Si je suis d'accord avec votre début de phrase, il n'en va pas de même avec votre question : l'Infini est sans fin, par définition. Il n'y a, par conséquent, pas à se demander jusqu'à quel infini aller, l'Univers pouvant n'être pas plus gros qu'un point par rapport à lui, point dont le propre est de n'avoir aucune dimension, seulement une localisation.
Entre l'Infini et le fini, la différence est de nature, et, dans cette hypothèse, il n'y a pas, en vue, de fin à venir pour notre Univers. Mais, à la différence de vous, qui titrez votre page 51 : « La fin de l'éternité », je crois qu'il n'y a pas plus de commencement. C'est ainsi que je comprends ce passage de la seconde lecture de dimanche dernier 21 Novembre 2021, avec le Seigneur Dieu pleinement installé dans un présent, un passé et un avenir, sans aucune limite :
« Moi, je suis l'Alpha et l'Oméga, dit le Seigneur Dieu,
Celui qui est, qui était et qui vient, le Souverain de l'univers. »
(Apocalypse 1, 5-8)
Ce n'est pas impossible à envisager : en effet, après avoir cru en l'unicité du système solaire, puis de notre galaxie et maintenant de notre Univers avec des millions, voire des milliards de galaxies, dites-vous, il suffit de croire en un Univers composé de millions, voire de milliards d'univers, dont le nôtre, ce que l'Infini véritable nous permet d'imaginer, car, vu de suffisamment infiniment loin par l'Univers spirituel divin des univers rationnels humains, ceux-ci seraient chacuns, comme les grains de sable d'une plage, elle aussi divine.
Vous dites n'être toujours pas parvenus à résoudre le problème « posé par l'existence d'une "force" étrange venue du fond des temps, avant le Big Bang, avant même la naissance physique de notre Univers (...) le cosmos était comme soumis à l’action d’une force invisible, qui le forçait à se ruer de plus en plus vite vers l’infini (...) notre recherche de l’Univers avant le Big Bang nous avait menés face à l’un des mystères les plus profonds de la cosmologie d’aujourd’hui (...)
Ce mystère c'est celui de l'Énergie Noire. » (LVD, p. 228)
Si l'on admet comme Créateur Universel le Verbe de Dieu, tel que présenté dans le Prologue de l'Evangile de Jean :
« I. Au commencement le Verbe était
et le Verbe était avec Dieu
et le Verbe était Dieu.
Il était au commencement avec Dieu.
Tout fut par Lui
et sans Lui rien ne fut. »
(L’Evangile selon Saint Jean, Prologue, 1, 18,
La Sainte Bible, Ed. du Cerf, 1956),
et les cycles de 4 temps de son évolution, tels qu'ils m'ont été révélés en Scriptorale, tout s'explique et montre que vous êtes sur le chemin de cette explication, avec votre théorie de l'information, qui encode les supports de stockage de données ne cessant de se multiplier : en effet, depuis l'enfance, j'ai été aux prises avec le problème de l'écriture musicale, qui fixe dans la noirceur de l'encre une musique devant ressusciter, lumineuse, de cette fixation, la fixation pouvant être aussi celle du disque noir, qui revient à la mode en force, ou celle des supports numériques, le numérique étant aussi la clé de votre explication de l'Univers et le numérique où dorment, ou plutôt, semblent dormir, des données audio-visuelles capables de réveiller les émotions les plus puissantes. Avant de venir à l'essentiel, j'ajoute cela sur mon expérience de la noirceur du script avec ce bois flamboyant qu'est le saxophone, saxophone que j'eus beaucoup de mal à faire flamboyer, comme peut en témoigner mon Maître : Jean-Marie Londeix, trop bloqué par mon rationnalisme technique, auquel manquait, tout simplement, l'Amour. Car je crois que ce n'est pas en cherchant, rationnellement, les limites de l'Univers, qu'il se donnera à nous, mais en l'aimant spirituellement dans son Infinité, en cherchant à le connaître jusqu'à co-naître avec Lui, qui est
Verbe Composé, Interprété, Détruit et Transformé respectueusement-
Dieu-Vie- Energie-Lumière !
Et justement, voilà qui amène de l'Eau à Ton moulin, Père très Saint :
Fig.
27 : la crucifixion avec son titre en latin
Ne nous as-tu pas donné, Père Compositeur, avec Ton Fils Interprète, Jésus, une religion, pour nous faire comprendre cela, en « jetant », comme disent les musulmans, ton Verbe d'Amour, divine semence, en Marie-Maryam pour qu'Il s'y incarne comme Ton Fils Unique, Ta Composition, Composition, qui a accepté que Tu l'écrives ?
Et cette Composition, ce Verbe incarné, Père Tout-Puissant, tu l'as écrit, à travers les siècles, d'une terrible façon, compatible avec le phénomène de son Incarnation : en le fixant avec des clous au bois de la Croix, cette Crucifixion symbolisant totalement le Cycle Créateur, par les 2 directions de la Croix : les 2 temps d'Élévation verticale de la Composition-Interprétation à Ta Droite et les 2 temps d'Ouverture horizontale par descente-remontée, de la Destruction-Transformation Respectueuse, à Ta Gauche, Toi-même, Père Compositeur, T'élevant verticalement, au centre du Carré de ces 4 temps, Vème force, « quintessence » des 4 autres, qu'elle équilibre infiniment parfaitement.
« Vers la neuvième heure, Jésus clama en un grand cri :
« Éli, Éli lema sabachtani ? »
c'est à-dire :
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? »
(...)
Or Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l'esprit. » »
(L’Evangile selon Saint Matthieu, 27, 46,
La Sainte Bible, Ed. du Cerf, 1956.)
