Mozart et Louis XVI sont liés entre eux :
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Louis
XVI
|
1754
|
-
|
1793
|
Mozart
|
.
|
1756-1791
|
.
|
|
Asar 2, par Marie-Antoinette :
Il existe en effet un lien Mozart - Marie-Antoinette, c'est un engagement
apparemment enfantin du jeune musicien rapporté par Nissen,
le second époux de sa veuve et son premier historiographe
:
|
"Il
glissa sur le parquet ciré (de Schönbrunn).
L'archiduchesse Marie-Antoinette l'aida à se relever
et le consola : "Vous
êtes bien gentille, lui dit Wolfgang, et quand je
serai grand, je vous épouserai." L'impératrice
Marie-Thérèse qui arrivait sur ces entrefaites
lui demanda la raison de cette décision. Et Wolfgang
de répondre : Pour la récompenser, car elle
a été très bonne avec moi.""
|
|
Asar 3, par "La Flûte
enchantée" : Ces propos ne seraient
que puérilités s'ils ne trouvaient pas un curieux
écho dans "La Flûte enchantée", l'opéra
créé deux mois et cinq jours avant sa mort, mort précédant
de peu l'entrée dans les ténèbres du Temple
et de la décapitation de la reine de France, et si, également,
un certain nombre de correspondances ne liaient pas Mozart à
Louis XVI, Marie-Antoinette, et Hugues Capet lui-même, via
la mort, le Temple de Paris et l'arrestation de Varennes.
Commençons par "La Flûte enchantée",
en notant d'abord ces quelques dates :
|
-
jours précédant le 21 juin 1791, date de l'arrestation
de Varennes
qui conduira à la mort le couple royal français :
Mozart instrumente le Ier acte de sa "Flûte enchantée",
- 20-22 juin 1791 : dates de l'évasion manquée,
stoppée à Varennes,
- 30 septembre 1791 : création de "La Flûte
enchantée",
- 5 décembre 1791 : mort de Mozart,
- 8 août 1792 : emprisonnement de la famille royale au
donjon du Temple,
- 21 janvier 1793 : exécution de Louis XVI,
- 16 octobre 1793 : exécution de Marie-Antoinette.
|
Dans cet opéra
maçonnique initiatique, que reprocheront à Mozart ses
frères maçons, la Reine de la Nuit n'est pas sans évoquer
la monarchie autrichienne, et l'impératrice Marie-Thérèse,
décédée en 1780, et dont règnent les deux
fils : Léopold II (1765-1790) et Joseph II (1790-1792). Tamino
(Mozart ?) y délivre des ténèbres la fille de
cette Reine de la Nuit, quand Marie-Antoinette, fille de Marie-Thérèse
et soeur de Léopold II et Joseph II, vient d'être arrêtée
à Varennes, arrestation, source de ténèbres puisqu'elle
décidera de son emprisonnement et de sa mort. Arrestation et
emprisonnement au Temple seront, de plus, en curieuse relation numérique
avec la mort de Mozart le 5.12.1791.
|
Asar 4, par 512 : En
effet, ce 5.12 se retrouve sous la forme 512 dans
le nombre des années séparant l'octroi de l'enclos
du Temple aux templiers par Philippe II le Hardi en août 1279,
de l'arrestation de Varennes les 21/22.6.1791, et de la mort de
Mozart, le 5.12.1791
|
Asar 5, par 513 : D'août
1279 (octroi de l'enclos du Temple) au 13 août 1792
(emprisonnement de la famille royale au Temple), il y a 513
ans, avec deux dates, 1279 et 1792, formées des mêmes
chiffres. Eh bien ! 513 se retrouve sous la forme 5
mois 13 jours, dans l'espace séparant le 22.6.1791,
où l'arrestation de Varennes fut définitive (Louis
XVI ayant refusé vers une heure et demie du matin de faire
donner la troupe pour le libérer) de la mort de Mozart, le
5.12.1791.
|
Asar 6, par Marianne Gottlieb :
Le rôle de Pamina, la fille de la Reine de la Nuit, sera joué,
le jour de la création, par une actrice de 17 ans, Marianne
Gottlieb, qui fut, cinq ans plus tôt, Barberine, dans "Le
Mariage de Figaro". N'est-il pas curieux de remarquer en cette
actrice l'association du nombre, 17 avec Marianne et
Gottlieb ?
- 17 est depuis les pythagoriciens (cf.384_suite.htm#cou)
un nombre de coupure,
se résolvant en nombre de passage
en paroles_d_ange.htm#n12,
passage du matériel au spirituel, des ténèbres
à la lumière, le sujet de "La Flûte enchantée",
- Marianne est le prénom de la femme en qui la toute
jeune république française choisira de s'incarner dès
1792, l'année suivant la création de "La Flûte
enchantée", Marianne est donc celle qui remplacera ce
que Marie-Antoinette incarnait, avant-même son exécution,
- quant à Gottlieb, ne lie-t-il pas également
cette actrice à Mozart et à Marie-Antoinette, puisque
c'est l'un des avatars de l'un des prénoms du compositeur,
né Johannes Chrysostomus Wolfgang et Théophilus
Mozart, où Théophilus, aimé de Dieu, passera
du grec à l'allemand : Gottlieb, puis à l'italien
: Amadeo, Amade, Amadeus ? Cet amour de Dieu
rappelle la Grâce divine par laquelle régnait
la monarchie française et donc, Marie-Antoinette, cette fille
de la Reine de la Nuit, qu'incarnait précisément cette
actrice..
Dans le prénom et le nom de Marianne Gottlieb se retrouvent
donc la coupure et le lien du 17 de son âge, touchant au matérialisme,
à la spiritualité, à la république, à
la monarchie et à Mozart, à la fois le remplacement
et la continuité de Marie-Antoinette, via Mozart !...
|
Asar 7, par le Salon aux Quatre
Glaces du palais du Temple, face au funeste donjon : Mozart
enfant, à l'âge de 10 ans, est représenté
en France au clavecin par le peintre Ollivier, en 1766, dans le Salon
aux Quatre Glaces du palais du Temple, dont les fenêtres donnent
sur le donjon qui sera l'antichambre de la mort pour Louis XVI et
Marie-Antoinette. Ce tableau s'intitule "Thé à
l'Anglaise chez le Prince de Conti".
C'est dans ce même salon, que, le 24 mai 1785, Marie-Antoinette
viendra fêter ses relevailles de la naissance du futur Louis
XVII, chez le Grand-Prieur, âgé lui aussi de 10 ans,
comme Mozart 9 ans plus tôt (cf.
"Louis XVII" d'André Castelot), Grand Prieur
qui n'est autre que le duc d'Angoulême, futur époux de
celle qui sera présentée comme la soeur de Louis XVII,
bien qu'elle ne lui ressemble apparemment en rien (cf. comtesse_des_tenebres.htm#mad).
|
|
Par
ailleurs, l'Ordre du Temple fut rénové
en
1705, au convent de Versailles, par Philippe
III, duc d'Orléans, et futur régent de
France à la mort de son oncle Louis XIV en 1715.
Il est dit des Grands-Prieurs de l'Ordre du Temple (cf.
"L'Ordre des Templiers, les Secrets Dévoilés",
Alain Desgris, Ed. Dervy, p. 203) :
|
CHAPITRE
XIII
DES GRANDS-PRIEURES OU LANGUES
|
Art. 1. Dans
chaque Nation peut-être constitué un Grand-Prieuré
(Magnus Prioratus) lequel s'appelle aussi Langue (Lingua).
Art. 2. La
ville capitale de l'état est le siège
du Grand-Prieuré.
Art. 3 Le
Grand-Prieuré ou Langue est régi par un
Grand-Prieur (Magnus Prior).
Art. 4. Le
bénéfice du Grand-Prieur est conféré
à vie.
|
|
|
Le duc d'Angoulême
se trouvant être un Grand-Prieur résidant dans le palais
du Temple de la capitale de la France, où doit exister un Grand-Prieuré
de l'Ordre du Temple, il paraît donc légitime de penser
que c'est de cet Ordre, l'Ordre du Temple, que le duc d'Angoulême
était Grand-Prieur. Il n'en reste pas moins que le duc
d'Angoulême, résidant à 10 ans en 1785 dans le
palais du Temple de la capitale de la France, était grand-prieur
de l'Ordre de Malte, héritier d'un certain nombre de biens des Templiers
après leur destruction, dont le Temple de Paris (cf. l'historien
Philippe Delorme, en http://maria-antonia.justgoo.com/ses-enfants-f10/louis-xvii-t160-480.htm).
Si donc, le duc d'Angoulême épousa une personne substituée
à Madame Royale, fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette,
obligeant cette dernière à se cacher pour le restant
de ses jours en Saxe, sous le nom de Sophie Botta, comtesse des Ténèbres
(cf. comtesse_des_tenebres.htm#mad),
cela signifie que le Temple étendit son ombre jusqu'à
la fin de sa vie, sur la seule rescapée officielle de son donjon,
à travers cet héritage de biens du Temple, partagé
par le duc d'Angoulême, en tant que grand-prieur de l'Ordre
de Malte.
Ordre du Temple et franc-maçonnerie sont liés
(cf. "L'Ordre du Temple et la Chevalerie Maçonnique Templière"
de Alain Desgris, Guy Trédaniel Editeur).
