|
Dans l'extatique
transe vaudou,
Cecil TAYLOR,
à travers le bois du
piano
qu'ouvre la folie de son jeu,
exprime toute l'énergie de
ses "tripes",
matière désagrégée
que, deuil et mysticisme
évoquant,
en éclats violets voler il fait.
Car, suprême
maîtresse,
Musique est initiation,
mort de nos illusions et de
notre évidence vie. |
|