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LETTRE OUVERTE AU TRES SAINT-PERE
LE PAPE FRANCOIS

Objet : demande d'une reconnaissance du pape François

Brahman : mot sanskrit qui désigne, dans la pensée hindoue, l'absolu dont tout procède,
fondement et cause ultime de tout ce qui existe.
(https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/brahman/10899)

Brahmâ, Vishnou et Shiva sont des divinités suprêmes hindoues qui représentent la création
(pour Brahmâ), la préservation (pour Vishnou) et la destruction (pour Shiva).
Ils constituent une forme de trinité ou « trimūrti. »(https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/brahman/(10899).

Très Saint-Père,

       Les terribles évènements de ce début juillet 2023 ont montré une jeunesse souvent encore mineure, qui tenait en échec les forces policières les plus expérimentées de notre France, la fille aînée de l'Eglise, où, à la différence des pays islamiques, toute considération religieuse et spirituelle est absente du débat politique.

       Par conséquent, il y a tout à faire pour redonner aux jeunes de notre pays l'enthousiasme de la Création d'un monde de pleine Lumière, conduit par la Sainte-Trinité, à l'écoute, éclairée par l'Esprit Saint, de son prophète. Toutefois, comme le montre la Création Scriptorale d'inspiration, je le crois, divine, cette Création n'est pas évidente pour bon nombre de chrétiens, qui ne commentent aucun de mes témoignages.

       Or, il est deux points fondamentaux de la doctrine islamique à revoir aujourd'hui : d'une part, l'unicité de Dieu, et, d'autre part, la place de Muhammad dans la suite des prophètes, telle que le témoigne la SHA - HA - DA, premier des cinq piliers de la foi islamique, dont la traduction française la plus courante est :

«  Je témoigne qu'il n'y a pas de dieu en dehors de Dieu et que Mahomet est Son prophète et Son envoyé. » (Cf. Wikipedia.)

       Il n'y a qu'un seul Dieu pour l'Islam et Muhammad n'est plus son dernier prophète après qui tout est dit. Cela est faux, depuis la stupéfiante exactitude des prophéties de Nostradamus.
      
        L'unicité de Dieu :

« Au commencement le Verbe était
et le Verbe était avec Dieu
et le Verbe était Dieu.
Il était au commencement avec Dieu. »

       Dieu est donc le Verbe. C'est Saint Jean qui nous le dit au début de son Evangile (I. 1-2). Mais il existe un autre Etre, qui "parle" comme le Verbe et exprime la Vérité de ce dernier, suivant le ton qu'il Lui donne. Il est, avec Dieu, au commencement du commencement : c'est la Musique. C'est pourquoi, ici, "composition" désigne aussi bien une création littéraire, voire même, toute sorte de création, qu'une composition musicale (cf. "L'Evolution de l'Univers selon Scriptoral").
        Or, dans la musique, il s'est produit, au début du XXème siècle, née de la sueur, du sang et des larmes, en un mot, de la terrible misère de l'esclavage des noirs, la douloureuse révolution du Jazz, qui opposa les musiciens compositeurs et interprètes de l'écriture et ceux, improvisateurs, de ce nouvel oral imparfait, dont l'imperfection a tout autant de valeur que la perfection scripte. C'est cette égalité de valeur, de l'Elévation verticale et de l'Ouverture horizontale, qui est tellement difficile à accepter, bien que ce soit pourtant le Principe même de fonctionnement de la Sainte Croix, qui aboutit à la Jérusalem Céleste et qui m'est révélé sous le nom de Scriptoral, de cela, de cette Apocalypse-là, je dois témoigner

Trois formes d'esprit donc, de
Composition-Interprétation / Improvisation
fonctionnant en quatre temps de
Composition-Interprétation / Destruction R.-Transformation
se retrouvant dans la Sainte-Trinité en
Judaïsme-Christianisme / Esprit R. - Saint
où R., mis pour "Respectueusement", qualifie la Destruction,
et représente l'un des principaux apports de cette Apocalypse Scriptorale.
Irrespect / Respect
en effet,
ce que révèle, entre autres, Scriptoral(e),
c'est que, si l'idée que l'on se fait de la destruction
est, au premier abord,
irrespectueuse,
en ce sens qu'elle fait disparaître
autrui et son monde objectifs, qui nous sont extérieurs,
ce qui constitue un appauvrissement de la Création,
alors qu'il suffit d'intérioriser respectueusement une image de cette Création,
de détruire en nous, pour nous en libérer, cette image intérieure et subjective,
sans toucher moindrement à son existence objective.
Il y a alors enrichissement de la Création
(Cf., dans le croquis ci-dessous :
I - II / III R - IV
au lieu d'un retour à 0,
dans un éternel
mythe de Sisyphe,
anéantissement de l'Evolution Créatrice,
multiplant guerres, inondations, tremblements de terre,
mort et désolation sur la planète en fureur).