Et là, on repense à "La Flûte enchantée"
: ce n'est pas seulement Marie-Antoinette, fille de la monarchie autrichienne
- Reine de la Nuit, qui est prisonnière de l'obscurité,
c'est aussi sa propre fille, toute sa descendance, Louis XVII y compris,
dont elle est venue célébrer les relevailles de sa naissance,
en ce Salon aux Quatre Glaces, chez un Grand-Prieur lié à
Mozart par son âge lors de sa présence en ce lieu : 10
ans.
Asar 8, par le nombre et le nom
de Louis XVI, et par la couleur du "moine noir en gris dedans
Varennes" (Nostradamus, IX, 20) : Parallèlement,
il est curieux de remarquer que Mozart, dont il n'est pas exclu qu'il
ait été empoisonné par ses frères francs-maçons,
en raison des rites secrets révélés par cette
même "Flûte enchantée", est curieusement
enterré rapidement, le lendemain de sa mort, dans une fosse
communautaire, dans le nombre de Louis XVI : la fosse contenait
en effet 16 corps, rangés en quatre couches de quatre
(cf. "Nous avons retrouvé le crâne du divin Mozart
!" article de Gilles Mermet, réalisé avec la collaboration
de Waltraud Herzog
- Paris Match ? -). Il était revêtu du manteau
noir à capuche des francs-maçons, c'est à dire
d'une cape, et donc "capé", ce qui est le
sens de Capet, le nom attribué par la révolution
à Louis XVI et Marie-Antoinette (la veuve Capet), qui les refuseront.
Ce manteau était noir ce qui n'est pas sans rappeler
le "moine noir en gris dedans Varennes" du quatrain IX,
20 de Nostradamus (cf. nost_9_20.htm#lem).
Mozart qui orchestrait sa "Flûte enchantée"
au moment de Varennes, n'avait pas abouti à son but suprême
: la mort, source de lumière, cf. ci-après
: il n'était donc ni blanc (en vie), ni noir (mort), ou vice
versa si la vraie lumière est dans la mort, mais en chemin
entre les deux : gris, comme la pierre maçonnique non encore
aboutie, puisque rugueuse, que représentait son oeuvre,
cf. ci-après aussi.
Asar 9, par un étonnant octocentenaire,
liant Mozart à la mort et à Hugues Capet, à l'origine
de la monarchie des Bourbon : Il faut, ici, commencer par
signaler la relation très particulière que le compositeur
entretenait avec la mort, ainsi qu'il l'écrit à
son père, le 4.4.1787, quatre ans avant qu'elle ne survienne
en sa vie, et deux ans avant la révolution :
|
"Comme
la mort (si l'on considère bien les choses) est l'ultime
étape de notre vie, je me suis familiarisé
depuis quelques années avec ce véritable et
meilleur ami de l'homme, de sorte que son image non seulement
n'a pour moi plus rien d'effrayant, mais est plutôt
quelque chose de rassurant et de consolateur ! Et je remercie
mon Dieu de m'avoir accordé le bonheur (vous me comprenez)
de le découvrir comme clé de notre véritable
félicité. (...) Pour cette félicité,
je remercie tous les jours mon Créateur et la souhaite
de tout coeur à tous mes semblables."
(Correspondances, Ed. Flammarion).
|
|
"Clé de (sa) véritable félicité",
Mozart savait donc, avant 1787, qu'il ne trouverait la solution du
problème de sa vie, c'est à dire la lumière,
que dans la mort, et désirait cette dernière pour cela.
Il sera exaucé rapidement.
C'est peu après avoir appris la mort de François Mitterrand
(le 8 Janvier 1996 à 8 h 30) que Y
pensa à calculer l'espace de temps 956-987, où Hugues
Capet fut suzerain de l'Aquitaine et de la Bourgogne (deux provinces
où des localités - Labouheyre, Bouhey et le bois, "le
boué", de Bouhey - lui redonnaient son nom) : cela faisait
31 ans. Quelques minutes après, il voulut vérifier la
citation du 4.4.1787, où Mozart parle de la mort dans sa Correspondance,
pour voir si la traduction des Editions Flammarion était identique
à celle de Paris Match. Il lut :
|
"Comme
la mort (si l'on considère bien les choses) est l'ultime
étape de notre vie, je me suis familiarisé
depuis quelques années avec ce véritable et
meilleur ami de l'homme, de sorte que son image non seulement
n'a pour moi plus rien d'effrayant, mais est plutôt
quelque chose de rassurant et de consolateur ! Et je remercie
mon Dieu de m'avoir accordé le bonheur (vous me comprenez)
de le découvrir comme clé de notre véritable
félicité. - Je ne vais
jamais me coucher sans penser (quelque soit mon jeune âge)
que je ne serai peut-être plus le lendemain -
(...) - Pour cette félicité, je remercie tous
les jours mon Créateur et la souhaite de tout coeur
à tous mes semblables. Dans
ma lettre (si bien emportée par la Storace !), je
vous exposais ma manière de penser sur ce point (à
l'occasion de la triste disparition de mon excellent ami
le comte von Hatzfeld - il avait tout juste 31 ans - comme
moi."
(Correspondances, Ed. Flammarion).
|
|
Y trouva alors
très curieux, que, juste après avoir calculé
les 31 ans de durée de suzeraineté de Hugues Capet,
pendant lesquels il se prépara au métier de roi, il
découvrît que ce fut exactement le temps qu'il aura fallu
à Mozart, pour qu'il exprime par écrit, qu'il s'était
fait de la mort la meilleure et la plus sûre des amies : "la
clé de sa véritable félicité", celle
qui comble, en somme toutes ses aspirations... Puis il chassa cette
idée, se disant qu'il s'agissait certainement d'une coïncidence,
qu'il ne pouvait pas voir des signes partout.
Ce n'est que le soir de ce 8 janvier qu'il y repensa, à 19
h 30, en attente de la correspondance de 19 h 37, à la gare
de Conflans-Sainte-Honorine, très exactement, trouvant cette
"coïncidence" tout de même bizarre. Et là,
il s'aperçut que les dates de Mozart, de sa naissance à
sa déclaration officielle d'amitié à la mort
: 1756-1787, représentaient le très exact octocentenaire
de la suzeraineté de Hugues Capet sur la Bourgogne et l'Aquitaine
: 956-987 (956 correspondant à la mort de son père Hugues
le Grand), pendant lequel il prépara son métier de roi.
Y
déduisit, à
travers ce 8 de 800, réduction théosophique de 17, le
nombre fatidique du passage 16-18 (cf.384_suite.htm#cou
et paroles_d_ange.htm#n12),
que, du 27.1.1756, date
de sa naissance au 4.4.1787, où il déclare la mort "sa
meilleure amie", Mozart a appris, lui aussi, son métier
de roi, non plus mortel, mais immortel, puisque son règne sera
dans la mort, époux de Marie-Antoinette, comme il s'y
était engagé enfant à Schönbrunn), mais
époux spirituel, héritier spirituel de Hugues
Capet, père spirituel du petit Capet et de sa descendance.
Cela confirma à Y
la relation déjà
établie avec Hugues Capet et Louis XVI, et lui en fit découvrir
d'autres :
|
entré capé de noir dans la mort, car
franc-maçon et peut-être par la volonté de
la franc-maçonnerie, Mozart y était entré
dans le nom donné par la Révolution à Louis
XVI qui le refusa. En fait, c'était à Mozart, mort
capé et autrichien comme "l'Autrichienne", qu'elle
eût du le donner.
4.4.1787 : les deux 4 y sont à nouveau de total
8, également réduction théosophique de 800,
mais surtout, ils évoquent les corps empilés 4 sur
4 de la fosse communautaire (*), et donc le 16
de Louis XVI et des pyramides amenant Scriptoral,
la 17ème pyramide, pyramide inversée de synthèse
(cf. pyramide.htm#scriptoral).
Y
découvrit cela
le 8.1.1996, jour d'annonce d'une autre mort, celle de François
Mitterrand, qui établit le passage droite-gauche dans la
République fondée par Charles de Gaulle (cf. 5eme_republique.htm),
année 1996 où le 16 entoure le 18 (9 + 9),
et année millénaire de la mort de... Hugues Capet
!... roi de 987 à 996, alors que 987 sera inversé,
dans le maintenant précédent millénaire,
par 1789, année de début de la Révolution
qui renversera son héritage monarchique, enchaînant
7-8-9 réduction théosophique de 16-17-18 sur lequel
Y
sera éclairé
en 1997 (cf.
paroles_d_ange.htm#n12).
après le 4.4.1787, Mozart attendra 4 ans son entrée
dans la mort. Nous avons déjà parlé du salon
aux 4 Glaces du palais du Temple, par lequel les 4
prisonniers royaux passèrent avant leur emprisonnement,
faisant de ce chiffre une clé de la liaison maçonnico-templière
entre Mozart et la famille royale française.
(*) Où
votre serviteur a-t-il lu que cette fosse communautaire était
réservée aux francs-maçons, par décision
de Joseph II, frère de Marie-Antoinette, en raison directe
des liens de la franc-maçonnerie avec la Révolution
française, ce qui rapprocherait encore dans la mort Mozart
de Marie-Antoinette ?
|
Asar 10, par une pierre à
polir - oeuvre à parachever, ce que peut sous-entendre le
nom de sa rue : la "Rauhensteingasse" ? Mozart
fut mis en bière dans son appartement de la "Rauhensteingasse"
à Vienne. Fort curieusement, "Rauhensteingasse"
signifie ruelle de la pierre rugueuse, ce qui, d'une part, ne fut
pas sans rappeler à Y
la rue
Mozart à Dijon, ruelle - moitié
impasse en terre battue de ses onze pemières années,
et, d'autre part, le fait que chaque franc-maçon doit
poser, à travers sa vie, sa pierre de lumière.
