A.- LE CIEL
SELON CHRIS CARON
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Notre auteur a retrouvé dans les étoiles
alpha et oméga du ciel le nombre 888 du Christ, alpha et oméga
comme le Père (cf. p. 21, adresse).
Elle a fait une autre découverte : Une
lecture inspirée de son "document A" :
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fait parler "P - S" la Pierre de Sion (nous y reviendrons)
pour lui donner ce message :
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"PIERRE DE SION A DIT :
EN APEX, ALPHA EST A ANGLE DROIT D'OMEGA"
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(Cf. p.
154, adresse)
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Ayant trouvé qu'apex, donné
par de
son "document A" ( cf. carre_sator.htm#apex),
"était le point de l'espace (de la constellation d'Hercule)
vers lequel "notre système solaire se dirigeait à
20 km/seconde"", et ayant associé "A + P X",
non seulement à ARC, APEX et PAX, mais aussi au chrisme, symbole
du Christ, alpha et oméga, ,
qui plante un P au milieu d'un X, elle voit, dans ce mouvement de
notre système solaire, vers cette relation alpha - apex - omega,
l'explication de la parole du Seigneur, selon laquelle il s'en va
au Père, d'où il attirera tous les hommes à lui.
(Cf. p. 206, adresse).
Chris Caron vérifie la justesse de son inspiration sur une
carte du ciel : une ligne droite Alpha de la Lyre (Véga) -
Apex - Alpha de la Tête du Serpent, fait, qu'"en Apex,
Alpha de la Tête du Serpent est à angle droit d'Oméga
du Capricorne" (cf. p. 171C, adresse).
L'ensemble forme un Tau, symbole de croix.
Elle trouvera d'autres angles droits, mais seulement "sur les
cartes représentant le ciel comme plan" (cf. pp. 169 à
176, à partir de l'adresse précédente).
Une inspiration nocturne lui ayant ensuite soufflé
que la véritable étoile Alpha de la constellation d'Hercule
était Kornéphoros, car de magnitude 2,78, l'auteur en
déduisit que cette Alpha devait correspondre à une autre
Oméga, et elle vérifie à nouveau, qu'effectivement
"en Apex, Kornephoros de la constellation d'Hercule est à
angle droit d'Oméga du Sagittaire" (cf. p.199,
adresse).
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B.- LE CARRE ROTAS/POTAS
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Or, si, après avoir réorganisé
les lettres du carré ROTAS/POTAS par rapport au centre, soit
:
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Fig. 4 : Carré
ROTAS/POTAS rayonnant
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nous prenons, comme le fait Chris Caron, nos O et A latins comme la
transcription des alphas et omégas grecs, nous découvrons
qu'en "N transformé" du carré ROTAS/POTAS,
les lignes joignant les A-alphas sont perpendiculaires à celles
joignant les O-omégas :
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Fig. 5 : alphas et omégas,
perpendicularité I
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Fig. 6: alphas
et omégas,
perpendicularité II
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soit :
Fig. 7 : alphas et omégas,
les 2 perpendicularités de ROTAS/POTAS
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Question : La transformation du N central du carré
ROTAS/POTAS peut-elle en faire un apex, qui est aussi arc, pax et
,
c'est à dire chrisme et donc Christ ?
Il a déjà été dit que la lettre N est
la seule à tourner en cette figure. Se surimprimant dans
les quatre positions du carré, mettant alternativement SATOR
et ROTAS en première ligne, elle devient :
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et se situe au milieu de 4 P à valeur de P et de R alternativement
:
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Quand on sait que , le
chrisme, symbole du Christ plante un P dans un X, et si l'on considère
que, de plus, les quatre P partent du N transformé en X,
,
alors que ARC est une autre lecture d'APEX, PAX, chrisme/Christ,
on voit déjà que cette évolution du N permet
tout à fait de l'envisager comme une correspondance de l'Apex
céleste en qui alpha et oméga est en relation de perpendicularité
et même de Tau, selon Chris Caron.
