De la divine blancheur de l'albatros, "vaste oiseau des mers"
à la nuit de "la petite chauve-souris
qui se pend la tête en bas",
le passage des Louis
XVI-XVII ,
(Résolution
optimale : 1920 x 1080)
I.- INTRODUCTION ...
Saint-Germain-en-Laye, le 1.8.2020
"Quand il viendra, lui, l'Esprit de Vérité,
il vous conduira vers la Vérité tout entière ;
car il ne parlera pas de lui-même ;
mais tout ce qu'il entendra, il le dira (...)"
(Jn 16, 13).
Objet : recherche de dialogue en la Sainte Trinité, entre le covid-19 et nos organismes humains.
Très Sainte Trinité,
Monsieur Gilles Bœuf,
Comme déjà expliqué en Covid-19, un grand Absent très Présent, covid-19 est l’acronyme anglais de coronavirus disease 2019, qui signifie : maladie (disease) à virus à couronne apparue en 2019. Il est pour l’instant du genre masculin ou féminin, selon qu’on l’accorde avec virus ou maladie. Mais, à mes oreilles françaises, Tu dis autre chose, Très Sainte Trinité, où covid-19 évoque : « commun vide-2019 » : ce qui y est vide pour le règne humain rationnel, est plein de Toi, pour le règne humain spirituel.(1)
A la suite de la lecture d’un article de Steve Palombi, selon lequel : « le plus puissant moteur du changement aujourd’hui, c’est la présence de l’humain », Monsieur Gilles Bœuf, vous expliquez, le 9 juin 2020, sur le Blog de la MAIF, dans une conférence intitulée « Biodiversité et pandémie : quels liens et quelles solutions ? »
(que la biodiversité, c’est l’ensemble de tout le vivant, des champignons, aux plantes et aux animaux, animaux dans lesquels il y a l’humain, et humain qui doit admettre qu’il fait partie de la biodiversité, au même titre que les virus.
Comme le covid-19, donc,
nous sommes la biodiversité, le vivant dans toute sa diversité.
Ajoutant : « Nous ne mangeons que du vivant, de la biodiversité, et ne coopérons qu’avec cette biodiversité »,
vous indiquez clairement le terrain sur lequel vous vous placez : celui, matériel, des nourritures terrestres et de la coopération rationnelle.
Par rapport à cela, ce que Tu me montres, Trinité Sainte, c’est comment ce monde humain rationnel, moteur du changement, n’est que le reflet d’un autre monde humano-divin de nourritures spirituelles, où, Tu prends les décisions fondamentales, et où se multiplient ce que nous appelons des coïncidences. (2)
II.-1ERE COÏNCIDENCE :
MONSIEUR BŒUF,
UN HOMME AU NOM d’ANIMAL
Première coïncidence, Gilles Bœuf, c’est précisément celle qui apparaît entre votre nom d’animal, le bœuf, et ce fait que vous signalez : dans la diversité du vivant, il y a les animaux « et dans les animaux, il y a l’humain (…) Il faut que l’humain admette qu’il fait partie de ce vivant. » Ainsi, en nous enseignant que, comme le bœuf, nous sommes des animaux respectables, vous vous respectez et vous vous faites respecter, vous-même, en nous donnant, par la même occasion, un excellent exemple du bon fonctionnement de la biodiversité.
Car votre nom, aussi, fait partie de l’ensemble du vivant, il vit en symbiose avec vous-même et vous devez pleinement l’accepter pour l’harmonie spirituelle de votre existence. Comme vous le dites pour le corps : « Lorsque le dialogue entre un corps humain et ces êtres vivants qui vivent dans lui et sur lui ne marche plus, c’est la catastrophe. C’est l’obésité, le diabète de type 2, l’autisme, Alzheimer ».
Tel le grain de sable qui grippe (c’est le cas de le dire !) le système le plus développé et sophistiqué, ce petit virus de 15 gènes, quand nous en avons près de 30 000, « met à genou notre économie » alors même qu’« il n’est pas trop méchant (…) Ironie du sort, dites- vous ». Mais n’est-ce pas, au contraire, la règle ? Tout ce qui est tellement compliqué que nous ne savons plus le vivre, est la proie du premier petit vivant venu, car, lui, n’a pas perdu l’essentiel : son âme, qui est sa force vitale.
Qu’est-ce que le Coronavirus et comment nous affecte-t-il ?
« Le virus, dites-vous, c’est un parasite, et le parasite, sa clé de survie, c’est l’opportunisme : Un virus est là pour trouver une faille dans un système et pour s’installer. Il n’a pas de machine de reproduction propre à lui. Il va utiliser la machine de la cellule dans laquelle il s’intègre.
Ce coronavirus, c’est un virus de chauve-souris, bien connu (…) (d’) une espèce qui ne vit qu’en Chine, mais ce n’est pas que ça, parce que le virus de la chauve-souris, qu’on connaissait déjà, n’avait pas la machinerie moléculaire pour intégrer une cellule humaine. »
Voilà pour le mode de fonctionnement, dans lequel je retiens le mot « faille », par lequel, Trinité Sainte, Tu me confirmes la possibilité de mon interprétation du mot « covid » comme d’un « commun vide », vide pour les 16 cercles du règne humain rationnel, devenant plénitude au fur et à mesure de notre progression dans les 17 à 49 cercles du règne humain spirituel (cf. Paroles d’Ange (1)), étant entendu, Monsieur Bœuf, qu’il y a passage entre les deux règnes, ce qui est important dans l’un l’étant aussi dans
l’autre, mais pas pour les mêmes raisons.
Je retiens aussi le point de départ de cette pandémie : la Chine, seconde puissance économique mondiale, au regard de votre conclusion : « En gros, il faut arrêter cette économie stupide et suicidaire qui consiste à gagner de l’argent en détruisant le capital, la nature, ou en le surexploitant, » conclusion sur laquelle je reviendrai.
Ce passage est d’ailleurs tout l’objet de ce que, Sainte Trinité, Tu me présentes, je le crois, comme l’actuelle Apocalypse. Il se situe dans l’intérêt pour les uns, la richesse pour les autres du nombre 19 :
Pour vous, Monsieur Bœuf :
« Il s’est passé quelque chose durant la fin de l’année 2019, voilà pourquoi on l’appelle le Covid-19 : apparu en 2019.
