Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
.

SOMMAIRE MUSIQUE SIGNES
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MOZART, ISIS, TEMPLE, FRANC-MACONNERIE,
MARIE-ANTOINETTE, LOUIS XVI,
HUGUES CAPET
ET
Y



CONCERTO EN UT K 314,
1er mouvement, Allegro aperto


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CONCERTO EN UT K 314,
2ème mouvement, Adagio ma non troppo


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CONCERTO EN UT K 314, 3ème mouvement, Rondo

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INTRODUCTION
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Ce sont deux faisceaux de signes qui conduisirent
Y à s'interroger sur son identité. Ils le lient à Mozart et à Louis XVI, ces derniers étant eux-mêmes reliés entre eux. C'est pourquoi, nous envisagerons d'abord les signes liant Mozart à Louis XVI. Nous nous occuperons ensuite de ceux liant Y à Mozart.









Mozart et Louis XVI sont liés entre eux :

Asar 1, par leurs dates : Celles de Mozart sont au centre de celles de Louis XVI :
Louis XVI
1754
-
1793
Mozart
.
1756-1791
.


Asar 2, par Marie-Antoinette : Il existe en effet un lien Mozart - Marie-Antoinette, c'est un engagement apparemment enfantin du jeune musicien rapporté par Nissen, le second époux de sa veuve et son premier historiographe :

"Il glissa sur le parquet ciré (de Schönbrunn). L'archiduchesse Marie-Antoinette l'aida à se relever et le consola : "Vous êtes bien gentille, lui dit Wolfgang, et quand je serai grand, je vous épouserai." L'impératrice Marie-Thérèse qui arrivait sur ces entrefaites lui demanda la raison de cette décision. Et Wolfgang de répondre : Pour la récompenser, car elle a été très bonne avec moi.""


Asar 3, par "La Flûte enchantée" :
Ces propos ne seraient que puérilités s'ils ne trouvaient pas un curieux écho dans "La Flûte enchantée", l'opéra créé deux mois et cinq jours avant sa mort, mort précédant de peu l'entrée dans les ténèbres du Temple et de la décapitation de la reine de France, et si, également, un certain nombre de correspondances ne liaient pas Mozart à Louis XVI, Marie-Antoinette, et Hugues Capet lui-même, via la mort, le Temple de Paris et l'arrestation de Varennes.

Commençons par "La Flûte enchantée", en notant d'abord ces quelques dates :

- jours précédant le 21 juin 1791, date de l'arrestation de Varennes
qui conduira à la mort le couple royal français :
Mozart instrumente le Ier acte de sa "Flûte enchantée",
- 20-22 juin 1791 : dates de l'évasion manquée, stoppée à Varennes,
- 30 septembre 1791 : création de "La Flûte enchantée",
- 5 décembre 1791 : mort de Mozart,
- 8 août 1792 : emprisonnement de la famille royale au donjon du Temple,
- 21 janvier 1793 : exécution de Louis XVI,
- 16 octobre 1793 : exécution de Marie-Antoinette.
Dans cet opéra maçonnique initiatique, que reprocheront à Mozart ses frères maçons, la Reine de la Nuit n'est pas sans évoquer la monarchie autrichienne, et l'impératrice Marie-Thérèse, décédée en 1780, et dont règnent les deux fils : Léopold II (1765-1790) et Joseph II (1790-1792). Tamino (Mozart ?) y délivre des ténèbres la fille de cette Reine de la Nuit, quand Marie-Antoinette, fille de Marie-Thérèse et soeur de Léopold II et Joseph II, vient d'être arrêtée à Varennes, arrestation, source de ténèbres puisqu'elle décidera de son emprisonnement et de sa mort. Arrestation et emprisonnement au Temple seront, de plus, en curieuse relation numérique avec la mort de Mozart le 5.12.1791.


Asar 4, par 512 : En effet, ce 5.12 se retrouve sous la forme 512 dans le nombre des années séparant l'octroi de l'enclos du Temple aux templiers par Philippe II le Hardi en août 1279, de l'arrestation de Varennes les 21/22.6.1791, et de la mort de Mozart, le 5.12.1791


Asar 5, par 513 : D'août 1279 (octroi de l'enclos du Temple) au 13 août 1792
(emprisonnement de la famille royale au Temple), il y a 513 ans, avec deux dates, 1279 et 1792, formées des mêmes chiffres. Eh bien ! 513 se retrouve sous la forme 5 mois 13 jours, dans l'espace séparant le 22.6.1791, où l'arrestation de Varennes fut définitive (Louis XVI ayant refusé vers une heure et demie du matin de faire donner la troupe pour le libérer) de la mort de Mozart, le 5.12.1791.


Asar 6, par Marianne Gottlieb : Le rôle de Pamina, la fille de la Reine de la Nuit, sera joué, le jour de la création, par une actrice de 17 ans, Marianne Gottlieb, qui fut, cinq ans plus tôt, Barberine, dans "Le Mariage de Figaro". N'est-il pas curieux de remarquer en cette actrice l'association du nombre, 17 avec Marianne et Gottlieb ?
- 17 est depuis les pythagoriciens (cf.384_suite.htm#cou) un nombre de coupure, se résolvant en nombre de passage en paroles_d_ange.htm#n12, passage du matériel au spirituel, des ténèbres à la lumière, le sujet de "La Flûte enchantée",
- Marianne est le prénom de la femme en qui la toute jeune république française choisira de s'incarner dès 1792, l'année suivant la création de "La Flûte enchantée", Marianne est donc celle qui remplacera ce que Marie-Antoinette incarnait, avant-même son exécution,
- quant à Gottlieb, ne lie-t-il pas également cette actrice à Mozart et à Marie-Antoinette, puisque c'est l'un des avatars de l'un des prénoms du compositeur, né Johannes Chrysostomus Wolfgang et Théophilus Mozart, où Théophilus, aimé de Dieu, passera du grec à l'allemand : Gottlieb, puis à l'italien : Amadeo, Amade, Amadeus ? Cet amour de Dieu rappelle la Grâce divine par laquelle régnait la monarchie française et donc, Marie-Antoinette, cette fille de la Reine de la Nuit, qu'incarnait précisément cette actrice..
Dans le prénom et le nom de Marianne Gottlieb se retrouvent donc la coupure et le lien du 17 de son âge, touchant au matérialisme, à la spiritualité, à la république, à la monarchie et à Mozart, à la fois le remplacement et la continuité de Marie-Antoinette, via Mozart !...

Asar 7, par le Salon aux Quatre Glaces du palais du Temple, face au funeste donjon : Mozart enfant, à l'âge de 10 ans,
est représenté en France au clavecin par le peintre Ollivier, en 1766, dans le Salon aux Quatre Glaces du palais du Temple, dont les fenêtres donnent sur le donjon qui sera l'antichambre de la mort pour Louis XVI et Marie-Antoinette. Ce tableau s'intitule "Thé à l'Anglaise chez le Prince de Conti".

C'est dans ce même salon, que, le 24 mai 1785, Marie-Antoinette viendra fêter ses relevailles de la naissance du futur Louis XVII, chez le Grand-Prieur, âgé lui aussi de 10 ans, comme Mozart 9 ans plus tôt (cf. "Louis XVII" d'André Castelot), Grand Prieur qui n'est autre que le duc d'Angoulême, futur époux de celle qui sera présentée comme la soeur de Louis XVII, bien qu'elle ne lui ressemble apparemment en rien (cf. comtesse_des_tenebres.htm#mad).



L
es informations figurant dans ce tableau grisé ont été reconnues comme fausses :
Le "convent de 1705" est une légende inventée un siècle plus tard
par l'abbé Grégoire et autres "refondateurs" d'un pseudo ordre du Temple
( cf . http://www.esoblogs.net/IMG/article_PDF/L-Ordre-du-Temple-Legendes-sur-la.pdf )"

Par ailleurs, l'Ordre du Temple fut rénové en 1705, au convent de Versailles, par Philippe III, duc d'Orléans, et futur régent de France à la mort de son oncle Louis XIV en 1715.
Il est dit des Grands-Prieurs de l'Ordre du Temple (cf. "L'Ordre des Templiers, les Secrets Dévoilés", Alain Desgris, Ed. Dervy, p. 203) :

C
HAPITRE XIII
DES GRANDS-PRIEURES OU LANGUES

Art. 1.
Dans chaque Nation peut-être constitué un Grand-Prieuré (Magnus Prioratus) lequel s'appelle aussi Langue (Lingua).
Art. 2.
La ville capitale de l'état est le siège du Grand-Prieuré.
Art. 3
Le Grand-Prieuré ou Langue est régi par un Grand-Prieur (Magnus Prior).
Art. 4.
Le bénéfice du Grand-Prieur est conféré à vie.



Le duc d'Angoulême se trouvant être un Grand-Prieur résidant dans le palais du Temple de la capitale de la France, où doit exister un Grand-Prieuré de l'Ordre du Temple, il paraît donc légitime de penser que c'est de cet Ordre, l'Ordre du Temple, que le duc d'Angoulême était Grand-Prieur. Il n'en reste pas moins que le duc d'Angoulême, résidant à 10 ans en 1785 dans le palais du Temple de la capitale de la France, était grand-prieur de l'Ordre de Malte, héritier d'un certain nombre de biens des Templiers après leur destruction, dont le Temple de Paris (cf. l'historien Philippe Delorme, en http://maria-antonia.justgoo.com/ses-enfants-f10/louis-xvii-t160-480.htm). Si donc, le duc d'Angoulême épousa une personne substituée à Madame Royale, fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette, obligeant cette dernière à se cacher pour le restant de ses jours en Saxe, sous le nom de Sophie Botta, comtesse des Ténèbres (cf. comtesse_des_tenebres.htm#mad), cela signifie que le Temple étendit son ombre jusqu'à la fin de sa vie, sur la seule rescapée officielle de son donjon, à travers cet héritage de biens du Temple, partagé par le duc d'Angoulême, en tant que grand-prieur de l'Ordre de Malte.

Ordre du Temple et franc-maçonnerie sont liés (cf. "L'Ordre du Temple et la Chevalerie Maçonnique Templière" de Alain Desgris, Guy Trédaniel Editeur).

Et là, on repense à "La Flûte enchantée" : ce n'est pas seulement Marie-Antoinette, fille de la monarchie autrichienne - Reine de la Nuit, qui est prisonnière de l'obscurité, c'est aussi sa propre fille, toute sa descendance, Louis XVII y compris, dont elle est venue célébrer les relevailles de sa naissance, en ce Salon aux Quatre Glaces, chez un Grand-Prieur lié à Mozart par son âge lors de sa présence en ce lieu : 10 ans.