A partir de l'Oral, 0 du script : I - II / III - IV : LE PREMIER CYCLE CREATEUR & 0 / I - II : LE PREMIER ARBRE DE VIE
0.- 0 de l'écrit dans la Lumière de L'inspiration	I.- Esprit vertical ascensionnel de Composition, du Créateur-Père : YHWH, dans le judaîsme, Brahma, dans l'hindouisme,	II.- Esprit vertical ascensionnel d' Interprétation du Préservateur-Fils Jésus-Christ, dans le Christianisme, Vishnou, dans l'hindouisme,	III.- Esprit 1/2 horizontal descendant, de Destruction du Destructeur- Fils prodigue (vacarme) Esprit-... dans le Christianisme, Shiva, dans l'hindouisme, Allah, dans l'Islam,	IV.- Esprit 1/2 horizontal remontant, de Transformation du -Transformateur Fils prodigue (harmonie) ...-Saint dans le Christianisme, ? dans l'hindouisme Allah, dans l'Islam,
SCRIPTORAL(E) SANS LUMIERE		SCRIPTORAL(E) - LUMINEUSE JERUSALEM CELESTE sa réalisation en 16 /17 Temps Créateurs 5 Arbres de Vie.

       Trinité des Formes d'Esprits et quartette des Temps Créateurs,
tels que me les ont dévoilés, pour la création artistique,
celui que Nostradamus appelle Zerfes.

Toute l'Education que m'a donnée, je le crois,
depuis ma naissance,
en premier lieu,
l'Esprit-Saint.

       Par conséquent, il y a tout à faire pour redonner aux jeunes de notre pays l'enthousiasme de la Création d'un monde de pleine Lumière, conduit par la Sainte-Trinité, à l'écoute, éclairée par l'Esprit Saint, de son prophète. Toutefois, comme le montre la Création Scriptorale d'inspiration, je le crois, divine, cette Création n'est pas évidente pour bon nombre de chrétiens, qui ne commentent aucun de mes témoignages.

ISLAM
en noir : mes commentaires
en bleu : le texte du Coran
en rouge : Mohammed Arkoun
Allah :
Destruction (respectueuse ou irrespectueuse ?) - Transformation
des Pâques juive et chrétiennes                                        

            Muhammad se définit, lui-même, comme le dernier prophète, or les prophètes sont au Verbe divin, ce que les improvisateurs sont à la musique et au verbe humains. Ce qu'ils expriment, qui jaillit de leur bouche n'est pas retouchable, pour eux, comme Il l'écrit :

       « Les musulmans disent que le Coran est "descendu", que Mohamed n'en est pas l'auteur mais qu'il est seulement le transmetteur de la parole d'Allah. De ce fait, ils considèrent que ce Livre est intouchable. » (Coran, V, 72, Éditions Flammarion) ;

       La forme d'esprit de l'improvisateur destructeur-transformateur respectueux est comme l'image, l'écho, de celle d'Allah transmise par Muhammad. Ainsi, Allah demande le respect des Livres juif et chrétien :

            (Ce dernier Livre, c'est l'Injil, l'Evangile arabe),

ou encore :

       « "Dites : Nous croyons en Dieu et à ce qui a été envoyé d'en haut à nous, à Abraham et à Ismaël, à Isaac, à Jacob, aux douze tribus, aux livres qui ont été donnés à Moïse et à Jésus, aux livres accordés aux prophètes par le Seigneur, nous ne mettons point de différence entre eux et nous sommes résignés à la volonté de Dieu." » (Coran, II, 130, Éditions Flammarion) ;

tout en en détruisant et transformant l'essentiel, que sont les deux Pâques :

