I.- L'apparent grand Absent



Saint-Germain-en-Laye, le 19 Mars 2020

 

                                                           « Le moine noir en gris dedans Varennes
De nuict viendra par la forest de Reines »
(Nostradamus, quatrain IX, 20)
               

 

     Objet : présence de Dieu dans le Covid 19.
    

     Très Sainte Trinité,

          S’il est, apparemment, un Grand Absent de tous les médias officiels de notre Vème République, dans la terrible affaire du coronavirus covid-19 ou 2019, c’est bien Toi, notre Dieu chrétien en Ta Sainte Trinité :

Père Compositeur,
Fils Interprète et
Paraclet-Saint-Esprit de Vérité
Destructeur-Transformateur respectueux.

     Absent, parce que Tu n’existes pas ou que Tu nous abandonnes, diront les esprits forts, ou bien, diront d’autres, parce que nous Te fermons la porte, ou enfin, diront les derniers, parce que Tu es là et nous parles sans que nous le remarquions, car Ton langage nous est (ou nous est devenu) étranger… transparent…

     Je fais partie de cette troisième catégorie, m’étant familiarisé, depuis longtemps, avec Ta Façon de communiquer, que j’appelais « communication par signes » (cf. Signes-index) et que je préfère, maintenant, nommer « par coïncidences ». Or, pour moi, qui Te cherche, et Te trouve je le crois, depuis bien des années, et systématiquement, depuis 1982, je Te découvre extraordinairement Présent, dans cet apocalyptique et terrible corona virus « covid 19 », que nous envoie notre oubli et notre mépris de Toi, à qui nous devons tout, et qui nous parles, à travers ce covid 19, lui-même.

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II.- « Commun vide » et Pape François

 

 

     Covid-19 est l’acronyme anglais de coronavirus disease 2019, qui signifie :  maladie (disease) à virus à couronne apparue en 2019. Il est pour l’instant du genre masculin ou féminin, selon qu’on l’accorde avec virus ou maladie. Mais, à nos oreilles françaises, il dit aussi, Tu nous dis aussi autre chose :                 
     A travers Covid, d’abord, avec ce préfixe « co » de coïncidence, évoquant l’association, la communauté, ce qui est commun, partagé par tous et associé à « vid, v-i-d », où sonne « vide, v-i-d-e », pour donner « commun vide », vide physique
de la quasi-totalité du monde, où nous sommes tous confinés, mais aussi vide spirituel, qui ne décolle pas, manque d’élévation. Ce vide, n’est-il pas dans notre façon de traiter ce virus, où l’on n’entend parler que de recherche de solutions scientifiques, et jamais de Toi, que l’on veut Absent, parce qu’on ignore Ta Présence ? Et pourtant, ce vide, le Pape François (et non François 1er en cette occasion) lui a donné toute sa signification, lors de son exceptionnelle bénédiction urbi et orbi, en direct du Vatican, le 27 Mars, alors que le parvis de la basilique Saint-Pierre et la place étaient vides.
     En effet, s’avançant seul sur cette place et ce parvis vides, voués à Pierre, alors que son successeur, le Pape Benoît XVI a renoncé à les occuper et a appelé son opposé spirituel, le Cardinal Bergoglio, à le remplacer, le Pape François fait figure d’une véritable « tête de pont » d’une spiritualité nouvelle, celle la même que Tu me dis, Seigneur, de révéler en cette Apocalypse.

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III.- DIVIN 19 :
EN 19 COÎNCIDENCES,
SCRIPTORALE = JERUSALEM CELESTE


 

 

     Pour cela, il faut s’intéresser au second terme du nom de ce covid : « 19 ».
Le nombre 19 du virus covid est le même que celui des coïncidences entre la description de la Jérusalem Céleste de l’Apocalypse de Jean et Scriptorale. Outre le fait que c’est celui du jour, où je commençai cet article, le 19 Mars 2020, il apparaît à 6 endroits clefs, dont le plus important est dans ce qui m’est apparu comme Ton divin Trône numérique, Très Sainte Trinité.
     Mais commençons par les 19 coïncidences : 

scriptorale
Fig. 1. : Scriptorale, en ordre I-V-IX-XIII, rectifié fin Mars 2020
la Jérusalem Céleste (?) dont il est dit :


« 21. 1 Puis je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle -
le premier ciel, en effet, et la première terre ont disparu, et de mer, il n’y en a plus.
2 Et je vis la Cité Sainte, Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel, de chez Dieu ;
elle s’est faite belle, comme une jeune mariée parée pour son époux.
3 J’entendis alors une voix clamer, du trône :
« Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux ;
ils seront son peuple et Lui, Dieu-avec-eux sera leur Dieu.
4 Il essuiera toute larme de leurs yeux : de mort, il n’y en aura plus ;
de pleur, de cri et de peine, il n’y en aura plus,
car l’ancien monde s’en est allé. »

5 Alors, Celui qui siège sur le trône déclara :
« Voici que je fais l’univers nouveau. » Puis Il ajouta :
« Ecris : Ces paroles sont certaines et vraies. » 6 « C’en est fait, me dit-Il encore,
je suis l’Alpha et l’Omega,
le Principe et la Fin ;
celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement.
7 Telle sera la part du vainqueur ; et je serai son Dieu et lui sera mon fils.
8 Mais les lâches, les renégats, les dépravés, les assassins, les impurs, les sorciers, les idolâtres,
bref, tous les hommes de mensonge,
leur lot se trouve dans l’étang brûlant de feu et de soufre – c’est la seconde mort. »
(La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21, 1 à 8)

  

SCRIPTORALE = JERUSALEM CELESTE
19 COÏNCIDENCES

Le texte ci-dessus concerne la Jérusalem Céleste.
Parmi les éléments de cette description me faisant penser qu'il s'agit de Scriptorale,
je retiens :
"je suis l’Alpha et l’Omega, le Principe et la Fin ;


[Coïncidence 1 :
Scriptorale comme la Jérusalem Céleste
ont un Principe de fonctionnement spirituel : l'enchaînement, pour Scriptorale,
de composition-interprétation judéo-chrétienne
et de destruction-transformation respectueuse et islamique si respectueuse]


« celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement. »
[Coïncidence 2 :
en Scriptorale, au centre de la sphère de la création,
il y a aussi, un cercle blanc, indiquant une source de lumière et de vie.
Toute cette création s'est faite gratuitement.]


