Notre pays est actuellement aux prises avec deux graves problèmes : la reconnaissance de son droit, mondialement exceptionnel, au blasphème, qui vous a valu, Samuel Paty, une mort terrible ; et la covid.19, qui frappe toute l’humanité. Je me permets de les relier, ici, car, au vu de la façon de traiter les virus des deux virologues que sont Gilles Bœuf et Ali Saïb, il apparaît, que, parallèlement aux mesures matérielles qui sont prises (port du masque, gestes barrières, etc…), il est des mesures spirituelles, qui ne figurent nulle part. à prendre De plus, il y a des correspondances telles que soigner l’un soigne l’autre. C’est à ces correspondances que nous allons nous intéresser, pour finir, ici.
1a.- Côté virus
Parasitisme
Selon Gilles Bœuf :
« Le virus, c’est un parasite, et le parasite, sa clé de survie, c’est l’opportunisme : Un virus est là pour trouver une faille dans un système et pour s’installer. Il n’a pas de machine de reproduction propre à lui. Il va utiliser la machine de la cellule dans laquelle il s’intègre.
« Le parasitisme est une relation biologique durable entre deux êtres vivants hétérospécifiques où un des protagonistes — le parasite — tire profit d'un organisme hôte pour se nourrir, s'abriter ou se reproduire. Cette relation aura un effet négatif pour l’hôte ». Wikipédia
1 b.- Côté relation républicano-islamique
Parasitisme du terrorisme islamique
Le terrorisme islamique n’est-il pas un « parasite », qui tire profit d'un organisme hôte (la France, en première ligne) pour se nourrir, s'abriter ou se reproduire. et dont la clé de survie est l’opportunisme ? Ce virus est là pour trouver les failles de notre système et pour s’y installer, s’y nourrir, s’y abriter, s’y reproduire.
Quelles sont ces failles ?
- En premier lieu, notre principe de laïcité, qui, « renvoyant les idées spirituelles et philosophiques au domaine exclusif de la conscience individuelle et de la liberté d'opinion, » nous interdit de connaître et étudier l’Islam, au domaine de la conscience universelle, alors que lui (l’Islam) nous connaît fort bien.
- L’incapacité de nos autorités d’envisager l’intérêt spirituel de nos caricatures et blasphèmes.
- <L’incapacité de nos autorités de repérer comment le Coran fait injure au judéo-christianisme (faire injure étant bien blasphémer), en supprimant ses deux Pâques, qui en constituent l’essentiel, d’où la nécessité d’apprendre à se connaître…
Et quelle est notre machine de reproduction qu’utilise, précisément, le terrorisme islamique / covid 19, pour se reproduire et nous massacrer ?... ne serait-ce pas, tout bêtement, notre principe de laïcité ? ce qui s’appelle : « couper des verges pour se faire fouetter » !...
Autres correspondances :
2 a.- Côté virus :
Respect, dialogue et harmonie
Pour Gilles Bœuf et Ali Saïb, un dialogue est nécessaire entre le virus et son organisme, hôte potentiel.
Pour Gilles Bœuf : si le dialogue est rompu, c’est la catastrophe : « Lorsque le dialogue entre un corps humain et ces êtres vivants qui vivent dans lui et sur lui ne marche plus, c’est la catastrophe. C’est l’obésité, le diabète de type 2, l’autisme, Alzheimer » (Gilles Bœuf - https://youtu.be/1AEwaCM7JFk -)
La solution vis-à-vis de tout le non-humain, virus y compris, commence donc par respect, dialogue et harmonie : « C’est clair, pour nous, aujourd’hui, dit encore Gilles Bœuf, que si on respecte la biodiversité, on admet des relations beaucoup plus harmonieuses entre l’humain et le non-humain, ça changera absolument tout. »
2 b.- Côté relation républicano-islamique
Jihad majeur et combat contre soi
Pour que blasphème et caricature ne rompent pas le dialogue, ce qui mène à des catastrophes, dans les rapports humains comme dans les rapports au virus, il faut pratiquer le jihad majeur, le combat contre soi-même, ne pas s’attaquer à l’autre, mais à l’idée que l’on s’en fait, sans la moindre agressivité, mais au contraire, en étant demandeur, dans la joie et la bonne humeur, ce qui est la meilleure façon de connaître cet autre en Vérité, jusqu’à co-naître avec lui, dans le monde rationnel nouveau de Scriptorale, ou dans celui, spirituel, tout aussi nouveau de la Jérusalem Céleste, en son premier niveau vibratoire, qui est le niveau 18.
3 a.- Côté virus :
Pour Ali Saïb,
il est nécessaire de comprendre pourquoi ce dialogue conduit ou non à une pathologie. Il dit « complémentaires » ces deux résultats contraires et insiste sur la nécessité de regarder ce dialogue avec deux points de vue, eux aussi, totalement complémentaires : « et, dit-il, étudier ces deux points de vue complémentaires est extrêmement important pour comprendre le devenir d’une infection virale. Effectivement, lorsqu’on étudie un virus pathogène, on est censé définir pourquoi ce virus va conduire à la maladie. De la même manière, il est tout aussi intéressant de comprendre pourquoi ce virus ne va pas conduire à la pathologie. Et la compréhension de ce dialogue va nous permettre d’orienter par des approches thérapeutiques des virus qui conduisent à la maladie vers des virus qui ne conduisent pas à la maladie. »
3 b.- Côté relation républicano-islamique
Blasphème et caricature les plus contradictoires
Ainsi donc, c’est la recherche scientifique d’Ali Saïb, qui nous montre tout l’intérêt de la complémentarité, comme du Yin et du Yang pour aboutir à la vérité ; vérité du comportement de l’infection virale, pour Ali Saïb et vérité du blasphémé et du caricaturé, pour les caricaturistes blasphémateurs et les Djihadistes Majeurs du Cœur, co-naissant ensemble à une Vérité nouvelle dépassant blasphème et caricature. Où l’on ne se pose même plus le problème de savoir si c’est bien ou si c’est mal, tant çela EST, d’un ETRE, qui nous REMPLIT TOTALEMENT.
