SOMMAIRE | MUSIQUE | CHROMOPHONIE SCRIPTORALE | |
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le supérieur symbolise blanc, ciel, esprit, mâle, activité, inspiration, et l'inférieur femelle, passivité, expiration, vase, matière, V, cinq, noir. Leur superposition déjà connue des Egyptiens dans l'étoile aux six branches, témoigne de l'étroite imbrication et de la complémentarité des éléments de l'un et de l'autre en homme et femme se retrouvant, l'une procédant de l'un qui procède de l'une. Vouloir les dissocier est impossible, d'où, amorce de crucifixion, l'étirement-écartèlement de la présente improvisation dans lequel - embryon en gestation aux côtes dix (nombre parfait, somme des quatre premiers)
se développe le Christ des chrétiens, selon eux, présent en cette Bible, qu'à travers l'isocèle inexactitude de ses triangles Yochk'o, ici-même représente pour former, sur la pointe, quasi un carré symbole de littérature et donc d'Ecritures... sacrées -du fait du double trois ! - D'un violet foncé, teinte de deuil où baigne la clarté de la vie, cette forme exprime toute la foi du judaïsme en la valeur du script, pour tour à tour donner naissance et mettre en question, séparant ainsi, à plus ou moins longue échéance le vrai du faux. C'est pourquoi, si "le coeur du sage est dans la maison du deuil et le coeur des fous dans la maison de la joie" (*) ... "Heureux l'homme qui a trouvé la sagesse l'homme qui acquiert l'intelligence (...) C'est un arbre de vie pour qui la saisit, celui qui la tient devient heureux." (**) |
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