Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
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SOMMAIRE MUSIQUE SIGNES
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Pierre & Jean
de Rennes-Thabor/...Tibériade
à Dijon








RENNES-TIBERIADE
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Y, se rappelant les prophéties concernant la Bretagne :



"Bretagne, tu n'as jamais connu le secret de l'alliance que j'ai contractée avec toi, depuis que tu portes ce nom de Bretagne. C'est toi qui montreras ton courage quand l'appel du Roi se fera entendre. Tu marcheras, comme une armée victorieuse, à la rencontre de celui que j'ai donné miraculeusement pour sauver celle qui périt de honte..." (Marie-Julie Jahenny, 22 février 1878)

"C'est alors que, visiblement, je couvrirai de ma protection ces terres bretonnes, d'où doit surgir une France nouvelle, une France chrétienne, gouvernée par ce Grand Monarque, envoyé spécial de Dieu, défenseur de la justice et de la liberté. Sous son règne toute justice sera rendue..." (Jules de Vuyst, 1933-1952).

pensa à Notre-Dame-de-Rennes , la Vierge / femme couronnée de 12 étoiles, dominant Saint-Melaine, et couvrant de sa protection le CNR et la ville de Rennes, qu'elle surplombe du haut du Mont Thabor (mère du Roi des rois, elle est donc sa mère selon les signes qui le font Chyren, lieutenant du Christ). Il se demanda alors ce qu'était ce Mont, et trouva une réponse dans le Larousse :


"Mont Thabor : en ar. Djabal Tür ou Thabur, montagne calcaire d'Israël, dominant au S.-O. le lac de Tibériade ; 588 m.."

Il découvrit alors que le lac de Tibériade, en Palestine, occupe la partie la plus profonde du fossé de Ghor, à plus de 200 mètres au dessous du niveau de la mer. Et inscrivit, à propos de la ville basse de Rennes, au pied du Thabor :


"RENNES = LAC DE TIBERIADE ?"

Il ajouta, en 1997, le texte suivant :


"Selon le seul Jean,
apôtre de l'Apocalypse, apôtre de la fin du Temps des Nations,
le lac de Tibériade
est le lieu de la dernière apparition du Christ,
de la pêche miraculeuse (aux innocents les mains pleines !)
Jésus y demande à Pierre = l'Eglise s'il L'aime,
et lui annonce son genre de mort !
Pour mémoire : le Thabor domine "Rennes-Tibériade" par la Femme de l'Apocalypse...
autre nom de ce lac : Yam Kinneret. Un rapport avec Rennes ?..."







PECHE FRUCTUEUSE
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Revenant alors à l'Evangile en question, Y y fit, lui aussi, une pêche des plus fructueuses, découvrant que :

lorsque l'inconnu, qui se révéla être Jésus, dit aux apôtres de la barque (Simon-Pierre, Thomas le Didyme, Jacques et Jean) de ramener leur filet, il y avait 153 poissons. 153, le nombre des fenêtres du château de Versailles (cf. versailles_vers_ailleurs.htm#16), et la somme théosophique de 17 (1 + 2 + 3 + 4 +... jusqu'à 17 = 153).
Premier élément intéressant dans cet Evangile de Jean sur le lac ou la mer de Tibériade, que symbolise la ville de Rennes au pied du Mont Thabor, les Pêcheurs sortent de cette eau, cette aire de poissons, liée donc, comme nous l'avons vu avec l'Aire-rivière de Varennes - cf. varennes_va-a-rennes.htm#hot -, à l'ère astrologique du Poisson que nous quittons actuellement, ils en sortent 153 poissons, c'est à dire la somme théosophique de 17 menant à la porte du 18 de la connaissance spirituelle, ou co-naissance à l'Etre de l'ère du Verseau (cf. paroles_d_ange.htm). Vincent Beurtheret signale par ailleurs, dans "Versailles des Jardins vers Ailleurs", aux Editions A.M.D.G., que 153 est un nombre sur lequel revient Notre Dame, demandant 153 Ave dans le Rosaire, un lien de plus, à Rennes, entre Notre-Dame...de-Rennes, dominant la ville du Thabor, et le Lac de Tibériade.
Second enseignement important, cet Evangile est celui où Jésus demande à Pierre s'il l'aime, jusqu'à le peiner :



"Après le repas, Jésus dit à Simon-Pierre : "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu plus que ceux-ci ?" Il lui répondit : "Oui, Seigneur, tu sais que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes agneaux." Il lui dit une deuxième fois : "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu ?" Il lui répondit : "Seigneur, tu sais que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes brebis." Il lui dit pour la troisième fois : "M'aimes-tu ?" Pierre fut peiné de ce qu'il lui demandât pour la troisième fois : "M'aimes-tu ?" et il lui dit : "Seigneur tu sais tout, tu sais que je t'aime." Jésus lui dit : "Pais mes brebis." (Evangile selon Saint Jean, 21, 15-17, La Sainte Bible, Editions du Cerf.)


