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Après avoir présenté l'élévation
verticale et l'ouverture horizontale des formes d'esprit respectivement
gaulliste et mitterrandienne, la première chose qui attira
mon attention, ce fut de remarquer :
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- d'une part, que les
nombres de la barre Mitte(D)rranD,
4-(4)-4, étaient
symboles de parfaite égalité, horizontalité,
au niveau du sol, puisque, outre la répétition
du même chiffre 4, celui-ci est le nombre de la terre,
une terre que le nom Mitterrand porte en lui ;
- d'autre part, que ceux de la barre Charles
De
GaullE,
3-4-5, étaient le signe d'une élévation continue.
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Ajoutons à cela que :
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- si 4
est le nombre de la terre, 3
est celui du ciel, et le passage de Mitte(D)rranD
par le D de Charles
De
GaullE,
donne à cet homme de la terre "d'Angolmois"
préoccupé de Dieu 3
nombres 4, de total
12 à rt 3 comme
345, une égalité
dans l'opposition correspondant aux "deux rois"
de la Vème République notés par Jean
Lacouture (cf. Vie-MORT-VIE)
; 4, nombre du Fils
en "Double Croix"
où 4+4+4 =t 1+4+7, un fils turbulent , enfermé
dans la composition du père Charles de Gaulle, à
laquelle, à force de jouer des coudes, il donne sa
pleine dimension avec l'élargissement de la croix de
Lorraine, sans parvenir à en sortir ni à la
remplacer ;
- 345, quant à
lui, relié au 5 de cette République et de ses présidents,
à son caractère monarchique, à la prophétie
nostradamique de résurrection
du "grand
Roy d'Angolmois", à la pyramide
égyptienne... n'est pas un nombre anonyme : c'est le
triangle rectangle pythagoricien aux trois côtés 3-4-5, triangle isiaque
utilisé par les Egyptiens dans la chambre funéraire
du pharaon, dans les pyramides.
Il est égal à 69
fois 5,
et 69
est, selon Michel Morin
(in "Le Grand Monarque selon les Prophéties",
Louise Courteau éditrice), le nombre des rois de France
précédant le "grand
Roy d'Angolmois" ressuscité de Nostradamus
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"La France
a eu 69 rois, il
en manque un, pour parfaire le nombre sacré 70,
celui des 70 justes
d'Israël, des 70
nations de la Terre. Le 70ème et dernier roi sera le Grand Monarque."
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La 5e République
: une antichambre monarchique ?
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Voyant
dans ces premiers nombres plus qu'une correspondance avec les
formes d'esprit des Présidents concernés, je décidai
d'aller plus loin, et de regarder si les autres étaient aussi significatifs.
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Regardons donc maintenant les rt (*)
1-2-3-6-4 et 5-6-7-9-1du
dernier tableau ci-dessus. Elles correspondent
à l'ordre croix de Saint André - croix de Lorraine
et leur ordre est celui de la succession des présidents,
à une exception près : Charles de Gaulle, mais
sa position centrale s'explique par le fait qu'il est l'âme
de cette République (morte et donc en attente de résurrection
depuis François Mitterrand).
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Ordre des nombres :
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- Il est logique pour
5-6-7-9-1,
le 1
final étant à
la suite du 9
comme rt de 10, provenant du 55
(5+5 = 10 > 1+0 = 1) de JACQUES
CHIRAC.
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- Il n'est pas logique
pour 1-2-3-6-4,
où c'est, là encore, Jacques Chirac qui attire
l'attention, car 1-2-3-4-6
ne manque pas d'intérêt,
puisque c'est la succession des présidents de droite
centrés sur Charles de Gaulle.
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6-4 / 9-1 - 3-4 :
En somme, les nombres montrent Jacques Chirac (accusé
d'avoir fait voter François Mitterrand en 1981, après
avoir été le Premier Ministre du Président
sortant Valéry Giscard d'Estaing) comme un élément
mobile ; succèdant dans les faits à François
Mitterrand (6-4
/ 9-1), mais se situant d'abord
dans la continuité spirituelle de Charles de Gaulle (3-4).
N'est-ce pas l'image même de notre actuel Président
(nous sommes le 26.04.03) : gaulliste avec le RPR avant François
Mitterrand, essayant de l'être après avec Alain
Juppé (Premier Ministre restant "droit dans ses
bottes"), et devant subir pour son premier mandat l'héritage
mitterrandien (cohabitation avec Lionel Jospin), alors qu'il
centra le second sur lui-même en remplaçant le
RPR par l'UMP (Union pour la Majorité Présidentielle),
pour une nouvelle unité, un nouvel 1.
(Son premier thème de campagne ne fut-il pas "la
lutte contre la fracture sociale" ?)
3-6
: le rapport double 3-6
entre Charles de Gaulle
et François Mitterrand correspond, quant à lui,
parfaitement à l'ambivalence de François Mitterrand
et à sa duplicité notamment illustrée par
son double langage sur son état de santé. Elle
est de plus exprimée dans la croix de Lorraine par la
double barre horizontale qui lui est consacrée.
1-5-1 dans
1-(2-3-6-4)-5-(6-7-9-)1
: les rt 1
et 5 de Georges Pompidou sont les deux nombres initiaux des croix
de Saint André (1-6
- 7-8-9) et du Christ (5-2-3-4),
comme le coup d'envoi, après le départ de Charles
de Gaulle, du double rôle humain et divin de la Vème
République. ( Georges Pompidou fit ses premiers pas hors
de la voie gaulliste, en traitant avec la gauche de Mai 68, "semeuse de chienlit" pour le Général.)
