Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
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SOMMAIRE MUSIQUE SIGNES
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CERGY-PONTOISE
L'ATLANTE
&
ONZE
COMME UNE

(HAM, ERAGNY, NEUVILLE,
ERAGNY-NEUVILLE...)







DESCENDANCE ATLANTE,
SELON ROBERT GRAFFIN

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Y, qui se pense désigné par les signes comme l'héritier royal, le "grand Roy d'Angolmois" ressuscité de Nostradamus (cf. interpretation.htm), se sentit directement concerné par un ouvrage de Robert Graffin : "Les Secrets de Salomon" (auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex). Cet auteur y traite précisément d'une lignée royale d'origine atlante, passant par les rois de France et aboutissant à un certain "Elu des Précipices".

Il sera ici seulement question de quatre des points qui retinrent son attention :

le nom "YEHOUDA" de l'ancêtre royal, quatrième des douze fils de Jacob/Israël, lui-même fils d'Abraham, descendant de Sem, fils de Noë (les douze fils de Jacob sont les fondateurs des douze tribus d'Israël) ;
l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise, ville nouvelle aux "Onze Comme Une", dans l'une desquelles réside Y, et la place relative à cet Axe, consacrée à Ham, l'une des onze communes, où se réalisa pour sa famille, une alliance, renouvellement d'une ancienne autre, dans la mesure où son interprétation des signes est exacte, ainsi qu'à la forêt de Saint-Germain-en-Laye ;
la mention également relative à cet Axe, d'un "Elu des Précipices", correspondant à ce que les signes lui disent être en "Scriptoral" ;
le toit de l'Arche de la Défense (quasi une vue aérienne de Scriptoral ?).


Robert Graffin développe en ses
lignes une thèse selon laquelle la culture atlante arriva en notre monde par Noë et deux de ses trois fils : Sem (ou Shem) et Iaphêt (ou Japhet), le troisième fils Ham (plutôt que Cham) ayant vu s'éteindre sa lignée, pour avoir surpris des secrets de son père.

Selon sa thèse :

vers -14.900 av. J.-C., au début de l'ère de la Balance, commence la création du monde atlante ;
vers -9.500 av. J.-C., au milieu de l'ère du Lion, finit cette civilisation, avec le Déluge, après lequel la "coque" (et non "l'Arche") de Noë, héritier de la culture atlante, touche terre dans le Caucase ; à son bord Noë, ses trois fils et leurs épouses ; Robert Graffin fait une distinction importante entre Sem et Iaphêt :

Sem (en réalité Shem) signifie en hébreu le "nom" ou le "mot", les sémites qui en descendent, sont donc les "porteurs du mot", d'un bagage plus spirituel, c'est un peuple de prêtres ;
Iaphêt "a une racine qui parle de "beauté" et de "paraître"", et les iéphétites qui en descendent, "que l'on appelle aujourd'hui "indo-européens"", "sont porteurs de tout le reste de la culture et de la civilisation" ;

vers -9.000 av. J.-C., commence le néolithique moyen-oriental, c'est à dire le basculement, dans le croissant fertile, du stade de chasseur/cueilleur à celui d'éleveur/agriculteur, juste après, donc, le redémarrage du peuplement par la famille de Noë à la civilisation la plus avancée, et par les autres survivants ;
vers -6.600/-6.000 av. J.-C., commence le néolithique européen, importé aussi par des Caucasiens, selon Robert Graffin, mais "iéphétites" ou indo-européens, principalement ; parallèlement les sémites, "porteurs de la tradition spirituelle", se développent surtout en Mésopotamie ;
en l'an -3.760 av. J.-C., an 1 du calendrier hébreu, conformément à l'enseignement qabaliste (et non en -1.750 av. J.-C.), apparaît Abraham, qui engendrera par son fils Jacob/Israël, une foule de nations "goyim", en partant d'Our Kasdim, où Robert Graffin voit, non pas la ville chaldéenne d'Ur, mais le site européen de l'actuelle ville de Prague.

En effet, s'appuyant sur les noms de ville, sur les différents symboles hébraïques se trouvant en Europe, et sur les prophéties de Jacob sur les destinées de ses 12 fils, la thèse de Robert Graffin visera d'abord à montrer que la localisation biblique, en Judée, Galilée et Samarie, des 12 tribus d'Israël, issues des fils de Jacob, est un raccourci concentrant une réalité s'étendant sur tout le pourtour méditerranéen et toute l'Europe.
Yehouda ou Juda est le quatrième des fils de Jacob et des petits-fils d’Abraham. La tribu de Yehouda serait l’origine essentielle du peuple juif, et de la lignée royale (David, Salomon) et messianique (Jésus) dont descendraient les rois de France.

en l'an -3.000 av. J.-C., prend fin le néolithique et commence l'âge du bronze.





ASCENDANCE DAVIDIQUE
DES ROIS DE FRANCE

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Pour Robert Graffin, plusieurs éléments plaident en faveur de l'ascendance davidique des rois de France :

le lys, symbole royal, tout d'abord : il associe cette fleur, symbole de lumière, à la mandragore à la fleur de flamme, qui se dit en hébreu DOUDA (daleth - wav -daleth - aleph), soit DAVID plus le A de l'esprit ;
le pentagone français, ensuite : il s'inscrit dans le sceau de Salomon ou étoile de David, double ternaire comme la fleur de lys ;

puis la transmission de la lignée : elle se fait par les femmes chez les hébreux, or, dans l'arbre généalogique capétien, il y a des armes de femmes à chaque étape de la lignée ;
la "galerie des rois" de plusieurs grandes cathédrales : on dit tantôt qu'il s'agit des rois de France, tantôt qu'il s'agit de ceux de Juda, ce qui les relie ;
l'évêque Rémi, qui baptisa et consacra Clovis : il est représenté avec le pectoral des lévites, il n'aurait probablement pas consacré un "goy", Clovis devait donc être hébreu ;
la représentation en la cathédrale de Chartres de Henri IV, le seul roi à y avoir été couronné : il y est représenté à Troyes comme un descendant direct de Jésus, donc de David.

Y constate une curieuse rencontre entre l'une des formulations de son nom, et celle de YEHOUDA, l'ancêtre de David fondateur de la tribu d'Israël, cette rencontre est, à la fois, de nature à apporter un élément supplémentaire en faveur de l'origine davidique des rois de France, et aussi de nature à confirmer que le grand monarque, que les signes lui disent être, est l'aboutissement parachevant la lignée initiée par YEHOUDA. Une des formulations de son nom est non seulement A. BOUHEY, réduction de Alain BOUHEY, mais directement ABOUHEY, que Free lui donna pour l'adresse du présent site. En effet, lu dans le sens hébraïque, ABOUHEY devient YEHOUBA (OU correspondant à une seule lettre, le wav, ne s'inverse pas).

Voici ce qui est dit de la relation YEHOUDA - YEHOUBA dans l'un des premiers fichiers de ce site (en auteur.htm#yhvbh), à partir des "Secrets de Salomon" de Robert Graffin :





On peut, bien sûr, dire qu'en YEHOUBA, il manque le H final de YHVBH, mais il est facile de répondre que, d'une part, il n'existe pas davantage en YEHOUDA, et que, d'autre part, si Y
est Chyren, il a ce H dans sa manche, si l'on peut dire, puisque Chyren est l'anagramme de Henryc, et que A. BOUHEY deviendra H. BOUHEY, ou H.-A. BOUHEY, ce qui fera HABOUHEY, et donc, lu dans le sens hébraïque, YEHOUBAH.

Il n'est pas difficile de voir en quoi

YEHOUBA (maison, temple, fille, pupille de Dieu)
parachève
YEHOUDA (porte de Dieu)
,

puisque

YEHOUDA est l'ancêtre ayant mené le Peuple de Dieu à sa Porte, et
YEHOUBA l' héritier l'ayant fait franchir cette Porte pour qu'il entre en sa Demeure, après l'avoir ouvert aux nations "goyim", dont il fait partie.