La Jérusalem Céleste succède à la Jérusalem messianique dont la note f
de La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21, 8, nous dit :
« C’est la Jérusalem messianique, puisque les nations païennes existent encore, 21 24,
et peuvent se convertir au vrai Dieu, 22 2,
scriptorale
mais elle préfigure déjà la Jérusalem Céleste qui en sera l’épanouissement.
Les traits de cette description sont empruntés surtout à Es 40-48. »
[Coïncidence 3
:
la Jérusalem messianique est cubique, cf. ci-dessous,
l'épanouissement d'un cube est une pyramide tronquée inversée, ce qu'est Scriptorale]


Par ailleurs, le fonctionnement des formes d’esprit de Scriptorale
est le même pour chrétiens et non-chrétiens, ce qui permet à tous d’y participer.
De la description de la Jérusalem messianique,
je retiens aussi :
« cette ville dessine un carré : sa longueur égale sa largeur, (…) »
[Coïncidence 4 :
Scriptorale dessine aussi un carré]

(tout le texte hors crochets étant extrait de
La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21 9 – 22 15).


« longueur, largeur et hauteur y sont égales. »
[Coïncidence 5 :
c'est donc bien un cube, dont "l'épanouissement"
est une pyramide tronquée inversée, comme Scriptorale]

« Puis il en mesura le rempart, soit cent quarante-quatre coudées. (…) »
[Coïncidence 6 :
soient 36 coudées par côté : le premier tirage de Scriptorale
me donna 36 mm par côté, une échelle donc de 1 mm/par coudée !]

« Les douze portes sont douze perles. (…) »
[Coïncidence 7 :
le découpage de Scriptorale donne l'emplacement des 12 portes :
1 porte au milieu des 8 côtés extérieurs des compositions I-V-IX-XIII et
4 portes entre ces 4 pyramides, soient 8 + 4 = 12 portes]

« De temple, je n'en vis point en elle ;
c'est que le Seigneur, le Dieu Maître-de-tout,
est son temple ainsi que l'Agneau. »
[Coïncidence 8 :
point de temple, non plus, en Scriptorale,
si ce n'est la pyramide inversée de lumière et de Vie.]


« Elle peut se passer de l’éclat du soleil et de la lune,
car la gloire de Dieu l’a illuminée et l’Agneau lui tient lieu de flambeau. »
[Coïncidence 9 :
Scriptorale, comme la Jérusalem Céleste, est illuminée de l'intérieur,
et un flambeau blanc monte de la source de lumière et de vie. ]


« 
Les nations marcheront à sa lumière
. (…) »
[Coïncidence 10 :
la lumière est spirituelle :
c'est celle du rapport, en toutes nations, des formes d'esprit de
composition-interprétation / destruction-transformation respectueuse,
fonctionnant dans les univers artistiques, religieux, entrepreneuriaux, politiques... ]

« Ses portes resteront ouvertes le jour - car il n’y aura plus de nuit -. (…) »
[Coïncidence 11 :
la Lumière y est intérieure, comme en Scriptorale,
elle s'élève en s'ouvrant et s'ouvre en s'élevant, infiniment,
enveloppant le Big Bounce des 16 pyramides du monde ancien.]

scriptorale
« Rien de souillé n’y pourra pénétrer (…)
mais seulement ceux qui sont inscrits dans le Livre de Vie de l’Agneau. »
[Coïncidence 12 :
le Livre de Vie de l'Agneau, n'est-ce pas le Livre de
son Incarnation crucifiée vue, humainement, côté entrée mortelle,
et désormais, divinement, côté sortie résurrectionnelle glorieuse ?]


« Puis l’Ange me montra le Fleuve de Vie, limpide comme du cristal
qui jaillissait du trône de Dieu et de l’Agneau. »
[Coïncidence 13 :
pour le trône de Dieu et de l'Agneau, voir Coincidence 15,
Le Fleuve de Vie jaillit, souterrainement d’abord,
du centre 8, rt de 17, du divin Trône,
puis, au grand Jour, du point de départ de la pyramide inversée.
Mais ce n'est pas tout : les chiffres du trône sont :
1--V--9--
4--8--3--
7--2--6--
En fait, à partir de 4, ces chiffres sont l'addition des chiffres constituant les nombres
des pyramides compositionnelles de YHWH, Dieu le Père,
inspiré par formation 0 et transformations 4-8-12-16 :
1........V......9
13.....17....21
25....29...33
le trône de Dieu et de l'Agneau fait jaillir, en pleine puissance, le Fleuve de Vie,
de 17, ou mieux XVII, le centre de ses 9 nombres de YHWH,
la pyramide inversée - Scriptorale - Jérusalem Céleste.
Que dire des nombres restants : 21....25....29....33 ?]

scriptorale
« Au milieu de la place, de part et d’autre du Fleuve,
il y a des Arbres de Vie
qui fructifient douze fois, une fois chaque mois (…) »
[Coïncidence 14 :
les Arbres de Vie sont déjà placés :
ce sont les 4 ascensions enchaînant formation 0 et composition-interprétation I-II,
et 3 transformations IV, VIII, XII enchaînant 3 compositions-interprétations V-VI, IX-X, XIII-XIV.]