Cette triple insistance du Christ à mettre en question l'amour de Pierre, rappelle évidemment le triple reniement de ce dernier, qui s'en croyait incapable, et sous-entend que l'apôtre ne devra nourrir les agneaux du Seigneur que dans son amour, mais Jésus sait qu'il y aura de sérieux accrocs, dont témoignent les multiples pardons que Jean-Paul II, son actuel successeur, demanda pour l'Eglise, ému jusqu'aux larmes. Et, comme par hasard, c'est après l'insistance de sa question trois fois répétée que le Christ annoncera à son disciple son genre de mort :



"En vérité, en vérité, je te le dis,
quand tu étais jeune,
tu mettais toi-même ta ceinture,
et tu allais où tu voulais ;
quand tu seras devenu vieux,
un autre te nouera ta ceinture
et te mènera où tu ne voudrais pas.


Il indiquait par là le genre de mort par lequel Pierre devait glorifier Dieu." (Evangile selon Saint Jean, 21, 18-19, La Sainte Bible, Editions du Cerf.)


Il est intéressant de noter, à ce sujet, que c'est à la propre demande de Pierre, qu'il fut abaissé sur le bois, puisque crucifié la tête en bas, et donc près du sol, quand Jésus fut élevé sur ce même bois. C'est à dire que ce matériau, lié à Y par son nom et son activité, au lieu d'être pour cet apôtre un moyen de salut et de transcendance directs, fut, par volonté d'humilité et sentiment d'indignité pécheresse, le moyen d'indication d'une direction descendante, s'opposant paradoxalement à l'élévation céleste messianique du Christ, direction de retour vers la terre, qui sera celle prise par l'Islam, quelques siècles après.

Pierre a donc, sans le savoir, indiqué par le choix de son supplice, la seule direction par laquelle, selon les signes de Y, pouvait passer le salut indirect de l'humanité, pécheresse comme lui. En effet, selon ces signes, la Jérusalem Céleste ne pourra advenir que de l'enchaînement des formes d'esprit, sources de l'enchaînement judéo-christiano / islamique (cf. pyramide.htm#improvisation), si bien que Jean-Paul II, voulant rapprocher les trois religions monothéistes, et reconnaissant humblement les fautes de l'Eglise de Simon-Pierre, dont il est en charge, est dans la parfaite ligne du premier de ses prédécesseurs.

Troisième enseignement de cette fin des quatre Evangiles, appendice de celui de Jean : c'est la question de Pierre sur la mort de ce dernier, le tout étant, selon le texte, raconté par Jean lui-même, se définissant comme "le disciple que Jésus aimait" :



"Pierre alors se retourne et aperçoit, marchant à leur suite, le disciple que Jésus aimait, celui qui, durant le repas, s'était penché vers sa poitrine et lui avait dit : "Seigneur, qui est-ce qui va te livrer ?" En le voyant, Pierre dit à Jésus : "Et lui, Seigneur ?" "Jésus lui répond : "S'il me plait qu'il demeure jusqu'à ce que je vienne, que t'importe ? Toi, suis-moi." Le bruit se répandit alors parmi les frères que ce disciple ne mourrait pas. Pourtant, Jésus n'avait pas dit à Pierre : "Il ne mourra pas", mais : "S'il me plait qu'il demeure jusqu'à ce que je vienne".

C'est ce disciple qui témoigne de ces faits et qui les a écrits et nous savons que son témoignage est véridique." (Evangile selon Saint Jean, 21, 20-24, La Sainte Bible, Editions du Cerf.)





MORT DE PIERRE
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Y consigna ces lignes sur papier en Avril 2000 (nous sommes le 2 Juillet 2004) juste après avoir réfléchi aux deux morts de Henri II : celle de son corps physique en 1559, et celle, spirituelle, de son corps royal qui fut la mort de la monarchie à laquelle il appartenait, en 1792. C'est pourquoi, il pensa que la vie infinie de Jean, dont il pouvait être ici question, n'était pas celle de son corps physique mais de son corps spirituel, ce qui amenait la question de la mort spirituelle de Pierre. Or, ce dernier vit en esprit dans l'Eglise romaine, et Jean, dans l'Apocalypse et, entre autres, dans l'Ordre du Temple.

Relativement à l'Eglise romaine, la prophétie de Saint Malachie lui prédit une fin, attribuant 111 devises à 111 papes (interprétation traditionnelle) ou à 114 papes (interprétation de Michel Morin), à partir du pontificat de Célestin II, en 1143, après lesquels en arrivera un 112ème (ou 115ème) et dernier : Pierre II ou Pierre le Romain.

