ;
999 > 93 = 729, composé des chiffres de 279 et 792, années 1279 et 1792 du IIème millénaire de l'ère chrétienne reliant, via 512/513, Temple, monarchie et Mozart, cf. interpretation.htm#temple.

Y en conclut, que (parce qu'il exprimait l'organisation même de l'Arbre de Vie, en étant le début de l'achèvement 73-83-93 reliant la monarchie française au Temple et à Mozart) 73 fondait cette relation sur l'Arbre de Vie hébraïque lui-même, ce qui était un nouveau signe de la survivance monarchique d'origine davidique, et cela, d'autant plus que ses signes lui donnaient 666 comme fondement (Yesod) à cet achèvement, cf. #ain,

666, dont le produit des trois 6 est le cube d'un nombre symbole de la formation de l'homme,
666, dont le produit des trois 6 est 216, faisant apparaître 21.6, date de l'arrestation de Varennes, date liée à celle de la naissance de Y, le 16.2, puisqu'elle en réorganise l'ordre 1-6-2 des chiffres en 2-1-6.


C'est dire, pour Y, que le 10 (le Yod, la Révélation divine, c'est à dire l'Apocalypse) résultant de cet enchaînement 63-73-83-93 a pour genèse l'arrestation de Varennes et l'exécution de Louis XVI, de ce XVI qui apparaît en hauteur et en largeur dans l'écriture numérique même du Nom de Dieu donnée par Annick de Souzenelle :

 
....10
   
5
.+.. 6
+ 5
= 16
 
   
 
= 1 6
   

C'est pourquoi, pour Y, la croix de Saint André de Scriptoral (cf. #cro), affichant 1...6789, c'est d'abord

1
6
ou
16
789 1789

genèse du chemin à parcourir jusqu'en 1999, ou plutôt "mil neuf cens nonante neuf sept mois" cf. interpretation.htm#ava.






REPRESENTATION TRIANGULAIRE
DES SEPHIROTH,
SES CORRESPONDANCES
AVEC LE TABLEAU NUMERIQUE DE
Y
Retour à 4


GRANDE FACE DIVINE
(les 3 séphiroth supérieurs)

Revenons maintenant à la représentation triangulaire des séphiroths et à sa correspondance avec le tableau numérique ci-dessus, cf. #tab.

Le premier aspect divin à se faire connaître, c'est la Couronne, elle est ouverte comme Scriptoral, la pyramide inversée, et pose sur la triade supérieure des séphiroths, celle de la transcendance divine. Voici ce qu'en dit A. de Souzenelle :


Kether

(Couronne)
Binah

(Intelligence)
Hokmah

(Sagesse)

"Ces trois premières séphiroth, unies sans confusion, distinctes sans séparation, sont appelées "Grande Face Divine"."

Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


Et voici la correspondance de cette première triade avec le tableau numérique :




Fig. 6 : Correspondance établie par
Y
entre le haut de son tableau des multiples par 9 de 1 à 111
avec la Couronne et la Grande Face Divine
représentée par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in
"Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


On y remarque, dans Kether, la Couronne, les unités de gauche descendant dans les 5 chiffres 1-2-3-4-5, et les dizaines remontant dans les 5 chiffres 5 (de 54) - 6 (de 63) - 7 (de 72) - 8 (de 81) - 9 (de 9, qui n'est plus une dizaine), pour déboucher sur le 10 du Retour à l'UN : (9 x) 10 = 90.
Ces deux 5 donnant le 10 du Yod ne sont bien sûr pas sans évoquer et le 55 précédent, et les deux de Yahweh, d'autant plus qu'en bas de la Couronne un 6 (celui de Vav ?) - cf. #yod - les sépare :


5=45-
6=54
Hé-Vav-Hé
5 - 6 - 5


Quant à la triade située sous la couronne, on remarque que les multiplicateurs de 9 à gauche descendent continuement de 10 à 16 pour remonter tout aussi continuement de 17 à 20, puis discontinuement de 20 à 99, multiple par 9 de 11, ce qui ne manque pas d'intérêt :

99, qui évoque 1999, l'année fatidique de résurrection royale et divine, touche, comme par asar, (9x)10=90, correspondant à Kether - la Couronne, la séphirah du retour à l'UN, alors que la réduction théosophique de 1999 est précisément 1 par 28 et 10 ;
16 et 49, à proximité des séphiroth Binah (Intelligence) et Hokmah (Sagesse) entourent ce qu'Annick de Souzenelle appelle "la matrice de l'Etre Divin" (cf.#ain), or, l'interprétation des paroles de l'ange par
Y le conduisit, en paroles_d_ange.htm#par et paroles_d_ange.htm#hyp, à montrer que l'évolution spirituelle de l'être allait de la passerelle des niveaux 16-18 au niveau 49.


