Vendredi, 17 janvier 2020

 

Objet : Réconciliation de Saints Pierre et Jean l'Evangéliste.

 

Saints Pierre et Jean,

J'habitai, Saint Pierre, rue Mozart de ta Paroisse dijonnaise jusqu’à ma communion solennelle . Elle avait pour curé le Père Latour.
Dès que j’ai eu les moyens de comprendre, je me suis étonné de voir et d’entendre, dans cette Paroisse dédiée à toi, Saint Pierre, que j’imaginais lourd et massif, le Père Latour qui me stupéfiait par la clarté et l’élancement de son Verbe, où je reconnaissais, Saint Jean, ta spiritualité johannique de jeune « disciple que Jésus aimait », arrivé devant Pierre au tombeau vide, auteur de l’Evangile selon Saint Jean et de l’Apocalypse. C’était comme si, Saint Jean, tu sourdais sous Saint Pierre. A partir de là, plusieurs coïncidences me confirmèrent la justesse de cette impression :

1ère coïncidence : J’apprendrai, plus de 30 ans après, que le faubourg Saint-Pierre s’était étendu à l’ouest, à partir de 1516, sur les terres du faubourg de la Magdeleine regroupant les commanderies du Temple, avec sa chapelle Saint-André et la commanderie des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem avec sa chapelle Sainte-Magdeleine.
La commanderie du Temple étant vouée à la Vierge Marie et à toi, Saint Jean l’Evangéliste, alors que la Commanderie des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem était vouée à Saint Jean Baptiste.
2ème coïncidence : En 1961, nous déménageons de la rue Mozart, au 13 rue Charles Dumont, anciennement du Temple, dans la cour de la Pharmacie André, du nom de la chapelle des templiers, ma mère se prénommant Andrée.
3ème coïncidence : Elle terminera sa vie, dans cette même rue anciennement du Temple, dans l’immeuble le Commodore, dont le nom n’est pas sans évoquer la commanderie disparue.

(Pour plus de précisions, voir plans en "1279 - 2019 : toute la Lumière")

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Dieu m’a aussi interpelé par la petite phrase de J.-F. à N. : « l’Encyclique du pape est très bien » :

Sur le moment, j’ai cru que c’était une incitation à lire cette Encyclique. Mais maintenant, je comprends que c’était pour que je me rappelle la vieille opposition entre vos spiritualités, Jean et Pierre. En effet, quand je voulus l’acheter, elle n’était pas chez Gibert, j’allai à la Barque de Pierre, j’y rencontrai G., et je compris pourquoi C m’avait demandé qui j’étais, en me disant : « On ne comprend pas, on te voit à la messe, et… points de suspension ! » C’était tout simplement, C, parce que, bien que reconnaissant Louis XVI comme l’un de mes pères spirituels et bien que je n’appartienne à aucune confrérie maçonnique ou templière, j’ai été  initié à l’ouverture de la lumière par plusieurs maîtres et je suis devenu un véritable Templier, comme le dit l’inversion de mon identifiant Free « abouhey » en « YEHOUBA », qui signifie > YHWBH > B de YHWH > Temple de Dieu, ce que l’on doit tous être ou redevenir, selon Saint Paul : « Vous êtes le Temple de Dieu. Votre corps est le Temple du Saint-Esprit. » (1 Corinthiens 3 16 ; 6 :19).
Voila ce que dit Alain Desgris du Templier moderne : « Le chevalier moderne Templier (du vingtième siècle), a rejoint la Franc-Maçonnerie et plus précisémént le Rite Ecossais Rectifié exaltant par ses œuvres, non l’église de Pierre, mais celle qui accomplit les grands desseins de Dieu (…) cherchant, persévérant, souffrant afin de reconstruire sans trêve et sans honneur, la Jérusalem Céleste. » (L’Ordre des Templiers, les secrets dévoilés, p. 238).
Je confirme, sauf une quelconque participation à une confrérie maçonnique, fût-elle le Rite Ecossais Rectifié. La seule influence maçonnique, qui me dirigea fut celle de Mozart, dans sa mort. Quant à la Jerusalem Céleste, je crois bien qu’en

voilà le plan :

Fig. 1 : Scriptoral(e) : Oméga ? Jérusalem Céleste ?

Elle a la forme d’une pyramide tronquée inversée,
ce qui correspond à l’indication de la note f (Ap. 21. 8)
de La Sainte Bible (Ed. du Cerf, 1956).
Cette note dit que la Jérusalem Céleste sera
« l’épanouissement » de la Jérusalem messianique qui est cubique,
or, une pyramide tronquée inversée est l’épanouissement d’un cube.
De plus, cerise sur le gâteau, un signe m'était donné : le rempart de la Jérusalem Céleste mesure
144 coudées, soit 36 coudées de côté, et, sur le graphique que j'imprimai, il mesurait 36 mm,
Il était donc à l’échelle, totalement involontaire, pour moi, de 1 mm pour une coudée !...

Et si, comme je le crois, c’est bien elle, contrairement à ce que dit Alain Desgris, elle ne peut pas se passer de ton Eglise, Pierre, qui fait partie de ses Arbres de Vie, sans lesquels s’effondre tout l’édifice, au sujet duquel « Celui qui siège sur le trône déclara : « Voici que je fais l’univers nouveau. » Puis il ajouta : « Ecris : Ces paroles sont certaines et vraies. « C’en est fait, me dit-il encore, je suis l’Alpha et l’Oméga, le Principe et la Fin : celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement. » (Apocalypse, 21, 5-6).