«
De malédiction, il n’y en aura plus : le trône de Dieu et de l’Agneau sera dressé dans la ville. »
[Coïncidence 15 :
le trône, c'est le carré de 9 chiffres :
I ----- V --- IX
IV - VIII - III
VII -- II -- VI
avec la lumière partant du point de départ de Scriptorale, la pyramide inversée,
point de départ, qui est aussi la pointe du V.]


« De nuit, il n’y en aura plus : ils se passeront de lampe ou de soleil pour s’éclairer,
car le Seigneur répandra sur eux sa lumière, et ils règneront pour les siècles des siècles. »
[Coïncidence 16 :
la lumière qui emplit la pyramide inversée]

« Puis il me dit : ces paroles sont certaines et vraies :
Le Seigneur Dieu, qui inspire les prophètes, a dépêché son Ange... »
[Coïncidence 17 :
le Seigneur Dieu a inspiré le compositeur Franz Tournier,
qui m'a fait créer à la Sankt Sebaldus Kirche de Nüremberg,
4 Prophéties - feuille de route pour moi,
passant par les enchaînements de Scriptorale :


I.- « C'est Moi qui vous ferai porter votre fruit » (Osée, XIV, 9)
II.- « Le Seigneur élèvera sa main sur le fleuve, Il l'agitera par son souffle puissant » (Isaïe, XI, 15)
III.- « Je rassemblerai toutes les brebis qui resteront de mon troupeau » (Jérémie, XXIII, 3)
IV.- « Je les ferai passer par le feu » (Zacharie, XIII, 9)


Le Seigneur Dieu a aussi inspiré le prophète Michel de Nostre-Dame
sur le thème du Plus de lumière de Scriptorale,
en citant Goethe, le jour de sa mort : "Mehr Licht !".
Il m'a inspiré l'interprétation de ce quatrain X, 72 :

et du quatrain IX, 20.]
Quant à l’ange que tu as dépêché, Seigneur Dieu,
n’est-ce pas cet installateur de bibliothèque, qui signa sur sa feuille de présence :
Romain… Nostradamus ! : authentique descendant du prophète ?]

« ...pour montrer à ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt.
Voici que mon retour est proche !
Heureux celui qui retient les paroles de ce Livre.
C’est moi, Jean, qui voyais et entendais tout cela : une fois les paroles et les visions achevées,
je tombai aux pieds de l’Ange qui m’avait tout montré, pour l’adorer.
Mais lui me dit : « Non, attention, je suis un serviteur
comme toi et tes frères les prophètes et ceux qui retiennent les paroles de ce livre :
c’est Dieu qu’il faut adorer. »
scriptorale
«  Il me dit encore :
"Ne tiens pas secrètes les paroles prophétiques de ce Livre, car le Temps est proche.
Que le pécheur pèche encore, et que l’homme souillé se souille encore ;
que l’homme de bien vive encore dans le bien, et que le saint se sanctifie encore.
Voici que mon retour est proche et j’apporte avec moi le salaire que je vais payer à chacun,
en proportion de son travail.
Je suis l’Alpha et l’Omega, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin." »
[Coïncidence 18 :
Dieu insiste, à nouveau, sur l'Alpha,
en le reliant au Principe que j'appelle cycle créateur de 4 temps, en Scriptorale,
au moment où j'en fais le "Parcours classique",
que je signale en attente de 2 temps véritablement destructeur-transformateur respectueux,
car n'enchaînant que les 2 premiers temps de composition-interprétation reliés par l'Esprit-Saint, sur 4.
L'Esprit-Saint peut faire le lien avec la destruction-transformation islamique,
si celle-ci devient respectueuse des écritures judéo-chrétiennes originales.]


« Heureux ceux qui lavent leurs robes ; ils pourront disposer de l’Arbre de Vie, »
[Coïncidence 19 :
il y avait les Arbres de Vie, et là, Jean ne parle que de l'un de ceux-ci,
comme si, à lui seul, il équivalait aux 4 autres :
c'est exactement ce qui se passe en Scriptoral,
où transformation XVI, n'ayant plus de place en haut (formation 0 l'ayant occupée),
se projette vers le bas, à l'endroit, d'une façon parfaitement centrée,
poussant toute son énergie vers ce bas, telle une fusée,
ce qui va provoquer, par réaction,
la formidable inversion pyramidale de Scriptorale,
qui est bien un cinquième Arbre de Vie, l'Arbre de Vie des Arbres de Vie,
19ème coincidence entre Scriptorale et la Jérusalem Céleste]
« et pénétrer dans la Cité par les portes.

Dehors les chiens, les sorciers, les impurs, les assassins, les idolâtres
et tous ceux qui se plaisent à faire le mal ! »
(La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21 9 – 22 15)




Le placement de transformation XVI

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Très Sainte Trinité,
ces 19 coïncidences, me font croire, que Scriptorale représente le plan de la Jérusalem Céleste.
Mais ce n’est pas tout, il reste à examiner Ton Trône numérique :

 

TRÔNE
de
Celui Qui Se présente comme étant
« l’Alpha et l’Omega, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin. »

 

 

scriptoral et trône numerique
Fig. 2 : le Trône numérique de Dieu grossi, sous Scriptorale - Jérusalem Céleste.

  • 4-8-3-7-2-6 = réductions théosophiques (rt, en abrégé) de 13-17-21-25-29-33, soient 13 => 1+3=4, 17 => 1+7=8 etc…
  • 1 – V – 9 – 4 – 8, dans le Trône, correspond aux pyramides de Composition I -V - IX – XIII et à la pyramide inversée XVII qui les enveloppe toutes.