Le premier nombre succèdant à 16 dans le tableau #cor est 21 et il est intéressant de souligner à quel point 21 est lié au 16 de Louis dans la mort de la monarchie qu'il représente (et dans sa Résurrection ?) alors même que la mort enfermera Marie-Antoinette dans le 16 d'un mari dont elle ne cessa de s'éloigner au temps de sa splendeur :

Louis XVI est arrêté à Varennes le 21 Juin 1791, au solstice d'été ;
La monarchie qu'il représente sera abolie le 21 Septembre 1792, à l'équinoxe d'automne ;
Louis XVI sera décapité le 21 Janvier 1793, jour d'entrée dans le signe du Verseau ;
Marie-Antoinette sera décapitée le 16 Octobre 1793 ;
Y, est né dans le 21 (Côte d'Or), le 16.2.49, avec une fête le 16.7, qui passera au 9.9 en 1971 ;
Pour Y, "l'avant-apres" de la résurrection du "grand Roy d'Angolmois" débutera le 21 Mars 1999 (cf. interpretation.htm#ava), jour de l'équinoxe de printemps, et ce 21.3 sera le coup d'envoi et la clé de son interprétation du quatrain nostradamique sur 1999.


PETITE FACE
(les 7 séphiroth inférieurs)
Venons maintenant aux deux triades inférieures :


Din

(Justice - Rigueur)
Hesed

(Miséricorde)
Tipheret

(Beauté - Coeur divin)
Hod

(Gloire - Majesté)
Netzah

(Victoire - Puissance)
Yesod

(Fondement)
Malkuth

(Royaume)



Voici ce qu'Annick de Souzenelle dit des 7 séphiroth inférieurs :



" Les sept suivantes ou sept séphiroth de la construction, sont appelées "Petite Face". Elles sont les archétypes de la Création sur lesquels se structurent les sept jours de la Genèse. Elles comprennent deux triades inversées par rapport à la première et Malkuth."


Annick de Souzenelle, "Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


Commençons par la correspondance de la première triade de la Petite Face avec le tableau numérique
#tab :




Fig. 6 : Correspondance établie par Y
entre le second paragraphe
de son tableau
des multiples par 9 de 1 à 111 (#tab)

avec la Petite Face
représentée par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in
"Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


Cette triade débute donc avec le nombre 21 (cf. #lep) à proximité de la séphora Din de Justice et de Rigueur, issue de celle d'Intelligence (Binah), à proximité de laquelle se trouvait le nombre 16. Elle oppose les nombres 189 - (9x)21=189 - et 981 touchant à Hesed-Miséricorde, nombre qui évoque pour
Y 1981, l'année d'élection de François Mitterrand à la 4ème présidence de la Vème République, une élection qui se fit sous le signe de la suppression de la peine de mort, et d'une miséricorde d'avocat ayant besoin d'être équilibrée par la Rigueur et la Justice (Din) du juge.

Les multiplicateurs 91 et 99 entourent la porte des Dieux, porte de la naissance de l'Etre divin. Comme par
asar, ils évoquent 1791 et 1999, c'est à dire les dates de mort de Mozart, d'arrestation de Louis XVI et de résurrection du "grand Roy d'Angolmois" menant, selon les signes de Y, de la source de la conception de Chyren, lieutenant du Christ et donc Etre divin, à la résurrection monarchique qu'il incarne.

La ligne contenant (9x)31=279, (9x)81=729, (9x)88=792 et (9x)108=972 est très intéressante. Elle entoure la matrice de l'Etre spirituel, et, pour
Y, 31 et 279 y lient Mozart au Temple et à la monarchie (31 ans est l'âge où il déclara, dans sa correspondance, la mort sa meilleure amie et 1279, la date où la monarchie donna aux templiers l'enclos du Temple, qui sera l'antichambre de sa mort) ; 81, 88 et 792, lui donnent 1981, 1988, 1792, les deux dates d'élection de François Mitterrand et la date d'abolition de la monarchie, ce qui rappelle le lien Robespierre - Mitterrand (cf. mythe_errant.htm#rob) ; 972, c'est 1972, la naissance de la recherche scriptorale à Dakar et 108 pourrait bien être le nombre des prétendants Louis XVII ou descendants, à cette époque !... Pour finir, remarquons que la valeur numérique se trouvant vers Tipheret-Coeur-Beauté est 333 moitié de 666, touchant à Yesod-Fondement.


La triade inférieure aboutit à Yesod-Fondement. C'est, pour A. de Souzenelle, l'ensemble uro-génital, source de procréation :



Fig. 7 : Correspondance établie par Y
entre le troisième paragraphe
de son tableau
des multiples par 9 de 1 à 111 (#tab)

avec la seconde triade de la Petite Face
représentée par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in
"Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).


