Avec
tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation
d'en utiliser les documents.
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VARENNES
- "VA-A-RENNES"
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Y fit, à
la demande de sa femme, deux voyages à Metz, les 7.10 et 5.11.1999.
Le premier fut l'occasion, pour lui, de remarquer, sur l'autoroute,
le panneau de Varennes-en-Argonne représentant l'arrestation
de la berline royale.
C'est précisément à cette époque que,
d'une part, il rencontra quelqu'un connaissant Varennes, et que, d'autre
part, il apprit l'existence d'un ancêtre de son épouse
ayant habité cette localité en 1791. S'il est bien le
descendant de Louis XVII que ses signes lui disent être, il
a donc rencontré dans ses racines royales, celles populaires
de son épouse, les 21 et 22.6.1791, au moment de l'arrestation
qui mit toute la cité en émoi, le tocsin sonnant dans
les deux églises. Ainsi, la fin du tunnel varennois qu'il vivrait
actuellement avec elle, aurait, comme il se doit, une entrée
varennoise également commune (de quoi inspirer Claude Lelouch,
non ?)
Y ne manqua bien sûr pas de profiter
de ses deux voyages à Metz pour y faire autant de visites à
Varennes, ce qui lui permit de découvrir les étonnants
signes entourant l'évènement de 1791, et la totale inexactitude
d'un point symboliquement important du récit de celui-ci par
Georges Bordonove, dans son "Louis XVI, le Roi-Martyr",
aux Editions France Loisirs : |
"La berline est conduite à l'auberge du Grand
Monarque, où M. Sauce attend, ceint de son écharpe
tricolore."
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Nous y reviendrons.
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A.-
PREMIERE VISITE A VARENNES-EN-ARGONNE
le 7.10.1999
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ECRASEMENT AMERICAIN
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Lors de sa première visite à
Varennes, Y n 'eut que le temps de
voir la Tour Louis XVI, l'emplacement de la Maison Sauce, détruite
pendant la Première Guerre mondiale, l'Aire, rivière
sur le pont de laquelle Drouet construisit une barricade, et l'emplacement,
sur un plan, de l'"Hotel du Grand Monarque", où
les prisonniers ne purent pas se rendre, en raison de la barricade,
contrairement à ce qu' écrit Georges Bordonove (cf.
citation).
Il s'aperçut aussi que ce bourg est également célèbre
pour le mémorial américain, gigantesque à son
échelle, érigé en 1927 par la Pennsylvanie,
pour commémorer sa participation à la Guerre 1914-1918.
En fait, l'endroit est stratégique, entre la forêt
de l'Argonne où se trouvait l'abri du Kronprinz, Verdun,
et (aux débuts de l'envolée républicaine) Valmy
- les 3 "V" ! -. Ce mémorial lui donna une impression
d'écrasement : la participation américaine à
la première des deux plus grandes boucheries internationales
à ce jour - boucherie qui détruisit d'une chiquenaude
la Maison Sauce - reléguait un élément central
de notre histoire nationale, décisif pour sa République,
au rang artisanal de folklore local.
Ainsi, le titan, dont nos paysans (eux qui arrêtèrent
le roi) attaquent actuellement l'hégémonie, siège
en maître à Varennes, où il faut chercher les
traces de Louis XVI, lui qui, pendant la Guerre d'Indépendance,
s'allia officiellement aux Insurgents contre les Anglais, le 6 février
1778, leur envoya des troupes sous le commandement de Rochambeau,
et reconnut l'Indépendance des Etats-Unis, en 1883, par le
Traité de Versailles.
Alors donc que ce lieu était précisément l'occasion
pour la Pennsylvanie d'avoir, au nom des Etats-Unis, une pensée
légitime pour ce roi, elle y occulta tout lien avec lui.
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A partir de là, se multiplient pour Y des coïncidences trop troublantes pour qu'il n'y voit pas de
très probables signes : Il commença par constater qu'il
notait ses impressions dans un chapître intitulé |
"SIGNES SIMPL(IST?)ES ET NAIFS N° 51",
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et que la phase finale de l'arrestation de Varennes commença
à Sainte-Ménehould, à quelques kilomètres
de là, où le maître de poste Drouet va suspecter
ce Monsieur Durand (Louis XVI) auquel d'Andouins, le commandant des
dragons, parle au garde-à-vous. Drouet sera l'élément
déterminant de la suite des évènements. Or, Sainte-Ménehould
se trouve dans la Marne de numéro 51,
de même nombre que le chapître, et Varennes dans la Meuse
de nombre 55,
nombre clé déjà rencontré à propos
de Mozart, mort à 0h 55, le 5.12.1791,
5 mois et 14 jours après l'arrestation (cf.
interpretation.htm#mozart), nombre donné par la somme des
lettres de JACQUES CHIRAC (cf. jacques_chirac.htm#22),
de façon intéressante : 22 + 33, ainsi que par son rang
dans la Vème République : 5ème
Président de la 5ème République
(5-5).