Dieu nous guide aussi en déstabilisant notre foi : celle de C. et même celle du pape, qui s’est excusé au sujet de l’incident avec une chrétienne :

François 1er, Pape de ton Eglise, Pierre, est, semble-t-il, très ouvert à ton Apocalypse, Jean, puisqu’il garde sur sa page Facebook officielle, depuis 31 semaines, en tête de ses commentaires les plus pertinents, mon article intitulé : « A NOSTRE DAME, APOCALYPSE, LA REVELATION 1279-2019 ». Or, avant de le retenir par la manche comme si elle voulait le mettre au sol, la chrétienne s’est signée pour se donner du courage, dirait-on. A partir de là, il serait très intéressant de connaître ses motivations, pour co-naître avec elle à la portée symbolique de ce geste : n’a-t-elle pas voulu ramener François 1er, de toi, Jean, à la spiritualité élancée, que Jésus aimait, à ta solidité de Pierre, Pierre sur laquelle le Christ a construit son Eglise ? Par cette agression, Dieu n’a-t-il pas voulu, comme je crois qu'Il me le dit, nous amener à la nécessité de la complémentarisation de cette opposition bi-millénaire ?

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Dieu m’a confirmé que j’étais dans la bonne direction par d’étonnantes coïncidences de nombres :

Et cela, à partir des cubes de 8 et de 9 : 512 et 729, qui relient les Templiers, Mozart, Louis XVI et Marie-Antoinette, que je reconnais comme faisant tous partie de ma famille spirituelle, famille dont il faut savoir que les templiers ont été anéantis par l’autorité de la monarchie et de ton Eglise, Pierre, et que la monarchie est passée par le donjon de ton Temple, Jean, avant d’être abolie et guillotinée :

Comme le dit « Celui qui siège sur le trône », Il est l’Alpha et l’Omega, le Principe et la Fin. Or ton Eglise, Saint Pierre, est la première moitié de l’Alpha, nom dont tu as baptisé l'un des "Parcours" que tu proposes. Pourquoi moitié ? parce que l’Alpha est le Principe, et le Principe de fonctionnement de la Jérusalem Céleste, que j’appelle « SCRIPTORAL(E) », est un cycle créateur, constitué de 3 formes d’esprit de Composition- interprétation / Improvisation, fonctionnant en 4 temps de Composition-Interprétation Judéo-Chrétienne : toi / Destruction-Transformation Respectueuse, qui pourrait être l’Islam, auquel tes templiers, Saint Jean, s'ouvrirent, s'il était Respectueux, Mais, pour l’instant, il ne l’est pas, à en croire le Père Noël Tanazacq (« L’islam En Question », Ed. Liberté Politique), puisqu’il remplace nos livres sacrés par « L’Injil ».

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Fig. 3 :
Premier cycle créateur, "Alpha", "Principe" de la Jérusalem Céleste : 0 - I-II / III-IV :
Tradition orale - Composition-Interprétation / Destruction-Transformation Respectueuse

Rappel : La destruction-transformation est irrespectueuse, quand elle détruit autrui ou quelque original que ce soit ; elle est respectueuse quand elle détruit l’idée que l’on se fait d’autrui ou une copie d’original, pour se rapprocher de ce qu’ils sont véritablement jusqu’à co-naître avec eux à une vérité nouvelle.

 La destruction-transformation irrespectueuse est un appauvrissement de la Création, puisqu’elle en supprime les éléments humains ou autres, jusqu’à complète disparition, alors que la destruction-transformation respectueuse est un enrichissement de la Création, puisqu’elle se place en face de ces éléments humains ou autres, qui sont leur Origine, pour les mener, de l’Alpha à l’Omega, à l’Univers Nouveau.

Ainsi, le Premier cycle créateur ci-dessus (fig. 3), est, en quelque sorte, un état des lieux : Pour la composition (I) – interprétation (II) judéo (I) – chrétienne (II), Jésus est crucifié (I) – ressuscité (II) / pour la destruction (III) – transformation (ir)respectueuse (IV) islamique (III – IV) : Jésus n’est ni crucifié (III), ni ressuscité (III), il a été remplacé sur la croix (IV).

Cette transformation (IV) est en attente d’un second cycle créateur (V-VI / VII-VIII), commençant par une nouvelle composition (V), figure 4 :

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Fig. 4 : Second cycle créateur, de "l'Alpha", "Principe", à "l'Omega",
"Fin" de la Jérusalem Céleste : seconde étape : V-VI / VII-VIII :
Secondes - Composition-Interprétation / Destruction-Transformation Respectueuse.

La seconde composition
(temps V)

La seconde composition (temps V) doit donc se construire sur la première destruction-transformation (temps III-IV), selon laquelle, pour l'Islam, Jésus n'est ni crucifié, ni ressuscité, car il a été remplacé sur la croix :

« Ils [les Juifs] ont inventé contre Marie un mensonge atroce. Ils disent : "Nous avons mis à mort le Messie, Jésus fils de Marie, l'apôtre de Dieu." Non, ils ne l'ont point tué, ils ne l'ont point crucifié, un autre individu qui lui ressemblait lui fut substitué, et ceux qui disputaient à son sujet ont été eux-mêmes dans le doute. Ils n'en avaient pas de connaissance précise, ce n'était qu'une supposition. Ils ne l'ont point tué réellement. Dieu l'a élevé à Lui et Dieu est puissant et sage. » (Coran, IV, 155-156, Éditions Flammarion).

L'une des questions à laquelle doit répondre ce temps V de seconde composition est : Pourquoi, pour Allah, est-il impensable que Dieu (c'est à dire Lui-même : Allah) ait laissé crucifier celui qui, pour les musulmans, est Son prophète Jésus, en sachant que toute Parole du Coran est divine et intouchable ? En effet :

« Les musulmans disent que le Coran est "descendu", que Mohamed n'en est pas l'auteur mais qu'il est seulement le transmetteur de la parole d'Allah. De ce fait, ils considèrent que ce Livre est intouchable. » (Coran, V, 72, Éditions Flammarion).