Les multiplicateurs touchant aux séphiroth sont :

41
107
de réduction
théosophique :
5
8
74
2


Ainsi placés, 5-8-2 opposent les seconds chiffres du Fils (5) et de l'Esprit (8) pour les faire aboutir au second chiffre du Père (2) dans l'ordre descendant de la poutre verticale de la croix du Christ (Cf. double_croix.htm#123 et #cro). Ils révèlent donc, entre 5 et 8 l'opposition, d'une part, de "Hod-Gloire-Majesté", reflet de "Binah-Intelligence" et "Din-Justice-Rigueur" et, d'autre part de "Netzah-Victoire-Puissance", reflet de "Hockmah-Sagesse" et "Hesed-Miséricorde".

Cette opposition donne naissance à "Yesod-Fondement", et il est très curieux de remarquer que, entre "Hod" et "Netzah", (9x)41=369 et (9x)107=963 comme (9x)71=639 et (9x)77=693 (qui entourent la "Porte des Hommes" où naît l'Etre spirituel) ont pour centre (9x)74=666, puisque :

41 + 33 = 74 = 107 - 33,
71 + 3 = 74 = 77 - 3,
369 + 297 = 666 = 963 - 297,
639 + 27 = 666 = 693 - 27.
74 a donc deux faces : d'un côté (en son achèvement ?) il donne 666 et le nombre de la Bête de l'Apocalypse, symbole du pire, et, de l'autre (en son début ?) il ouvre sur le meilleur : l'Homme du spirituel au divin. Voilà pour Y une seconde raison expliquant que ce nombre le relie à son ascendance et à sa descendance, et celles-ci à Louis XVI et à sa fille (cf. #666).

Reste "Malkuth-Royaume", où se déversent toutes les énergies divines, le total achèvement du créé. Comme par asar, le touche le nombre 999, donné par Nostradamus à l'année qui vit la résurrection du grand monarque dans le IIème millénaire de l'ère chrétienne.



Fig. 8 : Correspondance établie par Y
entre le quatrième paragraphe
de son tableau
des multiples par 9 de 1 à 111 (#tab)

avec "Malluth", au bas de la Petite Face
représentée par Annick de Souzenelle (cf. #ain)
in
"Le Symbolisme du Corps humain" (Ed. Albin Michel).



Et (9x111)=999, touchant à "Malkuth",
est la somme
de (9x)37=333, touchant à "Tipheret",
et de (9x)74=666, touchant à Yesod,
ce qui va amener
Y à aller beaucoup plus loin.





5.- NOUVEL ARBRE DE VIE
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En effet, remarquant :

que sa pyramide de l'interprétation s'ouvrait comme "Kether-Couronne",
que "Malkuth-Royaume", où se déversent toutes les énergies divines, correspondait tout à fait au centre de la sphère de Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral)
que "Kether" et les trois triades étaient 4, comme les pyramides des cycles créateurs,
que les pyramides inversées étaient 3 comme "Kether" et les 2 triades inversées,
et que la pyramide de la composition était la seule à être pointe en haut dans les cycles créateurs, comme la triade de la "Grande Face divine" était la seule à avoir cette orientation dans l'Arbre de Vie,

Y fit correspondre "Kether" et les 3 triades de l'Arbre de Vie
aux 4 pyramides de
composition-interprétation / destruction-transformation
du cycle créateur (cf. pyramide.htm#sol), ce qui donna :




Fig. 9 : Correspondance établie par Y entre la figure 4 ci-dessus (#ain)
et l'enchaînement composition-interprétation / destruction transformation
du cycle créateur de Scriptoral (cf. pyramide.htm#sol).

Mais, pour que la correspondance soit totalement exacte, il fallait donner à cet Arbre de Vie la forme d'un cycle créateur pyramidal, ce que Y réalisa, non sur l'Arbre de Vie lui-même, mais sur le tableau numérique qu'il lui fit correspondre, ce qui donna :





Fig. 10 : Réorientation du tableau numérique ci-dessus (cf. #tab)
dans sa correspondance avec l'Arbre de Vie d'Annick de Souzenelle (#ain2)
suivant la forme de l'enchaînement
composition-interprétation / destruction transformation
du cycle créateur de Scriptoral (cf. pyramide.htm#sol).

