Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
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SOMMAIRE MUSIQUE SIGNES
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Y et Louis XVI

3.- 16, MOZART 99 ET 14
4.- DAUBENTON - 17-16-18

5.- PREMIERS DESSINS

6.- SAX, SAXE ET BOURGOGNE

7.-BOURBONS - AQUITAINE & BOURGOGNE

8.- BOURBON-CAPET / BON CAP BOURETouret

9.-CHARLES DUMONT - TEMPLE

10.- 16.7.71 / 17.7.71

11.- 16.7 > 9.9
12.- L'EPOUSE DE Y ET SARRETTE
13.- L'EPOUSE DE Y ET LOUIS XVI
14.- L'EPOUSE DE Y ET SAINT-GERMAIN-EN-LAYE

15.- SENEGAL : 1+6 > 16 / 1+7 > 17

16.- "CHOIX DU ROI" / 18.12.74

17.- 74 / 21.9.74
18.- XVI-XVII-XVIII / MALESHERBES / RANELAGH-MOZART

19.- POIGNET ET RESSEMBLANCES

20.- PERE ET RAPPORT A DIEU
21.- 16-17 ET SCRIPTORAL
22.- VARENNES - "VA-A-RENNES"

23.- LOUIS XVI -BOUILLE - BOUHEY

24.- ERAGNY-NEUVILLE

25.- 222 / LEMOINE

26.- ADRESSE

27.- IMMATRICULATIONS

28.- CHIRAC-ROYAL > CHIR-AC - CHYREN > ROYAL-CHYREN :
TIRER OU OUVRIR LA FRANCE VERS LE HAUT ?
ELU(E) ROYAL(E) DE LA CIME OU DES PRECIPICES ? "VOTER Y"








1.- INTRODUCTION
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Y & Mozart   a déjà montré  les liens Mozart - Y, d'une part, et Mozart - Louis XVI, d'autre part. Restent ici à voir les liens Y - Louis XVI, ce qui donne donc la relation :

Mozart - Louis XVI

\      /

Y

 







2.- ASCENDANCE DE Y
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L'ascendance de Y fait la part belle à deux des principaux prénoms : François et Louis, de la grande monarchie française, qui va de François Ier à Louis XVI.
Ce sont :
François (son arrière-grand-père),

(Louis-)François (son grand-père),

Aristide, François (son père),

Alain, François, Léon (lui-même),

avec une insistance dans la continuité sur François, qui signifie français, ce qui est intéressant quand on sait que l'on reprochait au dernier des Louis d'ancien régime, Louis XVII, d'avoir un sang plus germanique que français.

Y apprendra dans les années 90, que son arrière-grand-mère paternelle était une royaliste inconditionnelle, alors que son grand-père paternel, fils de cette dernière, qui se fit appeler François et non Louis-François, eut l'esprit suffisamment républicain pour voter en 1936 pour le Front populaire. Quant à Y, François, son second prénom, est suivi de Léon, lié à léonin et donc lion, qui correspond à Chyren et marque son "Va-à-Rennes" (cf. varennes_va-a-rennes.htm#bou), il est en effet amené d'office, à son arrivée à Rennes, par son prédécesseur, à l'hôtel de Léon, rue de Léon, qui lui est présenté comme "l'hôtel des saxophonistes de père en fils", pour en avoir abrité trois générations.

 







3.- 16, MOZART 99 & 14

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Y naquit sous le signe du Verseau, à Dijon, en Côte d'Or, avec le nombre de Louis XVI et le nom de Mozart. En effet :

- ce fut le 16.2.1949,

- avec une fête, la Saint Alain, le 16.7 (jusqu'en 1971),

- il habitera, jusqu'à sa profession de foi  (juin 1960), au

14 rue Mozart.

99 de 1999, l'année fatidique donnée par Nostradamus pour la résurrection de la grande monarchie française, qui s'interrompit avec Louis XVI, est curieusement liée au 16 du prénom de Y, voir à son double 16, puisque 7 de (16.7) est la réduction théosophique de 16 (1 + 6). En effet : en 1972, la Saint Alain passera

du 16.7 au 9.9.

Remarquons, par la même occasion, un lien entre l'année de naissance, la rue Mozart où Y habitait au 14, et cette année fatidique, puisque

1949 fait alterner les chiffres  de 14 et de 99.

Remarquons aussi que 14 est le nombre où culminèrent les Bourbon (Louis XIV), et le nombre guémâtrique du roi David, dont l'étoile est intimimement liée à l'opposition complémentaire des pyramides aboutissant à Scriptoral.