« Autre intérêt de faire remarquer cela, c’est qu’on y répond assez mal. Il est très infectieux. On a vu des cas d’infection où une personne contaminait dix, quinze personnes. Ça veut dire qu’il est extrêmement capable d’infecter. Si on se laisse infecter, c’est qu’on n’a pas la machinerie moléculaire pour réagir.
« On n’a pas l’immunité, parce qu’il est tout neuf. Il n’existait pas avant 2019. »
En ce qui m’est, je le crois, montré, 19 est composé de 1 et de 9, Il est donc le 1 et le 9, le Premier et le Dernier des 9 nombres de 1 à 9, correspondant aux réductions théosophiques de tous les nombres existants. Et Dieu se présentant dans l’Apocalypse de Jean comme l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin, je reconnais en 19Dieu Lui-même.
Ainsi, Dieu, dont tout le règne humain rationnel se croit débarrassé, est, à son nez et à sa barbe, au cœur du covid-…19 ! N’est-ce pas pour cela que, Monsieur Bœuf, vous dites ce virus « pas trop méchant » ? Tant que Dieu est dans le covid Il limite la casse, ne pouvant pas limiter notre liberté, car Il est notre clairvoyance (ce que vous appelez notre « vigilance », notre « intranquillité », point n’étant nécessaire d’« éco-anxiété » ou de « collapsologie »), une clairvoyance qui nous empêche de transgresser les lois de la nature, en créant des « chimères », comme ce covid-19, « mélange de virus de chauve-souris et d’un autre petit mammifère ».
V.- 2EME COÏNCIDENCE :
TRANSGRESSION DES LOIS NATURELLES
SOURIS ET CHAUVE-SOURIS
Selon vous, les responsables de cette transgression sont :
D’une part, une « promiscuité immonde, sur des marchés, d’animaux qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Ce petit changement a eu lieu. Et là, [covid-19] a acquis la machinerie qui permettait à un virus de chauve-souris de rentrer dans une cellule humaine. »
Et d’autre part, le fait que « ce qui n’aurait jamais dû sortir d’un petit foyer originel très local, a fait le tour du monde. Et là, bien sûr, il faut incriminer (…) la mondialisation, avec les transports [aériens] qui se font beaucoup trop vite, puisqu’il était, en quelques jours, partout. »
Mais pourquoi incriminer la mondialisation ? En effet, si, en quelques jours, à cause d’elle, le virus a fait le tour du monde, beaucoup plus rapidement encore, puisqu’en un clic de souris (non chauve, celle-là ! seconde coïncidence), votre conférence, qui la combat, a fait ce même tour.
La responsable est, bien plutôt, la raison pour laquelle on fait ce tour du monde : le profit personnel. Si la raison est l’intérêt général, cela change tout. Mais, à partir de là : où commence et où finit ce dernier ? Il ne peut pas se résumer à un problème de « bonne- » ou de « malbouffe ». Il faut prendre ce problème à la racine, dans toute son ampleur, du rationnel au spirituel, pour repartir du bon pied, plutôt que de laisser de fantastiques failles dans notre histoire, failles où s’engouffrent les virus, de nos ordinateurs comme de nos corps, qui sabordent notre énergie, et cela « quel qu’en soit le prix », expression de notre Président.
VII.- RESPECT DE - ET HARMONIE AVEC - LA BIODIVERSITE
Revenons à la « promiscuité immonde », responsable de la dangerosité de ce coronavirus, et allons à ce qui la permet, vous dites : « Plus on réduit la biodiversité, le nombre d’espèces dans une forêt tropicale en la détruisant, ou un peu partout, plus on détruit aussi le nombre d’individus au sein de la biodiversité qui sont réceptifs à ce virus, et plus on augmente les effets pathogènes.
« Cela peut paraître un peu curieux. Quelqu’un m’avait dit :"Détruisons les chauves-souris."
« Surtout pas, parce que les chauves-souris nous aident à maintenir ces virus dans des conditions sans danger pour nous. » La solution vis-à-vis de tout le non-humain, virus y compris, est donc respect et harmonie : « C’est clair, pour nous, aujourd’hui, que si on respecte la biodiversité, on admet des relations beaucoup plus harmonieuses entre l’humain et le non-humain, ça changera absolument tout. » Toutefois, comme vous le signalez, il y a, non seulement, la biodiversité entre les espèces, mais il y a aussi, la biodiversité entre les individus de chaque espèces, c’est-à-dire, concernant l’humain, entre, d’abord, les trois grandes formes d’esprit de composition-interprétation / improvisation destructrice-transformatrice de l’évolution créatrice, que j’appelle scriptorale. La destruction-transformation de la composition-interprétation qui l’inspire, ne peut qu’être respectueuse de celle-ci et en harmonie avec elle, pour que se produise le changement fondamental inversant la pyramide du Pouvoir Créateur et menant à la Jérusalem Céleste, en ouvrant le passage XVI-XVII du rationnel au spirituel. Pour réaliser ce passage, autrement dit : pour respecter les compositions-interprétations en les détruisant respectueusement, c’est très simple : il suffit de s’attaquer, non pas, aux compositions-interprétations originales, mais à des copies, à l’idée que l’on s’en fait. Ce qui est la meilleure façon de connaître l’autre en Vérité, jusqu’à co-naître avec lui, en le transformant en Arbre de Vie. Il en faut 5 pour réaliser la Jérusalem Céleste
Ceci, Monsieur Bœuf, étant tout aussi valable dans le domaine rationnel (par exemple de la « bouffe »), que dans le domaine spirituel, Très Sainte Trinité, comme Tu ne cesses pas de me le montrer. Tu poses, néanmoins, une condition : combler les failles monumentales de l’histoire de la spiritualité chrétienne, dans ses rapports avec l’islam et les spiritualités orientales, où le passage XVI-XVII se fait grâce à l’intercession, pour l'humanité, de deux rois, père et fils, aux nombres du passage et aux correspondances animales :
Ce thème a été traité en XIII.- APOCALYPSE - REVELATION (SUITE 1). Aussi, ne vais-je, ici, en rappeler que les grandes lignes, pour aller, Monsieur Bœuf, à la corespondance entre votre recherche et Scriptorale. Les grandes lignes nous mènent de 27 ap. J.-C. à 2019-2020 :
27 ap. J.-C. : début de l’opposition entre Jean et Pierre.
