SOMMAIRE MUSIQUE LETTRES OUVERTES
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L'AVANT BIG BANG :

RÉVÉLATION DIVINE ET SCIENCE HUMAINE

Lettre ouverte posthume à Igor et Grichka Bogdanov (*)
sur Le Visage de Dieu
(Éditions Grasset)


(*) Igor et Grichka Bogdanov sont décédés de la Covid 19 les 3 janvier 2022 et 28 décembre 2021,
alors que je terminais cette lettre ouverte, qui devient donc
une lettre ouverte posthume,
où je présente toutes mes condoléances à leur famille,
avec mes grands regrets de ne pas pouvoir échanger de vive voix, avec eux, sur cette rencontre qui m'a passionné,
mais en espérant toujours pouvoir le faire, à travers la cloison qui nous sépare,
maintenant qu'ils sont « simplement passés dans la pièce d'à côté. »
(Charles Péguy - l'extrait entre guillemets -
d'après un texte de
Saint Augustin).



Fig. 1 : Big Crunch - Wikipédia.fr




LETTRE AU PAPE FRANÇOIS





Pour information :
mon dernier message
au Très Saint Père le pape François

       Très Saint Père,

       En  http://abouhey1.free.fr/l_o_big-bang.htm, je me permets de vous signaler,

L’AVANT BIG BANG : RÉVÉLATION DIVINE ET SCIENCE HUMAINE,

la lettre ouverte posthume que j’ai écrite à Igor et Grichka BOGDANOV sur LE VISAGE DE DIEU, le livre qu’ils ont publié aux Éditions Grasset.
        Igor et Grichka BOGDANOV se sont respectivement suivis dans la mort les 28 décembre 2021 et 3 janvier 2022 et je présente toutes mes condoléances à leur famille avec tous mes regrets de ne pas avoir pu parler avec eux de cet article.

        Comme le disent Michel-Yves BOLLORÉ et Olivier BONNASSIES, dans DIEU-LA SCIENCE-LES PREUVES, édité chez Guy Trédaniel : « Jusqu’à il y a peu, croire en Dieu semblait incompatible avec la science. À présent, de façon inattendue, la science semble devenir l’alliée de Dieu et le matérialisme, qui n’est qu’une croyance comme une autre, chancelle chaque jour davantage ». Je partage ce sentiment qui reste de l’ordre de la connaissance rationnelle, laquelle, nous dit Paul, est appelée à prendre fin, ainsi que les prophéties et les langues. Celles-ci sont donc limitées, comme l’Univers proposé aujourd’hui par la science : ayant au moins un commencement et peut-être, une fin, il ne serait donc pas éternel, tandis que « l’Amour ne périt jamais » (Paul, 1 Corinthiens 13.8), comme l’éternité de l’Univers que notre Père me fait entrevoir, Lui qui est le Commencement et la Fin et Qui jamais ne finit ni ne commence, puisque Son Commencement est Sa Fin, et Sa Fin, Son Commencement !
 
       C’est pourquoi, si je me permets de vous signaler cet article, c’est que, tout simplement, je le crois inspiré par notre Père, Qui m’a déjà permis de montrer comment Scriptorale était la Jérusalem Céleste, en 19 coincidences et synchronicités, (cf. http://abouhey1.free.fr/l_o_commun_vide.htm#19) et maintenant, Qui m’emmène encore plus loin (http://abouhey1.free.fr/l_o_big-bang.htm#big), me révélant, je le crois, en Scriptorale – Jérusalem Céleste, un écho de l’Avant Big Bang, de cette Énergie noire, canalisée dans ce qui m’est montré comme le Trône numérique de Dieu, du centre duquel elle jaillit, se métamorphosant, dans le passage XVI-XVII, en Énergie-Lumière de la Résurrection, après que Notre Seigneur Jésus-Christ l’ait visitée et qu’Il réveille, maintenant, ses 36 rois, de Hugues Capet à Charles X, rois par la Grâce de Dieu, de la Fille aînée de l’ Église : notre France ; rois convoqués pour assister le 37ème à venir, annoncé par Nostradamus (cf. http://abouhey1.free.fr/interpretation.htm) le prophète de ces derniers siècles, sous le nom de Chyren – Henry Roy de France second, dont Aimé de Chavigny, beaunois ami du prophète, dit :

 « Le dernier âge estoit, une Dame royalle,
Qui portait d'une main couronne impériale,
De l'autre un globe rond, sur lequel on lisoit
(Grand mystère) Chiren, lequel tourné faisoit
Le sacré nom Henric, qui, mis au chef du monde,
Doibt un jour commander à la machine ronde. »
(Jean-Aimé de Chavigny, le Janus français, 1594).


Avec tous mes vœux pour que 2022 baigne dans la Lumière divine,
je vous prie de croire, Très Saint Père,
en l’expression de mes sentiments
les plus respectueux.
ABOUHEY-YEHOUBA
HEYCNR.

Saint-Germain-en Laye, le 21 janvier 2022

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I.-
CRÉATION HUMAINE ÉCHO DE
CRÉATION UNIVERSELLE






Saint-Germain-en-Laye, le 21 janvier 2022

À Fatou N'Diaye, la Lionne, et à « Mamy » ;
à Louis, Odette et aux deux Henrys ;
à J.N.R.J. et à Marie-Antoinette ;
avec tous les remerciements du Chameau : Tala Fall !



        Parut un homme envoyé de Dieu.
        Il se nommait Jean.
        Il vint comme témoin,
        pour rendre témoignage à la lumière,
        afin que tous crussent par lui.
        Il n’était pas la lumière,
        mais le témoin de la lumière.
(L’Evangile selon Saint Jean, Prologue, 1, 6-8,
La Sainte Bible, Ed. du Cerf, 1956.)



  

Bonjour de l'autre monde, Messieurs Igor & Grichka Bogdanov,

 

Saxophoniste d'images et de lettres, consacrant ma vie à la Création "scriptorale"
sur la relation des
3 formes d'esprit de
Composition-Interprétation / Improvisation,
agissant en 4 temps de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
respectueuse,

je me permets de vous adresser, ainsi qu'à toutes et tous, cette lettre ouverte, après avoir étudié Le Visage de Dieu (ce livre remarquable que vous avez publié aux Editions Grasset), car nos approches sont complémentaires : les vôtres sont d'abord scientifiques, rationnelles et humaines, mais avec une conception de la science, qui « parfois se confond avec la plus haute spiritualité » (LVD, 4ème de couverture), mon approche est, je le crois parce qu'un exceptionnel réseau de signes me le dit, davantage de l'ordre spirituel de la Révélation divine.
    C'est pourquoi, en raison de ce que nous partageons et si nous parvenons à communiquer, je serai heureux que ce soit dans l'esprit de la maxime du Père Lacordaire, qui vous a toujours inspirés :

« Je ne cherche pas à convaincre d’erreur mon adversaire, mais à me rapprocher de lui dans une vérité plus haute »
(Emission d’Isabelle Morizet du 18 novembre 2012 sur Europe 1),
« vérité plus haute » qui est, pour moi, « co-naissance ».

.

     Dans Paroles d'Ange, se trouve ce qui m'a été révélé du rapport du rationnel au spirituel, à travers les carrés de 7 cercles vibratoires répartis sur 49 niveaux, eux aussi vibratoires, le niveau 18 étant précisément celui du passage du rationnel au spirituel, le niveau où le doigt de l'humanité touche au Doigt de Dieu.

     Cette complémentarité fait que l'on peut considérer les Créations divine et humaine, dans quelque domaine que ce soit, comme des échos de la Création de l'Univers, échos susceptibles de nous renseigner sur cette dernière. Pour conforter mes dires, je vais tout d'abord vous présenter Scriptorale, telle qu'elle m'a été révélée en scotchant des petits pyramidions de papier sur une boule de pétanque, dans l'été 1991, et une vidéo sur L'Évolution de l'Univers selon Scriptoral, réalisée en 2018, le tout sur fond de Big Crunch, cette inversion du Big Bang :

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II.-
SCRIPTORALE ET
BIG BANG / BIG CRUNCH




Big Crunch - Wikipédia.fr
découverte scientifique humaine

Scriptorale - Jérusalem Céleste
Révélation divine


Fig. 2 : Big Bang

Fig. 3 & 4 : Big Bang / Big Crunch


Fig. 5 : Scriptorale - Jérusalem Céleste

Si je crois que Scriptorale révèle ce qu'est la Jérusalem Céleste, fiancée du Seigneur,
en qui on peut voir « le Visage de Dieu », pour reprendre le titre de votre livre, Messieurs Bogdanov,
titre inspiré de la phrase célèbre de l'astrophysicien George Smoot, visionnant les images rapportées par le satellite Cobe :
« c'était comme voir le Visage de Dieu ! »
si donc je crois cela,
c'est en raison de 19 fortes coïncidences entre cette pyramide inversée et la divine cité.
Je les ai rapportées en Covid 19, un grand Absent très Présent.
Et voilà maintenant que la science donne des images confirmant cette Révélation,
grâce aux « astronomes de métal » que sont les 3 satellites
COBE, WMAP et PLANCK,
lancés respectivement le 18.11.1989, en 2001 et le 14.5.2009,
comme le dit la peinture de couverture par Michel-Ange de votre livre,
qui représente Dieu donnant la vie à Adam en lui tendant le doigt !








Fig. 6 : le temps Oral fondamental



Fig. 7 : Oral 0 -
Script I-II (Composition I - Interprétation II)



Fig. 8 : Oral 0 -
Script I-II / III-IV (Composition I - Interprétation II /
Destruction III - Transformation IV respectueuse)

Formation 0
(0, néant, Rien, du Script,
Tout de l'Oral primordial)
Big Bang en expansion limitée
par la surface de la sphère,
Saison correspondante : printemps.









1er de 5 Arbres de Vie :
4 latéraux + 1 Vème, central,
0 - I - II :
0 : Formation, racine,
Big Bang en expansion limitée
par la surface de la sphère, élévation.
Saison correspondante : printemps.
I : Composition, tronc,
Big Crunch en contraction limitée
à la hauteur du rayon de la sphère, élévation.
Saison correspondante : été.
II : Interprétation, feuillage,
Big Bang en expansion limitée
par la base inversée du pyramidion, élévation.
Saison correspondante : automne.

1er de 4 Cycles créateurs :
I - II - III - IV :
I - II,
cf. cellule de gauche,
III : Destruction respectueuse de I - II
(respectueuse de l'existence de I - II),
Big Crunch en contraction limitée
par le centre de la sphère, début d'ouverture.
Saison correspondante : hiver.
IV : Transformation respecteuse de I - II,
Big Bang en expansion limitée
par la surface de la sphère, ouverture.
Saison correspondante : printemps.





Fig. 9 : les 4 cycles créateurs sans le temps Transformation XVI


Fig. 10 : les 4 cycles créateurs avec le temps Transformation XVI


L'enchaînement des 4 Cycles créateurs
de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
respectueuse
I-II / III-IV ; V-VI / VII-VIII ; IX-X / XI-XII ; XIII-XIV / XV-(XVI)
par les (Trans)formations - Compositions
0-I - IV-V - VIII-IX - XII-XIII,
la Transformation XVI ayant à trouver sa place,
qui se révèlera de tout premier choix
dans la cellule suivante.

L'Évolution de l'Univers
selon Scriptorale





Fig. 11 : Histoire de l'Univers selon la science, le 16 octobre 2021


V

Les 4 Cycles créateurs au complet
avec le temps XVI en position parfaitement verticale et centrée
assurant la... super symétrie ?... de l'ensemble,
Big Bang en expansion limitée par la surface du bas de la sphère,
sur laquelle il appuie toute son énergie... (suite ci-dessous)


...provoquant ainsi, par réaction, en sens inverse,
XVI-XVII,
le Vème et fondamental
Arbre de Vie,
en même temps que le Big Bang final, d'
Èternité XVII,
en expansion, illimitée cette fois,
où l'énergie-lumière s'élève en s'ouvrant et s'ouvre en s'élevant,
en accélérant du fait de l'ouverture pyramidale inversée
de l'espace s'ouvrant en s'élevant à temps égal.
Saison : Éternel Printemps.


Fig. 11 : Histoire de l'Univers
selon, je le crois, ce que j'ai compris du message de Dieu,
ce XVI octobre 2021, 228ème anniversaire (2+2 = 4 - 8 rt de 13 - 17)
de l'exécution - L'ÉNERGIE NOIRE, le RIEN du TOUT qui est TOUT du RIEN -
de Marie-Antoinette
,
au rôle crucial dans cet écho de Big Bang , qu'est
la Révolution française.




III.-
BIG BANG
SCIENCE ET DIEU






Fig. 2 : Big Bang

Fig. 3 & 4 : Big Bang / Big Crunch


Fig. 5 : Scriptorale - Jérusalem Céleste


     Considérant donc les Créations humaines, dans quelque domaine que ce soit, comme des échos de la Création de l'Univers, échos susceptibles de nous renseigner sur cette dernière, voici une comparaison entre une représentation scientifique du Big Bang inversable en Big Crunch, à gauche, et Scriptorale, à droite, d'abord création artistique humaine, que 19 coincidences m'ont par la suite révélée être la représentation de la Jérusalem Céleste, fiancée du Seigneur, de l'Apocalypse de Jean, et donc, représentation de la Création de l'Univers par Dieu, qui en montre le véritable Visage. Voyons donc où nous en sommes avec nos satellites de métal, de la connaissance de notre Créateur, et de la Co-naissance avec Lui !

BIGS BANGS
HUMAIN (à gauche) & DIVIN (à droite)
(DIVIN = SCRIPTORALE - JÉRUSALEM CÉLESTE)
DÉCOUVERTE SCIENTIFIQUE HUMAINE
APPORT DE LA RÉVÉLATION DIVINE
  • les deux Bigs Bangs ont la forme d'une pyramide inversée limitée en hauteur comme en ouverture, dans cette représentation scientifique ;

  • ils partent tous deux d'un point, le point, qui, selon Google : « ne désigne pas un objet mais un emplacement. Il n'a donc aucune dimension, longueur, largeur, épaisseur, volume ou aire. Sa seule caractéristique est sa position. On dit parfois qu'il est "infiniment petit", mais n'est ce pas déjà, en faire un objet ?».
         C'est assez dire que le Big Bang part de Rien, du Néant, un Néant qui est Tout et un Tout qui est une Position, Position qui, elle-même, est Tout : un beau sujet de méditation ! à compléter par : l'infinie petitesse peut-elle être absence d'objet ?
  • En Scriptorale, la pyramide, illimitée en hauteur et dont l'ouverture s'accélère en s'élevant, passe par une sphère, sphère correspondant à l'inflation de la figure 10 ?

  • En Scriptorale encore, le point de départ de la pyramide inversée de Lumière est branché sur le temps V, centre de la 1ère ligne de ce qui m'est apparu comme le trône numérique carré ou cubique de Dieu, V qui épouse dans les ténèbres, le départ de la pyramide inversée. Énergie noire ? En tous cas, « en dehors », « en-dessous » spirituels du monde physique engendré par le Big Bang. (Cf. figures 2 & 5) ;




  • ils ont tous deux 5 (V) Lumières, de même que sur les images de fond ;



  • ces V (5) Lumières, correspondent, à droite, à l'aboutissement des expansions limitées des 4 Arbres de Vie latéraux, auxquelles s'ajoute l'expansion illimitée en élévation, de la Lumière de l'Arbre de Vie central qu'est l'Eternité XVII (Cf. figures 2 &5) ;
  • tous 2 ont 3 étages carrés, où se répercutent les Lumières ;











  • à droite, ces étages sont formés par la jonction des 4 limites d'expansions des (Trans)Formations - Big Bangs limités : 0-IV-VIII-XII, avec les 4 bases de contractions des Compositions - Big Crunchs limités : I-V-IX-XIII, pour le 1er étage ;
    le second étage est, lui, en contraction, il joint les sommets des Compositions - Big Crunchs limités : I-V-IX-XIII, aux points de départs des Interprétations - Big Bangs limités : II-VI-X-XIV ;
    quant au 3ème étage en expansion, c'est l'aboutissement des 4 Interprétations - Big Bang limités : II-VI-X-XIV. (Cf. figures 2 & 5) ;
  • les « étages », dans cette colonne, comme l'Univers qu'ils représentent, sont plats, ce qui est lié à l'absence de sphère et qui ne correspond pas à la forme sphérique que vous pensez être la sienne (LVD, p. 198) ;
  • les « étages » par contre, dans cette Révélation de Scriptorale - Jérusalem Céleste, épousent, comme il se doit, la courbure de l'Univers (Cf. figures 2 & 5).

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IV.-
POURQUOI N'Y AURAIT-IL QU'UN SEUL UNIVERS :
LE NÔTRE ?






     En dehors de nos petites individualités, qui tendent encore, chacunes, à se prendre pour le centre de l'Univers, on a longtemps cru que la terre était le centre du système solaire, puis que ce dernier était le centre d'une unique galaxie, jusqu'au 1er janvier 1925, où, écrivez vous :
« coup de tonnerre, les observations de Hubble et Humason montrent, sans contestation possible, que l’Univers n’est pas fait d’une seule galaxie mais de millions (peut-être même de milliards) d’autres. » Mais alors, pourquoi n'y aurait-il qu'un seul Univers ? Pourquoi n'y en aurait-il pas des millions, des milliards ou, encore mieux, une infinité, que l'on s'épuise à vouloir enfermer dans un nombre fini, la différence entre fini et infini étant une différence de nature, comme je vais tenter de le montrer ci-après, à partir des 285 pages de votre livre ? Il me semble que cela concilierait tout, dans le problème du commencement et de la fin ou non de l'actuel Univers. C'est Jean, dans le Prologue de son Évangile, qui m'y a fait penser, Prologue qui dit :

« I. Au commencement le Verbe était
       et le Verbe était avec Dieu
       et le Verbe était Dieu.
       Il était au commencement avec Dieu.
       Tout fut par Lui
       et sans Lui rien ne fut.
       De tout être Il était la vie
       et la vie était la lumière des hommes
       et la lumière luit dans les ténèbres
       et les ténèbres n’ont pu L’atteindre.

        Parut un homme envoyé de Dieu.
        Il se nommait Jean.
        Il vint comme témoin,
        pour rendre témoignage à la lumière,
        afin que tous crussent par lui.
        Il n’était pas la lumière,
        mais le témoin de la lumière.

        Le Verbe était la lumière véritable,
        qui éclaire tout homme ;
        il venait dans le monde.
        Il était dans le monde
        Et le monde fut par Lui
        et le monde ne l’a pas connu.
        Il est venu chez Lui
        et les siens ne l’ont pas reçu.
        Mais à tous ceux qui l’ont reçu
Il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu,
à ceux qui croient en son nom, 
Lui que ni sang,
ni vouloir de chair,
ni vouloir d’homme,
mais Dieu a engendré.
Et le Verbe s’est fait chair
et il a demeuré parmi nous,
et nous avons vu sa Gloire,
gloire qu’Il tient de Son Père comme Fils unique,
plein de Grâce et de Vérité.