Pour l’instant, je discerne 3 parcours numériques,
L’un d’eux, 4-8-5, est secret jusqu’à cette Apocalypse, qui le révèle :
1-6-7-8-9 / 4-8-5 / 1-V-9

1-6-7-8-9

  • De 1 vers   6 = 16 de Louis XVI, le roi descendant (cf. la flèche).
  • 789 = 1789, le peuple révolutionnaire ascendant (cf. la flèche).
  • 1 – 6 / 789 = 1 – 6, le roi descendant, croise 789, le peuple révolutionnaire ascendant, en 8, rt de 17. Louis XVII appartient donc autant au peuple qu’à ses pères royaux.
  • 1-6789 = liaison entre la chute du roi et l’ascension du peuple, liaison qui passe par le Donjon du Temple, le 13 août 1792, Temple des Templiers, défenseurs des pauvres, de la veuve et de l’orphelin, et Temple détenteur de la Lumière de Dieu.

  • 4-8-V
  • XIII de rt 4 et XIV de rt V sont les nombres des deux pyramides de Composition et d’Interprétation du 4ème Arbre de Vie (XII-XIII-XIV) de Scriptorale - la Jérusalem Céleste, ce qui fait clairement apparaître 1314 (soit 13-14, soit 4-V en rt), l’année qui, en son 19 Mars, amorça, avec le recueil des cendres de Jacques de Molay, le début d’une survivance templière ténébreuse. 4-V passe par 8, rt de XVII, correspondant à Louis XVII, qui, le 21 Janvier 1793, amorça une survivance royale, elle aussi ténébreuse, les Ténèbres changeant de camp (« le roi est mort, Vive le roi !). Ce 21 Janvier se situe au point de passage entre la pyramide XIII de la Composition, côté mort crucifixionelle, et la pyramide de l’Interprétation XIV, côté Résurrection glorieuse, le 19 Mars 1314 se situant à la base de la pyramide XIII, pour donner XIII – XVII – XIV, soit 4 – 8 – V. Le 19 Mars 1314 amorça  jusqu’à cette année 2020, une spiritualité appauvrie, car l’amour tel que tu le conçois, Trinité Sainte,  passe après la loi, au lieu de l’accomplir, comme les Templiers voulurent le faire au grand jour, ce pourquoi il furent condamnés au silence par le roi avec la complicité du pape, et la Loi, c’est, avec l’ouverture spirituelle des Templiers à l’Orient, le passage d’une spiritualité judéo-chrétienne binaire à une spiritualité ternaire, telle que la veulent le Paraclet-Saint-Esprit-de-Vérité et Notre Dame, et telle qu’ils la révélèrent à Saint-Jean l’évangéliste, qui en fit le Trésor royal des Templiers, jusqu’à moi, abouhey – YEHOUBA, signifiant  « Temple de Dieu, ce qui est le nom de tout vrai chrétien, selon Saint-Paul

    trone divin

    « Quand il viendra, lui, l'Esprit de Vérité,
    il vous conduira vers la Vérité tout entière ;
    car il ne parlera pas de lui-même ;
    mais tout ce qu'il entendra, il le dira,
    et il vous annoncera les choses à venir.
    Il me glorifiera,
    car c'est de mon bien qu'il prendra
    pour vous en faire part.
    Tout ce qu'a le Père est à moi.
    Voilà pourquoi j'ai dit :
    C'est de mon bien qu'il prendra
    pour vous en faire part. »"
    (Jn 16, 13-15, Bible de Jérusalem, Ed. du Cerf).

  • De 4 rt de XIII  à 8 rt de XVII = du 19 Mars 1314 : date du début des Ténèbres templières imposées par le roi, avec la complicité du pape, au 21 Janvier 1793 : mort du roi Louis XVI, emprisonné dans le Donjon du Temple, vie du roi Louis XVII et début des Ténèbres royales initiatiques, dirigées par l’Esprit du Temple à l’adresse de la descendance au moins spirituelle de Louis XVI, dont je fais partie.

 1 – V - 9

  • 1 – V - 9 = Le Fleuve de Vie jaillit du « V (= 5) », en pleine Lumière divine et illumine la pyramide inversée, qui enveloppe les 16 temps la précédant. V est au centre de 1 – 9, le Premier et le Dernier, l’Alpha et l’Oméga, le Principe et la Fin des nombres simples, en un mot, Toi, Très Sainte Trinité. C’est là, où réapparaît le 19 de notre covid, dont le commun vide est plein, tant Ton apparente Absence est réelle divine Présence, un 19, qui jalonne des moments clefs de cette révélation :

    Les 19 coïncidences,
    le 19 Mars 1314, nuit, où furent recueillies les cendres de Jacques de Molay et où fut activé l’Esprit du Temple,
    le 19 Août 1778, jour, où le compositeur franc-maçon Mozart (qui initia le descendant au moins spirituel de Louis XVI que je suis), arriva pour un mois, chez le duc de Noailles, à Saint-Germain-en-Laye (cf. http://abouhey1.free.fr/y_&_mozart.htm ),
    les 18/19 Mars 2000, jours exactement annoncés par Nostradamus, de résurrection de la grande Monarchie française, en la personne du Parlement de Bretagne, à Rennes (cf. http://abouhey1.free.fr/interpretation.htm),
    le 19 Mars 2008, jour où fut reconnue, à Rennes, la valeur de Scriptorale (cf.3 http://abouhey1.free.fr/metamorphoses.htm),
    le 19 Août 2016, jour, où je réussis à rassembler la somme nécessaire à l’acquisition d’un appartement situé dans l’Orangerie du duc de Noailles, là même où Mozart, l’un de mes pères et mères spirituels, arriva le 19 août 1778, pour un mois,
    le 19 Mars 2020, jour où je commençai cet article.