Asar 8, par le nombre et le nom de Louis XVI, et par la couleur du "moine noir en gris dedans Varennes" (Nostradamus, IX, 20) : Parallèlement, il est curieux de remarquer que Mozart, dont il n'est pas exclu qu'il ait été empoisonné par ses frères francs-maçons, en raison des rites secrets révélés par cette même "Flûte enchantée", est curieusement enterré rapidement, le lendemain de sa mort, dans une fosse communautaire, dans le nombre de Louis XVI : la fosse contenait en effet 16 corps, rangés en quatre couches de quatre (cf. "Nous avons retrouvé le crâne du divin Mozart !" article de Gilles Mermet, réalisé avec la collaboration de Waltraud Herzog - Paris Match ? -). Il était revêtu du manteau noir à capuche des francs-maçons, c'est à dire d'une cape, et donc "capé", ce qui est le sens de Capet, le nom attribué par la révolution à Louis XVI et Marie-Antoinette (la veuve Capet), qui les refuseront. Ce manteau était noir ce qui n'est pas sans rappeler le "moine noir en gris dedans Varennes" du quatrain IX, 20 de Nostradamus (cf. nost_9_20.htm#lem). Mozart qui orchestrait sa "Flûte enchantée" au moment de Varennes, n'avait pas abouti à son but suprême : la mort, source de lumière, cf. ci-après : il n'était donc ni blanc (en vie), ni noir (mort), ou vice versa si la vraie lumière est dans la mort, mais en chemin entre les deux : gris, comme la pierre maçonnique non encore aboutie, puisque rugueuse, que représentait son oeuvre, cf. ci-après aussi.

Asar 9, par un étonnant octocentenaire, liant Mozart à la mort et à Hugues Capet, à l'origine de la monarchie des Bourbon : Il faut, ici, commencer par signaler la relation très particulière que le compositeur entretenait avec la mort, ainsi qu'il l'écrit à son père, le 4.4.1787, quatre ans avant qu'elle ne survienne en sa vie, et deux ans avant la révolution :
"Comme la mort (si l'on considère bien les choses) est l'ultime étape de notre vie, je me suis familiarisé depuis quelques années avec ce véritable et meilleur ami de l'homme, de sorte que son image non seulement n'a pour moi plus rien d'effrayant, mais est plutôt quelque chose de rassurant et de consolateur ! Et je remercie mon Dieu de m'avoir accordé le bonheur (vous me comprenez) de le découvrir comme clé de notre véritable félicité. (...) Pour cette félicité, je remercie tous les jours mon Créateur et la souhaite de tout coeur à tous mes semblables." (Correspondances, Ed. Flammarion).

"Clé de (sa) véritable félicité", Mozart savait donc, avant 1787, qu'il ne trouverait la solution du problème de sa vie, c'est à dire la lumière, que dans la mort, et désirait cette dernière pour cela. Il sera exaucé rapidement.

C'est peu après avoir appris la mort de François Mitterrand (le 8 Janvier 1996 à 8 h 30) que
Y pensa à calculer l'espace de temps 956-987, où Hugues Capet fut suzerain de l'Aquitaine et de la Bourgogne (deux provinces où des localités - Labouheyre, Bouhey et le bois, "le boué", de Bouhey - lui redonnaient son nom) : cela faisait 31 ans. Quelques minutes après, il voulut vérifier la citation du 4.4.1787, où Mozart parle de la mort dans sa Correspondance, pour voir si la traduction des Editions Flammarion était identique à celle de Paris Match. Il lut :
"Comme la mort (si l'on considère bien les choses) est l'ultime étape de notre vie, je me suis familiarisé depuis quelques années avec ce véritable et meilleur ami de l'homme, de sorte que son image non seulement n'a pour moi plus rien d'effrayant, mais est plutôt quelque chose de rassurant et de consolateur ! Et je remercie mon Dieu de m'avoir accordé le bonheur (vous me comprenez) de le découvrir comme clé de notre véritable félicité. - Je ne vais jamais me coucher sans penser (quelque soit mon jeune âge) que je ne serai peut-être plus le lendemain - (...) - Pour cette félicité, je remercie tous les jours mon Créateur et la souhaite de tout coeur à tous mes semblables. Dans ma lettre (si bien emportée par la Storace !), je vous exposais ma manière de penser sur ce point (à l'occasion de la triste disparition de mon excellent ami le comte von Hatzfeld - il avait tout juste 31 ans - comme moi." (Correspondances, Ed. Flammarion).

Y
trouva alors très curieux, que, juste après avoir calculé les 31 ans de durée de suzeraineté de Hugues Capet, pendant lesquels il se prépara au métier de roi, il découvrît que ce fut exactement le temps qu'il aura fallu à Mozart, pour qu'il exprime par écrit, qu'il s'était fait de la mort la meilleure et la plus sûre des amies : "la clé de sa véritable félicité", celle qui comble, en somme toutes ses aspirations... Puis il chassa cette idée, se disant qu'il s'agissait certainement d'une coïncidence, qu'il ne pouvait pas voir des signes partout.

Ce n'est que le soir de ce 8 janvier qu'il y repensa, à 19 h 30, en attente de la correspondance de 19 h 37, à la gare de Conflans-Sainte-Honorine, très exactement, trouvant cette "coïncidence" tout de même bizarre. Et là, il s'aperçut que les dates de Mozart, de sa naissance à sa déclaration officielle d'amitié à la mort : 1756-1787, représentaient le très exact octocentenaire de la suzeraineté de Hugues Capet sur la Bourgogne et l'Aquitaine : 956-987 (956 correspondant à la mort de son père Hugues le Grand), pendant lequel il prépara son métier de roi.

Y déduisit, à travers ce 8 de 800, réduction théosophique de 17, le nombre fatidique du passage 16-18 (cf.384_suite.htm#cou et paroles_d_ange.htm#n12), que, du 27.1.1756, date de sa naissance au 4.4.1787, où il déclare la mort "sa meilleure amie", Mozart a appris, lui aussi, son métier de roi, non plus mortel, mais immortel, puisque son règne sera dans la mort, époux de Marie-Antoinette, comme il s'y était engagé enfant à Schönbrunn), mais époux spirituel, héritier spirituel de Hugues Capet, père spirituel du petit Capet et de sa descendance.

Cela confirma à
Y la relation déjà établie avec Hugues Capet et Louis XVI, et lui en fit découvrir d'autres :

entré capé de noir dans la mort, car franc-maçon et peut-être par la volonté de la franc-maçonnerie, Mozart y était entré dans le nom donné par la Révolution à Louis XVI qui le refusa. En fait, c'était à Mozart, mort capé et autrichien comme "l'Autrichienne", qu'elle eût du le donner.
4.4.1787 : les deux 4 y sont à nouveau de total 8, également réduction théosophique de 800, mais surtout, ils évoquent les corps empilés 4 sur 4 de la fosse communautaire (*), et donc le 16 de Louis XVI et des pyramides amenant Scriptoral, la 17ème pyramide, pyramide inversée de synthèse (cf. pyramide.htm#scriptoral). Y découvrit cela le 8.1.1996, jour d'annonce d'une autre mort, celle de François Mitterrand, qui établit le passage droite-gauche dans la République fondée par Charles de Gaulle (cf. 5eme_republique.htm), année 1996 où le 16 entoure le 18 (9 + 9), et année millénaire de la mort de... Hugues Capet !... roi de 987 à 996, alors que 987 sera inversé, dans le maintenant précédent millénaire, par 1789, année de début de la Révolution qui renversera son héritage monarchique, enchaînant 7-8-9 réduction théosophique de 16-17-18 sur lequel Y sera éclairé en 1997 (cf. paroles_d_ange.htm#n12).
après le 4.4.1787, Mozart attendra 4 ans son entrée dans la mort. Nous avons déjà parlé du salon aux 4 Glaces du palais du Temple, par lequel les 4 prisonniers royaux passèrent avant leur emprisonnement, faisant de ce chiffre une clé de la liaison maçonnico-templière entre Mozart et la famille royale française.


(*) Où votre serviteur a-t-il lu que cette fosse communautaire était réservée aux francs-maçons, par décision de Joseph II, frère de Marie-Antoinette, en raison directe des liens de la franc-maçonnerie avec la Révolution française, ce qui rapprocherait encore dans la mort Mozart de Marie-Antoinette ?


Asar 10, par une pierre à polir - oeuvre à parachever, ce que peut sous-entendre le nom de sa rue : la "Rauhensteingasse" ?
Mozart fut mis en bière dans son appartement de la "Rauhensteingasse" à Vienne. Fort curieusement, "Rauhensteingasse" signifie ruelle de la pierre rugueuse, ce qui, d'une part, ne fut pas sans rappeler à Y la rue Mozart à Dijon, ruelle - moitié impasse en terre battue de ses onze pemières années, et, d'autre part, le fait que chaque franc-maçon doit poser, à travers sa vie, sa pierre de lumière.

Or, "pierre rugueuse" évoque l'idée d'une pierre non aboutie, non polie, taillée, travaillée, ainsi que peut l'être aussi un diamant dans sa gangue, comme si cette oeuvre mozartienne
réalisée du vivant du compositeur et reconnue par une grande partie de l'humanité comme lumineuse et divine entre toutes, cette pierre blanche, n'était qu'un prélude grossier à ce qu'il en ferait pendant sa mort : la pierre blanche nostradamique, celle dont il est précisément question dans le quatrain IX, 20 de Nostradamus, parlant du "moine noir en gris dedans Varennes" (cf. nost_9_20.htm) - rappelons que l'arrestation de Varennes se déroula à l'époque où Mozart commençait d'instrumenter sa "Flûte enchantée" - (*) :


"De nuict viendra par la forest de Reines
Deux pars vaultore Herne la pierre blanche.
Le moine noir en gris dedans Varennes
Esleu cap, cause tempeste feu sang tranche."


D'où cette idée de Y sur la véritable pierre blanche qu'il restait à Mozart à réaliser :
"Si, comme tous les signes me le disent, Mozart fut le guide de mon ascendance, fortement relié à ma femme, l'oeuvre à laquelle il me conduisit, dont la forme se rapproche de celle du diamant taillé, c'est la pyramide de lumière inversée, Scriptoral (cf. pyramide.htm), modèle d'organisation évolutive nouvelle des formes d'esprit de l'humanité, qui m'est apparue depuis comme correspondant à la Jérusalem Céleste de l'Apocalypse de Jean. - Un initié trouva en Scriptoral le char d'énergie-lumière égyptien, Mer-ka-bah, Merkavah pour les hébreux. - L'oeuvre véritable de Mozart, sa pierre taillée, c'est donc de donner à l'humanité accès à la Jérusalem Céleste, par la descendance royale de droit divin de la fille aînée de l'Eglise : la France, c'est-à-dire par la descendance de Marie-Antoinette, "l'Autrichienne", son épouse spirituelle." (Inédit.)