Jean Lui rend témoignage. Il proclame :
« Voici Celui dont j’ai dit :
Lui qui vient après moi  est passé devant moi,
parce qu’avant moi Il était. »

Oui, de sa plénitude nous avons tous reçu
et grâce pour grâce.
Car la Loi fut donnée par l’intermédiaire de Moïse ;
la grâce et la Vérité nous sont venues par Jésus-Christ.
         
Nul n’a jamais vu Dieu ;
le Fils unique, qui est dans le sein du Père,
Lui, l’a fait connaître.      

(L’Evangile selon Saint Jean, Prologue, 1, 18, La Sainte Bible, Ed. du Cerf, 1956.)

     « Au commencement le Verbe était » : cette énergie fabuleuse est donc toute entière contenue dans le Verbe, Verbe qui est Dieu, Vie et Lumière véritable. Or, le Verbe est oral ou script, fixé par l'écriture, la Crucifixion du Verbe incarné étant une forme d'Écriture adaptée au phénomène de l'Incarnation. Quand Il est écrit, Il est composé, interprété ou improvisé, l'improvisation étant un nouvel oral, venant après l'écriture ; elle est le plus innovante quand elle détruit et transforme l'idée qu'elle se fait de la composition sur laquelle elle improvise, tout en en respectant l'existence intrinsèque. La composition fixant l'inspiration dans la noirceur de l'écriture est une forme de mort apparente, mais apparente seulement. En fait, elle véhicule toute l'énergie que l'interprète saura ressusciter.
     Cela constitue la base de ma réflexion sur l'évolution créatrice, à partir des 60 tableaux de
Chromophonie Scriptorale, réalisés par l'improvisateur - compositeur, peintre, sculpteur Yochk'o Seffer, sur 60 phrases qu'il m'a demandé de lui donner sur ce thème (l'évolution créatrice), tableaux que j'ai interprétés verbalement dans 60 textes placés sous ceux-ci, dans la page internet.

Composition-Interprétation / Destruction-Transformation respectueuse
(contraction-expansion / contraction-expansion limitées,
s'élevant obliquement et s'ouvrant horizontalement par descente-remontée)
formant un tronc de pyramide inversée
sous-tendu dans les angles par 4 Arbres de Vie :
(Trans)formation - Composition-Interprétation
(expansion-contraction-expansion limitées,
s'élevant obliquement).

équilibrant le tout, le Vème Arbre de Vie :
Transformation XVI - Synthèse XVII
(expansion limitée descendante - expansion illimitée ascendante,
verticales et inversant les énergies).

L'écho de Big Bang qui m'a été révélé,
est celui qui s'est produit avec la monarchie française, le 21.1.1793 :
à l'instant où le roulement des tambours couvrait et coupait le Verbe divin du XVI de Louis (roi par la Grâce de Dieu),
instant où sa tête guillotinée
chute violemment vers le bas, rétablissant, à l'intérieur de la Sphère créatrice,
juste au-dessus du Trône numérique divin, le Pouvoir pyramidal à l'endroit qu'il avait, jusque là, au-dessus de cette Sphère,
et instant où la reine, entendant le roulement, s'agenouille devant le petit duc de Normandie, son fils,
prononçant la phrase consacrée : « le roi est mort, vive le roi ! »
qui, dans la chute du XVI, inscrit l'encore Rien (il a huit ans et est privé de tout pouvoir)
du XVII du Louis suivant, point de départ de cet écho de Big Bang, dont il m'est dit
que le descendant inversera la pyramide du Pouvoir Créateur,
dans Scriptorale - Jérusalem Céleste,
un écho de Big Bang
supersymétrique.



Au commencement, le Verbe
était :
ce n'est donc pas une Création à partir de Rien,
mais à partir du Verbe, qui était déja là avec Dieu, Verbe qui était Dieu.
« Il était au commencement avec Dieu ».
Cela change Tout :
en effet, pourquoi ne pas comprendre que Dieu, le Verbe, la Vie, la Lumière véritable,
se donna à notre Univers dans le Big Bang, comme il le fera 13 milliards d'années plus tard avec Jésus.
Il se donna à notre Univers, comme Il le fait, de toute Eternité, avec des millions, des milliards, une infinité d'Univers, comme la science est en train de s'apercevoir que notre Univers ne compte pas une seule galaxie,
mais des millions, voire des milliards et - pourquoi pas ? - une infinité,
la différence entre Infini et fini, éternel et temporel,
dans l'espace-temps, étant différence de nature ?
En effet, Le Visage de Dieu, votre livre, compte 285 pages, et chaque page, 28 lignes, soient, au total, 7980 lignes.
Imaginons ces 7980 lignes remplies chacune de 5 fois : « milliards de », soient 5 x 7980 000 000 000 =
39 900 000 000 000, le nombre faramineux, mais fini, de trente neuf mille neuf cents milliards !
Imaginons maintenant que ce nombre fini soit, non pas celui des galaxies de notre Univers,
mais de tous les Univers existants, ce nombre fini, n'est Rien, par rapport à l'infini,
en tous cas, rien de plus que le seul volume que j'ai entre les mains,
et encore, ce volume est fini, défini
or, rien de fini ne peut entrer dans l'infini.
Et il y a quelque chose d'autre :
Le Verbe, Dieu, la Vie, la Lumière, Tout, Rien, se présente aussi comme
le Premier et le Dernier, l'Alpha et l'Oméga, le Commencement ou (le Principe) et la Fin.
D'où l'idée de cycle, de cercle, de sphère pour un point mathématique,
point mathématique sans dimension,
à l'origine de notre univers qui a un commencement
quand cet univers est créé et refuse de recevoir son Créateur,
mais qui devient enfant, « bébé Univers » de Dieu, comme vous dites, s'il Le reçoit :
il se fond alors en Lui et n'a plus ni commencement, ni fin, puisqu'Il est, à la fois, l'un et l'autre,
son Commencement est sa Fin et sa Fin est son Commencement, Premier quand Dernier et Dernier quand Premier,
Alpha quand Oméga et Oméga quand Alpha, Rien quand Tout et Tout quand Rien,
ce qui supprime toute idée de forme ou de formulation :
Exit la sphère !...
Tant qu'elle est présente,
les astronomes de métal sont emprisonnés
dans ce que je pressentais en ma définition des composants du Scriptoral,
né en 1976 à Dakar :
"Script": toute forme ou formulation de 1'"oral" qu'il fixe ;
"Oral" : énergie-lumière originelle de l'inspiration, telle que tout mot formulé oralement,
soit-il YHWH, est déjà un "script" qui la dénature.
n'est-ce pas cela l'Infini Mystère Créateur
de l' Informité :
Tout un... Univers ! à explorer :
le divin RIEN formel, source du TOUT créateur
et le MOI, son obstacle tant que le VIDE n'est pas fait.



Fig. 12 : les 49 niveaux vibratoires des 7 cercles vibratoires

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t

V.-
TRAJET EN SCRIPTORALE
DU VERBE - VIE - ENERGIE - LUMIERE VERITABLES





RAPPEL
D'UNE PARTIE DU CHAPÎTRE II










Fig. 6 : le temps Oral fondamental



Fig. 7 :
Oral 0 - Script I-II (Composition I - Interprétation II)


Fig. 8 : Oral 0 -
Script I-II / III-IV (Composition I - Interprétation II /
Destruction III - Transformation IV respectueuse)

Formation 0
(0, néant, Rien, du Script,
Tout de l'Oral primordial)
Big Bang en expansion limitée
par la surface de la sphère,
Saison correspondante : printemps.









1er de 5 Arbres de Vie :
4 latéraux + 1 Vème, central,
0 - I - II :
0 : Formation, racine,
Big Bang en expansion limitée
par la surface de la sphère, élévation.
Saison correspondante : printemps.
I : Composition, tronc,
Big Crunch en contraction limitée
à la hauteur du rayon de la sphère, élévation.
Saison correspondante : été.
II : Interprétation, feuillage,
Big Bang en expansion limitée
par la base inversée du pyramidion, élévation.
Saison correspondante : automne.

1er de 4 Cycles créateurs :
I - II / III - IV :
I - II,
cf. cellule de gauche,
III : Destruction respectueuse de I - II
(respectueuse de l'existence de I - II),
Big Crunch en contraction limitée
par le centre de la sphère, début d'ouverture.
Saison correspondante : hiver.
IV : Transformation respecteuse de I - II,
Big Bang en expansion limitée
par la surface de la sphère, ouverture.
Saison correspondante : printemps.





Fig. 9 : les 4 cycles créateurs sans le temps Transformation XVI


Fig. 10 : les 4 cycles créateurs avec le temps Transformation XVI


L'enchaînement des 4 Cycles créateurs
de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
respectueuse
I-II / III-IV ; V-VI / VII-VIII ; IX-X / XI-XII ; XIII-XIV / XV-(XVI)
par les (Trans)formations - Compositions
0-I - IV-V - VIII-IX - XII-XIII,
la Transformation XVI ayant à trouver sa place,
qui se révèlera de tout premier choix
dans la cellule suivante.

L'Évolution de l'Univers
selon Scriptorale





V

Les 4 Cycles créateurs au complet
avec le temps XVI en position parfaitement verticale et centrée
assurant la... super symétrie ?... de l'ensemble,
Big Bang en expansion limitée par la surface du bas de la sphère,
sur laquelle il appuie toute son énergie... (suite ci-dessous)


...provoquant ainsi, par réaction, en sens inverse,
XVI-XVII,
le Vème et fondamental
Arbre de Vie,
en même temps que le Big Bang final, d'
Èternité XVII,
en expansion, illimitée cette fois,
où l'énergie-lumière s'élève en s'ouvrant et s'ouvre en s'élevant,
en accélérant du fait de l'ouverture pyramidale inversée
de l'espace s'ouvrant en s'élevant à temps égal.
Saison : Éternel Printemps.




Fig. 11 : Histoir
e de l'Univers
selon, je le crois, ce que j'ai compris du message de Dieu,
ce XVI octobre 2021, 228ème anniversaire (2+2 = 4 - 8 > XIII - XVII)
de l'exécution - L'ÉNERGIE NOIRE, le RIEN du TOUT qui est TOUT du RIEN -
de Marie-Antoinette
!
 au rôle crucial dans cet écho de Big Bang,
qu'est la Révolution française.

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VI.-
L'ÉNERGIE NOIRE,
RESPIRATION DU VERBE - DIEU







LVD, p. 228 : « Nous n'étions toujours pas parvenus à résoudre le problème (…) posé par l’existence d’une « force » étrange venue du fond des temps, avant le Big Bang, avant même la naissance physique de notre Univers (...) Le cosmos, ajoutez-vous Messieurs, était comme soumis à l’action d’une force invisible, qui le forçait à se ruer de plus en plus vite vers l’infini (...). Ce mystère, c'est celui de l’Énergie Noire. » (LVD, p. 229) :
     Là encore, Messieurs, le plan ci-dessous de Scriptorale répond à la description que vous donnez, puisque l'Énergie-Lumière jaillit dans les ténèbres, sous-tendue par les formes, la matière, noire à l'intérieur, puisque enfermée dans les 4 Arbres de Vie obliques, enchaînant chacuns 3 pyramidions obliques, opposant 4 expansions-contractions-expansions.
     L'accélération me parait logiquement découler de l'ouverture pyramidale inversée : à vitesse d'élévation constante, l'ouverture, l'expansion, est de plus en plus large et donc, s'accélère. Ne dites-vous pas, vous-mêmes, un peu plus loin : « D’un point de vue philosophique, il est bien plus engageant de penser que cet immense champ d’étoiles et de galaxies ne cessera jamais de grandir, d’étendre son horizon. Jusqu’à quel infini ?  La question est envoûtante. »

     Vous écrivez, page 231 : « L'énergie noire reste un  mystère. Son origine, ce qu’elle est, comment elle agit, tout cela nous reste inaccessible. Pour les uns, elle pourrait être une nouvelle force de l’Univers, la Vème. Ceux-là l’ont baptisée "quintessence" ». "Quintessence", dont la définition est : « Substance éthérée que certains philosophes de l'Antiquité ajoutaient comme cinquième élément aux quatre éléments traditionnels.... Ce qui est l'essence même de quelque chose. » (Dictionnaire de Français Larousse) : exactement ce qu'est le Vème Arbre de Vie en Scriptorale.

....1....
......2......
......3......
......4......
..5....
......6......
........7.........
......8......
......9......
......10.....
......11......
......12......  
 
l
0
0
...
1

V
9

1

V
9

10

14

18

1
5
9
4
8
3
13
17
21
22
26
30






4
8
3
4
8
3
7
2
6
25
29
33
34
38
42
7
2
6
7
2
6

37
41
45
46
50
(Vx II xV)
       
1
5
9
 
49
(7x7)
4
Fig. 13 : le trône numérique de Dieu formé des premiers temps, temps de Compositions de chaque Cycle Créateur :

Le trône numérique de Dieu est, ici, formé des premiers temps, temps de Compositions, de chaque Cycle Créateur de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
respectueuses.
Ce sont,
jusqu'à Scriptorale - Jérusalem Céleste,
à partir de 1 :
1 - V - 9 - 13 - 17
soient en rt (réductions théosophiques),
- les petits chiffres sur le carré ou cube du Trône - :
1 - V - 9 - 4 - 8,
et à partir de 10, dont 1 est la rt :
10 - 14 - 18 - 22 - 26,
de mêmes rt.
Nota : les cinqs sont en chiffres romains
- V -
en raison de leur valeur symbolique
(ils épousent en deux D le départ
de la pyramide inversée)
et de leur position centrale,
qui leur donnent une place de choix
se retrouvant jusque dans le nom du roi annoncé :
Henry V,
et dans le nombre V des Arbres de Vie.
sans oublier la première lettre de « Vie »
qui se rappelle à notre bon souvenir dans la ligne ci-dessus !
et de Verbe, qui est Dieu, nous dit Jean, ainsi que Lumière Véritable.
V encore, qui fait le lien entre la Lumière de la pyramide inversée et les ténèbres de l'Énergie noire,
où se trouve le Trône numérique, carré en deux D et cubique en trois D, portant les rt 4 - 8 des temps 13 - 17 :

1
V
9
4
8
3
7
2
6
1
V
9
4
8
3
7
2
6
1
V
9
13
17
21
25
29
33
21
25
29
33
37
41
45
49
1
V
9
13
17
21
25
29
33
37
41
45
49

Fig. 14 : Trône numérique du Père Tout-Puissant

Ces temps sur fonds bleus sont les temps de Compositions de l'évolution créatrice.
Ils ont une place prépondérante, car, sans Compositions, pas d'Interprétations,
ni de Destructions-Transformations respectueuses,
et, précisément, respectueuses des
Compositions-Interprétations
du
Verbe -
Dieu - Vie - Énergie - Lumière.
1 - V - 9 - 4 - 8 ou 1 - V - 9 - 13 - 17
sont les cinq Compositions des cinq premiers Cycles Créateurs
menant à 17 ou XVII, l'écho de Big Bang en expansion infinie de Scriptorale - Jérusalem Céleste.

Développés en
Compositions-Interprétations / Destructions-Transformations
respectueuses,
à partir du 0 de la Formation orale en expansion limitée (ou finie - c'est la même chose -), ils donnent :
1-2-3-4 - V-6-7-8 - 9-10-11-12 - 13-14-15- XVI - XVII
soient quatre Contractions - Expansions - Contractions - Expansions finies
la dernière Expansion finie (XVI) aboutissant à l'EXPANSION INFINIE du XVII, enveloppe de toute la structure,
où le Verbe - Dieu - Vie - Énergie - Lumière prend sa source au 8/17, centre du Trône carré/cube
et jaillit du point de départ du V, point de l'écho de Big Bang de
Scriptorale - Jérusalem Céleste
écho de Big Bang.
N'est-ce pas là l'Inspiration
de ta divine Respiration, ô mon Dieu !
1-2-3-4 - V-6-7-8 - 9-10-11-12 - 13-14-15-XVI - XVII -
une Inspiration dont l'Expiration serait la suite des nombres de Ton Trône numérique jusqu'au Temps 37 :
18-19-20 - 21-22-23-24 - 25-26-27-28 - 29-30-31-32 - 33-34-35-36 - 37 ?
37, parce que de rt 10 (3+7) et 1 (1+0),
Ta Respiration repart en boucle
au 1 de Ton Inspiration,
jusqu'à T'élever
à Ta Porte de Saint des Saints,
de nombre

50
où Tu apparais dans toute
L'ÉTERNITÉ
de
TA
GLOIRE



Fig. 15 : 50, V x 10 ou V x (2 x V) :
Première Station éternelle

par les Temps 38-39-40 - 41-42-43-44 - 45-46-47/48,
Niveau et Cercle vibratoires 49 et 7,
qui se trouvent à la jonction des Temps 47 et 48,
comme je l'ai déduit, ci dessus, des propos de l'Ange gardien de Pierre Jovanovic :

Suite 1 : « DEUX RAPPELS »

Suite 2, après : « DEUX RAPPELS »

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VII.-
DEUX RAPPELS





Premier rappel

Ouvrant par "asar" (« Enquête sur l'Existence des Anges Gardiens » Editions J'ai lu), le livre de Pierre Jovanovic, à la page 178 (nombre auquel me ramènera ce que j'appellerai le "signe du Temple") je tombai sur un étonnant passage, parlant de 7 cercles, donnant 49 niveaux, avec un changement de niveau vibratoire au niveau... 18 ! en relation avec le cercle 4, en dessous duquel l'Ange ne peut guère aider les humains, et au-dessus duquel, avec les 3 cercles supérieurs, se situe ce que notre conscience "qualifie de spirituel". Voici la conversation :

« (...) Peut-être comprendrez-vous tout cela si vous vous représentez 7 cercles, ce qui donnera 49 niveaux. Aux 3 premiers niveaux (lire "cercles" - N.D.L.R. -), vous trouverez la matière physique telle que vous la connaissez. Ce sont vos plantes, vos animaux, vos êtres humains. Le 4ème cercle est votre passerelle, votre domaine, votre centre. C'est là qu'une conscience peut choisir de revenir aux niveaux infé rieurs ou de monter aux niveaux supérieurs. De nombreuses consciences choisissent de revenir à la forme physique. Les 3 cercles supérieurs représentent ce que votre conscience qualifie de spirituel. A ce stade, une bonne partie du travail es t achevée. Je ne pourrais guère aider quelqu'un qui ne se trouverait pas au niveau 18, parce que mon plan, mon niveau vibratoire, est différent. C'est pourquoi je ne puis vous aider à résoudre vos problèmes particuliers. Je peux vous communiquer des idées, mais non l'orientation directe comme je le ferais si vous vous trouviez au niveau 18. Nos niveaux se touchent. » (*) ("Enquête sur l'Existence des Anges Gardiens" Pierre Jovanovic, Editions J'ai lu).

