Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
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SOMMAIRE MUSIQUE NOSTRADAMUS
SIGNES
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NOSTRADAMUS, IX, 20




VOIR AUSSI :

Interprétation du quatrain X, 72, sur 1999 : cliquer ;
Interprétation du quatrain IX, 20, sur Varennes-Rennes : cliquer ;
Varennes - "Va-à-Rennes" : cliquer ;
"Rennes-Parlement" & Versailles Vers ailleurs : cliquer ;
Paris-Varenne (du Louvre) : cliquer.










I.-
"LE MOINE NOIR EN GRIS DEDANS VARENNES"
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Le carré SATOR et des éléments du mystère de Rennes-le-Château viennent de nous conduire à Varennes, relié à Chyren et Y,
nous allons voir comment Y, retrouve cette même relation dans le quatrain IX, 20 de Nostradamus qui cite précisément Varennes :


"De nuict viendra par la forest de Reines
Deux pars vaultore Herne la pierre blanche.
Le moine noir en gris dedans Varennes
Esleu cap, cause tempeste feu sang tranche."




Y venait d'auto-éditer, en 1988, son disque-manifeste "La Voie Scriptorale" (cf. plus.htm#lav) :







Arrivant au terme de l'un de ses "Va-à-Rennes", en présence de Notre-Dame-de-Rennes, la femme de l'Apocalypse qui domine le Thabor, et se remémorant le troisième vers du quatrain :

"Le moine noir en gris dedans Varennes"

il eut le sentiment - inspiré par cette femme ? - qu'avec cette publication, il venait de réaliser la prophétie nostradamique, ce que les signes lui confirmèrent ensuite.
En effet, lui qu'un long parcours avait jusque là laissé solitaire et obscur, "moine noir", malgré la richesse fabuleuse du message qu'il avait conscience de détenir (moine vient de monos : seul, racine de monarque), lui donc, pensait que la parution de "La Voie Scriptorale" allait enfin l'amener à la lumière et à l'air libre. En réalité, elle ne le fit que passer du "noir" au "gris", en son "Va-à-Rennes", sens qui lui fut donné pour Varennes.

C'est ce qu'illustre parfaitement la pochette du disque :
Y l'avait conçue étincelante sur fond noir, par les reflets de l'aluminium et du cuivre des saxophones. Sa tête y traversait une lame hexagonale, France-guillotine, se transformant en collerette de vaisseau spatial - fou de Dieu, propulsé par les tubulures de ses trois saxophones (cf. ci-dessus). Son imprimeur, au nom pourtant glorieux ! l'anesthésia totalement en mettant le fond noir sous la totalité de la photo, au lieu de ne le placer qu'autour du sujet, pour un résultat fort... gris !!!.


II.-
"DE NUICT VIENDRA PAR LA FOREST DE REINES"
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Dans le premier vers du quatrain :

"De nuict viendra par la forest de Reines"

"De nuict" peut tout à fait annoncer le "moine noir", c'est à dire l'obscurité de la venue de Y-Chyren, et "par la forest de Reines" le concerner également totalement, puisque "Reines" par deux fois au moins, en dehors de Y, est interprétée comme la ville de Rennes :

- par l'employé de la Bibliothèque municipale de Bar-le-Duc, cf. jacques_chirac.htm#bar, où il est ajouté que, à côté de Rennes, se trouvent Ernée et Vautorte, évoquant "Herne" et "vaultore", qui sera aussi écrit "voltorte" et "vaultorte" ;
- par Chris Caron, pour qui la Reine du Sud est Rennes-le-Château, et la Reine du Nord, la capitale de la Bretagne (cf. pierres_d_angles.htm#ren).


Mais ce n'est pas tout : Y, qui s'appelle Bouhey ("boué" signifie bois en patois bourguignon), est bien, de plus, dans le département des bois, regroupant flûtes, hautbois, clarinettes, bassons et saxophones, au CNR de Rennes, or, les "bois" sont synonymes de "forest". Et, mieux encore, son identité professionnelle fait apparaître l'anagramme de Chyren, lui-même anagramme de Henryc, entre père - Rennes et bois, de la manière suivante :

A. Bouhey CNR de Rennes dans les bois
soit
Abou - Heycnr - bois de Rennes



Abou
=
Père en Inde


Heycnr
=
Chyren


bois de Rennes
=
"forest de Reines"


Ainsi, par A. Bouhey, son nom français localisé en Bourgogne (Bouhey et son Bois) et en Aquitaine (Labouheyre), les deux duchés de Huges Capet (cf. auteur.htm#res), Y est :

- "bouhe" dans la Gascogne de Henri IV, c'est à dire souffle de la taupe ("De nuict viendra") qui viendra respirer à la surface (cf. etreinte_suite.htm#epe) ;
- "bois-boué" dans la Bourgogne du Téméraire, jouant un bois qui flamboie (bois de cuivre et voix de Sax - et de Saxe ? -, dans les bois de Rennes en Bretagne ("la forest de Reines") (cf. auteur.htm#res) :
- YHVBH hébraïque = Temple-Verbe, fille - comme la France -, pupille de Dieu (cf. auteur.htm#yhvbh et etreinte_suite.htm#yhvbh) ;
- père en terres judéo-chrétienne (A. B.), indoue (abou) et islamique (aboué) (cf. auteur.htm#res), et... nostradamique (?) (cf. #nos).