(*) Ne pas oublier que moine, du grec "monakhos", et monarchie, du grec monarkhia composé de "monos" - seul - et arkhein - commander - sont reliés par "monos" dont ils dérivent, et que, dans "La Flûte enchantée" le maure, gardien d'esclaves, qui retient prisonnière Pamina, la fille de la Reine de la Nuit pour laquelle il éprouve une folle convoitise, n'a d'autre nom que... Monostatos. Il y aurait alors deux faces au moine-monarque, l'une noire, l'Ancien Régime emprisonnant ses souverains eux-mêmes, face incarnée par Monostatos, l'autre, lumineuse, celle qui conduit au grand monarque, via Mozart, le "moine noir en gris dedans Varennes", ayant commencé donc à s'éclairer, à polir sa pierre rugueuse, avec "La Flûte enchantée" oeuvre avec laquelle il entra dans la mort, et par laquelle il y entra peut-être, si, à cause d'elle il fut empoisonné, Christian Jacq montre en effet, dans "Le Mystère Mozart" (XO Editions), que, contrairement à l'interprétation habituelle, Mozart, au moment de sa mort, n'était ni ruiné, ni déprimé, et que, s'il était malade, c'était à cause d'un empoisonnement :
"Mozart malade ? Certes, mais à cause d'un empoisonnement ! Il en parle lui-même à Constance lors d'une de leurs dernières promenades dans un jardin de Vienne.
Ses ennemis ne manquent pas, depuis l'empereur Léopold II jusqu'à l'évêque Migazzi, en passant par des compositeurs concurrents - tel le médiocre Salieri qui s'accusera d'avoir tué Mozart - et des Maçons hostiles à ses idées."
(Le Mystère Mozart, Christian Jacq, XO Editions).



"LA FLUTE ENCHANTEE"
Tamino - Pamina - Mozart - Marie-Antoinette
Schikaneder - Nostradamus

L'histoire de Tamino et Pamina


Le prince tamino, égaré à la chasse dans une lointaine contrée est attaqué par un serpent, monstre dont toutes ses flèches ne peuvent venir à bout. Epuisé, croyant sa dernière heure venue, il perd connaissance et est sauvé par trois dames, servantes de la "Reine radieuse", qui est la "Reine de la Nuit". Elles montrent à Tamino un portrait de la fille de cette reine, dont il tombe aussitôt amoureux, puis lui apprennent qu'elle a été enlevée par le méchant démon Sarastro, lequel fait garder sa prisonnière dans une pièce magnifique par un gardien d'esclaves : le Maure Monostatos, surveillant d'autant mieux la jeune fille qu'il la convoite follement.

La Reine de la Nuit apparaît en personne à Tamino, lui promettant la main de sa fille, Pamina, s'il parvient à la libérer.

Dans sa recherche Tamino arrive à un bosquet où s'élèvent, de gauche à droite, les trois temples de la Nature , de la Sagesse et de la Raison. Il apprend que les femmes lui ont menti, et que Sarastro est un souverain plein d'humanité et de sagesse, chef suprême pour cela d'un cercle d'initiés.

Pamina tente en vain de s'évader avec l'oiseleur Papageno, ils sont rattrapés par Monostatos et ses esclaves. Pamina dit à Sarastro qu'elle s'est enfuie à cause de la concupiscence de Monostatos. Toutefois Sarastro sait que c'est parce qu'elle aime Tamino, il continue de la tenir sous sa garde, estimant qu'elle doit être protégée de l'"orgueil" de sa mère et placée sous la conduite d'un homme.

Monostatos ayant arrêté Tamino et l'oiseleur Papageno, Pamina et Tamino se reconnaissent et se jettent dans les bras l'un de l'autre. Sarastro fait infliger 77 coups de fouet à Monostatos, fou de jalousie, et conduire Tamino et Papageno au Temple des Epreuves pour y être "purifiés", tandis que le choeur de l'assistance jubile, évoquant l'idée d'un royaume des cieux sur terre, fondé sur la vertu et la justice des grands.

Sarastro s'explique devant l'assemblée des prêtres : les dieux ont destiné Pamina à Tamino. Avec leur concours, les prêtres formant l'état du Cercle Solaire pourront résister à l'oeuvre destructrice de la "Reine de la Nuit". Mais pour être admis dans le cercle des initiés et uni à Pamina, Tamino doit subir les difficiles épreuves du rituel de l'Ordre pour lesquels les prêtres recommandent aux candidats de se méfier des perfidies des femmes (de la "Reine de la Nuit") Ces épreuves comportent des risques et des dangers croissants, et sont d'autant plus dures, qu'elles sont aussi liées à une close de silence dont Pamina ne sait rien, si bien qu'elle se figurera que Tamino ne veut plus lui parler. Elle sera en proie au désarroi et souhaitera la mort.

Monostatos cherche pendant ce temps à abuser d'elle, lorsqu'apparaît la "Reine de la Nuit" dans un coup de tonnerre, elle donne un poignard à sa fille pour tuer Sarastro. Pamina désobéit. Toutefois, Monostatos qui a tout entendu, veut l'obliger à accomplir ce meurtre et qu'elle se donne à lui en échange de son silence. Pamina refuse, il veut la poignarder, mais Sarastro arrive, qui renvoie le Maure et s'apprête à rencontrer la "Reine de la Nuit". Pamina implore sa clémence. Sarastro promet de se venger en renonçant à la vengeance et en étant altruiste.

Lorsque Tamino doit affronter la troisième épreuve, la plus difficile, les initiés espèrent de plus en plus fermement que Tamino pourra la surmonter afin qu'il soit admis parmi eux.

Trois jeunes garçons qui constituent une instance au-dessus de tous les partis envoyée par Sarastro pour rendre à Tamino et Papageno leurs flûte et glockenspiel magiques voient poindre l'heure où "la terre sera devenue un royaume céleste". Ils empêchent Pamina désespérée de se poignarder, la conjurent de croire en l'amour de Tamino, à qui ils la conduisent, et les autorisent à franchir ensemble les "portes de la terreur" pour parvenir au degré suprême de la purification. Tamino, guidé par Pamina et protégé par sa flûte (autrefois taillée par le père de la princesse dans un chêne millénaire) viendra à bout de l'épreuve. Au bout de sa route terrible s'ouvrent au couple , dans un chant d'allégresse, les portes du Temple d'Isis.

Dernière péripétie, la Reine de la Nuit et ses suivantes guidées par le Maure Monostatos passé dans son clan en demandant pour prix de ses services la main de Pamina, préparent un assaut contre le Temple du Soleil. Sarastro déchaîne les éléments et brise la puissance de la Reine de la Nuit. Dans l'éclatante splendeur du Temple du Soleil, Tamino et Pamina sont admis parmi les initiés.


Marie-Antoinette/Pamina et Mozart/Tamino


Etonnamment, une transposition presque point par point peut-être opérée en remplaçant, en fonction des signes de Y, Pamina par Marie-Antoinette et Tamino par Mozart.

Pour cela, il faut situer le livret de "La Flûte enchantée" écrit par Emanuel Schikaneder (
directeur du théâtre Auf der Wieden, dans la banlieue de Vienne, où cette oeuvre sera créée), à son époque : Mozart ayant instrumenté le premier acte de cet opéra la semaine précédant l'arrestation de Varennes des 21 et 22 juin 1791, c'est à un moment où la monarchie française, sans être encore définitivement condamnée, était, dans la prison dorée des Tuileries, sous la tutelle révolutionnaire, à l'idéal de "Liberté, Egalité, Fraternité".


- Http://www.constanze-mozart.com/html/pages/emmanuel-schikaneder.htm#top) précise que "Schikaneder a proposé le livret de la Flûte enchantée à Mozart, mais l’étude détaillée de ce livret montre que toutes les modifications importantes ont été apportées par Mozart, car certains détails (sans doute maçonniques, N.D.L.R.) étaient alors inconnus de son ami" -.

AVERTISSEMENT

La présente transposition ne prétend pas reproduire nécessairement le cheminement conscient
de l'auteur du livret de "La Flûte enchantée", ou plutôt "des auteurs", puisque Mozart lui-même en modifia la rédaction première.
Il montre, que, par une raison les dépassant, Mozart
et Marie-Antoinette sont de parfaits Tamino et Pamina.


En résumé, la correspondance entre les principaux acteurs de " la Flûte enchantée"
et les personnages historiques du même temps
est la suivante :

Reine de la Nuit : Monarchie autrichienne et impératrice Marie-Thérèse, morte depuis 11 ans, en 1780,

Pamina, f
ille, prisonnière, de la Reine de la Nuit : Marie-Antoinette et sa descendance, dans la prison dorée des Tuileries avant Varennes,
Monostatos, maure, gardien de la fille de la Reine de la Nuit : Monarchie absolue française et Louis XVI,
Sarastro : Robespierre,
Papageno : Fersen,

Tamino : Mozart.

Pamina est donc retenue dans une prison dorée (une pièce magnifique), par Sarastro présenté comme un méchant démon par la "Reine de la Nuit", mère de Pamina, en réalité, c'est un dirigeant sage et éclairé entouré de prêtres qui le révèrent, il retient Pamina pour la protéger de l'"orgueil" de sa mère :
Transposition :
En cette fin de "Siècle des Lumières" dont les protagonistes français sont appréciés par les esprits éclairés de toute l'Europe, l'orgueilleuse "Reine de la Nuit" a tout de la puissante monarchie autrichienne, dont la fille, Marie-Antoinette, est sous la tutelle de l'idéal révolutionnaire français de "Liberté, Egalité, Fraternité" à résonnance maçonnique, retenue dans la prison dorée des Tuileries.
Robespierre, qui n'a pas encore sur les mains le sang de la Terreur, est le sage qui la retient prisonnière pour l'initier.
Le culte de l'Etre suprême, qu'il organisera peu avant sa mort, n'est pas sans faire penser à la cérémonie de Sarastro. Par ailleurs, jusqu'après sa mort, il sera considéré par les ministres de l'empereur d'Autriche, comme le meilleur des interlocuteurs français, comme un homme de paix. Voilà ce qu'en écrit, après son exécution, le Ministre plénipotentiaire autrichien Mercy-d'Argenteau :

"Quel malheur que Monsieur Robespierre n'ait pas vécu quelques semaines de plus. Il aurait été le maître de la France : l'Empereur mon maître l'eut reconnu comme chef du gouvernement et nous aurions tous la paix à l'heure qu'il est ; c'est une grande perte que l'Angleterre et l'Autriche ont fait là." (Archives du Quai d'Orsay, fr. 632 fol. 47, citées par Didier Duval en son "Louis XVII, une Affaire d'Etat").
Enfin, Robespierre a probablement fait transférer, les 11 et 12 juin 1794, Louis XVII à Meudon, sous le prétexte de montrer qu'il était facile de le faire évader, sans que l'on soit sûr, qu'il fit ramener au Temple le même enfant, voici ce que dit Didier Duval dans le même ouvrage :
"En 1894, l'officiel "Historical Manuscripts Commission" publiait aux frais de sa Majesté Britannique, les bulletins d'espionnage expédiés de Gênes par Sir Francis Drake à Lord Grenville. Les bulletins publiés sont au nombre de 28 et s'échelonnent du 2 Septembre 1793 au 22 Juin 1794.