• pour le Coran, Moïse n'a pas amené les hébreux en Terre Promise, il les a renvoyés en Egypte :

.       « Lorsque vous avez dit : "O Moïse ! nous ne pouvons supporter une seule et même nourriture ; prie ton Seigneur qu'il fasse pousser pour nous ces produits de la terre, des légumes, des concombres, des lentilles, de l'ail et des oignons; " Moïse vous répondit : "Voulez-vous échanger ce qui est bon contre ce qui est mauvais ? Eh bien rentrez en Égypte, vous y trouverez ce que vous demandez." Et l'avilissement et la pauvreté s'étendirent sur eux, et ils s'attirèrent la colère de Dieu, parce qu'ils ne croyaient pas à ses signes et tuaient injustement leurs prophètes. Voilà quelle fut la rétribution de leur révolte et de leurs méchancetés. » (Coran, II, 58, Éditions Flammarion) ;

• Quant à Jésus, toujours pour le Coran, il n'a pas pu ressusciter, pour la bonne raison qu'il n'a jamais été crucifié :

       « Ils disent : "Nous avons mis à mort le Messie, Jésus fils de Marie, l'apôtre de Dieu." Non, ils ne l'ont point tué, ils ne l'ont point crucifié, un autre individu qui lui ressemblait lui fut substitué, et ceux qui disputaient à son sujet ont été eux-mêmes dans le doute (...) » (Coran, IV, 156, Éditions Flammarion).

       De même que l'improvisateur refuse tout "repentir" par rapport à son improvisation, comme une atteinte à son feeling, le Coran refuse la filtration biblique de la parole prophétique :

       « Nous avons accepté le pacte des enfants d'Israël et leur avons envoyé des prophètes ; toutes les fois que les prophètes leur annonçaient les vérités que rejetaient leurs penchants, ils accusaient les uns d'imposture et assassinaient les autres. » (Coran, V, 74, Éditions Flammarion)

       L'aspect moral de ce terme de "repentir" montre bien, que pour la forme d'esprit biblique et évangélique de composition-interprétation, le verbe prophétique et l'improvisation contiennent plein de fautes, ce qui signifie, pour prophètes et improvisateurs : plein de vérité et de vie. C'est sur ce plan qu'Allah s'oppose complémentairement à YHWH et au Dieu trinitaire. Autre temps, autre forme d'esprit dominante, voilà qui pourrait bien expliquer que, si, chez les juifs, les prophètes finissaient souvent mal, Muhammad, chez les arabes, ait fini au mieux. (Notre époque, d'ailleurs, est friande d'improvisation, et, comme par hasard, l'Islam y progresse.) Mohammed Arkoun confirme, dans sa préface du Coran publié par Flammarion, que ce sont la spontanéité et le premier jet qui priment dans ce Livre :

       « Le langage coranique (...) est spontané : c'est un jaillissement continu de certitudes qui ne s'appuient pas sur une démonstration, mais sur une profonde adéquation aux éléments permanents de la sensibilité humaine. » (Mohammed Arkoun, Coran, 4ème trimestre 1970, Éditions Flammarion Flammarion) ;

       Liée à cette spontanéité, il y a, tout naturellement, la volonté de ne se servir de l’écriture que comme d’un moyen de fixation asservi aux exigences de l’improvisateur, de lui dénier cette capacité qu’elle a de propulser les compositeurs - interprètes vers le haut, de les faire dépasser leurs limites :

       « O vous qui avez reçu les Ecritures, ne dépassez pas les limites dans votre religion, ne dites de Dieu que ce qui est vrai. Le Messie, Jésus fils de Marie, est l'apôtre de Dieu et son Verbe qu'il jeta en Marie : il est un esprit venant de Dieu. Croyez donc en Dieu et en ses apôtres, et ne dites point : il y a Trinité. Cessez de le faire. Ceci vous sera plus avantageux. Car Dieu est unique. Loin de sa gloire qu'il ait eu un fils. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Son patronage suffit, il n'a pas besoin d'un agent. » (Coran, IV, 169, Éditions Flammarion) ;

       Remarquez que, dans cette traduction, Jésus est le Verbe de Dieu qu'Il "jeta" en Marie, et non un "souffle" qu'il "introduisit", termes employés dans "Dieu", Ed. Robert Laffont, p. 150.

