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Jacques Chirac a entamé, il y a un peu plus d'un an, un second
mandat présidentiel, qui ne pourra pas être aussi long
que celui de François Mitterrand, son prédécesseur,
la durée en ayant été réduite à cinq
ans. Et il se trouve que, toujours très curieusement, dans la
perspective d'une résurrection du "grand Roy d'Angolmois"
enracinée en "l'an
mil neuf cens nonante neuf sept mois", plusieurs signes associés
à son nom ne manquent pas d'intérêt.
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C'est un homme affichant une
volonté de lien, puisqu'il fit sa première campagne
électorale sur le thème de la lutte contre la fracture
sociale. Lors des obsèques de François Mitterrand, bien
que gaulliste opposé à ce président socialiste,
ne le traita-t-il pas en ami, le plaçant sur un piédestal
dans l'hommage qu'il lui rendit ?
De toutes façons, le règne
mitterrandien le pousse à aller de l'avant, Ainsi, sa tentative
de retour à l'esprit gaulliste de la 5ème République,
au début de son premier mandat, avec un Premier Ministre Alain
Juppé "droit dans ses bottes" se solda par un échec,
qui lui imposa une longue cohabitation avec Lionel Jospin, le Premier
Ministre socialiste qu'il fut contraint de nommer, ce qui l'obligea
à tenir compte de la mort de l'esprit gaulliste dans la République
qu'il créa, pour son second mandat, au début duquel
se remarquent trois évènements intéressants :
- le RPR, Rassemblement
Pour la République, son parti d'obédience gaulliste,
devient l'UMP, Union Pour la Majorité Présidentielle,
ce qui le recentre sur un Jacques Chirac plus autonome ;
- Jean-Pierre Raffarin, nommé Premier Ministre est un
homme de la "France d'en bas", ce qui indique bien
le souhait du Chef de l'Etat, de repartir du niveau du sol,
opposé à l'élévation gaulliste,
le niveau de l'ouverture mitterrandienne ;
- ce faisant, il s'oppose au choix américain d'une seconde
Guerre du Golfe, et redonne à notre pays une stature
internationale que la politique de son prédécesseur
lui avait fait perdre ;
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tout cela allant donc dans
le sens du lien et de la synthèse de Gaulle -
Mitterrand, sur les plans de l'ouverture et de l'élévation.
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Le nom de Jacques Chirac a pour valeur numérique
totale de ses lettres :
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JACQUES CHIRAC
= 22 + 33 = 11(2 + 3) = 55 (cf. nombres).
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Ce nombre est très intéressant
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- d'une part, ses deux 5 correspondent au rang du 5ème
Président de la 5ème République
;
- d'autre part, dans la perspective nostradamique d'une résurrection,
sous le premier mandat de Jacques Chirac, du "grand Roy
d'Angolmois", qui a signé son arrêt de mort
avec Louis XVI à Varennes, 55 est le numéro
de la Meuse, c'est à dire de Varennes.
- ajoutons une découverte récente (avril 2005)
: L'Elysée se trouve 55, rue du faubourg Saint-Honoré
!...
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Or, non seulement l'arrestation de Varennes est puissamment symbolique,
comme cela a été rapidement évoqué en Auteur,
mais, de plus, elle a une correspondance dans la capitale même
de notre pays avec la rue de Varenne, bien que celle-ci n'ait pas
de "s". Ce nom est celui de la varenne du Louvre, lieu marécageux de chasse royale
réservée, d'où est parti Louis XVI pour Varennes.
Ainsi, de chasseur en sa varenne, il est devenu
gibier chassé, arrêté à Varennes, une inversion
des rôles à lier avec les inversions de la rue de Varenne
(cf. représentation), et l'inversion de
pouvoir entre monarchie (pouvoir d'un seul représentant temporel
de Dieu dans son aboutissement absolutiste) et république (pouvoir
de tous dans son aboutissement démocratique).
Si l'on regarde de plus près, on est surpris par la force des
correspondances entre la rue de Varenne et le voyage Paris-Varennes
:
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- Comme on le sait, le roi fut arrêté sous le
porche de l'église de Varennes. Eh bien ! le Saint
des saints de la rue de Varenne est la cité de Varenne,
une impasse perpendiculaire à cette rue. On y entre
par une voûte, la Voûte Cinquantenaire, sise entre
le 47 et le 51 de la rue de Varenne ; et cette voûte
est adossée à l'ambassade d'Italie, pays où
se trouve le Vatican, l'état de l'Eglise.
La Voûte Cinquantenaire est donc en quelque sorte la
réplique de la voûte de l'église de Varennes,
elle paraît remplacer le numéro 49 qui n'existe
pas dans cette rue, tout en mentionnant le nombre 50.