Cette idée n'est pas sans lien avec la prédiction faite par Jacob sur Yehouda :



"Iehouda, tes frères te loueront, ta main sera sur la nuque de tes ennemis, les fils de ton père se prosterneront devant toi. Iéhouda est un jeune lion : tu reviens avec ta proie, mon fils. Il s'accroupit, il se couche tel un lion, tel une lionne. Qui le fera se lever ? Le sceptre ne s'éloignera point de Iéhouda, ni le bâton souverain d'entre ses jambes, jusqu'à ce que vienne son possesseur, à qui les peuples obéiront. Il lie à la vigne son ânon, au cep le petit de son ânesse. Il lave son habit dans le vin, son manteau dans le sang des raisins. Le vin avive l'éclat de ses yeux, ses dents sont plus blanches que le lait."

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.




Robert Graffin confirme que les dernières phrases après "possesseur" désignent le Messie issu de Juda, qui prendra le sceptre de Yehouda, et que ces phrases ne s'appliquent qu'en partie à Jésus, car, d'une part, celui-ci ne "règne" pas, nominalement parlant et, d'autre part, "les temps messianiques" commencent maintenant.

Même si, pour cet auteur, le "Messie" arrivera plus probablement sous la forme d'une situation messianique que d'un individu unique, il n'en reste pas moins que la différence entre Yehouda, Porte de Dieu, et Yehouba, Temple de Dieu, est la même que celle de la prédiction : la Porte est la gardienne du Temple, et le Temple ne fait qu'un avec Dieu, comme Yehouda garde le sceptre, et son possesseur le prendra, car il l'incarne.


L'image du lion concernant Yehouda, au début de la prédiction, se retrouve dans les prophéties de l'abbaye de Prémol concernant le grand monarque, ce qui peut aller dans le sens d'une parenté entre Yehouda et Chyren (cf. versailles_vers_ailleurs.htm#ilt).

Quant aux dernières images concernant le "possesseur", elles ne sont pas sans évoquer certains passages de l'Apocalypse de Jean sur le Roi des rois, pouvant être lié à Chyren par Y
(cf. etreinte_suite.htm#y=c) : on y retrouve la rougeur du manteau, l'éclat des yeux, la blancheur (du cheval de bataille en place de celle des dents, mais l'épée acérée sortant de la bouche, qui peut correspondre à ces dernières).




L'AXE MAJEUR DE CERGY-PONTOISE
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Mais, pour Y, le asar des coïncidences est loin de s'arrêter là, dans "Les Secrets de Salomon", puisque Robert Graffin y consacre tout un chapître aux lieux où il se trouve, qui sont donnés comme les lieux du retour de l'héritier royal.

Il s'agit du chapître (commençant comme par
asar page 144 - 144° est l'azimut reliant l'Axe Majeur à Solutré -) intitulé "Arthur, l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise", où l'auteur après avoir rappelé comment il fut amené à relier, quelques années auparavant, la symbolique de cet Axe au mythe du roi Arthur, cite un long extrait de "Cergy-Pontoise, 1969-1989" (Ed. Moniteur Images), poème très dense de Jean Parvulesco, poète à Bhadrakali Vanadurga. L'extrait du poème, et le commentaire qu'en fait ensuite Robert Graffin, ne manquent pas d'éveiller en Y de singulières résonnances, livrées ici comme autant de signes potentiels :

Parmi les quatre lieux cités par le poème, il y a :

Cergy-Pontoise,
Ham,
la forêt de Saint-Germain-en Laye.


Y
habite l'une des "Onze Comme Une" (expression municipale officielle) de Cergy-Pontoise qui lui donna plusieurs signes (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#era) ;
Ham lui en donna d'autres, puisque ce fut le lieu d'une alliance franco-allemande et catholico-protestante de sa famille, le 16.10.1999 - 206 ème anniversaire de l'exécution de Marie-Antoinette -, dans un salon de l'Hôtel Week-End nommé... Louvre, rue de Neuville (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#era) ;
il habite enfin à proximité de la forêt de Saint-Germain-en-Laye, qui est son principal lieu de passage et de promenade, jusqu'à la terrasse de cette ville, d'où l'on découvre l'Arche de la Défense, comme on le fait de l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise.

Jean Parvulesco écrit son poème au nom d'une confrérie de Solutré, dont il fait partie : "Nous, frères en Solutré, écrit-il (...)"


Robert Graffin explique que


"au pied de la "Roche de Solutré", au lieu-dit "le Clos du Charnier" (...) fut découvert en 1866, au-dessus d'un amas d'ossements de chevaux, un outillage lithique caractéristique qui fit donner le nom de "Solutréen" à une période culturelle du Paléolithique supérieur, entre - 18.000 et - 15.000".

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.


juste antérieure à sa datation de la période atlante (-14.900 av. J.-C. - -9.500 av. J.-C.)

"(...) continuité royale du meurtre des chevaux sacrés, et Solutré se déplaçant avec la fin du
cycle vers des lieux encore plus anciens de sa gestion métacosmique, sur la rupture en faille de l'esplanade crépusculaire aux XII colonnes de la Liberté, au-dessus des étangs de Ham pétrifiés en leurs miroirs de plomb, en leur réverbérante réponse d'acier stellaire (...)"



pour les chevaux, voir ci-dessus en #che ;
pour la "continuité royale", Y constate que le second "roi" de la Vème République (cf. 5eme_republique.htm), originaire, qui plus est, "d'Angolmois", faisait un pélerinage annuel à Solutré, accompagné de personnes de son choix (les "frères en Solutré" ?) ;
les XII colonnes de la Liberté sont celles de l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise,


"pouvant imager, selon Robert Graffin, 12 chevaliers zodiacaux figés de blanc, fils de Jacob",


et donc les 12 tribus d'Israël que ces derniers engendrèrent ;
l'azimut de l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise est 144°/364°, et l'azimut 144° conduit tout droit à Solutré près de Mâcon, en Saône et Loire.
pour Ham (cf. ci-dessus en #ham), Robert Graffin voit trois origines : "demeure", en langue tudesque, "brillant" venant de "van" en tamoul, dans le sens de "maison blanche", et enfin le nom du troisième fils de Noë, improprement appelé Cham, selon lui.


"(...)car tout en ces dévalements inconsolés se veut retour ; réponse vive aux impositions de l'Etoile Polaire, à notre Unique Mère, dissimulée dans les brumes de la céleste forêt de Saint-Germain, marquée par la Grande ourse :(...)"


L'idée de retour, de réponse vive se confirme ici, reprenant la précédente de "miroirs" et de "réverbération d'acier stellaire" des étangs de Ham. Ce retour survint en des "dévalements inconsolés", et là Y, pensa au formidable "dévalement inconsolé" de Louis XVI, d'origine atlante via David, selon Robert Graffin, inscrit en Scriptoral par la chute de la XVIème pyramide, qui amène la résurrection de la XVIIème, la pyramide inversée de synthèse : Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral). Dévalement si inconsolé que, 211 ans après, le 8 Juin 2004, on en est toujours à vouloir porter le très probable faux vase (le faux "graal") du très probable faux coeur de Louis XVII à Saint-Denis, Louis XVII par lequel passe le sang royal < le Saint-Graal < le Sangréal (cf. ci-après).
ce qui est en haut est en bas, ainsi, la forêt de Saint-Germain-en Laye, marquée par la "Grande Ourse" est "céleste", ciel dissimulant l'Etoile Polaire "notre Unique Mère". Rappelons-nous ici, que Robert Graffin a lié la symbolique de l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise au mythe du roi Arthur, et donc de la quête du "Sangréal", qu'il décompose, soit en Saint-Graal, soit en "sang réal", c'est à dire sang royal.
Or Arthur, nous dit-il, vient du celtique "Arz", l'ours, et Arcturus, son étoile, selon la tradition druidique, appartient à la constellation du Bouvier,


"Arthur, écrit Robert Graffin, est assimilé par la tradition orale druidique à l'étoile Arcturus de la constellation du Bouvier (Bootes), laquelle située juste au Sud et à l'Est de la Grande Ourse, est le gardien des troupeaux qui chasse les ourses avec les chiens de chasse (cf. planche ci-après #art, N.D.L.R.)...

Remarquez sur la planche comme le Dragon encercle la Petite Ourse, empêchant justement le Bouvier-Arcturus (...) d'atteindre la Polaire, ce nord céleste au-delà du Nord terrestre qui pourrait bien être l'Hyperborée mythique."