       "(...) la naissance virginale de Jésus est reconnue : il est né, dit le Coran, d'un souffle introduit par Dieu en Marie."

       Quelle est la bonne traduction ? Il est sûr que "jeta" correspond beaucoup plus à la forme d'esprit destructrice - transformatrice. L’improvisation destructrice - transformatrice fonctionne en ouverture du champ des contradictions, la composition – interprétation en élévation par résolution de ces contradictions, et il est très intéressant de voir que Mohammed Arkoun tend à cacher sa tête dans le sable, par rapport à tout ce champ contradictoire ouvert par le Coran, cette mémoire détruite et transformée 

       Mohammed Arkoun ne se révèle-t-il pas là comme un adepte du "repentir" compositionnel, quand il conviendrait mieux, de relever toutes les contradictions du Coran, de les mettre en lumière, comme autant de preuves de leur nécessité, dans l'évolution créatrice ? Nécessité dans l'Evolution Créatrice de ces Temps III et IV de Destruction R - Transformation, qui sont ceux de l'Esprit R - Saint (remarquons au passage ce clin d'oeil de l'Esprit-Saint, écrit "S-pri-R- Saint" et prononcé "S--Prière - Saint !")

Esprit R - Saint =

S-Prière - Saint








ESPRIT-SAINT
VACARME - HARMONIE
DESTRUCTION R - TRANSFORMATION
PAPE FRANçOIS - ABOUHEY-YEHOUBA

    et cela, compte-tenu de la Lumière, dont je dois témoigner en cette apocalypse, selon Michel de Nostre-Dame, qui ne m'a jamais trompé jusque là, me plaçant au Pied de la Croix de Notre Seigneur Jésus- Christ :

« On gravera d'un grand prince cinquiesme
L'immortel nom, sur le Pied de la Croix. »

(… L’Esprit-Saint) inspire toujours. Parce qu’il est vivant dans l’Eglise, et que l’on ne peut pas concevoir l’Eglise sans l’Esprit-Saint. C’est lui qui fait les différences, qui fait aussi du « vacarme ». Pensez au matin de la PENTECÖTE. Mais ensuite, il fait l’harmonie. C’est important de parler d’harmonie plus que d’unité. Unité mais harmonie. Pas comme une chose figée. L’Esprit-Saint donne l’harmonie qui est progressive, qui va de l’avant ! J’aime bien ce que dit saint Basile de l’Esprit Saint : « Ipse harmonia est ». Lui est l’harmonie ! Mais c’est l’harmonie, parce qu’avant, il te fait du vacarme avec les différences de charismes différents.

NOUVELLE SIMILITUDE entre les créations humaine et divine : la 3ème forme d'esprit de la création humaine l'improvisation se divise en 2 temps, qui sont, quand elle est radicale, la destruction-transformation respectueuse ou irrespectueuse d'autrui et de ses créations (cf. ci-dessus). Dans la création divine la 3ème Forme d'Esprit de la Sainte Trinité se divise, elle aussi, en 2 temps correspondant à la destruction-transformation respectueuse humaine, ce sont le « vacarme  » destructeur, de l'Esprit aux prises avec la nuit de la connaissance, et «  l'Harmonie » transformatrice de la Sainte Co-naissance avec le Père et le Fils. Ceci explique pourquoi il faut respecter l'ordre III - IV des temps de cette 3ème Forme d'Esprit de la Sainte Trinité et l'appeler non pas Saint-Esprit, mais Esprit-Saint.

Nota : pour le « vacarme  », est-ce l'Esprit-Saint qui me fait penser au départ du fils prodigue, dilapidant l'héritage de son père dans une vie de débauche et, pour «  l'Harmonie », à son retour en toute humilité, où son père organisa la plus belle des fêtes, telle qu'il n'en fit jamais autant pour son premier fils ? Très respectueusement. ABOUHEY-YEHOUBA CHYREN Menu

Très respectueusement.

ABOUHEY-YEHOUBA
CHYREN

 

(6 - 7 )Le moine noir : par-delà l'idée du solitaire parfaitement obscur, lorsqu'il se présenta au CNR de Rennes, Nostradamus met le doigt sur deux éléments concernant ma lignée, en la personne de mon Père, Aristide Bouhey et de moi-même : de conditions modestes, mes grands-parents ne pouvaient pas payer des études à leur fils après le Certificat d'Etudes Primaires. Par contre, ils avaient un couple de cousins, directrice et directeur d'écoles, qui s'étaient engagés à prendre en charge les études de mon père, une fois son Certificat d'Etudes obtenu : il faut croire que le moment d'accéder à cette petite lumière n'était pas venu pour lui, car l'année qui devait la lui ouvrir, fut celle de leur... mort ! Leur nom était MOINE !