Envisageons d'abord l'interprétation traditionnelle, en commençant par nous arrêter au nombre 111, liant donc cette fois le nombre des papes à Louis XVI, le roi-martyr, et à la monarchie française de droit divin (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111). Ce lien n'est pas sans rappeler la découverte, par un ami du marquis de la Franquerie, sur le Suaire de Turin, d'une tache de sang représentant le profil de Louis XVI, au niveau du coeur du Christ (cf. "Ascendances davidiques des Rois de France" du marquis de la Franquerie, en http://perso.wanadoo.fr/thomiste/ascdav.htm), ce que peut justifier le fait que Louis XVI fut le premier souverain à consacrer son royaume et sa personne au Sacré-Coeur.

Selon cette interprétation traditionnelle, Jean-Paul II, notre actuel pape, est celui de l'avant-dernière devise, la 110ème, les cinq dernières étant :


INTERPRETATION TRADITIONNELLE

107


"Pastor et nauta (le pasteur et le nautonnier)" : Jean XXIII.

108

"Flos florum (la fleur des fleurs)" : Paul VI.
109

"De mediate lunae (de la moitié de la lune)" : Jean-Paul Ier.
110

"De Labore solis (du travail du soleil)" : Jean-Paul II.
111

"De gloria olivae (de la gloire de l'olivier)" : le Pasteur Angélique

Pierre II ou Pierre le Romain


Selon cette même interprétation, la 111ème devise est celle du Pasteur Angélique, le grand pape, que le grand monarque doit aller chercher. Il y a donc bien, nouveau asar, correspondance entre le temps de la résurrection du "grand Roy d'Angolmois", annoncé par Nostradamus pour "mil neuf cens nonante neuf sept mois" (cf. interpretation.htm#1999) et le temps de la venue du grand pape annoncé depuis le XIIème siècle, puisque nous sommes en 2004 et que Jean-Paul II, épuisé, arrive à la fin de son pontificat. Pourra-t-il faire la liaison avec le Pasteur Angélique (les signes de Y n' annoncent-ils pas la venue du grand monarque pour 2006 ) ?

Par ailleurs, la prophétie concernant Pierre le Romain qui, suivant cette interprétation traditionnelle, succèdera au Pasteur Angélique, est la suivante :


"Durant la dernière persécution de la sainte Eglise romaine, siègera Pierre le Romain qui fera paître ses brebis au milieu de nombreuses tribulations. Ces dernières terminées, la ville aux sept collines (Rome) sera détruite, et le juge redoutable jugera son peuple." (Traduit du latin par Michel Morin, dans "Le Grand Monarque selon les Prophéties", Louise Courteau éditrice).


Cette prophétie annonce la fin de Rome, annonce-t-elle, par là-même occasion, la fin de l'Eglise romaine et la mort spirituelle de Pierre sur terre, avec celle du second Pierre, son dernier successeur, la mort d'une forme de spiritualité qui sera jugée et qui n'entrera pas dans le règne du Christ, comme Moïse n'entra pas en Terre Promise, pour avoir manqué de foi aux eaux de Mériba ? Le reniement de Pierre, et les fautes de cette Eglise, notamment dénoncées par les templiers, fautes pour lesquelles Jean-Paul II demanda tellement pardon, ne justifient-ils pas cette fin ? de même que son oubli de la monarchie de droit divin : ne refuse-t-elle pas, dans sa quasi totalité de célébrer une messe le 21 Janvier à la mémoire du roi décapité ? et le grand monarque ne doit-il pas trouver que quatre amis parmi ses évêques ?


"Parmi les ministres du Seigneur amis du Roi, je n'ai vu que quatre évêques." (Marie-Julie Jahenny, le 5 Septembre 1882, in "Le Grand Monarque selon les Prophéties" de Michel Morin, Louise Courteau éditrice).


Le pontificat du Pasteur Angélique, précédant celui de Pierre le Romain, doit être court : 4 ans à 6 ans et demi, le règne du grand monarque pourrait par contre durer 23 ans, de 2006 à 2029, selon les signes de Y. Cela signifierait, si l'on s'en tient à l'interprétation traditionnelle, que le pontificat de Pierre le Romain, se passe, ou commence, sous le règne de Chyren.