Y se demanda alors si cette transformation était justifiée, et vit qu'elle l'était pleinement pour deux raisons :

premièrement, les deux triades inférieures correspondaient aux pyramides de destruction-transformation, or il y avait bien une destruction : celle du rectangle les unissant, et une transformation : celle de la situation de la triade inférieure ainsi que de l'orientation générale de l'ensemble :





Fig. 11 : "DESTRUCTION"
dans le rectangle unissant les deux triades inférieures,
"TRANSFORMATION"
sous la triade à relever et réorienter.


et surtout, deuxièmement, la somme des multiplicateurs de chaque ligne de #tab était constituée des nombres 1, 10 ou 100 ou de leur somme totale ou partielle multipliée totalement ou partiellement par 1, 2 ou 4 (11, 101, 110, 111, 211, 222, 444, 111 et ses multiples 222 et 444 étant majoritaires dans le tableau). Il y avait toutefois deux exceptions : 37, touchant à "Tipheret", et 74, touchant à "Yesod". Or, 37 + 74 placés sur une même ligne ou sur un même arc de cercle étaient égaux à... 111 (cf. fig. 12), signe pour Y que son cycle créateur pyramidal de composition-interprétation / destruction-transformation est bien le Nouvel Arbre de Vie, ce qui est on ne peut plus logique, puisqu'en se multipliant 4 fois il engendre ce que les signes lui donnent comme la Jérusalem Céleste, la Cité de Vie qu'il charpente, où sont précisément les Arbres de Vie !






Fig. 12 : Réduction des lignes de la figure 10 (cf. #10)
à la somme de leurs multiplicateurs.


Cette transformation de l'Arbre de Vie traditionnel engendrait donc une quatrième triade joignant les deux triades de la "Petite Face" triade formée de :


Tipheret

(Coeur-Beauté)
Yesod

(Fondement)
Malkuth

(Royaume)


Y
se demanda ensuite quelle relation cette configuration pouvait avoir avec le symbolisme du corps humain donné par A. de Souzenelle, où "Kether" est la Couronne :

"Kether", la Couronne, devient Interprétation pour Y,
"la grande Face divine", la Tête, devient Composition pour
Y,
"la petite face", 1ère triade inférieure, le thorax, aboutissant à "Tipheret", le Coeur, devient Destruction pour
Y,
"la petite face", 2ème triade inférieure, l'ensemble uro-génital, aboutissant à "Yesod", le Fondement, devient Transformation pour Y,
"Malkuth", les Pieds, devient la source centrale d'énergie entre Destruction et Transformation pour Y.

Il s'aperçut alors que cela correspondait à la position assise de la palabre africaine :

Interprétation y restait la Couronne,
Composition y restait la Tête,
Destruction y restait le thorax, mais avec "Tipheret", le Coeur, descendant au niveau de "Yesod", le Fondement, comme le souffle dans la respiration abdominale,
Transformation, par contre, y devenait le triangle "Yesod", Fondement - genoux, de l'homme assis, Pieds ramenés sous lui,
le centre énergétique y restait "Malkuth", le Royaume correspondant aux Pieds ramenés sous soi et aboutissement de "Tipheret" et de "Yesod".

Y se demanda encore quel pouvait être le sens de cette mise au même niveau du coeur et du sexe, et il découvrit que sans le coeur, le sexe plaçait l'homme au-dessous de la bête en rut, l'exact nombre 666 de la "Bête" apocalyptique, car, ce qui est du domaine des animaux n'est pas de celui de l'humanité, et devient apocalyptique, au pire sens du terme, quand elle s'y réduit. Par contre, lorsque le couple unit le coeur à la chair, "Tipheret" à "Yesod", 333 à 666, l'Amour à l'Instinct, il parachève l'acte procréateur en 999, il se place à la Porte de l'UN qu'est 1000 de réduction théosophique 1.

Mais, ce n'est pas tout.
Y s'aperçut aussi :

que le triangle de l'Interprétation (#12), correspondant à "Kether-Couronne", était de total 55 (1+11+11+11+11+10), nombre lié (cf#5et5) à Mozart, Varennes, la rue de Varenne et symbole des deux "Hé" représentant les deux tranchants de l'épée du Verbe de Dieu (cf. #keth), or Jésus est l'Interprète de l'Ancien Testament, le premier à avoir suprêmement manié cette épée, et, comme par asar, ce 55 se retrouve au lieu de l'Interprétation.

que 888 totalisait les nombres du triangle de la Composition (#12) correspondant à la "grande Face divine". Or, le produit de ses trois 8 donne 512 (cf. interpretation.htm#mor). 888 ne symbolise-t-il pas le plan, la Composition, de Dieu reliant Temple et monarchie via Mozart ? Voir aussi ce qui est dit de 8 en #789, la Composition n'est-elle pas très exactement, comme le nombre 8, une barrière-épreuve que l'interprète doit dépasser pour atteindre à une nouvelle "naissance, résurrection" ?

que 1902 (#12) totalisait le triangle de la Destruction séparant les deux triades inférieures. Or, curieusement, trois ans avant la loi de Séparation de l'Eglise et de l'Etat, en 1905, 1902 est l'année où le pape Léon XIII ouvre, entre autres, les archives du Vatican à la curiosité des chercheurs, ce qui, nous dit le Larousse, fit faire un progrès décisif à l'exégèse catholique. Mais... ces archives du Vatican : ne sont-elles pas le lieu où se trouve la clé du mystère Louis XVII, c'est à dire du Plan de Dieu sur l'évolution du pouvoir humain ?