"Dans le premier bulletin du 9 Novembre à Gênes, Drake écrit à Lord Grenville : "Votre Seigneurie peut se fier à son authenticité, car ils émanent d'une personne qui est employée comme secrétaire par ce Comité et qui cache ses véritables principes sous le masque du plus extravagant jacobinisme".
Dans une seconde dépêche, Francis Drake précise "Il faut que vous sachiez qu'il est impossible qu'on nous abuse sur ce qui se dit de plus secret dans le Comité de Salut Public." (Le Notre, "Le Roi Louis XVII, p. 130).

"Les bulletins n° 24 et 25 nous intéressent particulièrement.

"Sur le bulletin no 24 (de Juin 1794) on y lit: "On dit qu'il pense (Robespierre) à faire abattre le pont de Neuilly, et qu'il a fait transférer le petit Capet à Meudon".

"Le bulletin n° 25 complète le premier : "Dans la nuit du 23 au 24 Prairial (soit 11 et 12 Juin) Robespierre alla chercher le Roi et le conduisit à Meudon. Le fait est certain quoiqu'il ne soit connu que du Comité de Salut Public ; on croit être assuré qu'il a été ramené au temple dans la nuit du 24 au 25 (12 et 13 Juin) et que ceci était un essai pour l'assurer de la facilité de s'en emparer".

"Il faut rappeler qu'en Avril 1794, l'informateur du Comte d'Antraigues avait signalé que le Roi (Louis XVII) était mieux traité ! Il est certain que les informations communiquées par ce bulletin n°25 sont le fruit du travail d'une "taupe"du réseau Royaliste du Comte d'Antraigues, infiltrée au Comité de Salut Public."
(Didier Duval, "Louis XVII, une Affaire d'Etat", p. 31).

Si évasion de Louis XVII il y eut, Robespierre en est le plus probable organisateur (cf. Didier Duval, "Louis XVII, une Affaire d'Etat"). On retrouve donc là le côté protecteur et initiateur de Sarastro, envers, cette fois, la descendance de Marie-Antoinette, elle aussi fille de la reine de la Nuit..

Pamina est efficacement surveillée par le gardien d'esclaves Monostatos, un Maure au service de Sarastro, qui la convoite :

Transposition : Monostatos signifie en grec, celui qui se tient debout seul, il est gardien d'esclaves et Maure, c'est-à-dire moitié noir de peau, couleur qui le rapproche de la Reine de la Nuit. Il a tout du monarque ("monos" de Monostatos se retrouve dans "mon" de monarque) non éclairé (noir) absolu (qui se tient debout seul) et oppresseur (gardien d'esclaves) que combat la révolution française : en un mot il n'est pas sans évoquer l'absolutisme monarchique français de Louis XIV, la rigoureuse étiquette toujours en vigueur qu'il a instituée et qui pèse lourdement sur Marie-Antoinette, habituée à plus de liberté à la cour d'Autriche, et, par là même, l'héritier de Louis XIV, Louis XVI, qui, à Versailles, amoureux de son épouse qui lui échappe, en suivait les ébats avec une lunette. Attachement ressenti comme un boulet par la reine qui en aimait un autre, pas Mozart : par qui, selon les signes de
Y, elle doit ressusciter. (Pas encore Mozart ?...) mais Fersen, par qui elle chuta. Louis XVI chez qui l'absolutisme s'est singulièrement décoloré, n'est plus noir, mais mi-noir, comme la couleur de peau des Maures, ce qui n'est pas sans créer un lien surprenant avec un vers du quatrain IX, 20 de Nostradamus :

"le moine noir en gris dedans Varennes"
Une interprétation complémentaire de ce vers est donnée en
http://abouhey1.free.fr/nost_9_20.htm.
(Chyren sort du Varennes où est entré Louis XVI.)


Pamina tente en vain de s'évader avec l'oiseleur Papageno, ils sont rattrapés par Monostatos et ses esclaves :
Transposition : Papageno est fanfaron, manque de la plus élémentaire discrétion. Et, si nous abordons la fuite à Varennes, qui doit dépasser la date d'écriture du livret, nous nous apercevons que Fersen, fournisseur d'une berline trop grosse, lente, lourde et repérable, a du Papageno en lui. C'est Louis XVI sûrement jaloux, on le serait à moins, héritier de Louis XIV-Monostatos, qui l'empêchera de rester dans la berline pour voyager avec son épouse, Louis XVI donc qui, comme Monostatos, reprend la main en cette ultime occasion.

L'assistance jubile, évoquant l'idée d'un royaume des cieux sur terre, fondé sur la vertu et la justice des grands :
Transposition : L'idéal révolutionnaire de "Liberté, Egalité, Fraternité", qui passera par le culte de l'Etre Suprême de Robespierre (Royaume des cieux sur terre). Puis, selon les signes de
Y, Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral), pyramide inversée / Jérusalem Céleste, que lui-même, Y, doit amener, via Mozart.

Les dieux ont destiné Pamina à Tamino. Avec leur concours, les prêtres formant l'état du Cercle Solaire pourront résister à l'oeuvre destructrice de la "Reine de la Nuit" :
Transposition : C'est là qu'on se rappelle la promesse du "divin" Mozart/Tamino, dans l'innocence de l'enfance, à Marie-Antoinette/Pamina :

"Il glissa sur le parquet ciré (de Schönbrunn). L'archiduchesse Marie-Antoinette l'aida à se relever et le consola : "Vous êtes bien gentille, lui dit Wolfgang, et quand je serai grand, je vous épouserai." L'impératrice Marie-Thérèse qui arrivait sur ces entrefaites lui demanda la raison de cette décision. Et Wolfgang de répondre : "Pour la récompenser, car elle a été très bonne avec moi.""
Monostatos cherche pendant ce temps à abuser d'elle, lorsqu'apparaît la "Reine de la Nuit" dans un coup de tonnerre, elle donne un poignard à sa fille pour tuer Sarastro. Pamina désobéit. Toutefois, Monostatos qui a tout entendu, veut l'obliger à accomplir ce meurtre et qu'elle se donne à lui en échange de son silence. Pamina refuse, il veut la poignarder, mais Sarastro arrive, qui renvoie le Maure :
Transposition : Voilà qui n'est pas sans évoquer les armées autrichiennes, armées de la reine de la Nuit, massées aux frontières françaises, la correspondance déclarée coupable avec l'Autriche de Marie-Antoinette et les actions royalistes anti-révolutionnaires, auxquelles Marie-Antoinette, à l'instar de Pamina, ne participera pas, pas plus que Louis XVI d'ailleurs, qui, jusqu'à Varennes, préfèrera se laisser arrêter plutôt que d'engager une action violente. Ce qui reste de Monostatos en Louis XVI, c'est ce voyage ambigu arrêté à Varennes, et cette obligation faite à Fersen de quitter la berline, gardant la reine pour lui seul. La Révolution, telle Sarastro, se débarrassera de la monarchie/Monostatos, pour confier Marie-Antoinette et Louis XVI au donjon du Temple, Temple qui est lié à la franc-maçonnerie.

Trois jeunes garçons qui constituent une instance au-dessus de tous les partis envoyée par Sarastro pour rendre à Tamino et Papageno leurs flûte et glockenspiel magiques voient poindre l'heure où "la terre sera devenue un royaume céleste". Ils empêchent Pamina désespérée de se poignarder, la conjurent de croire en l'amour de Tamino, à qui ils la conduisent, et les autorisent à franchir ensemble les "portes de la terreur" pour parvenir au degré suprême de la purification. Au bout de sa route terrible s'ouvrent au couple , dans un chant d'allégresse, les portes du Temple d'Isis :
Transposition : Le couple Tamino/Pamina sera uni de son vivant après avoir franchi les portes de la... terreur, suprême épreuve initiatique ! Et, comme par hasard, Marie-Antoinette entrera dans la mort par la porte de la terreur, la vraie, la TERREUR révolutionnaire. Guidée par Mozart, qui, empoisonné (?), la précéda dans cette dernière épreuve, ?... Mozart/Tamino, qui savait depuis 1787, que, dans la mort, "sa meilleure amie", se trouvait la clé de sa félicité, la solution de sa vie (cf. #com). Quant à la terre "royaume céleste" et à l'arrivée à Isis la déesse égyptienne de la Médecine, de la Culture, du Mariage, du Blé... Cela n'évoque-t-il pas directement les 16 pyramides de
Y, débouchant sur la 17ème : Scriptoral, la pyramide inversée (cf. pyramide.htm#scriptoral) qui lui est donnée pour une Jérusalem céleste, associant les formes d'esprit opposées et complémentaires de trois de nos principales civilisations.

La flûte de Tamino fut autrefois taillée par le père de Pamina dans un chêne millénaire :
Evocation : Ce chêne n'est pas sans rappeler un autre chêne, de Marie-Antoinette, celui-là, qui a quelque chose de magique dans ses caractéristiques étonnamment symboliques (cf. chene_de_marie-antoinette.htm#menu). : Ayant succombé à la canicule de 2003, il vient de se rappeler à notre bon souvenir par son abattage, le 9 février 2005, le sort vinicole d'une partie de son fût pouvant d'ailleurs être directement lié à
Y.

le Maure Monostatos est passé dans le clan de la Reine de la Nuit :
Transposition : La raison de l'arrestation de Varennes fut la volonté française d'empêcher Louis XVI de rejoindre les troupes autrichiennes à la frontière, et de rejoindre le "clan" impérial autrichien.

