DEUX VOYAGES A METZ

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Y
fit, à la demande de sa femme, deux voyages à Metz, les 7.10 et 5.11.1999. Le premier fut l'occasion, pour lui, de remarquer, sur l'autoroute, le panneau de Varennes-en-Argonne représentant l'arrestation de la berline royale.

C'est précisément à cette époque que, d'une part, il rencontra quelqu'un connaissant Varennes, et que, d'autre part, il apprit l'existence d'un ancêtre de son épouse ayant habité cette localité en 1791. S'il est bien le descendant de Louis XVII que ses signes lui disent être, il a donc rencontré dans ses racines royales, celles populaires de son épouse, les 21 et 22.6.1791, au moment de l'arrestation qui mit toute la cité en émoi, le tocsin sonnant dans les deux églises. Ainsi, la fin du tunnel varennois qu'il vivrait actuellement avec elle, aurait, comme il se doit, une entrée varennoise également commune (de quoi inspirer Claude Lelouch, non ?)

Y ne manqua bien sûr pas de profiter de ses deux voyages à Metz pour y faire autant de visites à Varennes, ce qui lui permit de découvrir les étonnants signes entourant l'évènement de 1791, et la totale inexactitude d'un point symboliquement important du récit de celui-ci par Georges Bordonove, dans son "Louis XVI, le Roi-Martyr", aux Editions France Loisirs :


"La berline est conduite à l'auberge du Grand Monarque, où M. Sauce attend, ceint de son écharpe tricolore."


Nous y reviendrons.





A.- PREMIERE VISITE A VARENNES-EN-ARGONNE
le 7.10.1999




ECRASEMENT AMERICAIN
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Lors de sa première visite à Varennes, Y n 'eut que le temps de voir la Tour Louis XVI, l'emplacement de la Maison Sauce, détruite pendant la Première Guerre mondiale, l'Aire, rivière sur le pont de laquelle Drouet construisit une barricade, et l'emplacement, sur un plan, de l'"Hotel du Grand Monarque", où les prisonniers ne purent pas se rendre, en raison de la barricade, contrairement à ce qu' écrit Georges Bordonove (cf. citation).

Il s'aperçut aussi que ce bourg est également célèbre pour le mémorial américain, gigantesque à son échelle, érigé en 1927 par la Pennsylvanie, pour commémorer sa participation à la Guerre 1914-1918. En fait, l'endroit est stratégique, entre la forêt de l'Argonne où se trouvait l'abri du Kronprinz, Verdun, et (aux débuts de l'envolée républicaine) Valmy - les 3 "V" ! -. Ce mémorial lui donna une impression d'écrasement : la participation américaine à la première des deux plus grandes boucheries internationales à ce jour - boucherie qui détruisit d'une chiquenaude la Maison Sauce - reléguait un élément central de notre histoire nationale, décisif pour sa République, au rang artisanal de folklore local.

Ainsi, le titan, dont nos paysans (eux qui arrêtèrent le roi) attaquent actuellement l'hégémonie, siège en maître à Varennes, où il faut chercher les traces de Louis XVI, lui qui, pendant la Guerre d'Indépendance, s'allia officiellement aux Insurgents contre les Anglais, le 6 février 1778, leur envoya des troupes sous le commandement de Rochambeau, et reconnut l'Indépendance des Etats-Unis, en 1883, par le Traité de Versailles.
Alors donc que ce lieu était précisément l'occasion pour la Pennsylvanie d'avoir, au nom des Etats-Unis, une pensée légitime pour ce roi, elle y occulta tout lien avec lui.



51 - 55/2/70

D'UNE VOUTE A L'AUTRE
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A partir de là, se multiplient pour Y des coïncidences trop troublantes pour qu'il n'y voit pas de très probables signes : Il commença par constater qu'il notait ses impressions dans un chapître intitulé


"SIGNES SIMPL(IST?)ES ET NAIFS N° 51",

et que la phase finale de l'arrestation de Varennes commença à Sainte-Ménehould, à quelques kilomètres de là, où le maître de poste Drouet va suspecter ce Monsieur Durand (Louis XVI) auquel d'Andouins, le commandant des dragons, parle au garde-à-vous. Drouet sera l'élément déterminant de la suite des évènements. Or, Sainte-Ménehould se trouve dans la Marne de numéro 51, de même nombre que le chapître, et Varennes dans la Meuse de nombre 55, nombre clé déjà rencontré à propos de Mozart, mort à 0h 55, le 5.12.1791, 5 mois et 14 jours après l'arrestation (cf. interpretation.htm#mozart), nombre donné par la somme des lettres de JACQUES CHIRAC (cf. jacques_chirac.htm#22), de façon intéressante : 22 + 33, ainsi que par son rang dans la Vème République : 5ème Président de la 5ème République (5-5).

