Le
54
(cf. #54) des
"clics" sur le présent site ayant eu lieu avant 7h
10, heure des 55 ans de X,
le 5.12.04, correspond
aux 54 ans qu'elle aura encore pour quelques
deux heures.
Le
stationnement de la voiture de X
et
Y est
lié au nom de la rue où il a lieu, puisque cette voiture
s'arrête rue Sarrette.
Une
boucle s'est bouclée, ce 5.12.2004, puisque, le jour des 55
ans de X,
elle amène, avec X,
ses parents, devant l'endroit
où, eux, l'amenèrent, 55
ans plus tôt pour sa naissance.
Un
lien supplémentaire unit
X
à
Y ce
jour-là, puisqu'ils ont tous deux 55
ans.
La clinique est au 29
de la rue Sarrette, nombre donné
à Y par Eragny (cf.
43_alpha_apex_omega.htm#era),
comme le symbole de l'inversion du pouvoir républicain instauré
en 92 de 1792. Et 29
est le
nombre des notes de l'Ame du Monde, pour Platon (cf. 384.htm#29).
Le 29
de la rue Sarrette est lié à
la Révolution, à la musique et au 92
de 1792 par Sarrette lui-même (cf. #92), qui fonda cette année-là,
à Paris l'Ecole de musique, formée de professeurs issus
de musiciens de la Garde nationale, école qui deviendra en
1796 le Conservatoire national de musique de Paris. L'année
où le pouvoir monarchique est
aboli, l'enseignement de la musique en France commence donc à
s'institutionaliser, et le pouvoir musical
à y être reconnu officiellement. Cela est d'autant plus
intéressant que, comme
par asar,
selon les signes de Y, Mozart, mort le 5.12.1791, est le
guide spirituel qui, au même moment prit en main la descendance
royale pour la conduire à sa résurrection (cf. interpretation.htm#mozart),
et que, nouveau asar,
le signe du 5.12.2004 indique que l'épouse
de Y, qui
mit celui-ci sur la voie des signes le désignant comme le descendant
royal, naquit le 5.12.1949, précisément sous les auspices
du responsable de cette institutionalisation, à un numéro,
29, annonciateur de la résurrection
du pouvoir monarchique.
Sarrette dirigera ce conservatoire jusqu'à
la Restauration, qui le démit de ses fonctions au moment où
il allait créer en province des succursales, du Conservatoire
parisien, comme celle de la ville royale où exerce X,
ce qui achève de la relier pleinement au lieu de sa naissance,
qu'elle découvrit pour son 55ème
anniversaire. Et, comme par asar,
encore, c'est la Restauration de l'Ancien Régime monarchique,
qui refusa de rencontrer les prétendants Louis XVII les plus
sérieux, ce qui lui aurait permis de les confronter, qui casse,
arrête l'élan Sarrette
soutenu par la République, au moment où il allait donner
naissance à ces succursales, où, selon les signes de
Y, se manifeste actuellement la descendance
royale.
Ajoutons que cette
Restauration s'opposa probablement à la reconnaissance de la
descendance de Louis XVI jusque dans la seule rescapée officielle
du Temple, Madame Royale, libérée le 18 Décembre
1795 un peu avant minuit. En effet, la duchesse d'Angoulême
qui revint en France épouser le fils aîné de Charles
X, et qui était censée être cette princesse, en
était tellement différente qu'une substitution est fort
probable, d'autant plus que se cachait à la même époque,
en Saxe, sous le nom de Sophie Botta, une personne qui avait tout
de la véritable Madame Royale. On la surnommait "la comtesse
des Ténèbres" (cf. comtesse_des_tenebres.htm).