Nota : Dans le texte, seuls les nombres 49 et 18 figurent en chiffres, et il n'y a pas de caractères gras et grossis (N.D.L.R.)

Comme on peut le remarquer, les anges aussi font des erreurs, à moins qu'il ne s'agisse d'une erreur de transcription dans l'enregistrement. En effet, il y a, d'une part, des cercles, au nombre maximum de 7, et, d'autre part, des niveaux beaucoup plus nombreux, puisqu'ils sont 49, soient le carré de 7. Toutefois, disant qu'aux trois premiers niveaux, on trouve la matière physique, et que le 4ème cercle est notre passerelle vers les 3 derniers cercles où se trouve le monde "spirituel", il paraît clair que les 3 premiers niveaux sont en fait les 3 premiers cercles, équilibrés, de l'autre côté du 4ème, par les 3 autres.

Par ailleurs, les 49 niveaux se touchent, ils sont donc apparemment concentriques comme les sillons d'un microsillon, leurs vibrations faisant penser aux ondes sonores ou liquides qui se propagent à partir d'un centre. Le cercle 4 de niveau vibratoire N16, C4=N16 est le début du niveau du choix, début de la "passerelle", début du temps T15 ou XV, et le niveau N18 correspond à la fin de cette "passerelle", fin du temps T16 ou XVI, la "passerelle" recouvre donc les temps de Destruction-Transformation T15-T16 ou XV-XVI et va des niveaux vibratoires C4=N16 à N18, via N17, fin du temps T15 ou XV et début du temps T16 ou XVI.

Très curieusement... comme toujours ! le cercle 7 représente le niveau 49, qui est le carré de 7 et l'année de naissance de Y, numéro manquant de la rue de Varenne à Paris, et qui précède 50, son âge dans l'année fatidique 1999 ("mil neuf cens nonante neuf sept mois" de Nostradamus cf. Mehr Licht !), 7 étant toujours, lui aussi, le nombre fatidique de l'Apocalypse... (cf. jacques_chirac.htm#del et varennes_va-a-rennes.htm#51).

L'hypothèse selon laquelle chaque cercle correspond à un niveau dont le nombre est le carré de celui du cercle fonctionne donc sans aucun problème. Elle donne, avec "C" pour cercle et "N" pour niveau :


C1 = N1
C2 = N4
C3 = N9


C4 = N16
PASSERELLE


C5 = N25
C6 = N36
C7 = N49


Fig. 16 : la Passerelle du Rationnel au Spirituel

A partir de là, il est logique de penser que le cercle 1 entouré par le niveau 1, est un cercle de lumière pure non formulée, source directe d'une formation (et non transformation, puisqu'il n'y a pas eu d'autre forme au préalable), d'une germination ou d'une assise, sans destruction ni décomposition. Et, l'ange disant de plus qu'aux trois premiers niveaux (= cercles ?) se trouve la matière physique, telle que nous la connaissons, avec nos plantes, nos animaux, nos êtres humains, Y s'aperçut qu'il pouvait, là aussi, utiliser le graphique de la "création scriptorale", qui lui apparut de plus en plus comme une clef universelle : la clef de David de la lettre à l'Eglise de Philadelphie de l'Apocalypse de Jean (cf. cle.htm#cle). Il suffisait de faire correspondre les 4 cycles de 4 pyramides aux 4 "règnes" de la création terrestre :

- minéral,
- végétal,
- animal,
- humain...
(Cf. Parole d'Ange)

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Second rappel






Fig. 6 : le temps Oral fondamental

Fig. 8 : Oral 0 -
Composition I - Interprétation II /
Destruction III - Transformation IV respectueuse


Fig. 10 : les 4 Cycles Créateurs
avec le temps Transformation XVI
provocateurs du Vème : Éternité XVII


Réponse au problème « posé par l’existence d’une « force » étrange venue du fond des temps,
avant le Big Bang, avant même la naissance physique de notre Univers. »
(LVD, p. 228).
Pour que je considère une coincidence comme un signe,
il faut qu'une seconde coincidence la
valide.
Or, Messieurs,
que remarquez vous ?
J'ai constaté que ce 16 Octobre 2021
est le 228ème anniversaire de l'exécution de Marie-Antoinette (1ère coincidence),
que ces 228 ans sont composés de 2 + 2 = 4 et de 8, et (2ème coincidence) que ces 4 et 8 sont, dans le Trône numérique de Dieu,
les deux chiffres du passage de l'Énergie Noire - où la descendance de la Reine fut initiée à la spiritualité templière -,
à l'Énergie Lumière de la Résurrection de cette descendance... Eh bien ! la 3ème coincidence
(abondance de bien ne nuit pas), la 3ème coincidence se trouve 12 lignes plus haut :
c'est le numéro de la page de votre livre, où il est question de cette
« « force » étrange venue du fond des temps, avant le Big Bang,
avant même la naissance physique de notre Univers, »
(LVD, p. 228) :
228 !






VIII.-
50 & 100 : PLÉNITUDES I & II
L'INFINIE ÉTERNITÉ DU VERBE - DIEU - VIE - ÉNERGIE - LUMIÈRE
ET DE SES (?) UNIVERS




A.-
UN (DES ?) UNIVERS SANS FIN(S)





     Messieurs Bogdanov, vous titrez votre troisième chapître, page 57 : « La fin de l'Éternité », en vous appuyant sur une citation de Friedmann de 1923 : « L'Univers a connu un commencement, des milliards d’années dans le passé : à cet instant originel, il était contracté « en un point (de volume nul) puis, à partir de ce point, il avait augmenté de rayon ». Mais, le propre du Fini par rapport à l'Infini étant de se réduire à Rien, quand l'Infini est Tout, par le fait même que l'Univers conçu par Friedmann fut, de prime abord, de volume nul, n'est ce pas la preuve que la finitude de celui-ci, le nôtre, si tant est qu'il n'en existe qu'un, est confrontée à un esprit d'une puissance éternelle, infiniment supérieure, pour le coup ? D'ailleurs, qu'est-ce qui nous dit, qu'avant et après avoir fait l'expérience d'une existence matérielle de plusieurs milliards d'années, notre, nos Univers, ne retournent pas à une existence spirituelle éternellement infinie, quant à elle ? Le tableau ci-dessous invite à le penser. Mais, avant d'en venir au tableau, précisons les Temps I-II / III-IV du premier Cycle Créateur :

TEMPS I
-
TEMPS II
/
TEMPS III
-
TEMPS IV
COMPOSITEUR >
COMPOSITION :
PERE > MERE
CONTRACTION
SAISON : ETE
-
INTERPRETE >
INTERPRETATION /
FILS > FILLE DU PERE
EXPANSION
SAISON : AUTOMNE
/
DESTRUCTEUR > DESTRUCTION RESPECTUEUSE
FILS > FILLE PRODIGUES DU PERE :
LE DEPART
CONTRACTION
SAISON : HIVER
-
TRANSFORMATEUR > TRANSFORMATION
RESPECTUEUSE
FILS > FILLE PRODIGUES DU PERE :
LE RETOUR
EXPANSION
SAISON : PRINTEMPS
Fig. 17 : Cycle Créateur, Filiation du Verbe et correspondance avec les Saisons

     Voyons maintenant, ce que révèle le tableau ci-dessous :
il est composé de 4 séries de 4 lignes, soient de 16 lignes, et de 12 colonnes.

L 50
........L
50
L
50








I
II
III
IV
V
VI
VII
VIII
IX
X
XI
XII
1
2
3
4
5
6
7
8
9

10
1

2
3
 
X
XI
XII

10
1

2
3
XIII
XIV
XV
XVI
XVII
XVIII
XIX
XX
XXI
XXII
XXIII
XXIV
4
5
6
7
8
9
10
1
2
3
4
5
6
XIII
XIV
XV
XVI
XVII
XVIII
XIX
XX
XXI
XXII
XXIII
XXIV
4
5
6
7
8
9
10
1
2
3
4
5
6
XXV
XXVI
XXVII
XXVIII
XXIX
XXX
XXXI
XXXII
XXXIII
XXXIV
XXXV
XXXVI
7
8
9
10
1
2
3
4
5
6
7
8
9
XXV
XXVI
XXVII
XXVIII
XXIX
XXX
XXXI
XXXII
XXXIII
XXXIV
XXXV
XXXVI
7
8
9
10
1
2
3
4
5
6
7
8
9
XXXVII
XXXVIII
XXXIX
XL
XLI
XLII
XLIII
XLIV
XLV
XLVI
XLVII
XLVIII
10
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
1

2

3
XXXVII
XXXVIII
XXXIX
XL
XLI
XLII
XLIII
XLIV
XLV
XLVI
XLVII
XLVIII
10
1
2
3

4

5
6
7
8
9
10
1
2
3


L 50
= 5 x 10 = 5 x [2 x 5] =
V x [II x V]

XLIX

Niveau vibratoire 49 (7 x 7) de Cercle vibratoire 7
à la jonction des 47 et 48ème temps de Destruction-Transformation respectueuse, en haut,
devancée en Interprétation / Destruction respectueuse, en bas.

(cf. Parole d'Ange)


Nota : rt. = réduction théosophique,écrites ci-dessus en petits chiffres arabes, sauf le V,
exemple : rt de 19 > 1+9 =10 > 1+ 0 = 1.

Fig. 18 : du temps de Composition I, de niveau vibratoire 2 à 3, à l'Éternité 50, soient :
- une série de rt de I à IX,
- quatre séries de X à XLV avec retours à l'I en XIX - XXVIII - XXXVII - XLVI (19 - 28 - 37 - 46)
- avec retour de XLVI à I par X
- ou 3 temps d'ascension vers Éternité 50.

 




Les lignes 1 et 3 de chaque série sont notées en chiffres romains représentant les temps du Cycle Créateur
allant du temps I à la jonction des temps XLVII/XLVIII,
jonction par où passent les 49 niveaux vibratoires ainsi que le VIIème et dernier des 7 cercles vibratoires,
cercles vibratoires dont les niveaux vibratoires 1 - 4 - 9 - 16 - 25 - 36 - 49 sont les carrés.

Les lignes 2 et 4 de chaque série de 4 lignes sont notées en 5 séries de chiffres arabes
allant de 1 à 10 : 1-2-3-4-5-6-7-8-9-10/1, avec retour à l'1, sa rt (réduction théosophique) par le 10,
ces 5 séries représentant les rt des nombres correspondants en chiffres romains, placés au-dessus d'eux, exemple :

X
XI
XII
XIII
XIV
XV
XVI
XVII
XVIII
XIX

10
1

2
3
4
5
6
7
8
9
10
1

Fig. 19 : la 1ère série des nombres de X à XIX ayant pour rt les nombres de 1 à 10/1,
soit, pour 10 un retour infini à 1, sa rt.

Les nombres placés dans les cases bleues de la Composition sont plus gros,
car c'est de cette dernière que dépendent les trois autres temps
d' Interprétation, de Destruction et de Transformation respectueuses.

Il est toutefois un temps dont dépendent Compositeur et Composition :
c'est le temps de Formation, temps 0 de l'0ral et 0 de l'Écriture et du "script",
entendu comme toute forme et formulation de Fixation et de Crucifix(at)ion

du Verbe-Dieu-Amour-Vie-Énergie/Lumière,
à tel point que le mot oral, de par sa formulation, est déjà un script qui le délimite.
0 de l'écriture et de toute forme de script donc, mais 0 qui n'est pas néant !
comme on le voit dans le tableau ci-dessus :

Remarquons, toutefois, que, dans la première série,
seules les lignes 1 et 2 sont complètes
, les lignes
3 et 4 commençant à la 10ème des 12 colonnes
et laissant donc libre la 1ère série de rts de 1 à 9,
pour partir de cette demie rt qu'est le 10 par rapport à 1.
Remarquons encore, que, dans chacune des 4 séries de 4 lignes, verticalement, les nombres sont les mêmes, mais,
que, par contre, ce sont les couleurs, c'est-à-dire les temps qu'elles représentent, qui changent :
le Compositeur et sa Composition devient Transformateur et sa Transformation respectueuse,
le Transformateur et sa Transformation respectueuse devient Destructeur et sa Destruction respectueuse,
le Destructeur et sa Destruction respectueuse devient Interprète et son Interprétation,
et l'Interprète et son Interprétation devient Compositeur et sa Composition :
le Fils devenant Père de Son Père, qui, lui, libère son imagination
dans la Transformation respectueuse,
et ainsi de suite...
Voyons,
par exemple,
l'entrée du temps X :
le Fils Interprète devenant Père Compositeur de son Père :


Fig. 20 : Le Fils Interprète X
en son retour à l'1 du
Compositeur Père IX

Voyons maintenant le fabuleux parcours que Le Verbe, je le crois, nous propose,
compte tenu du « coup de tonnerre » du 1er janvier 1925,
où, écrivez-vous, Messieurs Bogdanov,
« les observations de Hubble et Humason montrent, sans contestation possible,
que l’Univers n’est pas fait d’une seule galaxie
mais de millions
(peut-être même de milliards) d’autres, » (LVD, p. 75).

Parcours proposé, je le crois,
par le Verbe-Dieu

 

XLVI

XLVI
10
1
XXXVII

XXXVII
10
1
XXXVII

XXXVII
10
1
XXVIII

XXVIII
10
1
XXVIII

XXVIII
10
1
XXVIII

XXVIII
10
1

XIX

XIX
10
1
XIX

XIX
10
1
XIX

XIX
10
1
XIX

XIX
10
1
X

X
10
1
X

X
10
1

X

X
10
1
X

X
10
1

X

X
10
1
I
I
I
I
I
I
I
I
I
I

Fig. 21 : Les temps X - XIX - XXVIII - XXXVII - XLVI de rt 1 par 10 partant du temps de Composition I
et y revenant en rt pour repartir chaque fois plus haut.
Exemple :
la colonne de gauche va des temps I à X, 10 de rt 1 + 0 > 1 du temps I, auquel retourne le temps X,
pour repartir au temps XIX, 19 de rt 1 + 9 > 10 > 1 + 0 > 1 du temps I auquel retourne le temps XIX,
pour repartir au temps XXVIII, 28 de rt 2 + 8 > 10 > 1 + 0 > 1 du temps I auquel retourne le temps XXVIII,
pour repartir au temps XXXVII, 37 de rt 3 + 7 > 10 > 1 + 0 > 1 du temps I auquel retourne le temps XXXVII,
pour repartir au temps XLVI, 46 de rt 4 + 6 > 10 > 1 + 0 > 1 du temps I auquel retourne le temps XLVI,
les 2 chiffres des nombres 10 - 19 - 28 - 37 - 46 étant tous de total 10 et de rt 1 + 0 > 1.

     Remarquons que les temps X, XXXVII et XLVI sont des temps verbaux de Compositions (en bleu), Composition qui, pour être complète, s'exprime par le temps d'Interprétation XLVII, dont la jonction avec le temps de Destruction XLVIII est le lieu de passage du 49ème Niveau vibratoire (7 x 7) et du Cercle 7, rt de XVI, nombre de la coupure du Verbe du roi, Verbe divin, puisque roi par la Grâce de Dieu, dont la tête fut massacrée par la guillotine le 1er janvier 1793, massacre par lequel le bourreau Samson l'empêcha de dire ce qu'elle avait à dire : voilà la destruction, dont le problème n'est pas d'être destructrice, mais d'être irrespectueuse.

Mais, pardon Messieurs,
j'annonce un parcours spirituel,
et les correspondances sont d'une telle richesse
que mon esprit ne peut s'empêcher de faire le « cheval échappé »,
au regard de tout ce qu'il y a d'autre à ne pas oublier sur les 48 et 49èmes degrés de latitude nord,
et sur la puissance sidérante de l'Esprit par où arrive cette première partie du Salut,
puissance sidérante que vous ne manquez pas de remarquer
à la suite de bien d'autres, Einstein en tête.


Poursuivons donc notre parcours spirituel :
celui-ci compte, dans un premier temps, 12 Cycles Créateurs de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
Respectueuses.
Soient les 48 temps de ces 12 Cycles Créateurs,
qui s'étendent jusqu'à la jonction du 47ème et du 48ème temps
de niveau vibratoire 49 (7 x 7) et de cercle 7, ils forment 2 séries
suivant qu'ils commencent au temps I, au début de la première ligne,
ce sont alors les temps de Compositions :
1 - V - 9 - 13 - 17 - 21 - 25 - 29 - 33 - 37 - 41 - 45 - 49 ;
ou suivant qu'ils commencent au temps 10 de la 10ème colonne de la 3ème ligne,
et ce sont les temps de Compositions :
10 - 14 - 18 - 22 - 26 - 30 - 34 - 38 - 42 - 46 - 50,

cette seconde série de Cycles Créateurs
représentés par leurs temps de Compositions,
suivant la première avec un temps de retard. En effet,
les temps 10 - 14 - 18 etc... de la 2ème série
sont apparemment 1 temps derrière les temps 9 - 13 - 17 etc... de la première,
mais le temps 10 de la seconde série qui devrait être un temps d'Interprétation, rouge,
comme le temps 10 de la 1ère, devient temps de Composition, bleue.

Toujours est-il,
que le niveau vibratoire 49 du cercle 7,
à la jonction des Temps créateurs 47 et 48 nous conduit à la porte
de l'Infinie et Informe Éternité de nombre 50, nouvelle apparition de ce nombre V central,
égal à 5 x 10, et 5 x (2 x 5).
50
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IX

Étant arrivé à l'infinie plénitude de ce nombre,
cela signifie-t-il que tout s'arrête pour autant ?
Infini signifie « sans fin », qu'est-ce qui n'a pas de fin ?
C'est, évidemment,
le Verbe Créateur-Dieu-Vie-Énergie-Lumière Véritable.
Et, de fait, le Verbe continue de parler. Voici ce qu'Il me dit :
cela concerne les nombres des temps créateurs
de rt 1 par 10. Par exemple, le nombre 19 :
cela donne 1 + 9 = 10 > 1 + 0 = 1.

0
10
> 10 > 1
1
9
> 10 > 1
2
8
> 10 > 1
3
7
> 10 > 1
4
6
> 10 > 1
5
5
> 10 > 1
6
4
> 10 > 1
7
3
> 10 > 1
8
2
> 10 > 1
9
1
> 10 > 1
10
0
> 10 > 1
-
Fig. 22 : nombres des Temps créateurs de rt 10 et 1.