55270, le code postal de Varennes, apparaît lui-même comme un signe : Il unit à 55, 2 et 70, deux nombres concernant directement Chyren, le Grand Monarque devant ressusciter la grande monarchie française s'étendant de François Ier à Louis XVI. En effet Nostradamus l'appelle "Henry, roy de France second", et, dans son "Le Grand Monarque selon les Prophéties", Louise Courteau éditrice, Michel Morin donne Chyren comme le 70ème roi de France.

Par ailleurs, 51 - 55 sont les numéros des immeubles séparant, rue de Varenne, à Paris, la "Voûte Cinquantenaire" adossée à l'ambassade d'Italie (pays où se trouve l'Etat de l'Eglise) du 57, l'Hôtel Matignon, lieu du gouvernement de la République française (cf. jacques_chirac.htm#del). Souvenons-nous que le voyage de Louis XVI le conduisit de la varenne du Louvre à Varennes, où il fut arrêté sous la voûte attenante à l'Eglise, comme il existe rue de Varenne à Paris une voûte attenante à l'ambassade du pays de l'Etat de l'Eglise, voûte située entre les 47 (numéro de l'Ambassade d'Italie) et 51 de cette rue où il n'y a pas de 49, où il fut demandé à Y (né en 1949), de passer entre ses 47 et 51 ans (cf. jacques_chirac.htm#22). Ajoutons que cette demande fut faite par une personne, dont le nom exprimait la double action que faisait Y en venant chez elle, avec, en trop, le "s" qui manquait à la rue de Varenne pour qu'elle s'écrive... Varennes !

En fait, deux mouvements contraires sont impliqués par ces deux voûtes : celle de Varennes-en-Argonne fit descendre Louis XVI dans la rue de la Basse-Cour où il perdit son pouvoir, celle de la rue de Varenne plaça
Y entre les deux pouvoirs que la Révolution sépara : celui de l'Eglise du Vatican et celui de la République française... pour les réunir d'une nouvelle manière... par Scriptoral ?...



BOUILLE - "GRAND MONARQUE"
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Lors de sa visite du 5.11.1999, Y remarqua au centre de l'affaire de Varennes, les deux Bouillé, père et fils. Plus tard, il apprendra que le père, le marquis de Bouillé, était le lieutenant général responsable de tout le voyage, il attendait la berline à Stenay, à 36 km au nord de Varennes, avec le 15ème Régiment de Cavalerie, l'ancien Royal-Allemand, d'environ 300 hommes, commandés par le lieutenant-colonel de Mandell. Le fils, le chevalier de Bouillé était en fait son fils cadet, l'aîné étant le comte Louis de Bouillé.

Ce chevalier de Bouillé, second fils du marquis arriva à l'"Hôtel du Grand Monarque" (choisi pour relais de poste) le 21.6.1791, entre 12 et 13 heures. L'hôtel, toujours existant, comme Y le découvrira à sa seconde visite se trouve en bas de Varennes, et de l'autre côté de la rivière. Le problème fut que l'attelage arriva par le haut, sans connaître l'endroit de l'hôtel. Le roi perdit un temps précieux à se renseigner, tandis que ses poursuivants le dépassèrent et organisèrent son arrestation dans la descente menant
au "Grand Monarque", sous la voûte attenante à l'Eglise, après avoir barricadé le pont sur la rivière. Lorsque Bouillé fils, à la fenêtre de sa chambre, entendit les clameurs de la foule, à moins de cent mètres de lui, à vol d'oiseau, il partit à Stenay (à 36 km !) tout raconter à son père, plutôt que d'affronter le peuple.