- 47 et 10 (total des deux 5 de 55) nous amène au 57
de cette rue de Varenne, qui n'est autre que l'Hôtel
Matignon, le symbole du gouvernement de cette Vème
République dont Jacque Chirac est le Vème Président,
c'est à dire du gouvernement de la France, qui fut,
sous l'Ancien Régime, la "fille aînée
de l'Eglise".
- En somme, entre l'ambassade du pays de l'Etat de l'Eglise,
et le gouvernement de son ex -"fille aînée",
la France, il y a les numéros 51 à 55. 51, c'est
le département de la Marne et de Châlons-sur-Marne,
d'où partit la poursuite du roi et 55, celui de son
aboutissement : Varennes.
- Rappelons que, juste à côté de 51, il
y a le 50 de la Voûte... Cinquantenaire, qui est à
MITTERRAND ce que 55 est à JACQUES CHIRAC (cf. nombres),
et rappelons aussi, que les
mandats de François Mitterrand viennent juste avant
le "mil neuf cens nonante neuf sept mois" nostradamique
de la résurrection royale.
- C'est à dire que, entre la France républicaine
(Matignon au 57) et la France royale (fille aînée
de l'Eglise liée au 47), il y a, d'une part, l'espace
51 - 55, soit Châlons-sur-Marne - Varennes : précisément
le fossé qui sépara le peuple du roi, et qui
fit la République, et, d'autre part, les 50 et 55 de
François Mitterrand et Jacques Chirac : le règne
de l'ouverture horizontale populaire et le lien de ce dernier
avec l'élévation aristocratique gaulliste, enracinée
dans l'Ancien Régime, autrement dit, une amorce de
remède au fossé, susceptible de préparer
la résurrection nostradamique.
-
Ajoutons à cela, que le pouvoir républicain
ne siège pas rue de Varennes, avec un s, à qui
il doit son existence, mais rue de Varenne, chasse royale
réservée, au numéro 57, l'inverse du
75 du Paris républicain, comme l'était le Paris
royal, et nous voyons que, à travers le 55, valeur
numérique du nom de Jacques Chirac, se retrouve l'affirmation
d'un lien entre les deux principaux régimes, qui dirigèrent
la France.
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Dans
cette curieuse correspondance entre les numéros
de la rue de Varenne séparant la France républicaine
de son ex-mère et les numéros des départements
de la chasse au roi, source de la séparation,
il y a apparemment une faille : le numéro 53,
celui de la Mayenne, nous amenant aux portes de la
Bretagne, au lieu de se trouver entre la Marne et
la Meuse..
En fait, il n'en est rien, et c'est tout le contraire
qui se produit, un contraire susceptible de faire
de ce 53 la clé de la relation 51-55, et de
conforter une nouvelle fois
l'interprétation de ce site.
En effet, dans L'Enigme de Varennes, livre
de Charles Aimond (Les Editions Lorraines), on peut
lire ceci en note, avec une erreur de date sur la
nuit de l'arrestation (20-21 Juin au lieu de 21-22
Juin) : .
L'édition des Prophéties
de M. Michel Nostradamus (Lyon, Benoist
Rigaud, 1568), conservée à
la Bibliothèque municipale
de Bar-le-Duc, sous le n° 34.143,
porte au 1° 22 v° cette note
manuscrite : < Fuite de Louis XVI
avec sa famille et son arrestation
à Varennes la nuit du 20 au
21 Juin 1791 >. Voici le texte
visé par cette note :
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Centuries IX
XX
De Nuict viendra par la forest
de Reines
Deux pars voltorte Herne la pierre blanche
Le moine noir en gris dedans Varennes
Esleu cap, cause tempête, feu,
sang, tranche.
(...)
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En dépit du curieux rapprochement
suggéré par les mots soulignés
en italique ("Nuict", "forest",
"Varennes", N.D.L.R.), il
semble qu'il s'agit, dans le premier
quatrain (le quatrain ci-dessus, N.D.L.R)
de Rennes, d'Ernée-Saint-Pierre,
donc de la Bretagne."
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Me rendant à
Fougères pour un concert, j'eus la curieuse
surprise de découvrir qu'Ernée était
dans la Mayenne (notre 53), qu'Ernée -Saint-Pierre
n'existe pas, mais que, à une dizaine de kilomètres
au nord-ouest d'Ernée, se trouve la commune
de Saint-Pierre-des-Landes. Par contre, je passai
à 7 kilomètres d'une localité
au nom fort intéressant par rapport au quatrain
: Vautorte ! le "voltorte" du quatrain étant
orthographié "vaultore", "voltorte"
puis "vaultorte", au fur et à mesure
des éditions.