Transcendance, Lumière, Amour divins, pour Jean, « le disciple que Jésus aimait », lui que, sur la Croix, Il confia à sa mère et à qui Il confia sa mère (Evangile selon Saint Jean, 19, 26-27). Lui encore, qui arriva le premier, devant Pierre, au tombeau vide (Id. 20, 4),
lui, à propos de qui Jésus répondit à, Pierre, à qui Il venait d'indiquer son genre de mort (Id. 21, 19) : « S'il me plait qu'il demeure jusqu'à ce que je vienne, que t'importe ? » (Id. 21, 22).
Dogmatisme, Solidité, Conservatisme trop humains, chez Pierre. Pierre, sur qui Jésus fonda son Eglise (« Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise ».[Evangile selon Saint Matthieu, 16, 13-23]), mais lui, Pierre, qui ne comprit rien au lavement des pieds par Jésus (Saint Jean, 13, 1-20). Lui, Pierre, humain trop humain, que Satan fit plusieurs fois trébucher : « Mais (Jésus) se retournant, dit à Pierre : "Passe derrière moi Satan ! tu me fais obstacle, car tes pensées ne sont pas celles de Dieu, mais celles des hommes ! » (Saint Matthieu, 16, 23), Lui, qui renia trois fois Jésus avant le chant du coq (Saint Matthieu, 26-34 ; Saint Marc, 14-30 ; Saint Luc 22-34 ; Saint Jean, 13, 38).
Ainsi qu’il est montré en XIII.- APOCALYPSE - REVELATION (SUITE 1)., cet antagonisme spirituel se poursuivit à travers les deux millénaires qui viennent de s’écouler, la papauté plus ou moins alliée à la monarchie française prenant la relève de Pierre et les Templiers, voués à Jean l’Evangéliste et à Marie, prenant celle de ce même Jean, à partir du 13 (ou du 14) janvier 1128, où leur Ordre fut reconnu au Concile de Troyes. Voici les très grandes lignes de ce rapport de pouvoirs, passant par une curieuse histoire de calvities et nous menant jusqu’en 2013, avec la réconciliation de Benoît XVI, héritier de Pierre, et François (1er), héritier de Jean sur le trône de Pierre, puis en 2019-2020, avec la suprématie du covid-19 (d’abord virus de chauve-souris) via la charnière du Donjon du Temple.
Mais, auparavant, Monsieur Bœuf, il faut que je vous raconte l’histoire d’H. M., une amie française à Dakar : H. M. souffrait d’un psoriasis très infecté et étendu, que personne ne parvenait à soigner (précision : les causes du psoriasis sont bactériologiques ou virales). En désespoir de cause, H. M., ne sachant plus à quel Saint se vouer ! consulta un marabout, qui lui dit de ne pas « avoir honte » de sa maladie et de ne pas craindre de laisser voir les parties de son corps, qu’elle cachait, en raison de l’infection. Elle le fit et s’en trouva bien. Je pense à cela, en relation, avec le respect et l’harmonie que vous préconisez pour tout le non-humain, virus y compris, et j’en déduis que la honte, conduisant au masquage et au mensonge, comme à l’orgueil « gloriolesque », contribuent à la dangerosité par réplication et aggravation de la faille où il se précipite, de ce coronavirus.
C’est pourquoi, Monsieur Bœuf, je m’autorise de l’identifiant que m’a donné Free : abouhey, lu dans le sens des écritures hébraïque et arabe : YEHOUBA, qui signifie : le Temple de Dieu (ce que, selon Saint-Paul, tout chrétien doit être, mais qui, ici, me désigne expressément, pour commenter, au nom de l’Ordre du Temple, les grandes lignes de la faille, où se précipite le covid-19 :
ROYAUTE ET PAPAUTE
YEHOUBA = TEMPLE DE DIEU
AU NOM DE L’ORDRE DU TEMPLE
13 (ou 14) janvier 1128 : Ordre du Temple reconnu au Concile de Troyes.
1240 : les Templiers construisent l’Enclos du Temple à Paris.
1279 : Philippe III le Hardi octroie l’Enclos du Temple aux Templiers.
LA FAILLE (1) :
mensonges royaux couverture pontificale
Supplice et malédiction L’Ordre du Temple entre dans sa
NUIT INITIATIQUE (1)
1307 : bulle de Clément V ordonnant l’arrestation de tous les Templiers du monde. 2 Mars 1312 : pression de Philippe IV le Bel sur le pape Clément V pour la suppression de l’Ordre du Temple. 3 Avril 1312 : bulle Vox Clamantis de Clément V, prononçant la dissolution de l’Ordre du Temple, en le supprimant sans condamnation. 18-19 Mars 1314 : Philippe IV le Bel, sans attendre la décision de l’Archevêque de Sens, fait saisir et brûler, le soir même Jacques de Molay et Geoffroy de Charnay à l’Île aux Juifs.
1314 : Premiers effets de la malédiction ? le pape, le 20 avril, et le roi, le 29 novembre, meurent cette même année 1314.
18-19 Mars 1314 : Dans les flammes du bûcher, Jacques de Molay aurait maudit le roi et ses descendants, et le pape.
Nuit du 18 au 19 Mars 1314 : Les disciples des suppliciés recueillent leurs cendres dans la nuit : prémices à une survivance, en Ecosse de l’Ordre du Temple dans l’Ordre de Saint-André-du-Chardon.
La nuit se fait initiatique.
1314 : Premiers effets de la malédiction ? le pape, le 20 avril, et le roi, le 29 novembre, meurent cette même année 1314.