Côté signes, cela commence à devenir particulièrement riche, et ce n'est qu'un début : Ainsi, Louis XVI, parti de la varenne du Louvre, où il était chasseur de caille et de perdreaux, arrive à Varennes où il est gibier chassé et rattrapé, avant qu'il ne touche au relais du "Grand Monarque", qu'il perd son temps à chercher. Le temps est donc responsable de l'échec. Or la raison du voyage, exprimée à Varennes dans la Maison Sauce, est, pour le roi, la volonté de restaurer le pouvoir royal en retrouvant son peuple de province, alors qu'il est prisonnier de celui de Paris, et le grand monarque est, précisément, celui que toute la tradition prophétique annonce comme le "grand Roy d'Angolmois ressuscité", le descendant de Louis XVI, devant ressusciter le pouvoir monarchique de droit divin, qui va mourir avec Louis XVI, par... Varennes, la résurrection étant annoncée en "mil neuf cens nonante neuf sept mois", c'est à dire, selon l'interprétation de "Mehr Licht !" (cf. interpretation.htm#1999), le 18 Mars 2000 (cf. interpretation.htm#ton), au... Parlement de Rennes ! (cf. "Rennes-Parlement" & Versailles Vers ailleurs )

Tout indique donc, qu'à Varennes, une boucle se boucle et que, si le roi ne peut pas joindre le relais du "Grand Monarque", pour des raisons de temps, sur lesquelles nous reviendrons, car, elles-mêmes sont symboliques, c'est qu'en fait, bien loin d'arriver trop tard, il arrive beaucoup trop tôt, avec... 208 ans, 9 mois et 26 jours d'avance, et pas au bon endroit, Varennes, comme Y le comprendra, étant un message-flèchage: "Va-à-Rennes", c'est à dire : "retourne au point de départ de la révolution : le Parlement de Bretagne à Rennes, avec l'arrestation de son procureur général : La Chalotais, en 1765", (cf. rennes.p_versailles.htm#rev ), ce qu'un employé de la bibliothèque municipale de Bar-le-Duc, a pressenti, à partir du quatrain IX, 20 de Nostradamus citant "Varennes" et la "forest de Reines" (cf. jacques_chirac.htm#bar et nost_9_20.htm).

Mais cela ne s'arrête pas là, dès cette première visite : En effet, Y ne put pas manquer de remarquer que Bouillé est la façon dont les sénégalais prononcèrent son nom si riche de possibles, de 1971 à 1978, dans cette Afrique origine de la recherche scriptorale, qui lui donne ce qu'il considère comme la clef de David (cf. cle.htm#cle). Ainsi, celui qui attend Louis XVI au "Grand Monarque", en 1791, porte le nom que l'Afrique, son initiatrice via Kaolack, Dakar et le Sénégal, donnera à celui que tous les signes désigneront, deux siècles plus tard, comme le grand monarque, et, de plus, ce chevalier de Bouillé est le second fils de l'organisateur général de l'équipée de Varennes, second comme "Henry roy de France second" : à nouveau le grand monarque (cf. historique.htm).

Voici donc les premiers éléments qui, à Varennes, incitèrent
Y à envisager le voyage royal, comme tout autre chose qu'une fuite humaine : l'exécution de la volonté divine permettant d'amorcer le retour royal à la source pour s'y régénérer et ressusciter. Et de fait, dès le lendemain, la volonté du peuple, contre la volonté du roi, ("Vox populi, vox Dei !"), entamera la première partie du "Va-à-Rennes" menant à la mort, source de résurrection : Varennes-Paris, ce qu'Y, poursuivra, 189 ans plus tard en Eragny-Paris-Rennes.



"L'ENIGME DE VARENNES"
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A la suite de son premier voyage, le 7.10.1999, Y commanda, au régisseur du Musée de Varennes, le livre de Monseigneur Charles Aymond intitulé "l'Enigme de Varennes" aux Editions Lorraines, livre qui le confirma dans l'idée de la portée extra-humaine de l'évènement varennois, dont voici un extrait de plan :



Points forts de l'arrestation royale à Varennes,
d'après "L'Enigme de Varennes" de Charles Aymond (Ed. Lorraines)




A propos, n'est-ce pas Alexandre Dumas,
qui fut étonné par la forme de la place de l'arrestation :
une lame de guillotine ?!?...