Mais ce n'est pas tout : le nombre de N est 5 (cf. nombres.htm#val),
comme celui des E qui l'entourent. 5 s'écrit aussi V (ce
qui est précisément le symbole de Scriptoral, la pyramide
inversée). Et, si l'on fait tourner quatre fois ce V, on
obtient l'étoile à 8 branches,
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Fig. 11 : Etoile à
8 branches,
(Ishtar, Aphrodite, Vénus,
résurrection, jour-nuit/nuit-jour)
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symbole d'Ishtar, figurant sur les koudourous babyloniens, Aphrodite
des grecs et Vénus des latins, symbole, selon Philippe Seringe
: "Les Symboles" (Helios), de résurrection et de
passage jour-nuit, nuit-jour, ce qui nous ramène au Christ
et à l'Apex.
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Chris Caron explique que "N vient du Noun hébreu, où
il signifie poisson et germe" (p. 50). Or le poisson est un symbole
du Christ et Germe, l'un des noms du roi ressuscité, comme
nous le verrons.
Noun relie donc le Christ à Henri V, de même que les
bras en V du crucifié, incluant un INRI ("Jesu Natus Rex
Judaeorum"), appel de Henri. Dès lors, il est intéressant
d'étendre à tout le carré ROTAS/POTAS l'étoile
à huit branches, qui germe en son centre du N transformé,
|
Fig. 12 : extension à
tout le carré ROTAS/POTAS
de l'étoile-germe
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la correspondance lettres - nombres (cf. nombres.htm#val)
étant la suivante :
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Fig.
13 : des lettres...
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>>>
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Fig.
14 : ...aux nombres
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Dans l'étoile à huit branches
ci-dessus, la somme des rayons internes et externes est de 8 + 8 =
16, nouvelle correspondance
avec Scriptoral, composé de 16
pyramides, et avec le nombre de la mort de la monarchie incarné
en Louis XVI :
|
A
DAGOBERT II ROI ET A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT
|
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La résurrection chyrénienne annoncée
permet de concevoir l'inconcevable : la mort... un trésor !
- Oui, en cas de résurrection.
En effet, la mort est le passage qui de Dagobert II à Louis
XVI fut devant l'Ancien Régime, et c'est un trésor dans
la mesure où elle est le passage apocalyptique vers la résurrection
de Henri II, le "Henri roy de France second" de Nostradamus,
le second Henri grand monarque, c'est à dire vers le nouvel
âge d'or.
Un trésor identique fut annoncé
à Jésus : sa crucifixion !... l'épreuve terrible
qui le fit entrer en sa Gloire.
|
Les diagonales du carré donnent deux
lignes de lettres :
|
Fig.
15 : Diagonales parlantes
|
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lisibles (si envisagées comme grecques
et latines) en :
S
- P - - P - S
ou
S - R - - R - S
|
et :
R
- P - - P - R
ou
R - R - - R - R
|
|
R
- S / P - S,
qui se lisent à partir du centre, dans deux des angles de la
figure 15 (cliquer), c'est à la fois :
|
- la
Reine du Sud,
- la Pierre de Sion,
- et la Pyramide Scriptorale,
|
nous y viendrons
dans "Pierre d'Angles" (cliquer).
R -
R peut joindre les
Reines
du Sud et du Nord, Rennes-le
Château et Rennes,
de chaque côté de l'Etoile Apex, ce dont nous parlerons
également en "Pierre d'Angles" (cliquer).
