Chyren serait donc Roi des rois dans le Christ,
et voici ce qui le confirme à Y,
dans la mesure où Y est précisément Chyren ? Revenons à la citation
sur le premier combat eschatologique déjà donnée
(cliquer) :
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"Alors
je vis le ciel ouvert, et voici un cheval blanc ; celui qui
le monte s'appelle "Fidèle" et "Vrai",
il juge et fait la guerre avec justice. Ses yeux ? une flamme
ardente ; sur sa tête plusieurs diadèmes ; inscrit
sur lui, un nom qu'il est seul à connaître ;
le manteau qui l'enveloppe est trempé de sang ; et
son nom ? le Verbe de Dieu. Les armées le suivaient
sur des chevaux blancs, vêtues de lin d'une blancheur
parfaite. De sa bouche sort une épée acérée
pour en frapper les païens ; c'est lui qui les mènera
avec un sceptre de fer ; c'est lui qui foule dans la cuve
le vin de l'ardente colère de Dieu, le Maître
de tout. Un nom est inscrit sur son manteau et sur sa cuisse
: Roi des rois et Seigneur des seigneurs." (Apocalypse, 19, 11-16).
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Y peut y être concerné par : |
- "le ciel
ouvert" : le ciel de Scriptoral, la pyramide
inversée, n'a-t-il pas la particularité d'être ouvert, à l'opposé du ciel fermé,
"plombé" et mortuaire, pourrait-on dire, de la
pyramide pharaonique égyptienne, modèle de la pyramide
sociale des pouvoirs, jusqu'à nos jours.
- "un cheval blanc", "les armées (...)
vêtues de lin d'une blancheur parfaite" : le
blanc est la couleur de l'interprétation, celle de Vishnu,
le Parfait Iinterprète (cf. la couleur du lin), or Y est saxophoniste interprète, et dans sa relation aux compositeurs
et aux improvisateurs, les deux autres formes d'esprit constitutives
de Scriptoral, qui lui est donné pour la Jérusalem
Céleste, l'interprétation est toujours son cheval...
blanc de... bataille !
- "il juge et fait la guerre avec justice" :
la justice fait partie pour Y de son nom taïwanais, qu'il a charge d'accomplir. Justicier
est en effet l'une des quatre significations du Ya initial
de "Yalone Bpourré", et il est, comme par "ASAR"
en forme de croix :
(cf. 43_alpha_apex_omega.htm#ya).
- "Ses yeux ? une flamme ardente" : Cette
qualité des yeux est celle du Christ, mais comme par "ASAR",
ceux de Y jouant du saxophone surprirent tellement un journaliste londonien,
qu'il les photographia comme, en quelque sorte, l'emblème
du Vème Congrès Mondial de Saxophone auquel il participait
en juillet 1976, année où il donna à sa recherche
le nom de "SCRIPTORAL". Le titre de la photo "Wind
of change", vent de changement, correspond, sauf erreur, à
une expression politique lancée par Harold Mac Millan, Premier
Ministre, à la Chambre des Communes. Appliquer cette expression
au "vent" qu'est le saxophone joué par Y ("voix de sax - e ? -", qui "essaye de gagner des
amis" - tries to win friends" -) , ne manque pas d'à
propos, dans la mesure où ce dernier est le futur Chyren.
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"WIND OF CHANGE"
: Ses yeux ? une flamme ardente.
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- "un nom qu'il est seul à
connaître" (...) "Un nom est inscrit sur son manteau
et sur sa cuisse : Roi des rois et Seigneur des seigneurs."
:
|
. pour le nom inscrit
sur le manteau, Y constate un "ASAR" curieux : le ya (= )
qui débute son nom (et dont Y,
le nom qu'il s'est donné, est l'initiale) n'est pas inscrit
sur son manteau, mais sur celui des impératrices
de Chine...
. par contre, à l'aine, au-dessus de la
cuisse, il a bien inscrit Henri V, d'une manière aussi commune
que le bétail dans l'étable-crèche de Jésus,
mais qu'il est bien sans doute le "seul à connaître" ainsi. En effet, il a, à cet endroit, une hernie inguinale.
Or, l'anagramme de
|
|
par ailleurs, V est le symbole de Scriptoral, et Henri de Heim Rijk
signifie la maison du roi, ce qu'est Scriptoral, dans la mesure
où il est Sion, pour le Christ Roi des rois. Henri V ne fait
donc bien qu'un avec le Roi des rois.