LA NUIT INITIATIQUE (2), pour l’Ordre du Temple : Montée en puissance de la Vérité
1515 : début « en fanfare » du règne de François 1er et de la grande Monarchie française, avec la victoire surjouée de Marignan. 1516 : Destruction, à Dijon, dans le faubourg de la Magdeleine. de la Commanderie du Temple et de sa chapelle Saint-André,
Le faubourg Saint-Pierre recouvrira la rue du Temple
et s’étendra, à l’ouest, jusqu’à la rue Mozart,
via la rue Daubenton (1716-1800 : le passage 17-16/18).
1525 : Défaite de Pavie.
1515-1792 : entré dans sa nuit le 19 Mars 1314, l’Esprit de Vérité du Temple est éclairé par la Vierge Marie et Saint Jean, le fils que lui a donné Jésus en Croix. A partir du mensonge de Marignan, en 1515, et de la destruction de sa commanderie et de sa chapelle Saint André, à Dijon, en 1516 :
l’Esprit de Vérité du Temple va suivre l’ascension et la chute de la Grande Monarchie française, dont il réceptionnera en son donjon, les derniers représentants, le 13 Août 1792.
Rue Mozart : où naîtra, le 16.02.1949, le descendant au moins spirituel de la Grande Monarchie française, que je suis.
Les dates de Daubenton (1716-1800) indiquent son parcours spirituel : partir du cercle spirituel XVII de Louis, où il est arrivé, rallier le cercle rationnel XVI de Louis, son père, et passer au cercle spirituel XVIII. (1) 1525 : honte de la captivité de François 1er et de ses fils, venant tempérer le souvenir de la victoire surestimée de Marignan, comme un avertissement sur les dangers des artifices et des mensonges, de la « gloriole », face à la Gloire divine.
LA FAILLE (3) : fausse chevelure – fausse puissance à l’échelle européenne virus « Vanitas vanitatum » expansion démesurée
et mort.
LA NUIT INITIATIQUE (3) : fausse chevelure – fausse puissance à l’échelle européenne virus « Vanitas vanitatum »
1633-1710 : A partir de 1633, Louis XIII, cache une perte de cheveux précoce par un postiche. Les courtisans se hâtent alors de l’imiter.
1658 : en juillet 1658, la maladie contraint Louis XIV à tricher en portant des perruques, d’abord à fenêtres. 1673 : les perruques deviennent complètes. « Le port de la perruque est devenu une mode symbolique que toutes les Cours européennes s’efforcent d’imiter. »
1700-1715 : « Jusqu’à la fin du règne de Louis XIV, elles atteignent des proportions inégalées, pour devenir de véritables crinières de lions ! » puis disparaître, passant de mode.
Un symbole de puissance royale : la chevelure. Louis XIII et Louis XIV, jeunes, l’avaient fort belle. Le problème est qu’ils la perdirent précocement, l’un comme l’autre. Ayant honte de cet état de fait, les deux rois choisissent de cacher leur calvitie partielle sous de fausses chevelures, des perruques, d’abord à fenêtres (laissant passer des restes de cheveux) pour Louis XIV, puis complètes, pour le fils comme pour le père, les restes se raréfiant ridiculement, sans doutes.
Ceci dit, chevelure véritable étant symbole de vraie puissance, perruque, « symbole absolu de l’Ancien Régime », selon Plume d’histoire, autrement dit : fausse chevelure est symbole de fausse puissance de cet Ancien Régime, et cela, au niveau européen, puisque toute l’Europe suivit cette mode, l’Europe dont les souverains n’avaient rien à cacher, et qui étouffait ses beaux cheveux sous des postiches, comme l’autre. C’est pourquoi, Monsieur Bœuf, je vois dans ce masquage de calvitie, une faille spirituelle, où s’est installé et répliqué jusqu’à la démesure, un virus, que l’on pourrait appeler :
Vers 1710 : l’apparition de la mode Louis XV les allège considérablement en les aspergeant de farine ou de poudre de riz pour les rendre intégralement blanches !
Vers 1752 : « Dans le dernier tiers du règne de Louis XV, puis sous Louis XVI, on délaisse un peu la perruque… mais pas la poudre. »
Vers 1710 : Plus le pouvoir de l’aristocratie est mis en question, plus les perruques se font discrètes, en restant toujours blanches, même portées par des enfants. Ceci dit,, la petite enfance, comme la couleur blanche est symbole de pureté et d’innocence, et c’est bien son innocence, que proclama Louis XVI sur l’échafaud. On peut donc voir, dans la blancheur des perruques, l’annonce du symbole du sentiment d’innocence partagé par bien des aristocrates guillotinés.
NUIT INITIATIQUE (5) :
la faille de l’irrespect
de la composition interprétation
20.6.1792 : Louis XVI accepte de se laisser coiffer par le peuple révolutionnaire du bonnet phrygien rouge sang, en place de sa perruque à la blancheur royaliste et préfigurant l’abolition de la monarchie, le 21.9.1792, 3 mois plus tard.
A partir de 1789 : la Révolution mettra un terme à ce port de perruque. Elle considère, désormais, comme un caprice d’aristocrate (le virus s’étant sérieusement affaibli), ce qui fut, d’abord, pendant trois quarts de siècle, un mensonge de monarques. Le pouvoir change de camp, le peuple révolutionnaire ne respectant pas davantage l’aristocratie la plus conservatrice que cette dernière ne le respectait. 20.6.1792 : Louis XVI coiffé du bonnet phrygien 2 mois et 7 jours avant qu’il n’entre au Donjon du Temple, déclenche l’hilarité générale du peuple révolutionnaire, signe de cet irrespect créant une nouvelle faille, appel d’un nouveau virus, celui de
la destruction-transformation
improvisatrice irrespectueuse
des originaux plutôt que des copies, qui commença par la destruction de l’héritage monarchique, alors qu’il fallait le comprendre.
XIV.- NUIT INITIATIQUE (6)
Le Temple,
Louis XVI, Mozart - Marie-Antoinette, Louis XVII :
de l’albatros blanc, « vaste oiseau des mers » à « la petite souris chauve » noire
du rationnel finissant
au spirituel initial,
le passage XVI-XVII
23.8.1754 : naissance de Louis XVI.
2.11.1755 : naissance de Marie-Antoinette.
27.1.1756 : naissance de Mozart, compositeur – franc-maçon, proche par là de l’esprit de l’Ordre du Temple.