    Aristide-François Bouhey, mon père, et Louis XVI, l'un de mes ascendants au moins spirituels

     

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VI.- CONCLUSION

 

    Le Coronavirus COVID-19 est donc un « commun vide », vide de toute spiritualité et de Toi, Trinité Sainte, dont on croit s’être débarrassé, sans s’apercevoir que Tu es dans le nombre « 19 », tant on a perdu le contact avec Toi et alors que Tu y es évidente : Toi, le 1 et le 9, l’Alpha et l’Omega,  le Principe et la Fin, le Premier et le Dernier des Nombres, qui, tous se ramènent à une suite de 1 à 9, par réduction théosophique. Par exemple, 1999 donne en rt 1+9+9+9=28, qui donne 2+8=10, qui donne 1+0=1, et tout recommence éternellement, 9 comptant pour 0, dans l’addition.   
     L’Alpha et l’Oméga, le Principe et la Fin, le Premier et le Dernier, autrement dit, Toi, le 19, est venu révéler à l’humanité Ton Principe de Fonctionnement, qui est celui de la Jérusalem Céleste, expérimenté en Scriptorale,  si elle veut sortir de ce « commun vide - covid ». Tu es là, et personne ne Te remarque, dans les médias officiels, tant on a cru, en France, « Fille aînée de l’Eglise ! » qu’il suffisait de Te parquer dans les limites du principe de laÏcité, pour que Tu ne déranges plus.

En fait, cette apocalypse n’est pas la fin du monde, c’est la Fin d’un monde de vérité incomplète, c’est-à-dire, dans le meilleur des cas, de demi-mensonge, celui dans lequel nous vivions jusqu’à ces derniers jours, pour entrer dans un monde de lumineuse « Vérité tout entière », où Tu nous conduiras, Paraclet-Esprit-Saint-de-Vérité, qui « ne parleras pas de Toi-même », mais qui « diras tout ce que Tu entendras », comme Tu m’as appris à le faire.
     Il s’agit de complémentariser les formes d’esprit dogmatiques de composition-interprétation écrite et celles de destruction-transformation improvisatrice respectueuse. Pour l’instant, ces dernières, conscientes de leur valeur, montent en puissance et s’opposent aux premières, à bout de souffle, de la manière la plus irrespectueuse, ce qui est la source des pires conflits, d’où cette Apocalypse. C’est ce qu’a très bien compris le Pape Benoît XVI, de la solide Eglise de Pierre, en cédant sa place à son opposé spirituel, le Pape François, profondément respectueux de la Création.


PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT
DE
SCRIPTORALE - JERUSALEM CELESTE


Scriptorale est fondé sur l'enchaînement
de 3 formes d'esprits de
composition-interprétation / improvisation
fonctionnant en 4 temps de
composition-interprétation / destruction-transformation respectueuse,
à partir du temps 0 de l'écriture : la tradition orale,
le tout en 4 cycles créateurs comprenant 4 Arbres de Vie :
0-I-II - IV-V-VI - VIII-IX-X - XII-XIII-XIV
s'y ajoute l'Arbre de Vie Principal :
XVI-XVII.
Nota : les destructions III VII XI XV
inversent les (trans)formations rouges 0 IV VIII XII,
c'est pourquoi elles sont en violet
.





     Les révélations que me fait ton Trône numérique, en relation avec ce qui se passe pyramidalement au-dessus de Lui, Très Sainte Trinité, sont très curieuses : l’opposition entre les spiritualités de Pierre et Jean remonte au temps terrestre de Jésus :

  • Pierre a une spiritualité simple, fondée dans Ta Trinité Sainte, sur la relation binaire Père-Fils, YHWH – Jésus-Christ, Compositeur – Interprète, une relation que Vous deux, Très Saints Père et Fils, jugez insuffisante, c’est pourquoi Jésus annonce à ses apôtres la venue du Paraclet-Saint-Esprit-de-Vérité, qui les conduira vers la Vérité tout entière, qui ne parlera pas de lui-même, mais qui dira tout ce qu’Il entendra (cf. Jn 16, 13-15, Bible de Jérusalem, Ed. du Cerf).
  • Jean est le dépositaire de cette « Vérité tout entière », une Vérité ternaire, qui est celle, non évidente, du Paraclet-Saint-Esprit-de-Vérité, celle que Jean a transmise aux Templiers, dont je fais partie par YEHOUBA, c’est la Destruction-Transformation respectueuse, sans laquelle il ne peut pas y avoir de Jérusalem Céleste. Cette Révélation, c’est le Trésor des Templiers, notre Trésor, qu’il faut mettre en œuvre et l’on comprend, en la voyant, qu’au XIVème siècle, le roi et le pape aient préféré répandre la rumeur, que ce Trésor était fait d’espèces sonnantes et trébuchantes.

     Voilà pourquoi, Toi-même étant présente en Ton 19, le 19 Mars 1314, le recueil des cendres du dernier Grand Maître de l’Ordre du Temple, Jacques de Molay, marque le début d’une période d’ensevelissement de cette 3ème partie de la Vérité, dont le dernier développement eut lieu le 28 Février 2013, avec la Renonciation au Pontificat du Pape de l’Eglise de Pierre, qui fit appel, pour le remplacer, au cardinal Bergoglio, proche du Temple de Jean.