Restent Bouillé et Tala Fall (Fall = chameau), ses noms africains (cf. auteur.htm#var et pierres_d_angles.htm#der) et , Yalone Bpourré, son nom taïwanais (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#ya, auteur.htm#ya et auteur.htm#bouret).




III.-
"DEUX PARS VAULTORE HERNE LA PIERRE BLANCHE"

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Le second vers du quatrain
"Deux pars vaultore Herne la pierre blanche"


n'est pas plus décevant que les précédents, par rapport à "La Voie Scriptorale" :

- cette oeuvre est bien en deux parties : disque et livret, musique et verbe, correspondant à tout l'engagement de Y, qui se définit comme un "saxophoniste de lettres". Par ailleurs, ces deux parties s'attachent à réunir les deux formes d'esprit complémentaires et opposées de composition-interprétation et de destruction-transformation ;
- "vaultore", qui sera aussi orthographié "voltorte" et "vaultorte", par la suite, est proche de "volte" (1550), signifiant tour, de "voltare", tourner, et surtout de "voltor" et "voltur", XIIIème siècle, qui donneront "vautour" au XVIème ; si on fait de "vaultore", tourner à la manière d'un vautour (pour nettoyer la terre de ses cadavres et détritus, de sa mort), on trouve exactement le sens du disque qui, lui aussi, tourne, et de la recherche scriptorale, qui va sans cesse de la musique au verbe, du verbe à la musique, de la composition à l'improvisation et de l'improvisation à la composition, par l'interprétation, pour dégager de la mort du "script", la vie de l'"oral" et ouvrir la... voie "scriptorale", le ciel, par l'inversion de la pyramide de lumière fermée jusque là ("script", "oral", "scriptoral" sont définis en scriptoral.htm) ;
- "Herne", que les uns traduisent par Reine, son anagramme approximatif , et d'autres par "hernute", est bien proche pour
Y de "Hergne", mot populaire venant du latin "hernia" et signifiant "hernie". Or, cette hernie, qu'il a inguinale dans son corps (cf. etreinte_suite.htm#her), est ce que représente sur la pochette de son disque, sa tête pour la France-guillotine qu'elle transperce par une divine folie. De plus "hernie" est l'anagramme de "Henri E", ce E dont le dota à sa naissance son grand-père, en écrivant sur un fragment de papier :


"le petit Alain est née le 16 Février 1949",


un E dont le nombre est V, ce qui fait de




Henri E, Henri V,
c'est à dire, comme par "ASAR",
Chyren !...




Quant à la "pierre blanche", c'est bien sûr, Scriptoral, la pyramide inversée de lumière.



IV.-
"ESLEU CAP, CAUSE TEMPESTE, FEU SANG TRANCHE"

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Reste le dernier vers :
"Esleu cap, cause tempeste, feu sang tranche"

...qui n'est pas en reste !

En effet, "esleu cap", c'est, pour
Y, le cap élu, choisi. L'arrivée au bon cap de "bon cap Bouret", anagramme de Bourbon-Capet, Bouret étant évoqué par la prononciation taïwanaise de son nom : Bpourré (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#bou et auteur.htm#bouret). C'est aussi la tête, le chef (caput) de la pochette, qui a réussi très probablement à percer la guillotine qui l'a enfouie, à la transformer en collerette de fou avec ses grelots (cf. #lav) : le fou pour les hommes, incapables de le voir venir, car il est sage de la sagesse de Dieu qui leur est étrangère, "esleu cap", c'est le chef, la tête élue, le roi à venir, Chyren, et, jusqu'à présent, tout lui dit que c'est lui.

"Tranche" : nous avons déjà dit que "tranche" était le fait pour la tête de
Y d'avoir tranché la trancheuse sur la pochette de son disque. Or, voici ce qui lui arriva : "tempeste" et "feu" lui faisant penser aux "Prophéties" de Franz Tournier qu'il créa à Nüremberg (en 1982 ?), il chercha cette partition (on devait être en 1995), et, au moment où il la trouva, en tomba un horoscope du... "Soleil !", quotidien de Dakar, datant du 16 Février 1978, jour de son 29ème anniversaire, lequel l'avait suffisamment marqué pour qu'il le garde pendant 17 ans (notons au passage que 29 est un nombre de résurrection monarchique, puisqu'inverse de 92, nombre d'abolition - 1792 -. Voici ce qu'il lut :


"HOROSCOPE



SI VOUS ETES NE AUJOURD'HUI : Vous avez beaucoup de charme et d'esprit. Si vous vivez sur le plan le plus élevé, vous atteindrez les sommets et deviendrez un chef dans tout secteur choisi comme métier. Votre personnalité est fine et, dans le meilleur cas, vous faites un compagnon charmant. A d'autres moments, vous pouvez être trop tranchant ou trop peu optimiste. Et on ne sait jamais pourquoi ces sautes d'humeur."


