Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
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SOMMAIRE MUSIQUE SIGNES
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V.-
Y
= CHYREN
= ROI DES ROIS DANS LE CHRIST



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Chyren serait donc Roi des rois dans le Christ, et voici ce qui le confirme à Y, dans la mesure où Y est précisément Chyren ? Revenons à la citation sur le premier combat eschatologique déjà donnée (cliquer) :



"Alors je vis le ciel ouvert, et voici un cheval blanc ; celui qui le monte s'appelle "Fidèle" et "Vrai", il juge et fait la guerre avec justice. Ses yeux ? une flamme ardente ; sur sa tête plusieurs diadèmes ; inscrit sur lui, un nom qu'il est seul à connaître ; le manteau qui l'enveloppe est trempé de sang ; et son nom ? le Verbe de Dieu. Les armées le suivaient sur des chevaux blancs, vêtues de lin d'une blancheur parfaite. De sa bouche sort une épée acérée pour en frapper les païens ; c'est lui qui les mènera avec un sceptre de fer ; c'est lui qui foule dans la cuve le vin de l'ardente colère de Dieu, le Maître de tout. Un nom est inscrit sur son manteau et sur sa cuisse : Roi des rois et Seigneur des seigneurs." (Apocalypse, 19, 11-16).

Y peut y être concerné par :

- "le ciel ouvert" : le ciel de Scriptoral, la pyramide inversée, n'a-t-il pas la particularité d'être ouvert, à l'opposé du ciel fermé, "plombé" et mortuaire, pourrait-on dire, de la pyramide pharaonique égyptienne, modèle de la pyramide sociale des pouvoirs, jusqu'à nos jours.
- "un cheval blanc", "les armées (...) vêtues de lin d'une blancheur parfaite" : le blanc est la couleur de l'interprétation, celle de Vishnu, le Parfait Iinterprète (cf. la couleur du lin), or
Y est saxophoniste interprète, et dans sa relation aux compositeurs et aux improvisateurs, les deux autres formes d'esprit constitutives de Scriptoral, qui lui est donné pour la Jérusalem Céleste, l'interprétation est toujours son cheval... blanc de... bataille !
- "il juge et fait la guerre avec justice" : la justice fait partie pour
Y de son nom taïwanais, qu'il a charge d'accomplir. Justicier est en effet l'une des quatre significations du Ya initial de "Yalone Bpourré", et il est, comme par "ASAR" en forme de croix : (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#ya).
- "Ses yeux ? une flamme ardente" : Cette qualité des yeux est celle du Christ, mais comme par "ASAR", ceux de Y jouant du saxophone surprirent tellement un journaliste londonien, qu'il les photographia comme, en quelque sorte, l'emblème du Vème Congrès Mondial de Saxophone auquel il participait en juillet 1976, année où il donna à sa recherche le nom de "SCRIPTORAL". Le titre de la photo "Wind of change", vent de changement, correspond, sauf erreur, à une expression politique lancée par Harold Mac Millan, Premier Ministre, à la Chambre des Communes. Appliquer cette expression au "vent" qu'est le saxophone joué par Y ("voix de sax - e ? -", qui "essaye de gagner des amis" - tries to win friends" -) , ne manque pas d'à propos, dans la mesure où ce dernier est le futur Chyren.







"WIND OF CHANGE" : Ses yeux ? une flamme ardente.



- "un nom qu'il est seul à connaître" (...) "Un nom est inscrit sur son manteau et sur sa cuisse : Roi des rois et Seigneur des seigneurs." :

. pour le nom inscrit sur le manteau, Y constate un "ASAR" curieux : le ya (= ) qui débute son nom (et dont Y, le nom qu'il s'est donné, est l'initiale) n'est pas inscrit sur son manteau, mais sur celui des impératrices de Chine...
. par contre, à l'aine, au-dessus de la cuisse, il a bien inscrit Henri V, d'une manière aussi commune que le bétail dans l'étable-crèche de Jésus, mais qu'il est bien sans doute le "seul à connaître" ainsi. En effet, il a, à cet endroit, une hernie inguinale. Or, l'anagramme de


HERNIE


est


HENRI E


E = V
>>>


HENRI E


=


HENRI V


par ailleurs, V est le symbole de Scriptoral, et Henri de Heim Rijk signifie la maison du roi, ce qu'est Scriptoral, dans la mesure où il est Sion, pour le Christ Roi des rois. Henri V ne fait donc bien qu'un avec le Roi des rois.