Ajoutons que cette hernie a une valeur symbolique très forte,
que Y a représentée sur la pochette de son disque "La
Voie Scriptorale" (cf. plus.htm#voi),
où sa tête troue une lame de guillotine hexagonale,
car, si Y est Chyren, il est la HerniE - Henri E de la France, qui a cru pouvoir
se protéger de la monarchie, c'est à dire de Dieu,
par une lame de guillotine.
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- "son nom ? le Verbe de Dieu" :
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"Au commencement le Verbe était
et le Verbe était avec Dieu
et le Verbe était Dieu",
|
|
nous
dit Jean au début de son Evangile. C'est à dire qu'au
commencement le Verbe de Dieu était son Temple. Or YEHOUDA
est l'écriture latine de YHVDH, signifiant D (= la Porte) de
YHVH (= Dieu) : la Porte de Dieu. A.BOUHEY, lu quant à lui
dans le sens hébraïque devient YEHOUBA - "OU"
correspondant à une seule lettre est non inversable -, il est
alors l'écriture latine de YHVBH, signifiant B (= le Temple,
la Fille, la Pupille) de YHVH (= Dieu) : le Temple (ou la Fille, ce
qu'est la France vis à vis de l'Eglise) de Dieu.
Le Verbe de Dieu étant son premier Temple, le nom de
Y est bien le "Verbe de Dieu".
A qui dira à Y,
que, dans YEHOUBA, il manque le H de la fin de YHVBH, il fait deux
réponses :
|
. ce H est également
absent de YEHOUDA,
. et, de toutes façons, s'il est Chyren, ce H est dans sa
manche, puisque Chyren est l'anagramme de Henryc, d'initiale H.
A. BOUHEY sera alors H. BOUHEY, devanant YEHOUBH, soit YHVBH, en
sens de lecture hébraïque.
|
-
de sa bouche sort une épée acérée
: de la bouche de Y sort son souffle à double usage : verbal et musical pour le
saxophone (or le nom de Y signifie aussi "souffle", ainsi que l'explique Christine
de Rivoyre, dans "Belle Alliance" - Editions France Loisirs
-, à propos de Labouheyre : en gascon "lou bouhe"
est le souffle, mais c'est aussi, ce qui n'est pas banal appliqué
à Chyren, la taupe venant reprendre souffle à la sortie
de son trou, après un parcours souterrain !...)
Ce souffle porte donc, d'une part, son verbe dont il est dit (cf.
Nostradamus, IX, 20), qu'il peut être tranchant (comme l'épée), et, d'autre
part, le saxophone alto ou soprano. Ce dernier, droit et arrondi comme
le fourreau d'une épée, commence par son anche. Or,
toujours très curieusement, l'anche est, comme par "ASAR",
de roseau, et le roseau est l'instrument de mesure de la Jérusalem
Céleste, et le son que donne cette anche sur le saxophone soprano
peut-être perçant comme l'épée.
Illustrant ce propos, voici Y jouant un extrait d'une musique peulhe africaine qu'il adapta à
son instrument, et qu'il considère comme son "cri de guerre
scriptorale". Ce passage musical, destiné primitivement
au fichier "Scriptoral", n'y entra pas en raison des imperfections
de l'enregistrement, et du 64 kBit/s MP3. Il se trouve que ces derniers
ont un côté abrupt intéressant ici.
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|
Voyons maintenant si ce que le Christ attribue
au vainqueur des 7 lettres de l'Apocalypse peut correspondreà Y
:
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"Lettre
IV. A l'Eglise de Thyatire.
Le vainqueur, celui qui restera fidèle à
mon service jusqu'à la fin (...) Je lui donnerai
l'Etoile du matin." (Apocalypse 2 18, 26.)
|
|
L'Etoile du matin,
c'est ce qu'est le Christ. Il donnera donc à ce vainqueur ce
qu'il est. Le soleil est Etoile du matin et vient de l'Est. Or Y est solaire par son saxophone - sa "voix de Sax(e ?)" - et
il vient de l'est en son "Va-à-Rennes" et en son nom
taïwanais. |
"Lettre
I. A l'Eglise d'Ephèse.
Au vainqueur, je ferai manger de l'arbre de Vie placé
dans le Paradis de Dieu." (Bible de Jérusalem,
Editions du Cerf, Apocalypse 2 1, 7.)
