Elle
ne demande qu'à fonctionner dans le domaine spirituel, comme indique
l'entrée du pape Jean-Paul II dans la mosquée des Omeyades, et comme la
cathédrale d'Évry l'annonce symboliquement.
Elle
ne demande aussi qu'à fonctionner dans le domaine politique, entre les
conservateurs et les progressistes, ainsi que le prouve la volonté du
peuple (« Vox populi, vox Dei ») qui n'a cessé, jusqu'en Mai
2002, d'imposer des cohabitations à ses deux derniers présidents de
gauche et de droite, la cohabitation étant une forme de gouvernement qui
a l'avantage de mettre en présence les formes d'esprit opposées, mais
l'inconvénient de ne pas savoir en faire un moteur qui tourne...
scriptoralement ! Ce n'est donc pas un modèle à proscrire, mais à
dépasser.
C'est
pourquoi, paraît tout à fait prémonitoire l'inspiration mitterrandienne
qui place sous le Louvre royal la pyramide ici appelée scriptorale, et,
en surface, la pyramide à l'endroit, symbole du pouvoir d'Ancien Régime
au sommet absolutiste Louis XIVème, dont la République achève la
décomposition avec ses actuelles cohabitations.
Il
reste un domaine fondamental, où il serait intéressant de savoir si des
signes se manifestent en ce sens : le domaine économique. L'accession à
un type d'économie ayant intégré cette relation serait, très probalement
le début d'un ORDRE MONDIAL SCRIPTORAL divinement lumineux. Car
tout tend à dire que Scriptoral est la forme et la clé du pouvoir à
venir.
En
effet, par delà les correspondances données précédemment, d'autres
textes paraissent fortement le dire. Ainsi, traditionnellement, une
pyramide est de pierre. Résolvant par sa synthèse la coupure XVI-XVII de
notre histoire succédant à celle à laquelle se heurtèrent les
pythagoriciens, Scriptoral, pierre de lumière et donc pierre blanche,
doit être légitimement lié à une résurrection du XVI monarchique. Or, il
est précisément question de pierre blanche dans le quatrain IX, 20 de
Nostradamus citant Varennes :
« De nuict viendra par la forest de Reines
Deux pars
vaultore Herne la pierre blanche.
Le moine noir en gris dedans
Varennes
Esleu cap, cause tempeste, feu sang tranche.
»
Bien
plus, ce quatrain est, très probablement à relier au quatrain X, 72 sur
1999 et la résurrection du grand Roi d'Angoûmois (et non la destruction
de Paris ou la fin du monde !) :
« L'an mil neuf cens nonante neuf sept mois
Du ciel viendra
un grand Roy d'effrayeur :
Resusciter le grand Roy
d'Angolmois,
Avant apres Mars regner par bon heur. »
Or,
l'interprétation de ce quatrain (qui est donnée en ce site
en interpretation.htm) m'a été inspirée
dans une oeuvre mise en musique par Jean-François Alexandre : Mehr
Licht !, celle-ci montre qu'en 7 mois particuliers de 1999, et
dans le total respect de tous les termes du quatrain, un symbolique
"grand Roy d'Angolmois" est ressuscité à Rennes, après avoir
été frappé du ciel par "un grand Roy d'effrayeur" : le Parlement
de Bretagne. Varennes était donc un codage divin : « Va à Rennes
!» indiquant à la descendance monarchique davidique, où elle
devait renaître : au point de départ de la Révolution, celui de l'arrestation
du Procureur Général La Chalotais, en 1765, ce qui boucle la boucle.
Faut-il dépasser Rennes et se rendre à Rennes-le-Château ? L'avenir
le dira.
Et
maintenant, par-delà Nostradamus, retrouvons 1'Apocalypse de
Jean, avec sa Lettre à l'Église de Philadelphie : il y est
question d'un vainqueur, d'un nom nouveau porté par le Christ, et du nom
de Dieu ainsi que de celui de la Jérusalem Céleste gravé sur ce
vainqueur : « Le vainqueur, je le ferai colonne dans le temple de mon
Dieu; il n'en sortira plus jamais et je graverai sur lui le nom de mon
Dieu, et le nom de la Cité de mon Dieu, la nouvelle Jérusalem qui
descend du ciel, de chez mon Dieu, et le nom nouveau que je
porte. Celui qui a des oreilles, qu’il écoute ce que l'Esprit dit
aux Églises. » (3 7, 12-13.) Or, Scriptoral est le nom que j'ai
donné au Christ, en 1983, dans Script et Orale, et il est
également le nom de la pyramide inversée de lumière correspondant à la
Jérusalem Céleste. Quant au nom de Dieu, il est dans la signature
partielle de cet article.
Autre
confirmation dans la Lettre à l'Église de Pergame : un nom nouveau
y est gravé sur un caillou blanc ("manne cachée" sous le Louvre
? ) : « (...) au vainqueur, je donnerai de la manne cachée,
je lui donnerai aussi un caillou blanc portant gravé un nom nouveau
que nul ne connaît hormis celui qui le reçoit. » (3 1, 5). Regardons
également la forme de cette pyramide, elle n'est pas sans évoquer
un trou de serrure inversé (cf. le croquis ci- dessous), or, la Lettre
à l'Église de Philadelphie dit « À l'Ange de l'Église de Philadelphie,
écris : Ainsi parle le Saint, le Vrai, celui qui détient la clef de
David : s'il ouvre, nul ne fermera, et s'il ferme, nul n'ouvrira.
(...) ». Scriptoral n'est-il pas la clé de David ? La clé du
pouvoir de Dieu dans le monde, qu'il va falloir tenir ferme, comme
le demande le Christ : « Je connais ta conduite : j'ai ouvert devant
toi une porte que nul ne peut fermer, et, disposant pourtant de peu
de puissance, tu as gardé ma parole sans renier mon nom. (...)Puisque
tu as gardé ma consigne de constance, à mon tour je te garderai à
l'heure de l'épreuve qui va fondre sur le monde entier pour éprouver
les habitants de la terre. Mon retour est proche; tiens ferme ce
que tu as pour que nul ne ravisse ta couronne. » (3 8, 11.)