L'autre interprétation est celle de Michel Morin, selon laquelle, le Pasteur Angélique étant un Bourbon, sa devise doit être la fleur de lys - "flos florum" -, c'est à dire la 108ème, et cela, bien que le blason de Paul VI ait comporté trois fleurs de lys inversées, par rapport aux armes de France. Michel Morin en déduit que la 107ème devise concerne quatre papes : Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul Ier et Jean-Paul II, et que, le Pasteur Angélique ayant la 108ème, il restera trois papes avant Pierre le Romain, ce qui retarderait le pontificat de ce dernier, qui pourrait éventuellement avoir lieu après le règne du grand monarque. Soit :


INTERPRETATION DE MICHEL MORIN

107


"Pastor et nauta (le pasteur et le nautonnier)" : Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul Ier, Jean-Paul II.

108

"Flos florum (la fleur des fleurs)" : le Pasteur Angélique.
109

"De mediate lunae (de la moitié de la lune)" : 112ème pape.
110

"De Labore solis (du travail du soleil)" : 113ème pape.
111

"De gloria olivae (de la gloire de l'olivier)" : 114ème pape.

Pierre II ou Pierre le Romain






VIE DE JEAN
ET DE RENNES/THABOR...TIBERIADE

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Relativement à Jean, remarquons que les noms des quatre papes précédant le Pasteur Angélique, font alterner, puis associent Jean et Paul : Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul Ier, Jean-Paul II, comme s'il y avait une montée en puissance de la spiritualité johannique dans l'Eglise de Pierre, dont vingt-cinq papes ont pris le nom de Jean, seul ou associé ; montée en puissance terminant les 111 devises de l'interprétation traditionnelle (cf. #tra), 111 qui caractérise le règne de Louis XVI (cf. pierres_d_angles_suite.htm#111), Louis XVI qui finit au Temple, Temple des templiers liés à... Jean ! comme si une boucle se bouclait, à une époque, où l'Eglise de Pierre, au contraire, se rapproche du judaïsme en se dégageant des restes de l'emprise monarchique, ainsi qu'en témoigne un passage de l'allocution du Cardinal Jean-Marie Lustiger, Archevêque de Paris, allocution prononcée à l'occasion de la remise du Prix "Nostra Aetate" que lui a décerné conjointement au Grand Rabbin Sirat, le Centre pour la Compréhension entre Juifs et Chrétiens (CCJU) de l'Université du Sacré-Coeur, à Fairfield, dans le Connecticut (USA), (le 20 Octobre 1998) :

"Dans l'époque contemporaine, l'Église catholique s'est, plus que jamais, dégagée de l'emprise des princes et des identifications nationales. Alors même qu'elle les valorise comme des richesses de culture, elle refuse leur absolutisation et le manifeste clairement par son mode d'action différent."

Revenons donc à Jean, et à la façon dont il peut continuer à vivre jusqu'au retour du Christ
:

Jean, c'est, à la fois, l'auteur du quatrième et dernier Evangile, dont le dernier texte, fin de la fin, concerne le lac-mer de Tibériade, et l'auteur de "l'Apocalypse", texte qui mène, via le Roi des rois, à la Jérusalem Céleste. Jean, qui a vu la Cité sainte, épouse du Seigneur, est déjà dedans par l'esprit. Il demeure donc jusqu'au retour du Christ, ainsi que Jésus le lui a annoncé. Il n'en va pas de même pour Pierre.

Par ailleurs, Y a découvert, en 1997, que l'Ordre du Temple, à lui lié, qui anticipait les cavaliers blancs de "l'Apocalypse", en s'opposant à l'Eglise romaine de son époque en raison de ses déviations jugées criminelles et sataniques, ne fut supprimé qu'en France, et, que les condamnés que fera brûler Philippe le Bel, n'étaient pas ses principaux initiés. La spiritualité johannique templière n'est donc pas morte au XIVème siècle.

De plus, si le lac de Tibériade termine les quatre Evangiles, il est aussi de plain-pied dans "l'Apocalypse", par l'intermédiaire de la capitale de la Bretagne, inconsciente de l'Alliance que Dieu a contractée avec elle (cf. #all), Rennes, qui symbolise ce lac, au pied du Thabor, que domine Notre-Dame-de-Rennes, la Femme de "l'Apocalypse" couronnée de 12 étoiles, le serpent et la lune sous ses pieds, mère du Roi des rois, et donc de Y dans le Christ, selon ses signes.

Par ce lac de Tibériade qu'elle symbolise, Rennes est la garante de la continuité entre le temps du Christ ressuscité, avant son Ascension, où il apparut à ses apôtres au bord de cette mer intérieure, et où il fit le miracle de la pêche des 153 poissons, symbole du parcours de la connaissance de son peuple, à travers l'ère astrologique d'eau du Poisson, et le temps de son Règne dans la Jérusalem messianique et l'ère d'air du Verseau, cet air dans lequel s'élève, au-dessus des "rives" de Rennes, sa protectrice céleste.