C’est le cas de ce tableau, réalisé par Joseph le Livre, d'idées opposées aux miennes, à qui j’avais lu ma prière à la Vierge Marie/Maryam qui nous réunit musulmans et chrétiens et en la Virginité de qui il ne croit pas...
Rentré chez lui, il a peint ce chef-d’œuvre, qu’il m’a donné, le lendemain :
Voilà !
Djihadistes Majeurs du Cœur,
ce qui peut se passer entre personnes d'idées opposées :
Dieu est grand !
et, s’il ne se passe rien, c’est
soit qu’elles ne méritent pas le déplacement :
dans ce cas, passez votre route !
soit que vous vous y êtes mal pris !
revoyez alors votre copie !...
4 a.- Côté virus :
Manichéisme, rigidité et complexité
Ali Saïb explique que, depuis leur découverte, on a positionné les virus comme des prédateurs et l’homme, les végétaux ou les animaux, comme des proies. Et cette vision manichéenne de la relation entre les virus et leurs hôtes est bien trop rigide et ne peut plus tenir face aux dernières découvertes de la science. Le problème est beaucoup plus complexe : pour qu’un virus conduise à une pathologie, ce sont les interactions qui vont avoir lieu entre ce virus et cet organisme qui vont conduire ou non à une pathologie. Et ces interactions sont multiples, il y a des milliers, voire des millions d’interactions qui se produisent entre le virus qui va pénétrer dans un organisme et l’organisme même.
Le virus est l’un des paramètres, mais seulement l’un des paramètres. qui va permettre ou non l’émergence d’une pathologie, bénigne ou mortelle, selon la région et son contexte culturel et alimentaire.
4 b.- Côté relation républicano-islamique :
Simplicité manichéenne binaire rigide
contre
souplesse de subtile complexité ternaire
Du côté de la relation républicano-islamique, il faut envisager la partie républicaine de cette relation sous l’angle de ses formes d’esprits d’origines judéo-chrétiennes : Père YHWH Compositeur - Fils Jésus-Christ Interprète, quant au Saint-Esprit, c’est le Fils Prodigue, et c’est, je le crois, Allah : comme Jésus, six siècles plus tôt, se chargea du péché de l’humanité, Allah s’est chargé de l’Injil, Evangile arabe, présentant comme originaux, des points essentiels de la Bible hébraïque et du Nouveau Testament, qu’il détruit et transforme irrespectueusement (Moïse a renvoyé les hébreux en Egypte – Jésus, remplacé sur la croix, n’est ni crucifié, ni ressuscité), à la place de la composition-Interprétation d’origine (Moïse a conduit les Hébreux en Terre Promise et Jésus est ressuscité de la crucifixion, qu’il a bien subie »). Voici les sourates correspondantes :
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suppression de la filiation entre YHWH – Jésus-Christ et de la Sainte Trinité : « O vous qui avez reçu les Ecritures, ne dépassez pas les limites dans votre religion, ne dites de Dieu que ce qui est vrai. Le Messie, Jésus fils de Marie, est l'apôtre de Dieu et son Verbe qu'il jeta en Marie : il est un esprit venant de Dieu. Croyez donc en Dieu et en ses apôtres, et ne dites point : il y a Trinité. Cessez de le faire. Ceci vous sera plus avantageux. Car Dieu est unique. Loin de sa gloire qu'il ait eu un fils. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Son patronage suffit, il n'a pas besoin d'un agent. » (Coran, IV, 169, Editions Flammarion).
Allah dit Son Coran « intouchable » : « Les musulmans disent que le Coran est "descendu", que Mohamed n'en est pas l'auteur mais qu'il est seulement le transmetteur de la parole d'Allah. De ce fait, ils considèrent que ce Livre est intouchable. »(Coran, V, 72, Éditions Flammarion) ;
par contre, Il détruit et transforme, les contredisant, la Pâque du Pentateuque juif et les Pâques des quatre Evangiles chrétiens, qu’Il réduit à un seul, demandant de ne mettre aucune différence entre Pentateuque et Evangile contradicteurs des originaux juif et chrétiens dans le Coran, et le Coran Lui-même :
« Dis aux hommes des Écritures : "Vous ne vous appuierez sur rien de solide tant que vous n'observerez pas le Pentateuque, l'Évangile et ce que Dieu a fait descendre d'en haut. Le Livre que tu as reçu du ciel, ô Muhammad !" (...) » (Coran, V, 72, Éditions Flammarion) ;
« "Dites : Nous croyons en Dieu et à ce qui a été envoyé d'en haut à nous, à Abraham et à Ismaël, à Isaac, à Jacob, aux douze tribus, aux livres qui ont été donnés à Moïse et à Jésus, aux livres accordés aux prophètes par le Seigneur, nous ne mettons point de différence entre eux et nous sommes résignés à la volonté de Dieu." » (Coran, II, 130, Éditions Flammarion).
Le problème est de taille, car il faut tenir compte de toutes les données, y compris du fait que le Coran est intouchable ; il est subtil, mais a toutefois une solution.
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