S'adressant aux chrétiens individuellement et collectivement, Saint Paul nous dit : « Vous êtes le Temple de Dieu » (1 Corinthiens 3 16). Il se trouve que "abouhey", mon identifiant Free, lu dans le sens inversé des écritures arabes et hébraïques, donne YEHOUBA, ce qui signifie précisément « Temple de Dieu », autrement dit, réceptacle de Sa PAROLE, l'un de Ses porte-PAROLE. C'est pourquoi, je crois pouvoir transmettre la Réponse suivante : comme dans l'hindouisme, Brahman est l'Etre Ultime, formé d'une Trimurti de trois divinités : Brahma, le Compositeur - Vishnu, le Parfait Interprète / Shiva, le destructeur-Transformateur, notre Dieu Ultime est en trois Personnes, ayant chacune une Forme d'Esprit différente : YHWH, le Père Compositeur, à la Forme d'Esprit de Composition - Jésus-Christ, Son Fils Interprète, à la Forme d'Esprit d'Interprétation / Allah, le Paraclet ou Saint-Esprit, l'Improvisateur, à la Forme d'Esprit d'Improvisation, l'Esprit Régénérateur par une Destruction-Transformation qui doit être Respectueuse, pour qu'Il soit l'Aboutissement du Saint-Esprit ou Paraclet.

YHWH, le Père Compositeur, fonctionne par Fixation, Ecriture de Son Verbe parfaitement construit :

"Le « Mouvement massorti » (...) admet que la Torah n'est pas descendue du ciel telle quelle, mais qu'elle est le fruit d’un processus littéraire et historique complexe, d’une interaction entre parole divine et interprétation humaine. (...) les massorti admettent la place essentielle de la médiation humaine dans l'élaboration de la Torah et considèrent que la révélation est un processus historique où inspiration divine et contextualisation humaine s’imbriquent nécessairement. (...) Les écritures témoigent de la perception humaine de l’absolu et non de son expression immédiate." ("Dieu", Ed. Robert Laffont, pp. 51-52, 54.)

Et, quand Il incarne ce Verbe en son Fils, pour le rachat de nos fautes, la seule Fixation possible, du fait de l'incarnation, est la Crucifixion, acceptée en tant que Preuve de l'Immensité de l'Amour du Père et du Fils pour notre humanité. De cette Filiation, Allah, Tu ne veux pas entendre parler, ce qui s'explique par Ta Forme d'Esprit, comme nous le verrons.

Jésus-Christ, le Fils Interprète, Jésus, qui n'est pas venu "abolir la Loi, mais l'accomplir", ressuscite dans la Gloire, le Verbe incarné du Père, comme font, dans notre humanité, les interprètes pour le verbe et la musique des auteurs-compositeurs, qu'ils jouent. On a appelé Vishnu "le Parfait Interprète". N'est-ce pas exactement ce qu'est Jésus, sous la plume de Luc ?

"Esprits sans intelligence, lents à croire tout ce qu'ont annoncé les prophètes ! Ne fallait-il pas que le Christ endurât ces souffrances pour entrer dans sa gloire ? Et commençant par Moïse et parcourant tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Ecritures ce qui le concernait." (...)
"Telles sont bien les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : il faut que s'accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. Alors il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Ecritures, et il leur dit : "Ainsi était-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait des morts le troisième jour, et qu'en son Nom, le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem." (Evangile de Luc, 24; 25-27 ; 44-47, Bible de Jérusalem, Ed. du Cerf.)

Allah, l'Esprit Régénérateur, qui agit par Destruction-Transformation improvisatrice. Celle-ci doit être Respectueuse de l'Ancien et du Nouveau Testament, prédécesseurs de Son Coran, pour qu'Il devienne le successeur de l'Esprit-Saint chrétien. Elle paraît l'être :

« "Dites : Nous croyons en Dieu et à ce qui a été envoyé d'en haut à nous, à Abraham et à Ismaël, à Isaac, à Jacob, aux douze tribus, aux livres qui ont été donnés à Moïse et à Jésus, aux livres accordés aux prophètes par le Seigneur, nous ne mettons point de différence entre eux et nous sommes résignés à la volonté de Dieu." » (Coran, II, 130, Éditions Flammarion.)

Mais, en fait, elle ne l'est pas, pour le moment, puisqu'elle remplace Ancien et Nouveau Testaments par l'Injil, selon le Père Noël Tanazacq (L'Islam en Question, Ed. Liberté Politique.)
A l'inverse de l'Esprit Compositeur de YHWH, l'Esprit Régénérateur d'Allah correspond donc, dans le domaine humain, à l'esprit d'improvisation :

« Le langage coranique (...) est spontané : c'est un jaillissement continu de certitudes qui ne s'appuient pas sur une démonstration, mais sur une profonde adéquation aux éléments permanents de la sensibilité humaine. » (Mohammed Arkoun, Coran, 4ème trimestre 1970, Éditions Flammarion.)