Arrivé à ce point de ses déductions, Y se demanda s'il pouvait aller jusque là, c'est alors qu'il reçut un signe, lui confirmant que, très probablement, le Père l'avait guidé. Ce signe est, comme par asar, lié aux 153 poissons sortis du lac, 153, somme théosophique de 17, l'Intermédiaire entre Matière et Esprit.




SIGNE DE 162
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Y pensait donc à 153.

En le reliant à 144, longueur en coudées du rempart de la Jérusalem Céleste, il s'aperçut que 153 était 144 plus 9, et se rappela que 144 était 9 fois 16. Il eut alors l'idée d'ajouter 9 à 153, et trouva 162.

La suite 144-153-162 était tout simplement 9 fois sa suite initiatique 16-17-18.

162 lui rappela sa date de naissance 16.2, suivant une association déjà plusieurs fois pratiquée (208/20.8, 213/21.3, 313/31.3). Il se demanda s'il n'en abusait pas, et eut l'idée d'aller voir ce qui se passait à la page 162 de l'ouvrage où il consignait tous ses signes. Voici ce qu'il découvrit :








C'était tout simplement l'horoscope du quotidien dakarois "Le Soleil", daté du 16.2.1978, année de son retour en France, jouant de plus avec les chiffres de 1789, et intercalant 16, total de 97 (9 + 7) à l'intérieur de 18, les extrémités de sa suite initiatique ! Horoscope qu'il avait découpé... 17 ans (!) auparavant, ainsi qu'il le nota dans cette page 162, et qui lui était tombé aux pieds, lui disant qu'il pouvait être "trop tranchant", lorsque, interprétant le quatrain de Nostradamus sur Varennes, il venait de dire que "tranche" du quatrain, signifiait que sa tête avait tranché la trancheuse (cf. nost_9_20.htm#tra).

Et donc, cet horoscope était celui qui lui disait, page 162, que, s'il était né un 16.2, "il deviendrait un chef dans tout secteur choisi comme métier", lui, qui avait accepté la royauté que Dieu lui annonçait, ce qui était une façon de la choisir, et donc qui devait, selon l'horoscope, devenir un chef parmi les rois, c'est à dire, en clair, le
Roi des rois !

Tout y était dit ou suggéré : sa royauté souveraine, son caractère parfaitement défini, avec son côté solaire amené par le nom du quotidien, et cette relation entre 162 et 16.2 sur laquelle il s'interrogeait. En plus, il y avait là un signe qu'il n'avait pas vu, au moment où il avait rédigé ce passage.

1978 : du 16.2 au 16.10


A ce signe, s'en ajouta un second, pour Y, qui, le même jour, fit une autre découverte, liée à 16, à 1978, à la monarchie et au pape du pardon pour l'Eglise, précédant le Pasteur Angélique : Jean-Paul II commença son pontificat le 16.10.1978, le jour du 185ème anniversaire de l'exécution de Marie-Antoinette, alors qu'il consacra son sacerdoce à la Vierge Marie, Mère, selon les prophéties et les signes de Y, du grand monarque, lieutenant du Christ et Roi des rois en Lui, grand monarque dont le sang passa par Marie-Antoinette (cf. etreinte.htm#pos et etreinte_suite.htm#y=c).

Et ce n'est pas fini. Voici ce qu'il découvrit :



SIGNE DE DIJON
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Cherchant, en Mars 2000, un livre, dans une librairie de Dijon, Y en trouva un autre, contenant des renseignements qu'il attendait depuis 3 ans : "Dijon Histoire Urbaine", publié par ICOVIL, avec tous les plans de l'évolution de la ville, de ses origines à l'an 2000, via les XIVème, XVIème, XVIIIème, XIXème siècles et l'an 1949, de sa naissance.

Et là, nouvelle surprise :

SAINT-PIERRE A DIJON
AU XIVème SIECLE







1.- Porte Saint-Pierre, devant l'ancienne Eglise Saint-Pierre.
2.- Faubourg de la Magdeleine avec
Commanderies des templiers et des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem,
et chapelles Saint-André (des templiers) et Sainte-Magdeleine
(des Hospitaliers).
3.- Faubourg Saint-Pierre, actuelle rue d'Auxonne.



A la porte Saint-Pierre de Dijon,
faubourg de la Magdeleine, voué à Saint Jean,
et Faubourg Saint-Pierre.

(Extrait de plan de "Dijon Histoire Urbaine"- Editions ICOVIL -.)



A la fin du XIVème siècle, le rempart de la ville, qui suivait le trajet de l'actuelle rue de Tivoli, arrivait devant l'ancienne Eglise Saint-Pierre aujourd'hui disparue, à la porte Saint-Pierre, située à l'emplacement des actuels (2004) premiers feux de signalisation de la rue Chabot-Charny, à partir de l'actuelle Place Wilson. A l'extérieur, un fossé rempli d'eau, après quoi se trouvaient deux faubourgs, allant de ces feux de signalisation jusqu'à l'entrée de l'actuel cours du Général de Gaulle (auparavant cours du Parc), et recouvrant notamment, l'actuelle place Wilson (auparavant nommée place Saint-Pierre).