Sarastro déchaîne les éléments et brise la puissance de la Reine de la Nuit. Dans l'éclatante splendeur du Temple du Soleil, Tamino et Pamina sont admis parmi les initiés :
Transposition : Oui, jusqu'à Austerlitz, pour le déchaînement des éléments brisant la puissance de la monarchie autrichienne. Après, c'est une autre histoire, une histoire d'obscure lumière, qui commence, selon les signes de
Y, toujours dans les ténèbres du Temple : celle de la conduite de la descendance de Marie-Antoinette par Mozart jusqu'au Grand Monarque, Temple qui portera Y jusqu'en 1971 (aux chiffres de 1791, date de la mort de Mozart), sans qu'il en soit encore totalement détaché en ce début 2006, cf. ci-après ?








LIENS MOZART-Y

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Stupéfait par la densité, la cohérence et le nombre des signes qui l'entouraient,
Y fera, à sa manière,fin 1995, un calcul sur les probabilités qu'il y avait pour un individu à être relié comme il l'était à Mozart. Ce calcul sera déterminant, puisque c'est lui qui le décidera à mettre ces signes publiquement en question.

Avant d'en venir à ce calcul, il est nécessaire d'en préparer le terrain :
Y passera son enfance, jusqu'à sa communion solennelle comprise (juin 1960) rue Mozart, n° 14, à Dijon, pour emménager ensuite rue Charles Dumont, n° 13, dans la cour située derrière la Pharmacie André. La communion solennelle est une étape importante de la vie du chrétien, puisque c'est celle où l'Eglise estime qu'il est capable de se prendre en charge spirituellement.
Le saxophoniste Jean-Marie Londeix, son premier maître, le reçut avec une attention particulière en raison de son adresse, rue Mozart.
X, sa future femme est née un 5.12, jour de la mort de Mozart.
Elle sera acceptée dans la classe pourtant pleine du flûtiste Roger Bourdin, son maître, en raison d'une affinité qu'il résumera ainsi :
"Tu es née le jour de la mort de Mozart (5.12), et moi, celui de sa naissance (27.1) : on est faits pour s'entendre."

Lorsque X rencontra Y, elle lui fit découvrir ce qu'il ignorait : la mère de Y était née un 27 janvier, jour de la naissance de Mozart.
X transmit alors à Y le message de son Maître, d'une façon revenant à dire :

"Ta mère est née le jour de la naissance de Mozart et moi celui de sa mort, c'est un bon signe pour nous."

Après l'épouse et la mère, il y a une autre personne qui compte dans la vie d'un homme, c'est celle de la remise en question. Y appellera C, celle qui marqua sa vie, car elle fut celle de la Confirmation de la ligne initiale. Dans un premier temps, C rit de ses dates mozartiennes, puis Y la vit se figer : Cette personne était née un 6 Décembre, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart !
Y a réussi ce que l'Ecole saxophonistique traditionnelle affirma longtemps impossible : l'adaptation intégrale du vibrato naturel de colonne d'air des bois (flûtes et hautbois) aux saxophones. Il s'aperçut alors qu'une autre "impossibilité" était possible : Jouer un concerto de Mozart au saxophone, et cela dans une oeuvre que son compositeur avait comme déjà transcrite pour son instrument, le Concerto en ut pour hautbois et en ré pour flûte (cf. concert_mozart.htm) jouer au saxophone soprano sib la partie de flûte en ré, la fait sonner en ut, comme le hautbois. Il n'y a donc plus qu'à jouer la partie de flûte en ré au saxophone soprano et l'accompagnement en ut du hautbois au piano ou à l'orchestre, et le tour est joué ! Y en écrivit même les cadences (cf. #cad), et eut la surprise de découvrir que, moyennant une inversion et une petite réduction théosophique (rt), il retrouvait ses dates de mariage dans les dates du concerto :

1777 : Version en ut.
1778 : Version en ré.
16.7.71 : Mariage civil de Y, soit inversé : 17.7.61 (61 est de rt 7), soit 17.7.7, 1777.
1 7.7.71 : Mariage religieux de Y (71 est de rt 8), soit 17.7.8, 1778.

Autre réalisation jugée impensable, l'adaptation de l'orchestre de Mozart à 12 saxophones. Il fallait le chef d'orchestre assez désintéressé, généreux et fou, pour s'engager dans l'aventure. Y le trouva. En pareille occasion, nécessitant, don de temps, de sa personne, sans rentrée d'argent, le rôle de la compagne est important. H, la compagne du chef était née, elle aussi, un 5 décembre, jour de la mort de Mozart !
On peut encore ajouter, au chapître des liens directs avec Mozart et ses dates :
- que X, l'épouse de
Y a, physiquement quelque chose de Mozart, qui, enfant, la fit appeler "le petit Greuze" par Enyss Djemil, directeur du conservatoire du Mans, en souvenir d'un autre tableau de 1766, de Greuze celui-là, représentant aussi Mozart à 10 ans,
- et que, remarquablement opérée d'un petit nodule, elle apprit ensuite que le chirurgien était né un 27 janvier, jour de naissance de Mozart.


Soulignons, qu'appelant X "le petit Greuze", en souvenir du tableau peint dans les jours où le peintre Ollivier représenta Mozart au Palais du Temple, Enyss Djemil lia directement X au passage au Temple du jeune compositeur.






CALCUL DE PROBABILITES
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C'est en raison de ces liens, et d'autres dont il sera en partie question ci-après, que
Y décida de faire un calcul de probabilités, qui lui indiquerait, approximativement, le nombre de personnes susceptible sur la planète, d'être relié à Mozart comme il l'était.

N'étant pas mathématicien, il fit ce calcul à sa manière artisanalo-artistique. Toutefois, s'étant renseigné auprès d'un spécialiste. Celui-ci lui dit qu'il avait additionné quand il aurait fallu multiplier. Il en déduisit que la réalité du calcul aurait donné une probabilité beaucoup plus grande en sa faveur, que celle qu'il avait trouvée. Voici donc comment il posa le problème :
Soient :
Une rue Mozart ;
3 dates : 27.1, 5.12, 6.12 ; c'est-à-dire, sur une année : 3/365, grosso modo : 1/120 ;
Un couple XY, associé :

Aux 3 personnes les plus importantes pour l'orientation de la vie de Y : par ordre chronologique, sa mère, sa femme et C,
au Maître de X, qui la confirma, via Mozart, dans l'idée de la justesse de son choix de Y comme époux ;

Une réalisation exceptionnelle, à laquelle s'ajoutent 2 signes intéressants :

La "prétranscription" par Mozart du Concerto,
La rencontre des dates du Concerto avec celle du mariage de X et Y ;

la compagne du chef d'orchestre qui accepta de créer la version 12 saxophones du Concerto.

Question :
Combien peut-il y avoir dans l'humanité de personnes qui réunissent autour d'elles toutes ces rencontres avec Mozart ? C'est-à-dire :

Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie ?



PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :


500.000

6..000.000.000

soit :


1

12.000

(*) "Probable sous estimation" signifie que la réalité doit être de 1 sur plus de 12.000.


Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie, et avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart (puisque le nombre des jours anniversaires est de 3, Y divisa par 120, le tiers des 365/366 jours de l'année arrondi à la dizaine inférieure) ?


PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :



1

12.000


X


1

120


soit :


1

1.440.000


Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart et une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart ?


PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :


1
1.440.000
X

1
120
soit :


1

172.800.000


Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart, une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart et le Maître ou père spirituel de leur femme né un 27.1 ?


PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :



1

172.800.000


X


1

120


soit :


1

20..736.000.000


Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart, une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart, le Maître ou père spirituel de leur femme né un 27.1 et C née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart ?


PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :


1

20..736.000.000


X


1

120


soit :


1

2.488..320.000.000


Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart, une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart, le Maître ou père spirituel de leur femme né un 27.1, C née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart et, de plus, être musicien, trouver sans la chercher la solution pour jouer Mozart au saxophone, dans un concerto où elle retrouve ses dates de mariage et qu'une maison d'édition accepte de publier ? La réponse est d'au moins 1 sur 6..000.000.000, en raison des dates de mariage, et qu'à l'époque, il existait apparemment une seule autre publication d'un concerto de Mozart pour saxophone. Soit :


PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :



1

2.488..320.000.000


X


1

6..000.000.000


soit :


1

14.939..920.000.000..000.000.000


Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart, une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart, le Maître ou père spirituel de leur femme né un 27.1, C née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart, et, de plus, être musicien, trouver sans la chercher la solution pour jouer Mozart au saxophone, dans un concerto où elle retrouve ses dates de mariage, qu'une maison d'édition accepte de publier et créer cette oeuvre sous la direction d'un chef d'orchestre dont la compagne est née un 5.12 ?


PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :


1
14.939..920.000.000..000.000.000
X

1

120
soit :

1
1.792.790..400.000.000..000.000.000
Soit, en gros : 1 / 1800.000..000.000.000..000.000.000,
une personne sur un million huit-cent-mille milliards de milliards.

Sauf erreur de calcul,
cette probable sous-estimation indique
qu'il faudrait, en somme, que l'humanité compte au moins
un million huit-cent-mille milliards de milliards de personnes,
pour qu'existe Y.


Ce nombre, à lui seul, représente déjà beaucoup plus que le total des êtres humains porté jusqu'à présent par la planète, et peut-être beaucoup plus que le nombre de ceux qu'elle portera dans toute son existence. Et pourtant, il faudrait le multiplier encore par x fois six milliards, si l'on voulait tenir compte des autres "Asars" liant Y à Mozart.

Ainsi, Mozart apparaissant de plus en plus comme le passeur pilotant l'humanité de l'Ere astrologique du Poisson à celle du Verseau, et ce passage, s'effectuant selon les signes de
Y, à travers la suite initiatique 16-17-18 (les 16/17 pyramides de Scriptoral (pyramide.htm#scriptoral), les niveaux 16 (matériel) à 18 (spirituel) donnés par l'ange gardien (cf. paroles_d_ange.htm#n12), la coupure du XVII (Louis XVI - Louis XVII à résoudre dans notre histoire), eh bien ! quelle ne fut pas la surprise de Y, lorsque, dans les années 1990, il s'aperçut que, dès ses premiers jours, au sortir de la rue Mozart, le chemin de la vie, de l'école (Chevreul), de l'église (Saint-Pierre), passait nécessairement par la rue Daubenton, dont les dates : 1716-1800, lui donnaient cette suite initiatique d'une manière fort juste : parti du XVII de Louis XVII qu'il avait derrière lui, il lui fallait se relier au XVI de son père, pour évoluer et faire évoluer vers le XVIII, ce que réalise Scriptoral, faisant naître sa 17ème pyramide des 16 précédentes.

(Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles :

avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie,
avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart,
une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart,
le Maître ou père spirituel de leur femme né un 27.1,
C née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart,
de plus, être musicien, trouver sans la chercher la solution pour jouer Mozart au saxophone, dans un concerto où elle retrouve ses dates de mariage, qu'une maison d'édition accepte de publier,
créer cette oeuvre sous la direction d'un chef d'orchestre dont la compagne est née un 5.12,
trouver au sortir de cette rue Mozart la suite initiatique, dont tout lui dit qu'elle est celle de l'avenir ?...)

