DOUBLE CROIX
"Nombres" est curieusement lié à la croix de Saint André
de "Double Croix".
|
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Pyramide
donne cette double croix numérique :
elle se décompose
en :
en forme
de croix humaine de Saint André et de Croix divine du Christ,
signes x et + de nos mathématiques,
le présent fichier va montrer comment elles sont nées,
et quel est le rapport de leurs chiffres
avec les personnes
du Père, du Fils, et de l'Esprit.
ORDRES
ET TEMPS CREATEURS |
|
Tout est parti du graphique de Scriptoral, reproduit ci-dessous
:
|
Scriptoral
(Préfiguration
laïque d'une relation politique droite-centre / gauche achevée,
et spirituelle d'une Jérusalem céleste, synthèse judéo-christiano
/ islamique,
liée à la trimourti Brahma-Vishnu / Shiva indoue ;
char d'énergie-lumière : Mer-ka-bah égyptien, ou Merkavah hébraïque,
Scriptoral, en son carré au sortir de la sphère,
correspond aussi au mandala bouddhiste
(portes, artères, 4 carrés de bases pyramidales, diagonales)
le carré Sator s'y inscrit (cf. pierres_d_angles.htm#scr),
et 384, poutre horizontale de la double croix scriptorale, lue dans
le sens du signe de croix catholique,
est le point de départ des 29 notes de l'Ame du Monde pour
Platon (cf : 384.htm#384)
>>> Scriptoral = instrument de syncrétisme philosophico-religieux
?
voir l'apport des paroles de l'ange gardien enregistré par
Norbert Monroe
en paroles_d_ange.htm#lap,
voir les Arbres de Vie en arbre_de_vie.htm#15.)
|
avec ses 16 temps créateurs répartis en 4 cycles de
4 temps :
|
COMPOSITION - INTERPRETATION
|
IMPROVISATION
ou
DESTRUCTION - TRANSFORMATION |
I |
II |
III |
IV |
V |
VI |
VII |
VIII |
IX |
X |
XI |
XII |
XIII |
XIV |
XV |
XVI |
|
|
Je dénommai Ordres I, II et III, les Ordres de composition,
interprétation et improvisation, les ordres I et II correspondant
chacun à 1 temps créateur, et l'ordre III à 2
(destruction et transformation) :
|
Ordre
I |
= temps créateurs
1, 5, 9, 13... jusqu'à 141, de composition |
Ordre
II |
= temps créateurs
2, 6, 10, 14... jusqu'à 142,
d'interprétation |
Ordre
III
|
=
temps créateurs 3, 7, 11, 15... jusqu'à 143, de
destruction |
=
temps créateurs 4, 8, 12, 16... jusqu'à 144, de
transformation |
|
et découvris en Juin 1997, ce que j'appelai le CNTR ("Cycle
Numérique Trinitaire Réel") devenu par la suite
le CNTR-TC ("Cycle Numérique Trinitaire Réel
des Temps Créateurs").
Il est composé de :
|
3 ordres créateurs agissant à travers 144 temps créateurs,
36 cycles créateurs de 4 temps créateurs chacun ;
9 "cyclordres" de 4 cycles créateurs et 16 temps
chacun ;
3 "cyclophases" ou "tri-cyclordres"
de 48 temps chacun.
|
J'appelai "cyclordre" un groupement de 4 cycles créateurs,
voici le premier :
|
Cycles
créateurs |
|
Ordre
créateur I |
Ordre
créateur II |
|
|
Ordre
créateur III d. |
Ordre
créateur III t. |
|
|
CYCLOPHASES
ou TRI-CYCLORDRES |
|
J'appelai "cyclophase" ou "tri-cyclordre"
un groupement de 3 "cyclordres", soient
48 temps créateurs, qui ramènent, en début
d'OcI, la suite 1-4-7 en rt (*),
par 1-49-97 (cf. Remarque),
voici le premier (Cc = Cycle créateur et Oc = Ordre créateur)
:
|
|
Le cyclordre groupe donc
les nombres par 16,
ce qui est le total des temps créateurs de Scriptoral (la pyramide
inversée).