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.


Remarquons que le Bouvier - Arcturus, chasseur des deux Ourses et empêché par le Dragon d'atteindre la Polaire à l'extrémité de la Petite Ourse est Ours lui-même (Arthur < arz - celtique - < ours).
L'Etoile Polaire se dissimule donc dans la céleste forêt de Saint-Germain-en-Laye, et c'est du Nord que vient la Haute Tradition, qui nous enseigne, et qui par là-même, est notre véritable et "Unique Mère". Par voie de conséquence, la forêt de Saint-Germain-en-Laye recèle donc l'enseignement de la Haute Tradition. Est-ce si étonnant, puisqu'elle fut la forêt des rois d'origine davidique et atlante ?





Carte du ciel de l'hémisphère nord simplifiée avec, seulement,
les constellations citées en ce fichier, réalisée d'après la carte
de Robert Graffin dans "Les Secrets de Salomon"






"(...) la Jonction de Vénus nous y ramènera, quand viendra ce jour, quand le chasseur effréné libèrera sa chienne :

"appréhendez, veilleurs aveuglés par la lumière première, cette cavalcade virginale, la cavalcade démentielle du jour qui dans ses glaciers intimes se lève, et des dizaines de milliers de chevaux aux crinières de vent, conceptuelles, qui dans les flammes de l'Ancien Désir vont retrouver le vide cosmique
de Solutré, le sacrifice divinisant du saut au pied des XII colonnes de la Liberté, à Cergy-Saint-Christophe ; (...)" (suite en #suite, même colonne)

Et plus loin :

"Tout le pouvoir ici revient donc de droit à la Jonction de Vénus."

Plus loin encore :

"nous sommes les poursuivants de Solutré, aux cornes de pierre sanglante, nous sommes les invités du puits de Vénus en revivant l'Ascension des chairs déchiquetées en bas de la divine faille, et le soleil des os-

"brisons, brisons les os de nos Appartenances ;"



Asar toujours,
Y pensa avoir trouvé une réponse terrestre à la chasse céleste des Ourses par les Chiens de Chasse du Bouvier Arcturus. En effet, il découvrit ces pages à un moment où son épouse venait de lui lire un passage de la vie de Louis XIV, "chasseur effréné" rapportant jusqu'à 250 pièces de gibier par chasse, précisément de cette forêt de Saint-Germain-en-Laye : il les distribuait aux femmes de sa cour, qui les attachaient à leur ceinture. Et, dans ce même passage, le roi traita, devant la reine, de "chienne", l'une de ses maîtresses, en plaisantant.

Tout le pouvoir ici revient donc de droit à la "Jonction de Vénus", qui nous ramènera à l'Unique Mère, la Haute Tradition atlante (de -14.900 à - 9.500 av. J.-C.), solutréenne (de -18.000 à - 15.000) et plus ("lieux plus anciens de sa gestion métacosmique", cf. #plu, colonne de gauche, signifiant que l'inspiration atlante post-solutréenne ressentie par Robert Graffin dans l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise, se serait établie sur des lieux présolutréens. Et cette "Jonction de Vénus"surviendra quand le chasseur libèrera sa chienne. Traduction terrestre : quand Louis XIV (se) libèrera (de) ses maîtresses, comme le lui demandait si instamment l'Eglise, via Bossuet ?

Or, le Versailles Louis Quatorzième commença par les jardins, avec les fêtes données
par le roi en l'honneur de ses maîtresses. Il finit avec la Maintenon, "Madame de Main-tenons" qu'il a de sa royale "main tenue" à un rang intermédiaire qui n'était pas le sien, faisant sa femme de sa "vieille putain" (la "vox populi" via les pamphlets), une femme incarnant le Versailles final de son règne, qu'il frigorifiait en hiver, en ouvrant les fenêtres de ses appartements quand il lui rendait visite ("cavalcade démentielle du jour qui se lève dans ses glaciers intimes " ? cf. #jou, colonne de gauche), et qu'il obligeait à se coucher devant ses ministres. N'est-ce pas par là que le "chasseur effréné" commença de manifester publiquement "la libération de sa chienne", sa libération de la chienne (cf. #lec, colonne de gauche), des "os de ses Appartenances" (cf. #os, colonne de gauche) ?

Revoyons, dans Versailles, l'importance du nombre 17, l'Intermédiaire, entre le monde matériel finissant en 16, et le monde spirituel commençant en 18 (cf. versailles_vers_ailleurs.htm#16), Madame de Maintenon n'est-elle pas dans ce palais l'incarnation du 17, se donnant au roi avec l'accord de son confesseur ? Ne commence-t-elle pas à prendre la direction du "ventueux plateau des libres moniales", dont il sera question après dans le poème de Jean Parvulesco ?

De la "libération de la chienne" naîtra la Jonction de Vénus", qui engendrera une cavalcade virginale et démentielle du jour se levant dans ses glaciers intimes (cf. #jou, colonne de gauche). Quelle est cette Jonction de Vénus, mais, tout d'abord, quelle est ce "sacrifice divinisant du saut au pied des XII colonnes de la Liberté à Cergy-Saint-Christophe" (cf. #sac, id.).

Il s'agit ici de retrouvailles, d'alliances, de pont et donc d'arche, le tout se déroulant sur la toile de fond de la Grande Arche de la Défense. C'est là que "Les Secrets de Salomon" donnerontà Y
une surprenante réponse. Rendons nous y donc, avant de revenir à l'Axe Majeur de Cergy-Pontoise, aux étangs de Ham et à la forêt de Saint-Germain-en-Laye.





TOIT DE LA GRANDE ARCHE DE LA DEFENSE
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La surprise de taille que le livre de Robert Graffin fit découvrir à Y, c' est l'ensemble des 4 patios à ciel ouvert sur le toit de la Grande Arche de la Défense, révélant "4 secteurs du zodiaque pavés de noir sur fond blanc".




Les 4 patios - secteurs zodiacaux à ciel ouvert
sur le toit de la Grande Arche de la Défense


Or, regardant Scriptoral de dessus, Y y retrouva ces 4 carrés plafonds des 4 pyramides inversées de l'Interprétation II - VI - X et XIV, surplombant le cercle de la sphère créatrice faisant curieusement penser au cercle zodiacal de l'Arche. D'autant plus curieusement que Robert Graffin vit dans les 12 tribus de Jacob, les 12 signes du zodiaque couronnant l'Europe et le pourtour méditerranéen.





CORRESPONDANCES
SCRIPTORAL - "LES SECRETS DE SALOMON"


1 : point de départ de Scriptoral,
"Trône sans base" de
"l'Elu des Précipices",
pied des XII colonnes de la Liberté
- 12 tribus zodiacales de Jacob.

2 : l'un des 4 plafonds des pyramides inversées de l'interprétation II-VI-X-XIV,
correspondant aux 4 patios zodiacaux du toit de la Grande Arche de la Défense.

3 : "feu limpide des sentiers qui en quadrillent les broussailles...
4 : "... broussailles encore plus prohibées et noires de la forêt de Saint-Germain"
- pyramide de la composition, du "Script".

5 : "sa blanche sur-sexualisation architectonique de nos vertiges (...)
entrouvre ensoleillante le Front sans Visage."





Plaçant ces douze tribus zodiacales sur la sphère créatrice, sous les 4 carrés Y s'aperçut alors que leur pied unique était le point de départ de Scriptoral, la pyramide inversée, le trône sans base, vers lequel, dans la sphère chuta, à l'image de la tête de Louis XVI, la XVIème pyramide, ce qui fut source de la réflexion lumineuse de la Pyramide inversée.

Par ailleurs, l'axe complémentaire Lion-Verseau, quasi Ouest-Est, figuré sur le toit de l'Arche de la Défense (cf. #arche
), ne manque pas d'intérêt par rapport à la relation Yehouda-Yehouba et à la prophétie de Jacob sur Yehouda (cf. #jac). En effet, si le signe de Yehouda n'est pas le Lion mais le Bélier, signe de feu comme le Lion, Yehouda est marqué par le lion dans la prophétie ("Iéhouda est un jeune lion : tu reviens avec ta proie, mon fils. Il s'accroupit, il se couche tel un lion, tel une lionne. Qui le fera se lever ?"). Toutefois, il n'est pas le possesseur du sceptre royal, mais seulement son gardien (n'est-ce pas pour cela qu'il n'est pas du signe du Lion ?) alors que Yehouba, que les signes donnent comme le vrai possesseur, est - lui "qui le fera se lever" ? -, réellement Verseau.