4.- DAUBENTON - 17-16-18

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La suite 16-17-18 (contenant les nombres de Louis XVI et Louis XVII) se révélera initiatique pour
Y (cf. paroles_d_ange.htm#n12). Or le passage obligé pour ce dernier, au sortir de la rue Mozart, était la rue Daubenton, le menant :

- à gauche, vers ses origines bourguignonnes par la nationale 74 (ses grands-parents maternels à Saint-Romain, son grand-père paternel dans un hospice à Beaune, après avoir habité Merceuil et Meursault) ;

- à droite :

. vers l'éducation laïque, par la rue Charles Dumont (écoles Chevreul, puis  lycée Carnot) ;

. vers l'éducation religieuse, toujours par cette même rue Charles Dumont : l'Eglise Saint-Pierre.

Eh bien ! Les dates de Daubenton sont :

1716-1800,

enchaînant 17-16-18, Y y verra le signe qu'il doit relier le 17 de Louis XVII au 16 de son père, pour passer au 18 d'accès à la spiritualité (cf. paroles_d_ange.htm#n12).

 







5.- PREMIERS DESSINS

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A l'école primaire Chevreul, entre les cours élémentaire II et moyen II, Y fit ses deux premiers dessins suffisamment intéressants pour être conservés encadrés : ce furent Richelieu et Louis XVI (ou Louis XVI et Richelieu)

 







6.- SAX, SAXE ET BOURGOGNE

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Louis XVI est fils de Marie-Josèphe de Saxe, un nom qui est le féminin de Sax, le nom de l'inventeur du saxophone, instrument de Y, par la musique duquel il accède pour moitié à la lumière, l'autre moitié lui venant du verbe.

La puissance du son du saxophone obligea finalement Y à le travailler dans une salle réservée à la clique de la musique municipale, pour préparer sa carrière : il s'agissait d'une cave humide et obscure du palais des ducs de Bourgogne, aménagée en abri pendant la dernière guerre. Or, Louis, duc de Bourgogne, premier fils  du grand dauphin, lui-même, fils de Louis XIV, était l'arrière grand-père de Louis XVI, qui était donc un Bourbon-Bourgogne. C'est dans la Salle des Etats de ce même palais, que Y commença à se produire, à partir de 13-14 ans.

 







7.- BOURBONS - AQUITAINE ET BOURGOGNE
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Louis XVI, duc de Berry, règna par suite de la mort de ses deux aînés respectivement ducs de Bourgogne et d'Aquitaine, comme pour boucler une boucle, puisque, à l'origine du règne des Bourbons, il y eut celui de Hugues Capet, d'abord duc d'Aquitaine et de Bourgogne.

Bouhey, le nom de Y, se retrouve curieusement, géographiquement, dans deux localités situées

- en Bourgogne : Bouhey et son bois (son "boué", dans le patois local),

- et en Aquitaine : Labouheyre.








8.- BOURBON-CAPET / BON CAP BOURET

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Bourbon-Capet ajoute au nom de Louis XVI, Bourbon, celui de Capet que la révolution lui donna, bien qu'il le refusât. Son anagramme le plus facile est :

Bon Cap Bouret

Or, Bouret est très proche de Bouhey, le nom de Y, de plusieurs manières :

- En 1795, époque où fut libérée Madame Royale, la dernière prisonnière du donjon du Temple, où le nom de capet fut donné à Louis XVI, les "Inc'oyables" et les "Me'veilleuses", supprimaient les r de la prononciation. Bouret y aurait été "Bou'et".

- A Taïwan, où Y joua, son nom fut prononcé "Bpourré".

- Quand au "T", il est lié au "Y" par la crucifixion. En effet, le "T" est la forme de certaines croix, sur lesquelles le corps du crucifié forme un "Y". Dans le cas du Christ, le "T" est la fixation du Verbe incarné : le "Y".

 







9.- CHARLES DUMONT - TEMPLE

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La rue Mozart comme la rue Charles Dumont, à Dijon, font partie de la paroisse Saint-Pierre. Y quittera la rue Mozart pour la rue Charles Dumont, où il habitera au 13, dans la cour située derrière la Pharmacie André, (cf. rennes_thabor.htm#dij). Il ne découvrira que beaucoup plus tard, vers 1997, que cette rue et cette paroisse le relient à nouveau à Louis XVI, dans la partie la plus terrible de sa vie, celle de son emprisonnement au donjon du Temple.

