Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
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SOMMAIRE MUSIQUE SIGNES
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PLATON
384, 29,
&
L'AME DU MONDE (suite)






SON - CHALEUR - LUMIERE
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La première partie de ce fichier (cf. 384.htm#pai) se termine par :


L'Ame
étant principe de vie, nous avons donc bien ici le principe de l'évolution vibratoire des sons, qui, après le passage des vibrations de l'air à celles d'ondes électromagnétiques, se transforment en chaleur et en lumière, au fur et à mesure de la multiplication de ces vibrations, une lumière qui est une nécessité vitale aussi spirituelle que physique.


Voici ce qu'écrit René Alix, dans sa "Grammaire Musicale" publiée chez Durand :


"L'échelle musicale comprend 96 sons qui vont de 32 à 8.448 vibrations..."

En fait, le la grave du piano est situé en-dessous du do-32 hertz, il est de 27 vibrations par seconde, et le 96ème son à partir du do-32hz est le si-7.776hz, après quoi viennent les do-8 192 hz et do#-8 748 hz. Il n'existe pas de note de 8.448 hz, à partir du do-1 hz, qui donne un la à 432 hz, alors que le la actuel est légèrement plus haut à 442 hz.

C'est l'orgue qui nous donne les sons musicaux extrêmes :

les do-16 et 16.384

faisant curieusement apparaître, réunis, les deux nombres symboliques forts, que sont 16 et 384.

Continuons donc le texte de René Alix, en sachant que ses valeurs numériques peuvent être approximatives :


"Au-delà de cette limite, les sons perdent tout caractère musical mais l'oreille les perçoit encore jusqu'à 73 000 vibrations par seconde. Viennent ensuite les vibrations "calorifiques" qui commencent à 134 trillions (134.000.000.000.000.) par seconde, et qui deviennent "lumineuses" à partir de 483 trillions. Nous donnons ci-dessous le nombre des vibrations correspondant aux sept couleurs de l'arc-en-ciel :


Rouge............. 483.000.000.000.000 vibrations par seconde,
Orangé........... 513.000.000.000.000 vibrations par seconde,
Jaune.............. 543.000.000.000.000 vibrations par seconde,
Vert................ 576.000.000.000.000 vibrations par seconde,
Bleu................ 630.000.000.000.000 vibrations par seconde,
Indigo............. 669.000.000.000.000 vibrations par seconde,
Violet............. 708.000.000.000.000 vibrations par seconde."


En fait, les fréquences des vibrations sonores et celles des vibrations lumineuses ne sont pas de même nature :

pour le son, il s'agit des vibrations de l'air (ou d'un liquide) ;
pour la lumière, il s'agit de vibrations des ondes électromagnétiques, qui se transmettent, elles, dans le vide : celles-ci commencent par les ondes radio-électriques, dont les fréquences vont de 10.000 à 100.000.000.000 Hz.


Toutefois, il y a passage des vibrations du son transmises par l'air aux vibrations des ondes électromagnétiques, puisque le son peut être enregistré par les ondes radio-électriques et restitué à partir d'elles.

S'il n'y a pas continuité, il y a donc tout de même bien lien entre le son et la lumière, et celui-ci ne manque pas d'intérêt en ce site, précisément consacré à l'approche de la lumière spirituelle, dans la mesure où il existe, là aussi, un passage (passage 16-18, à travers la coupure du 17 - cf. #cou - ?) entre matière et esprit (comme entre les transmissions des ondes dans l'air et dans le vide ?)






L'AUTRE TOUJOURS AUTRE
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A côté de cette relation son-chaleur-lumière, il faut savoir que, contrairement à ce que l'on apprend en solfège, le ton n'est pas exactement de 9 commas, divisés en demi-ton diatonique de 4 commas et demi-ton chromatique de 5 commas.

En effet le ton est un rapport de 8/9, soit 23/32. S'il était égal à 9 commas, sa valeur serait de


219 x 9
312 x 9
=

2
171
3108


C'est dire, que les vibrations triples nées de l'Autre et engendrant l'Autre, ne correspondent jamais à une vibration double née du "Même" et engendrant "le même". Si le Même est toujours "même", l'Autre est toujours "autre".



Le triton, que le Moyen-Age surnomma


"Diabolus in musica,"


est un intervalle de 3 tons formant un rapport réductible à 512/729, situé entre les 4ème et 7ème degrés de la gamme majeure, et, en ce qui concerne do/fa# - 512/729, de la gamme de sol-384 majeur, qui a pour tonique le sol-384, point de départ de l'Ame du Monde pour Platon. Ajoutons que le do#-2.187, perturbateur pour Lucien Gérardin, qui arrive après le 17ème intervalle, se trouve à un triton de cette tonique de sol majeur, réprésentée par le sol 1.536.