 






Le char d'Apollon à Versailles



L'ELU DES PRECIPICES

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Vénus et les chevaux, "chevaux solaires" sera-t-il dit plus loin, "dans les flammes de l'Ancien Désir" (cf. #jou), rappelèrent à Y les chevaux du bassin d'Apollon à Versailles, et les roues du char du Soleil, emblème de Louis XIV.

Ces chevaux vont donc retrouver le "vide cosmique de Solutré", et c'est là que le jeu des correspondances devient très intéressant relativement à Scriptoral (cf. #scr) :

Il y a un saut qui est un "sacrifice divinisant" (cf. #sac) : or, selon la tradition prophétique et les signes de Y, Chyren, lieutenant du Christ, est divinisé par la chute de Louis XVI, le "saut" de sa tête décapitée. Et, comme par Asar, il sera question, dans la suite du texte d"'élites décapitées" (cf. #eli).
Cette chute est symbolisée en Scriptoral, par celle de la XVIème pyramide vers le point de départ de Scriptoral, la pyramide inversée (cf. #scr).
Ce point de départ de Scriptoral est la conséquence des 4 plafonds des pyramides de l'interprétation (cf. #scr).
Ces 4 plafonds et la sphère créatrice, qui se projette en eux, correspondent aux 4 patios zodiacaux du toit de l'Arche de la Défense (cf. #arche).
Robert Graffin voit une incarnation des 12 signes du Zodiaque dans les 12 fils de Jacob et les 12 tribus qu'ils engendrèrent, réparties, selon lui, sur toute l'Europe et le pourtour méditerranéen.
Le point de départ de Scriptoral, montré à Y par ses signes comme le "trône sans base" de Chyren (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#est), est le point de convergence des 12 signes zodiacaux - tribus de Jacob, inscrits dans ses 4 plafonds de l'Interprétation.
Robert Graffin établit une correspondance entre les XII colonnes de la Liberté de Cergy-Saint-Christophe et les 12 fils-tribus de Jacob.

Le pied de ces XII colonnes de la Liberté - 12 Fils de Jacob, correspond donc au "trône sans base" de Scriptoral, et le sacrifice divinisant du saut des chevaux solaires au pied des XII colonnes de la Liberté de Cergy-Saint-Christophe, incarné par le charnier de Solutré (cf. #che), correspond à la chute de la monarchie française d'origine davido-atlante, incarnée par la décapitation de Louis XVI et chute symbolisée en Scriptoral, par celle de la XVIème pyramide, ce qui provoquera le Retour en Rayonnement (cf. #ret) de la pyramide inversée de synthèse : Scriptoral (cf. #scr) ("réverbérante réponse d'acier stellaire" des étangs de Ham (cf. #rev) ?)

Or, précisément, alors que les signes disent à Y-Chyren que la place de son trône sera le point de départ de Scriptoral, la pyramide inversée, sous la sphère créatrice, c'est pourquoi il sera sans base (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#est), à l'inverse du pouvoir d'Ancien Régime, coiffant le peuple qu'il dominait, alors que ce trône sans base sera le point de départ de l'ouverture de la lumière et du rayonnement, la suite du texte parle de "collines dénudées", ce que sont les pyramides noires I-V-IX-XIII (cf. #scr) de la composition, en dehors des interprétations qui les font vivre, et dit, que le "sacrifice divinisant du saut au pied des XII colonnes de la Liberté, à Cergy-Saint-Christophe" "convoque en ces collines dénudées, l'Elu des Précipices, et son retour en rayonnement" : l'exacte réponse que donne Scriptoral à la chute de la XVIème pyramide - sacrifice de la monarchie solaire, avec le "trône sans base", si bien que Y-Chyren a tout pour être "l'élu des Précipices" de Jean Parvulesco.

 


L'AUTRE LUMIERE
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(suite de #cer, colonne de gauche, le poème "Cergy-Pontoise, 1969-1989" (Ed. Moniteur Images), de Jean Parvulesco, poète à Bhadrakali Vanadurga)
"... le même pouvoir y répondant à la magie du même rêve, et convoquant en ces collines dénudées, l'Elu des Précipices, et son Retour en Rayonnement, si dans le Val d'Oise les diamants de la Grande Ourse interpellent, occultement, les glaciers des souterrains métapsychiques, la déchirante mémoire hyperboréenne des exilés des races violettes, aujourd'hui qui se retrouvent en cette confrérie aux darnes galactiques ; tout le pouvoir ici revient de droit à la Jonction de Vénus ; nous sommes entre nous, et dans la région frontalière des non-signes nous sommes ces ombres claires, sur les étangs de Ham qui glissent, à l'aube, étincelantes de l'Autre Lumière : venez, venez saluer la renaissance de la parole pré-humaine, le chant à peine chuchoté des générations post-humaines en leurs architectures clandestines, au Palais Blanc du Belvédère, au bord de l'invisible rivière magnétique se déversant, courant de braises, contre-courant de glaces vers l'Ouest transcendantal de la Grande Ourse, happée en avant par le goulot sacré des portes de l'Atlantide, rien ne nous arrêtera, élites décapitées par le serment fondationnel de ces espaces en transaction, et rallumant nos retrouvailles si dans les cendres refroidies, et nulles sur nos poitrines en cet envol, en cette dévastation outre-algébrique sont nos racines d'empêchement, et nos Appartenances ; nous sommes les poursuivants de Solutré, aux cornes de pierre sanglante, nous sommes les invités du puits de Vénus en revivant l'Ascension des chairs déchiquetées en bas de la divine faille, et le soleil des os - brisons, brisons les os de nos Appartenances ; que la dévolution des moëlles illumine de l'intérieur les conjurations dogmatiques de Cergy-Saint-Christophe, et que poussé en contrefort mystique des cavalcades pétrifiées des Grands Cycles, le haut massacre des chevaux solaires nous redonne les anciens Souffles, et liturgiquement le feu limpide des sentiers qui en quadrillent les broussailles encore plus prohibées et noires de cette forêt de Saint-Germain, qui restera la nôtre en ses postures sidérales, au bord du ventueux plateau des libres moniales ; quand le Palais blanc du Belvédère reproduit, en nous, ses hautes murailles, sa blanche sur-sexualisation architectonique de nos vertiges, conçue pour


Mais les correspondances sont loin de s'arrêter là. Avant de chercher quelle est cette Jonction de Vénus, aux pleins pouvoirs réaffirmés ici, revenons au passage du poème, qui oppose à la "lumière première" aveuglant les veilleurs (cf. #lum1), "l'Autre Lumière" (cf. #lum2) : "nous sommes (...) dans la région frontalière des non-signes nous sommes ces ombres claires, sur les étangs de Ham qui glissent, à l'aube, étincelantes de l'Autre Lumière" : Qu'est-ce que "l'oral" dans le "scriptoral", si ce n'est la lumière non formulée, le non-script et donc le non-signe (cf. scriptoral.htm#script) ? N'est-il pas montré, en 384_suite.htm#son et en 384.htm#pai, qu'il y a passage du son à la lumière par transformation des vibrations de l'air en vibrations d'ondes électro-acoustiques, et que, dans le domaine sonore le "Même" est lié au "Pair" et au "Double" et "l'Autre" à l'Impair et au "Triple" ? A partir de là, la "lumière première" n'a-t-elle pas tout pour être celle, née du "Même", du "Pair" et du "Double", qui enferme dans le conservatisme, quand, "l'Autre Lumière" a, elle, tout, pour être celle, progressiste, de "l'Impair", du "Triple" et de "l'Autre". "Autre Lumière" car Lumière de l'Autre toujours Autre, Lumière de l'improvisation : "la renaissance de la parole pré-humaine, le chant à peine chuchoté des générations post-humaines en leurs architectures clandestines" (cf. #lum2).

