SOMMAIRE MUSIQUE 5eme REPUBLIQUE
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Vème REPUBLIQUE



La 5ème République le 30.5.1999, en forme de
Croix de Lorraine et de Saint André,
graphique que je réalisai le 30.5.1999.
(Cf. Nombres - cliquer -, pour découvrir l'étonnante correspondance entre ces croix et les nombres des
noms des présidents qui les forment).



Alain Bouhey
contact

La Vème République le 4.5..2017
cf. l_o_france.htm#nic
Voir aussi :
Varennes - "Va-à-Rennes"
Paris - varenne (du Louvre)
Rennes.Parlement Versailles - vers ailleurs


XVII.X.XVII
"Réussite" et retraite


Taxe d’habitation au moins maintenue,
CSG fortement haussée :
vous surtaxez,
Monsieur le Président,
les 20 % de retraités soi-disant aisés,
(à partir de 1200-1400 € / mois !)
car vous soutenez ceux qui, selon vous, « réussissent »…
Mais, êtes-vous bien certain de savoir ce qu’est la « réussite »,
et qu’elle ne peut plus se trouver dans ces 20 %, qui seraient en quelque sorte finis ?
C’est, Monsieur le Président, ce que l’avenir dira…

XX.VII.XVII
1.- Emmanuel Macron se croit-il le Grand Monarque attendu ?
2.- L'est-il
?

Deux questions se posent au sujet du rapport d'Emmanuel Macron au Grand Monarque attendu :
1.- Emmanuel Macron se croit-il le Grand Monarque attendu ?
2.- L'est-il, question que vous, YTWix, posez ?
Le Grand Monarque est annoncé par Nostradamus, en son quatrain X, 72, entre autres :
«  L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois,
Du ciel viendra un grand Roy d’effrayeur :
Resusciter le grand Roy d’Angolmois,

Avant apres Mars regner par bon heur. »

Ce qui fait penser qu'E.M. se croit ce Grand Monarque, c'est
son affirmation que les Français n'ont pas voulu la mort de Louis XVI et que,
si surprenant que cela paraisse, il est une place vide, à prendre dans notre République : celle du roi !
comme il l'a expliqué en
http://www.lepoint.fr/politique/emmanuel-macron-plus-royaliste-que-socialiste-07-07-2015-1943115_20.php ;
ce sont aussi des signes :
- l'anagramme de son nom Macron, qui donne "Monarc", sonnant "Monarque" ;
- son prénom : Emmanuel, qui signifie "Dieu avec nous" ;
- son placement, au soir de son élection, dans le sommet de la pyramide du Louvre ;
- l'esprit "Gaullo-Mitterandien" de son gouvernement, dont il parla ce même soir :
en effet, de même que les initiales de son mouvement ("En Marche !") sont celles de son nom (E.M.),
celles de "Gaullo-Mitterrandien", G.M., signifient Grand Monarque, dans le monde ésotérique,
le "Gaullo-Mitterrandisme" étant un tour de force digne de la quadrature du cercle :
car le gaullisme obéit à une forme d'esprit de composition-interprétation,
fonctionnant en élévation verticale continue,
alors que la forme d'esprit d'improvisation destructrice-transformatrice respectueuse du mitterrandisme,
fonctionne en ouverture horizontale.
Les deux directions de ces trois formes d'esprit sont opposées et complémentaires
(leur complémentarisation apporte l'élévation dans l'ouverture
et l'ouverture dans l'élévation
de la pyramide inversée du pouvoir créateur),
mais elles caractérisent deux, sinon trois, êtres différents,
ainsi correspondent-elles, dans la trimurti hindoue, par exemple,
à Brahma-Vishnu / Shiva ;
un même individu qui les incarnerait, tiendrait du surhomme,
or le Grand Monarque n'est pas un "Surmonarque".
Le fait qu'Emmanuel Macron, se dise "Gaullo-Mitterrandien",
montre donc qu'il pourrait se croire, au-dessus, même, de ce personnage,
que Nostradamus appelle aussi "Chyren".
Son assurance surprenante et sa conquête napoléonienne du pouvoir, à Marche Macronienne forcée,
s'expliquerait, tout à fait, par une foi dans sa bonne étoile le "gonflant à bloc",
le Chyren de Nostradamus étant un lieutenant du Christ,
particulièrement bienfaisant pour l'humanité.