Or, en ce site Scriptoral, 512 (83) et 729 (93) sont des nombres liés à la résurrection divino-monarchique. En effet (cf. interpretation.htm#mor) :

512, sous la forme 5.12 est dans la date de mort de Mozart, le 5.12.1791 ;
512 est dans la durée qui sépare cette date de l'octroi de l'enclos du Temple aux templiers : 1279-1791 = 512 ans ;
729 apparaît, dans le désordre, dans la date-même de cet octroi : 1279 ;
729 apparaît, dans ce-même désordre, 279, dans le nombre des années séparant la destruction par le feu de la commanderie du Temple à Dijon (ville de Y), en 1513, et l'entrée de la monarchie dans le donjon de cet enclos du Temple, suivie de son abolition, en 1792 ;
729 se retrouve, dans un second désordre, dans 1792, cette même date d'entrée de la monarchie dans le donjon du Temple et date de l'abolition monarchique "que l'on cuidera estre une renovation de siecle" (Nostradamus) ;
729, pour Y, se retrouve, dans un troisième désordre, dans 1972 coup d'envoi, à l'Institut des Arts de Dakar, de sa carrière musico-littéraire et de Scriptoral, qui lui fit inaugurer avec son épouse les deux premiers postes d'enseignement musical créés par le Ministère de la Coopération ;


512 + 1 = 513
:

513 ans = 1279-1792, la durée séparant l'octroi de l'enclos du Temple par la monarchie, et l'emprisonnement de cette monarchie dans le donjon de cet enclos, ainsi que son abolition ;
21.6.1791 - 5.12.1791 = 5 mois et 13 jours, ce qui fait apparaître 513, dans le laps de temps séparant l'arrestation de Varennes de la mort de Mozart, que les signes présentent à Y comme le guide de la descendance de Louis XVI et Marie-Antoinette vers la résurrection monarchique (cf. interpretation.htm#mozart)
513 = 57 x 9, le parachèvement de 57, qui est le numéro de l'Hôtel Matignon, rue de Varenne (cf. jacques_chirac.htm#del), le lieu du gouvernement de la France ;
1513 fut l’année située 234 ans après l’octroi de 1279 et… 279 ans ! avant l’abolition de 1792, où les Suisses, assiégeant Dijon, ville natale de Y, supprimèrent sous ses murs par le feu, la Commanderie du Temple. L’Eglise et le quartier Saint-Pierre y remplacent désormais la Commanderie et le Faubourg du Temple : Tout un symbole !…


Quel rapport, me direz-vous, avec le triton, "Diabolus in musica" du Moyen-Age ?

Retenons tout d'abord ce que souligne Lucien Gérardin, dans son Mystère des Nombres :


"Il n'y a jamais loin du diabolique au divin."

Or, les templiers, ordre militaire religieux de moines-soldats, furent diabolisés par la monarchie de droit divin (cf. Rennes - Parlement de Bretagne), que diabolisèrent à leur tour les révolutionnaires, pour la faire aller à la mort par l'enclos qu'elle avait donné à ces templiers.

Quant au triton, René Alix explique en sa "Grammaire Musicale", qu'il fut supprimé dans les musiques liturgiques, au moins depuis Grégoire le Grand, au VIème siècle, mais que les peuples anciens, et, entre autres, les Grecs, ont toujours éprouvé de l'horreur pour lui. Pour le Moyen-Age, il emploie le terme synonyme de "terreur". Citant A.-A. Gedalge, dans ses "Principes de la Musique" (Editions Enoch), il ajoute que le triton est fréquemment utilisé par les bergers dans leurs "ranz". Les meneurs de chèvres, parcourant les rues de Paris, jouaient sur leurs flûtes de Pan, instruments excitants pour l'Antiquité, des vocalises reposant en grande partie sur cet intervalle. Il souligne une corrélation possible avec le fait que les peuplades superstitieuses considèrent encore comme synonymes les mots de berger et de sorcier.

Les orientaux, eux-mêmes, et les derviches-tourneurs considèrent également le triton comme un intervalle excitant, ou s'en servent pour s'exciter. René Alix ajoute encore, que c'est pendant l'exécution de vocalises marquant fortement le triton que les prêtres fanatiques font leurs sanglants exercices de pénitence.

En fait, cette excitation a tout de celle de l'aventure, provoquée par la découverte de "l'Autre", qui fait sortir de la routine du "Même", la suppression du do#-2.187, en intervalle de triton avec le sol-1.536, par Lucien Gérardin, prouve qu'il n'est pas besoin d'entendre cet intervalle pour qu'il soit dérangeant, il suffit de voir comment il arrive.