C'est Vers la neuvième heure que Jésus s'adressa à Son Père, neuvième : le dernier des nombres de la réduction théosophique, confirmant bien, que Tout est accompli, clamé en un grand cri : le verbe « clamer », utilisé en cette traduction, signifie : « affirmer avec force et vigueur dans la voix et le ton » ; « clamer en un grand cri » redouble la violence du cri, ce qui est surprenant chez un homme affaibli par six heures de crucifiement et ce qui témoigne de la vigueur de son énergie, au moment de la mort, qui survint juste après, dans un autre « grand cri ». Non seulement, Énergie du Crucifié, mais aussi, de la Croix et de la mort elle-même qu'elle apporte : Énergie Noire. « Énergie » étant inscrit au dessus de la tête du supplicié, dans le titre de la Croix :
INRI,
En effet... car si, en latin, INRI est l'abréviation de
Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum,
où NR est encadré par deux « I »,
la traduction française (traduction de cette
« France qui est la fille aînée de l'Église »),
encadre NR par deux « J »,
ce qui donne :
JNRJ,
Jésus le Nazaréen Roi des Juifs, où
l'N-R-J- Noire
de Jésus au tombeau
apparaît dans la noirceur de sa mort.
Remarquons que l'écriture de NRJ pour Énergie
se retrouve chez Netflix et dans Radio NRJ, entre autres...
Cela provient-il du titre de la Croix du Christ ?
Ne serait-ce pas là un appel du Seigneur
pour rassembler les brebis restantes
de Son Troupeau ?
Toujours est-il que
le CREDO,
Symbole des apôtres,
confirme que la mort n'est pas néant,
puisque Jésus,
mort et enseveli, est descendu aux enfers.
Ceux-ci, cf. Wikipédia, ont pour autre dénomination le shéol,
qui représente un lieu sombre et silencieux où les morts sont endormis,
couchés dans la poussière.
Cet endroit ténébreux,
où Jésus est descendu après avoir si violemment interpellé son Père
sur les raisons de ce qu'il ressentit comme un abandon,
précède le trosième jour : celui de sa Résurrection :
de l'Énergie-Lumière succèdant à l'Énergie Noire.
Mais revenons à ce que Matthieu dit de sa mort :
Jésus « rendit l'Esprit ».
Or, tout texte est constitué de lettre et d'esprit
et, lorsqu'on meurt, on rend l'esprit, quand on en a !
mais jamais la lettre : n'est-ce pas cela que Jésus a compris,
devant ces morts endormis, couchés dans la poussière, en attente d'esprit pour ressusciter,
en réveillant l'Énergie Lumière emprisonnée en eux par la Lettre Morte de leur vie,
pour en faire de l'Énergie Noire,
jusqu'à ce que, sortant au grand jour,
elle redevienne de l'Énergie Lumière.
Et là, comment ne pas penser à la boule du Yang et du Yin,
où le noir du Yin
disparaît en un point dans le blanc du Yang,
qui, à son tour disparaît en un point dans le noir du Yin... ?
en Présence du Verbe-Dieu-Vie-Energie-Lumière-Vérité,
S'abandonnant indéfiniment à Sa Création.
Tiens, Père Très Saint :
« S'abandonnant » :
il est question d'« Abandon » !
Abandon de Ton Oeuvre, mon Dieu,
puisque Jésus est Ton Verbe que tu jetas en Marie,
Oeuvre - Crucifix maintenant achevée, que Tu livres au monde,
l'abandonnant à ton divin Interprète de Fils pour qu'Il en exprime tout le sens,
toute la Noire Energie, Clameur de Son Cri - Réveil des morts, dont Il est le Premier,
puisque cette Oeuvre est comme Lui, Ton Verbe Infini,
Père d'un... Univers des Univers ?
sans commencement
aucun,
l'humanité
ayant par nature
« horreur du vide »
n'est-ce pas, Aristote ?
Je reviens à Toi,
le Premier et le Dernier,
- de nombre 10 et de rt 1 -
le Premier quand le Dernier,
quand abandonné par tous,
pour témoigner d'un signe,
que, je le crois, tu m'as envoyé :
nous sommes le 2 Décembre 2021,
217ème anniversaire du Sacre de Napoléon 1er,
où le nouvel empereur voulut s'affirmer le Premier
et jour de terminaison de l'essentiel de cet article,
article dont la rédaction passa par le 16 Octobre 2021,
et 16 Octobre 2021, dont je remarquai qu'il était le
228ème anniversaire
de l'exécution de Marie-Antoinette,
conduite en toute droiture à l'échafaud
dans un tombereau à fumier
et dans le plus total
abandon de sa superbe, et abandon propice à la
libération de l'Energie Noire, ce que confirme le nombre
228,
comme
4-8 ou IV-VIII
de son terrible anniversaire
en 2021 de rt
V
:
Fig. 28 : Marie-Antoinette, le 16 Octobre 1793
N'y voit - on pas 4-8-V sur fond jaune :
l'aboutissement, après 1-V-9, de la conduite de la Lumière Noire,
reliant souterrainement
la suppression de l'Ordre des Templiers et l'exécution des principaux d'entre eux,
à l'emprisonnement,
dans le donjon parisien de leur Ordre,
de la monarchie française,
abolie puis
exécutée ?
Fig. 29 : 4 - 8 - V - vers une
sortie de l'Énergie Noire
Mais cette dernière est-elle bien morte ?
1-V-9-4-8-V au double V=10 de rt 1,
et bien d'autres signes,
disent,
qu'au contraire,
elle aurait été nuitamment initiée à la spiritualité templière,
son Énergie Noire
avec laquelle elle doit ressusciter,
depuis 228 ans.
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