Ceci nous amène à votre seconde question :
"Emmanuel Macron est-il le Grand Monarque attendu ?"
Chyren apporte des solutions neuves à l'humanité, qui la font aller de l'avant,
en entrant de plein pied dans l'ère du Verseau,
or le mouvement "En Marche !" d'Emmanuel Macron,
a tout d'une Marche arrière,
puisqu'on compare notre Président à Jupiter, Napoléon ou Louis XIV.
Par ailleurs, et jusqu'à preuve du contraire,
le "Gaullo-Mitterrandisme" relevant de deux formes d'esprit opposées et complémentaires
simultanément inaccessibles à une seule et même personne,
le Grand Monarque ne peut donc pas être "Gaullo-Mitterrandien",
en conséquence, Emmanuel Macron, se présentant comme tel,
veut trop être pour Etre véritablement
(surcommunication ?)
et n'est pas le Grand Monarque attendu.
En résumé,
avec le "Gaullo-Mitterrandisme",
entendu comme la conjugaison des formes d'esprit
de composition-interprétation (de droite)
et de destruction-transformation respectueuse (de gauche),
Emmanuel Macron a bien ciblé un objectif digne du Grand Monarque,
toutefois, en ces temps de suppression des cumuls,
non digne d'un Grand Monarque cumulant ces formes d'esprit,
mais digne d'un Grand Monarque qui en serait le Coordinateur, ce qui suppose,
non pas, de juger dépassée l'opposition gauche-droite, pour la concentrer en un surhomme,
mais de la restaurer en la menant plus loin : sur le terrain de l'opposition complémentaire des formes d'esprit,
en se servant de toutes les activités sociales, à commencer par les activités spirituelles, artistiques, scientifiques et politiques,
comme d'un terrain d'expérimentation du rapport de ces formes d'esprit opposées et, néanmoins, complémentaires.

XXIX.VI.XVII
Les retraités ACTIFS et le... Grand Monarque (?)
Pour une action qui ne soit pas une réaction
Humanité et Jérusalem céleste

Commentaire de :
Emmanuel Macron est-il le Grand Monarque attendu ?
par YTWix

 
 La réaction est une action passéiste.
 Il y a autre chose à faire avec la pyramide du Louvre :
l'inverser comme ici (cliquer), en y trouvant un modèle de gouvernement,
où l'humanité de bonne volonté entière se retrouve spirituellement,
avec des ponts reliant religiosité et laïcité, croyants et incroyants,
entrepreneurialement, artistiquement, politiquement.
Là est la vraie révolution parachevée, celle qui inverse la pyramide du pouvoir créateur,
anti-monarchique, car complémentaire de la monarchie passée qu'elle dépasse,
où la lumière s'ouvre en s'élevant au lieu de s'éteindre
avec la tête de l'Elu s'encastrant dans son sommet ponctuel,
comme ce fut le cas au soir de l'élection du VII/V/XVII,
là est la Jérusalem céleste, peuplée non seulement de judéo-chrétiens,
mais aussi de musulmans, hindouistes, bouddhistes, taoïstes,
en même temps que d'athées, d'agnostiques,
d'artistes et de scientifiques,
d'employés, d'employeurs et de retraités actifs (*),
de gens de gauche comme de droite et de coordinateurs qui les relient...
Le livre de E. M. ne s'intitule-t-il pas "Révolution" ?
Alors que le Président la fasse dans le bon sens,
vers l'avant et non E M A : En Marche Arrière !
s'il veut être le Grand Monarque,
autrement dit le Chyren de Nostradamus !
(*) retraités actifs :
retraités pouvant justifier d'une activité d'intérêt public,
en fonction de leur degré de validité,
activité les empêchant de jouer le rôle de "vache à lait" du gouvernement,
surtout si elle est bénévole.
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XXIX.
XVII
V.

Vladimir Poutine reçu à Versailles

Le Président Macron reçoit à Versailles, en grande pompe, le Président Poutine
Les médias évoquent Louis XIV, Charles de Gaulle, Napoléon…