En effet, la rue Charles Dumont est, à Dijon, l'ancienne rue du Temple, et l'église Saint-Pierre se situe à la place de la commanderie du Temple, brûlée en 1513 par les Suisses, assiégeant la ville. (Cf. interpretation.htm#temple)

 







10.- 16.7.71 / 17.7.71

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Quand Y rencontra celle qui sera son épouse, en 1969, celle-ci lui révéla le lien qu'il avait à Mozart par sa mère, née un 27 janvier, jour de la naissance du compositeur. Elle le mit ainsi sur la voie du réseau de signes, qu'il devait peu à peu découvrir (cf. y_&_mozart.htm#liensm pour les liens à Mozart).

Les dates de leurs mariages civil et religieux, respectivement, les

16.7.71

et

17.7.71,

entament sérieusement le passage initiatique 16-17-18, que Y approcha, dès sa naissance,  par la rue Daubenton (cf. auteur.htm#tem), en mettant, comme dans cette rue, l'accent sur le 17 central par la présence répétée du 71, son inversion.

 







11.- 16.7 > 9.9

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Mais il y a plus. En effet, la date du mariage civil le 16.7.71, jour de la fête de Y, la Saint Alain, est le dernier jour où cette fête est à cette date. Elle passera, en 1972 au 9.9, qui fait apparaître le nombre 99 de l'année fatidique, selon Nostradamus, de résurrection de la grande monarchie française qui s'éteint avec Louis XVI.

Ainsi, ce mariage qui se fit sous le signe du 16, du 17 et de Mozart (cf. Y & Mozart), paraît avoir été le déclic mettant  Y sur une voie, qu'il reconnaîtra plus tard comme celle de la résurrection monarchique.

 







12.- L'EPOUSE DE Y ET SARRETTE

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Invité chez sa belle-soeur avec son épouse à venir fêter le 55ème anniversaire de cette dernière, le 5.12.2004, Y gare sa voiture dans la seule place disponible de la rue Bernard Sarrette à Paris, et s'aperçoit qu'ils sont devant la porte de la clinique, où, 55 ans plus tôt, est née sa femme (cf. 55_+_56.htm#sig et 55_+_56.htm).

Le fait étant extraordinaire, il y voit un signe et s'interroge sur la personnalité de Bernard Sarrette, pour apprendre les faits suivants :

en 1789, capitaine de la Garde nationale, il réunit à Paris 45 musiciens militaires, qui seront 70 en 1790 ;
en 1792, année de l'abolition monarchique, la Garde nationale ayant été licenciée par la Commune de Paris, il obtint l'autorisation de fonder une école de musique, où les anciens musiciens militaires devinrent professeurs ;
en 1795, ce fut l'Institut national de musique ;

en 1796, le Conservatoire national de musique, qu'il dirigea jusqu'en 1814 ;
en 1814, la Restauration le démit de ses fonctions alors qu'il projetait la fondation de conservatoires semblables en province, c'est à dire de ces "succursales" dont fera partie le conservatoire de la ville, comme par
asar royale, où exerce celle qui partage sa vie, et qui, unissant son nom au sien sous la forme Kissel-Bouhey, formule la question fondamentale qu'il se pose lui-même, car il entend dans cette union "Qui c'est l'Bouhey" ! Un mariage réussi n'est-il pas celui où chacun des deux conjoints met au monde la personnalité véritable de l'autre ?

L'épouse de Y est donc née dans la rue de celui qui, formé sous le règne de Louis XVI, donna le jour aux lieux d'exercice de sa vocation, pendant la révolution qui le renversa.








13.- L'EPOUSE DE Y ET LOUIS XVI
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Dans sa petite enfance, cette épouse habita Saint-Germain-en-Laye, la ville royale d'où la cour de Louis XIV partit à Versailles, dans un immeuble ayant appartenu au secrétaire de Louis XVI.

 







14.- L'EPOUSE DE Y ET SAINT-GERMAIN-EN-LAYE
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Curieusement, l'épouse de Y enseigne au conservatoire de Saint-Germain-en-Laye, avec un bureau situé à la place même, où âgée de 5 ans elle fut photographiée, se tenant à la barre du cours de danse, l'organisation intérieure du bâtiment ayant été modifiée.

Ce conservatoire est l'hôtel Legrand construit vers 1730 par les descendants d'une certaine Dame Legrand, villageoise qui fut la nourrice de la princesse Marguerite née en 1523, sous François Ier. Voici ce que dit de cette famille François Boulet, dans son livre intitulé : "Leçon d'Histoire de France, Saint-Germain-en-Laye", p. 46, aux Ed. Les Presses franciliennes :


"Cette famille cumule les dignités, au service du Roi ou de l'Eglise,, et tiendra le premier rang à Saint-Germain jusqu'à la révolution, donnant à la ville ses deux derniers prévôts."


Le lieu de travail de l'épouse de Y est donc étroitement lié à la monarchie à l'époque de Louis XVI.







