Avec
tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation
d'en utiliser les documents.
|
"RENNES -
PARLEMENT DE BRETAGNE"
&
"VERSAILLES
VERS AILLEURS"
|
|
Y fut sensible aux signes
dès sa petite enfance. A partir de 1982, il comprit qu'ils
le désignaient comme le possible Chyren, et, de 1982 à
1995, il griffonna ceux qu'il rencontrait sur quelques pages de
brouillon (ils concernaient essentiellement Mozart, Louis XVI et
l'enchaînement 16-17-18). Ce n'est que dans les derniers mois
de 1995 qu'il se décida à approfondir sérieusement
la question, après avoir fait, à sa manière,
un calcul de probabilités destiné à lui indiquer
combien d'individus sur la planète étaient susceptibles
d'être reliés à Mozart comme il l'était.
Le résultat le stupéfia : il aurait fallu que ladite
planète comptât neuf mille milliards de milliards d'habitants
pour que l'un d'eux puisse se trouver dans sa situation. Y en déduisit
que cela dépassait le simple hasard, d'où son intérêt
accru pour le sujet.
C'est encore en pensant à sa relation à Mozart, qu'il
fut mis sur la voie de l'interprétation du quatrain X, 72
de Nostradamus (cf. interpretation.htm),
selon laquelle le "grand Roy
d'Angolmois" devant ressusciter en "mil neuf cens nonante
sept mois" était, pour une part, le Parlement de Bretagne.
Voici, brièvement résumé, ce qui s'était
passé, à partir du 9 Janvier 1996, lendemain de la
mort du Président Mitterrand :
|
- Jean Lacouture faisait
de François Mitterrand l'un des deux rois de la Vème République, avec Charles de Gaulle ;
- François Mitterrand (1916-1996)
était marqué par le 16 du roi de l'abolition monarchique ;
- il était de Jarnac, dans L'Angoumois,
Jarnac célèbre par son fameux "coup" de
1547, à la jonction des règnes de François
Ier et Henri II ;
- la nuit suivante, pensant à Mozart et à son père, Y eut l'intuition, que, le 21.3, date de naissance de son père
(du moins le pensait-il) devait être le symétrique
du 5.12, date de la mort du compositeur,
par rapport au 27.1, date de sa naissance
;
- il vérifia effectivement, que 21.3
- 27.1 = 27.1 - 5.12 = 312 jours, hors
années bissextiles ;
- et remarqua que 312 était
l'inverse de 213 , donné par 21.3 ; le surlendemain, il relut
le quatrain X, 72 :
|
« L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois,
Du
ciel viendra un grand Roy d’effrayeur :
Resusciter
le grand Roy d’Angolmois,
Avant
apres Mars regner par bon heur. »
|
|
Il y constata, qu'en trois jours lui avaient été
donnés un Roy d'Angolmois et un avant-après de 312 jours, lié par 21.3 au mois
de Mars, qui devait "regner
par bon heur".
- retenant difficilement les dates, il réapprit que la
date de naissance de son père, n'était pas le 21.3,
mais le 22.3,
- mais, bien des mois après avoir rédigé
son interprétation du quatrain X,
72, de Nostradamus (cf. interpretation.htm), alors que le célèbre "Mehr
Licht !" - "Plus de Lumière
!" - prononçé
par Goethe le jour de la mort, s'imposa
à Y comme titre de cette interprétation, il
remarquera que le 22.3 fut précisément
le jour où l'écrivain mourut ! et que
le nom de la directrice de la Maison Nostradamus à Salon
de Provence, à cette époque, était celui
de sa langue : elle s'appelait Jacqueline Allemand,
alors encore que toute cette résurrection passait par un
roi, Louis XVII, au sang plus germanique que français.
|
Les "coïncidences"
ne s'en tinrent pas là :
|
- "Mehr Licht !"
fut publiquement ébauché le 5.12.2000,
jour du 209ème anniversaire de la mort de Mozart ; 2000
étant une année bissextile, cela nécessita
de faire partir la symétrie du 20.3 au lieu du 21.3, pour deux fois 313
jours au lieu de 312 ;
- Nostradamus donnant "l'an mil neuf cens nonante neuf sept
mois" pour la résurrection du "grand
Roy d'Angolmois", Y remarqua que, à partir
du mois d'Août précédent une année
bissextile, et donc, à partir d'Août du fatidique 1999, se succèdaient comme
un tuilage, pendant 13 mois, 7 fois 7 mois de... 213 jours, ce qui lui rendait à nouveau son 21.3 initial. Il y vit le signe que ces 7 mois correspondaient bien à ceux du quatrain, et signe
lui faisant comprendre pourquoi "Mars regner
par bon heur" (cf. ci-dessus)
: pour interprèter le quatrain ! autrement dit : "Mars
regner par bon heur"... sur le quatrain.