Mais, force est de reconnaître, que c'est par "l'Autre", et donc par le triple et le triton que les fréquences de vibrations s'accélèrent le plus rapidement et donc que les ondes électromagnétiques accèdent le plus rapidement à la Lumière.






L'AUTRE NE DE L'IMPAIR PAR LE TRIPLE
MOYEN D'ACCES A LA LUMIERE

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En effet, revenons au tableau où apparaît le comma :



Dans l'octave 8, le do double n'est que de 8.192 hertz, alors que le fa##, premier des triples, est déjà de 1.594.323 hertz. Inutile de dire avec quelle rapidité, transformés en fréquences de vibrations d'ondes électromagnétiques, les triples arriveront aux 483.000.000.000.000 de hertz de la couleur rouge par rapport aux doubles.


En fait, le do-1 est la première approche de la lumière, en tant que racine des triples qu'il engendre, et ses doubles (2, 4, 8, 16 etc...) vont conserver cet acquis, comme le sol-3 (octave 03) est la seconde approche de cette lumière que conserveront ses doubles (6, 9, 18, etc...). Le premier fa#, note supérieure du premier triton apparaîtra dans la 7ème octave (octave 1 ci-dessus) avec le triple 729, et il faudra attendre que les doubles de do atteignent la 10ème octave, avec 512 (octave 4 ci-dessus) pour que sonne le diabolico...divin !... triton fa#/do (729/512).

Ainsi, dans la progression physique vers la lumière, les acquis reviennent aux triples, à l'Impair, qui est l'Eclaireur, et la préservation des acquis aux doubles et au Pair, qui est le Suiveur, de plus en plus éloigné !...







RACINES DE L'AUTRE
CET IMPAIR ET TRIPLE
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Comme nous le vérifierons plus loin le do#2.187 est commun aux 17ème et 18ème intervalles des 29 notes de l'Ame du Monde, c'est à dire si/do# - 1.944/2.187 et do#/ré - 2.187/2.304, or, comme par asar, le total des chiffres de 2.187 et de 1.944 est 18, et 18 est l'issue lumineuse de l'enchaînement initiatique 16-17-18, passant du monde matériel s'achevant au 16, au monde spirituel débutant au 18 (cf. varennes_va-a-rennes.htm#mai), tous deux étant séparés par la coupure du 17 mise en évidence par les pythagoriciens (cf. #cou), et incarnée dans notre histoire par Louis XVII.

Voyons maintenant ce que recèlent les racines du do#-2.187, en termes d'acquis lumineux (les triples le précèdant en descendant jusqu'à 1), et, en termes de préservations de ces acquis (les doubles de ces triples).


Les triples le précèdant sont, notamment, le fa#-729, le si-243, racine de ce fa#, et le mi-81 racine de ce si-243 :

le fa#-729 est envisagé plus haut (cf. #729),
le si-243 est la 5ème quinte redoublée à une octave, à partir du do-1."5ème 5te" fait à nouveau apparaître ce 55 lié à Varennes (la Meuse), à Mozart, mort le 5.12.1791 à 0h 55, à Jacques Chirac dont la valeur numérique du nom est 55 par 22 + 33 (cf. jacques_chirac.htm#22), alors qu'il est le 5ème Président de la 5ème République, Chirac, comme Chir - ac - Chyren (cf. jacques_chirac.htm#chi), en somme 55 est signe de mort et résurrection divino-monarchique, d'autant plus que les chiffres de la croix de résurrection de la double croix scriptorale sont 1-2-3-4, lus dans le sens du signe de croix catholique et 1-2-4-3 (243), dans celui du signe de croix orthodoxe.
Y ne put pas manquer de remarquer que, dans les doubles, octaves du si-243 apparaissaient :

si-972, c'est à dire un désordre de 729 évoquant 1972, l'année qui le propulsa vers la jonction musique-verbe de Scriptoral,
et 1944, l'année de Libération de la France par Charles de Gaulle, le futur fondateur de la Vème République.

En somme, (1)972 et 1944 sont des jalons vers la conquête de la lumière initiée par 243, d'où sortira le triton do#-2.187, en relation de triton avec le sol-1.536.

le mi-81 est la 4ème 5te redoublée à partir du do-1, ce qui n'est pas sans évoquer, pour Y, 1981, l'accession au pouvoir de François Mitterrand, d'esprit progressiste, "Autre", à la place, comme par asar de 4ème Président de la 5ème République.