55270, le code postal de Varennes, apparaît
lui-même comme un signe : Il unit à 55,
2 et 70, deux nombres concernant
directement Chyren, le Grand Monarque devant ressusciter la grande
monarchie française s'étendant de François Ier
à Louis XVI. En effet Nostradamus l'appelle "Henry, roy
de France second", et, dans son
"Le Grand Monarque selon les Prophéties", Louise
Courteau éditrice, Michel Morin donne Chyren comme le 70ème
roi de France.
Par ailleurs, 51 - 55 sont les numéros
des immeubles séparant, rue de Varenne, à Paris, la
"Voûte Cinquantenaire" adossée à l'ambassade
d'Italie (pays où se trouve l'Etat de l'Eglise) du 57, l'Hôtel
Matignon, lieu du gouvernement de la République française
(cf. jacques_chirac.htm#del).
Souvenons-nous que le voyage de Louis XVI le conduisit de la varenne
du Louvre à Varennes, où il fut arrêté
sous la voûte attenante à l'Eglise, comme il existe rue
de Varenne à Paris une voûte attenante à l'ambassade
du pays de l'Etat de l'Eglise, voûte située entre les 47 (numéro de l'Ambassade d'Italie)
et 51 de cette rue où il n'y a
pas de 49, où il fut demandé
à Y (né en 1949),
de passer entre ses 47 et 51
ans (cf. jacques_chirac.htm#22).
Ajoutons que cette demande fut faite par une
personne, dont le nom exprimait la double action que faisait Y en venant chez elle, avec, en trop, le "s" qui manquait
à la rue de Varenne pour qu'elle s'écrive... Varennes
!
En fait, deux mouvements contraires sont impliqués par ces
deux voûtes : celle de Varennes-en-Argonne fit descendre Louis
XVI dans la rue de la Basse-Cour où il perdit son pouvoir,
celle de la rue de Varenne plaça Y
entre les deux pouvoirs que la Révolution sépara
: celui de l'Eglise du Vatican et celui de la République française...
pour les réunir d'une nouvelle manière... par Scriptoral
?...
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Lors de sa visite
du 5.11.1999, Y remarqua
au centre de l'affaire de Varennes, les deux Bouillé, père
et fils. Plus tard, il apprendra que le père, le marquis
de Bouillé, était le lieutenant général
responsable de tout le voyage, il attendait la berline à
Stenay, à 36 km au nord de Varennes, avec le 15ème
Régiment de Cavalerie, l'ancien Royal-Allemand, d'environ
300 hommes, commandés par le lieutenant-colonel de Mandell.
Le fils, le chevalier de Bouillé était en fait son
fils cadet, l'aîné étant le comte Louis de Bouillé.
Ce chevalier de Bouillé, second fils du marquis arriva à
l'"Hôtel du Grand Monarque" (choisi pour relais
de poste) le 21.6.1791, entre 12 et 13 heures. L'hôtel, toujours
existant, comme Y le découvrira à sa seconde visite se trouve en bas
de Varennes, et de l'autre côté de la rivière.
Le problème fut que l'attelage arriva par le haut, sans connaître
l'endroit de l'hôtel. Le roi perdit un temps précieux
à se renseigner, tandis que ses poursuivants le dépassèrent
et organisèrent son arrestation dans la descente menant
au "Grand Monarque",
sous la voûte attenante à l'Eglise, après avoir
barricadé le pont sur la rivière. Lorsque Bouillé
fils, à la fenêtre de sa chambre, entendit les clameurs
de la foule, à moins de cent mètres de lui, à
vol d'oiseau, il partit à Stenay (à 36 km !) tout
raconter à son père, plutôt que d'affronter
le peuple.