- 208 et 20.8 lui ayant été donnés 5 fois
significativement, à partir du 21.6.1999, 208ème
anniversaire de l'arrestation de Varennes et jour de la fête
de la musique, et cela, jusqu'au 21.1.2001, 208ème
anniversaire de l'exécution de Louis XVI, le 21.1.1793,
et jour d'esquisse de "Mehr Licht !" à l'Espace
Kiron, à Paris, Y fit partir
ces 7 mois - 13 mois du 20.8.1999.
Voici les 7 fois 7 mois de 213 jours dans 13 mois de 397 jours :
|
"L'AN MIL NEUF CENS NONANTE NEUF SEPT MOIS"
|
I |
|
= |
7
mois = 213 jours
|
II |
20.9.1999
- 19.4.2000 |
= |
7
mois = 213 jours |
III |
20.10.1999
- 19.5.2000 |
= |
7
mois = 213 jours |
IV |
20.11.1999
- 19.6.2000 |
= |
7
mois = 213 jours |
V |
20.12.1999
- 19.7.2000 |
= |
7
mois = 213 jours |
VI |
20.1.2000
- 19.8.2000 |
= |
7
mois = 213 jours |
VII |
|
= |
7
mois = 213 jours
|
Total |
20.8.1999
- 19.9.2000 |
= |
13
mois = 397 jours |
20.2.2000
- 19.3.2000 |
= |
7ème
mois
de
"mil neuf cens nonante neuf
sept mois" |
Samedi,
18.3.2000 |
= |
Fin du travail humain
des "7 mois" |
Dimanche,
19.3.2000 |
= |
Fin consacrée au Seigneur
des "7 mois" |
Remarque :
Le 20.8, début
des 7 mois - 13 mois, fut choisi indépendamment du
18.3.2000,
puisque le signe contenu dans cette date ne fut découvert
que le
Samedi 27 Janvier 2001,
après la première rédaction de "Mehr
Licht !",
contenant déjà ce 20.8,
et rajouté pour la création définitive
du 26.4.2001,
cf. interpretation.htm#ton
or, considérant le 20.3.1999,
début de "l'avant-apres" nostradamique
20.3.1999 - 27.1.2000 - 5.12.2000
et de toute l'interprétation de "Mehr Licht !"
nous découvrons :
|
20.3.1999 - 19.3.2000
|
=
|
12 mois
|
Les sept mois de "mil neuf cens
nonante sept mois"
sont la fin d'une année 1999
commençant le
20.3.1999,
jour du printemps !
|
|
Y découvrit encore que les 397 jours
des 13 mois inversaient, à la
fois, le 793 de l'exécution des
souverains, dans le IIème millénaire, et les 793 triangles et losanges des
4 pyramides mitterrandiennes de surface, au Louvre royal, comme les
inversaient Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral)
et la pyramide souterraine de ce même Louvre.
Cela faisait de 397 un symbole de résurrection, allant dans le sens du quatrain,
lequel posait désormais la question suivante : Dans les 13 mois de 397 jours débutant le 20.8.1999,
un "grand Roy d'Angolmois" est-il ressuscité par le fait
d'un "grand Roy d'effrayeur" ?
|
|
Nostradamus
a lié son quatrain à une "Lettre à Henri,
Roy de France second". Celle-ci, rédigée en 1558,
un an avant la mort de Henri II donne en clair la date d'abolition
de la monarchie : 1792. Et c'est pour
cette monarchie que la tradition prophétique annonce une
résurrection. Y décomposa donc la question précédente en plusieurs
parties : l'Angolmois étant une ancienne écriture
pour l'Angoumois, région ayant pour capitale Angoulême,
existe-t-il des rois liés à Angoulême ? ceux-ci sont-ils grands ? et en
quoi leur résurrection peut-elle s'accorder avec celle annoncée
de la monarchie morte en 1792, sous
Louis XVI, un Bourbon, en la personne de Chyren, le grand monarque
?