Ajoutons que cette hernie a une valeur symbolique très forte, que
Y a représentée sur la pochette de son disque "La Voie Scriptorale" (cf. plus.htm#voi), où sa tête troue une lame de guillotine hexagonale, car, si Y est Chyren, il est la HerniE - Henri E de la France, qui a cru pouvoir se protéger de la monarchie, c'est à dire de Dieu, par une lame de guillotine.


- "son nom ? le Verbe de Dieu" :


"Au commencement le Verbe était
et le Verbe était avec Dieu
et le Verbe était Dieu",

nous dit Jean au début de son Evangile. C'est à dire qu'au commencement le Verbe de Dieu était son Temple. Or YEHOUDA est l'écriture latine de YHVDH, signifiant D (= la Porte) de YHVH (= Dieu) : la Porte de Dieu. A.BOUHEY, lu quant à lui dans le sens hébraïque devient YEHOUBA - "OU" correspondant à une seule lettre est non inversable -, il est alors l'écriture latine de YHVBH, signifiant B (= le Temple, la Fille, la Pupille) de YHVH (= Dieu) : le Temple (ou la Fille, ce qu'est la France vis à vis de l'Eglise) de Dieu.
Le Verbe de Dieu étant son premier Temple, le nom de Y est bien le "Verbe de Dieu".

A qui dira à
Y, que, dans YEHOUBA, il manque le H de la fin de YHVBH, il fait deux réponses :

. ce H est également absent de YEHOUDA,
. et, de toutes façons, s'il est Chyren, ce H est dans sa manche, puisque Chyren est l'anagramme de Henryc, d'initiale H. A. BOUHEY sera alors H. BOUHEY, devanant YEHOUBH, soit YHVBH, en sens de lecture hébraïque.

- de sa bouche sort une épée acérée : de la bouche de Y sort son souffle à double usage : verbal et musical pour le saxophone (or le nom de Y signifie aussi "souffle", ainsi que l'explique Christine de Rivoyre, dans "Belle Alliance" - Editions France Loisirs -, à propos de Labouheyre : en gascon "lou bouhe" est le souffle, mais c'est aussi, ce qui n'est pas banal appliqué à Chyren, la taupe venant reprendre souffle à la sortie de son trou, après un parcours souterrain !...)
Ce souffle porte donc, d'une part, son verbe dont il est dit (cf. Nostradamus, IX, 20), qu'il peut être tranchant (comme l'épée), et, d'autre part, le saxophone alto ou soprano. Ce dernier, droit et arrondi comme le fourreau d'une épée, commence par son anche. Or, toujours très curieusement, l'anche est, comme par "ASAR", de roseau, et le roseau est l'instrument de mesure de la Jérusalem Céleste, et le son que donne cette anche sur le saxophone soprano peut-être perçant comme l'épée.
Illustrant ce propos, voici
Y jouant un extrait d'une musique peulhe africaine qu'il adapta à son instrument, et qu'il considère comme son "cri de guerre scriptorale". Ce passage musical, destiné primitivement au fichier "Scriptoral", n'y entra pas en raison des imperfections de l'enregistrement, et du 64 kBit/s MP3. Il se trouve que ces derniers ont un côté abrupt intéressant ici.


Voyons maintenant si ce que le Christ attribue au vainqueur des 7 lettres de l'Apocalypse peut correspondreà Y :


"Lettre IV. A l'Eglise de Thyatire.
Le vainqueur, celui qui restera fidèle à mon service jusqu'à la fin (...) Je lui donnerai l'Etoile du matin." (Apocalypse 2 18, 26.)

L'Etoile du matin, c'est ce qu'est le Christ. Il donnera donc à ce vainqueur ce qu'il est. Le soleil est Etoile du matin et vient de l'Est. Or Y est solaire par son saxophone - sa "voix de Sax(e ?)" - et il vient de l'est en son "Va-à-Rennes" et en son nom taïwanais.