que 2949 (#12) totalisait le triangle de la Transformation. Y y vit la jonction de 29 (inversion du 92 - 1792 - de l'abolition monarchique) et de 49, lié, selon ses signes, à la résurrection monarchique (cf. #222) ;

que ce triangle de la Transformation était, de plus, remarquable, et il en donna deux versions :

l'une de 9 lignes (#12), elle montre l'aboutissement de la Transformation au niveau de base de la Composition, ce qui correspond au travail de l'improvisateur - compositeur de base, qui ne filtre pas son inspiration comme le véritable compositeur, ce que montrent les départs des côtés : ceux d'un rectangle, et non d'un triangle qui se rétrécit par filtration au fur et à mesure de son élévation. Le Coran, qui refuse la filtration du verbe des prophètes est l'exemple de cette composition de base, à la différence de la Bible, composition filtrée ;
la seconde version a 8 lignes, associant les deux 222, elle fait apparaître six 444 et laisse la possibilité d'additionner 211 et 74 en 285 (cf. #13) :





Fig. 13 : Réduction à 8 des 9 lignes de la figure 12 (cf. #12).


444, c'est, selon Y, la poutre Mitte|D|rranD de la croix de Lorraine gaulliste (cf. 5eme_republique.htm#rep), qui équilibre la poutre verticale Charles De GaullE, symbolisée par 345 (3+4+5 = 12 = 4+4+4) (cf. nombres.htm#val).

Or ici, 444 s'élève verticalement par rapport à sa base, en se multipliant par 6 (nombre de la création divine de l'Homme selon A. de Souzenelle). L'association de 285 (nombre ascendant de la divine croix du Christ en #cro) et de ces six 444, c'est donc, pour
Y, la jonction de l'Homme et de Dieu, par la Volonté de Dieu.

Remarquons que 2664, la somme des six 444 du triangle de la Transformation, est une transformation de 666, le nombre de la Bête, où l'un des 6 extrêmes s'est divisé en 2 et 4, pour encadrer 66 : Une confirmation de l'ambivalence de 74 (cf. #74), d'autant plus que 2664, c'est aussi 36 fois 74, soit 6 fois 6 fois 74, 444 étant lui-même 6 fois 74 !...


Après quoi, il découvrit un nouveau signe : l'ensemble "Tipheret-Yesod-Malkuth" était de total 333 + 666 + 999 = 1998, et 1998 était l'achèvement de 222, puisqu'égal à 222 x 9. Or, 1998 était l'année de ses 49 ans, et 49 était le nombre :

de son année d'une naissance cyanosée aux forceps, comme si la "Bête" avait voulu l'arrêter là,
d'"Hockmah-Sagesse" dans la correspondance ci-dessus (cf. #hoc),
le nombre manquant rue de Varenne, entre le 47 de l'Ambassade d'Italie et le 57 de l'Hôtel Matignon (cf. jacques_chirac.htm#49),
le nombre du dernier niveau d'évolution spirituelle donné par l'Ange gardien (cf. paroles_d_ange.htm#par et paroles_d_ange.htm#hyp).

222, double de 111 touchant au règne et au sacre de Louis XVI, était , quant à lui, présent :

à Varennes (cf. varennes_va-a-rennes.htm#222), dans les 222 mètres séparant la maison de Préfontaines de la voûte de l'église, 222 mètres donnant 35 minutes aux poursuivants du roi par la Grâce de Dieu, pour l'arrêter sous la voûte de l'Eglise de Dieu, et donc, pour Y, selon la volonté de Dieu ;
dans les dates mêmes de l'arrestation de Varennes : 20-22.6.1791.

Mais, 222, "catalyseur (?)" de la chute de la monarchie, a une double face, puisqu'il accompagne aussi sa survivance :

il couvre au Donjon du Temple le probable échange de Louis XVII (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111)
il est lié (cf. #222) à Y que les signes disent Chyren.

222 et 49 sont donc liés par 1998 à Y, Varennes et la rue de Varenne, Louis XVI et la probable survivance de Louis XVII. C'est pourquoi, Y voit dans le 49 de Sagesse et de totale évolution spirituelle, lié au 16 d'Intelligence par ses dates de naissance et de fête (16.2.49, 16.7), le maillon manquant dans la rue de Varenne entre la Mère - Eglise, symbolisée par le numéro 47, et la Fille aînée - France, symbolisée par le 57, signe après tant d'autres, qu'il peut être l'artisan de la réconciliation : Chyren, le grand monarque.