La première réponse
lui vient alors qu'il s'intéressait à Jeanne d'Arc,
lors de son "Va-à-Rennes" du 16.3.2000 : Descendent
par Charles d'Angoulême, de Jean d'Angoulême, second
fils de Louis d'Orléans, lui-même frère de Charles
VI, les cinq rois formant la branche des Valois-Angoulême :
|
François
Ier : 1494 - 1515 - 1547,
Henri II : 1519 - 1547 - 1559,
François II : 1544 - 1559
- 1560,
Charles IX : 1550 - 1560 - 1574,
Henri III : 1551 - 1574 - 1589
|
|
La réponse à la
seconde question : ces rois sont-ils grands ? lui viendra le 10.4.2000, après, donc, sa participation à la journée du
CNR au Parlement de Bretagne, le 18.3.2000. Lisant l'"Histoire
de France" Larousse, publiée sous la direction de Marcel
Reinhard, dans les années 50, Y y trouva ceci :
|
"LA
FORMATION DE L'ETAT MODERNE
(1515-1598)
(...)
LA GRANDE MONARCHIE DE FRANCE
LE ROYAUME DE FRANCOIS Ier ET D'HENRI II
L'avènement des Valois-Angoulême.
- (...)"
|
|
Fondateurs
de la grande monarchie, François Ier et son fils Henri II
étaient donc bien des grands monarques, des "grands
Roys d'Angolmois". La grande monarchie française
fut abolie à la date citée par Nostradamus, dans sa
"Lettre à Henri, Roy de France second", en 1792,
sous les Bourbons, et le corps royal symbolique de cette grande
monarchie vécut de 1515 à 1792,
si bien que les 10 rois qui la constituèrent
de François Ier à Louis XVI,
moururent dans leur corps physique à leur dix dates de décès,
mais moururent tous ensemble dans leur corps royal en 1792.
Quant au "grand Roy d'Angolmois" désigné
par le quatrain X, 72, cité ci-dessus,
tout laisse à penser que c'est le roi désigné
de façon ambigüe par le titre de la "Lettre à Henri Roy de France second" : Henri II,
le roi, mort en 1559, sous la fin de
vie duquel Nostradamus publia ses quatrains.
Pourquoi ambiguïté ? parce
que Henri second, le
second Henri, désigne autant le roi Henri
II devant ressusciter, que Chyren, Henri
V, un Bourbon descendant de Louis XVI par Louis XVII, le roi qui est la résurrection
de toute la grande monarchie française, c'est à dire
des 10 rois qui la composent, d'"Angolmois" comme Bourbon,
et pas seulement de Henri II.
Chyren est donc grand
monarque, parce qu'il ressuscite le corps royal de la grande monarchie dans sa totalité et non dans l'une quelconque de ses individualités.
On mesure ici toute la portée symbolique de l'arrestation
de Louis XVI à Varennes, due au temps perdu dans sa recherche
du "Grand Monarque" (c'est
à dire de la résurrection de la monarchie qu'il représentait)
sous la forme et d'un hôtel et, probablement aussi, de Bouillé
(cf. varennes_va-a-rennes.htm#bou et varennes_va-a-rennes.htm#hot).
|
|
Une première coïncidence
nous rapproche ici du Parlement de Bretagne : il commença de
s'installer à Rennes, sous le règne de Henri II, à
une date, 1554, telle qu'avec 1559,
date de la mort annoncée par Nostradamus de ce même Henri
II, elles enserrent la publication des Centuries de Nostradamus :
|
- 1554 : naissance
du Parlement de Bretagne à Rennes,
- 1555
: le
1er Mars, préface des sept premières centuries dédiées
à César, fils de Nostradamus,
- 1557 : publication
à Lyon de ces 7 centuries,
- 1558 : le
27 Juin, "Lettre à Henri, Roy de France second",
et trois dernières centuries,
- 1559 :mort
de Henri II après un tournoi.
|
"L'installation
du Parlement à Rennes en 1554, fonda la ville en tant
que capitale régionale et cité aristocratique", |
|
nous dit le guide de Bretagne
Michelin. En fait, le Parlement siègea d'abord, tantôt
à Nantes, tantôt à Rennes, et se fixa définitivement
à Rennes en 1561, sous Charles IX, avant-dernier des rois d'"Angolmois".
Il représentait la cour suprême des 2300 justices bretonnes.
La construction du palais proprement dit se fit de 1618 à 1655.