13.10.1762 : Mozart, 6 ans, ayant glissé sur le parquet ciré de Schönbrunn, déclare à Marie-Antoinette, qui l’a aidé à se relever, que, pour la remercier, il l’épousera quand il sera grand.
1764 : Mozart, 8 ans, représenté au clavecin, dans le Salon aux Quatre-Glaces du Palais du Temple, en face du Donjon, sur le tableau « Thé à l’Anglaise chez le Prince de Conti » de Michel Barthélémy Ollivier.
1785 : Marie-Antoinette vient fêter ses relevailles de la naissance du futur Louis XVII, le 27.3.1785, dans le Salon aux Quatre-Glaces du Palais du Temple, enface du Donjon.
30.9.1791 : Création, 2 mois et 5 jours avant la mort du compositeur franc-maçon, de « la Flûte Enchantée », opéra, où, ainsi que Tu me le dis, je le crois, Trinité Sainte, Tamino (Mozart) traverse la nuit initiatique du sage Zarastro (la nuit du Donjon du Temple), pour épouser Pamina (Marie-Antoinette) la fille de la Reine de la Nuit (la monarchie autrichienne) ignorante de la vraie Lumière.
5.12.1791 : Mozart rejoint son amie : la Mort, pour y accomplir son opéra : y épouser spirituellement, Marie-Antoinette, et conduire sa descendance au moins spirituelle, elle aussi, dont je fais partie, à la lumière de la Jérusalem Céleste.
21.1.1793 : Exécution de Louis XVI.
16.10.1793 : Exécution de Marie-Antoinette.
Le Temple partage avec la monarchie
sa nuit initiatique
13.8.1792 : La famille royale passe au pouvoir du Donjon du Temple.
21.1.1793, à 10h 22 :
exécution de Louis XVI,
qui fait, sur l’échafaud, cet te déclaration,
interrompue par le roulement des tambours :
« Je meurs, innocent de tous les crimes dont on m'accuse.
Je pardonne à ceux qui sont coupables de ma mort
et je prie Dieu, pour que le sang que vous allez répandre
ne retombe jamais sur la France, que… »
Le roi n’a pu terminer sa phrase, mais l’essentiel est dit, qui lui donne sa véritable stature, avec son correspondant animal, à la blancheur royale, s’envolant de sa tête, alors même qu'étouffé par les tambours pour presque deux siècles, elle roule dans son sang : cet animal, c’est, tel que le peindra, en 1859, Charles Baudelaire, l’Albatros, dont le poète dit :
Encyclopédie Larousse en ligne - Albatros
II. – L’ALBATROS
« Souvent, pour s’amuser, les hommes d’équipage
Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers,
Qui suivent, indolents compagnons de voyage,
Le navire glissant sur les gouffres amers.
« A peine les ont-ils déposés sur les planches,
Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,
Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches
Comme des avirons traîner à côté d’eux.
« (…)
« Le poète est semblable au prince des nuées
Qui hante la tempête et se rit de l’archer
Exilé sur le sol au milieu des huées;,
Ses ailes de géant l’empêchent de marcher. »
(Charles Baudelaire, Les Fleurs du Mal,
II.- L’ALBATROS, Classiques Garnier)
« Indolent compagnon de voyage », Louis XVI ne le fut-il pas durant tout son règne humain, où, jusqu’à son voyage à Varennes, il ne fut qu’un suiveur de l’Histoire, « navire glissant sur les gouffres amers » de la Révolution grondante ? « Maladroit », « honteux », « piteux « , traînant sa grandeur (1,93 mètre, annonce de la date de sa fin), sur les planches de la scène historique, qui le montra, pour son retour de Varennes « exilé sur le sol au milieu des huées ».
Mais, « ses ailes de géant » ne l’empêchaient de marcher », que parce que, « roi de l’azur », il ne savait que voler et son envol d’Albatros blanc, « Prince des nuées », il réussit à le prendre à ses derniers moments, échappant à son bourreau dans un effort surhumain, « qui hanta la tempête et se rit de l’archer », où, jusqu’au bout, il fut celui qu’il voulut toujours être :
le Père du Peuple,
pour aller prendre sa place de Louis XVI au temps XVI de Scriptorale, l’Evolution Créatrice,
Scriptoral : mise en place du Temps-Louis
XVI
Scriptoral : le
passage des Temps-Louis
XVI - XVII
pyramide à l’endroit parfaitement centrée,
au-dessus du Trône de Celui qui est l’Alpha et l’Oméga, le Premier et le Dernier, le Principe et la Fin,
Temps–Louis XVI, encore
amorçant le passage des Temps-Louis XVI-XVII,
venant à la suite des quatrièmes
composition-interprétation / destruction respectueuse, Temps XIII-XIV / XV de l’Evolution Créatrice,
correspondant aux Louis XIII-XIV / XV,
ce qui m'est dit être des "Temps-Louis" Albatros, en ce 21.1.1793
Louis XVI laissait surtout à la France, son fils,
devant lequel Marie-Antoinette
s’agenouilla ce même jour,
pour prononcer la phrase traditionnelle,
le reconnaissant roi, sous le nom de Louis XVII :
Le roi est mort, vive le Roi !
Louis XVII (1785-95)
aged 8, at the Temple
Joseph-Marie the Younger Vien
XV.- 3EME COÏNCIDENCE : d'une chevelure abondante, mais fausse,
symbole d'un pouvoir trompeur
à une éventuelle calvitie véridique,
symbole de dénuement de tout pouvoir,
mais
assumée en plénitude de gratuité.
Et là, Monsieur Bœuf, au vu de ce qui s’est passé sous les règnes précédents de Louis XIII et Louis XIV, où la France donna le ton à toute l’Europe, en symbolisant sa puissance par des perruques, qui ne faisaient que cacher la calvitie de leurs propriétaires, autrement dit, en mentant sur le symbole de sa puissance, laquelle, du coup, était fondée sur une faille attirant les virus honte et vanité, à commencer par la faille de l’irrespect des formes d’esprit d’élévation et d’ouverture les unes pour les autres… Au vu de cela, donc, me vint à l’esprit, 3ème coïncidence, votre défense de la chauve-souris, celle-là même qui porte le virus du covid-19, défense selon laquelle il ne fallait surtout pas les tuer « parce qu’elles nous aident à maintenir ces virus dans des conditions sans danger pour nous ».