- Comme l'improvisateur pour son improvisation, Allah refuse que l'on change la moindre Parole de Sa Révélation Coranique, si contradictoire soit-elle, d'autant plus qu'Il est La Contradiction et que Sa Contradiction est donc une Bénédiction, même, et surtout, s'Il Se contredit Lui-Même, dans la mesure où Il respecte l'existence objective de ce qu'Il contredit.
- Comme l'improvisateur et à la différence du compositeur, Allah n'a pas besoin de Fils qui L'interprète, puisqu'Il se joue Lui-Même.
- Comme pour l'improvisateur, la fixation par l'écriture de Son Verbe est servante et n'a aucun droit de modification sur Lui, à la différence de la Fixation par la Crucifixion du Verbe de YHWH, qui fait participer Son Interprète de Fils à Sa Propre Gloire. L'Ecriture est alors Maîtresse, comme on le voit aussi pour le scribe qui lui consacre sa vie :

 « S’il vit longtemps son nom sera plus glorieux que mille autres,
          et s’il meurt cela lui suffit. » (L’Ecclésiastique, 39, 1-11).

La seconde interprétation
(temps VI)

 

La crucifixion et la Résurrection de Jésus-Christ
sont pleinement justifiables :
Dieu Père et Fils est Amour Infini,
et la plus grande preuve de cet Infini d'Amour,
qu'Il pouvait et devait donner était cette Crucifixion.
Il devait la donner, parce qu'en temps que Compositeur incarnant Son Verbe,
Il devait le fixer pour le faire jouer par Son Interprète de Fils.
Or, du fait de l'Incarnation,
Il n'avait pas d'autre moyen de fixation que la Crucifixion.
Quant à la Résurrection,
le Christ sachant Lire l'Ecriture du Père, Ecriture qu'Il était,
Il ne pouvait que La faire revivre glorieusement,
une fois libérée du poids de nos fautes !
Et quant à Allah,
c'est Sa Contradiction improvisée,
qui a commencé d'ouvrir cette Lumière sur les Actes du Père et du Fils,
jusqu'où nous fera-t-Elle aller, dans le plus total Respect Mutuel du
Judéo-Christiano / Islam
Bien Compris ?...

La seconde destruction-transformation (ir)respectueuse
(temps VII-VIII)

Nota : Cette seconde destruction-transformation est respectueuse
si elle contredit les temps V-VI précédents en se situant en face d’eux
et en en reconnaissant la valeur de Parole divine égale à celle du Coran,
elle est irrespectueuse si elle n’en reconnaît pas l’existence
et se borne à recopier l’Injil qui en prend la place.

« O vous qui avez reçu les Ecritures, ne dépassez pas les limites dans votre religion, ne dites de Dieu que ce qui est vrai. Le Messie, Jésus fils de Marie, est l'apôtre de Dieu et son Verbe qu'il jeta en Marie : il est un esprit venant de Dieu. Croyez donc en Dieu et en ses apôtres, et ne dites point : il y a Trinité. Cessez de le faire. Ceci vous sera plus avantageux. Car Dieu est unique. Loin de sa gloire qu'il ait eu un fils. A lui appartient tout cequi est dans les cieux et sur la terre. Son patronage suffit, il n'a pas besoin d'un agent. » (Coran, IV, 169, Éditions Flammarion)

Dans cette sourate, Allah détruit tout l’apport fondamental du Nouveau Testament : la Paternité de YHWH, la Filiation de Jésus-Christ, le Lien de l’Esprit-Saint entre Père, Fils et humanité, et par là-même, toute possibilité de Trinité.
Sa transformation consiste à revenir à un temps 0 (0 de l’écriture) du verbe prophétique de tradition orale, amélioré en 0 bis, où l’écriture, servante tenue en laisse, doit se contenter de fixer la Parole d’Allah, transmise par les prophètes sans en changer le moindre iota. Ainsi, les « limites » à « ne pas dépasser » sont celles de l’écriture servante, qu’elles qu’en soient les contradictions. Les idées du mouvement judaïque Massorti, selon lesquelles :

« les écritures témoignent de la perception humaine de l’absolu et non de son expression immédiate, » ("Dieu", Ed. Robert Laffont, p. 54)

ne sont pas de mises pour le Coran.
Ce qui est le « plus avantageux », pour Allah, c’est un Verbe descendu du ciel, et limité à la surface de la terre, à un simple pré-carré prophétique, à hauteur d’hommes, en attente de la Résurrection finale, un Verbe qui serait contradictoire des Ecritures sacrées judéo-chrétiennes, s’il ne les avait pas faites disparaître. Voilà où nous amène ce second cycle créateur. Voir la figure 5, où le temps 0 du Verbe d’Allah, transmis par les prophètes, s’est mué en temps 0 bis, parfaitement identique, en dehors du fait invisible, qu’il est fixé par une écriture servante.

Fig. 5 : temps 0 bis, identique au temps 0, avec cette différence,
 qu’il la  fixe par une écriture servante.

Le Coran est le refus le plus radical du pouvoir que l’Ecriture donne au scribe, dans l'Ancien Testament :
« Le scribe. 
     Il en va autrement de celui qui applique son âme
          et sa méditation à la loi du Très Haut.
     Il scrute la sagesse de tous les anciens,
          il consacre ses loisirs aux prophéties.
     Il conserve les récits des hommes célèbres,
          il pénètre dans les détours des paraboles.
     Il cherche le sens caché des proverbes,
          il s’intéresse aux secrets des paraboles. (…)
     Il voyage dans les pays étrangers,
          il a fait l’expérience du bien et du mal parmi les hommes. (…)
     Si telle est la volonté du Seigneur grand,
          il sera rempli de l’esprit d’intelligence.
     Lui-même répandra ses paroles de sagesse,
          dans sa prière il rendra grâce au Seigneur.
     Il acquerra la droiture du jugement et de la connaissance,
          il méditera ses mystères sacrés.
     Il fera paraître l’instruction qu’il a reçue
          et mettra sa fierté dans la loi de l’alliance du Seigneur.
     Beaucoup vanteront son intelligence
          et jamais on ne l’oubliera.
     Son souvenir ne s’effacera pas,
          son nom vivra de génération en génération.
     Des nations proclameront sa sagesse
          et l’assemblée célèbrera ses louanges.
     S’il vit longtemps son nom sera plus glorieux que mille autres,
          et s’il meurt cela lui suffit. » (L’Ecclésiastique, 39, 1-11)

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Fig. 6 : Troisième cycle créateur, de "l'Alpha", "Principe", vers "l'Omega", "Fin" de la Jérusalem Céleste :
troisième étape : IX-X / XI-XII : commençant par un troisième Arbre de Vie : VIII – IX-X :
Troisièmes - Composition-Interprétation / Destruction-Transformation Respectueuse.