L'installation complète, des hommes aux murs, recouvrit donc
le passage des Valois-Angoulême
aux Bourbon, les deux branches de la grande monarchie française.
|
"Avec
le chantier du Palais, c'est
l'art royal et parisien qui arrive
en pays breton.
L'architecture et le décor du Palais, "premier
édifice en pierre dans
la ville de bois, va influencer
toute la Haute-Bretagne", |
|
nous dit encore ce même Guide. Le Parlement
de Bretagne est donc le symbole du pouvoir royal : né
en 1554, sous Henri II, il est le symbole de ce
"grand Roy d'Angolmois", c'est à dire,
de la grande monarchie française qu'il représente.
Et c'est de ce symbole que partit la révolution
: le procureur général La Chalotais fit, en effet, voter,
en 1762, par le Parlement, la dissolution du très puissant
Ordre de Jésus enseignant à 2800 élèves.
Il s'opposait en cela
au duc d'Aiguillon, gouverneur de Bretagne qui le soutenait. Les conseillers
du Parlement de Bretagne, convoqués par Louis XV à Versailles,
y sont réprimandés, trois sont exilés, ce qui
entraîna la démission de la totalité du Parlement,
d'où l'arrestation de La Chalotais en 1765 et son exil en 1767.
Mais, le Parlement de Paris soutint son alter ego breton. Le roi n'osa
pas aller plus avant, d'Aiguillon se retira, La Chalotais fut rétabli
dans ses fonctions en 1775, et, conclut notre Guide :
|
"La Basoche
triomphe de l'autorité royale : la révolution
est en marche." |
|
Qu'était-ce que "la Basoche" ? Voici ce qu'en dit
le Petit Larousse, en sa partie historique :
|
"Basoche. C'était la corporation des clercs du Palais. Dotée
de privilèges par Philippe le Bel (1302), elle eut
une juridiction autonome, se constitua en royauté,
et son chef fut autorisé à prendre le titre
de roi. Les basochiens donnaient des représentations
théâtrales, où l'on jouait des pièces
appelées farces, soties, moralités. Tous les
ans, le roi de la Basoche passait la revue de ses sujets.
Henri III supprima le titre de roi de la Basoche." |
|
Voilà qui ne manque pas
d'être du plus grand intérêt pour l'affaire de
la résurrection monarchique à Rennes, lieu indiqué
par les signes de Y,
dans le nom-même du lieu d'une autre arrestation, celle du roi,
cette fois : Varennes (cf. varennes_va-a-rennes.htm, paris-varenne.htm, jacques_chirac.htm#del...).
Ainsi donc, la Basoche se vit
dotée de privilèges par un roi, Philippe le Bel, dont
René Labande donne la description suivante, dans le Larousse
d'Histoire de France de 1954 :
|
""Fanatique
du dogme de l'autorité suprême des rois de France"
(Fawtier), Philippe est plus encore un fanatique de la justice,
un maniaque des procès. Mais au lieu des pures enquêtes
de Saint Louis, on ne trouve en son temps qu'un système
policier des plus perfectionnés, sans aucun égard
pour l'accusé, une recherche trouble, obstinée
de sa perte. (...)
De 1285 à 1314, le royaume fut livré, avec l'assentiment
du roi, aux légistes. On appelait ainsi les hommes
qui, ayant une connaissance approfondie du droit romain, en
appliquaient les principes au gouvernement de l'Etat. Parmi
eux, Flotte et Nogaret obtinrent successivement le poste de
garde des sceaux, "secrétariat général"
de la royauté. Leur dévouement au roi fut aussi
total que leur absence de scrupule." |
|
Nogaret, qui, le 7 septembre
1303 (un an après l'octroi des privilèges à la
Basoche), fit prisonnier et souffleta le pape Boniface VIII, qui en
mourut un mois plus tard, et pape Boniface VIII, qui avait qualifié
de "vipère sourde" le roi Philippe le Bel, dans sa
bulle "Ausculta fili", parvenue en France en 1302.