Une lecture du tableau de haut en bas, en commençant par la colonne de gauche,
(la colonne 1) donne ceci :
0 - 1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7 - 8 - 9 - 10
,
et la colonne 2 :
10 - 9 - 8 - 7 - 6 - 5 - 4 - 3 - 2 - 1 - 0,

puis les 2 colonnes ensemble en ordre croissant :
010 - 19 - 28 - 37 - 46 - 55 - 64 - 73 - 82 - 91 - 100 :
et ces mêmes 2 colonnes ensemble en ordre décroissant :
100 - 91 - 82 - 73 - 64 - 55 - 46 - 37 - 28 - 19 - 010,

10 0 - 0 10
9 1 - 1 9
8 2 - 2 8
7 3 - 3 7
6 4 - 4 6
5 5 - 5 5
4 6 - 6 4
3 7 - 7 3
2 8 - 8 2
1 9 - 9 1
0 10 - 10 0

......
0 10 - 10 0
1 9 - 9 1
2 8 - 8 2
3 7 - 7 3
4 6 - 6 4
5 5 - 5 5
6 4 - 4 6
7 3 - 3 7
8 2 - 2 8
9 1 - 1 9
10 0 - 0 10
.......
100 .......100
.......010
010
91
.......91
.......19
19
82
.......82
.......28
28
73
.......73
.......37
37
64
.......64
.......46
46
55...55...
55...55...
.......64
64
46
.......46
.......73
73
37
.......37
.......82
82
28
.......28
.......91
91
19
.......19
.......100 100
010
.......010

Fig. 23 : colonnes 3 - 4 - 5

Comme on le voit à la figure 23, les deux séries de chiffres de 0 à 10 et de 10 à 0
se croisent en 5 (V) un 5 montant et un 5 descendant,
qui se traduisent par le nombre 55,
nombre qui ouvre un nouveau champ de possibles.
Se répétant en s'alignant 4 fois dans la figure 24,
55 paraît partager deux formes de spiritualités, s'opposant
verticalement :
Ia/Ib - IIa/IIb - IIIa/IIIb - IVa/IVb
et horizontalement :
Ia-Ib/IIa-IIb - IIIa-IIIb/IVa-IVb,
les 2 colonnes extérieures identiques
s'oppos
ant aux 2 colonnes intérieures également identiques.


De part et d'autre de la frontière des quatre 55 :
55-100 / 55-010 // 55-010 / 55-100


Ia
Colonne extérieure gauche
de 55 à 100
IIa
Colonne intérieure gauche
de 55 à 010
IIIa
Colonne intérieure droite
de 55 à 010
IVa
Colonne extérieure droite
de 55 à 100
10 + (10 x 9) = 100
10 + (9 x 9) = 91
10 + (8 x 9) = 82
10 + (7 x 9) = 73
10 + (6 x 9) = 64
10 + (5 x 9) = 55

10 + (0 x 9) = 010
10 + (1 x 9) = 19
10 + (2 x 9) = 28

10 + (3 x 9) = 37

10 + (4 x 9) = 46
10 + (5 x 9) = 55
10 + (0 x 9) = 010
10 + (1 x 9) = 19
10 + (2 x 9) = 28

10 + (3 x 9) = 37

10 + (4 x 9) = 46
10 + (5 x 9) = 55
10 + (10 x 9) = 100
10 + (9 x 9) = 91
10 + (8 x 9) = 82
10 + (7 x 9) = 73
10 + (6 x 9) = 64
10 + (5 x 9) = 55


De part et d'autre de la frontière des quatre 55 :
55-010 / 55-100 // 55-100 / 55-010


Ib
Colonne extérieure gauche
de 55 à 010
IIb
Colonne intérieure gauche
de 55 à 100
IIIb
Colonne intérieure droite
de 55 à 100
IVb
Colonne extérieure droite
de 55 à 010
10 + (5 x 9) = 55
10 + (4 x 9) = 46
10 + (3 x 9) = 37
10 + (2 x 9) = 28
10 + (1 x 9) = 19
10 + (0 x 9) = 010
55 + (0 x 9) = 55
55 + (1 x 9) = 64
55 + (2 x 9) = 73

55 + (3 x 9) = 82

55 + (4 x 9) = 91
55 + (5 x 9) = 100
55 + (0 x 9) = 55
55 + (1 x 9) = 64
55 + (2 x 9) = 73

55 + (3 x 9) = 82

55 + (4 x 9) = 91
55 + (5 x 9) = 100
10 + (5 x 9) = 55
10 + (4 x 9) = 46
10 + (3 x 9) = 37
10 + (2 x 9) = 28
10 + (1 x 9) = 19
10 + (0 x 9) = 010
..............................................................
.............................................................
..............................................................
..............................................................

Fig. 24 : progression dans l'Infini après les 7 cercles aux 49 niveaux vibratoires et la plénitude du 50.

N'est-il pas curieux de remarquer que la
révolution numérique vécue actuellement, rationnellement par l'humanité
correspond à une fabuleuse maîtrise spirituelle des nombres et de leurs inversions par le Verbe qui est Dieu...
leurs inversions dans un parfait équilibre, qui n'est pas sans me faire penser au Yin Yang des chinois
et à la contradiction coranique de la Bible et des Evangiles,
ce que j'ai exprimé dans une création vidéo ?


Fig. 25 : L'Evolution de l'Univers selon Scriptoral

Pour l'instant, contentons nous de signaler la place centrale du 5 ou V,
temps de Composition, au coeur de la suite des chiffres de 1 à 9 et du
Trône Numérique du
Verbe-Dieu-Vie-Energie-Lumière Véritable,
où il engendre le Vème Arbre de Vie
dans un parfait équilibre

ou
Fig. 26 : les premiers nombres du
Trône numérique divin

après quoi, les XLVII / XLVIII temps de 12 Cycles Créateurs
et les 7 Cercles vibratoires de 49 Niveaux vibratoires
nous ont permis d'entrer dans la Plénitude
du nombre 50 :
5 toujours ! fois 10
, 10 qui est 2 fois 5,
jusqu'à aujourd'hui, où 5
se dédouble en
55,
qui, lui-même se multiplie 4 fois en
55 55 55 55
alignés qui traversent 2 carrés opposant les 2 nombres
46 = 55 - 9 et 64 = 55 + 9
de la façon suivante :

64
.......64
.......46
46
55...55...
55...55...
.......64
64
46
.......46

46 et 64 sont de rt 1 par 10
et cette opposition numérique est l'amorce
d'une évolution allant de 010 à 100, qui est 10 fois 10 et 2 fois 50.

Toujours est-il que nous pouvons d'ores et déjà répondre à la question posée ci-dessus :

« 50 :
étant arrivé à l'infinie plénitude de ce nombre,
cela signifie-t-il que tout s'arrête pour autant ?  »
La réponse est :
« non »,
le jeu des inversions nous la donne
et c'est le double de 50
et décuple de 10,
le nombre :
 100 

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B.-
UN (DES ?) UNIVERS
AU(X ?) COMMENCEMENT(S ?) SANS COMMENCEMENT









« D'un point de vue philosophique,
- c'est du moins ce que nous pensons -, dites-vous, Messieurs Bogdanov,
il est bien plus engageant de penser que cet immense champ d'étoiles et de galaxies
ne cessera jamais de grandir, d'étendre son horizon.
Jusqu'à quel infini ? » (LVD, p. 231).

      Si je suis d'accord avec votre début de phrase, il n'en va pas de même avec votre question : l'Infini est sans fin, par définition. Il n'y a, par conséquent, pas à se demander jusqu'à quel infini aller, l'Univers pouvant n'être pas plus gros qu'un point par rapport à lui, point dont le propre est de n'avoir aucune dimension, seulement une localisation.
      Entre l'Infini et le fini, la différence est de nature, et, dans cette hypothèse, il n'y a pas, en vue, de fin à venir pour notre Univers. Mais, à la différence de vous, qui titrez votre page 51 : « La fin de l'éternité », je crois qu'il n'y a pas plus de commencement. C'est ainsi que je comprends ce passage de la seconde lecture de dimanche dernier 21 Novembre 202
1, avec le Seigneur Dieu pleinement installé dans un présent, un passé et un avenir, sans aucune limite :

« Moi, je suis l'Alpha et l'Oméga, dit le Seigneur Dieu,
Celui qui est, qui était et qui vient, le Souverain de l'univers. »

(Apocalypse 1, 5-8)

      Ce n'est pas impossible à envisager : en effet, après avoir cru en l'unicité du système solaire, puis de notre galaxie et maintenant de notre Univers avec des millions, voire des milliards de galaxies, dites-vous, il suffit de croire en un Univers composé de millions, voire de milliards d'univers, dont le nôtre, ce que l'Infini véritable nous permet d'imaginer, car, vu de suffisamment infiniment loin par l'Univers spirituel divin des univers rationnels humains, ceux-ci seraient chacuns, comme les grains de sable d'une plage, elle aussi divine.

      Vous dites n'être toujours pas parvenus à résoudre le problème « posé par l'existence d'une "force" étrange venue du fond des temps, avant le Big Bang, avant même la naissance physique de notre Univers (...) le cosmos était comme soumis à l’action d’une force invisible, qui le forçait à se ruer de plus en plus vite vers l’infini (...)  notre recherche de l’Univers avant le Big Bang nous avait menés face à l’un des mystères les plus profonds de la cosmologie d’aujourd’hui (...)
      Ce mystère c'est celui de l'Énergie Noire. » (LVD, p. 228)

      Si l'on admet comme Créateur Universel le Verbe de Dieu, tel que présenté dans le Prologue de l'Evangile de Jean :

« I. Au commencement le Verbe était
       et le Verbe était avec Dieu
       et le Verbe était Dieu.
       Il était au commencement avec Dieu.
       Tout fut par Lui
       et sans Lui rien ne fut.
»
(L’Evangile selon Saint Jean, Prologue, 1, 18,
La Sainte Bible, Ed. du Cerf, 1956),

et les cycles de 4 temps de son évolution, tels qu'ils m'ont été révélés en Scriptorale, tout s'explique et montre que vous êtes sur le chemin de cette explication, avec votre théorie de l'information, qui encode les supports de stockage de données ne cessant de se multiplier : en effet, depuis l'enfance, j'ai été aux prises avec le problème de l'écriture musicale, qui fixe dans la noirceur de l'encre une musique devant ressusciter, lumineuse, de cette fixation, la fixation pouvant être aussi celle du disque noir, qui revient à la mode en force, ou celle des supports numériques, le numérique étant aussi la clé de votre explication de l'Univers et le numérique où dorment, ou plutôt, semblent dormir, des données audio-visuelles capables de réveiller les émotions les plus puissantes. Avant de venir à l'essentiel, j'ajoute cela sur mon expérience de la noirceur du script avec ce bois flamboyant qu'est le saxophone, saxophone que j'eus beaucoup de mal à faire flamboyer, comme peut en témoigner mon Maître : Jean-Marie Londeix, trop bloqué par mon rationnalisme technique, auquel manquait, tout simplement, l'Amour. Car je crois que ce n'est pas en cherchant, rationnellement, les limites de l'Univers, qu'il se donnera à nous, mais en l'aimant spirituellement dans son Infinité, en cherchant à le connaître jusqu'à co-naître avec Lui, qui est

Verbe Composé, Interprété, Détruit et Transformé respectueusement-
Dieu-Vie- Energie-Lumière !

      Et justement, voilà qui amène de l'Eau à Ton moulin, Père très Saint :


Fig. 27 : la crucifixion avec son titre en latin

      Ne nous as-tu pas donné, Père Compositeur, avec Ton Fils Interprète, Jésus, une religion, pour nous faire comprendre cela, en « jetant », comme disent les musulmans, ton Verbe d'Amour, divine semence, en Marie-Maryam pour qu'Il s'y incarne comme Ton Fils Unique, Ta Composition, Composition, qui a accepté que Tu l'écrives ?
      Et cette Composition, ce Verbe incarné, Père Tout-Puissant, tu l'as écrit, à travers les siècles, d'une terrible façon, compatible avec le phénomène de son Incarnation : en le fixant avec des clous au bois de la Croix, cette Crucifixion symbolisant totalement le Cycle Créateur, par les 2 directions de la Croix : les 2 temps d'Élévation verticale de la Composition-Interprétation à Ta Droite et les 2 temps d'Ouverture horizontale par descente-remontée, de la Destruction-Transformation Respectueuse, à Ta Gauche, Toi-même, Père Compositeur, T'élevant verticalement, au centre du Carré de ces 4 temps, Vème force, « quintessence » des 4 autres, qu'elle équilibre infiniment parfaitement.

« Vers la neuvième heure, Jésus clama en un grand cri :
« Éli, Éli lema sabachtani ? »

c'est à-dire :
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? »
(...)
Or Jésus, poussant de nouveau un grand cri, rendit l'esprit. » »
(L’Evangile selon Saint Matthieu, 27, 46,
La Sainte Bible, Ed. du Cerf, 1956.)

      C'est Vers la neuvième heure que Jésus s'adressa à Son Père, neuvième : le dernier des nombres de la réduction théosophique, confirmant bien, que Tout est accompli, clamé en un grand cri : le verbe « clamer », utilisé en cette traduction, signifie : « affirmer avec force et vigueur dans la voix et le ton » ; « clamer en un grand cri » redouble la violence du cri, ce qui est surprenant chez un homme affaibli par six heures de crucifiement et ce qui témoigne de la vigueur de son énergie, au moment de la mort, qui survint juste après, dans un autre « grand cri ». Non seulement, Énergie du Crucifié, mais aussi, de la Croix et de la mort elle-même qu'elle apporte : Énergie Noire. « Énergie » étant inscrit au dessus de la tête du supplicié, dans le titre de la Croix :

INRI,

      En effet... car si, en latin, INRI est l'abréviation de

Iesus Nazarenus Rex Iudaeorum,
où NR est encadré par deux « I »,
la traduction française (traduction de cette
« France qui est la fille aînée de l'Église »),
encadre NR par deux « J »
,
ce qui donne :

JNRJ,

Jésus le Nazaréen Roi des Juifs, où
l'N-R-J- Noire
de Jésus au tombeau
apparaît dans la noirceur de sa
mort.
Remarquons que l'écriture de NRJ pour Énergie
se retrouve chez Netflix et dans Radio NRJ, entre autres...
Cela provient-il du titre de la Croix du Christ ?
Ne serait-ce pas là un appel du Seigneur
pour rassembler les brebis restantes
de Son Troupeau ?

Toujours est-il que
le CREDO,
Symbole des apôtres,
confirme que la mort n'est pas néant,
puisque Jésus, mort et enseveli, est descendu aux enfers.
Ceux-ci, cf. Wikipédia, ont pour autre dénomination le shéol,
qui représente un lieu sombre et silencieux où les morts sont endormis,
couchés dans la poussière.
Cet endroit ténébreux,
où Jésus est descendu après avoir si violemment interpellé son Père
sur les raisons de ce qu'il ressentit comme un abandon,
précède le trosième jour : celui de sa Résurrection :
de l'Énergie-Lumière succèdant à l'Énergie Noire.
Mais revenons à ce que Matthieu dit de sa mort :
Jésus « rendit l'Esprit ».
Or, tout texte est constitué de lettre et d'esprit
et, lorsqu'on meurt, on rend l'esprit, quand on en a !
mais jamais la lettre : n'est-ce pas cela que Jésus a compris,
devant ces morts endormis, couchés dans la poussière, en attente d'esprit pour ressusciter,
en réveillant l'Énergie Lumière emprisonnée en eux par la Lettre Morte de leur vie,
pour en faire de l'Énergie Noire, jusqu'à ce que, sortant au grand jour,
elle redevienne de l'Énergie Lumière.
Et là, comment ne pas penser à la boule du Yang et du Yin,
où le noir du Yin disparaît en un point dans le blanc du Yang,
qui, à son tour disparaît en un point dans le noir du Yin... ?
en Présence du Verbe-Dieu-Vie-Energie-Lumière-Vérité,
S'abandonnant
indéfiniment à Sa Création.

Tiens, Père Très Saint :
« S'abandonnant » :
il est question d'
« Abandon » !
Abandon de Ton Oeuvre, mon Dieu,
puisque Jésus est Ton Verbe que tu jetas en Marie,
Oeuvre - Crucifix maintenant achevée, que Tu livres au monde,
l'abandonnant à ton divin Interprète de Fils pour qu'Il en exprime tout le sens,
toute la Noire Energie, Clameur de Son Cri - Réveil des morts, dont Il est le Premier,
puisque cette Oeuvre est comme Lui, Ton Verbe Infini,
Père d'un... Univers des Univers ?

sans commencement
aucun,
l'humanité
ayant par nature
« horreur du vide »
n'est-ce pas, Aristote ?

Je reviens à Toi,
le Premier et le Dernier,
- de nombre 10 et de rt 1 -
le Premier quand le Dernier,
quand abandonné par tous,
pour témoigner d'un signe,
que, je le crois, tu m'as envoyé :
nous sommes le 2 Décembre 2021,
217ème anniversaire du Sacre de Napoléon 1er,
où le nouvel empereur voulut s'affirmer le Premier
et jour de terminaison de l'essentiel de cet article,
article dont la rédaction passa par le 16 Octobre 2021,
et 16 Octobre 2021, dont je remarquai qu'il était le
228ème anniversaire
de l'exécution de Marie-Antoinette,
conduite en toute droiture à l'échafaud
dans un tombereau à fumier et dans le plus total
abandon de sa superbe, et abandon propice à la
libération de l'Energie Noire, ce que confirme le nombre
228,
comme
4-8 ou IV-VIII
de son terrible anniversaire
en 2021 de rt

V
:


Fig. 28 : Marie-Antoinette, le 16 Octobre 1793

N'y voit - on pas 4-8-V sur fond jaune :
l'aboutissement, après 1-V-9, de la conduite de la Lumière Noire,
reliant souterrainement
la suppression de l'Ordre des Templiers et l'exécution des principaux d'entre eux,
à l'emprisonnement,
dans le donjon parisien de leur Ordre,
de la monarchie française,
abolie puis
exécutée ?


1
V
9
4
8
3
7
2
6

Fig. 29 : 4 - 8 - V - vers une
sortie de l'Énergie Noire

Mais cette dernière est-elle bien morte ?
1-V-9-4-8-V au double V=10 de rt 1,
et bien d'autres signes,
disent,
qu'au contraire,
elle aurait été nuitamment initiée à la spiritualité templière,
son Énergie Noire avec laquelle elle doit ressusciter,
depuis 228 ans.

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IX.-
DOUBLE V = 10 DE R.T. 1







n Scriptorale, du rationnel au spirituel

L'Univers (les Univers) né(s) de Big(s) Bang(s), au début du parcours spirituel, les menant
du niveau vibratoire 18 au Royaume illimité, et donc informe, de Dieu
au sortir du Cercle 7 de niveau vibratoire 49 (7 au carré) :
il(s) y entre(nt) dans le nombre 50, égal à V fois X,
autrement dit V fois
II fois V,
ce qui,
curieusement,
relie les deux Henrys :
Henrys II et V.
Nostradamus a joué avec ces 2 chiffres
dans sa Lettre à Henry, roy de France second,
publiée par J. C. de Fontbrune,
dans Nostradamus Historien et Prophète, tome II (Éditions du Rocher),
en cachant
le second, qu'il appelait d'ailleurs : « Henry Roy de France second »,
derrière Henry II, son roi, mort le 10 juillet 1559,
à la suite du célèbre tournoi où un éclat de lance lui creva l'oeil,
le prophète étant, lui-même, mort le 2 juillet 1566.