Côté signes, cela commence à devenir particulièrement
riche, et ce n'est qu'un début : Ainsi, Louis XVI, parti
de la varenne du Louvre, où il était chasseur de caille
et de perdreaux, arrive à Varennes où il est gibier
chassé et rattrapé, avant qu'il ne touche au relais
du "Grand Monarque", qu'il perd son temps à chercher.
Le temps est donc responsable de l'échec.
Or la raison du voyage, exprimée à Varennes dans la
Maison Sauce, est, pour le roi, la volonté de restaurer
le pouvoir royal en retrouvant son peuple de province,
alors qu'il est prisonnier de celui de Paris, et le grand
monarque est, précisément, celui
que toute la tradition prophétique annonce comme le "grand
Roy d'Angolmois ressuscité", le descendant de Louis
XVI, devant ressusciter le pouvoir monarchique
de droit divin, qui va mourir avec Louis XVI, par...
Varennes, la résurrection étant
annoncée en "mil neuf cens nonante neuf sept mois",
c'est à dire, selon l'interprétation de "Mehr
Licht !" (cf. interpretation.htm#1999),
le 18 Mars 2000 (cf. interpretation.htm#ton),
au... Parlement de Rennes ! (cf. "Rennes-Parlement"
& Versailles Vers ailleurs )
Tout indique donc, qu'à Varennes, une boucle se boucle et
que, si le roi ne peut pas joindre le relais du "Grand Monarque",
pour des raisons de temps, sur lesquelles nous reviendrons, car,
elles-mêmes sont symboliques, c'est qu'en fait, bien loin
d'arriver trop tard, il arrive beaucoup trop tôt, avec...
208 ans, 9 mois et 26 jours d'avance, et pas au bon endroit, Varennes,
comme Y le comprendra,
étant un message-flèchage: "Va-à-Rennes",
c'est à dire : "retourne au point
de départ de la révolution : le Parlement de Bretagne
à Rennes, avec l'arrestation de son procureur général
: La Chalotais, en 1765", (cf.
rennes.p_versailles.htm#rev
), ce qu'un employé de
la bibliothèque municipale de Bar-le-Duc, a pressenti, à
partir du quatrain IX, 20 de Nostradamus citant "Varennes"
et la "forest de Reines" (cf. jacques_chirac.htm#bar
et nost_9_20.htm).
Mais cela ne s'arrête pas là, dès cette première
visite : En effet, Y ne put pas manquer de remarquer que Bouillé est la façon
dont les sénégalais prononcèrent son nom si
riche de possibles, de 1971 à 1978, dans cette Afrique origine
de la recherche scriptorale, qui lui donne ce qu'il considère
comme la clef de David (cf. cle.htm#cle).
Ainsi, celui qui attend Louis XVI au "Grand
Monarque", en 1791,
porte le nom que l'Afrique, son initiatrice via Kaolack, Dakar et
le Sénégal, donnera à celui que tous les signes
désigneront, deux siècles plus
tard, comme le grand monarque,
et, de plus, ce chevalier de Bouillé est le second fils de l'organisateur général de l'équipée
de Varennes, second comme "Henry roy de France second"
: à nouveau le grand monarque (cf. historique.htm).
Voici donc les premiers éléments qui, à Varennes,
incitèrent Y
à envisager le voyage
royal, comme tout autre chose qu'une fuite humaine : l'exécution
de la volonté divine
permettant d'amorcer le retour royal à la source pour s'y
régénérer et ressusciter. Et de fait, dès
le lendemain, la volonté du peuple, contre la volonté
du roi, ("Vox populi, vox Dei !"), entamera la première
partie du "Va-à-Rennes" menant à la mort,
source de résurrection : Varennes-Paris, ce qu'Y,
poursuivra, 189 ans plus tard en Eragny-Paris-Rennes.
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A la suite de son premier
voyage, le 7.10.1999, Y
commanda, au régisseur
du Musée de Varennes, le livre de Monseigneur Charles Aymond
intitulé "l'Enigme de Varennes" aux Editions Lorraines,
livre qui le confirma dans l'idée de la portée extra-humaine
de l'évènement varennois, dont voici un extrait de
plan :
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Points forts de l'arrestation
royale à Varennes,
d'après "L'Enigme de Varennes" de Charles Aymond
(Ed. Lorraines)
A propos, n'est-ce
pas Alexandre Dumas,
qui fut étonné par la forme de la place de l'arrestation
:
une lame de guillotine ?!?...