Deux autres subdivisions sont fort
intéressantes :
|
- la première
se situe tous les 12
nombres, 1-13-25, 37...: elle redonne, en rt (*),
la succession verticale 1-4-7, à l'origine des trois lignes
de la double croix :
|
|
- la seconde
se situe après le nombre 33, elle représente 9 cycles de 4 temps créateurs, soient 36 de ces temps. Son intérêt réside dans le fait
qu'elle regroupe dans la ligne d'Ordre créateur I, l'enchaînement
des nombres 1-5-9-13-17-21-25-29-33, qui donne, en réduction
théosophique (*) : 1-5-9-4-8-3-7-2-6,
c'est à dire la succession des chiffres de la double croix
numérique (cf. ci-dessus), à laquelle nous allons
arriver.
|
CNTR-TC =
CYCLE DES CYCLES =
CREATION SCRIPTORALE
EN
ORDRES, CYCLES, ET TEMPS CREATEURS
|
|
Le cycle des cycles,
ou l'ensemble de la création scriptorale, c'est celui qui permet
à toutes les subdivisions précédentes, par 4,
9, 12, 16, 36, 48,
de se retrouver
en phase, il représente 144 temps créateurs qui sont : |
4 x 36, 36 x 4,
9 x 16, 16 x 9,
12 x 12,
48 x 3. |
Cela donne donc :
|
Cc |
|
|
|
|
97 |
101 |
105 |
|
109 |
98 |
102 |
106 |
|
110 |
|
113 |
117 |
121 |
125 |
114 |
118 |
122 |
126 |
|
129 |
133 |
137 |
141 |
130 |
134 |
138 |
142 |
|
|
99 |
103 |
107 |
|
111 |
100 |
104 |
108 |
|
112 |
|
115 |
119 |
123 |
127 |
116 |
120 |
124 |
128 |
|
131 |
135 |
139 |
143 |
132 |
136 |
140 |
144 |
|
|
Remarque
: 1, 49, 97, les premiers
nombres en OcI de composition de chaque cyclophase redonnent en rt
(*) 1, 4, 7 de la première colonne de la
double croix, ils sont anticipés par 4, 52, 100 (de rt 4, 7,
1) en début de OcIII t. de transformation improvisatrice :
celle-ci est donc bien un retour pré-compositionnel annonçant
une composition nouvelle.
|
|
A partir de là, la double croix est donnée par la réduction
théosophique des sommes des temps créateurs de chaque
cyclordre, soit pour le premier : |
|
1 |
|
5 |
|
9 |
|
13 |
|
2 |
|
6 |
|
10 |
|
14 |
|
3 |
|
7 |
|
11 |
|
15 |
+ |
4 |
+ |
8 |
+ |
12 |
+ |
16 |
|
10 |
|
26 |
|
42 |
|
58 |
10
+ 26 + 42 + 58 = 136 de rt 1
(*) |
|
En pratiquant de même pour chaque "cyclordre",
on obtient la double croix :
|
|
Puisque la double croix, associe le signe x au signe +, si nous multiplions
tous les nombres de chaque "cyclorde" pour chercher
la rt (*) de leur produit, on s'aperçoit qu'à
chaque fois, on obtient 9, soit :
|
(*) Réduction
théosophique ou rt = réduction d'un nombre par
l'addition des chiffres qui le composent à un nombre
à un seul chiffre. Exemple : rt de 1999 = 1, car 1+9+9+9
= 28 où 2+8 = 10 où 1+0 = 1.
(**) Il y a ici égalité théosophique,
de signe "=t", entre 2 nombres lorsqu'ils ont la
même rt. Exemple : 13 =t 49, car 13 et 49 ont tous deux
pour rt : 4.
|
|
Soient les formes
d'esprit de
composition-interprétation / improvisation :
elles sont l'oeuvre de trois personnes :
compositeur-interprète / improvisateur,
père-fils / esprit,
car
l'interprète est issu du compositeur,
et l'improvisateur est l'esprit les régénèrant
en 2 temps
destructeur-transformateur qui leur sont opposés et
complémentaires.
