SOMMAIRE MUSIQUE LETTRES OUVERTES
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NOSTRADAMUS
ET LE G
RAND DEBAT NATIONAL
(le 26/02/2019)

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(Résolution optimale : 1920 x 1080, photo d'arrière- plan:
le Christ de la mosquée-cathédrale de Cordoue en Espagne)


 

L'auteur :
Prénoms, nom : Alain, François, Léon BOUHEY,
Pseudonymes : Tala FALL (le Chameau) & ABOUHEY-YEHOUBA,
Âge : 70 ans, le 16 février 2019,
Distinction : Parkinsonien,
Appréciations du pouvoir médiatique :
« Shut up ! (…)
Tu ne sais pas te servir de Twitter (…)
Tu n’as pas recopié le twitt parce que tu as honte de ce que tu écris (…)
Ma poule, tu es vexée par ce que je te dis (…)
Artistiquement, tu es morte et humainement, tu ne vaux pas mieux. »
(Agnès LEGLISE, journaliste culturelle, à Alain BOUHEY, sur Facebook, extraits).
Membre : Membre du corps des soi-disant « INACTIFS »,
Taillables et corvéables à merci :
Les RETRAITÉS.

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1792-1999




Lundi, 26 février 2019

     Pour mémoire : les prophéties de Nostradamus (1503-1566) contiennent deux dates précises :

  • « Mil sept cens nonante deus » que l'on cuydera estre une renovation de siècle" : 1792, l'abolition de la monarchie !... ( Lettre à Henry Roi de France Second),
  •  « Mil neuf cens nonante neuf sept mois » : 1999, dont j’ai donné une interprétation rendant compte de toutes les données du quatrain, mise en musique sous le titre Mehr Licht ! II (cf. Mehr Licht ! II). Elle concerne un évènement grave survenu le 4 février 1994, à Rennes, pour une résurrection le 4 octobre 1999  : un grand roy d’effrayeur (la révolte des marins pêcheurs bretons) est bien venu frapper du ciel (la fusée éclairante arrivée dans les combles du Parlement de Bretagne, qui y mit le feu) un symbolique grand roy d’angolmois (le parlement de Bretagne né, du vivant de Nostradamus, en 1554, sous le roi Henri II – valois-angoulême -, et symbole du pouvoir royal en Bretagne. L'émeute qui le détruisit fut précisément dirigée contre Edouard Balladur, Premier ministre de cohabitation de François Mitterrand ; Edouard Balladur que la presse brocarda en... Louis XVI, et François Mitterrand qu'elle représenta en... François Ier, et qui, de plus était de Jarnac, en Angoumois, Jarnac dont le "coup" fut donné en 1547 ; 1547, à la jonction des règnes de François Ier et Henri II. Les deux têtes de l'exécutif français visé par l'émeute de 1994 joignaient donc, dans l'imaginaire collectif, les deux extrémités de la grande monarchie française (François Ier – Louis XVI). Détruit le 4 février 1994 (L’incendie poursuivit même, jusqu’en Ile de France, des vestiges rescapés en restauration…) le parlement ressuscita le 4 octobre 1999, lorsque la Cour d’Appel le réintégra.


     Je participai à cet évènement.

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DEUX DATES LIEES





 

     Ces deux dates sont liées, puisqu’elles vont de l’abolition de la monarchie à sa résurrection, en la personne de celui que Nostradamus nomme le grand Roy d’Angolmois, le grand Monarque ou Chyren. Un réseau de signes d’une densité et d’une cohérence extraordinaires (cf. Signes) me fit penser, en 1982, que j’étais cette personne. Je créai un double de moi-même que j’appelai Y et je le chargeai de ces signes pour observer ce qui se passait.

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DEVENIR DU TRÔNE DE FRANCE




    
     Ce réseau de signes me dit que, loin d’avoir laissé libre le trône de France, comme le pense le Président Macron, la décapitation de Louis XVI permit de confier le devenir de la descendance royale, dans le passage 1792-1999, au Maître de l’Inversion des Lumières : Mozart–Trazom dont les dates : 1756-1791, sont centrées au cœur de celles de Louis XVI : 1754-1793 :

