Ce réseau de signes me dit que, loin d’avoir laissé libre le trône de France, comme le pense le Président Macron, la décapitation de Louis XVI permit de confier le devenir de la descendance royale, dans le passage 1792-1999, au Maître de l’Inversion des Lumières : Mozart–Trazom dont les dates : 1756-1791, sont centrées au cœur de celles de Louis XVI : 1754-1793 :
- Mozart-Trazom, qui devint ainsi l’époux spirituel de Marie-Antoinette, accomplissant la promesse d’enfant qu’il avait faite à cette dernière : en effet, ayant glissé sur le parquet ciré du Palais de Schönbrunn, ne déclara-t-il pas à Marie-Antoinette qui l’aida à se relever, qu’il l’épouserait quand il serait grand, ajoutant, dans sa naïve et inconsciente fierté de petit grand artiste, à l’intention de l’impératrice-mère, que ce serait pour… récompenser la princesse de sa bonté ?,
- Mozart-Trazom dont la seule représentation picturale en France est le tableau Thé à l’Anglaise chez le Prince de Conti, dans le Salon aux Quatre Glaces du Palais du Temple, face au terrible donjon. C’était en 1766, il avait 10 ans ,
- Salon aux Quatre Glaces, où Marie-Antoinette vint fêter ses relevailles de la naissance de Louis XVII, celui-là même de la descendance royale dont Mozart-Trazom, selon mes signes, commença de prendre en charge l’évolution (cf. Y et Mozart et Y et Louis XVI),
- Mozart-Trazom dont le corps fut placé, le 6 décembre 1791, dans les seize corps d’une fosse communautaire, comme s’il se glissait dans le nombre de Louis XVI,
- Mozart, dont j’ai transcrit, écrit les cadences et interprété le concerto KV 314 (cf. Concerto KV 314),
- et Mozart-Trazom, dont, avec Yochk’o Seffer, nous avons inversé le Requiem (cf. Trazom),
- Inversion des Lumières, condition sine qua non, pour inverser la pyramide du pouvoir créateur, inversion réalisée avec Scriptoral, et issue, selon mes signes, de l’éducation mozartienne de la descendance royale, devenue coordinatrice des trois formes d’esprit de composition-interprétation / improvisation radicale de l’humanité, fonctionnant en quatre temps de composition-interprétation /destruction-transformation respectueuse, où le roi dominateur est devenu coordinateur « sous-mis », au point de départ de la pyramide inversée, à partir duquel l’élévation de la lumière s’ouvre et son ouverture s’élève,
- évolution coordinatrice, aboutissant, selon mes signes, par le vigneron François Bouhey (mon arrière-grand-père), le commis-vigneron Louis-François Bouhey (mon grand-père) et le clerc de notaire Aristide François Bouhey (mon père), au saxophoniste-écrivain-vidéaste Alain, François, Léon Bouhey : moi-même. (Remarquons au passage, que tout cela n’a plus rien de germanique et est bien françois-français. Remarquons aussi, que, né le 21 septembre 1874, mon grand-père réunit dans cette date, le centenaire du début du règne de Louis XVI – 1774-1792 - et les jour et mois, 21 septembre, en 1792 de sa fin et de l’abolition de la monarchie).
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