Or, "pierre rugueuse" évoque l'idée d'une
pierre non aboutie, non polie, taillée, travaillée,
ainsi que peut l'être aussi un diamant dans sa gangue, comme
si cette oeuvre mozartienne réalisée
du vivant du compositeur et reconnue par une
grande partie de l'humanité comme lumineuse et divine entre
toutes, cette pierre blanche, n'était qu'un prélude
grossier à ce qu'il en ferait pendant sa mort : la pierre
blanche nostradamique, celle dont il est précisément
question dans le quatrain IX, 20 de Nostradamus, parlant du "moine
noir en gris dedans Varennes" (cf. nost_9_20.htm)
- rappelons
que l'arrestation de Varennes se déroula à l'époque
où Mozart commençait d'instrumenter sa "Flûte
enchantée" - (*)
:
|
"De nuict
viendra par la forest de Reines
Deux pars vaultore Herne la pierre blanche.
Le moine noir en gris dedans Varennes
Esleu cap, cause tempeste feu sang tranche."
|
|
D'où cette
idée de Y
sur la véritable pierre blanche qu'il restait à Mozart
à réaliser :
|
"Si,
comme tous les signes me le disent, Mozart fut le guide
de mon ascendance, fortement relié à ma femme,
l'oeuvre à laquelle il me conduisit, dont la forme
se rapproche de celle du diamant taillé, c'est la
pyramide de lumière inversée,
Scriptoral (cf. pyramide.htm),
modèle d'organisation évolutive nouvelle des
formes d'esprit de l'humanité, qui m'est apparue
depuis comme correspondant à la Jérusalem
Céleste de l'Apocalypse de Jean. - Un initié
trouva en Scriptoral le char d'énergie-lumière
égyptien, Mer-ka-bah, Merkavah pour les hébreux.
- L'oeuvre véritable de Mozart, sa pierre taillée,
c'est donc de donner à l'humanité accès
à la Jérusalem Céleste, par la descendance
royale de droit divin de
la fille aînée de l'Eglise : la France, c'est-à-dire
par la descendance de Marie-Antoinette, "l'Autrichienne",
son épouse spirituelle." (Inédit.)
|
|
(*) Ne pas oublier
que moine, du grec "monakhos", et monarchie,
du grec monarkhia composé de "monos" - seul - et
arkhein - commander - sont reliés par "monos" dont
ils dérivent, et que, dans "La Flûte enchantée"
le maure, gardien d'esclaves, qui retient prisonnière
Pamina, la fille de la Reine de la Nuit pour laquelle il éprouve
une folle convoitise, n'a d'autre nom que... Monostatos.
Il y aurait alors deux faces au moine-monarque, l'une noire, l'Ancien
Régime emprisonnant ses souverains eux-mêmes, face
incarnée par Monostatos, l'autre, lumineuse, celle
qui conduit au grand monarque, via Mozart, le "moine
noir en gris dedans Varennes", ayant commencé donc
à s'éclairer, à polir sa pierre rugueuse, avec
"La Flûte enchantée" oeuvre avec laquelle
il entra dans la mort, et par laquelle il y entra peut-être,
si, à cause d'elle il fut empoisonné, Christian Jacq
montre en effet, dans "Le Mystère Mozart" (XO Editions),
que, contrairement à l'interprétation habituelle,
Mozart, au moment de sa mort, n'était ni ruiné, ni
déprimé, et que, s'il était malade, c'était
à cause d'un empoisonnement :
|
"Mozart
malade ? Certes, mais à cause d'un empoisonnement
! Il en parle lui-même à Constance lors d'une
de leurs dernières promenades dans un jardin de Vienne.
Ses ennemis ne manquent pas, depuis l'empereur Léopold
II jusqu'à l'évêque Migazzi, en passant
par des compositeurs concurrents - tel le médiocre
Salieri qui s'accusera d'avoir tué Mozart - et des
Maçons hostiles à ses idées."
(Le
Mystère Mozart, Christian Jacq, XO Editions).
|
|
"LA
FLUTE ENCHANTEE"
Tamino - Pamina - Mozart - Marie-Antoinette
Schikaneder - Nostradamus
|
L'histoire
de Tamino et Pamina
|
Le prince tamino, égaré
à la chasse dans une lointaine contrée est attaqué
par un serpent, monstre dont toutes ses flèches ne peuvent
venir à bout. Epuisé, croyant sa dernière
heure venue, il perd connaissance et est sauvé par trois
dames, servantes de la "Reine radieuse", qui est la
"Reine de la Nuit". Elles montrent à Tamino
un portrait de la fille de cette reine, dont il tombe aussitôt
amoureux, puis lui apprennent qu'elle a été enlevée
par le méchant démon Sarastro, lequel fait
garder sa prisonnière dans une pièce magnifique
par un gardien d'esclaves : le Maure Monostatos, surveillant
d'autant mieux la jeune fille qu'il la convoite follement.
La Reine de la Nuit apparaît en personne à Tamino,
lui promettant la main de sa fille, Pamina, s'il parvient à
la libérer.
Dans sa recherche
Tamino arrive à un bosquet où s'élèvent,
de gauche à droite, les trois temples de la Nature , de
la Sagesse et de la Raison. Il apprend que les femmes lui ont
menti, et que Sarastro est un souverain plein d'humanité
et de sagesse, chef suprême pour cela d'un cercle d'initiés.
Pamina tente en vain de s'évader avec l'oiseleur Papageno,
ils sont rattrapés par Monostatos et ses esclaves.
Pamina dit à Sarastro qu'elle s'est enfuie à cause
de la concupiscence de Monostatos. Toutefois Sarastro sait que
c'est parce qu'elle aime Tamino, il continue de la tenir sous
sa garde, estimant qu'elle doit être protégée
de l'"orgueil" de sa mère et placée
sous la conduite d'un homme.
Monostatos ayant arrêté Tamino et l'oiseleur Papageno,
Pamina et Tamino se reconnaissent et se jettent dans les bras
l'un de l'autre. Sarastro fait infliger 77 coups de fouet à
Monostatos, fou de jalousie, et conduire Tamino et Papageno au
Temple des Epreuves pour y être "purifiés",
tandis que le choeur de l'assistance jubile, évoquant l'idée
d'un royaume des cieux sur terre, fondé sur la vertu et
la justice des grands.
Sarastro s'explique devant l'assemblée des prêtres
: les dieux ont destiné Pamina à Tamino.
Avec leur concours, les prêtres formant l'état
du Cercle Solaire pourront résister à l'oeuvre destructrice
de la "Reine de la Nuit". Mais pour être admis
dans le cercle des initiés et uni à Pamina, Tamino
doit subir les difficiles épreuves du rituel de l'Ordre
pour lesquels les prêtres recommandent aux candidats de
se méfier des perfidies des femmes (de la "Reine
de la Nuit") Ces épreuves comportent des risques
et des dangers croissants, et sont d'autant plus dures, qu'elles
sont aussi liées à une close de silence dont Pamina
ne sait rien, si bien qu'elle se figurera que Tamino ne veut plus
lui parler. Elle sera en proie au désarroi et souhaitera
la mort.
Monostatos cherche pendant ce temps à abuser d'elle, lorsqu'apparaît
la "Reine de la Nuit" dans un coup de tonnerre, elle
donne un poignard à sa fille pour tuer Sarastro. Pamina
désobéit. Toutefois, Monostatos qui a tout entendu,
veut l'obliger à accomplir ce meurtre et qu'elle se donne
à lui en échange de son silence. Pamina refuse,
il veut la poignarder, mais Sarastro arrive, qui renvoie le Maure
et s'apprête à rencontrer la "Reine de la Nuit".
Pamina implore sa clémence. Sarastro promet de se venger
en renonçant à la vengeance et en étant altruiste.
Lorsque Tamino doit affronter la troisième épreuve,
la plus difficile, les initiés espèrent de plus
en plus fermement que Tamino pourra la surmonter afin qu'il soit
admis parmi eux.
Trois jeunes garçons qui constituent une instance au-dessus
de tous les partis envoyée par Sarastro pour rendre à
Tamino et Papageno leurs flûte et glockenspiel magiques
voient poindre l'heure où "la terre sera devenue
un royaume céleste". Ils empêchent Pamina
désespérée de se poignarder, la conjurent
de croire en l'amour de Tamino, à qui ils la conduisent,
et les autorisent à franchir ensemble les "portes
de la terreur" pour parvenir au degré suprême
de la purification. Tamino, guidé par Pamina et protégé
par sa flûte (autrefois taillée par le père
de la princesse dans un chêne millénaire)
viendra à bout de l'épreuve. Au bout de sa route
terrible s'ouvrent au couple , dans un chant d'allégresse,
les portes du Temple d'Isis.
Dernière péripétie, la Reine de la Nuit
et ses suivantes guidées par le Maure Monostatos passé
dans son clan en demandant pour prix de ses services la main de
Pamina, préparent un assaut contre le Temple du Soleil.