C'est en fait à R
- P - - P - R
que nous nous intéresserons ici, car, dans la mesure où
Y est Chyren (cf. 2_reines.htm#y),
ces signes donnent en miroir, du centre à la périphérie
et de la périphérie au centre, les initiales de son
"Va-à-Rennes", ce trésor qu'est la voie de
résurrection susceptible d'accomplir complètement une
prophétie obscure de Marie-Julie Jahenny, datant du 18 Septembre
1902, et reproduite dans "Le Grand Monarque selon les Prophéties"
de Michel Morin (Louise Courteau éditrice), prophétie
que voici :
|
"Il traversera
l'Est et semblera venir du fond du Nord. Je le conduirai jusqu'au
midi et, de là, je le ramènerai... non pas sur
le trône d'aujourd'hui, car il n'y aura plus de trône,
même pas de base pour en fonder un autre."
|
La prophétie d'Orval ajoute, quant à elle, qu'il viendra
d'une île :
"Dieu aime la paix ! Venez,
jeune Prince, quittez l'île de la captivité :
joignez le lion à la fleur blanche, venez !" (Prophétie
connue en 1792, remonte peut-être au XIIème siècle).
|
( située à
la frontière du Luxembourg, l'abbaye d'Orval,
dont la fureur révolutionnaire ne laissera pas pierre sur pierre,
est celle où se réfugiera Bouillé après
l'échec de Varennes.)
|
est le point de départ et de retour de ce "Va-à-Rennes".
Il n'est pas d'initiale N mais E
:
|
- comme
Etoile (ce que N
transformé est devenu),
- E de même nombre 5
que lui,
- E qui l'entoure, dont il rayonne, et
qui donc est aussi lui :
Fig. 16 : "E qui
l'entoure,
dont il rayonne..."
|
- E, qui amorce
la croix de résurrection aboutissant aux Taus des deux TENET
(= principe),
avec leurs quatre E T (signes de pouvoir Extra-Terrestre ?)
Taus eux-même symboles de croix liant les A-alphas aux O-omégas
:
Fig. 17 : "E qui
l'entoure,
dont il rayonne..."
|
- E enfin indiquant l'Est, provenance
de Chyren, comme s'il venait de N,
indiquant le Nord,
fond du "N transformé" de ROTAS/POTAS,
"Il traversera
l'Est et semblera venir du fond du Nord."
|
tant et si bien qu'en

il y a
|
E, point de départ et de retour
de "Va-à-Rennes", avons nous dit, ce qui sous-entend
que depuis la mort de la monarchie, Rennes, capitale de la Bretagne,
est le lieu où celle-ci doit se rendre pour ressusciter.
Deux autres prophéties n'indiquent-elles pas que la Bretagne
est précisément le lieu de la résurrection
royale ?
|
"Bretagne, tu n'as jamais
connu le secret de l'alliance que j'ai contractée avec
toi, depuis que tu portes ce nom de Bretagne. C'est toi qui
montreras ton courage quand l'appel du Roi se fera entendre.
Tu marcheras, comme une armée victorieuse, à
la rencontre de celui que j'ai donné miraculeusement
pour sauver celle qui périt de honte..." (Marie-Julie
Jahenny, 22 février 1878)
"C'est alors que, visiblement,
je couvrirai de ma protection ces terres bretonnes, d'où
doit surgir une France nouvelle, une France chrétienne,
gouvernée par ce Grand Monarque, envoyé spécial
de Dieu, défenseur de la justice et de la liberté.
Sous son règne toute justice sera rendue..." (Jules
de Vuyst, 1933-1952).
|
|
E, dans le "Va-à-Rennes"
de Y c'est Eragny, et son "Va-à-Rennes",
c'est :
|
- P - R / R - P 
|
c'est à dire :
ERAGNY - PARIS - RENNES / RENNES
- PARIS ERAGNY
|
Pourquoi
?
