Avec tous mes remerciements à Chris Caron pour son oeuvre,
et à Shantidas, son éditeur internet, pour son autorisation d'en utiliser les documents
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SOMMAIRE MUSIQUE SIGNES
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Y & IONESCO

 





SCRIPTORAL & IONESCO
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Scriptoral commence où Ionesco s'arrête : au moment de l'entrée dans la lumière et la chaleur de l'amour (coïncidant, chez Ionesco, avec le moment de l'entrée de la Vieille de "Jeux de Massacre" dans la mort, cf. ionesco_jeux.htm#cen, et, chez l'auteur de ces lignes, avec celui de l'entrée dans la vie active, cf. ionesco_satan.htm#lau).

Scriptoral a permis de mettre en évidence un chemin de lumière dans la complémentarité par-delà l'opposition des formes d'esprit, ce que Ionesco ne pouvait pas découvrir, puisqu'il rejetait toute pensée différente de la sienne, ainsi qu'il le fait dire lui-même, à Jean qui le représente, dans "Voyages chez les morts" :
"- Jean : Ne me détestez pas tellement ! J'ai toujours été incapable de fréquenter quelqu'un s'il n'avait pas mes idées."
(Voyages chez les morts, Ionesco, Gallimard, Théâtre complet, bibliothèque de la Pléiade, 2002, p. 1342)

Le dramaturge et votre serviteur ont sans doute en commun de s'être pris pour des "prophètes", des "témoins", des "analystes de la situation" (cf. ionesco_voyages.htm#van), avec un décrochage, chez Ionesco entre "La Soif et la Faim" et "Jeux de Massacre" (cf. ionesco_voyages.htm#jeu), qui l'a fait tourner en dérision toutes ses illuminations comme une mystification, un "formidable bordel !" (cf. ionesco_bordel.htm#lepers). L'auteur de ces lignes n'en est pas là. Il a objectivé en la personne de Y, la partie de lui sujette à ses signes les plus "fous", la regardant vivre en lui laissant toutes ses chances et en cherchant à comprendre la valeur de son attitude. C'est d'ailleurs pourquoi, puisque Y voit également des signes troublants dans sa rencontre avec Ionesco, il les rapporte ici.








DES SIGNES POUR Y
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Voici donc ce que Y considère comme signes dans cette rencontre :

Après 1982, date de sa lecture de "Nostradamus, Historien et Prophète" de Jean-Charles de Fontbrune, aux Editions du Rocher,
il ne put s'empêcher de remarquer que son mémoire de maîtrise sur "Le Tragique chez Eugène Ionesco" ayant été soutenu fin juin 1971, ce fut, tout au moins, au voisinage du 180ème anniversaire de l'arrestation de Varennes, le 21 Juin 1791 (cf. varennes_va-a-rennes.htm, paris-varenne.htm, etc...). 180 étant 18 fois 10, avec 10, nombre divin, et 18, nombre de connaissance parfaite, aboutissement de son passage initiatique 16-17-18 (cf. paroles_d_ange.htm#n12), c'est à dire 16-18, de réduction théosophique 7-9, quand, précisément, 1971 inversait dans le "1" le passage 7-9 de 1791, passage 7-9 achèvement de la croix de Saint André de nombre 1-6/7-8-9 de la double croix scriptorale numérique (cf. double_croix.htm#7-9), cette croix de Saint André unissant le 16 ou XVI de Louis au 789 de 1789, et donc de la révolution qui abolira, via Varennes, le pouvoir qu'il représentait.

C'est pourquoi, après 1982, Y ne manquera pas de voir dans ce soutien de maîtrise, fin Juin (et pourquoi pas le 21 Juin 1971 ? étant données la précision, la densité et la cohérence des signes le reliant à la monarchie depuis son enfance), un signe, faisant de Ionesco le passage obligé vers la résurrection royale, par le renversement qu'il effectue du rapport raison/lumière institué par le "Siècle des Lumières", origine de l'abolition monarchique.

Le 11 Juillet 2005 n'amène-t-il pas de l'eau à ce moulin ? Ce jour-là, en effet, Y apprend la cote des deux exemplaires de ce mémoire, consultables à la B.U. Droit-Lettres de Dijon : Alors que dans ce site est mise en évidence une relation entre 1791 (liant la mort de Mozart à l'arrestation royale de Varennes) et le Temple marqué à Dijon par l'année 1513 (cf. interpretation.htm#temple, interpretation.htm#mozart, rennes_thabor.htm#dij etc...), la cote des deux exemplaires est 191 513 et 191 513 bis, ce qui peut se lire comme 91 dans 1513 ou 19 (symbolique de résurrection puisque inverse de 91 symbolique de mort - du pouvoir monarchique à Varennes et de Mozart -) suivi de 1513, ou encore l'union en 191 de 19 et de 91 suivi de 513 (cf. interpretation.htm#temple), 513 égal à 9 fois 57 et donc achèvement de 57, donné à Y comme l'âge qui sera le sien (très prochainement : du 16.02.2006 au 15.02.2007), quand il aura rendu la France - fille aînée de l'Eglise à sa mère (cf. jacques_chirac.htm#22).



 
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