  • Mozart-Trazom, qui devint ainsi l’époux spirituel de Marie-Antoinette, accomplissant la promesse d’enfant qu’il avait faite à cette dernière : en effet, ayant glissé sur le parquet ciré du Palais de Schönbrunn, ne déclara-t-il pas à Marie-Antoinette qui l’aida à se relever, qu’il l’épouserait quand il serait grand, ajoutant, dans sa naïve et inconsciente fierté de petit grand artiste, à l’intention de l’impératrice-mère, que ce serait pour… récompenser la princesse de sa bonté ?,
  • Mozart-Trazom dont la seule représentation picturale en France est le tableau Thé à l’Anglaise chez le Prince de Conti, dans le Salon aux Quatre Glaces du Palais du Temple, face au terrible donjon. C’était en 1766, il avait 10 ans ,
  • Salon aux Quatre Glaces, où Marie-Antoinette vint fêter ses relevailles de la naissance de Louis XVII, celui-là même de la descendance royale dont Mozart-Trazom, selon mes signes, commença de prendre en charge l’évolution (cf. Y et Mozart et Y et Louis XVI),
  • Mozart-Trazom dont le corps fut placé, le 6 décembre 1791, dans les seize corps d’une fosse communautaire, comme s’il se glissait dans le nombre de Louis XVI,
  • Mozart, dont j’ai transcrit, écrit les cadences et interprété le concerto KV 314 (cf. Concerto KV 314),
  • et Mozart-Trazom, dont, avec Yochk’o Seffer, nous avons inversé le Requiem (cf. Trazom),
  • Inversion des Lumières, condition sine qua non, pour inverser la pyramide du pouvoir créateur, inversion réalisée avec Scriptoral, et issue, selon mes signes, de l’éducation mozartienne de la descendance royale, devenue coordinatrice des trois formes d’esprit de composition-interprétation / improvisation radicale de l’humanité, fonctionnant en quatre temps de composition-interprétation /destruction-transformation respectueuse, où le roi dominateur est devenu coordinateur « sous-mis », au point de départ de la pyramide inversée, à partir duquel l’élévation de la lumière s’ouvre et son ouverture s’élève,
  • évolution coordinatrice, aboutissant, selon mes signes, par le vigneron François Bouhey (mon arrière-grand-père), le commis-vigneron Louis-François Bouhey (mon grand-père) et le clerc de notaire Aristide François Bouhey (mon père), au saxophoniste-écrivain-vidéaste Alain, François, Léon Bouhey : moi-même. (Remarquons au passage, que tout cela n’a plus rien de germanique et est bien françois-français. Remarquons aussi, que, né le 21 septembre 1874, mon grand-père réunit dans cette date, le centenaire du début du règne de Louis XVI – 1774-1792 - et les jour et mois, 21 septembre, en 1792 de sa fin  et de l’abolition de la monarchie).

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SORTIE DE RESERVE





 

     Si je sors d’une réserve de trente-sept ans, c’est qu’il me semble que Nostradamus sort, lui aussi, de la sienne, car il m’est arrivé quelque chose de bien étrange ce 26.02.2019, qui peut être pris pour un triple signe envoyé par le célèbre prophète.
     En effet, alors que, ce jour-là, j’avais quitté le groupe du Grand Débat National, en raison de ses inadmissibles censures des extraits de République Scriptorale pour Grand Débat National, que je lui avais communiqués (cf.République Scriptorale pour Grand Débat National), un installateur de bureau travaillait à la maison. Lorsqu’il nous donna sa facture, ma femme eut la surprise de constater qu’il s’appelait Romain… Nostradamus !!! Celui-ci lui confirma qu’il descendait bien du prophète. Je vis, là, la possibilité d’un signe fort de ce dernier, réagissant à ma prise de position, et vraisemblablement l’approuvant, d’autant plus que je n’étais pas seulement concerné au premier chef par le nom de l’installateur, mais aussi par son prénom : Romain, qui évoque l’église catholique. En effet, je viens de Saint-Romain, petit village de Côte d’Or, d’où ma mère est native et où je passai toutes les vacances de mon enfance (cf. Saint-Romain). Le signe a un troisième volet, car, d’une façon inexpliquée, les habitants de Saint-Romain-le-Haut sont appelés les arabes, et ceux de Saint-Romain-le-Bas, les bédouins, or toute ma recherche scriptorale sur l’enchaînement des formes d’esprit, relie, entre autres, le judéo-christianisme romain à l’islam des arabes et des bédouins… Par ailleurs, on me surnomma, au Sénégal, Tala Fall, et l’animal de la brousse correspondant au nom de Fall, est le… chameau ! 

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CHYREN :
EMMANUEL MACRON ou ABOUHEY-YEHOUBA ?





 

     Nostradamus ayant annoncé, au passage du second au troisième millénaire, la venue de ce Grand Monarque, qu’il nomme Chyren, il est fort probable qu’Emmanuel Macron, lorsqu’il parle d’occuper la place laissée vide par la décapitation de Louis XVI, se pense plus Chyren que le roi-martyr.
     Personnellement, l’extraordinaire densité du réseau de signes auquel je me trouve confronté, me fait également penser que je peux être Chyren. Mais, le vieux bonhomme de 70 ans, parkinsonien aux multiples prothèses et en rupture d’énergie, que je suis devenu, face à un Emmanuel Macron qui en déborde, peut-il encore être ce Chyren ? Si oui, est-ce par la survenue d’un providentiel second souffle, ou, plus vraisemblablement ? par la compréhension, moi disparu, de l’intérêt pour le vivre ensemble, du message scriptoral (cf. Scriptoral), que je peaufine depuis 49 ans ?

P. S. : Quelqu’ouvert d’esprit qu’il se prétende, la présente façon d’envisager le monde est rejetée par le Grand Débat National : ses modérateurs, sur FaceBook, ont censuré, ces jours derniers, la quasi-totalité de mes fichiers, sur le vivre ensemble, raison pour laquelle j’ai quitté ce groupe, le 26.02 dernier, après quoi Nostradamus s’est manifesté dans le nom de son descendant. Va-t-il entrer en lice, ce qui serait, pour le coup, une vraie ouverture ? « Wait and see !»

 

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