Après François
Mitterrand, qui parla de Dieu et s'en remit à saint François
d'Assise et sainte Thérèse de Lisieux (cf. mythe_errant.htm#dieu),
après la Russie de Poutine qui se tourne également vers
Lui, c'est donc maintenant George W. Bush, qui après avoir rencontré
Jésus, dit être guidé par le Seigneur pour la conduite
de l'état le plus puissant du monde.
Cela va dans le sens de la Résurrection annoncée de la
grande monarchie française de droit divin, en la personne du
grand monarque, descendant de Louis XVII et lieutenant du Christ (cf.
interpretation.htm).
Toutefois, à la différence des rois de France, qui guérissaient
les écrouelles, le président américain ne donne
aucune preuve de l'approbation divine de sa politique. C'est ce que
la chrétienté pourra lui reprocher, s'il échoue
dans sa "croisade" anti-islamiste pour la liberté de
l'humanité. Et c'est pourquoi, la prochaine étape de la
relation au Tout-Puissant de tout homme qui se croit providentiel devrait
commencer par Lui donner la parole.
C'est précisément ce que fait votre serviteur : Au centre
d'un réseau de signes d'une densité et d'une cohérence
qui l'ont stupéfié, réseau de signes lui disant
qu'il est le grand monarque descendant de Louis XVII, et que ce grand
monarque est, dans le Christ, le Roi des rois de l'Apocalypse de Jean
(cf. etreinte_suite.htm#y=c, etreinte_suite.htm#sig,
etreinte.htm, nost_9_20.htm,
tresor_royal.htm#inv, etc... etc...),
il mit tout d'abord ce réseau en examen de 1982 à 1995
; ensuite, il s'en détacha, objectivant sous le nom de Y
la partie de lui concernée
par les signes pour la livrer à autrui sur papier, puis sur internet
(le présent site Scriptoral).
L'idée de base de sa démarche est très simple :
Dieu paraît vraiment dire à votre serviteur qu'il est le
grand monarque, personnage dont le règne doit nécessairement
arriver ; si cela est exact, Dieu le dira aussi, d'une façon
ou d'une autre, à tous les lecteurs de ce site.
A partir de là, il envisage deux possibilités :
|