"Lettre I. A l'Eglise d'Ephèse.
Au vainqueur, je ferai manger de l'arbre de Vie placé dans le Paradis de Dieu." (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 2 1, 7.)

D'une part, Y termine "Chromophonie Scriptorale" par "AMOUR INTELLIGENT = ARBRE DE VIE", la jonction d'amour (ouverture horizontale) et d'intelligence (ascension verticale) étant l'expression même des deux directions de la croix, principe de Scriptoral ; et, d'autre part, il faudra montrer un jour ici, comment Y, partant du nombre 111 (sur lequel repose le sacre de Louis XVI - cf. pierres_d_angles.htm#111 -), découvrit que les 4 cycles de 4 pyramides de Scriptoral étaient en forme d'arbres de vie kabbalistique, en position non plus debout, mais assise, position de la palabre africaine. Y peut donc tout à fait avoir "mangé de l'arbre de Vie".

"Lettre II. A l'Eglise de Smyrne.
Le vainqueur n'a rien à craindre de la seconde mort " (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 2 8, 11.)

Cette échappée à la seconde mort est la conséquence de la connaissance de l'arbre de Vie, elle-même résultant de la recherche de Y sur la valeur de la première mort, et sur le lien entre écriture et crucifixion (Crucifixion du Christ = Ecriture du Verbe de Dieu), comme moyen d'accession à la Vie (cf. "Chromophonie Scriptorale", "La Voix Scriptorale", "Script et Orale"...)

"Lettre III. A l'Eglise de Pergame.
Au vainqueur, je donnerai de la manne cachée ; je lui donnerai aussi un caillou blanc portant gravé un nom nouveau que nul ne connaît, hormis celui qui le reçoit." (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 3 1, 5.)

Au titre de la manne cachée viennent les interprétations des quatrains X, 72 (cliquer), IX, 20 (cliquer) de Nostradamus , du carré Sator (cliquer, cliquer, cliquer), de "l'étreinte de l'homme mort" (ici-même). Quant au "caillou blanc", Y l'a avec Scriptoral aux quatre pierres d'angles "ASAR" et "OROR". C'est pourquoi il peut interpréter le quatrain IX, 20 de Nostradamus qui en parle, où il traduit

"Deux pars vaultore Herne la pierre blanche"


par

"En deux parties-vautour sa "hernie - Henri E" comme la pyramide vivifiant à blanc


Le "nom nouveau" gravé sur le caillou blanc, c'est bien sûr, reçu en 1976, SCRIPTORAL, "que nul ne connaît hormis celui qui le reçoit" : si la traduction est bonne, il faut entendre "connaître" au sens de "co-naître", naître avec, et recevoir au sens d'accueillir. Le Christ reparle de ce nom nouveau deux lettres plus loin :


"Lettre VI. A l'Eglise de Philadelphie.
Le vainqueur, je le ferai colonne dans le temple de mon Dieu ; il n'en sortira plus jamais et je graverai sur lui le nom de mon Dieu, et le nom de la Cité de mon Dieu, la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel, de chez mon Dieu, et le nom nouveau que je porte." (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 3 7, 12-13)

Comme par "ASAR" "SCRIPTORAL" est en Y et lui est donné pour le nom de la Jérusalem Céleste, cité de Dieu, et c'est le nom que Y donna à Jésus dans une de ses oeuvres, intitulée "Script et Orale" , en 1982, où lui-même s'appelle Script, enfant prodigue d'Original et d'Orale, alors que Scriptoral est le fils resté toujours avec le Père.
SCRIPTORAL serait donc, à la fois, le nom de Dieu, le nom de la cité de Dieu, et le nom nouveau du Christ.
Entre les lettres IV et VI, déjà vues, il y a la lettre V :

"Lettre V. A l'Eglise de Sardes.
Le vainqueur sera donc revêtu de blanc ; et son nom, je ne l'effacerai pas du livre de vie, mais j'en répondrai en présence de mon Père et de ses Anges." (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 3 1, 5)

Le blanc est la couleur de l'interprète, ce qu'est Y. Reste la lettre VII :

"Lettre VII. A l'Eglise de Laodicée.
Le vainqueur, je lui donnerai de prendre place auprès de moi sur mon trône, comme moi-même, après ma victoire, j'ai pris place auprès de mon Père sur son trône." (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 3 1, 5)

Le vainqueur est en lieu et place du Père et du Fils, il ne fait plus qu'un avec eux et le trône est au coeur de la Jérusalem Céleste. Dans la mesure où SCRIPTORAL, donné à Y, représente la Jérusalem Céleste, le Christ lui a déjà donné cette place sur son trône.