Sarastro déchaîne les éléments et brise
la puissance de la Reine de la Nuit. Dans l'éclatante
splendeur du Temple du Soleil, Tamino et Pamina sont admis parmi
les initiés.
|
Marie-Antoinette/Pamina
et Mozart/Tamino
|
Etonnamment,
une transposition presque point par point peut-être opérée
en remplaçant, en fonction des signes de Y,
Pamina par Marie-Antoinette et Tamino par Mozart.
Pour cela, il faut situer le livret de "La Flûte enchantée"
écrit par Emanuel Schikaneder (directeur
du théâtre Auf der Wieden, dans la banlieue de Vienne,
où cette oeuvre sera créée), à
son époque : Mozart ayant instrumenté le premier acte
de cet opéra la semaine précédant l'arrestation
de Varennes des 21 et 22 juin 1791, c'est
à un moment où la monarchie française, sans
être encore définitivement condamnée, était,
dans la prison dorée des Tuileries, sous la tutelle révolutionnaire,
à l'idéal de "Liberté, Egalité,
Fraternité".
- Http://www.constanze-mozart.com/html/pages/emmanuel-schikaneder.htm#top)
précise que "Schikaneder a proposé le livret de la Flûte
enchantée à Mozart, mais l’étude détaillée de ce livret montre que
toutes les modifications importantes ont été apportées par Mozart,
car certains détails (sans doute maçonniques, N.D.L.R.) étaient
alors inconnus de son ami" -.
|
AVERTISSEMENT
La présente transposition
ne prétend pas reproduire nécessairement le cheminement
conscient
de l'auteur du livret de "La Flûte enchantée",
ou plutôt "des auteurs", puisque Mozart lui-même
en modifia la rédaction première.
Il montre, que, par une raison les dépassant, Mozart
et Marie-Antoinette sont de parfaits Tamino
et Pamina.
En résumé, la correspondance
entre les principaux acteurs de " la Flûte
enchantée"
et les personnages historiques du même temps
est la suivante :
Reine de la Nuit : Monarchie
autrichienne et impératrice Marie-Thérèse,
morte depuis 11 ans, en 1780,
Pamina,
fille,
prisonnière, de la Reine de la Nuit :
Marie-Antoinette
et sa descendance, dans la prison dorée des Tuileries
avant Varennes,
Monostatos,
maure, gardien de la fille de la Reine de la Nuit :
Monarchie absolue française et Louis XVI,
Sarastro : Robespierre,
Papageno
: Fersen,
Tamino
: Mozart.
|
|
Pamina est donc retenue
dans une prison dorée (une pièce magnifique), par
Sarastro présenté comme un méchant démon
par la "Reine de la Nuit", mère de Pamina, en réalité,
c'est un dirigeant sage et éclairé entouré
de prêtres qui le révèrent, il retient Pamina
pour la protéger de l'"orgueil" de sa mère
:
Transposition :
En cette fin de "Siècle
des Lumières" dont les protagonistes français
sont appréciés par les esprits éclairés
de toute l'Europe, l'orgueilleuse "Reine de la Nuit" a
tout de la puissante monarchie autrichienne, dont la fille, Marie-Antoinette,
est sous la tutelle de l'idéal révolutionnaire français
de "Liberté, Egalité, Fraternité"
à résonnance maçonnique, retenue dans la prison
dorée des Tuileries.
Robespierre, qui n'a pas
encore sur les mains le sang de la Terreur, est le sage qui la retient
prisonnière pour l'initier.
Le culte
de l'Etre suprême, qu'il organisera peu avant sa mort, n'est
pas sans faire penser à la cérémonie de Sarastro.
Par ailleurs, jusqu'après sa mort, il sera considéré
par les ministres de l'empereur d'Autriche, comme le meilleur des
interlocuteurs français, comme un homme de paix. Voilà
ce qu'en écrit, après son exécution, le Ministre
plénipotentiaire autrichien Mercy-d'Argenteau :
|
"Quel malheur que Monsieur Robespierre
n'ait pas vécu quelques semaines de plus. Il aurait
été le maître de la France : l'Empereur
mon maître l'eut reconnu comme chef du gouvernement
et nous aurions tous la paix à l'heure qu'il est
; c'est une grande perte que l'Angleterre et l'Autriche
ont fait là." (Archives du Quai d'Orsay, fr.
632 fol. 47, citées par Didier Duval en son "Louis
XVII, une Affaire d'Etat").
|
|
Enfin, Robespierre a probablement
fait transférer, les 11 et 12 juin 1794, Louis XVII à
Meudon, sous le prétexte de montrer qu'il était facile
de le faire évader, sans que l'on soit sûr, qu'il fit
ramener au Temple le même enfant, voici ce que dit Didier Duval
dans le même ouvrage :
|
"En 1894, l'officiel "Historical
Manuscripts Commission" publiait aux frais de sa Majesté
Britannique, les bulletins d'espionnage expédiés de Gênes
par Sir Francis Drake à Lord Grenville. Les bulletins publiés
sont au nombre de 28 et s'échelonnent du 2 Septembre 1793
au 22 Juin 1794.
"Dans le premier bulletin du 9 Novembre à Gênes, Drake
écrit à Lord Grenville : "Votre Seigneurie peut se fier
à son authenticité, car ils émanent d'une personne qui est
employée comme secrétaire par ce Comité et qui cache ses
véritables principes sous le masque du plus extravagant
jacobinisme".
Dans une seconde dépêche, Francis Drake précise "Il faut
que vous sachiez qu'il est impossible qu'on nous abuse sur
ce qui se dit de plus secret dans le Comité de Salut Public."
(Le Notre, "Le Roi Louis XVII, p. 130).
"Les bulletins n° 24 et 25 nous intéressent particulièrement.
"Sur le bulletin no 24 (de Juin 1794) on y lit: "On
dit qu'il pense (Robespierre) à faire abattre le pont de
Neuilly, et qu'il a fait transférer le petit Capet à Meudon".
"Le bulletin n° 25 complète le premier : "Dans la nuit
du 23 au 24 Prairial (soit 11 et 12 Juin) Robespierre alla
chercher le Roi et le conduisit à Meudon. Le fait est certain
quoiqu'il ne soit connu que du Comité de Salut Public ;
on croit être assuré qu'il a été ramené au temple dans la
nuit du 24 au 25 (12 et 13 Juin) et que ceci était un essai
pour l'assurer de la facilité de s'en emparer".
"Il faut rappeler qu'en Avril 1794, l'informateur du
Comte d'Antraigues avait signalé que le Roi (Louis XVII)
était mieux traité ! Il est certain que les informations
communiquées par ce bulletin n°25 sont le fruit du travail
d'une "taupe"du réseau Royaliste du Comte d'Antraigues,
infiltrée au Comité de Salut Public."
(Didier Duval,
"Louis XVII, une Affaire
d'Etat", p. 31).
|
|
Si évasion de
Louis XVII il y eut, Robespierre en est le plus probable organisateur
(cf. Didier Duval, "Louis XVII,
une Affaire d'Etat"). On retrouve donc là le côté
protecteur et initiateur de Sarastro, envers, cette fois, la descendance
de Marie-Antoinette, elle aussi fille de la reine de la Nuit..
Pamina est efficacement surveillée par le gardien d'esclaves
Monostatos, un Maure au service de Sarastro, qui la convoite :
Transposition : Monostatos signifie
en grec, celui qui se tient debout seul, il est gardien d'esclaves
et Maure, c'est-à-dire moitié noir de peau, couleur
qui le rapproche de la Reine de la Nuit. Il a tout du monarque ("monos"
de Monostatos se retrouve dans "mon" de monarque) non
éclairé (noir) absolu (qui se tient debout seul) et
oppresseur (gardien d'esclaves) que combat la révolution
française : en un mot il n'est pas sans évoquer l'absolutisme
monarchique français de Louis XIV, la rigoureuse étiquette
toujours en vigueur qu'il a instituée et qui pèse
lourdement sur Marie-Antoinette, habituée à plus de
liberté à la cour d'Autriche, et, par là même,
l'héritier de Louis XIV, Louis XVI, qui, à Versailles,
amoureux de son épouse qui lui échappe, en suivait
les ébats avec une lunette. Attachement ressenti comme un
boulet par la reine qui en aimait un autre, pas Mozart : par qui,
selon les signes de Y,
elle doit ressusciter.
(Pas encore Mozart ?...) mais Fersen, par qui elle chuta. Louis
XVI chez qui l'absolutisme s'est singulièrement décoloré,
n'est plus noir, mais mi-noir, comme la couleur de peau des Maures,
ce qui n'est pas sans créer un lien surprenant avec un vers
du quatrain IX, 20 de Nostradamus
:
|
"le
moine noir en gris dedans Varennes"
|
Une interprétation
complémentaire de ce vers est donnée en
http://abouhey1.free.fr/nost_9_20.htm.
(Chyren sort du Varennes où est entré Louis XVI.)
|
Pamina tente en vain de s'évader avec l'oiseleur Papageno,
ils sont rattrapés par Monostatos et ses esclaves :
Transposition : Papageno est
fanfaron, manque de la plus élémentaire discrétion.
Et, si nous abordons la fuite à Varennes, qui doit dépasser
la date d'écriture du livret, nous nous apercevons que Fersen,
fournisseur d'une berline trop grosse, lente, lourde et repérable,
a du Papageno en lui. C'est Louis XVI sûrement jaloux, on
le serait à moins, héritier de Louis XIV-Monostatos,
qui l'empêchera de rester dans la berline pour voyager avec
son épouse, Louis XVI donc qui, comme Monostatos, reprend
la main en cette ultime occasion.