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Après s'être arrêté
près de l'une des premières maisons de Varennes à
droite de la route, que Louis XVI prit pour le relais, le roi, selon
la tradition, descendit lui-même de voiture pour y aller frapper,
en demandant les chevaux. Il s'entendit répondre :
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"Passez votre chemin, nous ne savons ce que vous voulez"
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La berline repartit pour s'arrêter
un peu plus loin sur la droite, où une porte entr'ouverte laissait
filtrer un peu de lumière. C'était celle de Monsieur
Bigault de Préfontaine, ancien capitaine aux Gendarmes du Roi,
chevalier de Saint Louis et intendant des biens du prince de Condé
en Clermontois, homme au rôle ambigu, qui, craignant de se compromettre,
fit perdre aux voyageurs, vers 23 h - 23 h 30, environ trente-cinq
minutes, durée citée par Charles Aymond : |
"Le résultat le plus clair était qu'à
moins de cinq cents mètres du but, on avait perdu
environ trente-cinq minutes, d'une importance capitale,
puisqu'elles étaient la dernière chance de
salut."
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Trente-cinq minutes
au milieu desquelles passèrent
quatre hommes, qui les poursuivaient, parmi lesquels Drouet et Guillaume
de Sainte-Mènehould. Ils eurent un quart d'heure pour préparer
leur embuscade sous la voûte surbaissée de l'église
du haut de Varennes, l'Eglise du Château par où devait
obligatoirement passer la berline.
Les distances séparant les points clés de l'embuscade
étaient les suivantes :
- Maison de Préfontaine - voûte de l'arrestation :
222 m ;
- Voûte - Maison Sauce : 48 m ;
- Maison Sauce - Pont sur l'Aire : 72 m ;
- longueur du pont : 20 m ;
- pont - hôtel du Grand Monarque : 30 m ;
avec un rapport décisif de l'espace-temps : 222
m / 35 minutes, où Y ne pouvait pas manquer de voir un nouveau signe. En effet, 111 et
222 sont des nombres qui marquent à plusieurs reprises Louis
XVI et le futur Louis XVII (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111).
Nombre des commissaires de la République qui auront visité,
de fin octobre 1794 au 8 Juin 1795, date de sa mort officielle,
le jeune prisonnier du Temple, nombre fatidique de mètres
pour la monarchie à l'intérieur de Varennes, 222 est contenu dans les dates-mêmes du voyage à Varennes
: du 20 au 22.6.1791,
jusqu'à ce 6 de juin, qui est 2+2+2.
Quant à 35, c'est
le numéro de l'Ille et Vilaine, et de Rennes la solution de ce voyage, le message donné : "Va-à-Rennes".
Mais (n'est-ce pas assez stupéfiant ?), c'est aussi le nombre
donné par la somme des lettres de VARENNES
: 4 + 1 + 9 + 5 + 5 + 5 + 5 + 1 = 35
!
Avec ces deux nombres, Y retrouve l'image du tunnel, qu'il a déjà évoquée
à propos de l'ancêtre de sa femme, varennois en 1791. 222 et 35,
accompagnent la descente de la monarchie dans
sa nuit, et curieusement se retrouvent dans la sortie
de la nuit pour Y : venant
par le 35 des bois saxophinistiques
de Rennes ("la forest de Reines ?), n'a-t-il pas été
publié pour la première fois seul par les Editions
Lemoine en 1994, année où
celles-ci fêtèrent un curieux 222ème
anniversaire, enracinant cette plus vieille maison d'Edition musicale
française au coeur de la rencontre de Louis XVI et Marie-Antoinette,
puisqu'elle fut fondée en 1772,
entre leur mariage en 1770 et le début de leur règne
en 1774, et que son fondateur, Antoine-Marcel Lemoine, fut... violoniste
au théâtre de Madame de Montansier, à la cour
de Versailles, puis altiste au Théâtre de Monsieur,
frère de Louis XV ?
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La voûte de l'église
sous laquelle eut lieu l'arrestation était donc celle du
haut de Varennes, du Château, en-dessous de laquelle se trouvait
la rue de la Basse-Cour, la cour du peuple. C'est la que furent
conduits les occupants des deux voitures, dans la Maison de Sauce,
procureur-syndic de la commune, moment symboliquement fort, puisque
cette descente dans la Basse-Cour marque le début
de l'enfouissement de la monarchie légitime dans le peuple,
si l'on en croit et la tradition prophétique qui affirme
la continuation de la lignée royale jusqu'à nous,
et les signes de Y.