Je compris alors, que si Louis XVI était l’Albatros, « vaste oiseau des mers », Louis XVII (et sa descendance au moins spirituelle), l’autre extrémité du passage XVI-XVII, était la Chauve-Souris, à laquelle il ressemble sur le tableau peint au Temple, en 1793, par Joseph-Marie the Younger Vien, et pas n’importe laquelle, celle de Rudyard Kipling, dans « Histoires comme ça », qui insiste sur sa calvitie :
« la petite chauve-souris,
la petite souris chauve,
qui se pend la tête en bas »,
LE CHAT QUI S'EN VA TOUT SEUL
Rudyard Kipling
une calvitie, qui, chez cet enfant de 8 ans aux beaux cheveux, ne pouvait qu’être symbolique de son total dénuement de pouvoir royal, et un total dénuement de pouvoir royal, qu’il devrait assumer, à travers toute sa descendance au moins spirituelle, quel que soit l’état de ses diverses chevelures.
Mais ce n’est pas tout. En effet, Très sainte Trinité, me disant, je le crois, que Louis XVII n’est pas mort au Temple et que sa descendance au moins spirituelle aboutit à Ton serviteur, à qui tu as révélé, sous le nom de Scriptorale, le fonctionnement de l’inversion de la Pyramide du Pouvoir Créateur, à travers la relation de
Tes 3Formes d’Esprit de
Composition-Interprétation / Improvisation respectueuse,
fonctionnant en 4 temps de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation respectueuse,
Scriptorale,
divine Harmonie des Contraires
Pyramide inversée du Pouvoir Créateur,
que Tu me dis, en 19 coïncidences,
être la Jérusalem Céleste.
XVI.- 4EME COÏNCIDENCE : relation binaire virus/hôte - prédateur/proie
dépassée :
des millions d'interactions sont possibles.
Parmi celles-ci,
les 2 têtes royales
du passé - XVI - et de l'avenir - XVII -
se retrouvent sur un point de départ interactif situé en bas.
Eh bien ! Et c’est la 4ème coïncidence : « la petite souris chauve se pend la tête en bas ! » Or, il est une autre tête, qui est en bas, par les bons soins de la guillotine : celle de Louis XVI. Et les deux rois se partagent la date du 21.1.1793, comme si le sinistre panier les réunissait toutes deux pour un passage de relais, le relais menant du Pouvoir pyramidal d’Ancien Régime à son inversion scriptorale, quelques deux siècles plus tard. A cette époque, en effet, les années 1990, l’idée de l’inversion pyramidale était tellement dans l’air, qu’elle fut réalisée, laïquement, à la demande de François Mitterrand, dans le Louvre souterrain, et suggérée, religieusement, dans le plafond de la cathédrale Saint-Corbinien d’Evry, mais nulle part, n’est indiqué comment l’on passe de la pyramide à l’endroit à la pyramide inversée, nulle part, sauf en Scriptorale, que Tu m’as dévoilée, Très Sainte Trinité, pour que j’en fasse part à l’humanité, je le crois.
Ce formidable jeu de boules/têtes dans le panier révolutionnaire, l’une chutant du passé dont on voulut la couper, passant le relais à celle de la chauve-souris, elle-même reliée à l’avenir, par là où elle se suspend et condamnée à l’absence de pouvoir et de lumière personnels, puisque chauve et animal nocturne, seul capable de se diriger dans la nuit, d’où il vient, en émettant des ultrasons dont il capte la réflexion,
comme l’a fort bien vu Nostradamus : « Le moine noir en gris dedans Varennes De nuict viendra par la forest de Reines »
(Nostradamus, quatrain IX, 20)
la traduction que tu m'as inspirée, je le crois :
« Le solitaire noir, en gris dans son "Va-à-Rennes", De nuit, viendra par les bois du CNR de Rennes »
Ce « moine noir », c’est donc l’humain correspondant à la petite chauve-souris porteuse de covid-19, c’est-à-dire la descendance royale au moins spirituelle, aboutissant à votre serviteur, Monsieur Bœuf, qu’il ne faut surtout pas tuer, comme vous le dites, « parce que les chauves-souris nous aident à maintenir ces virus dans des conditions sans danger pour nous ».
Voilà qui demande des explications, je les ai trouvées, sur YouTube, chez Ali Saïb :
Au tableau Ali Saïb ! / Virus = maladie ?
selon qui, depuis leur découverte, on a positionné les virus comme des prédateurs et l’homme, les végétaux ou les animaux, comme des proies . Et cette vision manichéenne de la relation entre les virus et leurs hôtes, ne peut plus tenir face aux dernières découvertes de la science. Le problème est beaucoup plus complexe : pour qu’un virus conduise à une pathologie, ce sont les interactions qui vont avoir lieu entre ce virus et cet organisme qui vont conduire ou non à une pathologie. Et ces interactions sont multiples, il y a des milliers, voire des millions d’interactions qui se produisent entre le virus qui va pénétrer dans un organisme et l’organisme même.
Ali Saïb explique que le virus est l’un des paramètres, mais seulement l’un des paramètres. qui va permettre ou non l’émergence d’une pathologie, bénigne ou mortelle, selon la région et son contexte culturel et alimentaire.
XVII.- Quand la petite chimère virale échappe à Satan
pour
Te retrouver,
Sainte Trinité.
Culturellement,
la mondialisation uniformise,
simplifie le complexe et, ce faisant, Monsieur Bœuf,
elle réduit la biodiversité. Or, dites-vous : « Plus on réduit la biodiversité (…)
plus on augmente les effets pathogènes. »
Dans le cas du covid-19,
vous impliquez, dites-vous encore : « une promiscuité immonde
sur des marchés d’animaux qui n’auraient jamais dû se rencontrer.
Ce petit changement a eu lieu. Et là, le covid-19 a acquis la machinerie,
qui permettait à un virus de chauve-souris de rentrer dans une cellule humaine.