Scriptoral
montre la correspondance
entre cette relation père-fils
/ esprit
et la relation judéo-christiano / islamique.
Par ailleurs,
cette relation
Père-Fils / Esprit
est au coeur du Christianisme
dans l'unicité, 3 en 1, de sa Sainte Trinité.
Peut-on trouver
dans les nombres de 1 à 9
3 nombres ayant une analogie de comportement
avec ceux du Père, du Fils et de l'Esprit de la Sainte
Trinité,
par une alliance du 3 et du 1 sous l'effet du + et du x
de la double croix ? Serait-ce 1, 2, 3 ?
|
Soit, en 3 colonnes,
la suite verticale usuelle ternaire des chiffres de 1 à 9,
|
I |
II |
III |
PERE |
|
1 |
|
4 |
|
7 |
FILS |
+
2 |
+
5 |
+
8 |
ESPRIT |
+
3 |
+
6 |
+
9 |
Totaux |
6 |
15 |
24 |
rt |
6 |
6 |
6 |
|
|
|
I |
II |
III |
PERE |
|
1 |
|
4 |
|
7 |
FILS |
x
2 |
x
5 |
x
8 |
ESPRIT |
x
3 |
x
6 |
x
9 |
Totaux |
6 |
120 |
504 |
rt |
6 |
3 |
9 |
|
Aucune correspondance
entre les colonnes verticales I, II, III
de ces tableaux et celles de la double croix.
Aucune analogie entre les rt des résultats :
6-6-6 et 6-3-9,
et le 1 du 3 de la Sainte Trinité chrétienne,
mais un 6-6-6
évoquant plutôt le nombre de la Bête
de l'Apocalypse de Jean.
1, 2 et 3
ne sont donc pas les nombres respectifs de
père-fils / esprit, compositeur-interprète /
improvisateur.
|
Soit, maintenant, en 3 colonnes,
la suite horizontale usuelle ternaire des chiffres de 1 à 9,
et leur suite dans la double croix :
|
I |
II |
III |
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
8 |
9 |
|
et
|
I |
II |
III |
1 |
5 |
9 |
4 |
8 |
3 |
7 |
2 |
6 |
|
La colonne I :
1-4-7
est identique,
les colonnes II et III
sont composées des mêmes nombres
mais variables.
|
Soit la notion d'égalité
théosophique,
de signe "=t" (**).
Soit, à l'intérieur de la colonne I fixe,
les opérations d'addition et de multiplication,
effectuées par les signes + et x de la double croix :
1 + 4
+ 7 =t 3 (par 12)
1 + 1 + 1 =t 3(par 3)
4 + 4 + 4 =t 3(par 12)
7 + 7 + 7 =t 3(par 21) |
et
|
1 x 4
x 7 =t 1 (par 28)
1 x 1 x 1 =t 1(par 1)
4 x 4 x 4 =t 1(par 64)
7 x 7 x 7 =t 1(par 343) |
c'est à dire :
1 + 4 + 7 =t 1 + 1 + 1 =t 4 + 4 + 4 =t 7 + 7 + 7 =t 3,
1 x 4 x 7 =t 1 x 1 x 1 =t 4 x 4 x 4 =t 7 x 7 x 7 =t 1.
L'égalité
théosophique (**)
des nombres de la suite 1-4-7
à 3 et 1
donne le 1 et le
3
de l'Unité
des 3
personnes de la Sainte Trinité.