Les retrouvailles avec le peuple de province paraissent être
la raison profonde et pleine de logique du voyage du roi, qui déclara
dans la maison Sauce :
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"Oui, je suis votre roi. Placé dans la capitale
entre les poignards et les baïonnettes, je viens chercher
en Provine et au milieu de mes fidèles sujets la
liberté et la paix dont vous jouissez tous ; je ne
puis plus rester à Paris sans y mourir, ma famille
et moi."
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En fait, Paris le vouant à
la mort, la seule solution qui lui restait était la province,
qui, elle, n'eut pas d'autre souhait que de le ramener à Paris.
Il avait tout tenté, son destin était scellé.
Charles Aymond souligne que Louis XVI était sincère
quand il disait ne pas vouloir quitter la France : le tracé
de sa route, au verso de son passeport, ne se continue plus, après
Montmédy, que par un pointillé.
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Varennes ne disposait pas de
relais de poste régulier, ainsi que Bouillé l'avait
signalé, dans sa crainte d'attirer l'attention par des mouvements
de domestiques et d'animaux, ce qui ne manqua pas de se produire.
L'"Hôtel du Grand Monarque" fut choisi pour des
raisons de sécurité, car situé
à l'abri du pont, dans la direction de Stenay
et de Montmédy (cf. plan), ce dont personne
ne songea à avertir le roi.
C'est précisément
la valeur stratégique du pont, alliée au nom de la
rivière : l' Aire, qui ne manqua
pas d'attirer l'attention de Y : En effet, le grand monarque doit arriver à la jonction
des deux ères astrologiques
du Poisson et du Verseau, comme si l'Aire avait délimité ces deux ères,
comme si le roi ne devait pas dépasser l'eau des poissons,
l'eau du signe du Poisson, symbolisée par l'Aire-rivière. Toutefois, à Varennes, la volonté du peuple d'empêcher
le roi de franchir cette rivière si symbolique, fut contournée
de bien étrange façon. Car, si les gardes nationaux
de Montblainville, en faction sur le pont, refusèrent à
Radet, futur général d'Empire, le passage du roi,
aux mots de : "Il ne passera pas mort ou
vif", la suite de ce refus sera l'exécution
du 21.1.1793, premier jour du signe du Verseau
! Louis XVI n'a donc pas franchi l'Aire-ère vif,
mais il l'a franchie mort, par la volonté-même
de la République, qui, sans s'en apercevoir, se saborda elle-même
sur ce sujet.
On peut même dire, que cette rivière, plutôt
que de séparer les deux ères astrologiques, les rassemble
: l'Aire n'évoque-t-elle pas l'eau du Poisson par son élément,
l'ère astrologique de ce même Poisson par sa consonnance
(Aire aux poissons - ère du Poisson) et l'ère du Verseau,
qui est une ère d'air, par son orthographe, puisqu'elle contient
le mot "air".
Ajoutons aussi, que, le nom commun "aire" signifie surface
: l'Aire-rivière, c'est donc le lieu symbolique de jonction
entre les éléments eau et air des deux ères
astrologiques du Poisson et du Verseau, où le pont est la
passerelle horizontale, ce qu'est verticalement la bouée de sauvetage qui les joint, bouée
de sauvetage qui est le premier surnom de... Y
!...
Mais, ce pont sur l'Aire représente encore
bien autre chose pour Y
: il symbolise le passage du XVIème
au XVIIIème niveau vibratoire
de conscience, la passerelle entre le monde matériel
et le monde spirituel, hypothèse qu' Y
a pu formuler, grâce
à Scriptoral, à partir d'une conversation avec un
ange gardien, enregistrée par l'institut de Norbert Monroe,
ingénieur en acoustique, qui a vécu l'expérience
en scientifique. Cette conversation se trouve dans un livre de Pierre
Jovanovic : "Enquête sur l'existence des Anges Gardiens"
(Editions Filipacchi) - cf. paroles_d_ange.htm#par
et paroles_d_ange.htm#hyp).
Ainsi, le pont sur l'Aire serait la passerelle 16-18, que les Républicains
ont barricadée pour empêcher le XVI monarchique de passer vivant dans le lieu de l'évolution
spirituelle et d'abandonner son peuple à la finitude matérielle.