Il nomme, dans ses Centuries, Henry second,
par l'anagramme d'Henryc :
Chyren ou Chiren.
C'est à son ami, le bourguignon beaunois Jean-Aimé de Chavigny,
que Nostradamus a donné la clé de ce mot,
source de trop de contestations,
dès les premières interprétations des quatrains
et jusqu'à notre époque.


«
Le dernier âge estoit, une Dame royalle,
Qui portait d'une main couronne impériale,
De l'autre un globe rond, sur lequel on lisoit
(Grand mystère) Chiren, lequel tourné faisoit
Le sacré nom Henric, qui mis au chef du monde,
Doibt un jour commander à la machine ronde.
»
(Jean-Aimé de Chavigny, le Janus français, 1594)

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X.- BIG BANG : COMPARAISON D'APPORT SCIENTIFIQUE
AVEC RÉVÉLATION, JE LE CROIS, DIVINE







      
J'ai lu votre livre, Messieurs, après avoir été stupéfait de la correspondance entre une représentation scientifique du Big Bang, en forme de pyramide inversée, et la représentation, pyramidalement inversée, elle aussi, de la relation en XVI / XVII temps du Cycle Créateur de

Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
respectueuse,

de « Scriptorale », que 19 fortes coincidences me disent par ailleurs, être la Jérusalem Céleste, la Fiancée du Seigneur. Comme vous le voyez, du Visage de Dieu à la Fiancée du Seigneur, il n'y a même pas un pas. Voilà pourquoi, cette correspondance me fait dire que les créations humaines, d'ordre rationnel ou spirituel, suivant qu'elles sont d'inspiration humaine ou divine, peuvent être considérées comme des échos de la Création de l'Univers, et cela, d'autant plus, que Scriptorale - Jérusalem Céleste - écho du Big Bang véritable, est plus conforme à la vision que vous en avez, qu'à cette représentation scientifique dépassée :

      - cette dernière est limitée en hauteur alors que Scriptorale est en expansion infinie, comme l'ont montré, à propos de notre Univers, Hubble et Humason , le 1er janvier 1925 : « Loin d’être fixes, écrivez-vous, les galaxies se déplacent à des vitesses vertigineuses. » En fait, « ce ne sont pas les galaxies mais l’Univers tout entier qui est en fuite ! En expansion ! » « à chaque instant, il se dilate, s’étire vers l’infini. » (LVD - Le Visage de Dieu -, p. 76).

      - Autre correspondance : la représentation scientifique du Big Bang (à gauche) et Scriptorale (à droite) font état de 5 lumières : 4 bornant un carré : les aboutissements des 4 Arbres de Vie : II - VI - X - XIV et une 5ème centrale : - XVII -.


      - Il y a, toujours à gauche, 3 étages carrés au-dessus du feu central. Il en va de même à droite : ils sont délimités par les bases des temps de Compositions : 1 - V - IX - XIII, à la surface de la sphère pour le 1er ; les jonctions des temps de Compositions et des temps d'Interprétations en contractions : 1/II - V/VI - IX/X
- XIII/XIV, pour le second ;
- les bases inversées des temps d'Interprétations en expansions : II - VI - X - XIV, pour le 3ème.

      - Toutefois, ces étages carrés sont plats, à gauche, et courbés en Scriptorale, courbure que, Messieurs, vous estimez compatible avec les données fournies. Il y a donc, ici, rencontre entre la révélation spirituelle divine et la connaissance scientifique rationnelle humaine :
« les données fournies, dites-vous, sont également compatibles avec un espace très légèrement courbé positivement (ce qui signifie, dans le cas le plus simple, qu’il devrait avoir la forme d’une sphère). » (LVD, p. 149).

      - Comme vous l'expliquez, Messieurs, :
« Le satellite WMAP commence à extraire
ce qui a pu se passer dans la fameuse période de « l’inflation » : un milliardième de milliardième de milliardième de milliardième de seconde après le Big Bang ! L’Univers s’y est brutalement dilaté, au moins 10 puissance 50 fois en une fraction de seconde : tout près de ce qu’on pourrait appeler la « création ». » (LVD, p. 150). Or, d'une part, il n'y a aucune sphère dans la figure 2, alors qu'il y en a une fondamentale dans la figure 5, puisque c'est elle qui structure toute son architecture et elle crée, elle aussi, comme dans la figure 11, un renflement après le Big Bang analogue à l'inflation précédente ; et, d'autre part, les arêtes simplistes de la pyramide inversée, en figure 2, sont coupées par les étages, alors qu'en figure 5, elles sont reliées entre elles par les 4 Arbres de Vie 0-I-II / IV-V-VI / VIII-IX-X / XII-XIII-XIV, alternant expansions-contractions-expansions finies, eux-mêmes reliés au Vème Arbre de Vie central XVI-XVII, à la double expansion verticale inversée, la 1ère, XVI, finie descendante, et la seconde, XVII, enveloppe du tout, infinie ascendante, quant à elle, ce qui les rend particulièrement vivantes, l'Énergie Noire souterraine jaillissant au grand jour, en Énergie-Lumière, par le V central du Trône numérique du Verbe-Dieu.

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XI.- « VIOLENTES & MIRACULEUSES
COINCIDENCES »






 
    - Vous soulignez, page 164, la question des « « violentes coincidences » qui semblent exister entre certaines grandeurs jusqu’à donner un sens à l’Univers tout entier ». Comment ne pas être troublé par ces grandeurs, ces « coincidences « miraculeuses » qui existent entre elles ? » (LVD, p. 164). Il en va de même pour Scriptorale - Jérusalem Céleste :

IMPORTANCE :

- des nombres 5 (V), 50, 55 ;
- du nombre 10 et de 1, sa réduction théosophique (rt) ;
- des passages :
XVI-XVII
(coupure entre les Louis de l'Histoire de France),
16-18
(passerelle rationnelle - spirituelle des niveaux vibratoires),
49-50
(49 niveaux vibratoires - 50, 1ère Plénitude)
100
(seconde plénitude) ;
- des temps de Compositions, à partir de 1 :
1 - V - 9 - 13 - 17 - 21 - 25 - 29 - 33 - 37 - 41 - 45 - 49 ;
- des temps de Compositions, à partir de 10 :
10 - 14 - 18 - 22 - 26 - 30 - 34 - 38 - 42 - 46 - 47-48 ;
- des 1ers nombres :
10, 19, 28, 37, 46, 55, 64, 73, 82, 91, 100,
tous de rt 1 par 10 ;
- de la jonction
des 47 - 48èmes temps,
par où passe le cercle 7 ;
- des niveaux vibratoires
1 - 4 - 9 - 16 - 25 - 36 - 49
carrés des cercles
1 - 2 - 3 - 4 - 5 - 6 - 7...

      - Vous notez, page 19, des Irrégularités tout au fond de la lumière fossile, comme si qqch était écrit, comme si l’Univers primordial était mystérieusement tramé, ressemblant à une « carte cosmologique », comme si on pouvait lire par « stries » ce qu’allait devenir, bien plus tard le cosmos. (LVD, p. 19). Cela peut tout à fait correspondre à ce qui m'est donné pour le Trône numérique de Dieu, du centre de numéro V, duquel jaillira la pyramide inversée de la Jérusalem Céleste, où est écrit

1 - V - 9
4 - 8 - 3
7 - 2 - 6

ce qu'encore maintenant doit devenir le cosmos : 1 - V - 9 - 4 ou 1 - V - 9 - 13, les 4 bases des pyramides de compositions et 8 ou 17-V, le conduit de l'Énergie noire qui va se transformer en Énergie-Lumière dans le passage V.

      - Vous notez encore, page 23 : Le grand rêve, c’est de mettre ainsi au jour ce que les physiciens appellent la « supersymétrie », c’est-à-dire cet ordre généralisé qui régnait dans l’espace-temps tout au début. (LVD, p. 23). N'est-ce pas cette « supersymétrie », qui fait toute l'harmonie de Scriptorale ?

      - Vous enchainez, toujours page 23 : « Quand un cosmologiste comprend comment s’assemblent lois et principes dans le cosmos, comment ils sont reliés, comment ils montrent une symétrie que les anciennes mythologies réservaient à leurs dieux, comment ils impliquent que l’Univers doit être en expansion, doit être plat, doit être tel qu’il est, il perçoit la beauté pure sans mélange. Le concept religieux de création découle d’un sentiment d’émerveillement devant l’existence de l’Univers et devant notre place en son sein. » (LVD, p. 23). C'est le sentiment que me donne Scriptoral, dans ses applications artistiques, exemple ou encore :


Vidéo : Trazom Edama

      - et, page 39 : Mais jusqu’où cela va-t-il nous mener ? Vers quelque chose de totalement inconnu. Une cause primordiale qui, selon le Nobel Arno Penzias, ne se situe pas dans notre Univers : « Ce que nous avons découvert était une radiation pour laquelle il n’existe aucune source connue dans l’Univers. » (LVD, p. 39). Les 49 niveaux vibratoires indiqués par l'ange gardien de Pierre Jovanovic sont-ils liés à ces radiations ?

      - Puis, page 41, vous citez Max Planck :  « Toute la matière trouve son origine et existe seulement en vertu d’une force. Nous devons supposer derrière cette force l’existence d’un esprit conscient et intelligent. » Stephen Hawking va dans le même sens : il croit en la présence avant le Big Bang, d’un « être responsable des lois de la physique. » Pour vous, Messieurs : « le monde de l’énergie et de la matière repose sur un autre monde, invisible mais déterminant :  celui de l’information. Un peu comme le monde du vivant obéit à cette information qu’est le code génétique. » (LVD, p. 41). En résumé, pour vous trois, il y a, avant le Big Bang, soit un être supérieurement intelligent, soit un monde invisible de l'information, déterminant ce qui se passe. Personnellement, mon expérience n'est pas scientifique, c'est celle du monde du vivant : en effet, je mets en question, depuis une quarantaine d'années, des milliers de synchronicités que je note. Elles déterminent ma vie et lui donnent un sens, à la manière de ces codes dont vous parlez. C'est ainsi que je crois, moi aussi, en l'existence d'un Être supérieurement intelligent, responsable des lois de la physique dans un monde sous-jacent et invisible, qui pour moi, est le Dieu trinitaire

aux 3 formes d'Esprit de
Composition-Interprétation / Improvisation
Respectueuse,
agissant en 4 temps de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
Respectueuse.

      Il est l'Alpha et l'Oméga, le Premier et le Dernier, le Commencement et la Fin. À ce titre, Il n'a ni Commencement, ni Fin, mais un Commencement qui est Sa Fin et une Fin qui est Son Commencement. Commencement et Fin superposés ne laissent la place à Rien et étendus, ils la laissent à Tout, n'est-ce pas la réponse à votre remarque : « Comment imaginer que, des milliards d’années en arrière, une « explosion » à partir de Rien puisse être à la source de Tout  » ? (LVD, p. 58).
      En fonction de cela, je fais l'hypothèse suivante : de même que l'on s'est aperçu, en 1925, qu'il n'y avait pas qu'une seule galaxie dans l'Univers, mais des millions, voire des milliards , pourquoi n'y aurait-il pas (non pas des millions, voire des milliards d'Univers comme le nôtre, ce qui serait un nombre fini, réductible à un point par rapport à l'Infini), mais une Infinité de ces Univers, qui apparaîtraient, graviraient les 49 niveaux vibratoires et se fondraient dans l'Infini des Plénitudes 50... 100... jusqu'à ne faire qu'UN avec elles, dans leur Gloire ?    - Au sujet du commencement de l'Univers, vous citez l'Abbé Lemaître, selon qui : « L’Univers doit avoir un commencement, loin dans le passé. Et dans ce cas, ce n’est pas seulement la matière qui jaillit du néant, mais l’espace et le temps eux-mêmes ! » (LVD, p. 67). Mais si, au lieu d'un Univers, il y en a une infinité, dirigée par un Univers des Univers aux « Mains de Dieu » : Rien et Tout, Néant et Tout, ni Néant, ni Tout, mais Néant qui est Tout et Tout qui est Néant, comme ni Commencement, ni Fin, dans le Rayonnement fossile du mystère total de « l'ère de Saint Augustin », alors, si l'infinité des Univers comme le nôtre, aura un Commencement, l'Univers des Univers sera sans Commencement et sans Fin, mais le Commencement et la Fin.
    Le rayonnement fossile a été découvert en 1948 par Gamow, Alpher et Herman. « C’est là, au cœur de la toute première lumière de l’Univers que se cache le secret ultime. Celui de la Création. » (LVD, p. 80).

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XII.- POURQUOI
LE SOUDAIN ALLUMAGE ?







    - Vous posez, Messieurs, des questions, pour lesquelles Scriptorale a des échos de réponses :

    - Pourquoi, ajoutez-vous, Messieurs, cette mystérieuse lueur s’est-elle soudain allumée ? (LVD, p. 129).
    Saint Jean nous dit :
« I. Au commencement
le Verbe était
       et le Verbe était avec Dieu
       et le Verbe était Dieu.
       Il était au commencement avec Dieu.
       Tout fut par Lui
       et sans Lui rien ne fut. »
(L’Evangile selon Saint Jean,
Prologue, 1, 18, La Sainte Bible, Ed. du Cerf, 1956.)

    C'est donc le Verbe créateur, qui est Dieu et sans qui rien ne fut, qui est responsable de « l'allumage » de notre Univers. « Allumage soudain » à la sortie V du Trône numérique, mais préparé par tout un trajet ténébreux préalable de l'énergie noire (?). En somme, le Verbe préexistait (sous forme de rayonnement fossile ?) de toute Éternité au Big Bang créateur de notre Univers et peut-être de celui d'une infinité d'autres régis par le même modèle énergétique, opposant deux voies complémentaires, l'une fonctionnant en élévation verticale, l'autre en ouverture horizontale,
où la gestion de l'énergie est totalement différente : elle se fait sur la durée pour la Composition-Interprétation et dans l'instant pour la Destruction-Transformation. Ayant découvert ce cycle créateur dans le monde musical, en particulier, et dans le monde artistique, en général, je m'aperçus qu'il se trouvait aussi dans le reste de la société laïque, entre autres, dans les mondes entrepreneurial et politique, ainsi que dans les mondes religieux :
     Dans le monde entrepreneurial, il se manifeste dans l'opposition de deux formes d'innovations. La première, pyramidale ou incrémentale, est une innovation de perfectionnement, qui améliore sans cesse les produits existants, comme le fait la Composition-Interprétation artistique.
     La seconde, innovation visionnaire ou de rupture, change en profondeur l'état des techniques ou des procédés dans le but de modifier les usages de consommations, c'est la destruction créatrice de Joseph Schumpeter, son « ouragan perpétuel », ce qui correspond exactement à la Destruction-Transformation en musique.
     Dans le monde politique, on a, à droite et au centre, une action conservatrice « évolutionnaire » qui progresse en restant reliée à ses origines et qui s'oppose à la gauche révolutionnaire. Celle-ci fonctionne en rupture avec la Composition-Interprétation par une Destruction-Transformation qui devient terroriste, quand elle n'est pas respectueuse de l'intégrité des personnes et de leurs créations, comme ce fut le cas à la Révolution, sous la Terreur.
     Dans les mondes religieux, nous avons :

Judaïsme-Christianisme / Destruction-Transformation
islamique
souvent irrespectueuse pour l'instant ;

Trinité chrétienne :
YHWH-Jésus-Christ / Esprit-Saint
Compositeur-Interprète / Destructeur-Transformateur
Respectueux
;

Hindouisme :
Brahma-Vishnu / Shiva
Compositeur-Interprète / Destructeur-Transformateur
Respectueux (?)

Yin-Yang :
le point blanc, RIEN du Yang
apparaît dans le noir du Yin, s'y développe et y remplit TOUT l'espace,
tandis que
le point noir, RIEN du Yin
apparaît dans le blanc du Yang, s'y développe et y remplit TOUT l'espace,
et ainsi de suite, indéfiniment...

Islam :

Jihad Majeur / Jihad mineur
combat contre soi-même / combat contre autrui.

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XIII.- POURQUOI LE DEFERLEMENT
DANS LE NEANT ?





 

    - Pourquoi, ajoutez-vous, Messieurs, cette énergie titanesque, inconcevable, s’est-elle mise à déferler dans le néant ? (LVD, p. 129).
     Ce que l'humanité non religieuse appelle « néant » n'est « rien » que pour elle. En fait, le néant est le contraire de l'Être, c'est une barrière mentale à l'Être et à l'Amour. Qu'on arrête de penser, qu'on fasse le vide de la pensée et afflue ce que le philosophe bouddhiste Trinh Xuan Thuan appelle « La Plénitude du Vide », un vide d'autant plus plein qu'il est total. Cette énergie titanesque, inconcevable, s’est mise à déferler dans le néant, tout simplement sans doute, comme nous le fait vivre l'actuel écho de Big Bang de ces deux derniers millénaires, parce que la barrière du vide mental... (mais... « barrière...» « barrière ! » : j'ai dit : « barrière », que fait-on pour l'instant, avec la COVID 19 ? si ce n'est multiplier les gestes « barrière » quand il faudrait multiplier les gestes d'Amour, avec un grand « A. » Il est vrai que ces gestes « barrière » peuvent être faits dans l'amour du prochain ce qui les transfigure, et non dans la crainte pour notre propre vie. Mais revenons à nos moutons, qui ne sont pas loin : Cette énergie titanesque, inconcevable, s’est mise à déferler dans le néant, tout simplement sans doute, comme nous le fait vivre l'actuel écho de Big Bang de ces deux derniers millénaires, parce que la barrière du vide mental qu'est le néant, a sauté, et pourquoi ? Sans doute parce que l'intelligence (et Lucifer est le plus intelligent de tous les anges) est mise en berne par le Dieu d'Amour, qui donna son Fils unique pour nous sauver et fit procèder Son Esprit Saint de son Interprète de Fils et de Lui-même, Auteur-Compositeur par excellence, pour qu'il nous donne la Vie en parlant par les prophètes, dont le Dernier est Nostradamus.

 
Vidéo : Interprétation du quatrain X, 72 de Nostradamus

    Voici ce que dit l'apôtre Paul de la place de l'Amour dans l'évolution créatrice,
que je confirme pour l'avoir expérimenté :

     « Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n’ai pas l’amour,
je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit.
Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance,
quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes,
si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.

L’amour ne périt jamais.
Les prophéties prendront fin, les langues cesseront,
la connaissance disparaîtra. »
(1 Corinthiens 13 :1- 2 ; 8).

     Et voici l'extrait de l'article de foi chrétien du symbole de Nicée-Constantinople,
où il est précisé que l'Esprit Saint procède du Père et du Fils :
ce que fait l'Improvisateur Destructeur-Transformateur Respectueux
avec le Compositeur & l'Interprète :

venant après l'Écriture, Il nous donne la Vie d'un Nouvel Oral,
par delà l'Écriture de leurs
Compositions - Interprétations :
Je crois en l’Esprit Saint,
qui est Seigneur et qui donne la vie ;
il procède du Père et du Fils ;
avec le Père et le Fils,
il reçoit même adoration et même gloire ;
il a parlé par les prophètes.