Les nombres 1
- 4 - 7
sont donc respectivement les nombres de
père-fils /esprit, compositeur-interprète
/ improvisateur,
car
l'égalité théosophique (**)
de leur somme et de leur produit
permet de vérifier l'identité de leur comportement
avec celui
du Père, du Fils et de l'Esprit de la Sainte Trinité,
puisque
3 fois le Père (1 + 1 + 1), le Fils (4 + 4 + 4), l'Esprit
(7 + 7 + 7)
sont égaux théosophiquement à
Père + Fils + Esprit (1 + 4 + 7),
et à
3,
et puisque
le triple produit du Père (1 x 1 x 1), du Fils (4 x 4
x 4), et de l'Esprit (7 x 7 x 7)
par eux-mêmes
sont égaux théosophiquement
au produit du Père, par le Fils, par l'Esprit (1 x 4
x 7)
et à 1.
|
Ceci nous donne :
|
I |
II |
III |
PERE |
1 |
2 |
3 |
FILS |
4 |
5 |
6 |
ESPRIT |
7 |
8 |
9 |
Soient,
à l'intérieur des colonnes II et III de cette suite,
les mêmes opérations d'addition et de multiplication,
effectuées par les signes + et x de la double croix,
elles aboutissent à :
2 + 5 + 8 =t 2 + 2 + 2 =t 5 +
5 + 5 =t 8 + 8 + 8 =t 6,
2 x 5 x 8 =t 2 x 2 x 2 =t 5 x
5 x 5 =t 8 x 8 x 8 =t 8,
et à :
3 + 6 + 9 =t 3 + 3 + 3
=t 6 + 6 +
6 =t 9 + 9 + 9 =t 9,
3 x 6 x 9 =t 3 x 3 x 3 =t 6 x 6 x 6 =t 9 x 9 x 9 =t 9.
On retrouve la même interchangeabilité
des triples sommes :
2 + 2
+ 2, 5 + 5 + 5, 8 + 8 + 8, 3 + 3 + 3, 6 + 6 + 6, 9 + 9 + 9,
et des triples produits :
2 x 2 x 2, 5 x 5 x 5, 8 x 8 x 8, 3 x 3 x 3, 6 x 6 x 6, 9 x 9 x 9,
avec l'addition et le produit de leurs trois individualités
:
2 + 5 + 8, 3
+ 6 + 9, 2
x 5 x 8, 3
x 6 x 9,
mais leur égalité n'est pas faite de 1
et de 3,
elle l'est de 6
et de 8,
et de 9.
Même
si l'opération du + et du x de la double croix
ne redonne pas le 1 et le 3 de 1 - 4 - 7
à 2 - 5 - 8 et 3 - 6 - 9,
l'identité de leur interchangeabilité
les fait respectivement des
Pères (2, 3) - Fils (5, 6) et Esprit (8, 9)
issus de la Trinité Unitaire 1 (Père) - 4 (Fils)
- 7 (Esprit).
|
|
I |
II |
III |
PERE |
1 |
2 |
3 |
FILS |
4 |
5 |
6 |
ESPRIT |
7 |
8 |
9 |
|
correspondent
alors à |
|
I |
II |
III |
PERE |
Père |
Père |
Père |
FILS |
Fils |
Fils |
Fils |
ESPRIT |
Esprit |
Esprit |
Esprit |
|
Retour
au sous-menu
L'égalité
théosophique
Père - Fils - Esprit
issue de la suite usuelle ternaire horizontale
des nombres 1 à 9
est imparfaite,
car elle conserve une notion de hiérarchie.
|
APPORT DE LA
VARIATION DES COLONNES
DE LA DOUBLE CROIX
|
|
I |
II |
III |
PERE |
1 |
5 |
9 |
FILS |
4 |
8 |
3 |
ESPRIT |
7 |
2 |
6 |
NATURE
DE CETTE VARIATION
La colonne II, 2 - 5 - 8 précédente y
devient 5 - 8 - 2,
chaque "personne" y passe au rang apparemment
supérieur,
la première (2 - Père) y devient "dernière"
(2 - Esprit),
ce qui est un comportement évangélique.
La colonne III, 3 - 6 - 9 précédente y devient 9 - 3
- 6,
chaque "personne" y monte de deux rangs,
c'est cette fois la seconde (6 - Fils) qui est dernière (6
- Esprit),
la première (3 - Père) se retrouvant seconde (3 - Fils).