En effet, qu'est-ce que l'improvisation , si ce n'est une nouvelle oralité, passant par le non-signe de la lumière centrale de la sphère créatrice de Scriptoral, entre destruction et transformation, un retour à l'origine du "script" (tel que défini en scriptoral.htm#script) et donc à la "parole pré-humaine", mais une nouvelle oralité née de ce "script" qu'elle a cassé, et donc post-humaine, en ce sens qu'elle dépasse l'humanité conservatrice, restant enfermée dans ses formulations à la "lumière première" aveuglant ses veilleurs (cf. pyramide.htm#improvisation) ? Quant aux "architectures clandestines" de ces générations post-humaines, la pyramide inversée de Scriptoral qui se retrouve sous le Louvre, en la cathédrale d'Evry, etc... n'en est-elle pas une ?

Comme par
Asar, la direction transcendantale de la Grande Ourse est l'Ouest (cf. #ouest), l'Ouest où regarde Versailles, la Direction du "Va-à-Rennes" (cf. varennes_va-a-rennes.htm#bou), la direction que prendra Chyren, puisqu'il viendra de l'Est (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#est). Comme par Asar, c'est là qu'il est question d'"Elites décapitées" (cf. #eli) : "Rien ne nous arrêtera, élites décapitées par le serment fondationnel de ces espaces en transaction", car la décapitation de Louis XVI marque la fin du niveau XVI, le dernier niveau du monde matériel, l'entrée dans le temps intermédiaire du XVII (cf. 384_suite.htm#cou) menant à la spiritualité du niveau XVIII, entrée annoncée à Versailles par Louis XIV, et inaugurée, sur le plan du rapport à Vénus, par son mariage avec "la Maintenon" (cf. versailles_vers_ailleurs.htm#16).

Quant au "serment fondationnel de ces espaces en transaction" qui décapite les élites, n'a-t-il pas tout du rapport scriptoral des formes d'esprit complémentaires et opposées de composition-interprétation / destruction-transformation, que fonda politiquement la révolution française, en décapitant le roi, à partir du moment où l'on comprend "transaction" comme "trans-action" : action entre, au travers, par-delà ? Un rapport d'espaces de pensée prenant corps par des actions passant de la composition-interprétation I-II, à la destruction-transformation III-IV, à la
composition-interprétation V-VI, à la destruction-transformation VII-VIII, etc... jusqu'à la destruction-transformation XV-XVI, amenant la synthèse du XVII de Scriptoral, (cf. #scr).

"...rien ne nous arrêtera, élites décapitées (...) et rallumant nos retrouvailles si dans les cendres refroidies, et nulles sur nos poitrines en cet envol, en cette dévastation outre-algébrique sont nos racines d'empêchement, et nos Appartenances" (cf. #eli) : n'est-ce pas dire que rien n'arrêtera le sang atlante et davidique qui passe par Louis XVI, car ses "racines d'empêchement" et ses "appartenances" sont dans les "cendres refroidies" de la "lumière première", conservatrice du "Pair" et du "Même", alors que le sang de "l'Elu des Précipices" s'est régénéré dans "l'Autre Lumière", celle progressiste de "l'Impair" et de "l'Autre", c'est pourquoi il a rallumé les retrouvailles des formes d'esprit, il a créé l'Arche, et en son envol, les cendres froides des os de ses anciennes "Appartenances" et de son attachement à sa "chienne", sont nulles : il est libre et fait partie des "ombres claires, sur les étangs de Ham qui glissent, à l'aube, étincelantes de l'Autre Lumière" (cf. #lum2). Voilà pourquoi "rien n'arrêtera" la race à laquelle il appartient.

"...nous sommes les poursuivants de Solutré, aux cornes de pierre sanglante" (cf. #pour) : Quelles sont ces cornes, celles de l'époux trompé ? Le peuple en dota Louis XVI... L'incarnation d'une monarchie trompée par sa femme-épouse Marie-Antoinette, après qu'elle se soit libérée de sa chienne-femme-maîtresse ? Une femme-épouse qui précipitera la chute commune de leurs "chairs déchiquetées" au fond du "puits de Vénus". "Cornes de pierre sanglante" : de cette pierre des pyramides sur le front de la sphère créatrice de Scriptoral
(cf. #scr), ensanglantée par la chute de la XVIème pyramide ? de la pierre parisienne, symbole de la grande monarchie dans la ville de bois qu'était Rennes, avec ce Parlement de Bretagne, origine de la Révolution (cf. rennes.p_versailles.htm#rev), Parlement que "massacra" un incendie et qui ressuscita avec Chyren, selon les signes de Y, en "mil neuf cens nonante neuf sept mois", le 18 Mars 200
0 (cf. rennes.p_versailles.htm#mor).

"...nous sommes les invités du puits de Vénus en revivant l'Ascension des chairs déchiquetées en bas de la divine faille, et le soleil des os" : en fait, pour Y, "les exilés des races violettes" (cf. #exi), "élites décapitées par le serment fondationnel de ces espaces en transaction" (cf. #eli), peuvent se libérer, parce que, descendues au fond du massacre, ils ont revécu tout ce qui le causa :
(ce que fut) "l'Ascension" (doublement pyramidale) des "chairs" (maintenant) "déchiquetées" - ascension de ces pyramides - cornes de tromperie, car insuffisantes à rendre totalement compte de ce qui EST (cf. un_deux_trois_quatre.htm).
et le "soleil des os" (cf. #os), thème sur lequel l'interprétation de Y rejoint, au moins pour une bonne partie, celle de Robert Graffin :


"Quant à "l'étoile d'Israël c'est Chabbataï-Saturne, le "deuxième soleil" qui astrologiquement gouverne les genoux et le squelette. Elle est métaphoriquement "soleil des os", et maîtrise les deux signes du Capricorne marquant la fin de la Grande Année Solaire, et (conjointement avec Uranus) le Verseau marquant l'épanouissement de l'humanité terrienne et son retour aux étoiles d'où elle vient. Il est accessoirement signe zodiacal d'Israël : l'Israël total comprenant les 12 tribus "oubliées" ou non."

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.



En effet, le "soleil des os" est, pour cet auteur, "l'étoile" d'Israël, or, pour Y, cf. pyramide.htm#composition, le judaïsme est temps de composition, de structuration, et donc d'ossification et de dogmatisme, enfermant la lumière, ce qui suppose que le soleil y devient intérieur aux os, comme le laisse entendre Jean Parvulesco, demandant de briser "les os de nos Appartenances" (cf. #os), pour que la transmission héréditaire ou "dévolution des moëlles", élément souple et doux par rapport à la rigidité et la dureté des os, "illumine de l'intérieur les conjurations dogmatiques" (on retrouve la rigidité) "de Cergy-Saint-Christophe, et que (...) le haut massacre des chevaux solaires nous redonne les anciens Souffles" : Souffles, moëlles, lumière, libérées du carcan ossificateur, exactement la démarche improvisatrice détruisant la forme pour retrouver la lumière qui l'engendra avant de la projeter à l'air libre, cf. pyramide.htm#improvisation. Mais, Y voit aussi comme réponse terrestre au "haut massacre des chevaux solaires" (cf. #hau), la Grande Terreur de 1794, décapitant la monarchie et l'aristocratie, qui conduisirent la France jusqu'en 1792, en enfermant la lumière en leurs dogmes, le soleil dans les os de leurs "Appartenances".(Suite après la fin du poème en #suite).
"qu'elle entr'ouvre, ensoleillante, le Front sans Visage,
l'ultime lecture de ces lieux éperdument voués à l'oeuvre des passages, d'une rive à l'autre ;

"afin que ses prédestinées rejoignent les appartements
réservés de l'ancienne Race Violette, afin qu'à Cergy-Saint-Christophe se reconstituent

"les assemblées sereines du dernier Empire Galactique, ces
cristallines floralies qu'au mois d'Août émettent le
velours vert des Aurores Boréales, à l'avantage de la
suprême libération continentale de l'Etre Intérieur."