Toutes ces correspondances portent à réfléchir. Elles ne sont pourtant rien au regard de celles qu'a relevées Y.
Ainsi, si l'on ne craignait pas d'alourdir fastidieusement ce fichier, on pourrait aussi envisager, sans être déçu, celles qui relient les noms de Y aux 9 noms du Roi des rois.

Il faudrait aussi considérer le lien entre d'importants évènements de la vie de sa mère et la description de la poursuite de la Femme de l'Apocalypse par le Dragon :


"Se voyant rejeté sur la terre, le Dragon se lança à la poursuite de la Femme, la mère de l'Enfant mâle. Mais elle reçut les deux ailes du grands aigle pour voler au désert jusqu'au refuge où, loin du Serpent, elle doit être nourrie un temps et des temps, et la moitié d'un temps. Le Serpent vomit alors de sa gueule comme un fleuve d'eau derrière la Femme pour l'entraîner dans ses flots.Mais la terre vint au secours de la Femme : ouvrant la bouche, elle engloutit le fleuve vomi par le dragon." (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 12 12-17.)


Notons au passage avec Chris Caron, que le nombre de l'aigle est 55, et que les deux ailes du Grand Aigle hébraïque, auraient pour "valeur 555. Le nombre de la Connaissance dans la Cabale" (cf. Le Code secret de l'Univers, p. 118, adresse). Or, comme par "ASAR" pour une "OROR", deux 555 en croix enchâssent les pierres d'angles "ASAR" et " OROR" du carré ROTAS/SATOR (cf. pierres_d_angles.htm#scr).
Revenons à la mère de YY, en disant, pour tout exemple de ce qui peut être ses démêlés avec le dragon, que, de manière exceptionnelle ( car en raison d'une première chrurgicale réussie avec elle "en raison de la pureté de son sang", selon le chirurgien, après plusieurs échecs avec d'autres personnes), un chirurgien, le Professeur Leibovici réalisa, vers 1939, en son corps l'ouverture de la terre laissant passer les eaux de la honte qui la tourmentaient depuis sa naissance, par un cofé (orthographe ?), branchement de l'uretère sur l'intestin, ceci n'étant qu'un exemple troublant de plus parmi d'autres.
Par ailleurs, les deux ailes du grand aigle l'accompagnent depuis sa naissance. En effet, un aigle en bois sculpté est, d'une part, sous la chaire de l'église de son village natal : Saint-Romain en Côte d'Or, et, depuis la naissance de son fils, elle habita le quartier Saint-Pierre à Dijon, et passa de la rue Mozart à une rue, dont Y découvrit, en 1997 seulement, que les deux premiers noms, furent rue du Temple et rue des Moulins. En fait, le quartier Saint-Pierre a recouvert le quartier du Temple dont Jean est le patron, et l'Eglise Saint-Pierre est sortie des remparts de la ville pour venir occuper l'emplacement de la commanderie du Temple, incendiée par les Suisses assiègeant Dijon, en 1513 (cf. interpretation.htm#1513). Ceci expliqua à Y, pourquoi, dès son enfance, il avait été surpris de trouver en cette église, non la massiveté qu'il attribuait instinctivement à Pierre, mais l'élancement et la clarté de Jean, qui sourdait de son sol, grâce à son curé : le père... Latour. Or, des quatre évangélistes, Jean est l'Aigle.
Y, quant à lui, né le 16 Février 1949, à 19 heures de l'époque, ce qui doit faire 20 heures d'aujourd'hui, cyanosé au départ, et avec sur le crâne une marque de forceps qui lui restera jusqu'à plus de 50 ans (les forceps étant un instrument responsable d'enfoncements de boîtes crâniennes), peut aussi tout à fait correspondre à la description de la naissance de Chyren par Nostradamus :


"Un serpent veu proche du lict royal,
Sera par dame nuict chien n'abayeront :
Lors naistre en France un Prince tant royal,
Du ciel venu tous les Princes verront."