L'assistance
jubile, évoquant l'idée d'un royaume des cieux sur
terre, fondé sur la vertu et la justice des grands :
Transposition : L'idéal
révolutionnaire de "Liberté, Egalité,
Fraternité", qui passera par le culte de l'Etre Suprême
de Robespierre (Royaume des cieux sur terre). Puis, selon les signes
de Y,
Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral),
pyramide inversée / Jérusalem Céleste, que
lui-même, Y,
doit amener, via Mozart.
Les dieux ont destiné Pamina à Tamino. Avec
leur concours, les prêtres formant l'état du Cercle
Solaire pourront résister à l'oeuvre destructrice
de la "Reine de la Nuit" :
Transposition : C'est là
qu'on se rappelle la promesse du "divin" Mozart/Tamino,
dans l'innocence de l'enfance, à Marie-Antoinette/Pamina
:
|
"Il
glissa sur le parquet ciré (de Schönbrunn).
L'archiduchesse Marie-Antoinette l'aida à se relever
et le consola : "Vous
êtes bien gentille, lui dit Wolfgang, et quand je
serai grand, je vous épouserai." L'impératrice
Marie-Thérèse qui arrivait sur ces entrefaites
lui demanda la raison de cette décision. Et Wolfgang
de répondre : "Pour la récompenser, car
elle a été très bonne avec moi.""
|
|
Monostatos
cherche pendant ce temps à abuser d'elle, lorsqu'apparaît
la "Reine de la Nuit" dans un coup de tonnerre, elle donne
un poignard à sa fille pour tuer Sarastro. Pamina désobéit.
Toutefois, Monostatos qui a tout entendu, veut l'obliger à
accomplir ce meurtre et qu'elle se donne à lui en échange
de son silence. Pamina refuse, il veut la poignarder, mais Sarastro
arrive, qui renvoie le Maure :
Transposition : Voilà
qui n'est pas sans évoquer les armées autrichiennes,
armées de la reine de la Nuit, massées aux frontières
françaises, la correspondance déclarée coupable
avec l'Autriche de Marie-Antoinette et les actions royalistes anti-révolutionnaires,
auxquelles Marie-Antoinette, à l'instar de Pamina, ne participera
pas, pas plus que Louis XVI d'ailleurs, qui, jusqu'à Varennes,
préfèrera se laisser arrêter plutôt que
d'engager une action violente. Ce qui reste de Monostatos en Louis
XVI, c'est ce voyage ambigu arrêté à Varennes,
et cette obligation faite à Fersen de quitter la berline, gardant
la reine pour lui seul. La Révolution, telle Sarastro, se débarrassera
de la monarchie/Monostatos, pour confier Marie-Antoinette et Louis
XVI au donjon du Temple, Temple qui est lié à la franc-maçonnerie.
Trois jeunes garçons qui constituent une instance au-dessus
de tous les partis envoyée par Sarastro pour rendre à
Tamino et Papageno leurs flûte et glockenspiel magiques voient
poindre l'heure où "la terre sera devenue un royaume céleste".
Ils empêchent Pamina désespérée de se poignarder,
la conjurent de croire en l'amour de Tamino, à qui ils la conduisent,
et les autorisent à franchir ensemble les "portes
de la terreur" pour parvenir au degré suprême
de la purification. Au bout de sa route terrible s'ouvrent au couple
, dans un chant d'allégresse, les portes du Temple d'Isis :
Transposition : Le couple Tamino/Pamina
sera uni de son vivant après avoir franchi les portes de la...
terreur, suprême épreuve initiatique ! Et, comme par
hasard, Marie-Antoinette entrera dans la mort par la porte de la terreur,
la vraie, la TERREUR révolutionnaire. Guidée par Mozart,
qui, empoisonné (?), la précéda dans cette dernière
épreuve, ?... Mozart/Tamino, qui savait depuis 1787, que, dans
la mort, "sa meilleure amie", se trouvait la clé
de sa félicité, la solution de sa vie (cf. #com).
Quant à la terre "royaume céleste" et à
l'arrivée à Isis la déesse égyptienne
de la Médecine, de la Culture, du Mariage, du Blé...
Cela n'évoque-t-il pas directement les 16 pyramides de Y,
débouchant sur la 17ème : Scriptoral, la pyramide inversée
(cf. pyramide.htm#scriptoral)
qui lui est donnée pour une Jérusalem céleste,
associant les formes d'esprit opposées et complémentaires
de trois de nos principales civilisations.
La flûte de Tamino fut autrefois taillée par le père
de Pamina dans un chêne millénaire :
Evocation : Ce chêne n'est
pas sans rappeler un autre chêne, de Marie-Antoinette, celui-là,
qui a quelque chose de magique dans ses caractéristiques étonnamment
symboliques (cf. chene_de_marie-antoinette.htm#menu).
: Ayant succombé à la canicule de 2003, il vient de
se rappeler à notre bon souvenir par son abattage, le 9 février
2005, le sort vinicole d'une partie de son fût pouvant d'ailleurs
être directement lié à Y.
le Maure Monostatos est passé dans le clan de la Reine de
la Nuit :
Transposition : La raison
de l'arrestation de Varennes fut la volonté française
d'empêcher Louis XVI de rejoindre les troupes autrichiennes
à la frontière, et de rejoindre le "clan"
impérial autrichien.
Sarastro déchaîne les éléments et brise
la puissance de la Reine de la Nuit. Dans l'éclatante splendeur
du Temple du Soleil, Tamino et Pamina sont admis parmi les initiés
:
Transposition : Oui, jusqu'à
Austerlitz, pour le déchaînement des éléments
brisant la puissance de la monarchie autrichienne. Après, c'est
une autre histoire, une histoire d'obscure lumière, qui commence,
selon les signes de Y,
toujours dans les ténèbres du Temple : celle de la conduite
de la descendance de Marie-Antoinette par Mozart jusqu'au Grand Monarque,
Temple qui portera Y
jusqu'en 1971 (aux chiffres de 1791, date de la mort
de Mozart), sans qu'il en soit encore totalement détaché
en ce début 2006, cf. ci-après ?
|
C'est en raison de ces liens, et d'autres dont il sera en partie
question ci-après, que Y
décida de faire
un calcul de probabilités, qui lui indiquerait, approximativement,
le nombre de personnes susceptible sur la planète, d'être
relié à Mozart comme il l'était.
N'étant pas mathématicien, il fit ce calcul à
sa manière artisanalo-artistique. Toutefois, s'étant
renseigné auprès d'un spécialiste. Celui-ci
lui dit qu'il avait additionné quand il aurait fallu multiplier.
Il en déduisit que la réalité du calcul aurait
donné une probabilité beaucoup plus grande en sa faveur,
que celle qu'il avait trouvée. Voici donc comment il posa
le problème :
Soient
:
Une rue Mozart ;
3 dates : 27.1, 5.12,
6.12 ; c'est-à-dire, sur une année : 3/365, grosso
modo : 1/120 ;
Un couple XY, associé
:
|
Aux 3 personnes les plus importantes pour l'orientation de la
vie de Y :
par ordre chronologique, sa mère, sa femme et C,
au Maître
de X, qui la confirma, via Mozart, dans l'idée de la justesse
de son choix de Y
comme époux ;
|
Une réalisation
exceptionnelle, à laquelle s'ajoutent 2 signes intéressants
:
|
La "prétranscription"
par Mozart du Concerto,
La rencontre
des dates du Concerto avec celle du mariage de X et Y
;
|
la compagne du chef d'orchestre
qui accepta de créer la version 12 saxophones du Concerto.
Question : Combien peut-il y avoir dans l'humanité
de personnes qui réunissent autour d'elles toutes ces rencontres
avec Mozart ? C'est-à-dire :
|
Combien
de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité
une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur
profession de foi (âge de la responsabilité de la
foi) incluse, soient les onze premières années de
leur vie ?
|
PROBABLE SOUS-ESTIMATION
(*) :
|
500.000
6..000.000.000
|
soit :
|
1
12.000
|
|
|
(*) "Probable
sous estimation" signifie que la réalité doit être
de 1 sur plus de 12.000.
|
Combien
de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité
une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur
profession de foi (âge de la responsabilité de la
foi) incluse, soient les onze premières années de
leur vie, et avoir une mère née un 27.1, jour
anniversaire de la naissance de Mozart (puisque le nombre des
jours anniversaires est de 3, Y
divisa par 120, le tiers des 365/366 jours de l'année arrondi
à la dizaine inférieure) ?
|
PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :
|
1
12.000
|
X
|
1
120
|
soit :
|
1
1.440.000
|
|
|
Combien
de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité
une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur
profession de foi (âge de la responsabilité de la
foi) incluse, soient les onze premières années de
leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire
de la naissance de Mozart et une épouse née un
5.12, jour anniversaire de la mort de Mozart ?
|
PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :
|
1
1.440.000
|
X
|
1
120
|
soit :
|
|
|
|
Combien
de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité
une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur
profession de foi (âge de la responsabilité de la
foi) incluse, soient les onze premières années de
leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire
de la naissance de Mozart, une épouse née un 5.12,
jour anniversaire de la mort de Mozart et le Maître ou
père spirituel de leur femme né un 27.1 ?