En somme, Philippe le Bel, tristement célèbre pour sa dissolution de l'Ordre du Temple, chercha
à affermir son pouvoir contre le pouvoir religieux en s'appuyant
sur la Basoche. Il en fit une royauté dans la royauté,
dont il fut en quelque sorte le pape. Henri III, "grand Roy d'Angolmois"
commença à réduire le pouvoir de cette Basoche,
ce qui ne fut certainement pas pour lui plaire, et (alors que, précisément,
c'est de la réduction du pouvoir religieux que s'accrut le
sien, en 1302) ce fut quand Louis XV voulut soutenir contre elle les
jésuites, inverser le mouvement qui la couronna, qu'elle commença
de mener la grande monarchie française à sa perte, en la faisant justement passer par le donjon de ce Temple que sa royauté,
accordée par Philippe le Bel, avait dissous.
L'avocat Robespierre n'était-il,
pas lié à la Basoche ?
Voici pourquoi, le "Va-à-Rennes !" montré
par les signes à Y comme le message donné par l'arrestation de Varennes à
Louis XVI, est loin d'être sans fondement. C'est en somme :
|
- d'une part, retourne à
Rennes, au Parlement de Bretagne d'où partit la révolution,
car, dans ce lieu symbole de ton pouvoir royal, tu pourras remonter
à la source de l'abus que tu en fis, entre autres en 1302,
contre le pouvoir religieux, alors même que le pape avait
commencé par combler de faveurs le roi de France de l'époque,
avec, notamment, la canonisation de Louis IX en 1297 ;
- et, d'autre part, là, tu comprendras pourquoi il t'aura
été nécessaire de passer par le Temple, pour
mourir et... le retrouver.
|
Et Y dans tout cela ? Il remarque encore deux choses :
|
- d'une part, le Parlement
de Bretagne est venu de pierre dans
les bois de la ville de Rennes, et
le bois sera son talon
d'Achille, si l'on peut dire, comme lui, Y est venu
de métal dans d'autres bois de Rennes (cf. nost_9_20.htm :"
De nuict viendra par la forest de Reines") , métal qui sera d'ailleurs la solution donnée
au talon d'Achille parlementaire ;
- d'autre part, "la Basoche" fut le titre d'un périodique, que, durant toute sa jeunesse,
il vit son père, clerc de notaire, lire attentivement.
Il y vit le signe, que la monarchie, dont les signes le disaient
héritier, devait passer par la compréhension de
ce qui l'avait tuée pour ressusciter.
|
|
Henri II est "grand Roy
d'Angolmois" en tant que fondateur avec François Ier,
son père, de la grande monarchie française, son corps
royal, et c'est dans ce corps symbolique, dont il est l'un des dix
représentants, qu'il doit ressusciter, non en son corps physique,
c'est pourquoi habitant d'un symbole, il doit ressusciter dans un
symbole habité, ce qu'a pu être le Parlement
de Bretagne, le 18 Mars 2000,
comme nous le verrons.
Ainsi, 1559 est la date de la mort
physique de Henri II, celle de sa mort royale est 1792,
où eut lieu l'abolition de la monarchie. Il est à
remarquer que les deux morts furent annoncées par Nostradamus,
la première dans le quatrain I, 35, publié en 1557,
deux ans auparavant :
|
"Le
Lyon jeune le vieux surmontera,
En champ bellique par singulier duelle :
Dans caige d'or les yeulx luy creuera,
Deux classes vne puis mourir mort cruele"
|
|
la seconde, dans la "Lettre à Henri Roy de France second",
en 1558,
avec citation de la date exacte : "mil sept
cens nonante deux que l'on cuidera estre une renovation
de siecle".
Y vit un nouveau signe dans la parfaite symétrie
existant entre la date de mort de Henri II, celle de naissance de
Louis XVI, et sa propre date de naissance :
|
mort
de Henri II |
1559 |
|
......+
195 ans |
naissance
de Louis XVI |
1754 |
|
......+
195 ans |
|
1949 |
|
Il remarqua aussi que 95 de 195 inverse 59 de 1559 comme la résurrection inverse la mort, d'autant plus que, d'une part, 95 fut, au XVIIIème siècle,
la date de sortie de la seule rescapée officielle de la prison
du Temple : Madame Royale, fille de Louis XVI et Marie-Antoinette,
et d'autre part, 59 et 95,
correspondent aux deux départements, le Nord et le Val d'Oise,
dont les provenances : le nord et l'est, sont annoncées par une prophétie pour
son "Va-à-Rennes" (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#est).