15.- SENEGAL : 1+6 > 16 / 1+7 > 17

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La recherche scriptorale de Y vit le jour au Sénégal, durant 7 et 8 ans de coopération pour Y et son épouse :

Y :

- 1 an à Kaolack, comme VSN (Volontaire du Service National), professeur de lettres au lycée Gaston Berger ;

- 6 ans à Dakar, comme professeur de saxophone à l'Institut National des Arts ;

son épouse :

- 1 an à Kaolack ;

- 7 ans à Dakar, comme professeur de flûte à l'Institut National des Arts.

 

1+6 > 16, 1+7 > 17, les nombres de Louis XVI et Louis XVII.

 







16.- "CHOIX DU ROI" / 18.12.74

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De ce mariage, naîtront deux enfants à Saint-Germain-en-Laye : un garçon, puis, le 18.12.74, une fille. Lorsque Y fit part de cette naissance à une collègue de l'Institut des Arts, où il travaillait. Celle-ci lui fit une réflexion qui le fit tressaillir, éveillant en lui comme une très vieille mémoire. Elle lui dit :

"Tu as le choix du roi".

Ce n'est que plus de vingt ans plus tard, qu'il s'apercevra des relation de cette date, avec trois autres, liées à Louis XVI :

- 1974, représente le bi-centenaire du debut du règne de ce roi, en 1774 ;

- sa fille, celle qui sera Madame Royale, la seule rescapée officielle du donjon du Temple, et qui revint officiellement en France en tant que duchesse d'Angoulême, personne qui ne lui ressemblait en rien, quand se cachait en Allemagne sous le nom de Sophie Botta, la comtesse des ténèbres qui lui ressemblait... en tout ? (cf. comtesse_des_tenebres.htm#mad), sa fille donc, fut libérée de sa prison le 18.12.1795, à minuit, alors qu'elle avait déjà failli naître le 18.12.1778, pour voir le jour le 19.

Louis XVI, lui, n'eut pas le "choix du roi", son premier enfant étant une fille.

Remarquons de curieuses coïncidences liées à 18.12 ou 1812 et Napoléon :

- le 22.6.1812, 21ème anniversaire de la fin de l'arrestation de Louis XVI à Varennes, débute pour Napoléon la campagne de Russie qui commence à sonner le glas du Premier Empire, pour aboutir, le 22.6.1815 (24ème anniversaire de Varennes), à la seconde et définitive abdication de l'empereur ;

- le 18.12.1812, 17ème anniversaire de la sortie du Temple de Madame Royale, Napoléon arrive à Paris de retour de Moscou, après avoir quitté son armée le 5.12, 21ème anniversaire de la mort de Mozart.

 







17.- 74 / 21.9.74

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Ayant fait cette découverte, Y s'aperçut que son grand-père paternel, (Louis-)François, était né, lui, le 21.9.1874, c'est à dire que sa date de naissance réussit à rassembler le centenaire du début du règne de Louis XVI, avec l'anniversaire de l'abolition, le 21.9.1792, de la monarchie qu'il représentait.

Y s'aperçut encore de la présence insistante pour lui, du nombre 74 du début du règne de Louis XVI. Ainsi, son grand-père, né en 1874, maria son fils dans sa 74ème année, et eut Y, son petit-fils, à l'âge de 74 ans. Quand à la route le reliant à sa descendance, ce fut la RN 74.








18.- XVI-XVII-XVIII / MALESHERBES / RANELAGH-MOZART

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Par ailleurs, à partir de 1980,
Y travaillera à Paris dans les arrondissements XVI (le conservatoire Francis Poulenc), XVII (l'Ecole Normale de Musiquede Paris, boulevard Malesherbes, avocat de Louis XVI), XVIII (la recherche scriptorale), toujours la suite initiatique, faisant passer du 16 matériel au 18 spirituel par le 17 (cf. paroles_d_ange.htm#n12), toujours les nombres de Louis XVI et Louis XVII. Et il découvrira, pour aller dans le XVIème, qu'il doit descendre à la station de métro Ranelagh, avenue Mozart. A quoi faisait allusion ce Ranelagh ? A un parc créé en 1774, année du début du règne de Louis XVI, à l'imitation de celui de lord Ranelagh.

 






 

19.- POIGNET ET RESSEMBLANCES

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Dans son enfance, Y avait été marqué par une anecdote rapportée par son père, alors que lui-même était enfant ou adolescent : il rencontra dans une rue de Meursault un paysan, qui, lui prenant la main, lui dit :

 "Tu as le poignet trop fin pour être celui d'un paysan".