Mais il y a plus, Mozart, comme cela a déjà été dit, est doublement lié à l'Ordre du Temple et au palais du Temple de Paris, d'une part parce que c'est un franc-maçon spéculatif et que cette franc-maçonnerie est liée au Temple comme le montre Alain Desgris dans "L'Ordre des Templiers" (Ed. Dervy), d'autre part, parce que le peintre Ollivier l'immortalisa, enfant, en France, dans le Salon aux Quatre Glaces du palais du Temple. Eh bien, Y, déménégea à 11 ans, en 1960, de la rue Mozart, pour le 13 de la rue à laquelle aboutit la rue Daubenton : la rue Charles Dumont, dans la cour de la Pharmacie André, rue Charles Dumont donnant en haut sur la place Wilson, avec l'église Saint-Pierre, et en bas sur l'école Chevreul, les deux pôles de l'éducation laïque et religieuse de Y. Ce n'est que vers 1997, que ce dernier apprendra, par la vitrine de la pharmacie André, que la rue Charles Dumont fut autrefois la rue du... Temple, avec une commanderie détruite en 1513 par les Suisses assiégeant Dijon, qui se trouvait à l'emplacement de l'Eglise Saint-Pierre ; église où, "Asar" de plus, Y enfant, admirant le Père Latour pour sa clarté, sa légèreté et son élancement, ne reconnaissait pas en lui l'apôtre Pierre, qu'il voyait plus massif et lourd, mais Jean, le patron des templiers, qui l'inspirait déjà. Ainsi, le quartier Saint-Pierre avait recouvert le quartier du Temple, de saint Jean, mais son esprit sourdait toujours du sol de l'église de Pierre.

Par ailleurs,
Y était sous la protection d'André : la Pharmacie André abritait son immeuble, elle lui indique ce que très peu de Dijonnais connaissent sur le Temple de Dijon, Andrée est le prénom de sa mère, et il découvrit par la même occasion que la chapelle attenant à la commanderie était la chapelle Saint-André. Alain Desgris ("L'Ordre des Templiers" (Ed. Dervy), p. 184) lui apprendra aussi que l'on possède cinq chronologies descendant des loges maçonniques du XVIIIème siècle, parmi lesquelles il retient trois filiations principales, dont la première est la filiation dite d'Aumont. Celle-ci se dit reliée à l'Ordre de Saint-André-du-Chardon, fondé en Ecosse en 1314, à la mort de Jacques de Molay :

"Dans certains discours de réception maçonnique des "Chevaliers de la Bienfaisance de la Cité Sainte et du Saint Sépulcre de Jésus-Christ", il est dit : "Trois de nos ancêtres, possédant le grand secret, se sont embarqués pour l'Angleterre et se retirèrent dans des cavernes proches d'Heredown en Ecosse où ils vécurent secourus par les Chev. de Saint-André-du-Chardon."" (Alain Desgris, "L'Ordre des Templiers" - Ed. Dervy -, p. 184).


Voici donc un lien Temple - franc-maçonnerie, correspondant à celui qui apparaît dans la vie de Mozart, lien liant ce dernier, via André, à Y. Et ce n'est pas tout. En effet, non seulement les parents de Y déménénageront de la cour de la Pharmacie André pour un immeuble de cette même rue Charles Dumont - du Temple, immeuble dont le nom signifie "commandeur", mais encore, dans la date de l'incendie de la commanderie du Temple par les Suisses : 1513, apparaît le nombre 513, liant, d'une part, le Temple de Dijon à celui de Paris, à l'emprisonnement de la famille royale et à Mozart, comme nous l'avons vu ci-dessus (cf. #513), et d'autre part à Y, cf. y_&_ionesco.htm#des, puisque les cotes de son diplôme de maîtrise (publiée en ce même site, cf. ionesco.htm) sur "Le Tragique chez Ionesco", à la Bibliothèque Universitaire de la Faculté des Lettres de Dijon sont 191513 et 191513 bis, On y trouve 513 et 191, où apparaissent 19 et 91, c'est-à-dire la mort de Mozart, source de lumière le 5.12.1791, et son inverse, 19 : la vie manquant de clarté ? 513 représente de plus 9 fois 57, l'
achèvement de 57, donné à Y comme l'âge qui sera le sien (très prochainement : du 16.02.2006 au 15.02.2007), quand il aura rendu la France - fille aînée de l'Eglise à sa mère (cf. jacques_chirac.htm#22), dans une année 2006, qui, nouvel "Asar", est celle de la célébration du 250ème anniversaire de la naissance de Mozart.

(Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles :

avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie,
avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart,
une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart,
le Maître ou père spirituel de leur femme né un 27.1,
C née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart,
de plus, être musicien, trouver sans la chercher la solution pour jouer Mozart au saxophone, dans un concerto où elle retrouve ses dates de mariage, qu'une maison d'édition accepte de publier,
créer cette oeuvre sous la direction d'un chef d'orchestre dont la compagne est née un 5.12,
trouver au sortir de cette rue Mozart la suite initiatique, dont tout lui dit qu'elle est celle de l'avenir,
quitter la rue Mozart pour une rue dont il apprendra, quelques 37 ans plus tard qu'elle fut la rue du Temple, alors que Mozart fut lié au Temple,
avec une Eglise Saint-Pierre en place de la Commanderie incendiée à une date faisant apparaître André, 513 et 91, lien Temple de Dijon - Temple de Paris - emprisonnement monarchique - Mozart - Varennes - Y ?...)


Ainsi, on a vu l'ombre du Temple probablement continuer de s'étendre sur la descendance de Marie-Antoinette, une fois que sa fille en fut libérée (cf. #sal), eh bien ! elle est toujours là deux siècles plus tard, sous les pas de Y, dès sa naissance : la rue Mozart dépendant de la Paroisse Saint-Pierre. Toutefois, en cette Eglise Saint-Pierre, il y eut, dans l'enfance de Y, une fusion du Temple de Jean et de l'Eglise de Pierre, le premier éclairant la seconde, fusion qui se retrouve au niveau papal : en effet Benoît XVI dont le nombre est celui de Louis XVI et du début du passage du matériel au spirituel est tellement attaché à Mozart, qu'il fera démonter son piano à queue pour le faire passer à travers les murs trop étroits du Vatican, et pour faire passer avec lui la musique de ce franc-maçon lié au Temple. Voici ce que nota à ce sujet Y en benoit_16.htm#ben :


"Une information de "la Lettre du Musicien" est toutefois intéressante à signaler, pour le caractère inhabituel des faits qu'elle rapporte au sujet du pape Benoît XVI :

"VATICAN
Le piano du pape. Benoît XVI, grand amateur de piano et de musique classique, notamment de celle de Mozart, a fait venir son piano dans l'appartement pontifical. Las ! Ni les escaliers, ni les fenêtres n'ont pu laisser le passage à l'instrument. Il a fallu le démonter et le transporter en pièces détachées. On en conclura que ses prédécesseurs sur le trône de Pierre ne pratiquaient pas la musique... ou alors sur de plus modestes instruments."
(
"La Lettre du Musicien", n° 313, de Mai 2005)

Ainsi, parmi les signes mis en évidence dans le présent site, il y a notamment le fait que la descendance monarchique de Louis XVI et Marie-Antoinette aurait été spirituellement prise en charge par Mozart, lequel l'aurait conduite des ténèbres du Temple jusqu'à son aboutissement résurectionnel : le grand monarque (cf. interpretation.htm#int), ce même grand monarque qui devait désigner le 111ème pape de la prophétie de Saint Malachie, qu'est, en principe, Benoît XVI.

Bien que ce pape ait été nommé sans déroger à la tradition, n'est-il cependant pas curieux de constater qu'il existe entre lui et ce même Mozart une relation si forte et si inhabituelle chez un pape, que l'architecture même du Vatican s'oppose au passage de l'instrument la permettant, et oblige les transporteurs à le démonter ?

Vrai hasard ou nouvel
"asar" à ajouter à tant d'autres ? Pure coïncidence ou voie secrète de réalisation de la prophétie ? L'avenir le dira. Notons simplement, pour l'instant, qu'au temps donné pour l'accomplissement de toute une lignée prophétique joignant en particulier Saint Malachie et Nostradamus, Benoît XVI a, pour un pape, un lien exceptionnellement fort et privilégié avec Mozart, donné à Y (cf. interpretation.htm#int) comme l'un des acteurs principaux de cet accomplissement."


(Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles :

avoir habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur profession de foi (âge de la responsabilité de la foi) incluse, soient les onze premières années de leur vie,
avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance de Mozart,
une épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart,
le Maître ou père spirituel de leur femme né un 27.1,
C née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart,
de plus, être musicien, trouver sans la chercher la solution pour jouer Mozart au saxophone, dans un concerto où elle retrouve ses dates de mariage, qu'une maison d'édition accepte de publier,
créer cette oeuvre sous la direction d'un chef d'orchestre dont la compagne est née un 5.12,
trouver au sortir de cette rue Mozart la suite initiatique, dont tout lui dit qu'elle est celle de l'avenir,
quitter la rue Mozart pour une rue dont il apprendra, quelques 37 ans plus tard qu'elle fut la rue du Temple, alors que Mozart fut lié au Temple,
avec une Eglise Saint-Pierre en place de la Commanderie incendiée à une date faisant apparaître André, 513 et 91, lien Temple de Dijon - Temple de Paris - emprisonnement monarchique - Mozart - Varennes - Y,
avoir remarqué que l'esprit du Temple et de Jean sourdait des dalles de cette même Eglise dédiée à Pierre, pour l'éclairer, la dynamiser, la rajeunir, tandis que, parallèlement, l'esprit, initiateur via "La Flûte enchantée", du franc-maçon Mozart lié au Temple, se faufilait avec un piano à queue à travers les voies étroites du Vatican, demeure du successeur de ce même Pierre, Benoît XVI, avec qui Mozart partagea dans la fosse communautaire le nombre de Louis XVI, nombre du début du passage du monde matériel de l'Ere du Poisson à celui spirituel de l'Ere du verseau ?...)