A travers 1-5-1,
une boucle se boucle du 1
primitif de Georges Pompidou au 1
nouveau de Jacques Chirac.
3-6 - 7-9
dans 1-2-3-6-4
et 5-6-7-9-1 : Tout aussi curieusement,
on remarque, dans les deux suites de rt (*), une coupure
qui arrive avec l'improvisateur Mitterrand, comme dans les relations
composition-interprétation / improvisation et ses correspondantes.
Toutefois, 4-5-6-7-8-9,
toutes les rt principales et secondaires de François
Mitterrand (cf. tableau ci-dessus), présentent,
à partir du 4
de 4(4)4
(la barre Mitte(D)rranD),
une continuité ignorant les nombres 1-2-3
(cf.
"Double Croix" > Nombres de Pères-Fils-Esprits ) du père Charles de Gaulle dont il tue l'esprit,
recouvrant ceux 4-5-6
du fils interprète,
qu'en tant qu'improvisateur, il remplace et ajoutant les siens
propres 7-8-9
d'improvisateur.
Constatons que par une contradiction toute improvisatrice, les
rt (*) secondaires
de François Mitterrand, 7-8 et 4-5, comblent les trous
des suites 1-2-3-6-4
- 5-6-7-9-1 des
colonnes où ils ne sont pas.
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Autre lien entre CHARLES DE GAULLE
et le FrançoiS de François Mitterrand, le nombre 61,
inverse du XVI de Louis, une inversion que les deux présidents
ont réalisée chacun à leur manière
: François Mitterrand en se situant dans la continuité
des révolutionnaires de 1789, et Charles de Gaulle en
quittant la France pour l'Angleterre afin de prendre en mains
le destin de la France, lorsque Louis XVI prit le chemin de
Varennes.
Cette relation est d'autant plus intéressante qu'elle
passe par le prénom François de Mitterrand signifiant
français (cf. les "deux idées de la France"
de Jean Lacouture, in "Vie-MORT-VIE"
> "Homme d'égalité horizontale").
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Parmi les quatre nombres
de Georges Pompidou, se remarquent 1
et 86
: ce sont précisément
ceux de la barre de la croix de Saint André qu'il occupe (cf. ci-dessus) ! Par ailleurs, ce président
est célèbre pour avoir inversé le cours
des évènements de Mai 68
: 86
inverse 68.
Parmi les quatre nombres de Valéry Giscard d'Estaing
se remarquent 87
et 2, or
Valéry Giscard d'Estaing succèda à Georges
Pompidou comme 87
à 86.
Par ailleurs, 87
et 2 inversent
le sens d'évolution (1-6
-(2)- 7-8-9) de
la barre de la croix de Saint André qui est précisément
celle de Valéry Giscard d'Estaing (cf.
ci-dessus).
Mais ce n'est pas tout, l'inversion et la succession se retrouvent,
de manière significative, dans deux des quatre nombres
de ces présidents : 73
et 47. En
effet, 47
inverse 74,
l'année de prise de fonction de Valéry Giscard
d'Estaing, succèdant à Georges Pompidou décédé
de suites de maladie, et 74 succède à 73,
comme 87
à 86.
Valéry Giscard d'Estaing inverse donc son année
d'élection et le sens d'évolution de la croix
de Saint André menant à l'achèvement 7-8-9 (3 des 6 rt de François Mitterrand correspondant à
la destruction-transformation de l'esprit d'improvisation et
à la synthèse chiraquienne amenant le retour à
l'unité par 55).
Or, Valéry Giscard d'Estaing est l'homme du "oui-mais",
de l'avance-recul, qui alla vers ce qu'il refusait : l'élection
de François Mitterrand. Par ailleurs, il put s'estimer
trahi par Jacques Chirac, son ancien Premier Ministre, dont
le manque de clarté des consignes de vote favorisa l'élection
du président socialiste, deux raisons donc, pour Valéry
Giscard d'Estaing de s'opposer au sens d'évolution de
la Vème République menant, non seulement à
François Mitterrand, mais aussi à Jacques Chirac,
et de vouloir revenir à 74,
date de la mort de Georges Pompidou et de son élection,
comme 87
- 2 revient à 1
- 86, et de lire
74 en sens arrière, c'est à dire en 47.
73,
quant à lui, n'est bien sûr pas un nombre neutre
pour Georges Pompidou, puisque c'est celui de 1973 : sa dernière année achevée de vie et de
présidence.
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40 et
50,
de rt (*) 4
et 5,
les nombres des barres FRANCOIS et
MITTERRAND, et 55,
le nombre du lien JACQUES CHIRAC,
sont intéressants en ce que ces présidents sont
:
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- l'un,
le 4ème de la Vème
République (4
et 5
< 40
et 50),
- l'autre, le 5ème
de cette même Vème
République (5
et 5
< 55).
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55,
nombre de JACQUES CHIRAC,
est, lui, intéressant à d'autres égards
: son total 10 de retour à l' 1
initial, étant
déjà signalé, ajoutons seulement ici, pour
l'instant, en relation avec :
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- ce retour à
l'1,
- la résurrection du "grand Roy d'Angolmois" placée par Nostradamus dans cette Vème République,
- l'interprétation (cliquer) dans ce site du quatrain X, 72 qui parle de cette résurrection,
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que Mozart est mort le
5.12.1791 à 0h 55.
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