 

Quant à Y, lorsque, en 1982, il pensa qu'il pouvait être le descendant de Louis XVI. Il se regarda, et constata qu'il ne lui ressemblait pas : cela n'avait rien d'étonnant, puisqu'il ressemblait à sa mère. Prenant par contre le dictionnaire Larousse, il fut stupéfait : y regardant le portrait de Louis XVI, le plus répandu sans doute, étant donnée la diffusion de ce dictionnaire, il crut voir son père, tel qu'il se le rappelait dans son enfance.

Bien des années après, à l'approche de l'an 2000, son père lui parlera d'une autre de ses ressemblances troublantes : il se trouvait en camp de travail en Tchécoslavaquie, pour le S.T.O., en 1942 ou 43, dans les sudètes où le pouvoir hitlérien avait transplanté des populations allemandes de Saxe, la province de la mère de Louis XVI, et marchait dans la rue avec deux de ses camarades d'infortune, lorsqu'une femme se jeta à son cou, tambourinant sur sa poitrine, en hurlant : ses camarades lui expliquèrent qu'elle reconnaissait en lui son fils, mort sur le front russe.

 

Y vit en elle la Saxe, et en son fils mort, Louis XVI décapité.

 







20.- PERE ET RAPPORT A DIEU

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Louis XII était surnommé "le Père du Peuple". Louis XVI, dans la Maison Sauce, à Varennes, se présenta aussi comme le père des Français. Curieusement, le nom de Y, A. Bouhey fait apparaître :

- A.B., évoquant abbé qui signifie père ;

- abou, père en Inde ;

- aboué, père en Algérie.

Louis XVI était roi par la Grâce de Dieu. Abouhey, le nom donné à Y par Free pour son adresse E-mail, et pour son site, lu dans le sens hébraïque donne Yehouba, ce qui signifie, le Temple, la fille, la pupille, la maison de Dieu (cf. varennes_va-a-rennes.htm#ado), cette maison, sous le porche de laquelle la famille royale fut arrêtée à Varennes.

 






 

21.- 16-17 ET SCRIPTORAL

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Vers 1990, Y, travaillant à l'exposition Chromophonie Scriptorale, réalisée en collaboration avec Yochk'o Seffer, découvre que la relation complémentaire des formes d'esprit opposées de composition-interprétation et destruction-transformation respectueuses (l'improvisation radicale), le conduit à travers 16 pyramides à une 17ème pyramide de synthèse inversée, qu'il nomme Scriptoral (cf. pyramide.htm#scriptoral).


Toujours donc ces mêmes nombres de Louis XVI et Louis XVII, d'autant plus intéressants à un moment où il est question de lumineuse résurrection monarchique, que cette pyramide inversée fut édifiée à la même époque sous le Louvre, pour y diffuser la lumière, et dans le "plafond" de la cathédrale de la Résurrection Saint Corbinien d'Evry, réalisée par Mario Botta. Et ce n'est pas tout : le best seller de Dan Brown : le "Da Vinci Code" fait de la pyramide inversée sous le Louvre, le Saint-Graal.

 







22.- VARENNES - "VA-A-RENNES"

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Travaillant à Rennes depuis 1980, Y s'entend régulièrement dire qu'il "va-à-Rennes", ce qui à force de répétitions finit par évoquer pour lui Varennes et l'arrestation de Louis XVI, d'autant plus que, pour ce "Va-à-Rennes", il doit passer par la station de métro Varenne, où une statue qu'il trouve sinistre l'interpelle, et qu'il aura à se rendre pendant plusieurs années à la cité de Varenne (cf. paris-varenne.htm).

Il sera encore plus surpris, en 1999-2000, de découvrir que la "résurrection musicale" du Parlement de Rennes le 18 mars 2000, peut correspondre jusqu'en ses moindres détails à la résurrection du "grand roy d'Angolmois", descendant de Louis XVI, annoncée par Nostradamus (cf. interpretation.htm, interpretation.htm#ton, rennes.p_versailles.htm#mor et rennes.p_versailles.htm#les).

 







23.- LOUIS XVI - BOUILLE - BOUHEY

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Bouhey, nom de
Y, fut prononcé Bpourré à Taïwan  et Bouillé au Sénégal.