B.- DEUXIEME VISITE A VARENNES-EN-ARGONNE
le 5.11.1999


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222 - 35
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Après s'être arrêté près de l'une des premières maisons de Varennes à droite de la route, que Louis XVI prit pour le relais, le roi, selon la tradition, descendit lui-même de voiture pour y aller frapper, en demandant les chevaux. Il s'entendit répondre :



"Passez votre chemin, nous ne savons ce que vous voulez"

La berline repartit pour s'arrêter un peu plus loin sur la droite, où une porte entr'ouverte laissait filtrer un peu de lumière. C'était celle de Monsieur Bigault de Préfontaine, ancien capitaine aux Gendarmes du Roi, chevalier de Saint Louis et intendant des biens du prince de Condé en Clermontois, homme au rôle ambigu, qui, craignant de se compromettre, fit perdre aux voyageurs, vers 23 h - 23 h 30, environ trente-cinq minutes, durée citée par Charles Aymond :


"Le résultat le plus clair était qu'à moins de cinq cents mètres du but, on avait perdu environ trente-cinq minutes, d'une importance capitale, puisqu'elles étaient la dernière chance de salut."


Trente-cinq minutes au milieu desquelles passèrent quatre hommes, qui les poursuivaient, parmi lesquels Drouet et Guillaume de Sainte-Mènehould. Ils eurent un quart d'heure pour préparer leur embuscade sous la voûte surbaissée de l'église du haut de Varennes, l'Eglise du Château par où devait obligatoirement passer la berline.

Les distances séparant les points clés de l'embuscade étaient les suivantes :
- Maison de Préfontaine - voûte de l'arrestation : 222 m ;
- Voûte - Maison Sauce : 48 m ;
- Maison Sauce - Pont sur l'Aire : 72 m ;
- longueur du pont : 20 m ;
- pont - hôtel du Grand Monarque : 30 m ;

avec un rapport décisif de l'espace-temps : 222 m / 35 minutes, où Y ne pouvait pas manquer de voir un nouveau signe. En effet, 111 et 222 sont des nombres qui marquent à plusieurs reprises Louis XVI et le futur Louis XVII (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111). Nombre des commissaires de la République qui auront visité, de fin octobre 1794 au 8 Juin 1795, date de sa mort officielle, le jeune prisonnier du Temple, nombre fatidique de mètres pour la monarchie à l'intérieur de Varennes, 222 est contenu dans les dates-mêmes du voyage à Varennes : du 20 au 22.6.1791, jusqu'à ce 6 de juin, qui est 2+2+2. Quant à 35, c'est le numéro de l'Ille et Vilaine, et de Rennes la solution de ce voyage, le message donné : "Va-à-Rennes". Mais (n'est-ce pas assez stupéfiant ?), c'est aussi le nombre donné par la somme des lettres de VARENNES : 4 + 1 + 9 + 5 + 5 + 5 + 5 + 1 = 35 !

Avec ces deux nombres, Y retrouve l'image du tunnel, qu'il a déjà évoquée à propos de l'ancêtre de sa femme, varennois en 1791. 222 et 35, accompagnent la descente de la monarchie dans sa nuit, et curieusement se retrouvent dans la sortie de la nuit pour Y : venant par le 35 des bois saxophinistiques de Rennes ("la forest de Reines ?), n'a-t-il pas été publié pour la première fois seul par les Editions Lemoine en 1994, année où celles-ci fêtèrent un curieux 222ème anniversaire, enracinant cette plus vieille maison d'Edition musicale française au coeur de la rencontre de Louis XVI et Marie-Antoinette, puisqu'elle fut fondée en 1772, entre leur mariage en 1770 et le début de leur règne en 1774, et que son fondateur, Antoine-Marcel Lemoine, fut... violoniste au théâtre de Madame de Montansier, à la cour de Versailles, puis altiste au Théâtre de Monsieur, frère de Louis XV ?




PARIS-PROVINCE
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La voûte de l'église sous laquelle eut lieu l'arrestation était donc celle du haut de Varennes, du Château, en-dessous de laquelle se trouvait la rue de la Basse-Cour, la cour du peuple. C'est la que furent conduits les occupants des deux voitures, dans la Maison de Sauce, procureur-syndic de la commune, moment symboliquement fort, puisque cette descente dans la Basse-Cour marque le début de l'enfouissement de la monarchie légitime dans le peuple, si l'on en croit et la tradition prophétique qui affirme la continuation de la lignée royale jusqu'à nous, et les signes de Y.