La troisième Composition
(temps IX)

Comme les deux précédentes, la troisième pyramide compositionnelle repose sur la base contradictoire de la seconde transformation. Son principe de fonctionnement correspond au fameux thèse-antithèse-synthèse de la dissertation : c’est-à-dire que, à l’opposition horizontale de thèse-antithèse répond l’élévation verticale de la synthèse lumineuse. Mais, plus on s’élève dans la pyramide, plus la lumière se resserre, pour disparaître et mourir au sommet qui en est le point de perfection terrestre. Celui de la fixation du Verbe et de la Crucifixion, si ce Verbe est incarné.

La troisième Interprétation
(temps X)

Le point de perfection a deux faces : l’une est une entrée terrestre mortelle, l’autre, une sortie céleste résurrectionnelle d’où jaillit la Lumière. Il unit Composition et Interprétation, dans le prolongement l’une de l’autre, verticalement par rapport à leur base, la Transformation VIII, avec laquelle Elles forment le troisième Arbre de Vie. Sans son Interprète Jésus, qui ressuscite (grâce à l’Esprit-Saint ?) la Partition de son Père Compositeur, YHWH, qu’Il est (« tout ce qui est au Père est à moi ») et sans l’Esprit-Saint qui les relie, la divine Partition : Jésus-Christ, du Père Compositeur YHWH, ne serait que grimoire dans la poussière d’une bibliothèque. Voilà aussi pourquoi, dans l’hindouisme, le Père Compositeur Brahma apparaît beaucoup moins que Son Fils Interprète Vishnu et Son Esprit Improvisateur Destructeur-Transformateur, Shiva, car ce sont Eux qui ont le contact avec les foules.

La troisièmes Destruction-Transformation (ir)Respectueuse
(temps XI-XII)

Les temps XI-XII de cette troisième Destruction-Transformation, si elle est Respectueuse, apportent l’ouverture horizontale contradictoire à l’élévation verticale IX-X, en s’opposant à cette dernière, par une troisième descente-remontée à l’Energie-Lumière de la Création, Son Feu central. Horizontalité - verticalité réalisent ainsi la croix. Le plus difficile à comprendre, parce que très subtil, dans l’élaboration, de l’Alpha à l’Oméga de ce « Monde Nouveau », est la notion de « Destruction-Transformation Respectueuse » que l’Islam doit intégrer pour prendre la suite de l’Esprit-Saint et devenir le second Paraclet envoyé par le Père, après Jésus, comme tu le dis, Jean, en Jn 14, 16 : pourquoi il a le droit de dire le contraire du Pentateuque et des Evangiles, comme le Yin contredit le Yang et pourquoi il doit cependant respecter et aimer à l’égal du Coran, ces Livres sacrés qu’Il contredit, et qui ne font qu’un, comme la boule noire et blanche du Yin et du Yang. Deux exemples peuvent l’expliquer : l’exemple du portraitiste obnubilé par l’image de la Joconde et celui de la lapidation de la femme adultère : comment cette lapidation peut-elle faire qu’une civilisation judéo-christiano / islamique ira plus loin que deux simples civilisations islamique ou judéo-chrétienne. Ajoutons à cela la déplorable qualification de « djihadistes » donnée aux terroristes islamistes :

• exemple du portraitiste obnubilé par l’image de la Joconde : Imaginons donc un portraitiste tellement marqué par l’image de la Joconde que, chaque fois qu’il représente quelqu’un d’autre, il y a toujours un  trait caractéristique de la Joconde qui ressort de sa peinture. Pour lui, il n’y a pas d’autre solution que de détruire celle-ci pour pouvoir la transformer. Cependant il a deux possibilités :
• la première, extérieure : il va au Louvre et la brûle : plus de Joconde, certes, mais pour lui : la prison, plus de clientèle et plus de portraits à faire : le fiasco total !
• la seconde, intérieure : il se procure une copie de l’original, en fait ce qu’il veut : de la charpie, du Picasso ou autre, ou mieux encore : du lui-même et se libère ainsi de son assujettissement à l’original par destruction-transformation respectueuse de sa copie, qu’il peut comparer à sa source : enrichissement de la création !
• Exemple de la lapidation de la femme adultère : Idem pour la lapidation de la femme adultère qui figure dans l’Ancien et le Nouveau Testament, et dans le Coran : la solution la plus simpliste à force d’être simple, dans ce Monde Ancien que nous avons tant de mal à quitter, est
•  la solution extérieure : lapider effectivement cette femme, dans un atroce carnage,
• alors qu’il y a la solution intérieure, consistant, pour les lapideurs, à lapider leur désir de lapidation, et, à chaque pierre spirituelle arrivant sur ce sinistre désir, à dépasser l’image fausse que l’on se fait d’autrui, à aller plus loin dans la connaissance de cette femme, jusqu’à co-naître en vérité, avec elle, à l’Univers Nouveau  de « l’Alpha et l’Omega », ce qui est aller plus loin que Jésus, disant à la femme : « Va et ne pêche plus », et donc plus loin dans une civilisation judéo-christiano / islamique ainsi comprise, que nous ne pouvons le faire dans l’actuelle civilisation judéo-chrétienne.
• Exemple de la déplorable qualification de « djihadistes » donnée aux terroristes islamistes : qualifier de « djihadistes » les terroristes islamistes témoigne d’une méconnaissance complète des différentes catégories de djihad réparties en djihad mineur : le combat extérieur contre autrui qu’il cherche à éliminer, certes, mais beaucoup plus intéressant et riche : le djihad majeur, où l’on trouve le combat contre soi-même, respectueux d’autrui.