6.- LOGIQUE DE L'APPAREMMENT ILLOGIQUE
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Y chercha ensuite si la suite apparemment illogique des multiplicateurs de #tab n'avait pas une logique cachée. Il plaça donc sur une même ligne les multiplicateurs 1 à 111 de ce tableau ayant pour produit des nombres composés des mêmes chiffres, et obtint une espèce d'aile d'oiseau en piqué, où il mit sur fond jaune les continuités les plus importantes : 1 à 9, 10 à 20 et 50 à 56. Il engloba cette dernière suite dans l'ensemble 47 à 57 représentant les numéros significatifs de la rue de Varennes (cf. jacques_chirac.htm#del). Cela donna #ill :





Fig. 14 : Sur une même ligne horizontale, les multiplicateurs 1 à 111 de 9,
dont les produits sont des nombres composés des mêmes chiffres (cf #tab)


Il y remarqua que :

la somme de 10, 11, 12, 13, 14, 15 et 16 était égale à 91, évoquant 1791 et donc arrestation de Varennes et mort de Mozart ;
la somme des nombres 17 à 20, séparant 16 de 21 dans la suite du tableau #tab, était égale à 74 : le chemin le reliant à son ascendance et à sa descendance, et se poursuivant dans l'association "Tipheret - Yesod" le liant, par-delà 666, à 999, 1998, 49 et 222 ;

Mais il s'intéressa surtout à la suite 47 - 57, où il découvrit :

une montée jusqu'à 49 mettant ce nombre en évidence ;
une plongée de 49 sur la suite 50 à 53 descendante, 50 évoquant pour lui la Voûte Cinquantenaire de la rue de Varenne et François Mitterrand, et 53, la clef de la relation 51-55 (cf. jacques_chirac.htm#49 et jacques_chirac.htm#53) ; il en déduisit en Juin 2000 qu'il resterait caché jusqu'à 53 ans. Relisant cela dans le récent été 2004 (nous sommes le 15 Octobre 2004), il s'aperçut que le présent site fut mis en ligne le 6 Décembre 2002, et qu'il commença à y parler de lui en 2003, or Y eut 54 ans le 16.2.2003 ;
une remontée 54-57, continue de 54 à 56 pour se propulser en 57 douze lignes plus haut, espace le plus grand séparant deux nombres d'une même colonne en #ill,
un parallèle entre le 55 de cette remontée et le 51 de la descente 50-53, quand 51-55 symbolisait au départ la distance Marne (51) - Meuse/Varennes (55) de la poursuite de la famille royale, ce qui avait été l'accélération d'une descente continue pour cette dernière, et qui, ici, se trouvait en descente-remontée, rappelant que 51-55 était aussi dans l'espace 47-57 de la rue de Varenne, où, là, il symbolisait pour Y la remontée de Chyren ;
un très étonnant total des nombres de la remontée, confirmant pour Y cette remontée de Chyren :



54 + 55 + 56 + 57 =... 222 !


222, dont l'achèvement 1998 correspondait aux 49 ans de Y, 49 ans lui ayant donné le numéro manquant de la remontée 47-57 de la rue de Varenne, 222 qui, ici donc, inversait les 222 mètres de Varennes, où se jouèrent en 35 minutes l'arrestation et la mort de la monarchie (cf. varennes_va-a-rennes.htm#pla et varennes_va-a-rennes.htm#222), 222 qui, ici, avait tout l'air d'être résurrectionnel, comme celui qui couvre probablement l'échange de Louis XVII (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111).



7.- AIN SOPH AOR
AIN SOPH
AIN

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Se rappelant la contradiction qu'il trouva dans le fait que "Ain Soph Aor", l'Infinie Lumière, aboutisse à "Ain", Rien (cf #ain), puisque Rien finirait l'Infinie Lumière, qui, du coup ne serait plus infinie, Y se dit que la seule vérité susceptible de justifier cela serait que Tout soit en Rien.

Or, l'arithmétique théosophique lui montrait que ce qui existait de toute éternité, ce n'était par Rien mais Tout. En effet, 1 étant la réduction théosophique de 10 comme de 10.000.000.000, nous avons :

9 + 1 = 10 > 1
9.999.999.999 + 1 = 10.000.000.000 > 1


9 ou infiniment de 9 est ou sont l'achèvement de la création, c'est le tout de l'homme, mais quand le Père se manifeste et lui ajoute son 1, le total se réduit théosophiquement à 1, c'est à dire que, quelque soit la multitude des 9, elle n'est que 0, c'est à dire Rien, en cette addition.

En fait, le tout de l'homme (9 ou 9.999.9...) est le Rien (0) du Père qui est 1, et qui, dans ce 1 est Tout lorsqu'il se manifeste. C'est dire que
le tout de l'homme est le Rien du Tout,
et donc que
l'Homme existe par purs Amour, Générosité et Gratuité du Père
contrairement à ce que dit le titre du film : "Dieu a besoin des Hommes".