On a vu le résultat : Ce qui n’aurait pas dû se passer, s’est passé. »
Mais n’est-ce pas, là aussi, pour le coup, bien réducteur
et donc, bien pathogène, comme conception,
s’il y a des milliers, voire des millions d’interactions,
entre le virus, qui va pénétrer dans l’organisme
et l’organisme-même
et si le virus n’est que l’un des paramètres
permettant l’émergence ou non d’une pathologie ?
Revenons à Louis XVII, que Trinité Sainte, Tu me fis voir
dans « la petite souris chauve » de Rudyard Kipling,
chauve de son pouvoir, non de sa chevelure :
arraché à la reine le 4 juillet 1793,
lui aussi fut soumis à une « promiscuité immonde »,
celle du savetier Simon,
qui le fit aller jusqu’à déshonorer sa mère.
Pointée par la boule/tête de Louis XVI,
cette dernière transmit le choc de la lame à celle de Louis XVII,
la boule/tête du père prit la place de la boule/tête du fils,
qu’elle propulsa en bas, emmitouflée dans ses ailes
et suspendue par un pied,
au point de départ de
Scriptorale
La boule/tête du fils propulsée par celle du père au point de départ de Scriptorale
pour un sommeil de quelques 2 siècles
dont ce roi de la nuit
fit une 1ère sortie le 10.X.1991
(1991,
une date complète :
le 19 divin + son inverse 91) et dont, 5ème coïncidence,
il épousera le début de la forme :
...dont ce roi de la nuit
fit une 1ère sortie le 10.X.1991 et dont, 5ème coïncidence, il épousera
le début de la forme
Scriptorale
(Cf. UNE INTERPRETATION)
Tout cela pour dire, cher Monsieur Bœuf,
que Louis XVII, petite Souris chauve, sans pouvoir,
dont le savetier Simon avait cru pouvoir faire une virulentechimère,
lui échappa, comme son père au bourreau,
pour, en définitive, accomplir
Ta Volonté,
Très Sainte Trinité,
par les multiples et complexes interactions
qui ont eu lieu entre ce virus monarchique
(incarné par la descendance au moins spirituelle de Louis XVI, dont je suis)
et cet organisme : la République Française issue de la Révolution,
L'innocente chimère
virus monarchique européen
(l’épisode des perruques le prouve)
encore suffisamment vivace dans l’inconscient collectif,
pour avoir inspiré l’accession à la
Présidence de la République
d’Emmanuel Macron,
avec l’idée que la France avait besoin d’un roi :
schéma éculé d'où le manque d'autorité ? et spirituellement mondial :
1307-2013 :
1307 : bulle de Clément V ordonnant
l’arrestation de tous les templiers du monde ; 2013 :
réconciliation des deux Papes :
Benoît XVI & François (Ier)
Benoît XVI
au Christianisme dogmatique et lucide,
et au XVI de Louis,
amorce du
passage
XVI-XVII,
& François (Ier)
au christianisme aimant, somme toute, templier
et au nom le rattachant à l’origine de la Grande Monarchie Française,
et, par là-même, à la « France fille aînée de l’Eglise » de… Pierre !
XVIII.- Dialogue virus/hôte
aux 2 points de vue complémentaires obligés,
harmonieusement respectueux
en toute complexité,
cf. Scriptorale.
Prenant le cas du virus EBV de l’herpès (Virus du baiser), Ali Saïb signale qu’iIl conduit à une pathologie assez bénignedans nos pays : la mononucléose infectieuse. En Afrique ou en Asie du Sud-Est, il va conduire à l’apparition d’une tumeur, d’un cancer extrêmement mortel.
Ali Saïb conclut, pour ce cas où c’est le même virus, localisé sur des continents différents, qui engendre des résultats opposés : « il y a un dialogue entre le virus et l’organisme, où il cherche à s’installer, et ce qu’il faut savoir, c’est dans quelle mesure il conduit à une pathologie ou à une absence de pathologie. Le virus est l’un des paramètres qui va conduire à la pathologie, mais seulement l’un des paramètres. dans un contexte culturel, alimentaire, qui va permettre ou non l’émergence d’une pathologie. »
Autre exemple pris par Ali Saïb : « les virus foamy, les rétrovirus que j’évoquais tout à l’heure, dit-il, sont des rétrovirus qui ont à peu près la même structure moléculaire que les virus VIH, à l’origine du SIDA, mais ces virus ne conduisent à aucune pathologie. Donc, ce qu’il est intéressant de noter, c’est de comprendre tout ce dialogue qui s’instaure entre le virus et l’organisme pour savoir dans quelle mesure ce dialogue va conduire à la pathologie et dans quelle mesure il va conduire à l’absence de pathologie. »
Ayant ainsi montré, que le même virus,
ou deux virus ayant à peu près la même structure moléculaire,
conduisent ou non à une pathologie,
il s’arrête sur la nécessité de la compréhension du dialogue qui s’est instauré
entre le virus et son organisme hôte potentiel,
en insistant sur la nécessité d’avoir deux points de vue totalement
complémentaires.
« Du coup, poursuit Ali Saïb, c’est regarder ce dialogue avec deux points de vue totalement complémentaires, et étudier ces deux points de vue complémentaires est extrêmement important pour comprendre le devenir d’une infection virale. Effectivement, lorsqu’on étudie un virus pathogène, on est censé définir pourquoi ce virus va conduire à la maladie. De la même manière, il est tout aussi intéressant de comprendre pourquoi ce virus ne va pas conduire à la pathologie. Et la compréhension de ce dialogue va nous permettre d’orienter par des approches thérapeutiques des virus qui conduisent à la maladie vers des virus qui ne conduisent pas à la maladie. »
Je m’occupe personnellement, Monsieur Bœuf, du Vivant et de la biodiversité
dans le domaine spirituel de la Création humano-divine :
mon sujet de départ, qui s’est formidablement étoffé depuis, était : la Création artistique, et d’abord musicale,
comme terrain d’expérimentation du rapport des formes d’esprit de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation improvisatrice (Respectueuse) « Respectueuse »
ayant été ajouté à la suite, d’un questionnement, lui aussi complexe,
qui me conduisit à une Destruction-Transformation,
non des originaux de la Composition-Interprétation de départ,
mais de leur copie, de l’idée que l’on s’en fait,
ceci permettant, en 4 Destructions-Transformations
de 4 Compositions-Interprétations,
de déboucher sur une connaissance de celle-ci,
qui est une véritable co-naissance avec elle.