    La similitude d'approche des mondes de notre Univers ne montre-t-elle pas suffisamment que l'Evolution créatrice, régie par l'Amour du Père, correspond à l'enchaînement des

3 formes d'Esprit de
Composition-Interprétation / Improvisation
agissant en 4 temps de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation
Respectueuse,
autrement dit :
du Père - de Son Fils Unique / et de Son Fils Prodigue ?

 
Vidéo : L'Évolution de l'Univers selon « Scriptoral »

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XIV.- LE GRAVE MALENTENDU






      Avant d'aller plus loin, il importe de tirer au clair un grave malentendu, entre une partie de l'humanité et son Père divin : C'est le reproche fait à Dieu de laisser souffrir et mourir quantité d'innocents, et cela, jusqu'aux enfants. En fait, l'humanité ayant reventiqué une liberté qui lui a été accordée, toute intervention du Très Haut dans sa vie est une atteinte à cette liberté, et cela, d'autant plus, que la science, comme vous le montrez si bien, Messieurs les auteurs, met en évidence l'extraordinaire précision du réglage de l'Univers, et que la moindre infime modification de ce réglage peut entraîner l'anéantissement du Tout.
       C'est ainsi que, dans votre quinzième chapitre, intitulé « pourquoi l’Univers est-il si bien réglé ? » Vous soulevez la question des « « violentes coincidences » qui semblent exister entre certaines grandeurs jusqu’à donner un sens à l’Univers tout entier. » C'est exactement à la mise en évidence de ce sens qu'est consacré tout ce site. «  Comment, vous enthousiasmez-vous, ne pas être troublé par ces grandeurs, ces « coincidences « miraculeuses » qui existent entre elles ? Toutes, sans exception, montrent que si les conditions initiales – au moment même du Big Bang - et, aujourd’hui, la valeur de ce qu’on appelle les « constantes fondamentales » avaient été un tant soit peu différentes, l’homme, la vie et l’Univers lui-même ne seraient jamais apparus. » (LVD p. 164).
        «
Chacune de ces constantes, poursuivez-vous, s’écrit avec un chiffre, une virgule, et parfois 30 ou 40 décimales calculées derrière la virgule. Ces cascades de chiffres si précis, si incroyablement ajustés les uns aux autres, ces grandes constantes sur lesquelles repose en un invraisemblable équilibre tout notre Univers ont déconcerté, tourmenté, fasciné P. 169 : jusqu’à l’obsession les plus brillants esprits… » (LVD. P. 169).
       Vous précisez que tout dans l'Univers, jusqu’à la moindre parcelle à l’intérieur de notre corps obéit à ces fameuses constantes universelles. « L'exemple le plus frappant étant la « constante de structure fine » (qui régit la force électromagnétique, l’une des plus banales de notre quotidien) :

Sa valeur :1/137, 035999679…
soit : 0,0072973525376…
Si on remplace le dernier chiffre (6)
par n’importe quel autre,
la force électromagnétique « tombe en panne »
et l’Univers tout entier
cesse d’exister ! »

       « La plus grande liberté naît de la plus grande rigueur », nous dit Paul Valéry, voilà pourquoi Dieu, l'Être libre par excellence, qui a organisé Son (ou Ses ?) Univers avec une si étonnante rigueur, reconnue par la science des hommes, ne peut intervenir dans la vie de l'humanité, ce qui serait la tuer, le remède étant infiniment pire que le mal.
       Il ne peut qu'attendre son retour vers Lui, tel celui du  fils prodigue, pour faire la plus magnifique des fêtes, au risque de devoir calmer l'incompréhension et la colère de Son premier Fils, s'écriant à la face de l'Univers :

« Eli, Eli, lama sabachthani ! »

       Ou, comme le dit Saint Luc : « Il y a tant d’années que je suis à ton service sans t’avoir jamais désobéi, et jamais tu ne m’as donné un chevreau pour faire la fête avec mes amis. Mais quand ton fils revient après avoir dépensé tout son argent n’importe comment, tu fais tuer pour lui le veau gras !”
       Le père répond : “Toi, mon enfant, tu es toujours avec moi et tout ce qui est à moi est à toi. Il faut faire la fête et se réjouir, car ton frère que voilà était mort et il est revenu à la vie ; il était perdu et il est retrouvé !” » (Évangile selon saint Luc, chapitre 15, versets 11 à 32).

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XV.- LE FEU AUX ÉQUATIONS







       
- Mais, Messieurs Bogdanov, revenons à la page 129 de votre livre : « Qui donc, y demande Stephen Hawking, a mis « le feu aux équations » ? Pour répondre, il va nous falloir descendre dans le feu intime de cette lumière des premiers temps » (LVD, p. 129).
       « Descendre dans le feu intime de cette lumière des premiers temps » : c'est exactement ce que nous invite à faire Scriptorale - Jérusalem Céleste - écho de Big Bang. Pour cela, il faut se reporter à son image ci-dessus : pour savoir qui a mis le feu aux équations, c'est-à-dire, qui est responsable du Big Bang, nous disposons de deux échos de Big Bang :

. le premier, c'est la crucifixion - descente aux enfers / Résurrection du descendant royal de David : Jésus-Christ à l'âge de 38 à 40 ans, entre 7 et 5 ans avant l'ère commune, si on en croit Wikipédia,
. le second, c'est, peut-être au même âge de 39 ans, la décapitation de Louis XVI et la descente 228 ans dans les ténèbres (1793 - 2021) de Louis XVII et de ses successeurs, aboutissant à celui qui se dit leur descendant au moins spirituel et peut-être également biologique, votre serviteur :

ABOUHEY-YEHOUBA
HEYCNR - CHYREN - HENRY C.
comme CINQ

       Il m'est dit que la descendance spirituelle de Louis XVI / Louis XVII, prisonniers du Donjon du Temple a été confiée, le 16 octobre 1793, jour de son exécution, par Marie-Antoinette, à son époux spirituel, le franc-maçon Mozart, pour une initiation réconciliant enfin, les spiritualités royale et templière. C'est, là, ce qui correspond à un écho du « feu intime de cette lumière des premiers temps ». Conscient de ce qu'une telle présentation des faits a de choquant et de fou, au premier abord, il est nécessaire de parler d'un minimum de synchronicités et d'un minimum de chronologie.
        Les voici donc, mais, auparavant, signalons toutefois l'Opéra contemporain inattendu de Corigliano : "Les Fantômes de Versailles", commande du Metropolitan Opéra de New York, pour fêter son centenaire, il fit un triomphe à sa création et fut repris par plusieurs scènes aux États-Unis, avec un succès permanent, depuis 1991. Sa musique navigue entre Mozart et Rossini. Le thème est identique, mais avec, pour époux de Marie-Antoinette dans la mort, Beaumarchais ! Couple que rien ne justifie. Il n'en va pas de même du couple Marie-Antoinette - Mozart :

       - 1279 : Philippe III le Hardi, roi de France, octroie l'Enclos du Temple aux Templiers. Celui-ci comptait notamment le Palais et le Donjon du Temple.
       - 1312 : Philippe IV le Bel, roi de France, dissout l'Ordre du Temple.
       - 1314 : il fait torturer nombre des membres de l'Ordre et brûler ses dirigeants, dont Jacques de Molay, qui aurait maudit, sur le bûcher, le roi et ses successeurs.
       - 1762 : Mozart, âgé de 6 ans, est invité par l'impératrice Marie-Thérèse, à jouer au château de Schönbrünn, il glisse sur le parquet ciré et tombe. Marie-Antoinette l'aide à se relever et Amade lui déclare que, pour la remercier, il l'épousera, quand il sera grand !
       - 1764 : Mozart est représenté au clavecin, sur le tableau "Thé à l'Anglaise chez le Prince de Conti", dans le salon des Quatre-Glaces du Palais du Temple, en face du Donjon.
       - 1785 : Marie-Antoinette vient au Palais du Temple, en face du Donjon, fêter ses relevailles de la naissance du futur Louis XVII.
       - 20-21 juin (date actuelle de la Fête de la Musique) 1791, la famille royale part du Louvre (de sa varenne ?) en direction de l'Est dont elle suit le 48ème degré de latitude Nord, jusqu'à quelques kilomètres de Varennes-en-Argonne, elle bifurque vers le 49ème degré, où elle est arrêtée. Mozart instrumente le 1er acte de sa "Flûte enchantée".
       - 30 septembre 1791 : création de "la Flûte Enchantée", opéra d'initiation maçonnique du franc-maçon Mozart.
       - 5 décembre 1791 : mort de Mozart, 2 mois et 5 jours après la création de "La Flûte enchantée".   
       - août 1792 : la famille royale est incacérée dans le Donjon du Temple
       - 21 janvier 1793 : exécution de Louis XVI. Au moment de la mort, Marie-Antoinette agenouillée devant son fils, le futur Louis XVII, âgé de 8 ans, prononce la phrase consacrée : "le roi est mort, vive le roi !"
       - 16 octobre 1793 : Exécution de Marie-Antoinette qui rejoint son époux Louis XVI dans la mort.
       Est-ce à ce moment-là qu'elle confie le petit roi et sa descendance à Mozart pour qu'il les initie aux spiritualités templière et maçonnique, en tant que son époux spirituel, tenant ainsi la parole qu'à 6 ans il donna à la future reine de France ?
       Mozart est, en effet, doublement lié à l'Ordre du Temple et au Palais du Temple de Paris, d'une part, parce que c'est un franc-maçon spéculatif et que cette franc-maçonnerie est liée au Temple comme le montre Alain Desgris dans "L'Ordre des Templiers" (Ed. Dervy), d'autre part, parce que le peintre Ollivier l'immortalisa, enfant, en France, dans le Salon aux Quatre Glaces de ce Palais. 

       - 16 février 1949 : Naissance de votre serviteur, Messieurs. Lui qui se considère comme le descendant au moins spirituel de Louis XVI, ne sait pas quand Marie-Antoinette a confié Louis XVII à Mozart, ce qu'il sait, par contre, c'est que l'importance des synchronicités le reliant à Mozart est exceptionnelle. En voici quelques-unes : jugez en par vous-mêmes en cliquant sur "synchronicités", vous y trouverez votre même serviteur sous le nom de Y et un calcul de probabilités sur le nombre de personnes susceptible sur la planète, d'être relié à Mozart comme il l'est lui-même. N'étant pas mathématicien, ce calcul est artisanalo-artistique, mais il paraît qu'il fallait multiplier là où il a additionné : ses résultats seraient donc en-dessous de la réalité !...
       Nous sommes bien dans le cadre d'une descente « dans le feu intime de cette lumière des premiers temps » qui est une réponse - écho de Big Bang, susceptible de remettre « le feu aux équations » : descente de la tête du temps XVI Transformateur Respectueux de Louis, venu réveiller les morts royaux sommeillant dans l'Énergie noire se transformant en Énergie Lumière à la sortie V du Trône numérique de Dieu, au premier rang desquels les Pères Compositeurs :

- François 1er,
- Louis V / Hugues Capet,
- Louis IX le Saint,
- Louis XIII le Juste pour la monarchie et
- Jacques de Molay, pour l'Ordre du Temple, suivis des
- Fils Interprètes : 2 - 6 - 10 - 14, des
- Fils Destructeurs : 3 - 7 - 11 - 15, des

- Fils Transformateurs : 4 - 8 - 12 - 16, explosant en
écho de Big Bang : 17 :



..........




I-II / III-IV
1.- François Ier
2.- Henry II - François II
3.- Charles IX - Henry III
4.- Henry IV



v-VI / VII-VIII
5.- Louis V le Fainéant - Hugues Capet
6.- Louis VI le Gros
7.- Louis VII le Jeune
8.- Louis VIII le Lion

...............



17.- Louis XVII
XVII
XVI
16.- Louis XVI


 

XIII-XIV / XV-
13.- Louis XIII le Juste
14.- Louis XIV le Roi-Soleil
15.- Louis XV le Bien-Aimé



IX-X / XI-XII
9.- Louis IX le Saint
10.- Louis X le Hutin
11.- Louis XI le Prudent
12.- Louis XII le Père du Peuple

.....................................................
...................
..................................................................................................................................................................
Fig. 31 : réveil des morts royaux, de François Ier à Henry IV, intercalés dans les Louis, entre Louis XII et Louis XIII,
sommeillant dans l'Énergie noire qui se transforme en Énergie Lumière
à la sortie XVI/XVII du Trône numérique de Dieu,
préparation d'une boucle
François Ier roi - François Ier pape.


Fig. 32 : après le trajet I - V - IX - XIII - XVII de l'énergie noire
dans le trône numérique de Dieu, autre trajet, où se croise le
16 descendant de Louis avec le 789 ascendant
de la Révolution qui l'a renversé.

       Le premier Cycle Créateur de Scriptorale - Jérusalem Céleste - écho de Big Bang est initié par François 1er, premier mort réveillé le 18 mars 2000, jour du 686ème anniversaire de la mort par le feu de Jacques de Molay, ainsi que le dit l'interprétation du quatrain X, 72 de Nostradamus :


car ce prénom qui lui fut donné en 1515, il le partagera complètement avec le pape François, quand ce dernier aura un successeur, pape François élu au pontificat le 13 mars 2013, suite à la démission du pape Benoît XVI. Toutefois, le pape François s'appelle déjà François 1er sur sa page Facebook « Pape François 1er - officiel », ce qui ne manque pas d'intérêt dans le cadre d'un écho de « feu aux équations » : en effet, dans l'affaire de la dissolution de l'Ordre du Temple et du bûcher de Jacques de Molay (le feu), les 18-19 mars 1314, le roi Philippe IV le Bel, mort le 29 novembre 1314 - 8 mois après le supplice (malédiction ?) - et le pape Clément V, mort le 20 avril 1314 - 32 jours après (malédiction ?) - étaient, le premier, responsable de la condamnation de l'Ordre, le second, compromis dans celle-ci, à laquelle il ne s'est pas opposé. On peut donc voir une synchronicité dans le fait que les successeurs de ce roi et de ce pape, réunis par un même nom, participent en toute liberté, à la réhabilitation de l'Ordre avec une Énergie noire, la liberté de leur démarche étant, quant à elle, soulignée par le prénom François, qui signifie « homme libre ». Notons que le pape François 1er doit son pontificat au pape Benoît XVI, qui, comme Louis XVI, eut à dépasser ce nombre XVI, qui fit basculer le roi, dans bientôt 229 ans de ténèbres (1793 - 2022) : nous sommes le 27 décembre 2021.

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XVI.- LE PREMIER CYCLE CRÉATEUR






« J. »,
la première lettre de « J.N.R.J. »,
correspond au 1er cycle Créateur de Scriptorale - Jérusalem Céleste.
Nous ajouterons à cette correspondance, celle des rois de la grande Monarchie française (CF) :

« J. » (Jésus)
I
II
III
IV
François Ier
Henry II & François II
Charles IX & Henry III
Henry IV
Père
Fils
Esprit
Saint
Compositeur
Interprète
Destructeur
Transformateur R.

16.- PREMIER CYCLE CRÉATEUR

Sous le « J. » (Jésus) de
« J.N.R.J. »,
Titre de la Croix de la Passion de Jésus-Christ,
le 1er cycle créateur de la Grande Monarchie de France,
« Fille ainée de l' Eglise » aux 5 rois principaux « par la Grâce de Dieu »,
Grande Monarchie allant de François Ier à Charles X. Elle a pour prénoms : François :
« homme libre »,
Charles : « homme »
,
Henry : « foyer royal »
et Louis : « gloire, combat »,
prénom royal, par excellence,
que nous envisagerons à partir du nombre V,
dans les cycles créateurs suivants,
étant donnée la fréquence de son emploi.
Ils sont ordonnés de I à IV (+ IX de Charles),
les 4 premiers, de la dynastie des valois-angoulême,
le 5ème - Henry IV - de celle des Bourbons.

(François II est secondaire en raison de la brièveté de son règne :
16 mois & 26 jours à 16/17 ans).


Ier cycle créateur
I
compositeur


Le 25 janvier 1515 :
début du règne de François 1er
et de la grande monarchie française,
avec ce roi bâtisseur, duc d'Angoulême,
représentant le 1er temps du 1er cycle créateur,
de Scriptorale - Jérusalem Céleste, temps de composition
et temps du Père. François Ier est le « grand Roy d'Angolmois »
de Nostradamus, en son quatrain X, 72 sur « mil neuf cens nonante neuf sept mois »,
où l'on vit, à tort, la fin du monde, alors qu'il s'agissaitt de l'actuelle fin d'un monde,
monde de la covid, incapable de reconnaître son Dieu qui l'y attend.
Le grand Roy d'Angolmois est ressuscité les 18/19 mars 2000,
à Rennes, en la symbolique personne du Parlement de Bretagne :


François signifie « homme libre ».
et le nombre I
est au coin haut gauche du Tableau.
(CF)


Ier cycle créateur
II
interprète


Le 31 mars 1547 :
début du règne de Henry II,
au prénom royal inusité depuis Henry Ier,
troisième roi capétien, couronné le 14 mai 1027.
Henry signifie « maison, domicile, foyer, famille royale »
et, par extension, « nation » et « Temple de Dieu ».
Il représente le 2ème temps du 1er cycle créateur de Scriptorale -
Jérusalem Céleste, temps d'interprétation et temps du Fils, où
Henri II poursuit l'œuvre politique et artistique de son père.

A la jonction des règnes de François Ier et
Henry II,
1547
est l'année du « coup de Jarnac »,
qui eut lieu le 10 juillet, 12 ans jour pour jour
avant le tournoi qui coûta le vie à Henry II
,
(CF)



Ier cycle créateur
II
interprète


Le 10 juillet 1559 :
début du règne de François II
agé de 16 ans, et pour 16 mois et 26 jours.
dernier emploi du prénom François (« homme libre »)
dans la monarchie française. Temps d'interprétation,
où le fils tente de jouer « François »,
la partition écrite par le père.
Toutefois,
avant que le cardinal Bergoglio en fasse son prénom de pape,
pour la première fois, dans toute la papauté, affirmant par là-même sa liberté d'action,
il était réapparu dans les quatre dernières générations de votre serviteur, qui
se reconnaît comme le descendant au moins spirituel de Louis XVI.
Son arrière-grand-père était François Bouhey,
son grand-père, Louis-François,
qui supprima le Louis,
son père : Aristide, François,
et lui-même : Alain, François, Léon,
avec une persistance,
signe d'une soif inextinguible
de liberté.