Tout simplement, en raison, là encore d'une étonnante
convergence de signes,
qui conduit Y à le penser
:
- L'anagramme d'Eragny indique à
Y
son règne :
ERAGNY > Y REGNA,
- avec son adresse, Eragny attribua à Y
une couleur royale :
le bleu,
et un nombre de résurrection monarchique :
29 (cf. 384.htm#era),
inverse du 92 de l'abolition (21.9.1792) (*)
,
- dans sa gare de départ de "Va-à-Rennes",
Eragny s'accompagne de Neuville en
ERAGNY-NEUVILLE,
or, Madame de Neuville, femme de chambre de Louis
XVII,
fut l'une des rarissimes "privilégiées"
à accompagner la famille royale à Varennes
:
elles étaient deux.
|
Mais ce n'est pas tout : Y
accomplit parfaitement la prophétie citée
ci-dessus (cliquer),
et cela à deux niveaux. En effet, comme le carré
ROTAS/POTAS, elle a un germe (national) et une extension
(internationale) :
|
LE GERME
|
|
- Y
est effectivement passé par le Sud, pendant
7 ans symboliques, 1971-1978, donnant le 16 en 1 +
6 (Kaolack, 1 an, Dakar, 6 ans), - pour sa femme ce
sera le 17 en 1 + 7- ;
- de 1978 à fin 1979, il fut nommé à
Cambrai, ville du Nord et première capitale
des Francs, fond donc de la France, tout en habitant
l'Ile de France : Le Vésinet, en 78-79 ;
- son "Va-à-Rennes" se décida
en 79, comme par hasard, 79 est le nombre de P - R
: Paris - Rennes (nous y reviendrons dans "pierres
d'angles" :
|
Sur
le plan international, l'Afrique, le passage par
le Sud de Y,
lui donna un nom africain : Bouillé, qui
est le nom même de l'organisateur du voyage
à Varennes, dont Louis XVI chercha vainement
à rencontrer le fils, un autre Bouillé
donc, à l'Auberge du ... Grand Monarque !
la nuit de son arrestation, le 21.6.1791, - ce jour
(nous sommes le 21.9.2003) est le 201ème
anniversaire de l'abolition qui en résulta
(Cf. Auteur.htm#var)
-.
Une autre représentation
de son nom lui fut donnée à Taïpeh,
par l'Ile de Taïwan, qui l'afficha, lors d'un
concert, le 13. 7. 1996. La voici : |

prononcée
approximativement : |
"Yalone
Bpourré"
Lorsqu'il
vit ces idéogrammes, Y
fut bien sûr frappé par Ya, écrit
|
,
|
étant
sur une île, où il ne s'attendait pas
à retrouver au début de son nom la
croix, sa source première d'inspiration,
qui le liait d'ailleurs à Chyren, lequel
compte Henri de la Croix parmi ses noms;
Y
demanda à l'une de ses élèves
le sens de cet idéogramme. Elle lui répondit
:
- Asie,
- second,
- justicier,
- agréable,
tous termes applicables à Chyren, le "Henri
roy de France second"
de Nostradamus. Y
se rappela, alors, l'horoscope Verseau du Bien Public,
qui avait attiré son attention en début
d'année. Il le retrouva. Cet article, en
date du 4.1.1996, annonçait : "Une
excellente nouvelle aux alentours du 12 Juillet".
Il était le 13.
Plus tard, il découvrira que ce Ya initial
de son nom, , figure
sur les vêtements des impératrices
de Chine. |
EN
RESUME
|
Taïwan
est, en Extrême-Orient, à l'extrême
Est donc, le fond culturel de la Chine nationaliste,
qui s'y réfugia en 1949 (année de
naissance de Y).
Trois villes y commencent par sa première
syllabe Taï, leurs noms signifient Taï
du Nord, Taï du Centre et Taï du Sud ;
Taïpeh la ville où fut affiché
le nom de Y,
signifie le Taï du Nord.