Ainsi, les deux premiers vers du quatrain citant Varennes
:
De
Nuict viendra par la forest de Reines
Deux pars voltorte
Herne
la pierre
blanche
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peuvent évoquer Ernée,
Saint-Pierre-des-Landes,
Vautorte, en Mayenne, dans le 53,
et Rennes, en Ille et
Vilaine, dans le 35
ce qui est l'inverse de 53,
comme la direction Paris-Rennes inverse la direction
Paris-Varennes.
Ainsi encore, un employé de la Bibliothèque
municipale de Bar-le-Duc, chef-lieu de la Meuse de
numéro 55, a remarqué, à propos
du quatrain IX, 20, citant Varennes, l'ambiguïté
qu'il y avait entre Varennes et Rennes, ambiguïté
résolue, en ce site, dans l'interprétation du quatrain X, 72, sur la résurrection du "grand
Roy d'Angolmois", qui lit Varennes en "Va-à-Rennes".
Ainsi enfin, entre 50 de MITTERRAND, 51 de la Marne
et 55 de Varennes et de JACQUES CHIRAC, 53
> 35 est La clef équivalente
à "Va-à-Rennes"
du voyage à Varennes, ce
qui est résumé en Auteur.
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DE LA
VARENNE DU LOUVRE
A
VARENNES-EN-ARGONNE |
|
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|
A
m
b
a
s
s
a
d
e
d
'
I
t
a |
|
C
i
t
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V
a
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n
n
e |
50
=
|
|
M
I
T
T
E
R
R
A
N
D
|
|
|
|
|
55
= |
|
22
+ 33
= |
|
J
A
C
Q
U
E
S
|
C
H
I
R
A
C
|
L'Elysee |
H
o
t
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l
M
a
t
i
g
|
|
l
i
e
|
n
o
n
|
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47
|
Voûte
Cinquante
naire |
51
|
53
|
55
|
57 (inverse de 75)
|
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>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> |
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Porche
de
l'église
de
Varennes
|
Varennes
|
53 ou 35
?
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Châlons
sur
Marne
|
Paris,
varenne
du
Louvre |
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55
|
53
|
51
|
75 (inverse de 57)
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Arrestation
du roi
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< |
Poursuite |
de |
Louis
XVI |
< |
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Départ du roi
|
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<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<< |
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En haut : représentation
approximative de la rue de Varenne à Paris, de l'Ambassade
d'Italie à l'Hôtel Matignon.
En bas : correspondances de lieux et de nombres avec le Paris-Varennes
du 21 Juin 1791, du départ du roi à son arrestation.
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Lire la représentation
ci-dessus du voyage initiatique du gouvernement de la France,
de l'arrêt de mort à Varennes de sa grande monarchie
à la résurrection de cette dernière, via
ses cinq républiques, à partir de "l'an mil
neuf cens nonante neuf sept mois", donné en ce site
comme le 18 Mars 2000 au Parlement de Bretagne de Rennes (cf. Interprétation),
de droite à gauche depuis "départ du roi",
en bas à droite, en remontant ensuite à gauche,
le long de "Eglise de Varennes", puis en tournant
à droite dans "Rue de Varenne".
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Il reste un signe ultime, et
non des moindres, reliant Jacques Chirac au "grand Roy d'Angolmois"
ressuscité : son nom.
En effet, ce roi doit s'appeler Henri V (un V qu'affirme le 55 de
l'actuel chef de l'état français), et Nostradamus parle
de lui, soit comme du "Grand Monarque", soit comme d'"Henryc",
qu'il transforme aussi en son anagramme : Chyren.
Or, le nom du président peut se décomposer en
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ac étant en latin, avec
atque, la conjonction de coordination "et". Dès lors,
Chirac peut se lire
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le début de son nom terminant
la Vème République (signe qui est bien sûr à
vérifier), pour que sa fin le relie à la grande monarchie
ressuscitée.
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Ainsi donc, il ne serait
pas impossible que Jacques Chirac soit la passerelle allant
de Charles de Gaulle (le plus grand des aristocrates français
du XXème siècle, enraciné dans la grande
monarchie française d'Ancien Régime) à
Chyren, le Grand Monarque ressuscité, passerelle entre
l'Eglise et la France, allant du 50 de MITTERRAND (la Voûte
Cinquantenaire de la rue de Varenne) au 55 de JACQUES CHIRAC (prédécesseur
du 57 de Matignon, 57 déjà inverse du 75 du Paris
républicain, comme la monarchie inverse la République).
Rappelons que François Mitterrand, lui-même, avait
déjà donné un signe dans le sens du retour
à l'Eglise, en mourant sous les protections de saint
François d'Assise et de sainte Thérèse
de Lisieux (cf. "Mythe
Errant" - Mythe Terrant).
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