Les deux faubourgs partaient donc de la porte Saint-Pierre, avec :

le faubourg Saint-Pierre en direction sud-sud-est, construit le long de l'actuelle rue d'Auxonne,
le faubourg de la Magdeleine, en direction sud-sud-ouest, puis plein sud, comprenant la commanderie des Templiers avec sa chapelle Saint-André, donnée par Philippe le Bel aux Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem, dont la commanderie et la chapelle Sainte-Magdeleine se trouvaient en face, l'ordre du Temple supprimé étant donc voué à Saint Jean, comme son héritier subsistant.

Ces deux rues étaient reliées par une transversale, au niveau de l'actuel début du Cours du Général de Gaulle. Au milieu de cette transversale, déjà en arc de cercle, partait une rue qui était dans l'axe des actuelles allées du Parc. La rue de Longvic, partant du début de cet axe pour le longer à l'est, n'existait pas au XIVème siècle. Ces deux faubourgs situés le long des rues du Temple et d'Auxonne, formaient donc, avec leur transversale arquée, un triangle, à la base arquée par le fait de la transversale, après laquelle il n'y avait plus de construction, à l'exception d'une bâtisse, le long de la rue d'Auxonne, et des deux moulins Saint-Etienne et Bernard (trop bas pour figurer sur le plan ci-dessus), sur l'Ouche, longeant la rue du Temple (Charles Dumont - des Moulins actuelles), ce qui lui donnera son nom intermédiaire de rue des Moulins, qu'elle a gardé au bas de l'actuelle rue Charles Dumont.

Ces deux faubourgs réunissaient donc Pierre, à l'Est, et Jean, à l'Ouest, le "bon" et le "mauvais", pourrait-on dire, le "bon" étant celui des Hospitaliers, et le "mauvais", aux yeux du pouvoir royal (plus que papal), puisque démantelé, étant celui des Templiers. Le problème est de savoir, si c'est ce que les disciples de Jean ont fait de ces ordres, qui est "bon ou mauvais", ou si c'est la spiritualité johannique, qui est seulement en partie acceptée par le roi et le pape, ceux-ci rejetant comme "mauvaise" une autre partie qui leur échappe spirituellement.

Or, nous avons vu que les Templiers anticipaient les cavaliers blancs de l'"Apocalypse", et que l'Apocalypse" était source d'une rivalité entre Pierre et Jean ("le disciple que Jésus aimait"), sur les plans de l'amour du Christ, précisément, et aussi de la mort et de la pérennité, si ce n'est corporelle, du moins spirituelle (cf. #amo), l'Eglise de Pierre s'associant par ailleurs, peut-être un peu trop vite au Christ, au regard de ses écarts de conduite, dans le Roi des rois de l'"Apocalypse" de Jean.

A partir de là, il est très intéressant de regarder l'évolution géographique de Pierre et de Jean, à la porte Saint-Pierre de Dijon, le premier étant à l'origine, à la fois à l'intérieur et à l'extérieur des murs, quand le second était seulement exposé aux exactions extérieures. C'est ainsi qu'en 1513, les Suisses incendièrent les deux commanderies et chapelles du faubourg de la Magdeleine, qui seront détruites par les Dijonnais dès 1516, de sorte que le plan du milieu du XVIème siècle nous montre un bastion Saint-Pierre avançant désormais en arrondi jusqu'au milieu de l'actuelle place Wilson, entouré d'eau, en face duquel se développent de nouvelles constructions constituant le faubourg Saint-Pierre, le long de l'actuelle rue d'Auxonne et d'un embryon de l'actuelle rue de Longvic, tandis que le faubourg de la Magdeleine a disparu le long de la rue du Temple, vide de toute bâtisse.


SAINT-PIERRE A DIJON
AU MILIEU DU XVIème SIECLE







1.- Quartier de la Magdeleine.
2.- Ancienne Eglise Saint-Pierre.
3.- Porte et bastion Saint-Pierre.
4.-
Pont-levis.
5.- Faubourg de la Magdeleine, rue du Temple, rasé en 1516.
6.- Faubourg se développant sur les actuelles rues de Longvic et d'Auxonne.



Disparition du faubourg de la Magdeleine,
développement du faubourg Saint-Pierre,
avancée du bastion Saint-Pierre.
(Extrait de plan de "Dijon Histoire Urbaine"- Editions ICOVIL -.)