|
|
D'une part, Y termine "Chromophonie Scriptorale" par "AMOUR INTELLIGENT
= ARBRE DE VIE", la jonction d'amour (ouverture horizontale) et
d'intelligence (ascension verticale) étant l'expression même
des deux directions de la croix, principe de Scriptoral ; et, d'autre
part, il faudra montrer un jour ici, comment Y,
partant du nombre 111 (sur lequel repose le sacre de Louis XVI - cf.
pierres_d_angles.htm#111 -),
découvrit que les 4 cycles de 4 pyramides de Scriptoral étaient
en forme d'arbres de vie kabbalistique, en position non plus debout,
mais assise, position de la palabre africaine. Y peut donc tout à fait avoir "mangé de l'arbre
de Vie". |
"Lettre
II. A l'Eglise de Smyrne.
Le vainqueur n'a rien à craindre de la seconde
mort " (Bible de Jérusalem, Editions du Cerf,
Apocalypse 2 8, 11.)
|
|
Cette échappée
à la seconde mort est la conséquence de la connaissance
de l'arbre de Vie, elle-même résultant de la recherche
de Y sur la valeur de la première mort, et sur le lien entre écriture
et crucifixion (Crucifixion du Christ = Ecriture du Verbe de Dieu),
comme moyen d'accession à la Vie (cf. "Chromophonie
Scriptorale", "La Voix Scriptorale",
"Script et Orale"...) |
"Lettre
III. A l'Eglise de Pergame.
Au vainqueur, je donnerai de la manne cachée
; je lui donnerai aussi un caillou blanc portant gravé
un nom nouveau que nul ne connaît, hormis celui qui
le reçoit." (Bible de Jérusalem, Editions
du Cerf, Apocalypse 3 1, 5.)
|
|
Au titre de la
manne cachée viennent les interprétations des quatrains X, 72 (cliquer), IX,
20 (cliquer) de Nostradamus , du carré Sator (cliquer,
cliquer, cliquer),
de "l'étreinte de l'homme mort" (ici-même). Quant
au "caillou blanc", Y l'a avec Scriptoral aux
quatre pierres d'angles "ASAR" et "OROR". C'est
pourquoi il peut interpréter le quatrain IX, 20 de Nostradamus
qui en parle, où il traduit |
"Deux
pars vaultore Herne la pierre blanche"
|
par
"En
deux parties-vautour sa "hernie - Henri E" comme
la pyramide vivifiant à blanc
|
|
Le "nom nouveau" gravé sur le caillou
blanc, c'est bien sûr, reçu en 1976, SCRIPTORAL, "que
nul ne connaît hormis celui qui le reçoit" :
si la traduction est bonne, il faut entendre "connaître"
au sens de "co-naître", naître avec, et recevoir
au sens d'accueillir. Le Christ reparle de ce nom nouveau deux lettres
plus loin :
|
"Lettre
VI. A l'Eglise de Philadelphie.
Le vainqueur, je le ferai colonne dans le temple de
mon Dieu ; il n'en sortira plus jamais et je graverai sur
lui le nom de mon Dieu, et le nom de la Cité de mon
Dieu, la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel,
de chez mon Dieu, et le nom nouveau que je porte."
(Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 3 7, 12-13)
|
|
Comme par "ASAR"
"SCRIPTORAL" est en Y et lui est donné pour le nom de la Jérusalem Céleste,
cité de Dieu, et c'est le nom que Y donna à Jésus dans une de ses oeuvres, intitulée
"Script et Orale" , en 1982, où lui-même s'appelle
Script, enfant prodigue d'Original et d'Orale, alors que Scriptoral
est le fils resté toujours avec le Père.
SCRIPTORAL serait donc, à la fois, le nom de Dieu, le nom de
la cité de Dieu, et le nom nouveau du Christ.
Entre les lettres IV et VI, déjà vues, il y a la lettre
V :
|
"Lettre
V. A l'Eglise de Sardes.
Le vainqueur sera donc revêtu de blanc ; et son
nom, je ne l'effacerai pas du livre de vie, mais j'en répondrai
en présence de mon Père et de ses Anges."