>>> dans cette extension internationale,
le nom de Y,
Yalone Bpourré,
ce qui est lui, et qu'il a charge d'accomplir, vient
bien d'une île de captivité
ou d'exil (Taïwan) située à l'Est,
fond culturel de la Chine, il en vient bien de son
"fond du Nord" (Taïpeh), venant
de l'Est, il paraît donc venir du "fond
du Nord" et est passé par le Sud.
|
Ajoutons
à cela le jeu de mots qui lui vint à
l'esprit sur la prononciation taïwanienne de
son nom : "Bpourré", allié
à l'idée de navigation (sur internet
?) et aux prophéties sur Chyren : |
Bon
Cap Bouret
|
cette
contrepetterie associe les deux noms de Louis XVI,
sur lesquels le roi et les révolutionnaires
se sont opposés au Temple (cf. auteur.htm#bouret). |
|
Fig.
18 : 79 = P - R = Paris - Rennes
|
|
- à partir
de 1980, Y
"Va-à-Rennes" d'Eragny en Ile de
France, où il habite, à l'Est, mais,
administrativement, il vient de Cambrai, "fond
du Nord" de la France.
>>> En son "Va-à-Rennes",
Y
vient donc bien, comme indiqué pour Chyren,
à Rennes, d'une Ile (l'Ile de France),
située à l'Est, en paraissant
venir du "fond du Nord" (Cambrai),
après être passé par le Sud
(le Sénégal).
>>> Ajoutons, relativement à son éventuel
trône, qu'il n'aura effectivement même
pas de base pour le fonder, puisque sa place ne sera
plus au-dessus de la pyramide d'Ancien Régime,
avec un effet de fermeture des lumières et
des pouvoirs au fur et à mesure de leur élévation,
mais au point de départ de Scriptoral, la pyramide
inversée, avec effet d'ouverture de ces lumières
et pouvoirs dans l'élévation.
|
|
|
21.9.1874 / 18.12.1974
DE L'INVERSE ET DU DOUBLE
|
Le carré ROTAS/POTAS,
lui-même inverse du carré SATOR, est un magnifique
exemple d'inversion des mots, des lettres et des nombres, puisque
ses deux moitiés sont en miroir, et donc en double inversé
:
Fig.
12 bis : extension à tout le carré
ROTAS/POTAS
de l'étoile-germe
|
|
Chris Caron comme moi-même avons
remarqué, que, souvent, le bas terrestre, semble inverser
le haut céleste. Le double paraît aussi avoir une
valeur propre. Ainsi, on constate dans deux des branches opposées
de l'Etoile ci-dessus, le nombre 91,
lié à l'arrestation de Varennes du 21.6.1791,
les pointes des flèches dont les deux
91
sont les hampes sont
deux fois 111, soit un total de
222, eh bien, ainsi que nous le
verrons en "Pierres d'Angles",
il est très curieux de remarquer que 111
et 222 sont
liés à Louis XVI et Louis XVII, arrêtés
en 91 à Varennes.
21.9 a deux inverses : 9.12et
18.12, le second transcendant en
quelque sorte le premier, puisque 18
a 9 pour rt (cf. nombres.htm#ref),
et surtout puisque 18
est l'aboutissement
de l'enchaînement 16-17-18,
qui résout la coupure du 17,
mise en évidence par les pythagoriciens (cf. 384_suite.htm#cou)
et incarnée dans notre histoire par Louis XVII, comme
cela a déjà été signalé.
Or, curieusement, à l'opposé du 21.9,
date de mort de la monarchie, le 18.12
est pour celle-ci,
d'abord, une date de beau mais timide espoir, puisque le premier
enfant de Louis XVI et Marie-Antoinette, la belle Marie-Charlotte
de France, future Madame Royale - qui termina plus probablement
sa vie en Saxe, en comtesse des Ténèbres qu'en
duchesse d'Angoulême (version officielle) - d'une part,
faillit naître le 18.12.1778,
elle naquit le 19.12, et on attendait
un garçon ! et, d'autre part, fut la seule rescapée
officielle de l'emprisonnement du Temple, dont elle sortit un
peu avant minuit, la nuit du 18.12.1795.