Combien de neuvaines de zéros faudrait-il ajouter au nombre déja si impressionnant du million huit-cent-mille milliards de milliards de personnes que la terre devrait porter, pour qu'une seule soit reliée à Mozart comme l'est Y, deux, trois, quatre... les transformant en un million huit-cent-mille milliards de milliards de milliards de... ? Y ne le cherche même plus. Ce dont il se doute, c'est que la planète, sur toute la durée de son existence risque fort de ne jamais comptabiliser un tel nombre de naissances humaines. Il en déduit que, dans ces conditions, sa relation à Mozart n'est pas le fait du hasard, mais de la Providence divine et que, la présente année 2006, année de ses 57 ans (cf. jacques_chirac.htm#22) et d'anniversaire de la naissance de Mozart, est probablement un aboutissement sur ce sujet, une boucle qui se boucle, ou le début d'autre chose. Un signe au niveau européen lui en a encore été donné, ce matin du 1er février 2006.







MOZART - L'UNION EUROPEENNE - Y
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Il s'agit du "Point de Vue" intitulé
"EUROPE QUI CHANTE, EUROPE QUI GRINCE"

de Dominique Moïsi, adjoint au directeur de l'Ifri (Institut français des relations internationales), publié dans le journal Ouest-France, du mercredi, 1er février 2006 : L'Autriche, présidente précisément en cette année 2006 de l'Union européenne (nouvel "asar"), s'interroge, via Mozart, sur la construction de l'Europe, dans une conférence internationale sur le thème de la "Mélodie de l'Europe" remplaçant le "Concert des Nations". Conférence qui se tint à Salzbourg, ville natale du compositeur.

On peut ainsi lire, dans l'article de Dominique Moïsi :

Point de vue

par Dominique Moïsi


"EUROPE QUI CHANTE, EUROPE QUI GRINCE"


"Célébrer Mozart peut-il contribuer à sortir l'Union européenne de sa morosité actuelle et à "tirer notre continent vers le haut", à un moment où l'Europe doute d'elle-même ?

"C'est le pari de la présidence autrichienne de l'Union qui vient de tenir, à Salzbourg, une conférence internationale sur le thème de la "Mélodie de l'Europe". Ce moment coïncidait délibérément avec une double célébration : celle du 250ème anniversaire de la naissance de Mozart et celle du 61ème anniversaire de la libération d'Auschwitz. Mozart et Auschwitz, l'homme dont la musique rapproche du divin et ce lieu devenu symbole de déshumanisation.

(...)

"Car l'interrogation demeure :
comment peut-on rapprocher
l'Europe de ses citoyens ? Jean


Monnet, dans une formule qui lui est attribuée sans doute à tort, se demandait, à la fin de son existence, s'il n'aurait pas dû commencer la construction par la culture. Lors du débat de Salzbourg, tous ont mis l'accent sur l'éducation et la recherche. L'éducation artistique
pour le chef d'orchestre autrichien Nicolas Harnoncourt, la recherche scientifique pour Dominique de Villepin et José Manuel Barroso.

(...)

"Si l'on veut réduire le fossé qui s'est créé entre l'Europe et ses citoyens, c'est à la fois en suscitant un supplément d'âme et en obtenant des résultats tangibles. On pense évidemment aux créations d'emploi et à la croissance.

(...)



"Mais l'Europe incontournable sur les plans économiques, sociaux, diplomatiques, ne le deviendra de manière sensible aux yeux de ses citoyens - et en particulier des plus jeunes - que si l'éducation leur permet de se sentir pleinement européens.

(...)

"Le son de l'Europe doit être celui de la tolérance, du respect des autres au sein d'un ensemble démocratique respectueux des équilibres sociaux. Comment passer du "Concert des nations" de l'Europe d'hier à l'"Harmonie des peuples" de l'Europe de demain ? C'est tout le défi."

(Journal Ouest-France, du mercredi, 1er février 2006, Point de Vue de Dominique Moïsi, adjoint au directeur de l'Ifri - Institut français des relations internationales -.)



"Scriptoral" inspiré à Y par Mozart, selon ses signes, se situe dans la même tonalité et sur la même voie, mais bien en avance.

En effet, alors qu'une coupure est faite par les conférenciers entre l'éducation artistique et la recherche scientifique, "Scriptoral" résout une fois de plus la coupure : Il associe âme et esprit, amour et intelligence (cf. arbre_de_vie_X_4.htm#tab) en demandant d'envisager la musique d'une manière scientifique, comme le terrain d'expérimentation du rapport des principales formes d'esprit de l'humanité, qui sont celles de composition-interprétation et de destruction-transformation respectueuse improvisatrice, présentes dans le monde laïque, droite-centre / gauche en politique dans notre Vème République, dans la trimourti indoue (Brahma-Vishnu / Shiva), dans nos trois religions monothéistes : Judaisme-christianisme / islam, cf. integration.htm, utopie.htm, pyramide.htm.







PRESENCE ACTUELLE DU FRANC-MACON MOZART :
ERIC-EMMANUEL SCHMITT,
CHRISTIAN JACQ &...
Y
(D'ISIS A LA FRANC-MACONNERIE VIA LE TEMPLE)
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Pour surprenante que soit la présence de Mozart auprès de Y, ce dernier la retrouve chez d'autres qui sont en train de l'exprimer. Ne serait-ce pas un signe de plus prouvant que son action est sur le point d'aboutir ?

Ainsi Eric-Emmanuel Schmitt vient de publier, aux Editions Albin Michel, un livre intitulé "Ma vie avec Mozart", qu'il présente ainsi :

"Un jour, Mozart m'a envoyé une musique. Elle a changé ma vie. Depuis je lui écris souvent. Quand ça lui chante, il me répond, toujours surprenant, toujours fulgurant." (Eric-Emmanuel Schmitt, "Ma vie avec Mozart", Ed. Albin Michel.)


Mais, l'oeuvre qui retint l'attention de Y, c'est surtout "Le Mystère Mozart", aux Editions XO, petit fascicule précédant quatre volumes conséquents sur Mozart intitulés

Mozart



Le Grand Magicien
Le Fils de la Lumière
Le Frère du Feu
L'Aimé d'Isis
Editions XO

qu'il introduit ainsi :

"Depuis que j'ai commencé à écrire, à l'âge de treize ans, Mozart est présent. En l'écoutant et en découvrant la civilisation de l'Egypte ancienne, j'ignorais à quel point ils étaient liés." (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", XO Editions.)


En effet, ce fascicule éclaire d'une manière fort intéressante plusieurs points indiqués à Y par ses signes :

Si Christian Jacq parle de la naissance des Etats-Unis d'Amérique "pétris de l'idéal maçonnique" ("Le Mystère Mozart", XO Editions, p. 12), sans parler de l'influence maçonnique sur la Révolution française, il présente en revanche Mozart comme un homme fortement épris de Liberté, de Fraternité et de la plus grande des Egalités, celle de l'homme et de la femme :

Liberté :
"Aux pires moments de sa brève existence, Mozart survit en préservant sa liberté de création, et lorsque Salzbourg, ville natale tant détestée, et le prince-archevêque Colloredo, surnommé "le grand mufti", menacent de l'étouffer, il prend une décision très risquée : devenir musicien indépendant, gagner sa vie grâce à son art." (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 6, XO Editions.)
Egalité :
"Sur la poitrine du Vénérable Sarastro, Supérieur de la communauté de Frères et de Soeurs de "La flûte Enchantée", brille un cercle solaire aux sept rayons, symbole associant l'initiation masculine à l'initiation féminine. Il incarne ainsi le triomphe d'une spiritualité accomplie, telle que l'envisageait Mozart." (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 35, XO Editions.)
Fraternité :
""La chaîne d'or de la Fraternité" ce lien sacré "si connu du monde et pourtant si mystérieux" (*), Mozart le vécut lors de chaque Tenue maçonnique, quand les Frères formèrent la "chaîne d'union". Leur but ? Atteindre la joie du Maçon, "l'esprit rempli d'une haute Sagesse et le coeur de vertu (**)"". (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 24, XO Editions.)
"(*) K. 623 et 148.

(**) K. 471.
"
Liberté, Egalité, Fraternité, la devise de la République française née de la Révolution, pendant laquelle Mozart mourut.
Dans "La Flûte enchantée", les portes du Temple d'Isis s'ouvrent à Pamina et Tamino au terme de leur initiation. Or, Christian Jacq montre le lien étroit entre Mozart et l'Egypte ancienne.

Le compositeur commencera de s'initier à sa spiritualité dès 1773 - il avait 17 ans (encore 17 !) -, en écrivant la musique de "Thamos, roi d'Egypte", à la demande du Franc-Maçon, Tobias von Gebler. Cet opéra n'aura pas de succès, toutefois, son histoire, l'histoire d'un couple qui parviendra à règner d'une manière sage et juste, est l'annonce-même de l'oeuvre future de Mozart, qui aura son aboutissement dans Pamina et Tamino de "La Flûte enchantée".

Mozart reviendra à la spiritualité égyptienne en 1784, grâce à un autre Franc-Maçon, Ignaz von Born, alchimiste et minéralogiste, le modèle du Vénérable Sarastro de "La Flûte enchantée", héritier de la tradition ésotérique de l'Egypte ancienne, qui ne s'éteindra qu'au VIème siècle de notre ère, après avoir essaimé en Europe et avoir été le principal concurrent
du christianisme :
"Fort différente de l'Eglise de Jean, attachée à l'enseignement ésotérique du Christ, l'Eglise de Pierre l'emporta. Pourtant les mystères isiaques, transmis par des exilés égyptiens, inspirèrent diverses confréries dont l'ultime avatar fut la Franc-Maçonnerie." (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 16, XO Editions.)
Ces confréries inspirées par les cultes isiaques et dépendant de l'Eglise ésotérique de Jean dont l'ultime avatar fut la Franc-Maçonnerie, passèrent par les templiers dont Jean fut le patron. Voilà qui confirme le lien spirituel du Franc-Maçon Mozart avec le Temple de Jean, suggéré par son passage picturalement immortalisé à 10 ans dans le palais du Temple de Paris, et par la relation numérique 5.12/512 entre sa mort et l'octroi de l'enclos du Temple aux templiers en 1279. Si, à 10 ans, ce fut un pas vers l'ésotérisme et vers Isis, il y a tout lieu de penser que ce fut beaucoup plus, à 35 - tiens ! à la fois le numéro du département du "Va-à-Rennes" de Y et la valeur numérique du mot "Varennes" (4+1+9+5+5+5+5+1), cf. varennes_va-a-rennes.htm#222 et jacques_chirac.htm#22 -, au moment de mourir (peut-être assassiné par des francs-maçons hostiles à ses idées d'initiation féminine), alors que ce Temple de Paris (l'arrestation de Varennes s'étant achevée 5 mois et 13 jours plus tôt) était en passe de devenir le lieu de la plus terrible des épreuves pour Marie-Antoinette. D'ailleurs, dès "L'Enlèvement au Sérail", ne pense-t-on pas à Marie-Antoinette emmenée à l'échafaud, la tête droite, dans une charrette à fumier, lorsque Mozart fait dire à l'Anglaise Blonde :
"Un coeur né pour la liberté ne se laisse jamais traiter en esclave et, quand bien même il a perdu sa liberté, il en conserve l'orgueil et se rit de l'univers (*)." (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 6, XO Editions.)
"(*) Mozart place ces paroles dans la bouche de l'Anglaise Blonde, l'une des deux héroïnes de "L'Enlèvement au Sérail". Prisonnière, risquant la mort, elle ne baisse pas la tête."