(Cf. ce processus)
19 (ce nombre divin !) coïncidences disent que
Scriptorale
est la Jérusalem Céleste de l’Apocalypse de Jean l’Evangéliste : Jérusalem Céleste aux « 5 Arbres de Vie »,
au « Fleuve de Vie »,
au « Livre de Vie » :
sa Biodiversité. (Cf. 9).
Je n’ai, bien évidemment, pas la prétention, d’avoir trouvé cela seul :
Je ne suis qu’un serviteur guidé par de nombreux Pères et Mères spirituels,
au premier rang desquels il y a Toi, Très Sainte Trinité que je salue,
la Vierge Marie, Jean l’Evangéliste, Jacques de Molay,
Louis XVI-XVII, Mozart, Ionesco, Joseph le Livre…
Mais, revenons rapidement à Ali Saïb
et à vous-même Monsieur Bœuf,
pour terminer :
Lorsqu’Ali Saïb écrit qu’il faut regarder le dialogue entre le virus et son hôte potentiel « avec deux points de vue totalement complémentaires, et qu’étudier ces deux points de vue complémentaires est extrêmement important pour comprendre le devenir d’une infection virale, »
pas seulement d’une infection virale, ajouterai-je, puisque c’est exactement
le mode de fonctionnement, qui m’a été montré pour Scriptorale / Jérusalem Céleste,
entre le point de vue de la Composition-Interprétation et celui de
la Destruction-Transformation Respectueuse,
le dialogue entre les deux menant à
la Co-Naissance avec la
Jérusalem Céleste,
quant à l’exigence de respect
source d’harmonie,
je pense que vous vous y retrouvez, sans problème,
Monsieur Bœuf !
Ne vont-ils pas dans le sens de l’évolution de la science :
évoquant « l’idée qu’un virus puisse être utile à un organisme qu’il va infecter » (Ali Saïb) ? sachant, aujourd’hui, en bactériologie, « qu’on vit un corps, qui est un écosystème entre cellules humaines et cellules bactériennes nous permettant, à la fois, de digérer, et, à la fois, de produire certains constituants de notre organisme ? » (Ali Saïb)
et pensant, aujourd’hui, en virologie, « que ces virus peuvent également être utiles à cet écosystème qu’est l’organisme ? (…) que pour l’homme, la formation du placenta est due à un virus ? » (Ali Saïb)
Ali Saïb, conclut sur la relation manichéenne : virus – prédateur / organisme hôte – proie, en disant : « Donc on voit bien qu’aujourd’hui, cette vision manichéenne et, on va dire, extrêmement rigide de notre relation entre (…) le monde vivant et l’interaction entre les virus, n’est plus d’actualité et qu’on pense que la relation va être beaucoup plus complexe et c’est cette complexité qui est aujourd’hui l’objet de toutes les études. » (Ali Saïb)
Eh bien, il n’y a, sans doute, rien d’étonnant
à ce qu’exactement la même conclusion
convienne au passage de la spiritualité binaire
et, somme toute, extrêmement rigide,
de l’actuelle Composition-Interpréttation,
à la spiritualité ternaire, incluant
l’Improvisation destructrice-transformatrice respectueuse.
Pour en donner une petite idée, sur le plan politique :
sauf erreur de ma part,
il n’y aura plus
ni roi, ni Président,
mais un coordinateur
descendant au moins spirituel
de Louis XVI
et coordinateur
de deux gouvernements
d’élévation et d’ouverture,
portés par deux derniers ministres
(cf. gilets jaunes)
Très Sainte Trinité, me voici arrivé à la fin de cette lettre ouverte que Tu m’as, je le crois, demandé d'écrire, en m’appuyant sur les travaux de Messieurs Gilles Bœuf et Ali Saîb, lus à la lumière de la foi que Tu m’as, je le crois aussi, donnée. J’espère que, conformément à l’Evangile de Jean, je n’ai pas parlé de moi-même et n’ai dit que ce que j’ai entendu, de Ta part et de celles de Messieurs Gilles Bœuf et Ali Saïb. Très respectueusement à Toi et à vous deux, Messieurs Boeuf et Saïb.
En guise de signature,
je me permets de donner quelques bribes
de ce qui, je le crois, m'autorise
à dire ce que je dis :
XIX.- EN GUISE DE SIGNATURE, je me permets de donner
quelques bribes
de ce qui, je le crois,
m'autorise à dire ce que je dis :
Prénoms, nom : Alain, François, Léon BOUHEY
Né le : 16.2.1949.
Commentaire :
1ère apparition du XVI de Louis Père 1949 : 19 et 49 : 19 : Dieu dans le covid 49 : dernier cercle de l’évolution spirituelle
Saint Alain (1ère date) : 16.7.
Commentaire :
2ème apparition du XVI de Louis Père
7 = r.t. (réduction théosophique) de 16
Mariage :
16.7.71 (civil)
17.7.71 (religieux)
Commentaire :
3ème apparition du XVI de Louis Père
1ère apparition du XVII de Louis Fils XVI-XVII : passage du rationnel au spirituel 71 : opposé de 17 par rapport à 7, r.t. de 16 : l'indispensable second point de vue complémentaire
de Monsieur Ali Saïb
Saint Alain (2ème date) : 9.9.
Commentaire :
est-ce l'année du mariage ?
Toujours est-il que ce changement a en ligne de mire
le "mil neuf cens nonanate neuf sept mois" du quatrain X, 72 de Nostradamus
Nom africain : Tala FALL
Commentaire :
à chaque nom africain correspond un animal de la brouse,
à FALL correspond le chameau traverseur du désert
Anagramme de BOURBON CAPET : BON CAP BOURET
Commentaire :
le R de BOURET n'est pas le H de BOUHEY,
toutefois, il est légitimé par mes étudiants taïwanais,
qui prononçaient mon nom B'POUREY