Monsieur le Président,

Votre réception du Président Poutine, à Versailles,
ne manque pas d’appeler dans tous les esprits
de grandes figures de notre histoire, parmi lesquelles
Louis XIV et Charles de Gaulle.
Leurs modes de gouvernement ont contribué à amener
 la Révolution française, pour l’un et Mai 68, pour l’autre :
deux élévations en fermeture pyramidale de lumière
qui ont amené deux ouvertures révolutionnaires ;
quant à vous, Monsieur le Président,
c’est « Révolution »,
votre livre,
l’ouverture sur laquelle vous voulez construire et vous élever, qui vous a amené.
Pour cela, à partir de la place entre les deux pyramides du Louvre,
où vous vous inscrivîtes au soir du VII/V/XVII,
vous avez, me semble-t-il, deux possibilités :
regarder derrière vous,
vous inspirer des grands exemples qui s’y trouvent
et, ainsi, limiter vos possibilités d’élévation et d’ouverture,
ou bien, fidèle à « En Marche ! », aller de l’avant,
en faisant de l’alternance d’élévation et d’ouverture
un principe de gouvernement s’appuyant sur l’ouverture pour s’élever
et sur cette élévation-même pour s’ouvrir.
Un chemin m’a été montré dans cet objectif.
C’est une occidentale Voie, un « Octuple Sentier » redoublé en seize temps,
qui a pour nom « LA VOIE SCRIPTORALE » :
cette Voie alterne quatre élévations et quatre ouvertures doubles.
Les quatre élévations doubles ont nom
« SCRIPT », comme
Composition-Interprétation ou Judéo-Christianisme ou Brahma-Vishnu ou Été-Automne ou Matière ou Yang ou Forme ou Ciel.
Les quatre ouvertures doubles ont nom
« ORAL », comme
Destruction-Transformation ou Islam ou Shiva ou Hiver-Printemps ou Anti-Matière ou Yin ou Vide (créateur) ou Terre.
Le seizième de ces temps en provoque, en réaction, un dix-septième,
qui inverse en SCRIPTORAL, la pyramide du pouvoir créateur,
ouvrant ainsi, relativement à Versailles, le passage XVI-XVII,
verrouillé depuis
1795.
Monsieur le Président,
si cette Voie vous intéresse,
vous pouvez l’emprunter
en http://abouhey1.free.fr/l_o_france.htm#construisez.
Vous pouvez également en voir une réalisation artistique, intitulée « Impermanence »,
en  http://abouhey1.free.fr/impermanence_video.htm.

 

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V.V.XVII
Emmanuel Macron Grand Monarque ?

modifié le VII.V.XVII (16:56),
jour de
l'ELECTION (avant les résultats)

V.V
comme 2 HENRI V - XVII comme LOUIS XVII ?

UNE QUESTION QUE JE ME POSE :

EMMANUEL MACRON (V, 8 ?) = EM = EN MARCHE !
GAULLO-MITTERRANDIEN = GM = GRAND MONARQUE = CHYREN
LE EMGMEM = EMMANUEL MACRON (V, 8 ?), LE GRAND MONARQUE CHYREN EN MARCHE !?...

Oserais-je ajouter cette petite devinette : EM au NB ?
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La Vème République « gaullo-mitterrandienne » d’Emmanuel Macron (V, 8 ?)
avec un écho « sarkozo-hollandien » ?

L’élévation verticale de l’esprit gaullien de composition-interprétation progressiste de droite s’y oppose complémentairement à l’ouverture horizontale de l’esprit mitterrandien de destruction-transformation respectueuse de gauche. Un seul homme peut-il maîtriser ces deux formes d’esprit et se passer du clivage gauche / droite ? Je ne le crois pas. Je crois, au contraire, que s’il veut le dépasser, il doit s’appuyer sur ce clivage pour le coordonner et le complémentariser.
Il s’apercevra alors, qu’ainsi, il inverse la pyramide du pouvoir créateur et trouve l’ouverture dans l’élévation et l’élévation dans l’ouverture. Il découvrira qu’au Yin-Yang oriental répond un Yang (gaullien – sarkozien) – Yin (mitterrandien – hollandien) occidental, comme à la matière s’oppose complémentairement l’anti-matière dans l’atome exploré par la physique moderne, aux polarités positives, les polarités négatives, aux formes d’esprit laïques les formes d’esprit religieuses, au théâtre l’anti-théâtre de Ionesco, aux héros du premier les anti-héros du second et fera signe en passant à un certain « président normal » ! etc… etc…

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X/V/XVII
La Grande Monarchie française ressuscitée

Monsieur le Président,

Éric Fottorino, sur France 3, le VIII/V/XVII, dans l’émission « Emmanuel Macron Président : et maintenant ? » rapporte des propos que vous lui avez tenus, à Bercy, selon lesquels, les Français n’ayant jamais supporté d’avoir tué le roi, ont eu, dans la Vème République, en la personne de Charles de Gaulle, un roi sans successeur, d’où un vide, une incomplétude de royauté, dans cette monarchie républicaine, que, peut-être, vous voudrez combler. Anna Cabana accentue encore cela : « vous n’avez pas peur de dire que le Président de la République en France, c’est un monarque républicain (…) de mettre en scène, d’une façon « immensément césariste », la solitude du pouvoir (…) dans une marche (…) solennelle, (…) majestueuse, aux images (…) sublimes… »
Cette vision passéiste du pouvoir, cette « marche » arrière me surprend : elle ne correspond ni à votre volonté affichée d’aller de l’avant, ni au titre de votre livre : « Révolution »,  une révolution qu’il faut précisément mener pacifiquement à son terme anti-monarchique, ce qui ne signifie pas d’abandonner la monarchie, mais de la libérer de l’Ancien Régime et de la transformer, en montrant aux Français, que, loin d’être morte, elle est ressuscitée, à l’identique de sa royale splendeur, entre le 20 août 1999 et le 19 septembre 2000, ainsi que me l’a révélé le quatrain X, 72 de Nostradamus :