Jean Parvulesco
poète à Bhadrakali Vanadurga
extrait de "Cergy-Pontoise, 1969-1989"
(Ed. Moniteur Images)



Jean Parvulesco souhaite que ce massacre "redonne les anciens Souffles, et liturgiquement le feu limpide des sentiers qui en quadrillent les broussailles encore plus prohibées et noires de cette forêt de Saint-Germain" (cf. #red) : Or, dans les "17 Saisons" (cf. concert.htm) qu'ils créèrent tous deux à Rennes, le 10 Mars 2004, avec le compositeur Jean-François Alexandre, Y demanda au peintre Yochk'o Seffer de noircir les pyramides de la composition, car elles symbolisent le "script" (cf. scriptoral.htm#script) et se sont fait une carapace des formes des lumières de tous ceux qu'elles enferment, par ailleurs, elles sont aussi des parties d'Arbres de Vie (ce qui nous rapproche des "broussailles" de Jean Parvulesco), comme nous le montrerons dans une page à réaliser, consacrée à l'Arbre de Vie kabbalistique. Ces "broussailles" sont "prohibées" pour leur conception possessive, rigide et carcérale du rapport à la lumière. Il n'y a plus qu'à voir dans les deux allées-fleuves cruciformes qui sont en leur centre et les entourent, les sentiers de feu limpide, "qui en quadrillent les broussailles" (cf. #scr), pour que Scriptoral corresponde à la vision de la forêt de Saint-Germain-en-Laye du poème.

"...cette forêt de Saint-Germain, qui restera la nôtre en ses postures sidérales" (cf. #for) : Y voit dans cette précision du poète une confirmation de la tradition prophétique, c'est à dire, que, par-delà, la brisure, et même, grâce à elle, puisqu'elle transmet la lumière via les moëlles, il y a filiation royale entre l'ancien et le nouveau pouvoir, car la forêt restera celle des races violettes et de "l'Elu des Précipices" héritier des "Elites décapitées".

"...au bord du ventueux plateau des libres moniales ; quand le Palais blanc du Belvédère reproduit, en nous, ses hautes murailles, sa blanche sur-sexualisation architectonique de nos vertiges, conçue pour qu'elle entr'ouvre, ensoleillante, le Front sans Visage" (cf. #ven) : la moitié supérieure de la sphère créatrice de Scriptoral (cf. #scr) libèrant la "lumière ensoleillante" par les espaces interpyramidaux, n'est-elle pas un "front sans visage entrouvert " ? Par ailleurs, le précipice que laisse entrevoir cette ouverture, jusqu'au feu central de la sphère le long des blanches murailles des pyramides de la destruction-transformation (cf. #scr), ce précipice n'évoque-t-il pas, également, la "blanche sur-sexualisation" du Puits de Vénus, entre les pyramides-co
rnes-de-tromperie de ce sexe-front, d'autant plus que ces blanches murailles du précipice sont intérieures à la sphère créatrice, qui nous est intérieure, comme les hautes murailles du blanc Palais du Belvédère de l'Axe Majeur, se reproduisent en nous (cf. #int), "à l'avantage de la
suprême libération continentale de l'Etre Intérieur", Scriptoral n'est-il pas la Jérusalem Céleste, un continent céleste se trouvant en nous ?

"...l'ultime lecture de ces lieux éperdument voués à l'oeuvre des passages, d'une rive à l'autre" (cf.#ult) : passages d'une rive à l'autre des allées centrales de feu limpide, pour aller d'une pyramide de la composition à l'autre, de I à V à IX à XIII, par l'accomplissement des cycles créateurs de composition-interprétation / destruction-transformation, les "cavalcades pétrifiées" (pyramidalement ?) "des Grands Cycles" (cf. #cav) ?

Quant aux "élites décapitées" "prédestinées de l'ancienne Race Violette" aux "appartements réservés" à Cergy-Saint-Christophe (cf. #pre), voici ce qu'en dit Robert Graffin, laissant entendre que leur origine est atlante et qu'elle passe par les hébreux :


"Violet, en hébreu SAGOL, contient dans sa racine une idée de "corps, cadre", de "s'adapter", de "ovale, elliptique", de "spécifique, caractéristique", de "trésor, bien précieux".

"Un "peuple de prédilection", ou encore des "hommes exceptionnels" sont dits "ségoula", de même racine.

"Cette "race violette", qui sert de "corps" ou de "cadre" à tout un champ de pensée, qui a su s'adapter pour "traverser" (Yvri") les temps, dont l'art est "ovale" et l'expression est elle aussi tellement elliptique qu'elle a donné naissance à la formule "raisonnement qabalistique" ; dont l'alphabet et la langue sans aucun idiotisme sont tellement "spécifiques et caractéristiques" qu'ils sont devenus "trésor et bien précieux" pour l'humanité terrienne... cette "race violette", donc, n'est-elle pas précisément celle dont nous parlons depuis le début ?"

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.




HAM / DRAGON
LA PYRAMIDE ECHANCREE


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Regardons les 4 pyramides de la composition I-V-IX-XIII de Scriptoral, pyramides noires du "script" (cf. #scr), que nous avons retrouvées dans les broussailles noires prohibées et quadrillées de feu limpide de la forêt de Saint-Germain-en-Laye (cf. #bro). Aplanissons la sphère : les 4 pyramides en deviennent une seule, échancrée, qui sera blanche, quand la synthèse scriptorale sera achevée. Or, voici ce que dit Robert Graffin du projet d'"Ile Astronomique" posée sur les Etangs de Ham :



""L'île astronomique" qui sera habitée de sculptures permettant au promeneur de mesurer le temps et d'observer les astres à l'instar des jardins d'Egypte ou du Mexique, flanquée d'une "pyramide blanche" aux 22 gradins comme les 22 lettres de la langue primordiale et les 22 polygones réguliers de la géométrie usuelle, pyramide échancrée de telle sorte que le vent et le soleil - Air et lumière du Verseau/Lion - y jouent en permanence un "son et lumière naturel"".

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.



N'est-il pas curieux de retrouver ici, avec les 4 départs de cycle de Scriptoral (la pyramide échancrée), le "son et lumière" polarisant les activités de Y (saxophone/bois qui flamboie, musique/peinture, la relation son et lumière du "Même" et de l'"Autre" dans son interprétation des 29 notes de l'Ame du Monde de Platon - cf. 384_suite.htm -).

La question devient alors de savoir, si ce qui s'est passé à Ham pour Y-Yehouba, est susceptible d'être très important, relativement à Vénus, au Bouvier-Arcturus, au Dragon, à l'Etoile Polaire, à l'Axe Majeur de Cergy-Saint-Christophe, à la forêt de Saint-Germain-en-Laye et au chasseur effréné libérant sa chienne, Bouvier-Arcturus ou Louis XIV :

Ce qui s'est passé à Ham, pour Y-Yehouba, ce fut une alliance de sa famille, sous la forme d'un mariage franco-allemand et catholico-protestant. Qui dit mariage, dit relation à Vénus, une relation qui se fit sous le signe de la monarchie et du 16 : en effet, ce mariage eut lieu le 16.10.1999, 206ème anniversaire de l'exécution de Marie-Antoinette, dans un salon de l'Hôtel Week-End, rue de Neuville (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#era) : le salon Louvre (cf. les deux pyramides à l'endroit et à l'envers du Louvre royal), après avoir été baptisé par la mairie du nom de "mariage du 16", en raison d'un problème administratif franco-allemand, ce fut une alliance de Bouhey-bois, avec un nom allemand évoquant le hautbois ou le haut bois, le hautbois étant l'instrument modèle de Y, et le haut bois n'étant pas sans rappeler la forêt de Saint-Germain-en-Laye, haut bois dissimulant en ses brumes la Haute Tradition. Cet évènement relia pour finir Ham avec Hambourg, mettant en évidence la syllabe commune "Ham", non réel, selon Robert Graffin, du troisième fils de Noé, signifiant aussi "Maison blanche".
Côté Bouvier-Arcturus / Etoile Polaire, Robert Graffin donne les très intéressants renseignements suivants :



"Remarquez sur la planche (cf. planche ci-dessus #art, N.D.L.R.) comme le Dragon e
ncercle la Petite Ourse, empêchant justement le Bouvier-Arcturus (...) d'atteindre la Polaire, ce nord céleste au-delà du Nord terrestre qui pourrait bien être l'Hyperborée mythique."