Et Y remarque, dans les doubles de ce mi-81 :

mi-162, où il trouve 16.2, sa date de naissance, c'est à dire, le début du passage initiatique 16-17-18, marquant le passage du monde matériel au monde spirituel, qui est comme par asar, en Février, la fin du signe du Verseau, débutant le 21 Janvier, jour, comme par asar, de l'exécution de Louis XVI (cf. pierres_d_angles_suite.htm#211), alors que le Verseau est, encore comme par asar, l'artisan de ce passage,
mi-324, où 324 est un second désordre de 243 (cf. ci-dessus).


Ces racines de "l'Autre" commencent donc à nous orienter vers une correspondance entre les vibrations doubles et triples nées du do-1, et les formes d'esprits conservatrices et progressistes de l'humanité, le sujet-même de Scriptoral. Quoi d'étonnant, puisque l'esprit est si sensible à ces vibrations, qu'elles peuvent le mettre dans les états les plus divers et les plus forts, que leurs fréquences soient de quelques unités par secondes, quand elles sont sonores, à des centaines de trillions quand elles sont lumineuses ?





PAIR ET IMPAIR
MIS EN QUATRE
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Mais ce n'est pas tout. Considèrons maintenant les quatre premiers nombres des deux progressions construites sur le Pair et l'Impair, à partir de l'1 :

.
1.
.2.
.3.
.4.
.9.
.....8.
27....


et examinons les sommes et produits résultant des lignes horizontales et obliques (le fait que ces deux progressions soient de 4 nombres n'étant pas anodin, car 4 est le nombre de la mesure) :


2 + 3 = 5
2 x 3 = 6
4 + 9 = 13
4 x 9 = 36
8 + 27 = 35
8 x 27 = 216
1 + 2 + 4 + 8 = 15
1 + 3 + 9 + 27 = 40
15 + 40 = 55
1 x 2 x 4 x 8 = 43 = 64
1 x 3 x 9 x 27 = 93 = 729
43 + 93 = 64 + 729 = 793
43 x 93 = 64 x 729 = 46656


Parmi ces résultats, nous remarquons :

5, point de départ de la croix de résurrection dans la double croix scriptorale, née des 16/17 pyramides (cf. double_croix.htm#43) :



1
 
9
 
8
 
7
 
6


et


 
5
 
4
(8)
3
 
2
 


qui est le 5 de Chyren - Henri V,
13, extrémités 1-3 du lien Jacques Chirac dans la représentation cruciforme de la Vème République (cf. nombres.htm#tab3),
35 :

nombre de l'Ille et Vilaine, département de Rennes, destination indiquée comme lieu de résurrection à la monarchie, selon les signes de Y, par "Varennes - Va-à-Rennes",
et, comme par asar, valeur numérique de la somme des lettres de VARENNES (4 + 1 + 9 + 5 + 5 + 5 + 5 + 1 = 35, cf. nombres.htm#val),

6, nombre divin,
36 :

longueur en coudées du côté de la Jérusalem Céleste,
valeur numérique de "VA-A-RENNES" (4 + 1 + 1 + 9 + 5 + 5 + 5 + 5 + 1 = 36, cf. nombres.htm#val),

216, nombre sacré, car 6 x 36,
55
, correspondant à Varennes, Jacques Chirac, Mozart (donné par ses signes à Y comme le guide spirituel de la descendance monarchique) (cf. ci-dessus),
729, lié à 279, 1279, 1792, 1972 (cf. ci-dessus),
793,
lié à 1793, l'exécution du roi et de la reine, à 793, le nombre des triangles et losanges des pyramides de surface au Louvre royal, à 397, qui l'inverse dans le nombre total des jours donnés à Y, pour le "mil neuf cens nonante neuf sept mois" de la prophétie de Nostradamus (quatrain X, 72), sur la résurrection du "grand Roy d'Angolmois" (cf. rennes.p_versailles.htm#7mo),
reste 46656 : "il n'y a pas loin du diabolique au divin", dit Lucien Gérardin, comment mieux l'illustrer qu'avec ce nombre, où, initié par le 4 de la mesure, nombre des triples et des doubles de ce produit incluant le 1 dont ils sont issus, le 5 de départ de la croix de résurrection scriptorale sépare en
66 et 6, le 666
du nombre de la Bête de l'Apocalypse, si bien qu'à côté de ce nombre, on peut voir le 6 divin, 36 (6 x 6 donnés par 66) et 216 (36 x 6), présentés ci-dessus.





VALEURS DES 29 NOTES
DE L'AME DU MONDE
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Les valeurs des notes de la gamme majeure de do, à partir du do-1, se calculent comme indiqué 384.htm#qua : en multipliant la somme des valeurs des intervalles qui les composent, pour les... additionner.