«  L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois,
Du ciel viendra un grand Roy d’effrayeur :
Resusciter le grand Roy d’Angolmois,
Avant apres Mars regner par bon heur. »

comme le montre la vidéo jointe, intitulée « Mehr Licht ! Acte II (V) »,

Effectivement, la Grande Monarchie française, qui va de François Ier et Henri II à Louis XVI, est ressuscitée en la symbolique personne du Parlement de Bretagne, symbole, dans la pierre, du roi de Paris, dans la ville de bois qu’était Rennes, dont on dit qu’il fut au point de départ de l’abolition monarchique de 1792, en raison de l’arrestation, en 1765, du Procureur Général La Chalotais. Sa naissance en 1554, sous Henri II, du vivant de Nostradamus, lui donne une origine royale angoumoise. Elle en fait un symbole du… "grand Roy d’Angolmois", symbole qui fut effectivement frappé du ciel, dans la nuit du 4 au 5 février 1994, par une fusée lancée dans ses combles, au cours de la révolte des marins-pêcheurs bretons, contre Edouard Balladur, Premier Ministre de cohabitation de François Mitterrand, alors que, justement, ces deux têtes de l’exécutif, étaient brocardées par les médias, l’une, en Louis XVI et l’autre en… François Ier : les deux extrémités de la Grande Monarchie française !...
Cette résurrection de la monarchie dans les « 7 mois – 13 mois » allant du 20 août 1999 au 19 septembre 2000, une fois admise, je me permettrai, très prochainement, de vous montrer, Monsieur le Président, comment, à partir de votre magnifique mise en scène du VIII/V/XVII, entre les deux pyramides du Louvre (l’inversée dont on parle trop peu et celle qui, à l’endroit, fait oublier la précédente), comment on peut faire évoluer la monarchie, la transformer, pour qu’elle ouvre la lumière en s’élevant, au lieu de la fermer et de la faire disparaître, ce qui ne peut pas convenir à l’idéal républicain démocratique.

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XI/V/XVII
Achever la Révolution pacifiquement

Monsieur le Président,

Je vous disais, hier, que vous n’avez plus à vous soucier d’incarner un vide monarchique à la tête de la Vème République, pour les Français, qui n’ont jamais supporté d’avoir tué le roi, comme vous l’avez dit, à Bercy, à Éric Fottorino. Vous n’avez plus à vous en soucier, car la Grande Monarchie française, celle qui va de François Ier et Henri II à Louis XVI, est ressuscitée dans les « 7 mois – 13 mois » allant du 20 août 1999 au 19 septembre 2000, ainsi que le montre « Mehr Licht ! II ». A partir de là, et ceci une fois dit aux Français, pour être en accord avec le titre de votre livre : « Révolution », vous devez, entre les deux pyramides du Louvre où vous vous êtes fort justement situé, au soir du VII/V/XVII, ne pas incarner, passéistement, une Grande Monarchie figée dans l’Ancien Régime, vous devez achever la Révolution, qui a commencé de la faire descendre de son pied d’estal, en la raccourcissant d’une tête, entre sa droite et sa gauche, pour enfin passer d’une Monarchie républicaine à une vraie République démocratique. Vous devez, en fait, voir, si, en l’aidant à descendre et à se plaçer au plus bas (au yin, comme pourraient dire les Chinois), elle qui était au plus haut (au yang), il n’y a pas, pour elle, cette place qui permet de réaliser votre volonté : réconcilier tous les Français. Or, il existe un chemin, qui inverse la pyramide du pouvoir créateur, au sommet de laquelle était parvenu Louis XIV et où vous vous êtes mis en scène, prenant en quelque sorte le relais de notre grand roi. Ce point d’arrivée de la monarchie, où elle est parvenue seule, doit être, pour vous, représentant de notre République, avec elle ressuscitée, le point de départ, qui, enchaînant les pyramides à l’endroit et à l’envers (figurées, tout aussi justement, au Louvre par François Mitterrand), aboutit à une grande pyramide inversée de synthèse laïco-religieuse et sociétale, que je nomme « SCRIPTORAL ». Les pyramides bleues en élévation verticale, correspondent aux formes d’esprit évolutionnaires de composition-interprétation de droite et les pyramides rouges, amenant une ouverture horizontale, correspondent aux formes d’esprit révolutionnaires de destruction-transformation respectueuses de gauche. Respectueuses, car cet achèvement révolutionnaire doit être aussi pacifique socialement, qu’il l’est artistiquement, avec les improvisateurs radicaux, qui détruisent et transforment l’idée qu’ils se font des compositeurs auxquels ils s’attaquent, sans attenter moindrement à l’existence des originaux. Ces formes d’esprit sont tout aussi bien laïques (artistiques, politiques, entrepreneuriales…) que religieuses. Elles se répondent et se correspondent grâce à une monarchie solitaire, transformée en coordinatrice démocratique de tous. Pour emprunter ce chemin, cliquez sur ce lien : http://abouhey1.free.fr/l_o_france.htm#construisez, puis, à chaque étape, sur « Image suivante ».
Merci, Monsieur le Président, de me laisser véritablement m’exprimer, ainsi que vous m’y engagez, et de ne pas me censurer sur vos sites,  comme si j’étais le dernier des malotrus, ainsi que cela a été fait pour mon intervention d’hier.
Respectueusement.