SIGNES AFFERENTS

     Pour se convaincre de cette mainmise de la spiritualité de Pierre sur celle de Jean, voir en http://abouhey1.free.fr/rennes_thabor.htm#dij,  comment, à Dijon, le quartier Saint-Pierre s’est étendu sur celui de la Madeleine, avec sa commanderie du Temple et son Eglise Saint-André, et comment les dijonnais ont détruit, en 1516, la Commanderie du Temple et son Eglise Saint-André.
     Mais, Très Sainte Trinité, voilà que je m’aperçois, seulement maintenant, des signes que Tu m’envoies, à l’appui de mes dires :

  • le dernier Arbre de Vie de Scriptorale est composé des temps de Composition XIII (Tronc de l’Arbre de Vie) et d’Interprétation XIV (son Feuillage), XIII-XIV, ce qui donne 1314, l’année de la domination de la spiritualité de Jean par celle de Pierre, et donc de l’entrée dans les Ténèbres de cette « Vérité tout entière », qui est tienne, Sainte-Trinité.
  • Mais ce n’est pas tout : ce dernier cycle créateur de Composition-Interprétation XIII-XIV, se termine par Destruction-Transformation XV-XVI (15-16) aux triples correspondances :

    - l’année 1516, où les dijonnais détruisent, dans le faubourg Sainte-Madeleine de leur ville, la Commanderie du Temple et sa chapelle Saint-André, ce qui implique la poursuite des Ténèbres pour la spiritualité templière ;
    - le début de la grande monarchie française, allant de François 1er (1515-1547) à Louis XVI, avec une période ascendante : François 1er – Louis XIV et une période descendante : Louis XV – Louis XVI ;
    - période descendante se terminant par l’emprisonnement de la famille royale dans le Donjon du Temple, par l’exécution du roi, le 21 Janvier 1793, jour du passage Louis XVI – Louis XVII : « Le roi est mort. Vive le roi ! »
    - A noter la place de choix donnée au temps XVI, le temps de Louis XVI, dans la Jérusalem Céleste : il équilibre l’ensemble et forme, avec le temps XVII de Louis XVII, qui lui répond en pleine puissance, son Arbre de Vie principal, prenant son essor, au milieu de Toi, 1 et 9, où, nous, commun des mortels, ne voyons, de prime abord, que covid, comme commun vide.

    Repensant au règne, apparemment si faible, de Louis XVI,
    ne nous vient-il pas à l’esprit cet Albatros de Charles Baudelaire :
    « Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage.
    Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers… » ?...
    Louis XVI, tu avais trop d’envergure
     pour le monde étriqué où tu vivais,
    et où, pour t’empêcher de le montrer, la
    GUILLOTINE
    t’a coupé la
    PAROLE.

    Cela se traduit, dans le Trône numérique :


    • par la fin des Ténèbres subies, pour la spiritualité templière, à l’issue du parcours 4 rt de XIII – 8 rt de XVII, c’est-à-dire 19 Mars 1314 – 21 Janvier 1793 ;
    • par le début, ce 21 janvier 1793, des Ténèbres royales initiatiques pour la descendance royale de Louis XVI, au moins spirituelle, dont je fais partie, sur un parcours 8 rt de XVII – V, parcours annoncé, je le crois, dans la Flûte Enchantée de Mozart et dirigé par la spiritualité templière de Jacques de Molay – Sarastro, qui a marié spirituellement Mozart – Tamino et Marie-Antoinette – Pamina, et en la présence de la Reine de la Nuit – Monarchie d’Ancien Régime, si elle accepte, comme égale à la sienne, la spiritualité destructrice-transformatrice respectueuse des Templiers, qui leur vient de la Vierge Marie et de son Fils Bien-Aimé par Jean l’Evangéliste auteur de l’Apocalypse.
    • La source, en 8 rt de XVII, au centre du Trône divin, du Fleuve de Vie, en direction du V, entre le 1 et le 9, l’Alpha et l’Oméga, le Principe et la Fin, le Premier et le Dernier, le 19 : Toi, Trinité Sainte.

    Ne dirait-on pas que le centre XVII du Trône, où apparaît le Fleuve de Vie, est le lieu de l’orientation : ou bien on va vers le haut, pour un parcours ténébreux qui s’éclaire progressivement, jusqu’à la sortie en pleine Lumière et Vie, la descente par 8 (XVII) – 3 (XXI) – 7 (XXV) – 2 (XXIX) – 6 (XXXIII), étant, par contre, le lot de ceux qui n’auront pas le droit d’entrer dans la Jérusalem Céleste :

    "Dehors les chiens, les sorciers, les impurs, les assassins, les idolâtres
    et tous ceux qui se plaisent à faire le mal ! »
    (La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21 9 – 22 15) ?

    Toutefois, une Rédemption est possible pour tous : en effet, la fin du parcours descendant est 6 (XXXIII), or, les nombres se succèdent de 4 en 4 temps pyramidaux et 6 (XXXIII) + 4 = 10 (XXXVII), tous deux de rt 1 : c’est le moment d’une autre chance et tout recommence éternellement.

    Concernant l’éclaircissement des Ténèbres initiatiques, il en est un suffisamment important pour que Nostradamus le signale : en effet, de 1980 à 2010, je suis nommé Professeur de saxophone (de la famille des bois, bois qui flamboient !) au CNR de Rennes, où je vais depuis le 29 (inverse de 92 de 1792), rue des Fonds Bleus (bleu roi) à Eragny/Oise (anagramme de Y régna), en passant par Paris et la station de métro Varenne sans s, car Varenne du Louvre, et Louvre, d’où partit la famille royale pour Varennes. Début d’un « Va-à-Rennes » de 30 ans, inversant vers l’Ouest et le Parlement de Bretagne (symbolique « grand Roy d’Angolmois » de Nostradamus) l’expédition vers l’Est de la famille royale : pour moi, un pas vers la Résurrection monarchique, d’autant plus que je suis aussi nommé, à Paris, dans les XVIème et XVIIème arrondissements, boulevard Malesherbes, du nom de l’avocat de Louis XVI, pour le XVIIème, ce qui établit un passage entre les Louis XVI et XVII royaux et entre les temps XVI et XVII de Scriptorale – Jérusalem Céleste. Eh bien ! voici les vers de Nostradamus, où il vit s’éclairer ces Ténèbres initiatiques :