Louis XVI s'étant laissé enchaîné à la capitale de son royaume par son serment de ne pas la quitter, la folle équipée de Varennes est le sursaut pour la survie d'une monarchie de toutes façons condamnée à une mort probable si elle reste à Paris, ainsi que le dit le roi, dans la maison Sauce, à Varennes, après son arrestation :


"Placé, dans la capitale, au milieu des poignards et des baïonnettes, je viens chercher en province, au milieu de mes fidèles sujets, la liberté et la paix dont vous jouissez tous ; nous ne pouvons, ma famille et moi rester plus longtemps à Paris sans y mourir."
(Cf. "La Route de Varennes", p. 123, Alexandre Dumas, Ed. Mille et une Nuits)


- Charles Aimond souligne que Louis XVI était sincère quand il disait ne pas vouloir quitter la France : le tracé de sa route, au verso de son passeport, ne se continue plus, après Montmédy, que par un pointillé (cf. "L'Enigme de Varennes", Charles Aimond, aux Ed. Lorraines) -.
Ce sursaut, qui aboutit à l'arrestation de Varennes apparaît à tous, Y
excepté, comme un échec cuisant et ridicule, puisqu'elle fait gravir au couple royal une marche décisive de l'échafaud.

Y est en effet le seul à y voir un signe providentiel fabuleux : Louis XVI, bloqué par l'ère astrologique du Poisson (le pont barricadé sur l'Aire - rivière), a deux siècles d'avance et ne peut donc par conséquent pas joindre le grand monarque, son héritier, annoncé par Nostradamus pour l'ère astrologique du Verseau (Bouillé fils cadet qui l'attend au Grand Monarque - hôtel, où un repas attendit également la famille royale plusieurs jours avant le 21 juin) (cf. varennes_va-a-rennes.htm#deu).

Toutefois, l'arrestation à Varennes :
- d'une part, est destinée à indiquer à cet héritier, par "Varennes - Va-à-Rennes", le lieu où ressuscitera la monarchie, au terme du temps indiqué par Nostradamus : "Mil neuf cens nonante neuf sept mois"
(cf. interpretation.htm et interpretation.htm#ton) ;
- et, d'autre part,
à, précisément, lui faire gravir les marches de l'échafaud, ce qui se passera le 21 janvier 1793, premier jour du signe du verseau, signe que la tentative de jonction de Louis XVI avec le Grand Monarque, est très loin d'être aussi nulle qu'elle l'est toujours apparue (cf. varennes_va-a-rennes.htm#hot).

Principal lien avec
Y : Tout le voyage à Varennes fut organisé par le marquis de Bouillé, dont Louis XVI, comme aveuglé, ne suivit pratiquement aucune des sages recommandations. Un descendant du marquis de Bouillé (son fils cadet) attendait donc la berline au Grand Monarque. Et Bouillé fut le nom donné au Sénégal pendant 7 ans (1971-1978) à Y, qui voit là un signe de plus le liant au roi et à son héritier.






 

24.- ERAGNY-NEUVILLE

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Le chemin de la résurrection monarchique donné par le signe "Va-à-Rennes" de
Y, est donc Varennes - Rennes, en deux étapes :
- Varennes - Paris et la mort pour Louis XVI et Marie-Antoinette, en 1791 - 1793 ;
- Eragny - Paris - Rennes pour le descendant (
Y selon les signes), aux alentours de "Mil neuf cens nonante neuf sept mois" (cf. interpretation.htm et interpretation.htm#ton),
la berline royale de 1791 étant précédée par une voiture transportant deux femme, dont Madame de Neuville, la femme de chambre du futur Louis XVII.

La gare SNCF de départ du "Va-à-Rennes" de
Y dessert deux communes Eragny et Neuville, c'est la gare d'Eragny-Neuville, Eragny, anagramme de Y règna, et Neuville, du nom de la femme de chambre du fils de Louis XVI, Y y voit le signe que cette personne, qui a effectué la première partie du "Va-à-Rennes" avec le premier descendant de la lignée, accompagne l'héritier final, à la gare de départ pour la seconde partie de ce "Va-à-Rennes", celle qui doit le conduire à la résurrection monarchique.






 

25.- 222 / LEMOINE

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Après avoir publié deux méthodes comme co-auteur avec Yochk'o Seffer aux Editions Henry Lemoine, Y y publie seul  sa première transcription (la Partita BWV 1013 de Jean-Sébastien Bach) en 1994. C'est précisément l'année d'un curieux 222ème anniversaire de cette Maison, fondée en 1772, au centre-même des quatre ans séparant le mariage de Louis XVI et Marie-Antoinette (1770), du début de leur règne (1774), le fondateur, Antoine-Marcel Lemoine, compositeur, violoniste et professeur de musique, ayant fait partie de l'orchestre du Théâtre Montansier, à la Cour de Versailles.

Par ailleurs ce 222 lié à Y, est aussi lié à Louis XVII et donc à Louis XVI (cf. pierres_d_angles_suite.htm#rot et varennes_va-a-rennes.htm#222) .