(CF)


Ier cycle créateur
III x III = IX
destructeur


Le 5 décembre 1560 :
début du règne de Charles IX.
C'est le roi, en 1562-1563,
de la 1ère guerre de religions
et du massacre de la Saint-Barthélémy,
le 24 août 1572, crime qu'il revendiquera.
Il partage avec son frère et successeur, Henri III,
le 3ème temps du 1er cycle créateur de Scriptorale -
Jérusalem Céleste, temps de destruction et temps du Fils,
mais du Fils restant loin du Père, car sa destruction est irrespectueuse
de la spiritualité d'autrui, en l'occurence, des huguenots.
Il meurt à 23 ans, le 30 mai 1574.
(CF)


Ier cycle créateur
III
destructeur

Le 30 mai 1574 :
début du règne de Henry III
Dernier emploi du prénom Henry
pour un Valois-Angoulême.
C'est le roi de 4 guerres de religions
Il partage avec son frère et prédécesseur, Charles IX,
le 3ème temps du 1er cycle créateur de Scriptorale -
Jérusalem Céleste, temps de destruction et temps du Fils,
mais du Fils restant loin du Père, car sa destruction est irrespectueuse
de la spiritualité d'autrui, en l'occurence, des huguenots.
Il meurt assassiné, le 2 août 1589.
(CF)


Ier cycle créateur
IV
transformateur


Le 2 août 1589 :
début du règne de Henry IV,
premier roi de la dynastie des Bourbons
et dernier emploi du prénom Henry
dans la monarchie française.
C'est le roi tolérant, qui met fin aux guerres de religions
Il correspond au 4ème temps du 1er cycle créateur
de Scriptorale - Jérusalem Céleste,
temps de transformation
et temps du Fils,
mais, cette fois, du Fils prodigue,
car sa transformation est respectueuse
de la spiritualité d'autrui, en l'occurence, des huguenots.
Il meurt, assassiné par Ravaillac, un moine fanatique,
le 14 mai 1610.

(CF)

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XVII.- LE SECOND CYCLE CRÉATEUR






17.- SECOND CYCLE CRÉATEUR


Sous le « N. » (Nazaréen) de
« J.N.R.J. »,
Titre de la Croix de la Passion de Jésus-Christ,
le 2ème cycle créateur de la Grande Monarchie de France,
4 rois : le premier, dernier monarque de la dynastie des carolingiens,
les 3 suivants appartiennent à celle des capétiens directs
(CF)





« N. »

seconde lettre de « J.N.R.J. »
(Nazaréen)
« EN »
« ENERGIE »
(« NRJ »)
Carolingien
Capétiens directs
V
VI
VII
VIII
Louis V le Fainéant
Louis VI le Batailleur
Louis VII le Jeune
Louis VIII le Lion
Père
Fils
Esprit
Saint
Compositeur
Interprète
Destructeur
Transformateur R.

2ème cycle créateur
I
compositeur


2 mars 986 - 22 mai 987 :
le règne de Louis V le Fainéant (!)
dern
ier roi carolingien auquel succèdera Hugues Capet,
fondateur de la dynastie capétienne, du nom que la Révolution donnera à Louis XVI
.
La brièveté de son règne, interrompu par une chute mortelle de cheval, dans la forêt d'Halatte
près de Senlis sur les terres d'Hugues Capet suffit-elle à expliquer le néant de ce rien qu'a fait
ce roi dit Fainéant, compositeur sans composition, mort de plus sans héritier ?
A moins que Louis V n'ait rien fait, pour que, mon Dieu, Tu fasses tout
et que ce soit cela sa composition :
son cadavre dans la forêt de celui que, de cette manière,
Tu désignas comme son successeur :
Hugues Capet,
fondateur d'une dynastie de pas moins de quinze rois ;
Hugues Capet,
dont la Révolution et sa
« vox populi » (« vox Dei ? »)
donna le nom en sa prison du Temple à Louis XVI,
malgré ses dénégations : il voulait seulement être appelé Bourbon,
Capet
mais cette fois associé à Bourbon,
nom par lequel je sentis que Tu t'adressais à moi,
dans ce jeu de mots sur Bourbon-Capet, donnant Bon Cap Bouret,
Bouret étant la prononciation de mon nom par mes étudiants taïwanais, et cela,
après m'avoir fait savoir que, pour arriver où tu voulais me mener,

je ne devais pas dévier de la route que tu me traçais, et après aussi m'avoir fait savoir,
par Nostradamus, que la monarchie française, de Hugues Capet à Charles X,
comptait 36 rois,
nombre que Marie-Antoinette n'avait pu dépasser :

« H034 mais elle (la reine) periclitant, celle qui luy sera adiousce par la temerité de l'aage de mort (la Terreur) periclitãt dedans le dixhuictiesme (siècle), ne pouuant passer le trentesixiesme (roi - Charles X, 36ème roi depuis Hugues Capet- ) »

Cela ne signifie-t-il pas que ces 36 rois, par Ta Grâce,
sont tous derrière moi, pour m'aider dans la lourde tâche que Tu dois me confier.
Et, avec Louis V, au nombre symbole en deux dimensions. de pyramide inversée,
Louis V le dernier des carolingiens qui n'a pas « fait néant », cela fait
37.
Ainsi,
par-delà les Bourbons et les capétiens,
c'est jusqu'aux carolingiens,
tous Roys qui ont fait la Fille aînée de Ton Eglise
que Tu me relies.
Ainsi encore, en Ton Trône numérique, où les places XIX / XX à XXXVI
sont vides, et où je ne savais pas comment les remplir,
Tu me donnes la réponse : ce sont les places
des 16 Roys manquants sur les 36/37,
que Tu portes tous en YEHOUBA,
mon nom caché et
Ton Temple.

Mais 37 de rt 1 !... (par 10=3+7)
c'est le nombre de retour à l'1 de François 1er,
qui est le nom de notre actuel Pape,
signe de retour à Ta spiritualité
du Roy par Ta Grâce, au
Pape par Ton Choix.

(CF)

2ème cycle créateur
II
interprète


30 juillet 1108 - 1er août 1137 :
le règne de Louis VI « le Gros »
ou « le Batailleur »1,

fils de Philippe Ier et père de Louis VII « le Jeune  »
cinquième roi de la dynastie des capétiens directs
.
Fils de Philippe Ier,
premier Louis capétien direct,
successeur fils en ce sens de Louis V
et second temps du second cycle créateur,
temps du fils qui interprète cette composition divine
,
qu'est la désignation, par le lieu de la mort du dernier roi carolingien,
du premier roi capétien qui lui succèdera.
Se disant lui-même « propre fils de l'Église romaine ».

il défendit la paix et le bon droit, protégea les faibles et l'Église,
compléta l'œuvre paternelle d'accroissement du domaine royal
et fut le premier souverain à toucher les écrouelles de façon habituelle.
« Sous son règne,
se dessinent les grandes lignes de la politique des souverains capétiens du XIIème siècle :
assurer une base réelle à la puissance royale en consolidant le domaine
et abaisser ou contenir les trop puissants vassaux, chose
que son père avait échoué à appliquer ».

(Cf. Wikipedia et CF)

2ème cycle créateur
III
destructeur

1er aout 1137 - 18 septembre 1180 :
le règne de Louis VII « le Jeune » puis « le Pieux »1,
fils de Louis VI « le Gros » et père de Philippe Auguste
6ème roi de la dynastie des capétiens directs.
et 3ème temps du second cycle créateur.
« Temps destructeur dû à son
impréparation ? »
Cf. Wikipédia :
« Son couronnement
fait suite à la mort accidentelle de son frère aîné (...)
des suites d'une chute de cheval provoquée par un cochon errant.
Louis VII (...) n'était pas prédestiné à une carrière royale :
son père le destinait à un sacerdoce ecclésiastique, voire monastique (...).
Cela explique aussi la piété austère et rigoureuse qu'il manifestera durant son règne.
Son inexpérience et sa faible préparation à l'exercice du pouvoir
sont probablement à l'origine de quelques
désastreuses décisions politiques
malgré les conseils de l'abbé Suger » :
«
Le royaume de France s’enrichit sous son règne :
l’agriculture se transforme et gagne en productivité,
la population augmente,
le commerce et l’industrie se développent,
une véritable renaissance intellectuelle apparaît
et le territoire se couvre de châteaux forts construits en pierre.

Cependant, la deuxième croisade fut
calamiteuse,
et la séparation d’avec Aliénor d’Aquitaine est une
erreur lourde de conséquences,
car elle fournit à un vassal mineur l'opportunité de s’imposer,
en plaçant le roi des Francs en infériorité territoriale pendant près d’un demi-siècle.
Il fallut l’action de trois rois illustres,
Philippe Auguste, Louis VIII le Lion et Louis IX, dit Saint Louis,
pour redresser la situation
et réduire les conséquences de cette décision
»..
(Cf. Wikipedia et (CF)


2ème cycle créateur
IV
transformateur

14 juillet 1223 - 8 novembre 1226 :
le règne de Louis VIII « le Lion »,
fils de Philippe Auguste,
huitème roi de la dynastie des capétiens directs.
et quatrième temps du second cycle créateur,
temps transformateur
, par lequel,
Louis VIII « le Lion »
transforme
la brièveté de ses 3 années de règne,
au milieu de ceux de 43 ans chacun de ses grand-père, père et fils,
par la brillance des deux campagnes qu'il sut y mener :
l'une contre les Anglais en Guyenne,
l'autre contre Raymond VII de Toulouse :
Elles lui valurent son surnom de
« Lion »,
Cf. Wikipedia et (CF)

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XVIII.- LE TROISIÈME CYCLE CRÉATEUR






18.- TROISIÈME CYCLE CRÉATEUR


Sous le « R » (Roi) et le « J » (Juifs) de
« J.N.R.J. »,
Titre de la Croix de la Passion de Jésus-Christ,
le 3ème cycle créateur de la Grande Monarchie de France,
2 rois : les 9ème et 12ème monarques de la dynastie des capétiens directs,
les 2 suivants appartiennent à celle des Valois et Valois-Orléans
(CF)




« R. »

3ème lettre de
« J.N.R.J. »
(Roi)

« ER »
« ÉNERGIE »

(« NRJ »)



« J. »

4ème lettre de
« J.N.R.J. »
(Juifs)

« GIE »
« ÉNERGIE »

(« NRJ »)


« J.N.R.J. »
« Jésus le Nazaréen .Roi des Juifs »
« JÉSUS ÉN-ER-GIE »
Capétiens directs
Valois
Valois-Orléans
.Louis IX
« Saint Louis »
Louis X
« le Hutin »
Louis XI
« le Prudent »
Louis XII
« le Père du Peuple »
Père
Fils
Esprit
Saint
Compositeur
interprète
destructeur
transformateur

3ème cycle créateur
I
compositeur

8 novembre 1226 - 25 août 1270 :
le règne de Louis IX dit « Saint Louis »,
fils de Louis VIII « le Lion » et père de Philippe III
neuvième roi de la dynastie des capétiens directs.
et premier temps du troisième cycle créateur.
Temps compositeur
correspondant à la description qu'en donne Wikipedia :
un règne inspiré des valeurs chrétiennes fondatrices de l'idée
qu'un seul homme peut incarner les pouvoirs spirituel et politique.
Il développe la justice royale, où le souverain apparaît comme « le justicier suprême »
et fait ainsi progressivement passer la France d'une monarchie féodale à une
monarchie moderne,

ne reposant plus seulement sur les rapports personnels du roi avec ses vassaux,
mais sur ceux du roi en tant quechef de l'État avec ses « sujets ».
(CF)

Louis IX est effectivement un roi réformateur,
qui veut léguer un royaume dont les sujets seront soumis à un pouvoir juste.
Sa réputation dépassant les frontières du Royaume,
son arbitrage est parallèlement sollicité par les différentes monarchies d'Europe.
Il est aujourd'hui considéré comme un monarque ayant offert à la France
un renouveau économique, intellectuel et artistique
et est considéré comme l'un des trois grands Capétiens directs
avec son grand-père Philippe II Auguste
et son petit-fils Philippe IV le Bel.
Cf. Wikipédia.
.

3ème cycle créateur
II
interprète

29 novembre 1314 - 5 juin 1316 :
le règne de Louis X dit « le Hutin  » («  l'Entêté  »),
fils de Philippe IV « le Bel » et arrière-petit-fils de Louis IX,
qui le précède dans l'ordre des Louis,
douzième roi de la dynastie des capétiens directs.
et second temps du troisième cycle créateur.
Temps d'interprétation
des règnes de Philippe IV, son père, et de Louis IX,
temps d'interprétation auquel ne correspond pas l'action de Louis X,
cette fin de dynastie capétienne étant bouleversée par des évènements
déclenchés, je le crois, par la politique de son père, dont il est le premier fils à pâtir
et dont il m'est dit que le dénouement n'est seulement proche, que maintenant :
en effet, alors que tout semblait sourire à Philippe IV le Bel, avec ses trois fils
assurant sa descendance et sa fille mariée au roi d'Angleterre,
sa suppression de l'Ordre du Temple,
sa condamnation au bûcher de ses principaux dirigeants
et la malédiction qu'y aurait prononcée son grand Maître, Jacques de Molay,
la nuit du 18/19 mars 1314,
malédiction,
dont tout dit qu'elle commença de s'accomplir la même année :
mort du pape Clément V le 20/4/1314, de Philippe le Bel, le 29/11/1314,
de Louis X, son fils aîné, le 5/6/1316,
de son petit-fils, Jean Ier 5 jours après,
et de ses 2 derniers fils : Philippe V et Charles IV,
les 31/1/1322 et 1/2/1328,
à quoi s'ajoutent les adultères de ses 3 belles-filles !...
malédiction
de la spiritualité de Jean, le disciple que Jésus aimait,
spiritualité de la co-naissance à une Vérité nouvelle,
contre la spiritualité de la connaissance de l'Église de Pierre,
à laquelle était alliée la monarchie française, ce pourquoi l'emprisonnement
de cette dernière dans le Donjon du Temple m'est donné, je le crois, comme la suite de cette malédiction
non pour achever la monarchie, mais au contraire, pour la ressusciter en ma personne,
en m'initiant à la Lumière des Ténèbres par le franc-maçon Mozart,
époux spirituel dans la mort de Marie-Antoinette...
pour ressusciter la monarchie en se
réconciliant avec la spiritualité de l'Église de Pierre,
ce qui est le sens de l'appel du pape Benoît XVI
à celui qui est devenu le pape François,
François (Ier)
devrais-je dire, puisque
le pape François s'appelle François Ier
sur sa page officielle Facebook :

Ainsi, nous avons le
XVI
de Benoît XVI,
l'ancienne alliance de la France,
« Fille aînée de l'Église »
avec cette dernière, le
Pape François
de la spiritualité de co-naissance à la Vérité nouvelle,
François Ier
de respect de l'ancienne alliance
Eglise de Pierre - monarchie française, le
François (Ier)
de la
RÉCONCILIATION
(CF)
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3ème cycle créateur
III
destructeur


22 juillet 1461 - 30 août 1483 :
le règne de Louis XI dit « le Prudent »,
fils de Charles VII,
sixième roi de la dynastie des Valois.
et troisième temps du troisième cycle créateur.
Temps de destruction du règne de Charles VII, son père,
s'il ne l'est pas de celui de Louis X, dont huit règnes le séparent,
encore que huit règnes représentent deux cycles créateurs et que, avec le règne de Louis X,
qui aurait dû être un temps d'interprétation, Louis XI correspond toujours au temps de destruction
qu'il représente par rapport à son père. Voici ce que dit Wikipédia de leurs relations :
« Louis XI a du mal à cacher ce qu'il pensait du pitoyable règne de son père,
ni ce qu'il éprouvait face à son manque de volonté ».
« Ses relations avec son père étaient tissées de double jeu et d’intrigues, et Charles VII, furieux de ses agissements, leva une armée pour marcher contre le Dauphiné et la Savoie ».
Il fit une « campagne de libelles contre son père, l’accusant de mœurs dissolues ».
« Commentaire cinglant et prémonitoire de Charles VII : " Mon cousin de Bourgogne a donné asile à un renard qui, un jour, lui dévorera ses poules" ».
Le 22 juillet 1461, Charles VII meurt à Mehun-sur-Yèvre. Louis XI affecte l’indifférence, il est absent lors des funérailles royales à Saint-Denis.»1(CF)


3ème cycle créateur
IV
transformateur

7 avril 1498 - Ier janvier 1515 :
le règne de Louis XII proclamé « le Père du Peuple »
aux États Généraux de 1506.
Fils de Charles d'Orléans, le prince poète,
seul roi de la dynastie des Valois - Orléans.
et quatrième temps du troisième cycle créateur.
temps de transformation de la monarchie absolue de Louis XI,
qui le prit en tutelle à l'âge de trois ans, où il perdit son père
et lui prodigua une éducation sévère.
Destructeur, là comme ailleurs,
Louis XI organise en 1476 son mariage avec Jehanne de France,
sa fille difforme et estropiée, espérant ainsi provoquer l'extinction de la branche d'Orléans.
Mais ce mariage, nous dit Wikipédia, est vécu par Louis d'Orléans comme un affront.
Sacré roi en 1498,
il le fait annuler par le pape Alexandre VI, pour non-consommation.
Et, de la Fronde jusqu'au terme du XVIIe siècle, son image idéalisée contrastera
avec les représentations de Louis XI, Louis XII tendant à personnifier une monarchie modérée,
qui empiète peu sur les seigneuries et ne lève pas excessivement d'impôts :
transformation Louis douzième de la destruction Louis onzième ! .
(CF)
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Pour avoir ces quatre cycles créateurs dans l'ordre chronologique,
il suffit d'intercaler entre les troisième et quatrième cycles,
c'est-à-dire, entre Louis XII et Louis XIII,
le premier, qui va de
François Ier à
Henry IV.