Exemple : do-2 = 1 t (9/8) + 1 t + 1/2 td (256/243) + 1 t + 1 t + 1 t +1/2 td
= 32/23 x 32/23 x 28/35 X 32/23 x 32/23 x 32/23 x 28/35 = 310/215 X 216/310 = 2


d'où les valeurs suivantes pour les 29 notes de l'Ame du Monde, en faisant du sol-384 un nouvel 1, puisqu'il est leur point de départ :


(A LIRE DE BAS EN HAUT)







LES 24 INTERVALLES REMPLISSANT
LES 8 QUARTES ISSUES DES 29 NOTES
DE L'AME DU MONDE
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Voici maintenant les 24 intervalles composant les 8 quartes qui remplissent les 29 notes de l'Ame platonicienne du Monde, nées du "Même" ou de "l'Autre", ou du "Même" et de "l'Autre". Ces quartes sont nées du "Même", quand leurs notes forment l'un des tétracordes de la gamme de sol majeur, qui se répète toujours identique, d'octave en octave. Elles sont nées de "l'Autre", quand leurs notes forment un tétracorde d'une autre gamme majeure - ré majeur pour la 4te II, ré et la majeur pour la 4te VI, la et mi majeur pour la 4te VIII - :



Le son des 29 notes de l'Ame platonicienne du Monde est donc relié physiquement à la lumière par augmentation de la fréquence de ses vibrations (cf. #aud). Or, les correspondances signalées ci-dessus en #let, entre les fréquences du triton et des dates ou rapports de dates (729, 512, 513) liées à la vie et la mort de la monarchie française, ainsi qu'entre le point de départ des 29 notes (384) et la pyramide inversée scriptorale, elle-même liée à ces vie et mort laissent entrevoir la possibilité d'un lien entre les lumières physique et spirituelle, puisque cette monarchie s'est située sur un plan divin et solaire lumineux, à son apogée au XVIIème siècle, avec le Roi-Soleil, et puisque la mort de cette lumière conservatrice des valeurs traditionnelles est le fruit d'une autre lumière, progressiste, elle, celle rationnelle du Siècle des... Lumières. Tout invite donc à penser qu'il y a un lien entre les vibrations des notes des quartes nées du "Même" et de "l'Autre" et le rapport des formes d'esprit conservateur monarchique et progressiste républicain de notre histoire. Et, de fait, si nous envisageons le tableau ci-dessus dans cette optique, un nombre conséquent de remarques s'imposent, parmi lesquelles beaucoup vont en ce sens. Les voici :

Le nombre des quartes est 8, centre de la double croix scriptorale (cf. double_croix.htm) et symbole de résurrection.
Les quartes I à V sont toutes nées du "Même", le Pair, toutefois, la quarte II est aussi née de "l'Autre", l'Impair qui s'enracine ainsi dans le "Même", dès sa seconde apparition, comme si la quarte I était le Père et la quarte II ses deux fils : le fils respectueux du Père toujours resté avec lui, en tant que second tétracorde de sol majeur, et celui qui le quitte pour une autre voie, en tant que premier tétracorde de ré majeur. Remarquons, que si, à l'origine de ces 29 notes il y a le 1 qui est impair comme ses triples, source de cet "Autre", 384, le point de départ des 29 notes, et donc, leur nouvel 1, est, lui, Pair, ce qui fait du Père (P, E accent grave, R, E) une synthèse d'Impair et de Pair (P, A, I, R), suivant qu'on le considère comme 1 ou comme 384.
L'intervalle la/si - 1728/1944 est le seul à être doublé, car présent dans la quarte V, comme intervalle 14, et dans la quarte VI, comme intervalle 16. Comme par asar, dans le Versailles solaire, XIV et XVI relient l'apogée (Louis XIV) à la chute (Louis XVI).
La quarte VI, où l'intervalle 14 devient 16, est la première à être née uniquement de "l'Autre", et, comme par asar, si, l'on établit une relation entre les vibrations doubles du "Même" et l'esprit conservateur, et les vibrations triples de "l'Autre", et l'esprit progressiste, on s'aperçoit que Louis XVI est le roi que les révolutionnaires, d'esprit Autre progressiste, sont venus sortir de Versailles pour le mener à Paris et à la mort, la tradition prophétique disant que cette mort est pour une résurrection - non une restauration -, c'est à dire une transformation, les signes de Y ajoutant que cette transformation alliera "l'Autre" au "Même".
Cette quarte VI est celle des intervalles 16-17-18, l'enchaînement initiatique de Y :

