SOMMAIRE MUSIQUE LETTRES OUVERTES
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LETTRE OUVERTE
A MONSIEUR FRANCOIS BAYROU

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Objet :
Valeur du clivage droite/gauche,
le dépasser en le vivifiant et en le respectant.











Jeudi, 23 mars 2007








Monsieur le Candidat à la Présidence de la République française,






Saxophoniste de lettres, je suis à l'origine d'une recherche sur une relation créatrice des formes d'esprit de composition-interprétation et d'improvisation (celle-ci jusqu'en sa forme la plus radicale : la destruction-transformation plus ou moins respectueuse).

Cette recherche, d'abord musicale, est à correspondances sociales : spirituelles, intellectuelles et politiques, qui peuvent (très rapidement) se résumer ainsi :

Composition-interprétation / improvisation,
Composition-interprétation /destruction-transformation,
Brahma le Créateur - Vishnu le Parfait Interprète / Shiva le Destructeur-Transformateur,
Judaïsme-christianisme / islam,
Droite-centre / gauche.
Cf. Pyramide.htm.

Relativement aux correspondances politiques, je me suis essayé sur internet à montrer comment la Vème République oppose le compositeur-interprète Charles de Gaulle, qui l'élève, au destructeur-transformateur François Mitterrand, qui l'ouvre (cf. Vème République - Charles de Gaulle - I-II / III-IV - François Mitterrand - Destructeur - Transformateur - "Mythe Errant" - Mythe Terrant...)

Ceci vous explique pourquoi je suis intéressé par votre volonté d'unir la droite et la gauche dans le gouvernement de la France. Toutefois, la musique comme la politique montrent que s'il est une partie commune où compositeurs-interprètes et improvisateurs, de même que droite et gauche, se retrouvent, il reste, de chaque côté, deux parties qui s'opposent radicalement. Le problème est donc de savoir si le plus intéressant est de gouverner avec le recoupement et de décréter le clivage mort et dépassé, ou bien, au contraire, d'opposer droite et gauche sur les plans de l'élévation et de l'ouverture, et de parvenir à dépasser cette opposition, pour mettre en évidence la complémentarité des deux camps adverses, de telle sorte que la composition-interprétation de l'un nourrisse la destruction-transformation de l'autre, qui, elle-même nourrisse une nouvelle composition-interprétation, et ainsi de suite.

Le fichier pyramide.htm montre que l'enchaînement de quatre cycles de composition-interprétation / destruction-transformation aboutit à une inversion de l'actuelle pyramide du pouvoir, inversion où la lumière et l'énergie s'ouvrent en s'élevant au lieu de s'amenuiser, découverte que je fis curieusement à l'époque où François Mitterrand fit ériger sous le Louvre la pyramide inversée dessinée par I. M. Pei, et où Mario Botta suggéra cette même forme dans le plafond de la cathédrale de la Résurrection Saint Corbinien d'Evry, l'originalité de Scriptoral étant qu'il révèle comment passer d'une pyramide à l'autre par une relation de formes d'esprit.

La musique me dit donc, que ce n'est pas lorsque ces dernières sont rapprochées qu'il se passe des évènements forts, mais lorsqu'elles sont radicalement opposées et qu'on parvient à en mettre en évidence la complémentarité.

Dans ces conditions, le gouvernement de la France supposera deux blocs de droite et de gauche conduits, chacun, non par un Premier Ministre, mais par un Ministre de l'Elévation, émule de Charles de gaulle, pour la droite, et un Ministre de l'Ouverture, émule de François Mitterrand, pour la gauche, avec, non pas au-dessus de ces blocs, mais en-dessous, pour les relier et les ouvrir en se situant au point de départ de l'inversion pyramidale, une personne capable de dépasser l'opposition des deux camps, pour mettre en évidence leur complémentarité, en faisant construire l'un sur, ou contre, l'apport de l'autre, d'une manière qui les étonne mutuellement.







Cette personne, c'est pour moi, celle que Jean Parvulesco appelle l'Elu des Précipices en son poème intitulé "Cergy-Pontoise, 1969-1989" (Ed. Moniteur Images) (cf. Cergy-Pontoise l'Atlante & Onze Comme Une (Ham, Eragny, Neuville... Solutré, Arche de la Défense) ou le Chyren de Nostradamus.

Des signes, qui me parurent d'une cohérence et d'une densité extraordinaires m'ont longtemps fait croire que j'étais cette personne, qui pourrait transposer sur le plan de l'action politique ce qu'elle réalisait musicalement. Plutôt que de jouer les Jeanne d'Arc et de me lancer tête baissée dans cette action, j'ai estimé que , si j'étais vraiment l'homme de la Providence, c'était à Elle de le dire, j'ai donc chargé de ces signes, sur internet (http://abouhey1.free.fr), un double de moi-même que j'ai nommé Y, et je l'ai mis en examen et en question avec, le concernant désormais, ces signes, d'un genre auquel croient, dit-on bien des politiques.

Vous-même, Monsieur le Candidat, qui, dit-on encore, savez depuis l'enfance, que vous serez un jour Président de la République, n'avez-vous pas cette certitude sur la foi de signes qui vous furent révélés. Si oui, vous êtes-vous interrogés sur leur valeur ?

Curieux "asar", j'en trouve quelques-uns, chez Y, susceptibles de vous concerner. Voici, par exemple, l'un d'eux : Selon Nostradamus, Chyren doit être un descendant caché de Louis XVI, ce Bourbon que la révolution rebaptisa Capet, Bourbon-Capet donc par la volonté du peuple. Y vit en cette association l'anagramme de "Bon Cap Bouret", où il retrouva son nom (cf. auteur.htm#ya et auteur.htm#bouret). Or, le vôtre, Monsieur Bayrou, a pour anagramme Bouray, qui peut se prononcer Bouret ou Bouré.

Si les signes ont un sens, ce que j'espère savoir un jour, et si celui-là en est un (ce qui fait beaucoup de si !), qui soit un début de désignation, faisant de vous l'homme providentiel dont la France a besoin, alors, Monsieur le Candidat, je crois qu'il vous faudra ne pas craindre de descendre au fond des (quatre ?) précipices de Jean Parvulesco, tenir compte de la totalité des aspirations de notre pays et non seulement des plus tempérées d'entre elles, pour vraiment mettre en route son moteur créateur.

Dans l'attente de la suite des évènements, je vous prie de croire, Monsieur le Candidat à la Présidence de la République française, en l'expression de ma considération respectueuse.




A. Bouhey
 
 

 

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