("Le Soleil", Dakar, 16 II 1978)



Nouveau "ASAR" surprenant : d'une part, cet horoscope va comme un gant à Chyren, et, d'autre part,
Y venait de donner une interprétation selon laquelle "tranche" (intégré à un vers de Nostradamus faisant allusion au texte des "Prophéties" de Franz Tournier) signifiait qu'il était tranchant, parce que, sur la pochette de "La Voie Scriptorale" sa tête tranchait symboliquement la guillotine-France, et voilà que, cherchant les phrases exactes des "Prophéties", au sujet de "cause tempeste, feu", lui tombe aux pieds (rangé, sans qu'il se le rappelle, précisément dans cette partition), un horoscope vieux de 17 ans, disant qu'il était "trop tranchant" !... Ne faut-il pas être "trop tranchant" pour être trancheur de trancheuse ?...

Maintenant qu'en est tombé l'horoscope, confirmant l'interprétation de "tranche", revenons à "cause tempeste, feu", autrement dit, ouvrons la partition des "Prophéties" pour saxophone alto et orgue, que le compositeur Franz Tournier chargea
Y de créer au VIIème Congrès Mondial de Saxophone à la Sankt Sebaldus Kirche de Nüremberg. L'oeuvre est en quatre mouvements, ayant chacun pour titre une prophétie tirée de l'Ancien Testament. Le premier commence très fort, puisque ce qu'y dit musicalement le "saxophoniste... de lettres" ce n'est rien d'autre que :

"I.- C'est moi qui vous ferai porter votre fruit." (Osée, XIV, 9.)





Chyren pourrait-il dire plus ? Et c'est Y qui, ce jour-là, le dit... pour lui, en création mondiale. Il y vit donc le signe qu'il se déclarait Chyren, à l'insu de tous, en Allemagne, réalisant une jonction que Varennes avait empêchée, puisque, à Stenay, près de la forêt où fut assassiné Dagobert II, à la tête coupée porteuse du carré ROTAS (cf. carre_sator.htm#dag), Bouillé attendait Louis XVI, à 36 km au Nord-Est du lieu de l'arrestation avec le régiment Royal Allemand (cf. pierres_d_angles.htm#der), maintenant que, comme le dit le carré SATOR, il y a "OROR-OROP" : "aurore sur l'Europe" (cf. pierres_d_angles_suite.htm#oro).
"ASAR" ?

Toujours est-il que la seconde des "Prophéties" dit, effectivement, que ce fécondeur spirituel sera "cause (de) tempeste" :

"II.- Le Seigneur élèvera sa main sur le fleuve,
Il l'agitera de son souffle puissant." (Isaïe, XI, 15.)


Y, dans la mesure où son interprétation du signe de Nüremberg est exacte, correspond donc bien au "cause tempeste" du quatrain. Restent "feu" et "sang".
Le premier est à nouveau donné par un autre mouvement de "Prophéties", le quatrième, où il correspond pour
Y à la lumière spirituelle par laquelle il faut passer pour co-naître :

"IV.- Je les ferai passer par le feu." (Zacharie, XII, 9)

Par ailleurs, ces trois mots : "feu sang tranche", que Charles Raynaud-Plense reproduit sans les séparer par des virgules correspondent à plusieurs tableaux de "Chromophonie Scriptorale" (cf. chromophonie_scriptorale.htm) :

- "Feu" se retrouve notamment dans le tableau "III, 5.- ABANDON AU SCRIPT = FILTRATION" (cf. oral_script_scriptoral_III_5.htm) ;
- le "sang" macule la quasi totalité des tableaux, et symbolise la vie qui pulse et qui gicle.
- "tranche" se retrouve sous la forme d'une tête de prophète sous une phrase en forme de lame de guillotine : "V, 2.- SCRIPT = ANTITHESE = MORT" (cf. vie_mort_resurrection_V_2.htm).

Ainsi, le quatrain IX, 20 de Nostradamus a, comme le carré ROTAS/SATOR, une double face, l'une de mort, l'autre de résurrection et de vie : tout ce qui, appliqué à Louis XVI à Varennes, est synonyme de destruction et de mort, se métamorphose, appliqué à Y en son "Va-à-Rennes" en vie et lumière du corps et de l'esprit.
Varennes est donc l'entrée dans la nuit du tunnel, et "Va-à-Rennes" est la sortie vers la lumière. A partir de là, il y a très peu de choses à changer pour moderniser le quatrain de Nostradamus, à la manière des textes de "Chromophonie Scriptorale", comme si leurs deux styles procédaient, à travers les siècles de la même veine, ou comme si le mage guidait toujours l'inspiration de
Y :



"De nuict viendra par la forest de Reines
Deux pars vaultore Herne la pierre blanche.
Le moine noir en gris dedans Varennes
Esleu cap, cause tempeste feu sang tranche."




devient :



"C'est de nuit qu'il viendra par les bois de Rennes
En deux parties-vautour sa "hernie - Henri E" comme la pyramide vivifiant à blanc.
Gris en son "Va-à-Rennes" le solitaire noir de Dieu
Elu a son cap tenu, cause de tempête, feu et sang il tranche."





 
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