1944, date de libération de la France par l'aristocrate Charles de Gaulle, y est commun aux intervalles 16 et 17 (serait-ce une confirmation de la continuité monarchique menant par Louis XVI et Louis XVII à la résurrection du "grand Roy d'Angolmois, malgré la coupure du 17 - cf. #cou - ?)
2187, la note perturbatrice que Lucien Gérardin voulut supprimer est commune aux intervalles 17 et 18, or cette note est la première manifestation de "l'Autre", partant du fa#-729, inclu dans le "Même". Et, selon l'Ange gardien enregistré par Norbert Monroe, dont il sera question dès que possible en ce site, le 18ème niveau de conscience est le premier niveau du monde spirituel, coupé par le 17 du 16, qui est, lui, le dernier niveau de conscience du monde matériel (serait-ce une confirmation que le passage par le 17 - la pyramide inversée scriptorale, cf. pyramide.htm#scriptoral, et la descendance de Louis XVII - va ressusciter la monarchie conservatrice s'arrêtant au XVI, en une monarchie réalisant la synthèse du "Même" et de "l'Autre", du conservatisme et du progressisme, de la droite et de la gauche ?)
En cette quarte VI, la somme des chiffres de 1728, 1944 et 2187 est d'ailleurs, nouveau asar, 18, 2187 étant un désordre de 1728.

Les quartes
V
III
IV


nées du "Même", dessinent un triangle pointe en haut, symbole de la pyramide à l'endroit, qui est une pyramide fermée comme le pouvoir absolu conservateur d'Ancien Régime, or la quarte du sommet, la quarte V, est formée des intervalles 13-14-15, correspondant curieusement à l'apogée de l'absolutisme d'Ancien Régime, avec :

Louis XIII, la pente ascendante,
Louis XIV, le sommet,
Louis XV, la pente descendante.

De la première quarte née de "l'Autre", la quarte VI, avec son passage initiatique 16-17-18, du matériel au spirituel, naissent, asar qu'on ne compte plus ! pour la première fois sur un même plan, deux quartes dont l'une est née du "Même", le Pair (la quarte VII), et l'autre (la quarte VIII) de "l'Autre", l'Impair, symbolisant l'équilibre réalisé entre ces deux formes de vibrations opposées par leur résultat sonore.
Notons, asar
toujours :

les ordres VII et VIII d'arrivée de ces quartes, réduction théosophique de XVI-XVII, le début du passage initiatique menant du niveau matériel (XVI) au niveau spirituel (XVIII) ;
le triangle pointe en bas que dessinent les trois quartes :


VII
VIII
 
VI
 


il est symbole de pyramide inversée et donc de Scriptoral, dont, précisément , l'Ame est constituée par la relation motrice parfaitement équilibrée du "Même" et de "l'Autre".

Le passage de relais entre les deux triangles formés par les six quartes


VII
VIII
 
VI
 
 
V
 
III
IV


se fait par 1944/1728, l'intervalle 14 de V et 16 de VI, déjà signalé, allant de l'or à la boue, du soleil monarchique à l'obscurité de l'enterrement, avec toutefois une pousse qui commença de germer en 1944, avec Charles de Gaulle, qui contribuera à sortir la France de son asservissement germanique, un asservissement qu'elle reprochait à sa monarchie de lui infliger ("L'Autrichienne", le sang majoritairement germanique de Louis XVII - le futur Naundorff ? -...), un asservissement qu'elle vécut sans cette monarchie, et dont un descendant de l'aristocratie d'Ancien Régime aida à la libérer (!)
Si l'on ajoute à cela, que, par un extraordinaire concours de circonstances, ainsi que le rapporta Franck Ferrand, sur Europe I, la bague de Louis XVI, portant, je crois une Diane, servit de sceau aux armistices de 1870 et 1918, on s'aperçoit que, chaque issue des rapports belliqueux franco-germaniques de 1870, 1914-18 et 1940-44-45 eut un lien fort avec Louis XVI ou son régime, comme si ceux-ci veillaient toujours sur la France, nouveau signe de la continuité monarchique descendant de Louis XVI, annoncée par les prophéties ?
Autre fait troublant relatif aux intervalles 16-17 de la quarte VI, non seulement 1944 leur est commun et amorce le passage 16-18, mais encore il enchaîne 1728/1944 dans l'intervalle 16 à 1944/2187 dans l'intervalle 17, or 2187 est la note perturbatrice appartenant à "l'Autre", et, précisément, Par 1944, Charles de Gaulle fonda la Vème République, où "l'Autre" se tailla une place de choix en la personne de son 4ème Président : François Mitterrand.
Et ce n'est pas tout : 2187 est une métamorphose de 1728, puisque constitué des mêmes chiffres, métamorphose unique dans tout le tableau, comme une annonce de la métamorphose de la monarchie inhérente à sa résurrection, grâce au passage par 1944 aussi libérateur pour la France, que pour sa monarchie cachée, l'officielle y étant restée dans l'ombre.