Les retrouvailles avec le peuple de province paraissent être la raison profonde et pleine de logique du voyage du roi, qui déclara dans la maison Sauce :



"Oui, je suis votre roi. Placé dans la capitale entre les poignards et les baïonnettes, je viens chercher en Provine et au milieu de mes fidèles sujets la liberté et la paix dont vous jouissez tous ; je ne puis plus rester à Paris sans y mourir, ma famille et moi."

En fait, Paris le vouant à la mort, la seule solution qui lui restait était la province, qui, elle, n'eut pas d'autre souhait que de le ramener à Paris. Il avait tout tenté, son destin était scellé. Charles Aymond souligne que Louis XVI était sincère quand il disait ne pas vouloir quitter la France : le tracé de sa route, au verso de son passeport, ne se continue plus, après Montmédy, que par un pointillé.


HOTEL DU GRAND MONARQUE
L'AIRE - L'ERE - L'EAU - L'AIR
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Varennes ne disposait pas de relais de poste régulier, ainsi que Bouillé l'avait signalé, dans sa crainte d'attirer l'attention par des mouvements de domestiques et d'animaux, ce qui ne manqua pas de se produire. L'"Hôtel du Grand Monarque" fut choisi pour des raisons de sécurité, car situé à l'abri du pont, dans la direction de Stenay et de Montmédy (cf. plan), ce dont personne ne songea à avertir le roi.

C'est précisément la valeur stratégique du pont, alliée au nom de la rivière : l' Aire, qui ne manqua pas d'attirer l'attention de Y : En effet, le grand monarque doit arriver à la jonction des deux ères astrologiques du Poisson et du Verseau, comme si l'Aire avait délimité ces deux ères, comme si le roi ne devait pas dépasser l'eau des poissons, l'eau du signe du Poisson, symbolisée par l'Aire-rivière. Toutefois, à Varennes, la volonté du peuple d'empêcher le roi de franchir cette rivière si symbolique, fut contournée de bien étrange façon. Car, si les gardes nationaux de Montblainville, en faction sur le pont, refusèrent à Radet, futur général d'Empire, le passage du roi, aux mots de : "Il ne passera pas mort ou vif", la suite de ce refus sera l'exécution du 21.1.1793, premier jour du signe du Verseau ! Louis XVI n'a donc pas franchi l'Aire-ère vif, mais il l'a franchie mort, par la volonté-même de la République, qui, sans s'en apercevoir, se saborda elle-même sur ce sujet.

On peut même dire, que cette rivière, plutôt que de séparer les deux ères astrologiques, les rassemble : l'Aire n'évoque-t-elle pas l'eau du Poisson par son élément, l'ère astrologique de ce même Poisson par sa consonnance (Aire aux poissons - ère du Poisson) et l'ère du Verseau, qui est une ère d'air, par son orthographe, puisqu'elle contient le mot "air".

Ajoutons aussi, que, le nom commun "aire" signifie surface : l'Aire-rivière, c'est donc le lieu symbolique de jonction entre les éléments eau et air des deux ères astrologiques du Poisson et du Verseau, où le pont est la passerelle horizontale, ce qu'est verticalement la bouée de sauvetage qui les joint, bouée de sauvetage qui est le premier surnom de...
Y !...

Mais, ce pont sur l'Aire représente encore bien autre chose pour Y
: il symbolise le passage du XVIème au XVIIIème niveau vibratoire de conscience, la passerelle entre le monde matériel et le monde spirituel, hypothèse qu' Y a pu formuler, grâce à Scriptoral, à partir d'une conversation avec un ange gardien, enregistrée par l'institut de Norbert Monroe, ingénieur en acoustique, qui a vécu l'expérience en scientifique. Cette conversation se trouve dans un livre de Pierre Jovanovic : "Enquête sur l'existence des Anges Gardiens" (Editions Filipacchi) - cf. paroles_d_ange.htm#par et paroles_d_ange.htm#hyp). Ainsi, le pont sur l'Aire serait la passerelle 16-18, que les Républicains ont barricadée pour empêcher le XVI monarchique de passer vivant dans le lieu de l'évolution spirituelle et d'abandonner son peuple à la finitude matérielle. Ce dernier finira le XVI en lui coupant la tête, croyant avoir tout fait pour empêcher ce passage, sans s'apercevoir que c'est précisément par cette exécution un 21 janvier, qu'il le propulsera, là, où il voulait l'empêcher d'aller. Et, comme par hasard, Y prend le relais en naissant en l'an 49 du XXème siècle (il y a, selon l'ange, 49 niveaux vibratoires - un 49 absent des numéros de la rue de Varenne -), et, de plus, un 16 février, premier des trois derniers jours du signe du Verseau, notamment amorcé par l'exécution royale, et trois derniers jours formant le passage initiatique... 16-18 !...