Venons maintenant à la mort proprement
dite du Parlement de Bretagne, symbolique "grand
Roy d'Angolmois". Elle fut bien le fait (cf. quatrain ci-dessus) d'un "grand Roy d'effrayeur",
lequel prit la forme d'une révolte de marins-pêcheurs
bretons, contre Edouard Balladur, premier ministre de cohabitation, François
Mitterrand étant Président de la République,
avec ceci de très particulièrement significatif pour Y : |
- François Balladur
était brocardé par les médias en Louis
XVI, le dernier roi de la grande monarchie
héritée des "grands
Roys d'Angolmois" ;
- François Mitterrand l'était, lui, en François
Ier, premier "grand Roy d'Angolmois",
il était de plus de Jarnac, dans l'Angoumois,
dont le célèbre "coup" date de 1547, l'année
de jonction entre François Ier et Henri II, les deux premiers "grands Roys d'Angolmois ; François
Mitterrand a de plus ce lien particulier avec le Parlement, qu'il
fut avocat de gauche non sans affinités avec Robespierre
(cf. mythe_errant.htm#rob),
et qu'en l'affaire de Rennes il ne dut pas être mécontent
du tort qu'elle fit à Edouard Balladur, politiquement opposé
à lui ;
- "le grand Roy d'effrayeur" frappa bien "du
ciel" le Parlement avec une fusée
marine envoyée dans ses combles, qui enflamma sa charpente
de... bois,
précisément construite, à l'origine, par
les charpentiers marins de Saint-Nazaire. Le bois primitif de
la ville de Rennes, qui se distinguait de
la pierre royale et parisienne employée pour le reste de l'édifice, fut donc le talon d'Achille de ce symbolique "grand Roy d'Angolmois" ;
- l'incendie eut lieu dans la nuit du 4/5.2.1994, où 94 n'est pas sans rappeler un autre "grand
Roy d'effrayeur" : la loi du 10.6.1794,
instituant deux siècles auparavant, la "grande
terreur" ;
- autre signe reliant Paris et Rennes dont les deux parlements
se sont unis contre Louis XV : un second incendie se déclara en région parisienne,
où il finit de détruire des vestiges rescapés
du Parlement de Rennes donnés pour restauration.
|
En somme, pour Y,
tout se passe comme si le Parlement de Rennes, symbole d'un pouvoir
royal, dit de droit divin, mais dont l'affirmation se fit à
tant de reprises contre le pouvoir des représentants de Dieu,
avait montré avec l'affaire La Chalotais ce que le roi devait
à son humanité, et comme si Dieu, faisant arrêter
Louis XVI à Varennes, et lui indiquant par le nom de cette
localité où il devait retourner dans sa descendance
pour ressusciter, donnait la condition de cette résurrection
: un pouvoir neuf, de droit véritablement
divin, sans la moindre compromission humaine.
La
renaissance du Parlement commença le 4.10.1999,
à l'intérieur, précisément, des 7
mois - 13 mois enracinés en 1999, donnés
à Y par ses signes (cf. ci-dessus),
avec le retour de la Cour d'Appel, soixante-huit mois après
l'incendie des 4/5.2.1994.
Le soir du 21.3.2000 Y,
trouva dans le hall de son
hôtel plusieurs exemplaires d'un luxueux magazine intitulé
"Rennes Métropole", revue annuelle pour l'an 2000.
Le premier article concernait la "Restauration du Parlement",
avec, en sous-titre, "Le Parlement renaît de ses cendres".
Le passage concernant la réflexion sur l'avenir du bâtiment,
juste après le sinistre, retint son attention :
|
"Que faire
de ce bâtiment ? Certains proposent de le raser pour
mettre, à la place, du flambant neuf (si l'on ose l'écrire)
; d'autres, infiniment plus nombreux, veulent le restaurer.
"Ce qui est frappant, note Jean-Yves Dartiguenave, c'est
l'obsession de la reconstruction à l'identique ou,
dans le cas, à "l'authentique". En étant
un peu iconoclaste, on aurait presque pu imaginer laisser
le bâtiment en l'état, dans ses ruines, comme
témoignage d'une histoire, d'une "épopée".
Il y a eu au contraire une volonté d'"immortalisation",
un désir de revenir à un état "originel".
Ca pose le problème du rapport à l'histoire.
Y a-t-il place pour une histoire avec ses soubresauts et ses
malheurs ?" (...)
"Alain-Charles Perrot a proposé une reconstruction
à l'identique, ce que tout le monde a accepté.