Ce dernier finira le XVI en lui coupant
la tête, croyant avoir tout fait pour empêcher ce passage,
sans s'apercevoir que c'est précisément par cette
exécution un 21 janvier, qu'il
le propulsera, là, où il voulait l'empêcher
d'aller. Et, comme par hasard, Y
prend le relais en naissant
en l'an 49 du XXème siècle (il y a, selon l'ange, 49
niveaux vibratoires - un 49 absent
des numéros de la rue de Varenne -), et, de plus, un 16
février, premier des trois derniers jours du signe
du Verseau, notamment amorcé par l'exécution royale,
et trois derniers jours formant le passage initiatique... 16-18
!...
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Mais il y a plus : Louis fut
arrêté sous la voûte de l'église, c'est
à dire, à la porte du temple de Dieu, porte de Dieu,
ce qui se dit en hébreu, avec nos caractères, "YHVDH",
où "D" signifie la porte et "YHVH", Dieu,
et qui se traduit en français par "YEHOUDA". "YHVBH"
signifie, quant à lui, "B", c'est à dire
la maison, le temple, la fille, la pupille de "YHVH" Dieu
(cf. "Les secrets de Salomon" de Robert Graffin - auto-édition
-), la fille n'étant pas sans évoquer, la fille aînée
de l'Eglise, en un mot : la France.
Or, si YHVDH s'écrit en français YEHOUDA, YHVBH s'écrira,
par voie de conséquence YEHOUBA, ce qui est la lecture, en
sens hébraïque, de ABOUHEY, et abouhey est la forme
que Free proposa à Y
pour son nom : A. Bouhey dans l'URL de ce site.
En somme, Louis XVI fut arrêté à 120 mètres
du pont menant à l'Hôtel du Grand Monarque, où
se trouvait le second fils Bouillé, prononciation africaine
du nom de Y,
désigné par les signes comme ce grand monarque...
nom de l'hôtel où est hébergé le chevalier
!... Le roi fut aussi arrêté à la porte de YEHOUBA,
transcription française du mot signifiant le temple de Dieu,
sa fille, la France, et à nouveau Y,
dont il est l'une des formes du nom, lue en sens hébraïque,
sens de lecture évoquant l'origine davidique de la monarchie
dont les signes le disent héritier. Ajoutons que cette association
de Y au temple
de Dieu et à la France, est logique, dans la mesure où
il est Chyren, le grand monarque que les prophéties présentent
comme le lieutenant du Christ, ayant pour mère la mère
de celui-ci (cf. etreinte.htm#roi).
Dans Varennes, il est donc très possible, sinon probable,
que Louis XVI ait triplement touché au grand monarque et
à la France ("Hôtel du Grand Monarque", Bouillé,
temple de Dieu - YEHOUBA - fille de Dieu) sans jamais parvenir à
le joindre (Bouillé parti à Stenay, pont barricadé,
église close). Si tel est bien le cas, loin de s'être
fourvoyé en ce voyage, comme il le crut lui-même, en
en imputant la faute à Breteuil, le roi fut, au contraire,
conduit par la Main de Dieu à l'extrême limite de la
monarchie d'Ancien Régime, pour entendre sans le comprendre,
dans le nom-même de "Varennes", l'indication "Va-à-Rennes"
du lieu où sa descendance devrait se rendre, pour que, plus
de 208 ans plus tard, ressuscite la monarchie de droit divin.
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Pour finir, il est encore en
cette affaire un point qui ne manqua pas d'attirer l'attention de Y
: le soir du 22.6.1791, jour de son cuisant échec,
le marquis de Bouillé, organisateur de tout le voyage, se
retira à l'abbaye d'Orval,
fondée en 1070 par des bénédictins venus de
Calabre. C'est en ce lieu que fut détenue une prophétie
très ancienne, remontant peut-être au XIIème
siècle, et mesurée dans le temps par des lunaisons.
Elle fut lue par le père abbé de l'abbaye au Luxembourg,
où il se réfugia, après la chute de la monarchie,
le 21.9.1792, conséquence directe de Varennes, et le marquis
de la Sudrie recopia seulement les évènements se déroulant
à partir de 1792.
N'est-il pas curieux de constater que le marquis de Bouillé,
que les signes présentent à Y comme une anticipation du grand monarque, avec deux siècles
d'avance, raison de l'échec, se réfugie dans le lieu
même de la prophétie, annonciateur de la réussite
par-delà l'échec ?
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