ADOUHEY-YEHOUDA / ABOUHEY-YEHOUBA
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Mais il y a plus : Louis fut arrêté sous la voûte de l'église, c'est à dire, à la porte du temple de Dieu, porte de Dieu, ce qui se dit en hébreu, avec nos caractères, "YHVDH", où "D" signifie la porte et "YHVH", Dieu, et qui se traduit en français par "YEHOUDA". "YHVBH" signifie, quant à lui, "B", c'est à dire la maison, le temple, la fille, la pupille de "YHVH" Dieu (cf. "Les secrets de Salomon" de Robert Graffin - auto-édition -), la fille n'étant pas sans évoquer, la fille aînée de l'Eglise, en un mot : la France.

Or, si YHVDH s'écrit en français YEHOUDA, YHVBH s'écrira, par voie de conséquence YEHOUBA, ce qui est la lecture, en sens hébraïque, de ABOUHEY, et abouhey est la forme que Free proposa à Y pour son nom : A. Bouhey dans l'URL de ce site.

En somme, Louis XVI fut arrêté à 120 mètres du pont menant à l'Hôtel du Grand Monarque, où se trouvait le second fils Bouillé, prononciation africaine du nom de Y, désigné par les signes comme ce grand monarque... nom de l'hôtel où est hébergé le chevalier !... Le roi fut aussi arrêté à la porte de YEHOUBA, transcription française du mot signifiant le temple de Dieu, sa fille, la France, et à nouveau Y, dont il est l'une des formes du nom, lue en sens hébraïque, sens de lecture évoquant l'origine davidique de la monarchie dont les signes le disent héritier. Ajoutons que cette association de Y au temple de Dieu et à la France, est logique, dans la mesure où il est Chyren, le grand monarque que les prophéties présentent comme le lieutenant du Christ, ayant pour mère la mère de celui-ci (cf. etreinte.htm#roi).

Dans Varennes, il est donc très possible, sinon probable, que Louis XVI ait triplement touché au grand monarque et à la France ("Hôtel du Grand Monarque", Bouillé, temple de Dieu - YEHOUBA - fille de Dieu) sans jamais parvenir à le joindre (Bouillé parti à Stenay, pont barricadé, église close). Si tel est bien le cas, loin de s'être fourvoyé en ce voyage, comme il le crut lui-même, en en imputant la faute à Breteuil, le roi fut, au contraire, conduit par la Main de Dieu à l'extrême limite de la monarchie d'Ancien Régime, pour entendre sans le comprendre, dans le nom-même de "Varennes", l'indication "Va-à-Rennes" du lieu où sa descendance devrait se rendre, pour que, plus de 208 ans plus tard, ressuscite la monarchie de droit divin.




BOUILLE & L'ABBAYE D'ORVAL

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Pour finir, il est encore en cette affaire un point qui ne manqua pas d'attirer l'attention de Y : le soir du 22.6.1791, jour de son cuisant échec, le marquis de Bouillé, organisateur de tout le voyage, se retira à l'abbaye d'Orval, fondée en 1070 par des bénédictins venus de Calabre. C'est en ce lieu que fut détenue une prophétie très ancienne, remontant peut-être au XIIème siècle, et mesurée dans le temps par des lunaisons.

Elle fut lue par le père abbé de l'abbaye au Luxembourg, où il se réfugia, après la chute de la monarchie, le 21.9.1792, conséquence directe de Varennes, et le marquis de la Sudrie recopia seulement les évènements se déroulant à partir de 1792.

N'est-il pas curieux de constater que le marquis de Bouillé, que les signes présentent à Y comme une anticipation du grand monarque, avec deux siècles d'avance, raison de l'échec, se réfugie dans le lieu même de la prophétie, annonciateur de la réussite par-delà l'échec ?