(Nostradamus, IV 93)


La totalisation de tous ces signes, ceux qui sont présentés et beaucoup d'autres, fit que Y décida de poser la question, à la Femme de l'Apocalypse, elle-même, Notre-Dame-de-Rennes, qui comme par un "ASAR" de plus, domine son lieu de travail à Rennes.







VI.-
SIGNE DE
NOTRE-DAME-DE-RENNES


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Y, de qui une assistante de la faculté des Lettres de Dijon dit, à propos d'un exposé qu'il fit sur Tristan et Yseult, qu'il n'appelle pas "un chat un chat mais un chat deux chats" (rappelons, avant d'aller plus loin, qu'Eragny, point de départ de son "Va-à-Rennes" et anagramme de "Y règna", lui attribua la couleur bleue), Y donc, agenouillé dans l'Eglise Saint-Melaine devant la statue de Notre-Dame-de-Rennes, lui parla en ces termes :



"Si tu es la mère du Roi des rois, qui est Chyren, c'est à dire moi-même, selon mes signes, l'enfant que tu portes n'est pas Jésus, mais moi-même. Est-ce vrai ?

c'est à dire, qu'en l'occurence, plutôt que d'appeler "un fils deux fils", il réduisit plutôt à un seul ce fils dont tout lui dit maintenant qu'il en est probablement plusieurs.
Quoiqu'il en soit, alors que
Y priait tête baissée et que l'intérieur de l'église était dans la pénombre, à l'instant exact où, dans une conversation, serait spontanément venue la réponse, il perçut la lumière à travers ses paupières fermées. Le nuage était passé, cela n'avait rien d'extraordinaire, lui direz-vous. Non, parce que, lorsqu'il ouvrit les yeux, il vit la conjonction de trois évènements :

- d'une part, le soleil inondait l'emplacement de la Vierge/Femme, le nuage s'étant donc dissipé à l'instant "M" ;
- d'autre part, la joue droite de l'enfant porté par la Femme était bleue, couleur attribuée à Chyren-
Y par Eragny (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#era) ;
- et, pour finir, la couleur était bleue, alors qu'elle aurait pu être différente.

le bleu signifie, ajouterez-vous à son intention, que le soleil passant à travers le vitrail projetait cette couleur sur la joue de l'enfant. Et vous aurez raison, mais, ce qui est extraordinaire, c'est que, en dehors du fait que les vitraux ont plusieurs couleurs, et que ce soit précisément le bleu qui soit sorti, Y visita de nombreuses fois cette statue (dix ou quinze ?) et jamais il n'y eut de couleur sur la joue de l'enfant.
En fait, il rencontra quatre cas de figures :

- la pénombre, car il n'y avait pas de soleil à l'extérieur ;
- le soleil dehors sans que ses rayons pénétrassent à travers les vitraux ;
- du soleil à l'extérieur et des rayons projetés à l'intérieur :
Y remarqua une fois des couleurs sur les dalles du sol, mais rien sur la joue de l'enfant ;
- même processus une autre fois avec les couleurs sur le mur opposé, et toujours rien sur la joue de l'enfant.

Ce qui fut donc extraordinaire, c'est que dans le temple de Dieu, à l'exacte fraction de seconde de la réponse, la lumière se fasse sur la mère et l'enfant, et que le bleu, couleur de Y selon les signes, colore la joue de l'enfant, alors que Y demandait précisément à la Femme, si cet enfant était lui-même.




p. 114 : http://perso.wanadoo.fr/jean-paul.barriere/univers/code11.htm
p. 119 : http://perso.wanadoo.fr/jean-paul.barriere/univers/code12.htm
p. 111-112-113 : http://perso.wanadoo.fr/jean-paul.barriere/univers/code12.htm

p. 118 : http://perso.wanadoo.fr/jean-paul.barriere/univers/code12.htm

 
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