Si le Père est 1, quand Alpha, et 10, quand Oméga, il est 11 (1 + 10) quand Alpha et Oméga, et... 111, quand Créateur ? 1, 11 et 111 étant de réduction théosophique 1, 2, 3, nous retrouvons bien, là, les chiffres du Père (cf. double_croix.htm#123).

Et Y constata que sa réorganisation de l'Arbre de Vie correspondait à cette conception par l'inversion de :

"AIN
AIN SOPH
AIN SOPH AOR"
en
"AIN SOPH AOR
AIN SOPH
AIN"
Il plaça "Ain", "Rien", sous Scriptoral qui lui est donné comme la représentation de la Jérusalem Céleste (cf. pyramide.htm#jer), "Ain Soph", l'"Infini", au bas de la pyramide et de la sphère, et "Ain Soph Aor", "l'Infinie Lumière", à partir de la sortie de sphère de cette Cité, dont les Arbres de Vie sont bien, comme indiqué dans l'Apocalypse, autour de la place centrale où se trouve le trône de Dieu et de l'Agneau, et d'où jaillit le Fleuve de Vie :


"Puis l'Ange me montra le fleuve de Vie, limpide comme du cristal, qui jaillissait du trône de Dieu et de l'Agneau. Au milieu de la place, de part et d'autre du fleuve, il y a les arbres de Vie qui fructifient douze fois, une fois chaque mois et leurs feuilles peuvent guérir les païens." (Apocalypse de Jean, 22, 1-2, in La sainte Bible, aux Ed. du Cerf.)

Cf. #15 :




Fig. 15 : Scriptoral et ses "Arbres de Vie"
(Préfiguration laïque d'une relation politique droite-centre / gauche achevée,
et spirituelle d'une Jérusalem céleste, synthèse judéo-christiano / islamique,
liée à la trimourti Brahma-Vishnu / Shiva indoue ;
char d'énergie-lumière : Mer-ka-bah égyptien, ou Merkavah hébraïque,
Scriptoral, en son carré au sortir de la sphère,
correspond aussi au mandala bouddhiste
(portes, artères, 4 carrés de bases pyramidales, diagonales)
le carré Sator s'y inscrit (cf. pierres_d_angles.htm#scr),
et 384, poutre horizontale de la double croix scriptorale, lue dans le sens du signe de croix catholique,
est le point de départ des 29 notes de l'Ame du Monde pour Platon (cf : 384.htm#384)

>>> Scriptoral = instrument de syncrétisme philosophico-religieux ?
voir l'apport des paroles de l'ange gardien enregistré par Norbert Monroe
en paroles_d_ange.htm#lap,
voir les Arbres de Vie en
arbre_de_vie.htm#15.)




Y
vit d'ailleurs une confirmation de sa conception dans les lignes qui suivent :


"De malédiction, il n'y en aura plus ; le trône de Dieu et de l'Agneau sera dressé dans la ville, et les serviteurs de Dieu l'adoreront ; ils verront sa face et son nom sera sur leurs fronts. De nuit, il n'y en aura plus ; ils se passeront de lampe ou de soleil pour s'éclairer, car le seigneur Dieu répandra sur eux sa lumière, et ils règneront pour les siècles des siècles." (Apocalypse de Jean, 22, 3-5, in La sainte Bible, aux Ed. du Cerf.)

Dans la Jérusalem Céleste, il n'y a pas de "Rien", il n'y a que Lumière, "Infinie Lumière", la face de Dieu Lui-même est visible, en Lumière donc, face de ce Yahweh, dont les hébreux n'osaient pas formuler le NOM.





7bis.- ARBRE DE VIE,
TRADITION MAYA & CONFIRMATION SCIENTIFIQUE
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Nouvelle confirmation : nous terminions, en 2011, le tournage des Dix-sept Saisons,

DVD - conte fantastique, où les seize temps des quatre cycles créateurs deviennent seize saisons (la dix-septième étant l'Eternité -, lorsque je lus un livre, qui m'avait été offert depuis plusieurs mois, intitulé  COSMOLOGIE MAYA ET THEORIE QUANTIQUE de Carl Johan Calleman (Ed. Alphée, 2010). J'y découvris que :
  • en 2003, le cosmologiste Max Tegmark et son équipe, ont mis en évidence l’existence d’un Axe Central de l’univers, en forme de vrille,
  • pour le biologiste Carl Johan CALLEMAN, cet Axe Central de l’univers correspond à l’Arbre de Vie des Anciens, et notamment des Mayas. Il se présente comme un halo tri - dimensionnel se reproduisant à de multiples échelles dans l’univers.