Un pont-levis donne toutefois encore du bastion sur cette rue du Temple, pont-levis qui semble disparaître sur le plan de la fin du XVIIIème siècle, et être remplacé par une poterne, à la jonction du bastion et du rempart. Mais, dès lors, la rue du Temple (ou déjà, des Moulins ?) ne va plus jusqu'au bastion, elle s'arrête, comme l'actuelle rue Charles Dumont, au niveau de l'actuelle rue du Transvaal.

SAINT-PIERRE A DIJON
A LA FIN DU XVIIIème SIECLE







1.- Rue des Moulins
(anciennement du Temple, et, ensuite, Charles Dumont, en haut,
repoussée au début du nouveau Cours du Parc).
2.- Cours du Parc de la Colombière.
3.- Faubourg Saint-Pierre sur actuelles rues d'Auxonne et de Longvic,
ainsi que sur la rue des Moulins (rues Charles Dumont + des Moulins actuelles)
.


Le faubourg Saint-Pierre couvre aussi l'ancienne rue des Moulins,
repoussée au début du nouveau Cours du Parc de la Colombière

(Extrait de plan de "Dijon Histoire Urbaine"- Editions ICOVIL -.)


Ainsi, dès le XVIème siècle, la commanderie des Hospitaliers et sa chapelle Sainte-Magdeleine, entrèrent dans les murs de la ville, formant le quartier Sainte-Magdeleine, tandis qu'apparemment, selon Y, disparurent la commanderie des Templiers et sa chapelle Saint-André.

Selon les signes de Y, en effet, les apparences qui donnent tout l'espace à Saint-Pierre, et qui ont fait disparaître Jean à travers Saint-André et Sainte-Magdeleine, sont trompeuses.

En effet, l'avancée Saint-Pierre se poursuivit au XIXème siècle : le fossé fut comblé, le bastion Saint-Pierre s'élargit en place Saint-Pierre (l'actuelle place Wilson), qui s'étendit jusqu'à l'entrée du cours du Parc (cours Général de Gaulle), et sur laquelle fut construite l'actuelle Eglise Saint-Pierre, Eglise de la paroisse de Y, avançant de 200 mètres, par rapport à l'ancienne, et se trouvant, désormais, hors des anciens murs.

L'Eglise et la place Saint-Pierre sont en fait situées à l'emplacement du faubourg de la Madeleine, et donc des commanderies du Temple et des Hospitaliers-de-Saint-Jean-de-Jérusalem, avec leurs chapelles Saint-André et Sainte-Magdeleine, Sainte-Magdeleine étant entrée dans les anciens murs de la ville, alors que la chapelle Saint-André des Templiers fut totalement recouverte par Saint-Pierre, paroisse de Y. Et, à l'exception d'un pan de mur du quartier de la Magdeleine, il ne reste maintenant plus rien des deux commanderies et de leurs chapelles tant dans les anciens murs de la ville, qu'à l'extérieur.

SAINT-PIERRE A DIJON
A LA FIN DU XIXème SIECLE







1.- Nouvelle Eglise Saint-Pierre.
2.- Pharmacie André (1897)
3.- Place Saint-Pierre.


Construction de l'Eglise et de la place Saint-Pierre,
sur le bastion Saint-Pierre rasé,
et étendu jusqu'au Cours du Parc de la Colombière.

(Extrait de plan de "Dijon Histoire Urbaine"- Editions ICOVIL -.)


Toutefois, le premier élément qui étonna Y, c'est que, dans ses dix premières années, le prêtre de l'Eglise Saint-Pierre lui fit penser, par l'élancement de son verbe, à Jean, non à Pierre, et le conduisit au "disciple que Jésus aimait". Sachant maintenant que le Père Latour évoluait sur les lieux de la spiritualité johannique des templiers, il a le sentiment que cette spiritualité sourdait des pavés de l'Eglise de Pierre.

Mais ce n'est pas tout : dans la rue anciennement du Temple (Charles Dumont actuelle) est apparue, depuis 1897, la Pharmacie André, du nom de la chapelle de la commanderie des Templiers. Et, la place Saint-Pierre (actuelle place Wilson), ayant repoussé la rue anciennement du Temple de sa profondeur, depuis le carrefour Chabot-Charny - Tivoli, jusqu'à la rue du Transvaal, la Pharmacie André se retrouve à peu près, par rapport à la nouvelle Eglise Saint-Pierre, à l'endroit où la chapelle Saint-André se trouvait au XIVème siècle, par rapport à l'ancienne Eglise Saint-Pierre, derrière la porte Saint-Pierre : environ 150 à 200 mètres.