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XIX.- LE QUATRIÈME CYCLE CRÉATEUR



19.- QUATRIÈME CYCLE CRÉATEUR

Sous « J.N.R.J. »,
« Jésus le Nazaréen, Roi des Juifs »,
Titre de la Croix de la Passion de Jésus-Christ,
le 4ème cycle créateur de la Grande Monarchie de France,
4 rois : les 2ème à 5ème monarques de la dynastie des Bourbons,
CF)

4ème cycle créateur
I
compositeur

14 mai 1610 - 14 mai 1643 :
le règne de Louis XIII dit « le Juste »
Fils d'Henry IV,
second roi de la dynastie des Bourbons
et premier temps du quatrième cycle créateur.
temps de composition
:
« son règne, dit Wikipédia,
dominé par la personnalité du cardinal de Richelieu,
principal ministre d'État, que Louis XIII qualifie de
« plus grand serviteur que la France ait eu »,
est marqué par
l'affaiblissement
des grands et des protestants,
la lutte
contre la maison d'Autriche
et l'affirmation de la domination
militaire française en Europe
pendant la guerre de Trente Ans.
La naissance tardive de son premier fils
est considérée par le couple comme « un don du Ciel »,
Elle amène ce roi très pieux à signer le Vœu de Louis XIII,
consacrant le royaume de France à la Vierge Marie,
et vaut au futur Louis XIV d'être aussi prénommé Louis-Dieudonné.
Compositeur de la France, mais aussi de ballet, Louis XIII aurait créé, en 1635,
la musique, le livret et les costumes du Ballet de la Merlaison ou Ballet de la chasse au merle,
dansé, le 17 mars, par lui-même la même année à Chantilly et à Royaumont.
Louis XIII jouait également du luth dès l'âge de trois ans.
Surnommé le « roi des instruments »,
il l’impose à sa Cour et lui consacre des cycles de « concerts » privés
devant une assemblée choisie d’amateurs et de praticiens.
Roi-soldat comme son père. passionné par les chevaux et les armes.
c'est un excellent cavalier, qui se trouve fréquemment sur les champs de bataille,
où il montre un grand courage. »
(CF)
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4ème cycle créateur
II
interprète

14 mai 1643 - 1er septembre 1715 :
l
e règne de Louis XIV dit « le Grand »,
« Roi-Soleil »
ou « Louis Dieudonné ».
Fils de Louis XIII,
troisième roi de la dynastie des Bourbons
et deuxième temps du quatrième cycle créateur.
temps d'interprétation
:

Tel le soleil, son emblème,
l'interprète est celui qui donne vie à toutes les compositions,
à l'instar d'Apollon, dieu de la paix et des arts.
Roi-Soleil, interprète lui-même, Louis XIV excelle en musique, il est guitariste,
et en danse, dans les ballets auxquels il participera jusqu'en 1670.
Sachant s'entourer des meilleurs artistes de l'époque :
Molière, Lully, Racine...
Le Nôtre, Le Vau, Le Brun, Hardouin-Mansart...
il fait jouer leurs comédies, opéras, tragédies
et organise de brillantes fêtes,
au Chateau de
Versailles

Ainsi que nous le dit
l'article Louis XIV sur internet :
« Monarque de droit divin,
le Roi est le lieutenant (tenant lieu) de Dieu sur terre.
Il n’a de compte à rendre qu’à Dieu », ainsi que l'interprète vis à vis du compositeur,
ce dernier étant le seul apte à juger de la valeur de l'usage, par son interprète,
de la liberté, qu'il lui a donnée.
(CF)
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4ème cycle créateur
III
destructeur


1er septembre 1715 - 10 mai 1774 :
le règne de Louis XV dit « le Bien-Aimé ».
Arrière-petit-fils de Louis XIV,
quatrième roi de la dynastie des Bourbons
et troisième temps du quatrième cycle créateur.
temps de
destruction :
Une nouvelle fois,
nous pouvons constater une correspondance
entre ce troisième temps du cycle créateur, temps de destruction, et le règne
de Louis XV,
puisque, surnommé « le Bien-Aimé » en 1744, il fut si détesté à sa mort, qu'on dut l'enterrer de nuit,
pour éviter les émeutes au milieu de la liesse populaire qu'elle suscita.
Les raisons ?
Wikipédia en donne deux principales :
1.- le désintérêt de ce roi pour la politique :
« À la différence de Louis XIV,
Louis XV n'est pas en contact direct avec la vie politique du pays.
Il ne voit que rarement ses ministres et agit souvent à l'encontre de leurs attentes,
sans leur donner de directives fermes et précises,
se fiant plutôt aux informations d'un réseau secret de diplomates et d'espions qu'il a constitué2.
Son désintérêt pour la politique et la succession de ministres de tendances différentes
aboutissent à un affaiblissement de l'influence de la
monarchie française en Europe ».
2.- L'inconduite du roi :
« Seul survivant de la famille royale stricto sensu
(il est l'arrière-petit-fils de Louis XIV),
il bénéficie au début de son règne d'un grand soutien populaire,
ce qui lui vaut le surnom de « Bien-Aimé » en 1744 après une maladie qui faillit l'emporter, à Metz. Cependant au fil des ans son manque de fermeté,
le dénigrement de son action par les parlementaires et une partie de la noblesse de cour,
les intrigues incessantes impliquant sa maîtresse la marquise de Pompadour
ainsi que sa propre inconduite, amènent la disparition de sa popularité,
à tel point que sa mort
— de la variole —
provoque des festivités dans Paris,
comme il y en avait eu à la mort de Louis XIV. »
(CF)
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4ème cycle créateur
IV
transformateur


10 mai 1774 -6 novembre 1789 :
Louis XVI, roi de France et de Navarre
6 novembre 1789 - 21 janvier 1793 :
Louis XVI, roi des Français
,
petit-fils de Louis XV,
cinquième roi de la dynastie des Bourbons
et quatrième temps du quatrième cycle créateur.
temps de
transformation :
Succédant

à Louis XV« le Bien-Aimé »,
détesté car destructeur de sa propre image,
Louis XVI est aussi, quoiqu'on en ait dit, un roi transformateur.
Ne se présenta-t-l pas à Varennes, chez l'épicier Saulce où il fut retenu,
comme le père de son peuple qu'il est heureux de retrouver, et dont il refuse de faire couler le sang ?
La présentation qu'en fait GEO, sur internet, va dans ce sens :
« On a beaucoup écrit sur le caractère de Louis XVI.
On l’a dit faible, indécis, maladivement timide
mais aussi désirant ardemment être aimé par son peuple.
Il y parviendra, pendant un temps.
Avant que le cours de l’histoire ne fasse basculer
sa vie et son règne dans la tragédie ».
I
l fut aussi un roi réformateur,
et à ce titre, il initia une série de mesures,
qui eurent un véritable impact sur la société française.
Par l'Édit du 8 août 1779, il est l’artisan de la fin du servage sur les domaines royaux.
Il initie également l’abolition de la torture
qui se déroulera en deux temps, en 1780 puis 1788 ». (GEO)

Mais tout cela n'est rien !
Louis XVI a fait énormément plus :
il a su trouver le ton juste au moment ultime, où il allait passer sous la guillotine :
Ne déclara-t-il pas sur l'échafaud au bourreau Sanson et à ses assistants
« Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe.
Je souhaite que mon sang puisse cimenter le bonheur des Français » ?
Les conséquences spirituelles de cette déclaration sont incommensurables.
Pourquoi ?
parce que trouver le ton juste donne à celui qui l'exprime sa juste place.
Et quelle est cette juste place ?
Exactement celle qu'il a en Scriptorale - Jérusalem Céleste :
la voici : (CF) :
c'est la place de son pyramidion : le XVI, parfaitement verticale et centrée sur le Trône numérique
de l'Alpha et de l'Oméga, du Premier et du Dernier, du Commencement et de la Fin,
au milieu des quatre Arbres de Vie qui tendent la Cité carrée,
et appelant sous lui le Vème, Louis XVII, son fils,
jaillissant du V du Trône, entouré
du 1 et du 9, le 19 du Père,
nous attendant,
prodigues,
dans le
covid
!

Dernier échange entre Louis XVI
et la Révolution :


Louis XVI :
« Messieurs, je suis innocent de tout ce dont on m'inculpe.
Je souhaite que mon sang puisse cimenter le bonheur des Français ».
La Révolution :
«  Dans son ouvrage Le Nouveau Paris, paru en 1798,
l'écrivain et essayiste politique Louis-Sébastien Mercier raconte l'exécution de Louis XVI en ces termes :
« […] Est-ce bien le même homme que je vois bousculé par quatre valets de bourreau,
déshabillé de force,
dont le tambour étouffe la voix,
garrotté à une planche,
se débattant encore,
et recevant si mal le coup de la guillotine
qu'il n'eut pas le col
mais l'occiput et la mâchoire
horriblement coupés ? » »
(Wikipédia)
(CF)

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XX.- AUTRES COINCIDENCES


Fig. 33 : Scriptorale - Jérusalem Céleste - Echo de Big Bang
(rappel)






COINCIDENCES DE COULEURS
Nota : en bleu, les passages extraits de Le Visage de Dieu.

       - De minuscules différences de températures au sein de la première lumière sont à l'origne de taches s'étirant « comme des continents et des îles de différentes couleurs allant du bleu ciel au rouge en passant par le violet » (LVD, p. 140).
       - Coincidences de couleurs : rouge, bleu, violet, ce sont les couleurs de Scriptorale - Jérusalem Céleste - écho de Big Bang, auxquelles on peut associer des différences de températures : le bleu de la composition enfermée dans la noirceur de l'encre, mort apparente du script, le rouge de l'oral (fig. 6) et de l'interprétation (fig. 7) pleins de chaleur et de vie, le violet de la destruction (fig 8), mélange des deux et le rouge de la transformation, nouvel oral, plein, lui aussi, de chaleur et de vie.

COINCIDENCE DE DÉMARCHES

       - Conclusion de Paul Dirac : « Le destin d’une vie correspond à un ordre profond, susceptible, à force d’en rechercher les causes, d’être analysé et expliqué. Et selon lui, pour l’Univers, c’était exactement la même chose » (LVD, p.183).
       - Einstein : « Tous ceux qui sont sérieusement impliqués dans la science finiront un jour par comprendre qu’un esprit se manifeste dans les lois de l’Univers, un esprit immensément supérieur à celui de l’homme » (LVD, p. 183).       
       - Coincidence de démarches entre l'ordre profond issu de l'analyse de la relation des formes d'esprit de composition-interprétation / destruction-transformation (ir)respectueuse, dans le pouvoir créateur pyramidal et son évolution inversée, dans l'humanité et l'Univers (les 5 lumières du Big Bang et les 5 Arbres de Vie de Scriptorale).

COINCIDENCE DE FORCES & D'ÉNERGIES

       - L’Énergie noire reste un  mystère. Son origine, ce qu’elle est, comment elle agit, tout cela nous reste inaccessible : Pour les uns, elle pourrait être une nouvelle force de l’Univers, la Vème. Ceux-là l’ont baptisée « quintessence » (LVD, p. 232).

       - Au point de départ de Scriptorale - Jérusalem Céleste - écho de Big Bang, au milieu de ce qui m'est apparu comme le Trône numérique de Dieu, là où l'Énergie noire dégagée par la crucifixion fixatrice du Verbe divin se transforme en glorieuse Énergie-Lumière, là, se situe la Vème Transformation, Racine du Vème Arbre de Vie, quintessence des 4 autres et XVIème temps de l'Évolution créatrice.

COINCIDENCES DE RÉALITÉ ET D'IMAGINATION
AVANT LE BIG BANG

    Il y a encore des points qui me parlent en votre livre, sur le rapport entre ce qui m'est révélé en Scriptorale et ce que vous apportent la science et ses satellites :

     - En 2006, écrivez-vous, Messieurs les auteurs, vous avez rencontré Stephen Hawking et vous lui avez demandé « s'il pensait que le temps imaginaire était la forme fondamentale du temps, autre manière de dire qu’avant d’être réel, avant le Big Bang, le temps a existé sous une forme imaginaire.
     - Comme en Scriptorale, où le temps 0 (temps de l'oral) est à l'origine de toute la création et où les temps de destructions-transformations purement imaginaires s'opposent à des compositions-interprétations bien réelles, pour donner de nouveaux oraux (voir ci-dessus).
     - Au fait, continuez-vous, pourquoi « imaginaire  » ? par dérision, parce que (Descartes) qui a trouvé ce nom ne pensait pas, à tort, que de tels nombres pouvaient exister. « Mais à vrai dire, cette appellation leur va comme un gant (...) Ce sont ces nombres « pas comme les autres » qui vont donc nous servir à mesurer la direction imaginaire du temps. Si le temps est une droite, alors le temps imaginaire est tout simplement perpendiculaire à la droite du temps réel » (LVD, p. 223).
     - Pour la science, ce temps existe sous 2 "formes" : une "forme imaginaire" et une "forme réelle", la forme réelle étant le Big Bang, à partir du point de départ de la Pyramide inversée et la forme imaginaire se situant en-dessous de ce point.
     - En Scriptorale, il y a aussi la "forme réelle" de la pyramide inversée, au-dessus de la "forme imaginaire" du Trône de Dieu, image de ce qui se passe réellement au-dessus et, en plus, il y a toujours cette opposition entre les temps de destructions-transformations purement imaginaires et les temps de compositions-interprétations bien réelles, pour donner de nouveaux oraux (voir ci-dessus).
     - Pour la science, il existe une relation perpendiculaire entre la direction du temps réel et celle du temps imaginaire.
     - Pour Scriptorale, il y a aussi deux directions perpendiculaires du temps réel de composition-interprétation en élévation verticale et du temps imaginaire de destruction-transformation, en ouverture horizontale par descente-remontée.

    - La source de fluctuation du temps avant le Big Bang est un « champ » (pensez à une sorte de force), un champ complexe, au sens des nombres complexes : ayant une partie réelle et une partie imaginaire pure. Tout s’éclaire : Dans l’Univers en état KMS, ce champ scalaire complexe « remplace » le temps et est donc la source profonde des fluctuations de l’axe temporel (p. 234) 
    -
Pour nous, avant le Big Bang le temps n'est plus fixe, il oscille entre la direction réelle et la direction imaginaire.
    - Comme cela parle à Scriptorale :

- le champ complexe, au sens des nombres complexes : ayant une partie réelle et une partie imaginaire pure, cela paraît tout à fait être le Cycle Créateur de Scriptorale  (fig. 8) avec sa partie d'élévation verticale de composition-interprétation et sa partie d'ouverture horizontale de destruction-transformation ;
- l'état KMS, aux initiales du nom des trois physiciens mathématiciens Kubo-Martin-Schwinger, état qui relie l'équilibre thermique d'un système à son évolution, cet état n'aurait-il pas rapport avec l'enchaînement composition-interprétation / improvisation ? Les trois auteurs de cet état ne seraient-ils pas eux-mêmes, respectivement, compositeur-interprète / improvisateur ?
- le champ complexe, source de fluctuation du temps avant le Big Bang, n'est-il pas le codage dans le Trône numérique de Dieu à l'Énergie noire, de l'enchaînement

Oral - composition-interprétation / destruction-transformation
soient les 4 fois 4 fluctuations d'
expansion - contraction-expansion / contraction-expansion ?
aboutissant à la double expansion
XVI / XVII
verticale descendante Transformation / Big Bang vertical ascendant ?

- « Pour vous, dites-vous, Messieurs Bogdanov, avant le Big Bang le temps n'est plus fixe, il oscille entre la direction réelle et la direction imaginaire ». « Avant le Big Bang le temps n'est plus fixe » signifie toujours que ce n'est pas le temps réel, dont il est question ici, mais le plan, l'image, le codage du temps imaginaire, car imaginé par Dieu, en son Trône numérique à l'Énergie noire - non encore passée par le feu -, qui, seul, peut le réaliser, en faire un temps réel. Il y a, non pas 1 axe temporel, mais 4 axes temporels périphériques, oscillant entre la direction réelle, qui est verticale, et la direction imaginaire, qui est horizontale (revoir Scriptorale). Ces 4 axes périphériques entourent le Vème, vertical, qui est

l'AXE des Axes

et qui s'ouvre dans 4 directions à partir du Big Bang, entourant la pyramide inversée de la Jérusalem Céleste - Scriptorale - écho de Big Bang.

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XXI.- CONCLUSION






        « Igor et Grichka Bogdanov, pour conclure cet article, commençons par revenir à votre émission du 18 novembre 2012 animée par Isabelle Morizet, sur Europe 1. Vous y posez une question toute simple : « cette énergie qui se déploie, se déverse dans le vide, d’où vient-elle ? Quelle est son origine ?  Et notamment de manière aussi réglée ? Et là, quand on a posé la question au début des années 90, autour de nous, personne n’a pu nous répondre. C’est la raison pour laquelle nous nous sommes dit : « eh bien ! on va chercher la réponse nous-mêmes. Et si on doit trouver une réponse, ce ne sera pas au moment du Big Bang, ce sera avant lui. » Et je crois, sans fausse modestie, que nous avons été les premiers à franchir cette frontière interdite du Big Bang et que nous nous sommes déplacés, que nous avons déplacé la science, pour la première fois, en deçà de cette frontière, de ce mur de Planck, mur du Big Bang. »
       « Là, nous n’avons pas fait un travail de vulgarisateurs, mais un travail de chercheurs purs, des années durant, avec des mathématiques complexes et très puissantes, qui nous ont permis de passer ce mur. »

      
       Ce mur est le dessus du Trône numérique de Dieu, dans lequel s'ouvre une trappe, par où s'élève le flot de l'Énergie noire devenant Énergie Lumière au passage.

      Vous poursuivez votre interview en disant : « L’Idée fondamentale à laquelle nous sommes arrivés, c’est que la matière n’est pas engendrée par la matière, la matière est engendrée par autre chose que l’on pourrait appeler dans les grandes traditions l’esprit, en tout cas, nous, en science, on l’appelle l’information. Pour vous donner un exemple très simple : tous les êtres vivants, avant d’être vivants, matière, etc… sont précédés, avant d’être palpables, par quelque chose d’impalpable qu’on appelle le code génétique. C’est de l’information. De la même façon, l’Univers tout entier, qui est palpable sous sa forme physique, est précédé par quelque chose d’impalpable, qui n’est pas matériel et que nous appelons, Igor et moi, le code cosmologique. »
      C'est exactement ce qui se passe avec Scriptorale, dans le Trône numérique, où les nombres I - V - IX - XIII - XVII - ou, en rt : I - V - IX - IV - VIII, correspondent aux temps de la pyramide inversée en sont, ce que vous appelez : le "code cosmologique" :

Mais attention !
Lorsque vous dites à votre interlocutrice :
« il restera à déterminer quelle est l’origine des lois,
ça c’est une vraie question, c’est une question magnifique, magique,
j’invite tous ceux qui nous écoutent à simplement se pénétrer de cette extraordinaire question,
parce qu’elle nous met en contact avec ce qu’il y a de plus noble, de plus beau dans la pensée,
c’est-à-dire quelque chose d’irréductible, »
lorsque vous dites cela à votre interlocutrice, je crois qu'avec cette irréductibilité,
on risque fort de remplacer le mur de Planck par celui de notre pensée,
qui, finie, s'oppose à l'infini et nous fait limiter l'Univers,
avec, seulement, nos propres limites.
Écoutons Paul parlant
d'Amour :

« Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n’ai pas l’amour,
je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit.
Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance,
quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes,
si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien.
L’amour ne périt jamais.
Les prophéties prendront fin, les langues cesseront,
la connaissance disparaîtra. »
(1 Corinthiens 13 :1- 2 ; 8)


Ç À È É «   »
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XXII.- CRÉDITS PHOTOGRAPHIQUES







Fig. 1 :
Description Section d'univers subissant le big crunch
Date 21 October 2006 (original upload date)
Source No machine-readable source provided. Own work assumed (based on copyright claims).
Author No machine-readable author provided. Rogilbert~commonswiki assumed (based on copyright claims).

Fig. 2 :
This file is licensed under the Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0 Unported license.
You are free:
  • to share – to copy, distribute and transmit the work
  • to remix – to adapt the work

Fig. 3 & 4 :
Mises en ligne par : SYMPA, 8 juin 2020

Fig. 11 :
National Science Foundation (original File:HistoryOfUniverse-BICEP2-20140317.png)
Yinweichen (vectorisation File:History_of_the_Universe.svg) Whidou & Simon Villeneuve (translation) —
  • CC BY-SA 3.0
  • File:History of the Universe fr.svg
  • Création : 17 novembre 2014


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