Ainsi, les terroristes islamistes peuvent-ils, tout au plus, être qualifiés de « djihadistes mineurs », mais sûrement pas, tout simplement, de « djihadistes ». Se contenter de cette dernière appellation revient à davantage dresser les judéo-chrétiens contre les musulmans, alors qu’appeler ces terroristes des « djihadistes mineurs » serait peut-être, pour tous, un appel à connaissance des richesses de l’Islam, à l’égal de celles des « Ancien et Nouveau Testament ».
En résumé, la destruction-transformation respectueuse, dans les créations humaine et divine, consiste en un combat intérieur contre l’idée que l’on se fait d’autrui c’est-à-dire, à la limite, contre soi-même (autrui étant tout ce qui n’est pas nous), jusqu’à arriver à co-naître avec lui à un Univers Nouveau.

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Fig. 7 :
Quatrième cycle créateur, de "l'Alpha", "Principe", vers "l'Omega", "Fin" de la Jérusalem Céleste :
Quatrième  étape : XIII-XIV / XV-XVI : commençant par un
quatrième  Arbre de Vie : XII – XIII-XIV :
Quatrième  - Composition-Interprétation / Destruction-Transformation Respectueuse.

Les quatrièmes Composition
(temps I, V, IX, XIII)

 

Il existe deux modèles principaux d’évolution de l’univers : le Big Bang et le Big Bounce :

• Le Big Bang est un modèle d’univers ouvert : partant d’un point il est en expansion infinie
   jusqu’à épuisement par les étoiles des stocks de matière à fusionner, ce qui entraînera leur mort.
• Le Big Bounce est un modèle d’univers cyclique  où alternent Big Bang et Big Crunch,
  expansions et contractions ou vice-versa,

le Big Crunch étant un modèle d’univers fermé par une contraction, qui inverse l’expansion du Big Bang.

Croyant que ce qui se passe au niveau universel a sa correspondance au niveau individuel et vice-versa, voici ce que donne le Big Bounce, appliqué à l’Univers Nouveau de Scriptorale – Jérusalem Céleste ( ?)

• les 4 Compositions I, V, IX, XIII, de YHWH, sont 4 Big Crunchs pyramidaux, 4 Univers fermés par une Fixation – Crucifixion, limités en hauteur, s’élevant à la verticale de leur base inclinée, et comparables, sur le plan des saisons, à 4 Etés ;
• ces 4 Compositions-Etés de YHWH, sont les fruits de 4 (Trans)formations d’Allah, si celles-ci (1 Formation 0 et 3 Transformations IV, VIII, XII) sont Respectueuses des Originaux judéo-chrétiens, (Trans)formations, qui  sont 4 Big Bangs pyramidaux inversés, 4 Univers ouverts branchés sur le feu central de l’Inspiration, limités en hauteur, ouvrant, à la surface de la Création, un vaste Pré-carré, reliant les 4 bases, elles aussi carrées, des pyramides de la composition-Interprétation, s’élevant sur le même axe vertical en 4 Arbres de Vie., et comparables, sur le plan des saisons, à 4 Printemps ;
• ces 4 Compositions-Etés de YHWH sont les Partitions de 4 Interprétations de Jésus-Christ II, VI, X, XIV, qu’elles Ressuscitent et qui  sont 4 Big Bangs pyramidaux inversés, 4 Univers ouverts branchés sur 4 mises en question – crucifixions humaines du Verbe d’YHWH, limitées en hauteur, s’élevant à la verticale de leurs bases inversées inclinées, dans les prolongements verticaux des 4 Compositions et comparables, sur le plan des saisons, à 4 Automnes ;
• ces 4 Interprétations de Jésus-Christ, sommets des 4 Arbres de Vie, limités en hauteur, qui, ne pouvant pas monter plus haut, sont à l’origine de 4 Destructions d’Allah, si celles-ci (III, VII, XI, XV), sont Respectueuses des Originaux Judéo-Chrétiens, Destructions, qui  sont 4 Big Crunchs pyramidaux inversant les 4 (Trans)formations 0, IV, VIII, XII, 4 Univers fermés replongeant dans le feu central de l’Inspiration, limités en descente, insufflant aux 4 (Trans)formations, à partir du feu central, l’énergie nécessaire pour qu’elles remontent à la surface de la Création, ouvrir leur vaste Pré-carré, reliant les 4 bases, elles aussi carrées, des pyramides de la compositions-Interprétation, s’élevant sur le même axe vertical en 4 Arbres de Vie., les 4 Destructions étant comparables, sur le plan des saisons, à 4 Hivers.
  Il reste la Transformation XVI : elle présente un cas très particulier, qui sera envisagé au chapître X, coincidence 19.