Mais, il y a plus :

il y a les deux voies de l'initiation, "classique" pour Tamino-Mozart, directe pour Pamina :

"(Sarastro) parvient à convaincre ses Frères qu'une femme est bel et bien initiable, et va même plus loin : Pendant que Tamino suit la voie "classique" des épreuves, Sarastro offre directement son enseignement à Pamina, de maître à disciple.

""Une femme qui ne craint ni la nuit ni la mort, affirme le rituel de "La Flûte enchantée" est vénérable et sera initiée." Et c'est Pamina, lors des ultimes épreuves, celles du Feu, de l'Eau et de la Mort, qui conduit Tamino vers la Lumière.
" (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 36, XO Editions.)

Dans le donjon du Temple, Marie-Antoinette fut, elle, en relation directe avec le Temple (- Sarastro ?) , une relation si terrible que les cheveux lui blanchirent en une nuit.
il y a cette image divine que Tamino-Mozart vit dans le portrait de Pamina, fille de reine orgueilleuse (Marie-Antoinette n'était-elle pas reine par la Grâce divine ?) et cette royauté du couple, retrouvant celle de "Thamos, Roi d'Egypte" :

"En découvrant le portrait de Pamina, ce n'est d'ailleurs pas d'une mortelle dont Tamino s'éprend, mais d'une image divine. Allant au-delà de leur humanité, Tamino et Pamina franchissent toutes les étapes de l'initiation aux grands mystères et deviennent le Frère et la Soeur. Tels le roi et la reine de la symbolique orientale, ils ont gravi la montagne en suivant chacun leur chemin pour se rejoindre au sommet." (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 32, XO Editions.)

"en suivant chacun leur chemin", encore un trait commun à Mozart et Marie-Antoinette.
il y a le fait que l'union de Tamino et Pamina est l'aboutissement de toute l'oeuvre initiatique de Mozart, se résumant à quatre opéras : "Les Noces de Figaro", "Don Giovanni", "Cosi fan tutte" et "La Flûte enchantée". Aucun mariage véritable n'est célébré dans les trois premières oeuvres :

"Le thème central des quatre opéras initiatiques de Mozart formant un Plan d'oeuvre et un ensemble cohérent, est précisément la formation du couple royal capable d'accéder à la connaissance initiatique. (...)

""En toutes circonstances, affirme "La Flûte enchantée", si un être faillit, l'amour le guide vers le Devoir." Au terme de cet opéra rituel, Tamino et Pamina sont unis par le Vénérable Sarastro. Auparavant, combien d'épreuves redoutables et quel long chemin !"
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 32, XO Editions.)

Toute une oeuvre donc, pour aboutir avant sa mort à la formation d'un couple royal d'initiés, qui pourra faire de la terre un royaume céleste :

"Si la Vertu et la Justice répandent la Gloire sur le chemin des Grands, alors la terre est un royaume céleste, et les mortels sont semblables aux dieux." ("La Flûte enchantée", citée par Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 23, XO Editions.)

Exactement ce qui est dit du règne du Grand Monarque, descendant de Marie-Antoinette, selon la tradition prophétique !

Tout cela n'est-il pas fort curieux,
quand, enfant, on a promis a une future reine qui sera terriblement éprouvée (initiée ?) dans le Temple, de l'épouser lorsqu'on sera grand ?
quand, de cette reine doit descendre un Grand Monarque, qui réalisera exactement ce que le couple Tamino-Mozart/Pamina doit réaliser ?
quand Y celui à qui il est dit qu'il est ce descendant, se trouve relié d'une manière étonnante à Mozart et Louis XVI, et a, précisément l'inspiration d'une Jérusalem Céleste, pyramide inversée ouvrant la Lumière jusqu'ici fermée de la pyramide compositionnelle à l'endroit, ce qui le relie à l'Egypte et à Isis, dont les fidèles :

"voient le soleil briller au coeur de la nuit et approchent les dieux" ? ( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 16, XO Editions ;)

quand cette inversion de la pyramide libérant la Lumière est tout à fait dans la logique des deux couples de "Cosi fan tutte", c'est à dire va tout à fait avec la spiritualité de Mozart (l'inspirateur ?) :

"Deux couples, dont les partenaires croient s'aimer, doivent subir "l'inversion des lumières" et passer de l'autre côté du miroir afin de se connaître en vérité et de se reformer comme à l'origine, mais en pleine conscience" ? ( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 24, XO Editions).

quand cela va avec la mort-lumière opposée avec la vie-ténèbres, encore terriblement illustrée par la seule rescapée officielle du Temple, la seule qui, officiellement, eut la vie terrestre sauve, dans la mesure où elle deviendra la très probable comtesse des Ténèbres, devenir couvert par le duc d'Angoulême, très probable Grand-Prieur de l'Ordre du Temple (cf. comtesse_des_tenebres.htm) ?
quand l'oeuvre du compositeur est inachevée sur terre, comme invite à le penser le nom de sa ruelle : "Rauhensteingasse", ruelle de la Pierre rugueuse, ce qui suppose qu'elle se poursuit dans la mort, et qu'avec la préparation, comme les signes l'indiquent à Y, de l'avènement du Grand Monarque, il devient le passeur conduisant l'humanité de l'Ere du Poisson à celle du Verseau, un rôle qui peut encore parfaitement aller avec celui dont parle Christian Jacq :

"D'après les "Textes des Pyramides" égyptiennes, le pharaon doit éveiller un passeur aux deux visages, l'un tourné vers l'invisible, l'autre tourné vers le visible. il lui communique alors le secret de la vie et lui donne la capacité de rassembler ce qui était épars" ? ( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", p. 45, XO Editions).

Une conception qui n'est pas sans rappeler celle de l'un des tableaux de Yochk'o Seffer, dans "Chromophonie Scriptorale" :

"SCRIPT = ANTITHESE = MORT"
(cf. vie_mort_resurrection_V_2.htm#tab).


 
 

 
 

Une question reste en suspens pour Y : Pourquoi trouve-t-il dans la mort de Mozart des relations au Temple des templiers plutôt qu'à celui d'Isis, où, d'après Christian Jacq se trouve la source fondamentale de Lumière, inspiratrice de Mozart ?

Ne serait-ce pas parce qu'en Orient les templiers se sont ouverts à l'islam, alors que le culte d'Isis a disparu, en Egypte, par l'islam ?

"Ce Vénérable (Ignaz von Born, N.D.L.R.) était l'un des héritiers de la tradition ésotérique de l'Egypte ancienne, dont la civilisation ne s'éteignit complètement qu'au VIème siècle de notre ère. Alors, l'islam recouvrit les Deux Terres, la Haute et la Basse Egypte, et la transmission des anciennes initiations fut interrompue." ? ( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", pp. 12-13, XO Editions).

Alors qu'Allah est le grand oublié de la cantate maçonnique, K. 619 :

"Une cantate maçonnique recommande aux Frères d'honorer le créateur de l'univers, qu'on le nomme Dieu, Jehovah, Fu ou Brahma. En écoutant ses paroles, ils mettent en oeuvre leur serment : participer à la construction du grand temple" ? (Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", pp. 12-13, XO Editions).

Mozart n'avait-il pas encore à évoluer vers ce qu'il fit découvrir à Y en Scriptoral : la forme d'esprit de destruction-transformation respectueuse (cf. integration.htm), faite de deux pyramides inversées, et s'opposant donc doublement à la pyramide compositionnelle à l'endroit de l'Egypte d'Isis, cette forme d'esprit correspondant à celle du prophète Muhammad est partie constituante à 50 pour cent de Scriptoral - Jérusalem céleste, également pyramide inversée - le véritable grand temple à construire, ou grand oeuvre à réaliser - ? Ne fallait-il pas à Mozart, qui fait de Monostatos un Maure, et donc un musulman, faire passer Isis elle-même de l'autre côté du miroir, lui faire inverser sa Lumière pyramidale, pour qu'elle atteigne la pleine conscience ?... Une pleine conscience vers laquelle les templiers commencèrent de s'engager en Orient ?


Post scriptum : Ainsi qu'il a déjà été dit à plusieurs reprises, votre serviteur est arrivé à Scriptoral, la pyramide inversée de lumière, au tout début des années 90 (1990 ou 1991 ?), époque à laquelle l'architecte Ioeh Ming Pei, assisté par Peter Rice et RFR, a conçu la pyramide inversée du Grand Louvre souterrain (elle sera livrée en 1993), - parallèlement la pyramide inversée sera suggérée dans la nef de la cathédrale d'Evry construite sur les plans de l'architecte Mario Botta de 1992 à 1996, voir "nef" à l'adresse http://perso.wanadoo.fr/bernard.lecomte/cathedrale-evry/textes/interieur.htm -.

Revenant à la pyramide inversée du Grand Louvre, il est intéressant de signaler, que comme Scriptoral, elle est d'abord une pyramide lumineuse, chargée d'éclairer les espaces d'exposition et des commerces de la galerie du Carroussel, cf. photos en http://www.rfr.fr/Pages/fran/projbank/298/298.html
, où on peut aussi lire :



"Après une première collaboration lors des phases de dessins d'exécution et de fabrication de la pyramide du Louvre, l'architecte Ioeh Ming Pei a demandé à Peter Rice et RFR de l'assister, pour le Grand Louvre, dans la conception d'une deuxième grande pyramide, inversée cette fois. Celle-ci est conçue comme un lustre qui reflète la lumière du jour dans les espaces d'exposition et des commerces souterrains de la galerie du Carrousel.
(...)
"L'inclinaison des pans de verre les rend particulièrement performants en terme de réflexion de la lumière. Les espaces situés derrière les surfaces vitrées sont plus sombres que le ciel : les pans de verre deviennent donc très réfléchissants. Une grande quantité de verre se trouve ainsi réfléchie vers les couloirs souterrains tandis que la pyramide semble extrêmement lumineuse en vertu des valeurs relatives de lumière dans ces espaces."
http://www.rfr.fr/Pages/fran/projbank/298/298.html






Sur la
destruction-transformation respectueuse
voir :

integration.htm, utopie.htm
,
muhammad_caricature.htm


 
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