"Ce monument a une grande valeur symbolique. Personne
n'aurait accepté sa disparition."" |
|
Tout ce qui concernait la puissance
symbolique du bâtiment et son importance pour la Bretagne, associé
à la volonté d'immortalisation, c'est à dire
de mise en relation avec l'Eternel, par un retour à l'authenticité
de l'état originel, et donc des racines royales assumées
dans leur plénitude, correspondait à ce que Y avait écrit le matin-même.
Autre signe pour lui : l'innovation
technique qui remplaça par une charpente métallique,
celle en bois source de l'incendie, le seul élément
important dont le Parlement eut le matériau en commun avec
la ville de bois qu'à son origine était Rennes : comme
son saxophone, bois de cuivre, bois qui
flamboie, le bois du Parlement s'était
donc métallisé.
Mais ce n'est pas tout : la restauration du bâtiment s'accompagna
de la création d'une Association Régionale pour l'Animation
du Palais du Parlement de Bretagne et de la Cour d'Appel de Rennes,
association disant vouloir :
|
"organiser
des animations et des manifestations éducatives et
culturelles en direction de tous et en collaboration avec
les autres acteurs de la vie sociale..."
|
|
avec pour objectif de :
|
"développer
les liens entre les citoyens et l'institution judiciaire." |
|
C'est dans le cadre défini
par cet esprit nouveau, né des mort et résurrection
du Parlement, que furent organisées les prestations du CNR
de Rennes, et que Y y participa d'une manière qu'il trouva fort riche
de signes et à une date peu banale par rapport à son
interprétation du quatrain X, 72 de Nostradamus : le 18
Mars 2000, date sur laquelle nous allons revenir.
|
|
Symbole d'un pouvoir royal
de droit divin acquis trop souvent par la volonté
du roi contre la volonté de Dieu, le
Parlement fut "habité" à sa naissance par
le roi qu'il représentait : Henri II, il est donc normal
qu'à sa résurrection, il ait été habité
par Henri Roy de France second, le second Henri, autrement dit le
"grand Roy d'Angolmois ressuscité".
Là encore, plusieurs signes disent à Y que cette résurrection
eut lieu en sa personne, le jour de ses prestations avec les élèves
du CNR au Parlement.
Le premier signe, c'est la date : le 18.3.2000 (cf. ci-dessus), un samedi.
Ainsi, alors que Y avait donné une interprétation du quatrain X, 72 de
Nostradamus, disant que
|
- la résurrection
du "grand Roy d'Angolmois" se ferait en la personne
symbolique du Parlement de Bretagne (cf. interpretation.htm#balladur)
;
- que la date donnée par Nostradamus : "mil neuf cens
nonante neuf sept mois", avait pour point de départ
le 20 mars 1999 (cf. interpretation.htm#ava)
;
- que les "sept mois" spécifiés
représentaient 7 fois 7 mois, commençant le 20.8.1999
et s'étendant sur 13 mois (cf. interpretation.htm#1999 et ci-dessus) ;
|
voilà qu'il
participait à une journée culturelle du Parlement ressuscité,
répondant à un esprit nouveau, le Samedi,
18 Mars 2000, c'est à dire le dernier jour ouvrable des "sept mois" qu'il avait annoncés,
le dernier et 213ème jour étant un dimanche, jour du
Seigneur, ainsi que le dernier jour ouvrable de
l'année commencée le 20 Mars 1999, ce qu'il
signala a posteriori et sur le ton de
la confidence, dans son interprétation (cf. interpretation.htm#ton),
ne s'étant aperçu que le 27 Janvier 2001, jour du 245ème
anniversaire de la naissance de Mozart (qui pourrait bien l'avoir
guidé en cette affaire comme en bien d'autres) de cette étonnante
nouvelle... "coïncidence (?)".
Après la date, il y a la manière dont se sont déroulées
en ce Samedi, 18 Mars 2000, les différentes prestations de
la classe de saxophone et de Y,
classe des voix de Sax, évoquant
cette voix de Saxe que fut Louis XVI,
fils de Marie-Josèphe de Saxe : |
- en proposant sa transcription (restauration à l'identique avec des techniques modernes,
comme pour le Parlement) de la Sonate RV 53 de Vivaldi (Editions
Lemoine) pour saxophones soprano et baryton (basse continue) et
clavecin, Y ignorait à quel point cette exécution s'accorderait
avec la salle des Assises où elle fut jouée. En
effet, le clavecin est l'instrument de l'Ancien Régime
par excellence, joué de plus par Mozart enfant au Palais
du Temple (en face du donjon) à Paris, sur le tableau "Thé
à l'Anglaise chez le Prince de Conti". Eh bien ! Ce
fut devant un magnifique blason royal sur fond bleu fleurdelysé,
sous un plafond de nuages peints sur des ciels bleus : "ces
merveilleux nuages qui passent... qui passent ..." comme
les pouvoirs des hommes, que ce clavecin sonna avec les saxophones, bois de cuivre dorés dans
les ors neufs des boiseries refaites.