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Fig. 8. : Scriptorale, la Jérusalem Céleste (?)
dont il est dit :

« 21. 1Puis je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle - le premier ciel, en effet, et la première terre ont disparu, et de mer, il n’y en a plus. 2Et je vis la Cité Sainte, Jérusalem nouvelle, qui descendait du ciel, de chez Dieu ; elle s’est faite belle, comme une jeune mariée parée pour son époux. 3J’entendis alors une voix clamer, du trône : « Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux ; ils seront son peuple et Lui, Dieu-avec-eux sera leur Dieu. 4Il essuiera toute larme de leurs yeux : de mort, il n’y en aura plus ; de pleur, de cri et de peine, il n’y en aura plus, car l’ancien monde s’en est allé. » Alors, Celui qui siège sur le trône déclara : « Voici que je fais l’univers nouveau. » Puis Il ajouta : « Ecris : Ces paroles sont certaines et vraies. »6« C’en est fait, me dit-Il encore, je suis l’Alpha et l’Omega, le Principe et la Fin ; celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement. 7Telle sera la part du vainqueur ; et je serai son Dieu et lui sera mon fils. 8Mais les lâches, les renégats, les dépravés, les assassins, les impurs, les sorciers, les idolâtres, bref, tous les hommes de mensonge, leur lot se trouve dans l’étang brûlant de feu et de soufre – c’est la seconde mort. » (La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21, 1 à 8)

SCRIPTORALE = JERUSALEM CELESTE
19 COÏNCIDENCES

Le texte ci-dessus concerne la Jérusalem Céleste.
Parmi les éléments de cette description me faisant penser qu'il s'agit de Scriptorale,
je retiens :
"je suis l’Alpha et l’Omega, le Principe et la Fin ;

[Coïncidence 1 :
Scriptorale comme la Jérusalem Céleste
ont un Principe de fonctionnement spirituel : l'enchaînement, pour Scriptorale,
de composition-interprétation judéo-chrétienne
et de destruction-transformation respectueuse et islamique si respectueuse]

« celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie, gratuitement. »
[Coïncidence 2 :
en Scriptorale, au centre de la sphère de la création,
il y a aussi, un cercle blanc, indiquant une source de lumière et de vie.
Toute cette création s'est faite gratuitement.]

La Jérusalem Céleste succède à la Jérusalem messianique dont la note f
de La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21, 8, nous dit :
« C’est la Jérusalem messianique, puisque les nations païennes existent encore, 21 24,
et peuvent se convertir au vrai Dieu, 22 2,
mais elle préfigure déjà la Jérusalem Céleste qui en sera l’épanouissement.
Les traits de cette description sont empruntés surtout à Es 40-48. »
[Coïncidence 3 :
la Jérusalem messianique est cubique, cf. ci-dessous,
l'épanouissement d'un cube est une pyramide tronquée inversée, ce qu'est Scriptorale]

De la description de la Jérusalem messianique,
je retiens aussi :
« cette ville dessine un carré : sa longueur égale sa largeur, (…) »
[Coïncidence 4 :
Scriptorale dessine aussi un carré]
(tout le texte hors crochets étant extrait de
La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21 9 – 22 15).

« longueur, largeur et hauteur y sont égales. »
[Coïncidence 5 :
c'est donc bien un cube, dont "l'épanouissement"
est une pyramide tronquée inversée, comme Scriptorale]

« Puis il en mesura le rempart, soit cent quarante-quatre coudées. (…) »
[Coïncidence 6 :
soient 36 coudées par côté : le premier tirage de Scriptorale
me donna 36 mm par côté, une échelle donc de 1 mm/par coudée !]

« Les douze portes sont douze perles. (…) »
[Coïncidence 7 :
le découpage de Scriptorale donne l'emplacement des 12 portes :
1 porte au milieu des 8 côtés extérieurs des compositions I-V-IX-XIII et
4 portes entre ces 4 pyramides, soient 8 + 4 = 12 portes]

« De temple, je n'en vis point en elle ;
c'est que le Seigneur, le Dieu Maître-de-tout,
est son temple ainsi que l'Agneau. »
[Coïncidence 8 :
point de temple, non plus, en Scriptorale,
si ce n'est la pyramide inversée de lumière et de Vie.]

« Elle peut se passer de l’éclat du soleil et de la lune,
car la gloire de Dieu l’a illuminée et l’Agneau lui tient lieu de flambeau. »
[Coïncidence 9 :
Scriptorale, comme la Jérusalem Céleste, est illuminée de l'intérieur,
et un flambeau blanc monte de la source de lumière et de vie. ]

« Les nations marcheront à sa lumière. (…) »
[Coïncidence 10 :
la lumière est spirituelle :
c'est celle du rapport, en toutes nations, des formes d'esprit de
composition-interprétation / destruction-transformation respectueuse,
fonctionnant dans les univers artistiques, religieux, entrepreneuriaux, politiques... ]

« Ses portes resteront ouvertes le jour - car il n’y aura plus de nuit -. (…) »
[Coïncidence 11 :
la Lumière y est intérieure, comme en Scriptorale,
elle s'élève en s'ouvrant et s'ouvre en s'élevant, infiniment,
enveloppant le Big Bounce des 16 pyramides du monde ancien.]

« Rien de souillé n’y pourra pénétrer (…)
mais seulement ceux qui sont inscrits dans le Livre de Vie de l’Agneau. »
[Coïncidence 12 :
le Livre de Vie de l'Agneau, n'est-ce pas le Livre de
son Incarnation crucifiée vue, précédemment, côté entrée mortelle,
et désormais, côté sortie résurrectionnelle glorieuse ?]