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8.1.1996
"Deux Rois pour une République"
(ou trois - le VII.V.XVII - ?)


A 8h30,

le 8.1.1996,
"le roi est mort...",
ainsi que le chroniqueur Philippe Alexandre
le déclara quatre ou cinq jours plus tard sur RTL,
en reprenant la phrase consacrée de l'Ancien Régime
en ce genre de situation :
"le roi est mort, vive le roi !"
Et cette mort de François Mitterrand,
IVe Président de la Ve République,
ne commença pas seulement de me livrer
ce qui semble bien être la clef du quatrain X, 72 de Nostradamus...


En effet,
ce fut pour de nombreux commentateurs
l'occasion de mettre en relief la formidable opposition
entre Charles de Gaulle et celui que, selon Foccart, il appela "l'arsouille"(*),
et de faire de cette opposition le pilier de la République qui,
malgré tout, les réunit... royalement (!) à sa tête
("Deux Rois pour une République" (**) ),

un pilier en forme de... Croix de Lorraine ?

Cela me donna l'envie de vérifier, une fois pour toutes,
si la Constitution de cette République n'était pas
l'avant-projet d'une Constitution scriptorale,
ce qui en faisait la force
(le scriptoral)
et la faiblesse
(le fait de n'en être que l'avant-projet
et de ne pas savoir en faire tourner le moteur).
Pour cela, il fallait voir si elle était sous-tendue par une relation
composition-interprétation / improvisation,
c'est à dire,
composition-interprétation / destruction-transformation respectueuse
annonciatrice de la pyramide inversée scriptorale,
une pyramide inversée que François Mitterrand
avait lui-même placée sous le Louvre royal,
quand Mario Botta en couvrait
la cathédrale d'Evry.

"Deux rois pour une République", ou trois,

avec l'élection, le VII.V.XVII, du Président Emmanuel Macron,

(aux initiales, E. M., "E. M. !" initiales de "En Marche !"), E. M. qui se dit

Gaullo-Mitterrandien, aux intiales G. M., G. M. initiales de "Grand Monarque",

et Grand Monarque, Grand Monarque logique, puisque synthèse des deux rois précédents,

cumulant à la fois l'esprit gaullien à l'élévation verticale de la composition-interprétation

et l'esprit mitterrandien à l'ouverture horizontale de la destruction-transformation respectueuse,

le premier prenant le second pour un... "arsouille"
annonce d'une belle lutte intérieure !

le yang et le yin, le ciel et la terre réunis,
Brahma-Vishnu
/ et Shiva, la trimurti, à lui seul ?
Est-ce possible ?

Tout juste peut-on dire qu'en ce début de mandat,
E M. parait privilégier l'élévation sur l'ouverture par le rôle jupitérien qu'il se donne,
Cf. "Jésus, Jupiter, Louis XIV... et Emmanuel Macron"
(Alice Develey, LE FIGARO.fr du 16/06/2017, 16:07).

Alors E. M. est-il véritablement le G. M.
ou un monarque passéiste ?
La question se pose
.

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(*) "Jai entendu de Gaulle l'appeler "l'arsouille"... Il l'avait catalogué une fois pour toutes. Ce mot (...) résumait bien sa pensée : un peu voyou ou canaille, pas franc ni très honnête."
( "Foccart Parle", Foccart, tome 1, Editions Fayard.)

(**) Titre de l'article de Jean Lacouture dans Le Point n° 1217.

 
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