PAIR ET IMPAIR,
COMPOSITION-INTERPRETATION / IMPROVISATION
BRAHMA-VISHNU / SHIVA, JUDEO-CHRISTIANISME / ISLAM,
BAPHOMET : PERE-FILS / ESPRIT - CREATION-RESPECT DE CREATION / AMOUR
DROITE-CENTRE / GAUCHE
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Par-delà 1944, la Vème République, et François Mitterrand, où nous conduit le précédent tableau, l'actualité de l'Ame du Monde de Platon devient totale, si l'on considère Scriptoral, dont l'âme est la relation
composition-interprétation / improvisation
sous la forme
composition-interprétation / destruction-transformation.

En effet, qu'est-ce que l'interprétation, si ce n'est le fait de redonner la composition, de chercher à être la "Même" que cette dernière, et qu'est-ce d'autre que l'improvisation destructrice-transformatrice, si ce n'est, au contraire, le fait de les transformer après destruction composition et interprétation, d'être "autre" qu'elles ?

A partir de là, l'Ame du Monde platonicien se retrouve dans tout ce qui correspond à Scriptoral et qui fait l'âme de notre propre monde :

la trimourti indoue, avec Brahma, le créateur, Vishnu, le Parfait interprète (son "Même"), Shiva, le destructeur-transformateur ("l'Autre").
L'enchaînement judéo-christiano / islamique, où le christianisme s'inscrit dans la suite du judaïsme, mais plus haut, comme l'octave musicale du "Même" - la Pâque juive, libératrice de l'esclavage, devient libératrice de la mort dans la Pâque chrétienne - et où l'islam est "l'Autre" qui détruit et transforme ces deux Pâques.
Cela nous amène au Baphomet des templiers, visage à trois faces, avec quatre yeux, trois nez et une bouche : Y en vit une sculpture (avec trois bouches) chez le sculpteur Pierre Graille. Ce dernier lui expliqua que cette représentation était destinée à réunir christianisme et islam, les trois faces symbolisant, dans le christianisme, Père, Fils et Esprit, et, dans l'Islam, la Création, le Respect de la Création et l'Amour. Or, tout ce qu'a le Père est au Fils dans la Trinité chrétienne, il est difficile de mieux dire que le Fils correspond au "Même". Il en va de même pour le Respect de la Création par rapport à la Création. Quant à l'Amour, il ouvre à l'autre et fait devenir autre, cet "Autre" auquel il appartient. Reste l'Esprit de la Trinité chrétienne : peut-il être autre qu'"Autre", au vu de toutes ces correspondances ?
Dans le monde laïque, cette trinité se retrouve sous la forme droite-centre (le "Même") / gauche ("l'Autre").


Les fois et les idées qui régissent notre monde sont donc animées par une relation du "Même" à "l'Autre" semblable à celle donnée par les 29 notes de l'Ame du Monde de Platon, voilà qui laisse à penser que cette âme est toujours actuelle. Pourrait-on aller jusqu'à dire que la fréquence de vibrations est une fois et demie plus rapide chez les progressistes que chez les conservateurs ? Toujours est-il qu'ils sont en général plus vifs et virulents.


C'est précisément cette vivacité qui pose problème : en effet, la fréquence des vibrations de "l'Autre" monte d'une douzième, quand celles du "Même" ne monte que d'une octave, et pourtant, si l'on regarde dans Scriptoral (cf. pyramide.htm#sol), on s'aperçoit que la composition-interprétation est en élévation, et que l'improvisation destructrice transformatrice est en ouverture revenue à la base de départ des précédentes. Au lieu d'être plus élevé que le "Même", "l'Autre" paraît donc s'être totalement rabaissé. Ce problème se posa à Y, et c'est alors qu'il se souvint qu'il pouvait y avoir répondu sans le savoir, en interprètant scriptoralement les déclarations de l'Ange Gardien enregistrées par Norbert Monroe (quatrième fichier à réaliser après celui-ci) : l'explication donnée par l'hypothèse de Y, c'est un changement de niveau de conscience, où "l'Autre" transpose les acquis du "Même" dans un niveau supérieur, tout en descendant à leur point de départ, mais dans ce niveau supérieur, d'où la montée réelle par-delà l'apparente descente.