« Puis l’Ange me montra le Fleuve de Vie, limpide comme du cristal
qui jaillissait du trône de Dieu et de l’Agneau. »
[Coïncidence 13 :
pour le trône de Dieu et de l'Agneau, voir Coincidence 15,
Le Fleuve de Vie jaillit du point de départ de la pyramide inversée
où se trouve le trône, dans la pointe du V (5 en chiffres romains).
Mais ce n'est pas tout : les chiffres du trône sont :
1--V--9--
4--8--3--
7--2--6--
En fait, à partir de 4, ces chiffres sont l'addition des chiffres constituant les nombres
des pyramides compositionnelles de YHWH, Dieu le Père,
inspiré par formation 0 et transformations 4-8-12-16 :
1........V......9
13.....17....21
25....29...33
le trône de Dieu et de l'Agneau fait jaillir, en pleine puissance, le Fleuve de Vie,
de 17, ou mieux XVII, le centre de ses 9 nombres de YHWH,
la pyramide inversée - Scriptorale - Jérusalem Céleste.
Que dire des nombres restants : 21....25....29....33 ?]

« Au milieu de la place, de part et d’autre du Fleuve,
il y a des Arbres de Vie qui fructifient douze fois, une fois chaque mois (…) »
[Coïncidence 14 :
les Arbres de Vie sont déjà placés :
ce sont les 4 ascensions enchaînant formation 0 et composition-interprétation I-II,
et 3 transformations IV, VIII, XII enchaînant 3 compositions-interprétations V-VI, IX-X, XIII-XIV.]

« De malédiction, il n’y en aura plus : le trône de Dieu et de l’Agneau sera dressé dans la ville. »
[Coïncidence 15 :
le trône, c'est le carré de 9 chiffres :
I ----- V --- IX
IV - VIII - III
VII -- II -- VI
avec la lumière partant du point de départ de Scriptorale, la pyramide inversée,
point de départ, qui est aussi la pointe du V.]

« De nuit, il n’y en aura plus : ils se passeront de lampe ou de soleil pour s’éclairer,
car le Seigneur répandra sur eux sa lumière, et ils règneront pour les siècles des siècles. »
[Coïncidence 16 :
la lumière qui emplit la pyramide inversée]

« Puis il me dit : ces paroles sont certaines et vraies :
Le Seigneur Dieu, qui inspire les prophètes, a dépêché son Ange... »
[Coïncidence 17 :
le Seigneur Dieu a inspiré le compositeur Franz Tournier,
qui m'a fait créer à la Sankt Sebaldus Kirche de Nüremberg,
4 Prophéties - feuille de route pour moi,
passant par les enchaînements de Scriptorale :

I.- « C'est Moi qui vous ferai porter votre fruit » (Osée, XIV, 9)
II.- « Le Seigneur élèvera sa main sur le fleuve, Il l'agitera par son souffle puissant » (Isaïe, XI, 15)
III.- « Je rassemblerai toutes les brebis qui resteront de mon troupeau » (Jérémie, XXIII, 3)
IV.- « Je les ferai passer par le feu » (Zacharie, XIII, 9)

Le Seigneur Dieu a aussi inspiré le prophète Michel de Nostre-Dame
sur le thème du Plus de lumière de Scriptorale,
en citant Goethe, le jour de sa mort : "Mehr Licht !".
Il m'a inspiré l'interprétation de ce quatrain X, 72 :

et du quatrain IX, 20.]
« ...pour montrer à ses serviteurs ce qui doit arriver bientôt.
Voici que mon retour est proche !
Heureux celui qui retient les paroles de ce Livre.
C’est moi, Jean, qui voyais et entendais tout cela : une fois les paroles et les visions achevées,
je tombai aux pieds de l’Ange qui m’avait tout montré, pour l’adorer.
Mais lui me dit : « Non, attention, je suis un serviteur
comme toi et tes frères les prophètes et ceux qui retiennent les paroles de ce livre :
c’est Dieu qu’il faut adorer. »

« Il me dit encore :
"Ne tiens pas secrètes les paroles prophétiques de ce Livre, car le Temps est proche.
Que le pécheur pèche encore, et que l’homme souillé se souille encore ;
que l’homme de bien vive encore dans le bien, et que le saint se sanctifie encore.
Voici que mon retour est proche et j’apporte avec moi le salaire que je vais payer à chacun,
en proportion de son travail.
Je suis l’Alpha et l’Omega, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin." »
[Coïncidence 18 :
Dieu insiste, à nouveau, sur l'Alpha,
en le reliant au Principe que j'appelle cycle créateur de 4 temps, en Scriptorale,
au moment où j'en fais le "Parcours classique",
que je signale en attente de 2 temps véritablement destructeur-transformateur respectueux,
car n'enchaînant que les 2 premiers temps de composition-interprétation reliés par l'Esprit-Saint, sur 4.
L'Esprit-Saint peut faire le lien avec la destruction-transformation islamique,
si celle-ci devient respectueuse des écritures judéo-chrétiennes originales.]

« Heureux ceux qui lavent leurs robes ; ils pourront disposer de l’Arbre de Vie, »
[Coïncidence 19 :
il y avait les Arbres de Vie, et là, Jean ne parle que de l'un de ceux-ci,
comme si, à lui seul, il équivalait aux 4 autres :
c'est exactement ce qui se passe en Scriptoral,
où transformation XVI, n'ayant plus de place en haut (formation 0 l'ayant occupée),
se projette vers le bas, à l'endroit, d'une façon parfaitement centrée,
poussant toute son énergie vers ce bas, telle une fusée,
ce qui va provoquer, par réaction, la formidable inversion pyramidale de Scriptorale,
qui est bien un cinquième Arbre de Vie, l'Arbre de Vie des Arbres de Vie,
19ème coincidence entre Scriptorale et la Jérusalem Céleste]
« et pénétrer dans la Cité par les portes.
Dehors les chiens, les sorciers, les impurs, les assassins, les idolâtres
et tous ceux qui se plaisent à faire le mal ! »
(La Sainte Bible, Editions du Cerf, 1956, l’Apocalypse, 21 9 – 22 15)

Le placement de transformation XVI
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