Je joignis les extrémités de ce halo tri-dimensionnel :

Jonction des extrémités d'un halo tri-dimensionnel

et m'aperçus que cela donnait les deux pyramides (Printemps - Etés des Dix-sept Saisons) de Formation - Composition, 0-I, puis de Transformation - Composition, IV-V, VIII-IX, XII-XIII, répétées cinq fois, la cinquième étant le passage déterminant XVI-XVII, menant à ce qui paraît être la Jérusalem céleste, passage qui bloqua dans notre histoire entre les Louis au pouvoir qui ne réussit plus à être pyramidal à l'endroit (pour cette raison ?)







Scriptoral et ses "Arbres de Vie", toujours




Par ailleurs, en ce qui concerne la relation à l'axe central de l'univers en forme de vrille, mise en évidence par Max Tegmark, vous pouvez remarquer que, avant d'arriver à Scriptoral, les quatre arbres de vie s'élèvent en passant de l'un à l'autre dans un mouvement tournant, comme l'aboutissement d'une vrille...

Ceci dit, si ce halo tri-dimensionnel se reproduit à de multiples échelles dans l'univers, de l'ADN à la totalité de cet univers, il est tout à fait normal qu'on le retrouve dans la relation des trois formes d'esprit, qui meuvent l'humanité. C'est le contraire qui serait anormal !

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8.- 56 x 111 = 6216
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Envisageons, avant de terminer, la somme théosophique de 111, c'est à dire la somme de tous les multiplicateurs de #tab (1+2+3+4+... jusqu'à 111), autrement dit de 55 (Interprétation) + 888 (Composition) + 1902 (Destruction) + 422 (Lumière centrale) + 2949 (Transformation)

Elle donne le nombre 6216, qui fait apparaître au premier abord 6 et 216, lequel est le cube de 6, multiplication des trois 6 de 666, le nombre de la Bête, mais dont Y finit par trouver qu'il est 56 fois 111, c'est à dire 56 fois l'acte créateur alpha (l'acte créateur oméga étant 1110 : 111 fois 10), nombre à nouveau très intéressant, puisque c'est la fin du dernier creux de vague précédant 57 (cf. #ill).





9.- LE SIGNE DE LA FIN
211, le 16.10.2004

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Les signes de Y se sont raréfiés depuis qu'ils sont ici publiés. Toutefois, nous sommes arrivés à un tournant du site, puisque le présent fichier est le dernier à faire partie du projet de départ avec quelques 124 (?) autres. Si les signes ont une valeur, question posée par ce site, il n'y a rien d'étonnant qu'ils soient au rendez-vous de cette fin, comme c'est le cas.

Pour le comprendre, il faut citer ce que Y écrivit, en Juin 2000, dans les textes qui servirent de base à ces pages internet :


"En fait, "Malkuth" est centré sur le nombre 211, total de son supérieur 100 et de son inférieur 111, ce qui donne à ce nombre 211 une importance centrale dans le Royaume, alors qu'il m'est apparu jusqu'à présent comme un nombre anecdotique..."

En effet, si l'on regarde "Malkuth-Royaume" en #8, on s'aperçoit que, cruciformément, non seulement en hauteur dans la somme de 100 et 111, mais aussi en largeur dans celle de 101 et 110, apparaît 211, nombre qui se retrouve à trois reprises dans les triangles Destruction et Transformation avec 111, 222 et 444 (cf. #13). Or, on a vu comment, pour Y, 111 était lié à Louis XVI et à l'acte créateur divin, 222 à Louis XVII et 444 à la barre Mitte|D|rranD de la croix de Lorraine gaulliste (symbole, dans la Vème république, de l'ouverture de l'esprit de l'aristocrate Charles de Gaulle hérité de l'Ancien Régime, à l'esprit de la gauche improvisatrice, hérité des révolutionnaires qui renversèrent ce régime en 1792, dans les personnes de Louis XVI, Marie-Antoinette et Louis XVII), mais on n'a rien trouvé pour 211. Eh bien ! c'est précisément cette réponse que va apporter à Y ce signe de la fin : car nous sommes le 15 Octobre 2004, veille du 16 où sera vérifié ce site, et le 16 Octobre 2004 est le 211ème anniversaire de la décapitation de Marie-Antoinette !...

C'est donc Marie-Antoinette que représente pour Y 211, Marie-Antoinette, dont il est dit en #lep que la mort l'enfermera "dans le 16 d'un mari dont elle ne cessa de s'éloigner du temps de sa splendeur", et Marie-Antoinette, qui, comme par asar, se trouve ici, à la date du 211ème anniversaire de cette mort, équitablement partagée entre le 2 du 222 de son fils et le 11 (de réduction théosophique aussi 2) du 111 de son époux, après avoir eu une importance centrale dans le royaume de Louis XVI, et avoir largement contribué à le mener à sa perte

Suite : voir En conséquence.




Tous les fichiers prévus dans le projet initial du
6 Décembre 2002

sont en ligne
aujourd'hui,
16 Octobre 2004,
211ème anniversaire
de l'exécution de Marie-Antoinette


A. Bouhey

 
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