Et ce n'est pas tout, puisque, en cas de résurrection
monarchique en la personne de Y,
ces inversions numériques on une suite.
En effet, le grand-père de ce dernier, aussi républicain
de gauche - il vota pour le Front Populaire -, que sa mère,
arrière-grand-mère de Y,
était une royaliste inconditionnelle, est né le
21.9.1874, réussissant à
inclure dans sa date de naissance le 82ème
anniversaire de l'abolition monarchique et le centenaire du
début du règne de Louis XVI, en 1774
! Cent ans plus tard, le 18.12.1974,
fut donné à Y
le choix royal que Louis XVI n'eut pas en 1778,
réunissant 18.12, inverse
de 21.9 à 1974,
bi-centenaire du début du règne de Louis XVI.
Or cette date est loin d'être anonyme. en effet, elle
réussit à contenir tout à la fois 93,
21 et 51
:
-
93, via 19 + 74, date de
mort effective de la monarchie, le 21.1.1793
;
- 21, via 1 + 9 + 7 + 4, nombre
de mort et de résurrection :
|
.
mort de la monarchie, via 21.6.1791
- arrestation de Varennes -, 21.9.1792
- abolition de la monarchie -, 21.1.1793
- exécution de Louis XVI, mais 21.1
est aussi le début du signe du Verseau, la
mort de ce roi est donc curieusement associée
au début du signe qui sera celui de l'ère
nouvelle où doit ressusciter sa monarchie
-;
. 777, nombre attribué à Chyren selon
Chris Caron est de total 21,
et, le 21.3.1999 est
le point de départ de "Mehr Licht !"
(cf. interpretation.htm#mitterrand).
C'est également un nombre qui suit Y,
entre autres né à Dijon (21),
et dont la classe à Rennes, sous la protection
de Notre-Dame de Rennes, la femme de l'Apocalypse,
est de numéro 21
également.
|
-
51, via 18 + 12 + 1 + 9 +
7 + 4. 51 est également
un nombre charnière joignant le début
de la mort de la monarchie (c'est le numéro de
la Marne et de Châlons-sur-Marne, début
de la poursuite de Varennes) et celui de sa résurrection
: En effet, quand Y
se rendit pour la première fois cité de
Varenne, entre les jardins de l'Ambassade d'Italie au
47 et ceux de l'Hôtel
Matignon du gouvernement de la République française
au 57, il avait 47
ans (en 1996). Et, d'autant plus que le 49,
son année de naissance, manquait en cette rue,
comme si la République avait voulu l'occulter,
il y vit la possibilité d'un nouveau signe, selon
lequel il règnerait à 57
ans, en 2006, lorsqu'il aurait relié le 47
du pays de l'Etat de l'Eglise, au 57
de l'Hôtel du gouvernement de celle qui fut, sous
la monarchie, la fille aînée de cette même
Eglise, c'est à dire, quand il aurait rendu la
fille à sa mère.
Pour aller cité de Varenne, il lui fut demandé
par l'homme qui s'était présenté
à lui sous le nombre 88 de
ses ans, de passer sous la "Voûte Cinquantenaire",
ce qui avait deux sens : passer sous la voûte
architecturale pour entrer dans la cité, ou passer
sous la voûte symbolique des 50
ans, pour aller, à angle droit, via 51
à 57 tout à
la fois rue de Varenne et ans, le numéro 51
se situant juste après la "Voûte Cinquantenaire"
(cf. jacques_chirac.htm#del).
Et, effectivement, "Mehr Licht !" lui donna,
comme date de début de résurrection monarchique,
le 18 Mars 2000, où il avait 51
ans (cf. interpretation.htm#
ton).
|
Par ailleurs, les 9.12.1995 et
9.12.1996, entre autres, furent
pour Y des dates importantes
sur lesquelles nous aurons l'occasion de revenir.
|
|