|
PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :
|
|
Combien
de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité
une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur
profession de foi (âge de la responsabilité de la
foi) incluse, soient les onze premières années de
leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire
de la naissance de Mozart, une épouse née un 5.12,
jour anniversaire de la mort de Mozart, le Maître ou père
spirituel de leur femme né un 27.1 et C née un
6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart ?
|
PROBABLE
SOUS-ESTIMATION (*) :
|
|
Combien
de personnes, sur la planète, peuvent-elles avoir habité
une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance à leur
profession de foi (âge de la responsabilité de la
foi) incluse, soient les onze premières années de
leur vie, avoir une mère née un 27.1, jour anniversaire
de la naissance de Mozart, une épouse née un 5.12,
jour anniversaire de la mort de Mozart, le Maître ou père
spirituel de leur femme né un 27.1, C née un 6.12,
jour anniversaire de l'enterrement de Mozart et, de plus, être
musicien, trouver sans la chercher la solution pour jouer Mozart
au saxophone, dans un concerto où elle retrouve ses dates
de mariage et qu'une maison d'édition accepte de publier
? La
réponse est d'au moins 1 sur 6..000.000.000, en raison
des dates de mariage, et qu'à l'époque, il existait
apparemment une seule autre publication d'un concerto de Mozart
pour saxophone. Soit :
|
PROBABLE SOUS-ESTIMATION (*) :
|
Sauf
erreur de calcul,
cette probable sous-estimation indique
qu'il faudrait, en somme, que l'humanité compte au moins
un million huit-cent-mille milliards de milliards de personnes,
pour qu'existe Y.
|
Ce nombre, à lui
seul, représente déjà beaucoup plus que le
total des êtres humains porté jusqu'à présent
par la planète, et peut-être beaucoup plus que le nombre
de ceux qu'elle portera dans toute son existence. Et pourtant, il
faudrait le multiplier encore par x fois six milliards, si l'on
voulait tenir compte des autres "Asars"
liant Y
à Mozart.
Ainsi, Mozart apparaissant de plus en plus comme le passeur pilotant
l'humanité de l'Ere astrologique du Poisson à celle
du Verseau, et ce passage, s'effectuant selon les signes de Y,
à travers la suite initiatique 16-17-18 (les 16/17 pyramides
de Scriptoral (pyramide.htm#scriptoral),
les niveaux 16 (matériel) à 18 (spirituel) donnés
par l'ange gardien (cf. paroles_d_ange.htm#n12),
la coupure du XVII (Louis XVI - Louis XVII à résoudre
dans notre histoire), eh bien ! quelle ne fut pas la surprise de
Y,
lorsque, dans les années 1990, il s'aperçut que, dès
ses premiers jours, au sortir de la rue Mozart, le chemin de la
vie, de l'école (Chevreul), de l'église (Saint-Pierre),
passait nécessairement par la rue Daubenton, dont les dates
: 1716-1800, lui donnaient cette suite initiatique d'une manière
fort juste : parti du XVII de Louis XVII qu'il avait derrière
lui, il lui fallait se relier au XVI de son père, pour évoluer
et faire évoluer vers le XVIII, ce que réalise Scriptoral,
faisant naître sa 17ème pyramide des 16 précédentes.
(Combien de personnes, sur la planète, peuvent-elles :
|
avoir
habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance
à leur profession de foi (âge de la responsabilité
de la foi) incluse, soient les onze premières années
de leur vie,
avoir
une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance
de Mozart,
une
épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort
de Mozart,
le
Maître ou père spirituel de leur femme né
un 27.1,
C
née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart,
de
plus, être musicien, trouver sans la chercher la solution
pour jouer Mozart au saxophone, dans un concerto où elle
retrouve ses dates de mariage, qu'une maison d'édition
accepte de publier,
créer
cette oeuvre sous la direction d'un chef d'orchestre dont la compagne
est née un 5.12,
trouver
au sortir de cette rue Mozart la suite initiatique, dont tout
lui dit qu'elle est celle de l'avenir ?...)
|
Mais
il y a plus, Mozart, comme cela a déjà été
dit, est doublement lié à l'Ordre du Temple et au
palais du Temple de Paris, d'une part parce que c'est un franc-maçon
spéculatif et que cette franc-maçonnerie est liée
au Temple comme le montre Alain Desgris dans "L'Ordre des Templiers"
(Ed. Dervy), d'autre part, parce que le peintre Ollivier l'immortalisa,
enfant, en France, dans le Salon aux Quatre Glaces du palais du
Temple. Eh bien, Y,
déménégea à 11 ans, en 1960, de la rue
Mozart, pour le 13 de la rue à laquelle aboutit la rue Daubenton
: la rue Charles Dumont, dans la cour de la Pharmacie André,
rue Charles Dumont donnant en haut sur la place Wilson, avec l'église
Saint-Pierre, et en bas sur l'école Chevreul, les deux pôles
de l'éducation laïque et religieuse de Y.
Ce n'est que vers 1997, que ce dernier apprendra,
par la vitrine de la pharmacie André, que la rue Charles
Dumont fut autrefois la rue du... Temple, avec une commanderie détruite
en 1513 par les Suisses assiégeant Dijon, qui se trouvait
à l'emplacement de l'Eglise Saint-Pierre ; église
où, "Asar"
de plus, Y
enfant, admirant
le Père Latour pour sa clarté, sa légèreté
et son élancement, ne reconnaissait pas en lui l'apôtre
Pierre, qu'il voyait plus massif et lourd, mais Jean, le patron
des templiers, qui l'inspirait déjà. Ainsi, le quartier
Saint-Pierre avait recouvert le quartier du Temple, de saint Jean,
mais son esprit sourdait toujours du sol de l'église de Pierre.
Par ailleurs, Y
était sous la protection d'André
: la Pharmacie André abritait son immeuble, elle lui indique
ce que très peu de Dijonnais connaissent sur le Temple de
Dijon, Andrée est le prénom de sa mère,
et il découvrit par la même occasion que la chapelle
attenant à la commanderie était la chapelle Saint-André.
Alain Desgris ("L'Ordre
des Templiers" (Ed. Dervy), p. 184) lui
apprendra aussi que l'on possède cinq chronologies descendant
des loges maçonniques du XVIIIème siècle, parmi
lesquelles il retient trois filiations principales, dont la première
est la filiation dite d'Aumont. Celle-ci se dit reliée à
l'Ordre de Saint-André-du-Chardon, fondé en
Ecosse en 1314, à la mort de Jacques de Molay :
|
"Dans
certains discours de réception maçonnique
des "Chevaliers de la Bienfaisance de la Cité
Sainte et du Saint Sépulcre de Jésus-Christ",
il est dit : "Trois
de nos ancêtres, possédant le grand secret,
se sont embarqués pour l'Angleterre et se retirèrent
dans des cavernes proches d'Heredown en Ecosse où
ils vécurent secourus par les Chev. de Saint-André-du-Chardon.""
(Alain
Desgris, "L'Ordre
des Templiers" - Ed. Dervy -, p. 184).
|
|
Voici donc un lien Temple - franc-maçonnerie, correspondant
à celui qui apparaît dans la vie de Mozart, lien liant
ce dernier, via André, à Y.
Et ce n'est pas tout. En effet, non seulement les parents de Y
déménénageront de la cour de la Pharmacie André
pour un immeuble de cette même rue Charles Dumont - du Temple,
immeuble dont le nom signifie "commandeur", mais encore,
dans la date de l'incendie de la commanderie du Temple par les Suisses
: 1513, apparaît le nombre 513, liant, d'une
part, le Temple de Dijon à celui de Paris, à l'emprisonnement
de la famille royale et à Mozart, comme nous l'avons vu ci-dessus
(cf. #513), et d'autre part à Y,
cf. y_&_ionesco.htm#des, puisque
les cotes de son diplôme de maîtrise (publiée
en ce même site, cf. ionesco.htm)
sur "Le Tragique chez Ionesco", à la Bibliothèque
Universitaire de la Faculté des Lettres de Dijon sont 191513
et 191513 bis, On y trouve 513 et 191, où
apparaissent 19 et 91, c'est-à-dire la mort
de Mozart, source de lumière le 5.12.1791, et son
inverse, 19 : la vie manquant de clarté ? 513
représente de plus 9 fois 57, l'achèvement
de 57, donné à Y
comme l'âge qui sera le sien (très prochainement :
du 16.02.2006 au 15.02.2007), quand il aura rendu la France - fille
aînée de l'Eglise à sa mère (cf. jacques_chirac.htm#22),
dans une année 2006, qui, nouvel "Asar",
est celle de la célébration du 250ème anniversaire
de la naissance de Mozart.