 







26.- ADRESSE

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Le blason royal est sur fond bleu. Le nom de la  ville où habite Y, Eragny, est l'anagramme de "Y régna". Il y habite rue des "Fonds Bleus", au numéro 29, inverse de 92, qui, au XVIIIème siècle, correspond à l'année d'abolition de la monarchie.

 






 

27.- IMMATRICULATIONS

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Lorsqu'il acheta une 206 Peugeot immatriculée 165 VY ..., Y eut le sentiment que c'était un signe : 16 étant le nombre de Louis XVI, allié, dans 165 à 5, celui de Henri V qui doit ressusciter la grande monarchie, puis VY, toujours ce V allié à Y, son nom.

 

L'immatriculation de la voiture suivante, une 309, lui confirma cette impression : 610 AAH 95, elle lui donnait le code postal de sa ville : 95610, avec un goguenard AAH !

Pour la 405, ce fut 391 BNT ... :
Y y vit l'association de 93 inversé (mort de Louis XVI) et de 91 (mort de Mozart) avec BNT : initiales de Bible et Nouveau Testament.

 

Vint ensuite une 307 : ce furent des membres de sa famille qui s'étonnèrent en voyant 200 DLG ..., les centaines étant réservées aux voitures officielles. Y vit en DLG, délégation.

 

Mais le numéro le plus étonnant vient de lui arriver : 938 ECY... En effet, ECY lui dit E c'est Y, c'est à dire lui, ce qui lui rappelle les mots écrits par son grand-père à sa naissance :

 "Le petit Alain est née le 16 février 1949".

C'est le signe du féminin, et il sait qu'il a effectivement plus d'énergie Yin que Ya ng. E c'est aussi 5 ou V, le nombre de Henri V.  Il voit une confirmation de son interprétation dans 938, la première des dates données par le Nouveau Petit Larousse (161ème édition de janvier 1952) pour la naissance de Hugues Capet (né entre 938 et 941). C'est donc l'ultime racine temporelle possible de la monarchie qui aboutit à Louis XVI.

 






 

28.- CHIRAC-ROYAL > CHIR-AC - CHYREN > ROYAL-CHYREN :
TIRER OU OUVRIR LA FRANCE VERS LE HAUT ?
ELU(E) ROYAL(E) DE LA CIME OU DES PRECIPICES ? "VOTER Y"

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Ayant remarqué, il y a plusieurs années, que le nom du Vème Président de la Vème République se décomposait en "Chir-ac", c'est à dire qu'il contenait, d'une part, la première syllabe de Chyren, nom donné par Nostradamus au grand monarque, et, d'autre part "ac", la conjonction de coordination latine signifiant "et", Y en déduisit que, de par ce nom, ce président conduirait à Chyren, car son nom amorçait celui du grand monarque (cf. jacques_chirac.htm#chi), et que cela se ferait en 2006, année des 57 ans de Y, correspondant au 57 de la rue de Varenne : l'Hôtel Matignon (cf. paris-varenne.htm#mon et jacques_chirac.htm#22).

Or,
Y constate qu'en 2006 est envisagée la possibilité d'une succession, non pas Chirac - Chyren mais Chirac - Royal, Royal étant Madame Royal, une femme, pour la première fois dans l'histoire de la République, et une femme de gauche. Curieusement :
- d'une part, le nom de Madame Royal évoque ce que doit être au plus haut point Chyren et,
- d'autre part, il ne manque à ce nom qu'un "e" pour évoquer Madame Royale, la fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette, seule rescapée officielle du Temple, en même temps soeur de Louis XVII, dont doit descendre... Chyren ! (cf. comtesse_des_tenebres.htm#mad, comtesse_des_tenebres.htm#com et comtesse_des_tenebres.htm#mys).

Y, que ses signes désignent comme Chyren, constate encore que ce "e" de chiffre 5 ou V manquant à Madame Royal, alors qu'il devrait lui revenir d'office en tant que femme, c'est lui-même qui le possède... bien qu'il soit homme, l'immatriculation de sa voiture (cf. y_&_louis_xvi.htm#imm) venant rappeler que son grand-père le lui a accordé à sa naissance, ce que confirme le surplus d'énergie Yin qui lui est reconnu. C'est pourquoi, il voit pour l'instant dans la curieuse présence de cette candidate, la possibilité d'une intention providentielle, visant à ramener dans l'inconscient collectif, une idée qui n'est pas loin d'en être totalement sortie : celle de la descendance du frère de Madame Royale, effectivement sortie vivante de la prison du Temple, l'idée de Chyren, "Royal" par excellence. Et cela, à travers les contradictions d'une femme qui se veut de gauche, insistant à deux reprises sur la nécessité de battre la droite dans ses discours prononcés à Lens (Voix du Nord du 16/09/2006), avec une idée force de droite : "tirer la France vers le haut" (on pense à de Gaulle et à sa France des cimes), que Louis XIV lui-même n'aurait pas désavouée, du haut de sa pyramide absolutiste. Car, pour "tirer la France vers le haut", il faut être au-dessus d'elle, l'amener à soi. Dans tirer il y a l'idée d'étirer, de rétrécir, ramener à une ligne si ce n'est à un point.