(Bible de Jérusalem, Editions du Cerf, Apocalypse 3
1, 5)
|
|
Le blanc est la
couleur de l'interprète, ce qu'est Y.
Reste la lettre VII : |
"Lettre
VII. A l'Eglise de Laodicée.
Le vainqueur, je lui donnerai de prendre place auprès
de moi sur mon trône, comme moi-même, après
ma victoire, j'ai pris place auprès de mon Père
sur son trône." (Bible de Jérusalem, Editions
du Cerf, Apocalypse 3 1, 5)
|
|
Le vainqueur est en lieu
et place du Père et du Fils, il ne fait plus qu'un avec eux
et le trône est au coeur de la Jérusalem Céleste.
Dans la mesure où SCRIPTORAL, donné à Y,
représente la Jérusalem Céleste, le Christ lui
a déjà donné cette place sur son trône.
|
Toutes ces correspondances portent à
réfléchir. Elles ne sont pourtant rien au regard de
celles qu'a relevées Y.
Ainsi, si l'on ne craignait pas d'alourdir fastidieusement ce fichier,
on pourrait aussi envisager, sans être déçu, celles
qui relient les noms de Y aux 9 noms
du Roi des rois.
Il faudrait aussi considérer le lien entre
d'importants évènements de la vie de sa mère
et la description de la poursuite de la Femme de l'Apocalypse par
le Dragon :
|
"Se
voyant rejeté sur la terre, le Dragon se lança
à la poursuite de la Femme, la mère de l'Enfant
mâle. Mais elle reçut les deux ailes du grands
aigle pour voler au désert jusqu'au refuge où,
loin du Serpent, elle doit être nourrie un temps et
des temps, et la moitié d'un temps. Le Serpent vomit
alors de sa gueule comme un fleuve d'eau derrière la
Femme pour l'entraîner dans ses flots.Mais la terre
vint au secours de la Femme : ouvrant la bouche, elle engloutit
le fleuve vomi par le dragon." (Bible de Jérusalem,
Editions du Cerf, Apocalypse 12 12-17.)
|
|
Notons au passage avec Chris Caron, que le nombre
de l'aigle est 55, et que les deux ailes du Grand Aigle hébraïque, auraient
pour "valeur 555. Le nombre de la Connaissance dans la Cabale"
(cf. Le Code secret de l'Univers, p. 118, adresse).
Or, comme par "ASAR" pour une "OROR", deux 555 en
croix enchâssent les pierres d'angles "ASAR" et "
OROR" du carré ROTAS/SATOR (cf. pierres_d_angles.htm#scr).
Revenons à la mère de YY,
en disant, pour tout exemple de ce qui peut être ses démêlés
avec le dragon, que, de manière exceptionnelle ( car en raison
d'une première chrurgicale réussie avec elle "en
raison de la pureté de son sang", selon le chirurgien, après
plusieurs échecs avec d'autres personnes), un chirurgien, le
Professeur Leibovici réalisa, vers 1939, en son corps l'ouverture
de la terre laissant passer les eaux de la honte qui la tourmentaient
depuis sa naissance, par un cofé (orthographe ?), branchement
de l'uretère sur l'intestin, ceci n'étant qu'un exemple
troublant de plus parmi d'autres.
Par ailleurs, les deux ailes du grand aigle l'accompagnent depuis sa
naissance. En effet, un aigle en bois sculpté est, d'une part,
sous la chaire de l'église de son village natal : Saint-Romain
en Côte d'Or, et, depuis la naissance de son fils, elle habita
le quartier Saint-Pierre à Dijon, et passa de la rue Mozart à
une rue, dont Y découvrit, en 1997
seulement, que les deux premiers noms, furent rue du Temple et rue des
Moulins. En fait, le quartier Saint-Pierre a recouvert le quartier du
Temple dont Jean est le patron, et l'Eglise Saint-Pierre est sortie
des remparts de la ville pour venir occuper l'emplacement de la commanderie
du Temple, incendiée par les Suisses assiègeant Dijon,
en 1513 (cf. interpretation.htm#1513).
Ceci expliqua à Y, pourquoi, dès
son enfance, il avait été surpris de trouver en cette
église, non la massiveté qu'il attribuait instinctivement
à Pierre, mais l'élancement et la clarté de Jean,
qui sourdait de son sol, grâce à son curé : le père...