(Combien de personnes, sur la planète,
peuvent-elles :
|
avoir
habité une rue, place, etc... Mozart, de leur naissance
à leur profession de foi (âge de la responsabilité
de la foi) incluse, soient les onze premières années
de leur vie,
avoir
une mère née un 27.1, jour anniversaire de la naissance
de Mozart,
une
épouse née un 5.12, jour anniversaire de la mort
de Mozart,
le
Maître ou père spirituel de leur femme né
un 27.1,
C
née un 6.12, jour anniversaire de l'enterrement de Mozart,
de
plus, être musicien, trouver sans la chercher la solution
pour jouer Mozart au saxophone, dans un concerto où elle
retrouve ses dates de mariage, qu'une maison d'édition
accepte de publier,
créer
cette oeuvre sous la direction d'un chef d'orchestre dont la compagne
est née un 5.12,
trouver
au sortir de cette rue Mozart la suite initiatique, dont tout
lui dit qu'elle est celle de l'avenir,
quitter
la rue Mozart pour une rue dont il apprendra, quelques 37 ans
plus tard qu'elle fut la rue du Temple, alors que Mozart fut lié
au Temple, avec
une Eglise Saint-Pierre en place de la Commanderie incendiée
à une date faisant apparaître André,
513 et
91, lien Temple de Dijon - Temple de Paris - emprisonnement
monarchique - Mozart - Varennes - Y
?...)
|
Ainsi,
on a vu l'ombre du Temple probablement continuer de s'étendre
sur la descendance de Marie-Antoinette, une fois que sa fille en
fut libérée (cf. #sal), eh bien
! elle est toujours là deux siècles plus tard, sous
les pas de Y,
dès sa naissance : la rue Mozart dépendant de la Paroisse
Saint-Pierre. Toutefois, en cette Eglise Saint-Pierre, il y eut,
dans l'enfance de Y,
une fusion du Temple
de Jean et de l'Eglise de Pierre, le premier éclairant la
seconde, fusion qui se retrouve au niveau papal : en effet Benoît
XVI dont le nombre est celui de Louis XVI et du début du
passage du matériel au spirituel est tellement attaché
à Mozart, qu'il fera démonter son
piano à queue pour le faire passer à travers les murs
trop étroits
du Vatican, et pour faire passer avec lui la musique de ce franc-maçon
lié au Temple. Voici ce que nota à ce sujet Y
en benoit_16.htm#ben
:
|
Pour surprenante que
soit la présence de Mozart auprès de Y,
ce dernier la retrouve chez d'autres qui sont en train de l'exprimer.
Ne serait-ce pas un signe de plus prouvant que son action est sur
le point d'aboutir ?
Ainsi Eric-Emmanuel Schmitt vient de publier, aux Editions Albin
Michel, un livre intitulé "Ma vie avec Mozart",
qu'il présente ainsi :
|
"Un
jour, Mozart m'a envoyé une musique. Elle a changé
ma vie. Depuis je lui écris souvent. Quand ça
lui chante, il me répond, toujours surprenant, toujours
fulgurant." (Eric-Emmanuel Schmitt,
"Ma vie avec Mozart", Ed. Albin Michel.)
|
|
Mais, l'oeuvre qui retint
l'attention de Y, c'est surtout "Le
Mystère Mozart", aux Editions XO, petit fascicule précédant
quatre volumes conséquents sur Mozart intitulés
|
Mozart
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|
Le
Grand Magicien
Le
Fils de la Lumière
Le
Frère du Feu
L'Aimé
d'Isis
|
Editions XO
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qu'il introduit ainsi
:
|
"Depuis
que j'ai commencé à écrire, à
l'âge de treize ans, Mozart est présent. En
l'écoutant et en découvrant la civilisation
de l'Egypte ancienne, j'ignorais à quel point ils
étaient liés."
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart", XO
Editions.)
|
|
En effet, ce fascicule éclaire d'une manière fort
intéressante plusieurs points indiqués à Y
par ses signes :
|
Si Christian Jacq parle de la naissance des Etats-Unis d'Amérique
"pétris de l'idéal maçonnique"
("Le Mystère Mozart", XO Editions, p. 12), sans
parler de l'influence maçonnique sur la Révolution
française, il présente en revanche Mozart comme
un homme fortement épris de Liberté, de Fraternité
et de la plus grande des Egalités, celle de l'homme
et de la femme :
|
Liberté :
"Aux
pires moments de sa brève existence, Mozart survit
en préservant sa liberté de création,
et lorsque Salzbourg, ville natale tant détestée,
et le prince-archevêque Colloredo, surnommé
"le grand mufti", menacent de l'étouffer,
il prend une décision très risquée
: devenir musicien indépendant, gagner sa vie
grâce à son art."
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 6, XO Editions.)
|
Egalité :
"Sur
la poitrine du Vénérable Sarastro, Supérieur
de la communauté de Frères et de Soeurs
de "La flûte Enchantée", brille
un cercle solaire aux sept rayons, symbole associant
l'initiation masculine à l'initiation féminine.
Il incarne ainsi le triomphe d'une spiritualité
accomplie, telle que l'envisageait Mozart."
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 35, XO Editions.)
|
Fraternité :
""La
chaîne d'or de la Fraternité" ce lien
sacré "si connu du monde et pourtant si
mystérieux" (*), Mozart le vécut
lors de chaque Tenue maçonnique, quand les Frères
formèrent la "chaîne d'union".
Leur but ? Atteindre la joie du Maçon, "l'esprit
rempli d'une haute Sagesse et le coeur de vertu (**)"".
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 24, XO Editions.)
"(*) K. 623 et 148.
(**) K. 471."
|
Liberté,
Egalité, Fraternité, la devise de la République
française née de la Révolution, pendant
laquelle Mozart mourut.
|
Dans "La
Flûte enchantée", les portes du Temple d'Isis
s'ouvrent à Pamina et Tamino au terme de leur initiation.
Or, Christian Jacq montre le lien étroit entre Mozart et
l'Egypte ancienne.
Le compositeur commencera de s'initier à sa spiritualité
dès 1773 - il avait 17 ans (encore 17 !) -, en écrivant
la musique de "Thamos, roi d'Egypte", à la demande
du Franc-Maçon, Tobias von Gebler. Cet opéra n'aura
pas de succès, toutefois, son histoire, l'histoire d'un couple
qui parviendra à règner d'une manière sage
et juste, est l'annonce-même de l'oeuvre future de Mozart,
qui aura son aboutissement dans Pamina et Tamino de "La Flûte
enchantée".
Mozart reviendra à la spiritualité égyptienne
en 1784, grâce à un autre Franc-Maçon, Ignaz
von Born, alchimiste et minéralogiste, le modèle du
Vénérable Sarastro de "La Flûte enchantée",
héritier de la tradition ésotérique de l'Egypte
ancienne, qui ne s'éteindra qu'au VIème siècle
de notre ère, après avoir essaimé en Europe
et avoir été le principal concurrent du
christianisme
:
"Fort
différente de l'Eglise de Jean, attachée
à l'enseignement ésotérique du Christ,
l'Eglise de Pierre l'emporta. Pourtant les mystères
isiaques, transmis par des exilés égyptiens,
inspirèrent diverses confréries dont l'ultime
avatar fut la Franc-Maçonnerie."
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 16, XO Editions.)
|
Ces confréries
inspirées par les cultes isiaques et dépendant de
l'Eglise ésotérique de Jean dont l'ultime avatar fut
la Franc-Maçonnerie, passèrent par les templiers dont
Jean fut le patron. Voilà qui confirme le lien spirituel
du Franc-Maçon Mozart avec le Temple de Jean, suggéré
par son passage picturalement immortalisé à 10 ans
dans le palais du Temple de Paris, et par la relation numérique
5.12/512 entre sa mort et l'octroi de l'enclos
du Temple aux templiers en 1279. Si, à 10 ans, ce fut un
pas vers l'ésotérisme et vers Isis, il y a tout lieu
de penser que ce fut beaucoup plus, à 35 - tiens !
à la fois le numéro du département du "Va-à-Rennes"
de Y et la valeur
numérique du mot "Varennes" (4+1+9+5+5+5+5+1),
cf. varennes_va-a-rennes.htm#222
et jacques_chirac.htm#22 -,
au moment de mourir (peut-être assassiné par des francs-maçons
hostiles à ses idées d'initiation féminine),
alors que ce Temple de Paris (l'arrestation de Varennes s'étant
achevée 5 mois et 13 jours plus tôt) était en
passe de devenir le lieu de la plus terrible des épreuves
pour Marie-Antoinette. D'ailleurs, dès "L'Enlèvement
au Sérail", ne pense-t-on pas à Marie-Antoinette
emmenée à l'échafaud, la tête droite,
dans une charrette à fumier, lorsque Mozart fait dire à
l'Anglaise Blonde :
"Un
coeur né pour la liberté ne se laisse jamais
traiter en esclave et, quand bien même il a perdu
sa liberté, il en conserve l'orgueil et se rit
de l'univers (*)."
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 6, XO Editions.)
"(*) Mozart place ces paroles dans la bouche de l'Anglaise
Blonde, l'une des deux héroïnes de "L'Enlèvement
au Sérail". Prisonnière, risquant la
mort, elle ne baisse pas la tête."
|
|
Mais, il y a plus :
|
il
y a les deux voies de l'initiation, "classique"
pour Tamino-Mozart, directe pour Pamina :
"(Sarastro)
parvient à convaincre ses Frères qu'une
femme est bel et bien initiable, et va même plus
loin : Pendant que Tamino suit la voie "classique"
des épreuves, Sarastro offre directement son
enseignement à Pamina, de maître à
disciple.
""Une femme qui ne craint ni la nuit ni la
mort, affirme le rituel de "La Flûte enchantée"
est vénérable et sera initiée."
Et c'est Pamina, lors des ultimes épreuves, celles
du Feu, de l'Eau et de la Mort, qui conduit Tamino vers
la Lumière."