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.


traduction terrestre : Ham sépare de l'Axe Majeur, relié selon Robert Graffin au Bouvier-Arcturus, les brumes de la forêt de Saint-Germain-en-Laye, qui dissimulent les impositions de l'Etoile Polaire, Ham est donc le correspondant du Dragon Céleste séparant l'Axe Majeur / Bouvier-Arcturus de la Haute Tradition imposée par l'Etoile Polaire à la forêt de Saint-Germain-en-Laye, soit :


BOUVIER ARCTURUS
+ CHIENS DE CHASSE
DRAGON
PETITE OURSE
+ ETOILE POLAIRE
Axe Majeur de
Cergy-Saint-Christophe
Ham
Forêt de
Saint-Germain-en-Laye
+ Unique Mère = Haute Tradition



Pour Robert Graffin ce Bouvier est le



" chasseur effréné poursuivant les "Ourses" gardiennes de la Polaire avec ses Chiens et Chiennes à travers le Dragon (cf. #art), avant que ne se lève sur l'horizon Vénus annonçant le Soleil-Lion."

Robert Graffin, "Les Secrets de Salomon",
auto-édition, BP 501, 77331 Meaux Cedex.



Or, très curieusement, Louis XIV chasseur effréné et Roi-Soleil, est lié au Dragon et à la relation catholico-protestante, par l'acte le plus grave de son règne : la Révocation de l'Edit de Nantes, par laquelle, s'opposant à ses racines, il permit les "dragonnades" qui ne laissèrent aux protestants que le choix entre le massacre, la conversion ou l'exil.

En fait, Louis XIV n'est pas un Soleil libre, mais un Soleil enfermé dans les "os de ses Appartenances". Sa relation à Vénus en témoigne par son mariage avec "la Maintenon", épousée en 1683, l'année-même de la mort de la reine, mariage en cachette, qui le prive de reine, c'est à dire d'épouse véritable, même s'il l'engage vers une clarification de son rapport aux femmes.

La Révocation de l'Edit de Nantes, en 1685, deux ans après cette célébration secrète, et les dragonnades qu'elle engendra, indique tout le chemin restant à parcourir à la monarchie solaire / Bouvier Arcturus pour qu'elle (se) libère véritablement (de) sa "chienne" (cf. #lec) et que la Jonction de Vénus la ramène à la Haute Tradition dissimulée par l'Etoile Polaire, dans les brumes de la forêt de Saint-Germain-en-Laye, Haute Tradition, dont la coupa le Dragon (se retournant contre elle en raison de la façon dont elle l'utilisa ?)

D'ailleurs, pas plus que Yehouda, le Roi-Soleil, né le 5.IX.1638, n'est un natif du signe du Lion. Louis XIV est du signe de la Vierge.

Asar de plus, le 16.X.1999, à Ham, le "mariage germano-français et protestanto-catholique du 16" fut, par contre, un mariage Verseau-Lion (Verseau du 25 Janvier et Lion du 19 Août), l'axe quasi est-ouest des patios zodiacaux du toit de l'Arche de la Défense (cf. #arche). Robert Graffin ne dit-il pas ci-dessus, en #chasseur, que Vénus se lèvera sur l'horizon pour annoncer le "Soleil-Lion" (complémentaire du Verseau - Verse-Eau) ? Après que le "chasseur effréné" ait poursuivi les "Ourses", gardiennes de la Polaire, avec ses "Chiens et Chiennes" à travers le "Dragon" ? Et le projet d'"Ile Astronomique", où la pyramide blanche échancrée apparaît, via Scriptoral, comme une métamorphose des broussailles prohibées et noires de la forêt de Saint-Germain-en-Laye, ce projet d'"Ile Astronomique" à Ham, n'indique-t-il pas que le "Dragon / Ham", apaisé, car enfin en accord avec "les exilés des races violettes", ne les empêche plus de retrouver la Haute Tradition ? n'empêche plus Arthur / Axe Majeur de trouver le "Sangréal" > Saint-Graal > Sang Royal de "l'Elu des Précipices" ?



LA JONCTION DE VENUS
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Y pense que c'est effectivement le cas, que la "chienne" (cf.#lec) de Louis XIV est maintenant totalement libérée, la maîtresse et l'épouse ne faisant plus qu'un, elle est devenue pleinement femme et à nouveau pleinement digne d'accomplir son rôle : la transmission de la lignée, comme elle le fait chez les hébreux, c'est pourquoi "l'Elu des Précipices" peut revenir. Y voit, dans l'accomplissement de cette libération, de multiples étapes formant un pont, allant du mariage secret de Louis XIV, en 1683, avec Madame de Maintenon, au "mariage du 16" à Ham, le 16.X.1999, réparant la tragique déchirure de 1685, au début de la première alliance.

Ces multiples étapes ont pour lui deux faces opposées :

La première précède la brisure des os et passe par :

Madame de Maintenon, qui, baptisée catholique, mais élevée dans la religion calviniste, reviendra au catholicisme, tombera dans la dévotion, soumettant sa relation à Louis XIV aux appréciations de son confesseur et influençant le roi dans le domaine religieux (la Révocation de l'Edit de Nantes ?).
Marie Leszczinska, la reine vertueuse et pauvre, sincèrement aimée par Louis XV, mais d'un amour qui ne résiste pas au "chien" de la Pompadour.
Marie-Antoinette, la femme-épouse prenant excessivement le pas sur la femme-maîtresse, dans une alliance Habsbourg-Bourbon détonante, qui précipite le "haut massacre des chevaux solaires".

La seconde accompagne cette brisure des os, et, dans la mesure où Y est réellement Chyren, "l'Elu des Précipices", cette libération doit être effective dans les femmes de sa famille à partir de son épouse, c'est à dire, sa femme, sa fille et sa belle-fille, que des signes doivent relier à la descendance Louis XIVème. La mère de Y serait alors la dernière femme en attente de libération. Or, Asar toujours ? Beaucoup de "coïncidences" vont en ce sens pour toutes quatre :

En ce qui concerne la mère de Y, les signes de ce dernier l'identifiant, en tant que Chyren, au Roi des rois de l'Apocalypse (cf. etreinte_suite.htm#y=c), elle doit être la femme de l'Apocalypse, mère de ce Roi des rois, or, plusieurs signes vont curieusement en ce sens (cf. etreinte_suite.htm#fem et etreinte_suite.htm#sig). Comme par Asar, cette femme est effectivement en attente de libération, puisqu'



"elle reçut les deux ailes du grands aigle pour voler au désert jusqu'au refuge où, loin du Serpent, elle doit être nourrie un temps et des temps, et la moitié d'un temps."

(Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 12, 13.)



Marie (comme mariage et alliance) - Hélène (comme sagesse), l'épouse de Y, ne manque pas d'être, elle aussi, fortement marquée par des signes monarchiques :

Elle est la descendante d'un varennois de 1791 : Nicolas Garnier.
Elle vécut, enfant, à Saint-Germain-en-Laye, dans un immeuble ayant appartenu au secrétaire de Louis XVI, avec buste dans la cour (du secrétaire ou de Louis XVI ? elle a oublié).
Lorsqu'elle connut Y, qui passa les 12 premières années de sa vie dans une rue Mozart, elle lui dit qu'ils étaient faits pour s'entendre, car, si la mère de Y était née un 27 Janvier, jour de la naissance de Mozart, elle-même l'était un 5 Décembre, jour de sa mort.
Leur mariage religieux, le 17.7.71, fut donc centré sur le 17, "l'Intermédiaire" de Versailles menant à la spiritualité, cf. versailles_vers_ailleurs.htm#16 et 384_suite.htm#cou, alors qu'il se fit le 16 (16.7.71) à la Mairie républicaine (16 est le dernier niveau du monde matériel, cf. 384_suite.htm#ange.
Elle travaille à Saint-Germain-en-Laye, et traverse, pour s'y rendre, la forêt de Saint-Germain-en-Laye, forêt de "l'Unique Mère".
Elle développe avec beaucoup de succès la créativité des enfants, par des contes et des opéras, dont elle écrit les textes et qu'elle dirige, souhaitant développer une "Maison des Enfants" (une métamorphose de la Maison de Saint-Cyr, créée par Madame de Maintenon pour l'éducation des jeunes filles nobles et pauvres ?)
Son nom qu'elle associe à celui de Y, pose curieusement, en cette alliance, la question clé de l'identité de ce dernier, sous la forme populaire paysanne : "Qui c'est l'Bouhey ?")
La valeur numérique de son prénom composé associé à ce double nom est, comme par Asar, une nouvelle fois 111 ! (cf., entre autres, pierres_d_angles_suite.htm#111).
Marie-Hélène s'attache à "briser les os de ses Appartenances".