Latour. Or, des quatre évangélistes, Jean
est l'Aigle.
Y, quant à lui, né le 16
Février 1949, à 19 heures de l'époque, ce qui doit
faire 20 heures d'aujourd'hui, cyanosé au départ, et avec
sur le crâne une marque de forceps qui lui restera jusqu'à
plus de 50 ans (les forceps étant un instrument responsable d'enfoncements
de boîtes crâniennes), peut aussi tout à fait correspondre
à la description de la naissance de Chyren par Nostradamus : |
"Un
serpent veu proche du lict royal,
Sera par dame nuict chien n'abayeront :
Lors naistre en France un Prince tant royal,
Du ciel venu tous les Princes verront."
(Nostradamus,
IV 93)
|
|
La totalisation de tous ces signes, ceux qui
sont présentés et beaucoup d'autres, fit que Y décida de poser la question, à la Femme de l'Apocalypse,
elle-même, Notre-Dame-de-Rennes, qui comme par un "ASAR"
de plus, domine son lieu de travail à Rennes.
|
Y,
de qui une assistante de la faculté des Lettres de Dijon dit,
à propos d'un exposé qu'il fit sur Tristan et Yseult,
qu'il n'appelle pas "un chat un chat mais un chat deux chats"
(rappelons, avant d'aller plus loin, qu'Eragny, point de départ
de son "Va-à-Rennes" et anagramme de "Y règna", lui attribua la couleur bleue), Y donc, agenouillé dans l'Eglise Saint-Melaine devant la statue
de Notre-Dame-de-Rennes, lui parla en ces termes :
|
"Si tu es la mère
du Roi des rois, qui est Chyren, c'est à dire moi-même,
selon mes signes, l'enfant que tu portes n'est pas Jésus,
mais moi-même. Est-ce vrai ?
|
|
c'est à
dire, qu'en l'occurence, plutôt que d'appeler "un fils deux
fils", il réduisit plutôt à un seul ce fils
dont tout lui dit maintenant qu'il en est probablement plusieurs.
Quoiqu'il en soit, alors que Y priait tête baissée et que l'intérieur de l'église
était dans la pénombre, à l'instant exact où,
dans une conversation, serait spontanément venue la réponse,
il perçut la lumière à travers ses paupières
fermées. Le nuage était passé, cela n'avait rien
d'extraordinaire, lui direz-vous. Non, parce que, lorsqu'il ouvrit les
yeux, il vit la conjonction de trois évènements : |
- d'une part, le soleil
inondait l'emplacement de la Vierge/Femme, le nuage s'étant
donc dissipé à l'instant "M" ;
- d'autre part, la joue droite de l'enfant porté par la Femme
était bleue, couleur attribuée à Chyren-Y
par Eragny (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#era)
;
- et, pour finir, la couleur était bleue, alors qu'elle aurait
pu être différente.
|
le bleu signifie, ajouterez-vous
à son intention, que le soleil passant à travers le
vitrail projetait cette couleur sur la joue de l'enfant. Et vous aurez
raison, mais, ce qui est extraordinaire, c'est que, en dehors du fait
que les vitraux ont plusieurs couleurs, et que ce soit précisément
le bleu qui soit sorti, Y
visita de nombreuses fois cette statue (dix ou quinze ?) et jamais
il n'y eut de couleur sur la joue de l'enfant.
En fait, il rencontra quatre cas de figures :
|
- la pénombre,
car il n'y avait pas de soleil à l'extérieur ;
- le soleil dehors sans que ses rayons pénétrassent
à travers les vitraux ;
- du soleil à l'extérieur et des rayons projetés
à l'intérieur : Y
remarqua une fois des couleurs sur les dalles du sol, mais rien
sur la joue de l'enfant ;
- même processus une autre fois avec
les couleurs sur le mur opposé, et toujours rien sur la joue
de l'enfant.
|
Ce qui fut donc
extraordinaire, c'est que dans le temple de Dieu, à l'exacte
fraction de seconde de la réponse, la lumière se fasse
sur la mère et l'enfant, et que le bleu, couleur de Y
selon les signes, colore la joue de l'enfant, alors que Y demandait précisément à la Femme, si cet enfant
était lui-même.
|