MODIFICATION
des places
du Père, du Fils et de l'Esprit
dans la double Croix
|
|
I |
II |
III |
PERE
|
1
Père
|
5
Fils
|
9
Esprit
|
FILS
|
4
Fils
|
8
Esprit
|
3
Père
|
ESPRIT
|
7
Esprit
|
2
Père
|
6
Fils
|
soit
|
I |
II |
III |
PERE
|
1
Père
|
|
9
Esprit
|
FILS
|
|
8
Esprit
|
|
ESPRIT
|
7
Esprit
|
|
6
Fils
|
|
et |
|
I |
II |
III |
PERE
|
|
5
Fils
|
|
FILS
|
4
Fils
|
(8
Esprit)
|
3
Père
|
ESPRIT
|
|
2
Père
|
|
|
En somme,
dans la Croix humaine de Saint André,
l'ordre 1-6-7-8-9 est Père-Fils-Esprit-Esprit-Esprit,
et dans la Croix divine du Christ,
l'ordre 5-2-(8)-3-4 est Fils-(Esprit)-Père-Père-(Esprit)-Fils.
1-2-3,
4-5-6 et 7-8-9,
sont les nombres respectifs
du Père, du Fils et de l'Esprit.
Et la modification de leur place opérée par la
double croix,
en les faisant passer à tour de rôle de leur place
à celles des deux autres personnes,
ne nous intéresse-t-elle pas par
l'image qu'elle donne
de l'égalité parfaite
dans un pays
qui fait de cette notion
le centre de sa devise ?
|
Une comparaison entre
la croix divine du Christ
et le signe de croix catholique
montre que ce dernier
|
V
front
PÈRE |
|
4
épaule droite
TIRPSE |
+
|
3
épaule gauche
TNIAS |
|
2
poitrine
FILS |
|
place le Saint-Esprit
entre Père et Fils
ce qui correspond
au 8 - Esprit central
et au 5 - Fils en position de Père
de la double croix,
mais situe en "au nom du Fils"
le 2 - Père en position d'Esprit,
et en "au nom du Saint-Esprit"
les 3
- Père et 4 - Fils en position
de Fils
ce qui renforce cette impression d'égalité, car si le 1 - Père et le 5
- Fils
sont tous deux au début d'une croix, Père
et Fils n'apparaissent que 3 fois chacun
dans la double croix, alors que l'Esprit y est en plus double lieu de passage obligé
dans le + et remonté de son 3ème rang (Père-Fils
/ Esprit) au second
dans le signe catholique (l'orthodoxe inverse 3 et 4).
Très curieusement,
la croix humaine de Saint André
reprend cette position centrale de l'esprit
séparant, coupant le fils du Père, plutôt que
leur succèdant,
et d'une façon terriblement illustrée par l'Histoire
de France,
|
I |
II |
III |
PERE
|
1
Père
|
|
9
Esprit
|
FILS
|
|
8
Esprit
|
|
ESPRIT
|
7
Esprit
|
|
6
Fils
|
puisque, en 789,
l'esprit sépare le 6 du 1
comme il le fit pour le XVI de Louis,
Fils du Père et Père du Peuple.
La Révolution fut donc bien la destruction-transformation
d'une relation Père - Fils, ainsi que cela a déjà
été signalé en auteur (cliquer).
Rappelons que l'inversion de 789 étant 987 (ou 996 =t 980-16
=t 987 (**)),
on constate encore ici, que, dans notre millénaire, l'inverse
de la date
de destruction-transformation de la monarchie davidique française,
correspond précisément à des dates de sa construction
:
- 996 av. J.-C. : prise de Jérusalem par David,
987-996 : règne de Hugues Capet,
sans oublier la curieuse synthèse :
1996-1997-1998 =t 1980-16-17-18 =t 1987-8-9 =t 198789,
faisant apparaître l'enchaînement 987-789
pivotant autour de 7 en 98789,
pour précéder 1999,
présenté par Nostradamus (cf.
interprétation)
comme le point de départ de la résurrection du "grand
Roy d'Angolmois",
justement relié à la coupure du XVI de Louis.
|