Scriptoral (cf. pyramide.htm)
a enseigné à Y, que l'évolution créatrice de l'humanité n'était pas le résultat d'un "tirage vers le haut", mais de la quadruple alternance de ces tirages, l'action des compositeurs-interprètes (Louis XIV et Versailles, de Gaulle et la Vème République, en politique...) avec des descentes-réorientations, l'action destructrice-transformatrice des improvisateurs radicaux qui engendra, en politique, la révolution française contre l'absolutisme royal et Versailles, Mai 68 contre de Gaulle et la Vème République. De cette opposition complémentaire des tensions créatrices, naît l'ouverture s'élargissant dans l'élévation de la pyramide inversée, incomparablement plus intéressante que l'élévation se rétrécissant jusqu'à la mort de la pyramide à l'endroit de qui ne pense qu'à "tirer vers le haut" !...
Pour mémoire, voici la pyramide inversée, telle qu'elle figure en cergy_atlante.htm
, à l'adresse cergy_atlante.htm#lar. Robert Graffin y cite, dans ses "Secrets de Salomon" (auto-édition), un poème très dense de Jean Parvulesco : "Cergy-Pontoise, 1969-1989" (Ed. Moniteur Images), où l'auteur présente le roi à venir comme "l'Elu des Précipices", ce qui crorrespond tout à fait à la position du "trône sans base" dont Marie-Julie Jahenny parle pour Chyren (cf. 43_alpha_apex_omega.htm#pro) et que Y situe au point de départ de la pyramide inversée (1).

Ainsi, on peut dire que la position Royal (position à laquelle aspire Ségolène Royal), est celle de l'Elue "Royal" des Cimes, c'est le sommet de la pyramide à l'endroit, fermant toute perspective d'évolution, tandis que la position véritablement royale, celle de l'Elu "royale" des précipices, est celle qui est en dessous, au plus bas, le point de départ de la pyramide inversée, elle soutient et ouvre toutes les perspective d'élévation, elle ne tire pas vers le haut, mais laisse s'élever les pyramides alternativement à l'endroit et inversées I-II, V-VI, IX-X, XIII-XIV, tandis qu'elle permet également :
- la descente destructrice des pyramides inversées III, VII, XI et XV ;
- la remontée transformatrice des pyramides également inversées IV, VIII, XII ;
- et la chute verticale de la pyramide à l'endroit XVI qui provoque l'ouverture de Scriptoral, la XVIIème pyramide.







CORRESPONDANCES
SCRIPTORAL - "LES SECRETS DE SALOMON"


1 : point de départ de Scriptoral,
"Trône sans base" de
"l'Elu des Précipices",
pied des XII colonnes de la Liberté
- 12 tribus zodiacales de Jacob.

2 : l'un des 4 plafonds des pyramides inversées de l'interprétation II-VI-X-XIV,
correspondant aux 4 patios zodiacaux du toit de la Grande Arche de la Défense.

3 : "feu limpide des sentiers qui en quadrillent les broussailles...
4 : "... broussailles encore plus prohibées et noires de la forêt de Saint-Germain"
- pyramide de la composition, du "Script".

5 : "sa blanche sur-sexualisation architectonique de nos vertiges (...)
entrouvre ensoleillante le Front sans Visage."




Y étant, d'après ses signes, Chyren, il a eu la surprise de découvrir sur Internet, le site http://www.voter-y.net, où "Y est une personne fictive qui n'a d'autres ambitions que la dépersonnalisation du débat politique", l'initiative "Voter Y" ayant été lancée "dans l’espoir de remettre les idées au cœur du débat public et (de) proposer une alternative à la personnalisation excessive de la vie politique" (cf. http://www.dossier2007.org/article.php3?id_article=55).

Ne sachant pas si c'est lui qui a inspiré cette personne fictive,
Y du présent site constate toutefois que la position donnée par les signes à Chyren nécessite de sa part d'effacer sa personne au profit des idées qui lui sont révélées. En cela, il est en parfait accord avec Y du collectif "voter Y", la grande différence étant que, en ce site, Y n'est pas une personne pour qui l'on vote, puisqu'il est l'Elu de la Providence, à moins qu'une conciliation ne soit possible entre élections providentielle et populaire.

 
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