La Sonate fut rejouée deux fois. Et ce fut là que Y comprit à quel point le Parlement était
un symbole monarchique ;
- en dehors de cette oeuvre, le quatuor de saxophones "Les
Saltimb'ars" comprenant deux de ses élèves,
joua deux heures dans une autre des magnifiques salles du Parlement ;
- mais la prestation la plus riche de signes fut, pour Y,
la dernière, où, avec plusieurs élèves,
il joua des musiques africaines qu'il avait recueillies au Sénégal,
au milieu de 7 danseurs serpents, qu'il eut la charge d'éveiller
avec son "solo peulh", dont voici un extrait :
|
|
cette exécution, dans une chorégraphie de Florence
TISSIER, eut lieu du côté cour de la salle
des piliers (les piliers
de la loi ?) tandis que se préparait, côté
jardin, la scène de... l'arrestation
de la Chalotais ! au milieu des tenues bleues des soldats
d'Ancien Régime. D'un côté, la cause de la
mort de la monarchie, de l'autre, sa résurrection, selon
les signes de Y (la balance de la justice ?)
En somme, dans les deux plateaux de la balance de la
Justice, Salle des Piliers du Palais royal du Parlement de Bretagne,
à l'esprit tout à la fois régénéré
et enraciné dans le passé d'Ancien Régime
rénové, il y eut, à l'achèvement du
7ème des 7 mois - 13 mois de "Mil neuf cens nonante
neuf sept mois", et à la fin de l'année commencée
le 20 Mars 1999, avec l'"avant après" nostradamique,
très exactement, le 18.Mars 2000 (cf. ci-dessus), de ce
Mars "regnant par bon heur" sur le quatrain, il y eut
donc sur le plateau "jardin", l'origine de la défaite qui
mènera à son abolition l'abolisseur de la royauté
basochienne, et, sur le plateau "cour", le roi, Y selon les signes, faisant flamboyer la puissance
vitale de l'Afrique Noire, berceau de son initiation et, peut-être,
de l'humanité, dont la Veuve Simon dit qu'elle accompagna
Louis XVII, en la personne d'un noir, lorsqu'il la visita, et
l'or des saxophones, dont le nom de la voix est symbolique des
racines du roi de la Révolution, Louis XVI, mené
à sa perte par l'épisode La Chalotais, alors que
des marins-pêcheurs bretons achevèrent de détruire
le symbole royal du Parlement en présence d'un premier
ministre brocardé en... Louis XVI, sous un président
brocardé en François Ier, puis... Dieu, le véritable
Organisateur de Varennes..
Mais, il y a plus, dont Y vient seulement de s'apercevoir : la mise en scène
de l'arrestation de La Chalotais fut réalisée par Marie-Jo Bouillé : le diminutif
du prénom de la mère de Louis XVI associé
au nom de l'organisateur du voyage à Varennes, dont le
fils attendait Louis XVI au "Grand Monarque", nom qui
est la prononciation africaine de celui de Y (cf. varennes_va-a-rennes.htm#bou) !...
Autre élément fort dans cette représentation
: l'éveil des 7 serpents-danseurs par le solo peulh joué au saxophone, dont l'ancêtre
est aussi le serpent, que Y comprit comme le symbole de la connaissance nouvelle.
Remarquons que le serpent est aussi l'animal que la Femme de l'"Apocalypse",
Notre-Dame-de-Rennes écrase sous son talon, du haut du
Thabor, sur lequel nous reviendrons, d'où elle domine Rennes,
le CNR et la classe de Y.
Cela signifie que le serpent est le symbole d'une double connaissance,
et donc d'un double pouvoir : la connaissance-avoir du pouvoir humain,
celle avec laquelle se compromit la royauté d'Ancien Régime,
et la Connaissance-Etre, ou Co-naissance à l'Etre, celle du "grand-Roy
d'Angolmois" ressucité, Y,
selon ses signes.
|
|