    « Le moine noir en gris dedans Varennes
    De nuict viendra par la forest de Reines »
    (Nostradamus, quatrain IX, 20)
    Et voici la traduction que tu m’as soufflée :
    « Le solitaire noir, en gris dans son « Va-à-Rennes »
    De nuit viendra par les bois de Rennes. »

    http://abouhey1.free.fr/nost_9_20.htm  

Très Sainte Trinité
du Père Compositeur, du Fils Interprète
et de l’Esprit-Saint de Vérité totale,
voici venu le moment de terminer cet article.
Tu me l'as fait commencer le 19 Mars 2020,
et nous sommes le 17 Avril, Vème jour après Pâques,
tant il m'a donné de peine !
Mais tout me vient facilement, maintenant,
et je sais comment le terminer.
Comment ?... Comme cela :

Très Sainte Trinité,
fais que nous te cherchions,
partout, où nous ne voyons que commun vide,
comme ce terrible covid,
fais-nous chercher
ce que le bouddhiste Thrin Xuan Thuan
appelle
la Plénitude du Vide,
T'y trouver est le meilleur moyen
de le transformer en Havre de Paix,
où disparaîtront ces terribles larmes, dans lesquelles nous nous noyons.
Mais, écoutons comment Tu l'as dit à Jean :

     « J’entendis alors une voix clamer, du trône : Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux ; ils seront son peuple et lui, Dieu-avec-eux, sera leur Dieu. Il essuiera toute larme de leurs yeux : de mort, il n’y en aura plus ; de pleur, de cri et de peine, il n’y en aura plus, car l’ancien monde s’en est allé.
     Alors, Celui qui siège sur le trône déclara : « Voici que je fais l’univers nouveau ». Puis il ajouta : « Ecris : Ces paroles sont certaines et vraies. » « C’en est fait, me dit-il encore : je suis l’Alpha et l’Oméga, le Principe et la Fin : celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement. Telle sera la part du vainqueur ; et je serai son Dieu et lui sera mon fils. Mais les lâches, les renégats et les dépravés, les assassins, les impurs, les sorciers, les idolâtres, bref tous les hommes de mensonge, leur lot se trouve dans l’étang brûlant de feu et de soufre - c’est la seconde mort. »
(Bible de Jérusalem, 1956, Apocalypse, 21, 3-8).

 

Saint-Germain-en-Laye, le 17 Avril 2020
abouhey-YEHOUBA
abou - HEYCNR


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VII.- QUESTION(S) ET REPONSE(S)





DE
COVID 19 :
UN GRAND ABSENT TRES PRESENT
A
COVID 19 :
DU IONESCO, DANS « LA SOIF ET LA FAIM »


Alain Bouhey‎ à Isabelle Charpentier :
Bonjour Isabelle et merci pour l'invitation, Cela vous intéresse-t-il : COVID 19 : UN GRAND ABSENT TRES PRESENT ?
Isabelle Charpentier oui sa consiste a quoi expliquez le moi ?


PARTIE I

DE
COVID 19 :
UN GRAND ABSENT TRES PRESENT…

  Alain Bouhey Le sujet, c’est « Covid 19, un Grand Absent Très Présent » Cela concerne, bien évidemment le terrible virus qui sévit actuellement si cruellement. Son nom est composé du mot « covid » et du nombre « 19 », composé lui-même des nombres 1 et 9.

     A ce sujet, il faut savoir que, par une opération appelée réduction théosophique, n’importe quel nombre, si grand soit-il, peut être ramené à un nombre compris entre 1 et 9 : par exemple 1999 => 1+9+9+9=28 => 2+8 = 10 => 1+0 =1.
     Retenez, pour l’instant, que 1 et 9, qui composent 19 sont les premier et dernier de tous les nombres existants, une fois qu’ils sont réduits théosophiquement.

     Covid
, maintenant, est composé du préfixe « co », évoquant l’association, la communauté, et du mot « vid », où sonne « vide », ce qui donne « commun vide ».
     Commun vide de quoi ? Mais, de spiritualité, de Dieu, dont les médias officiels de notre République ne disent pas un seul mot, car, pensant L’avoir parqué, cloîtré, dans les limites de son principe de laïcité, cette République croit s’en être débarrassée, en avoir fait ce « Grand Absent » du titre, alors qu’Il y est on ne peut plus Présent, sans qu’on le remarque, parce qu’on ne croit qu’en la science humaine et qu’on a oublié les façons qu’Il a de nous parler. Il est, en effet, Présent dans le nombre 19, qui est composé du Premier (1) et du Dernier (9) des nombres réduits théosophiquement (la théosophie étant la « Science des dieux » ou la « Sagesse divine »).
 
    Pourquoi 19 est-il Dieu ?

     Avant d’aller plus loin, il me faut dire quelques mots des « coïncidences », cette autre façon qu’a Dieu de nous parler, en faisant coïncider plusieurs évènements. Eh bien ! Il faut savoir que la Bible judéo-chrétienne se termine par un texte intitulé « l’Apocalypse », c’est-à-dire « la Révélation ». En effet, on croit communément que l’Apocalypse est la fin du monde. En réalité, ce n’est pas la fin du monde, mais la fin d’un monde et le passage à un autre monde. Ce monde nouveau qu’apporte l’Apocalypse, c’est la Jérusalem Céleste.

     Or, il se trouve, que mon identifiant free : « abouhey », lu dans le sens inverse des écritures hébraïques et arabes, devient YEHOUBA, ce qui signifie « Temple de Dieu », ce que tout chrétien doit être, selon Saint-Paul, et qui fait de moi un templier. A ce titre, je le crois, j’ai été initié par l’esprit du Temple, qui m’a montré, dans les années 90, comment passer, en 16/17 temps, de la pyramide du pouvoir créateur à son inversion, que j’appelle Scriptorale (cf. http://abouhey1.free.fr/l_o_commun_vide.htm#div. Les temps y sont des formes d’esprit de composition-interprétation / destruction-transformation respectueuse).