Tout s'est passé donc comme si la spiritualité johannique templière avait survécu sur les lieux investis par Pierre, et comme si sa chapelle était réapparue sous la forme de la Pharmacie André, soignant le corps en place de l'esprit. Il convient de remarquer que c'est la devanture réalisée par cette pharmacie à l'occasion de son centenaire, en 1997, qui révéla à
Y l'histoire de ce quartier, ignorée de la quasi totalité des Dijonnais, au moment où lui-même se demandait quel était le sens de son séjour rue Charles Dumont (rue du Temple) de 1961 à 1971, entre son séjour rue Mozart (1949-1961) (cf. auteur.htm#moz et auteur.htm#tem) et son séjour à Eragny (à partir de 1980) (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#era) : ses deux derniers étaient fortement significatifs pour lui, alors que la rue Charles Dumont ne lui disait rien, jusque là. Or, il avait relié Mozart à Marie-Antoinette, Louis XVI et au Temple (cf. interpretation.htm#temple), et voilà que la Pharmacie André lui apprenait, que la rue Charles Dumont était précisément la rue du Temple à Dijon, et cela, parce que,

d'une part, il se trouvait, par asar, à Dijon à ce moment là,
et, d'autre part, son père lui avait demandé, comme un service, de regarder cette devanture, pour y trouver de l'inspiration pour inscrire une phrase dans le Livre d'Or de cette pharmacie, ouvert à tous ses clients à l'occasion de son centenaire...


Il y a donc bien là une véritable conduite menant
Y, via la Pharmacie André, aux origines de sa rue et au remplacement de la commanderie des Templiers et de sa chapelle Saint-André par l'Eglise Saint-Pierre.

Ajoutons à cela que, durant 10 ans, Y habitera avec ses parents dans la cour de la Pharmacie André, et que sa mère a pour prénom : Andrée, le nom féminisé de cette dernière et de la chapelle des Templiers.

SAINT-PIERRE A DIJON
EN 1949






1.-
Rue Mozart, où Y passa ses 12 premières années.
2.- Pharmacie André devant son terrain qui sera triplement divisé.


L'année de naissance de Y, terrain de la Pharmacie André
qui sera triplement divisé par la suite
(Extrait de plan de "Dijon Histoire Urbaine"- Editions ICOVIL -.)


Mais cela va encore plus loin, car il y a également dans le livre sur Dijon, un plan de la ville en 1949, année de la naissance de Y, Et là, la cour de la Pharmacie André, où sont les 3 immeubles du 13, ne fait qu'un avec les deux parcelles qui l'entourent, où se trouvent :

du côté de l'Eglise Saint-Pierre, un groupe d'immeubles plus ancien dépendant également de cette même paroisse Saint-Pierre,
au centre, les immeubles du 13,
et de l'autre côté... la Mosquée de Dijon !

Ainsi, à l'image de la nouvelle forme de spiritualité liée à l'islam, que les templiers voulurent développer en Orient, et qu'ils exprimèrent entre autres dans le Baphomet (cf. 384_suite.htm#imp), la Pharmacie André, symbole selon les signes de Y, de la chapelle Saint-André de la commanderie des Templiers, et donc symbole de la spiritualité templière, a réuni, en haut de la rue anciennement du Temple (rue Charles Dumont actuelle),

la spiritualité de l'Eglise romaine (paroisse Saint-Pierre),
l'héritier royal, à la spiritualité johannique (Y, selon ses signes),
et l'islam (la Mosquée de Dijon).


SAINT-PIERRE A DIJON
EN 2000







1.- Pharmacie André.
2.- Cour du 13, rue Charles Dumont (1960)
3.- Mosquée de Dijon.

4.- le "Commodore".



Triple division du terrain de la Pharmacie André,
plaçant la Mosquée de Dijon
dans le quartier de la Paroisse Saint-Pierre.

(Extrait de plan de Dijon du calendrier des Postes 2000.)


Quelques 200 mètres en-dessous de la pharmacie, un immeuble a pour nom le "Commodore" qui signifie commandeur, ce qui, bien sûr, évoque la commanderie disparue et ses occupants : c'est, comme par asar, pour lui, que les parents de Y quitteront la cour de la pharmacie...





VII.- SELON LES PROPHETIES,
"DE GLORIA OLIVAE" (OU "FLOS FLORUM" ?)- LE "PASTEUR ANGELIQUE"
(UN BOURBON DESIGNE PAR LE GRAND MONARQUE - ! -) -
POURRA-T-IL SUCCEDER A LA 111ème PLACE,
A JEAN-PAUL II, DECEDE CE 2 A
VRIL 2005 ?
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Lundi, 19 Avril 2005 :
Le cardinal Ratzinger vient d'être nommé pape
sous le nom de Benoît XVI,
correspond-il au
Saint Pape, le Pasteur Angélique
annoncé par les prophéties ?
Cf. benoit_16.htm