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 36, XO Editions.)
|
Dans le donjon du Temple,
Marie-Antoinette fut, elle, en relation directe avec le Temple
(- Sarastro ?) , une relation si terrible que les cheveux lui blanchirent
en une nuit.
il
y a cette image divine que Tamino-Mozart vit dans le portrait
de Pamina, fille de reine orgueilleuse (Marie-Antoinette n'était-elle
pas reine par la Grâce divine ?) et cette royauté
du couple, retrouvant celle de "Thamos, Roi d'Egypte"
:
"En
découvrant le portrait de Pamina, ce n'est d'ailleurs
pas d'une mortelle dont Tamino s'éprend, mais
d'une image divine. Allant au-delà de leur humanité,
Tamino et Pamina franchissent toutes les étapes
de l'initiation aux grands mystères et deviennent
le Frère et la Soeur. Tels le roi et la reine
de la symbolique orientale, ils ont gravi la montagne
en suivant chacun leur chemin pour se rejoindre au sommet."
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 32, XO Editions.)
|
"en suivant chacun
leur chemin", encore un trait commun à Mozart et Marie-Antoinette.
il
y a le fait que l'union de Tamino et Pamina est l'aboutissement
de toute l'oeuvre initiatique de Mozart, se résumant
à quatre opéras : "Les Noces de Figaro",
"Don Giovanni", "Cosi fan tutte" et "La
Flûte enchantée". Aucun mariage véritable
n'est célébré dans les trois premières
oeuvres :
"Le
thème central des quatre opéras initiatiques
de Mozart formant un Plan d'oeuvre et un ensemble cohérent,
est précisément la formation du couple
royal capable d'accéder à la connaissance
initiatique. (...)
""En toutes circonstances, affirme "La
Flûte enchantée", si un être
faillit, l'amour le guide vers le Devoir." Au terme
de cet opéra rituel, Tamino et Pamina sont unis
par le Vénérable Sarastro. Auparavant,
combien d'épreuves redoutables et quel long chemin
!"
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 32, XO Editions.)
|
Toute une oeuvre donc,
pour aboutir avant sa mort à la formation d'un couple
royal d'initiés, qui pourra faire de la terre un royaume
céleste :
"Si
la Vertu et la Justice répandent la Gloire sur
le chemin des Grands, alors la terre est un royaume
céleste, et les mortels sont semblables aux dieux."
("La Flûte enchantée", citée
par Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 23, XO Editions.)
|
Exactement ce qui est
dit du règne du Grand Monarque, descendant de Marie-Antoinette,
selon la tradition prophétique !
Tout cela n'est-il pas fort curieux,
quand,
enfant, on a promis a une future reine qui sera terriblement éprouvée
(initiée ?) dans le Temple, de l'épouser lorsqu'on
sera grand ?
quand,
de cette reine doit descendre un Grand Monarque, qui réalisera
exactement ce que le couple Tamino-Mozart/Pamina doit réaliser
?
quand
Y celui à qui il est dit qu'il
est ce descendant, se trouve relié d'une manière étonnante
à Mozart et Louis XVI, et a, précisément l'inspiration
d'une Jérusalem Céleste, pyramide inversée
ouvrant la Lumière jusqu'ici
fermée de la pyramide compositionnelle à l'endroit,
ce qui le relie à l'Egypte et à Isis, dont les fidèles
:
"voient
le soleil briller au coeur de la nuit et approchent
les dieux" ?
( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 16, XO Editions ;)
|
quand
cette inversion de la pyramide libérant la Lumière
est tout à fait dans la logique des deux couples de "Cosi
fan tutte", c'est à dire va tout à fait avec
la spiritualité de Mozart (l'inspirateur ?) :
"Deux
couples, dont les partenaires croient s'aimer, doivent
subir "l'inversion des lumières" et
passer de l'autre côté du miroir afin de
se connaître en vérité et de se
reformer comme à l'origine, mais en pleine conscience"
?
( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 24, XO Editions).
|
quand
cela va avec la mort-lumière opposée avec la vie-ténèbres,
encore terriblement illustrée par la seule rescapée
officielle du Temple, la seule qui, officiellement, eut la vie
terrestre sauve, dans la mesure où elle deviendra la très
probable comtesse des Ténèbres, devenir couvert
par le duc d'Angoulême, très probable Grand-Prieur
de l'Ordre du Temple (cf. comtesse_des_tenebres.htm)
?
quand
l'oeuvre du compositeur est inachevée sur terre, comme invite
à le penser le nom de sa ruelle : "Rauhensteingasse",
ruelle de la Pierre rugueuse, ce qui suppose qu'elle se poursuit
dans la mort, et qu'avec la préparation, comme les signes
l'indiquent à Y,
de l'avènement du Grand Monarque, il devient le passeur
conduisant l'humanité de l'Ere du Poisson à celle
du Verseau, un rôle qui peut encore parfaitement aller avec
celui dont parle Christian Jacq :
"D'après
les "Textes des Pyramides" égyptiennes,
le pharaon doit éveiller un passeur aux deux
visages, l'un tourné vers l'invisible, l'autre
tourné vers le visible. il lui communique alors
le secret de la vie et lui donne la capacité
de rassembler ce qui était épars"
?
( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
p. 45, XO Editions).
|
Une conception qui n'est
pas sans rappeler celle de l'un des tableaux de Yochk'o Seffer,
dans "Chromophonie Scriptorale" :
|
|
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Une question reste en suspens pour Y
: Pourquoi trouve-t-il dans la mort de Mozart des relations au Temple
des templiers plutôt qu'à celui d'Isis, où,
d'après Christian Jacq se trouve la source fondamentale de
Lumière, inspiratrice de Mozart ?
Ne serait-ce pas parce qu'en Orient les templiers se sont ouverts
à l'islam, alors que le culte d'Isis a disparu, en Egypte,
par l'islam ?
"Ce
Vénérable (Ignaz von Born,
N.D.L.R.) était l'un des héritiers de
la tradition ésotérique de l'Egypte ancienne,
dont la civilisation ne s'éteignit complètement
qu'au VIème siècle de notre ère.
Alors, l'islam recouvrit les Deux Terres, la Haute et
la Basse Egypte, et la transmission des anciennes initiations
fut interrompue." ?
( Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
pp. 12-13, XO Editions).
|
Alors qu'Allah
est le grand oublié de la cantate maçonnique, K. 619
:
"Une
cantate maçonnique recommande aux Frères
d'honorer le créateur de l'univers, qu'on le
nomme Dieu, Jehovah, Fu ou Brahma. En écoutant
ses paroles, ils mettent en oeuvre leur serment : participer
à la construction du grand temple" ?
(Christian Jacq, "Le Mystère Mozart",
pp. 12-13, XO Editions).
|
Mozart n'avait-il pas
encore à évoluer vers ce qu'il fit découvrir
à Y
en Scriptoral : la forme d'esprit de destruction-transformation
respectueuse (cf. integration.htm),
faite de deux pyramides inversées, et s'opposant donc doublement
à la pyramide compositionnelle à l'endroit de l'Egypte
d'Isis, cette forme d'esprit correspondant à celle du prophète
Muhammad est partie constituante à 50 pour cent de Scriptoral
- Jérusalem céleste, également pyramide inversée
- le véritable grand temple à construire, ou grand
oeuvre à réaliser - ? Ne fallait-il pas à Mozart,
qui fait de Monostatos un Maure, et donc un musulman, faire
passer Isis elle-même de l'autre côté du miroir,
lui faire inverser sa Lumière pyramidale, pour qu'elle
atteigne la pleine conscience ?... Une pleine conscience
vers laquelle les templiers commencèrent de s'engager
en Orient ?
|
Post scriptum
: Ainsi qu'il a déjà été dit à
plusieurs reprises, votre serviteur est arrivé à Scriptoral,
la pyramide inversée de lumière, au tout début
des années 90 (1990 ou 1991 ?), époque à laquelle
l'architecte Ioeh Ming Pei, assisté par Peter Rice et RFR,
a conçu la pyramide inversée du Grand Louvre souterrain
(elle sera livrée en 1993), - parallèlement la pyramide
inversée sera suggérée dans la nef de la cathédrale
d'Evry construite sur les plans de l'architecte Mario Botta de 1992
à 1996, voir "nef" à l'adresse http://perso.wanadoo.fr/bernard.lecomte/cathedrale-evry/textes/interieur.htm
-.
Revenant à la pyramide inversée du Grand Louvre, il
est intéressant de signaler, que comme Scriptoral, elle est
d'abord une pyramide lumineuse, chargée d'éclairer
les espaces d'exposition et des commerces de la galerie du Carroussel,
cf. photos en http://www.rfr.fr/Pages/fran/projbank/298/298.html,
où on peut aussi lire :
|
"Après une première collaboration lors des phases de
dessins d'exécution et de fabrication de la pyramide du
Louvre, l'architecte Ioeh Ming Pei a demandé à Peter Rice
et RFR de l'assister, pour le Grand Louvre, dans la conception
d'une deuxième grande pyramide, inversée cette fois. Celle-ci
est conçue comme un lustre qui reflète la lumière du jour
dans les espaces d'exposition et des commerces souterrains
de la galerie du Carrousel.
(...)
"L'inclinaison des pans de verre les rend particulièrement
performants en terme de réflexion de la lumière. Les espaces
situés derrière les surfaces vitrées sont plus sombres que
le ciel : les pans de verre deviennent donc très réfléchissants.
Une grande quantité de verre se trouve ainsi réfléchie vers
les couloirs souterrains tandis que la pyramide semble extrêmement
lumineuse en vertu des valeurs relatives de lumière dans
ces espaces."
http://www.rfr.fr/Pages/fran/projbank/298/298.html
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