     Or, encore, 19 coïncidences (à nouveau ce nombre) font correspondre Scriptorale à la Jérusalem Céleste, cf. http://abouhey1.free.fr/l_o_commun_vide.htm#div, raison pour laquelle, je crois que Scriptorale est la Jérusalem Céleste.

     Or, pour finir, comment se présente Dieu dans la Jérusalem Céleste, en ajoutant : « Ces paroles sont certaines et vraies » (Jean, Apocalypse, 21, 6), ce que je confirme, tant la concordance entre la description de Scriptorale et celle de la Jérusalem Céleste est exacte ? Dieu se présente ainsi : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin (Jean, Apocalypse, 22, 13).
     « Le Premier et le Dernier » ?!? Mais, 19 est aussi le Premier (1) et le Dernier (9) de tous les nombres réduits théosophiquement. Ainsi, le covid 19, dans sa première partie, n’est qu’un « commun vide », que l’humanité réserve jalousement et orgueilleusement à SA science, qui n’arrête pas de parler de sa nécessité d’humilité, drôle d’humilité, qui tient pour nulle et non avenue, toute possibilité d’intervention de Celui qui est l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier le Principe et la Fin, sans remarquer Sa Présence et Sa Disponibilité, dans le 19 intérieur même à ce covid.


PARTIE II


…A
COVID 19 :
DU IONESCO, DANS « LA SOIF ET LA FAIM »


 
    En fait, tout cela est du Ionesco, dans une pièce remarquable, créée le 28 Février 1966, à la Comédie Française : « La Soif et la Faim ». C’est la confrontation de deux univers :

  • celui de Jean, alias Ionesco lui-même, l’anti-héros de la pièce, enferré dans son orgueil et sa volonté de tout comprendre et de tout dominer. Plutôt que de chercher à les combattre, il va s'attacher à arracher l'amour de son coeur, la preuve ancrée en lui de son infériorité qui le torture.
  • Le second univers est un jardin splendide, où se trouvent sa femme et sa fille. Il est tout ce que Jean perd par son orgueil et les tourments qu'il fait endurer à sa femme. Ce jardin, c'est la plénitude et la richesse de la vie de qui se donne aux autres, c'est la force et la lumière, la seule vérité ; et s’il y a dans cette terrible épreuve du covid 19, un formidable don de soi, de la part des soignants d’abord, et de bien d’autres, au risque de leur vie, perdue par beaucoup d’entre eux, s’il y a donc ce formidable don de soi, il y a aussi cette neutralité, aride car cloisonnante, du Principe de LaÏcité, qui (fier de ce qu’il croit être son ouverture d’esprit, alors qu’il s’y oppose à la circulation des données spirituelles)  garantit la liberté de culte, proclame la liberté de conscience et ne place aucune croyance au-dessus des autres… en fait, qui s’arroge le droit de cloîtrer, de parquer Dieu, d’en faire l’impuissant élément, Lui, le Tout Puissant, d’un folklore privé ou familial.

GRAND DIEU !
que savent-ils de TOI,
et de Ton Gouvernement de l’Univers,
les Français, qui se sont permis de faire cela ?

     Comme Jean, qui passera à côté du jardin splendide jusqu’à la fin de la pièce, car il le cherche là où il n’est pas, notre monde, ballotté de crise sanitaire en crise économique, passe à côté de la magnificence de la Jérusalem Céleste et de son Fleuve de Vie, car il est incapable de trouver Dieu, là où Il est tout simplement : ici dans le nombre 19.

     Jean qui veut tout comprendre ne comprend rien, mais est compris par ceux qui l'aiment sans chercher à le comprendre. C'est en cela que réside la puissance et le mystère de l'amour dans l'humilité, la vraie. Il en va de même pour notre monde. Par la raison, il s'estime objectivement l'égal de Dieu, et il ne peut affirmer cette égalité que parce qu'il se croit supérieur à Lui. Seul, le dépassement de ce rapport de supérieur à inférieur peut lui faire découvrir l'amour, qui comprend et accepte tout, comme le font la femme et la fille de Jean, en leur Paradis. Celui-ci trouvera sa force dans l'oubli de soi et aura tout s'il ne désire rien. Sinon, s’il s’acharne à ignorer le Dieu d’Amour, il se condamnera à l’enfer du désir qui se nourrit de néant. Et, lui qui voulait être Tout, ne sera plus rien.

     Toutefois, il y a quelque chose de plus terrible, en 2020, qu’au moment de la création de « La Soif et la Faim », le 28 Février 1966. Signe des temps et de l’évolution du monde : il y a 54 ans, les deux univers se côtoyaient. Jean pouvait constater la splendeur du Jardin d’Amour. Il ne tenait qu’à lui de passer de l’un à l’autre et il ne pouvait s’en prendre qu’à lui de ne pas l’avoir fait. Aujourd’hui, dans toutes les épreuves que nous traversons, nous faisons de Dieu, de sa Jérusalem Céleste et de son Fleuve de Vie, un « commun vide ».

     En fait, il n’en est rien. Ils sont toujours là. C’est nous, qui, aveuglés par notre infernal désir de compréhension du monde, transformons Son Être en notre néant. A nous de faire la mise au point, qui nous permette de retrouver le Chemin de Sa Plénitude, en commençant par arrêter de chercher midi à quatorze heures : Il est le Premier et le Dernier, 19 est le Premier (1) et le Dernier (9), 19 est donc Dieu, et Dieu est donc dans le covid 19 : très peu le remarquent, car très peu savent comment Il nous parle. Mais, si nous Le reconnaissons dans ce Covid 19, jusque là, vecteur de mort, alors, ce « commun vide » se remplira, s'Il le veut, d’un coup, de Sa Lumière et de Sa Vie. et ouvrira la voie de Scriptorale - le Jardin-Jérusalem Céleste !

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