La fille de Y est, elle aussi, marquée par des signes monarchiques libérateurs :

Elle lui donne le "choix du roi".
Sa date de naissance, le 18.XII.1974 est intéressante à plusieurs points de vue :

18.12 a pour réduction théosophique 9.12, inverse du 21.9 de l'abolition monarchique (cf. #912).
18.12 est à mettre en relation avec deux dates concernant Madame Royale, la fille de Louis XVI : sa date de naissance, et sa date de sortie du Temple (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#219). (Madame Royale est la seule rescapée officielle de la prison du Temple, mais qui finit beaucoup plus probablement ses jours en Saxe, comme "Comtesse des Ténèbres" sous le nom de Sophie Botta, que comme duchesse d'Angoulême (version elle aussi officielle, mais royaliste cette fois !)).
1974 est le bi-centenaire du début du règne de Louis XVI.

Quant à la belle-fille de Y, c'est l'épouse du si significatif "mariage du 16" à Ham.




LA JONCTION DE VENUS,
UNE CONJONCTION INFERIEURE ?
(LE TRANSIT DU 8.VI.2004 ?)

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Asar encore ? C'est précisément quand les signes de Y lui indiquent que la "chienne" est maintenant libérée, et que la Jonction de Vénus peut ramener les "exilés des races violettes", "élites décapitées" à la Haute Tradition, "Unique Mère", que se produit un évènement rare, n'ayant pas eu lieu identiquement depuis 243 ans : une conjonction inférieure de Vénus.


On appelle "conjonction inférieure de Vénus", un passage de cette planète entre terre et soleil, et conjonction supérieure, un passage à l'opposé du soleil.

Les passages ou transits de la planète devant le soleil, ont lieu début Juin, au noeud descendant de son orbite et début Décembre au noeud ascendant,
et l'invention de la lunette astronomique a permis à Galilée d'observer le premier en 1631.

Passages au noeuds
descendants de l'orbite
Passages au noeuds
ascendants de l'orbite
7.12.1631
4.12.1639
6.6.1761
3.6.1769
9.12.1874
6.12.1882
8.6.2004
6.6.2012
11.12.2117
8.12.2125

Ils se font par paires séparées de 8 ans, à deux intervalles de plus d'un siècle, soient :

8 ans - 121 ans 6 mois - 8ans -105 ans 6 mois.

Cela sépare deux conjonctions quasi identiques de 243 ans.

cf. http://perso.wanadoo.fr/pgj/transit080604-liens.htm.


Asar encore et toujours ? cette conjonction, est arrivée à un moment fort opportun, relativement à notre sujet : le 8 Juin 2004, jour choisi par les descendants officiels de Louis XIV, pour porter à Saint-Denis le soit-disant coeur de l'enfant mort au Temple, identifié par l'A.D.N., et décrété précipitamment comme étant celui de Louis XVII, alors qu'il s'agit vraisemblablement du coeur du frère aîné de Louis XVII, cf. http://www.museelouisxvii.com/index.htm (y lire notamment les travaux de P.-A. Boiry et de Laure de la Chapelle).

Ces descendants tentent ainsi de couper court à toute la tradition prophétique annonçant la survivance de Louis XVII en Chyren, le Grand Monarque, que les signes de Y assimilent, entre autres, à "l'Elu des Précipices" du présent poème, "convoqué" par la Jonction de Vénus. C'est pourquoi, si la conjonction de Vénus du 8.6.2004 ne fait qu'un avec la Jonction de Vénus de Jean Parvulesco, elle a tout d'un démenti : le coeur porté à Saint-Denis, le même jour, ne peut pas être celui d'un Louis XVII mort en 1795, à 10 ans, puisqu'en descend "l'Elu des Précipices".

Par ailleurs, aucune des précédentes conjonctions de Vénus n'est en reste par rapport à la dernière, relativement à notre sujet :

Les deux précédentes conjonctions de Vénus, au noeud descendant de son orbite, eurent lieu les 6.6.1761 et 3.6.1769, des dates qui encadrent exactement l'année 1765 de l'arrestation de La Chalotais au Parlement de Rennes, présentée à Y, comme le point de départ de la Révolution, Varennes étant un message pour la descendance royale ("Va-à-Rennes"), indiquant que la résurrection royale passe par un retour à ce point, cf. rennes.p_versailles.htm, varennes_va-a-rennes.htm, etc...
La paire des 7.12.1631 et 4.12.1639, au noeud ascendant de l'orbite, encadre la naissance de Louis XIV le 5.9.1638, Louis XIV qui est en cette interprétation du poème l'élément déclenchant de l'action de Vénus, le "chasseur effréné" libérant sa "chienne". La date tardive entre 1631 et 1639, est là, comme le signe des difficultés d'Anne d'Autriche pour donner le jour à cet héritier.
Quant à la paire des 9.12.1874 et 6.12.1882, au même noeud ascendant de l'orbite, elle rappelle d'une part à Y, s'il est bien Chyren, la date de naissance de son grand-père (Louis)-François, le 21.9.1874, qui réussit à réunir le 21.9, anniversaire de l'abolition de la monarchie, et 1874, centenaire du début du règne de Louis XVI, 9.12.1874, inverse par son 9.12 le 21.9 du renversement monarchique (cf. #219), il équilibre ainsi la date de naissance de ce grand-père qui vota pour le Front Populaire, avec une mère royaliste inconditionnelle ; d'autre part, la paire des 9.12.1874 et 6.12.1882 se trouve encadrée par 1873 et 1883, 1873 est l'année, où le Comte de Chambord refusa de règner sous le nom de Henri V, et 1883, l'année de sa mort. Or, Henri V est le nom sous lequel doit règner l'héritier royal, assimilé par les signes de Y, à "l'Elu des Précipices" du poème.


Ces conjonctions de Vénus sont donc liées par leurs dates à Louis XIV, à l'origine de la révolution et à la descendance de Louis XVII. Les signes de Y et la tradition prophétique montrant que cette descendance aboutit à un héritier, Grand Monarque, Chyren, "grand Roy d'Angolmois ressuscité", à la fois assimilable au Roi des rois de "l'Apocalypse" de Jean et à "l'Elu des Précipices" de Jean Parvulesco devant être "convoqué" par la Jonction de Vénus qui surviendra quand le "chasseur effréné" aura libéré "sa chienne", la dernière de ces conjonctions de Vénus peut donc tout à fait être la "Jonction de Vénus" du présent poème, et confirme, par celles qui la précèdent depuis 1631, le signe de Y faisant du "chasseur effréné", Louis XIV, et de "sa chienne", son attachement à la femme-maîtresse, dont il doit se libérer pour la libérer (et avec elle, Vénus), afin de lui permettre d'accomplir sa féminité en plénitude, ce qui paraît s'être réalisé à travers un pont reliant le mariage secret de 1683 à Versailles, et le "mariage du 16" à Ham, en 1999.


CONFIRMATION DU 03.07.2004 ?


Cette interprétation voit en Louis XIV un possesseur possédé. La chienne qu'il possède avant de la libérer est aussi en lui. Il est donc "chasseur-chien effréné", autrement dit chien de chasse insatiable (le Bouvier Arcturus, chasseur des Ourses, n'était-il pas ours lui-même - cf. #our - ?)

Or, Asar toujours ? Y trouva une confirmation de cette vision dans le commentaire de Michel Morin de la 86ème devise de la prophétie de Saint Malachie sur les papes, la devise d'Innocent XI, pape de 1676 à 1689, sous Louis XIV. La voici, avec son commentaire :


"86. "Bellua insatiabilis" Innocent XI La bête insatiable (1676-1689)

"Commentaire :
La "Bête insatiable", c'est le roi Louis XIV, qui, dans un esprit de conquête permanente, porta la guerre dans toute la France et dans toute l'Europe pendant près de cinquante ans."
(Michel Morin, "Le Grand Monarque selon les Prophéties", Louise Courteau éditrice)