APPENDICE :
LA COUPURE DU 17
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Y est depuis sa naissance confronté au nombre 16 et à l'enchaînement 16-17-18 qui en découle :

il est né un 16 Février, le premier des trois derniers jours (16-17-18) du signe du Verseau ;
sa fête fut d'abord le 16.7 avant d'être le 9.9 (de total 18) ;
au sortir de la rue Mozart, où il passa la première partie de sa vie (jusqu'à sa communion solennelle), le chemin de la connaissance (l'école Chevreul et l'église Saint-Pierre)
passait par la rue Daubenton, dont il comprit, vers 1996, que les dates lui avaient donné son parcours initiatique 1716-1800 : partir du 17, revenir au 16 pour relier le 18 ;
les dates de ses mariages civil et religieux sont, respectivement, les 16.7.71 et 17.7.71 avec mise en évidence symétrique du passage par le 17, relié au caractère sacré de la cérémonie religieuse ;
les numéros d'arrondissements de ses lieux de travail parisien sont XVI, XVII et XVIII.

Il retrouva entre autres 17 :

dans Scriptoral, comme élément de synthèse, puisque la pyramide inversée, qui est la synthèse des 16 précédentes, est la 17ème ;
dans les paroles de l'Ange Gardien enregistrées par Norbert Monroe (cf. paroles+d'ange.htm), où le 17ème niveau de conscience est ce qui sépare le niveau matériel le plus élevé (niveau 16) du premier niveau spirituel (niveau 18), etc...

et ne fut pas sans remarquer que, dans l'Histoire de France, 17 est le nombre de la coupure, puisque la Grande Monarchie s'arrête à Louis XVI, et puisque l'on s'interroge toujours sur le sort de Louis XVII, dont on doit, les 7/8 Juin 2004, porter à Saint-Denis un faux coeur, authentifié par l'analyse d'ADN, pour la bonne raison que ce fut très probablement celui de son frère (voir à ce sujet http://www.museelouisxvii.com/). A en croire André Castelot, dans son "Louis XVII", cette rupture du 17 fut d'ailleurs remarquée par le futur Louis XVII lui-même, alors que, dans la prison du Temple, il jouait avec son père au jeu de Siam (?) : il s'étonna de ne jamais pouvoir dépasser le nombre 16 !

Quelle ne fut pas la surprise de Y de constater, à la lecture du "Mystère des Nombres" de Lucien Gérardin, que cet auteur accordait à 17, la place spéciale de nombre qui fit trébucher le pythagoricien Théodore, et de nombre de coupure. Y
n'a pas les connaissances mathématiques suffisantes pour comprendre les propos de Lucien Gérardin, toutefois, il constate cette nouvelle coïncidence, asar de plus, troublant par l'eau qu'il amène à son moulin. Lucien Gérardin ne dit-il pas qu'à partir de racine de 17, la relation entre triangulaires n'est plus a priori absurde, alors que, pour l'Ange Gardien, 17 est justement le nombre qui sort du plan matériel, plan de l'obscur lié à l'absurde ?



"Théodore trébuche sur Dix-Sept

"Théodore que voici avait fait devant nous des figures pour montrer que celles de trois et cinq unités ne sont point commensurables en longueur à l'unité. Il continua l'étude, cas par cas, jusqu'à la figure de 17 unités et s'en tint là. (...)

"Essayons de mettre racine de 3 sous la forme du rapport rationnel de deux entiers ; on constate que ceux-ci ne peuvent être qu'impairs. La relation entre leurs carrés équivaut à une relation simple entre nombre triangulaires. On montre alors que les rangs de ces triangulaires devraient être tels qu'un pair égale un impair. Ici aussi, l'absurdité éclate. Mais quand on en arrive à racine de 17, la relation entre triangulaires n'est plus a priori absurde. Théodore s'arrêta donc.
N'est-il pas curieux que l'Evangile de l'apôtre Jean fasse pêcher miraculeusement 153 poissons ? Cent-Cinquante-Trois est le 17ème triangulaire ! (...)

"Cette invisible barrière (17, N.D.L.R.) dresse une clôture naturelle. (...)

"Le rôle de coupure (*) essentielle joué par Dix-Sept justifie que l'apôtre Jean l'ait choisi pour signifier aux initiés le nombre restreint des élus. L'exaltation de Dix-Sept en son triangulaire Cent-Cinquante-Trois se montre naturelle pour quelqu'un imprégné de pythagorisme, tout en ajoutant au mystère. Voici qui jette un jour nouveau sur les relations entre le christianisme naissant et le pythagorisme, relations qui ont pu s'établir via les Esséniens (Jean l'Apôtre n'aurait-il pas été un familier de Qumran ?)."

(*) les caractères ont été modifiés par la présente rédaction.