(7 - 8) en gris dedans Varennes : Il faut croire que cet accès à une lumière moyenne ("en gris dedans Varennes"), s'est libéré avec ma nomination au CNR-CRR de Rennes. Je vois une confirmation à cela dans le nom de mon éditeur : LEMOINE, mais, pas seulement LEMOINE : HENRY LEMOINE, ce qui précise qui est le moine : CHYREN, autrement dit, Henry V, votre serviteur, le roy qui doit venir, et que Nostradamus présente comme le Lieu-Tenant du Christ en son sixtain S.38 :

On gravera d'un grand prince cinquiesme
L'immortel nom, sur le pied de la Croix. »

Il y a donc 3 degrés de l'absence de couleur à sa plénitude :
- le noir
- le gris : en gris dedans Varennes 30 ans d'inversion de direction : Paris > Varennes en Paris < Rennes
- le blanc : la pierre blanche de Scriptorale - Jérusalem Céleste : premier aboutissement spirituel,
où la Sainte Trinité se livre à un jeu verbal divin, jeu du Père avec le Fils et l'Esprit-Saint, que j'entends ainsi : A quoi passe son temps le Lieu-Tenant du Christ, au nom gravé sur le pied de la Sainte-Croix ? A aller à Rennes : il - "va-à-rennes" - "va-à-RENNES" - "va - A - RENNES" - "VA - A - RENNES" - "VARENNES"- ha - ha - Ha !!!... (Il va à Rennes pendant 30 ans).
En somme,
c'est l'action d'aller à RENNES pendant 30 ans, de le dire,
(RENNES où ressuscite la monarchie les 18 et 19 mars 2000), qui ressuscite le mot VARENNES,
expurgé de tout ce qu'il eut d'impur, de ce que l'action d'y aller eut d'impur,
ce dont la Révolution ne manqua pas de faire ses choux gras.

(9) Esleu cap cause tempeste : J.-C. de Fontbrune voit, dans ce « cap », un magnifique jeu de mot raccourci, par lequel Nostradamus laisse le choix entre caput, la tête en latin et l'abréviation de Capet ; et il traduit : « la tête de Capet mise aux voix, engendre la tempeste... ». Ceci dit, Nostradamus passe à côté d'une toute aussi magnifique exhortation née des deux noms de Louis XVI : Bourbon-Capet, qui est : « Bon Cap Bouret ! » Bouré étant la prononciation taïwanaise du nom de votre serviteur, alias, entre autres, Chyren.

Ce « Bon Cap » de mon « Va-à-Rennes » va d'Est en Ouest,
d'Est en Ouest : d'Eragny sur Oise (49°) > Paris (48°) > Rennes (48°),
alors que la fuite à Varennes, qui allait dans la direction inverse, avait suivi le mauvais cap,
d'Ouest en Est : de Paris (48°) > Clermont en Argonne (48°) > Varennes-en-Argonne (49°). (Cf. la transmigration dans la latitude Nord 48).
Comme on le voit,
les inversions de coordonnées géographiques
se retrouvent dans les autres rapports de la création,
et il est une de ces inversions qui n’a pas encore été exploitée
dans ce passage de Nostradamus, opposant Varennes et Rennes :
- le fuite à Varennes, vers l’Est :
Paris (48°) – Clermont-en-Argonne (48°)  / Varennes-en-Argonne (49°)
48° – 48° - 49°
est inversée, renversée, par
- mes 30 ans de « Va-à-Rennes », vers l’Ouest :
Eragny-sur-Oise (49°) – Paris (48°) – Rennes (48°)
49° - 48° - (48°) :
On constate que l’inversion est presque parfaite :
- inversion des directions : Est / Ouest,
inversion des latitudes :
48° – 48° - 49° / 49° - 48° - (48°),
et il aura fallu 30 ans de « Va-à-Rennes » répétés chaque semaine travaillée,
pour inverser l’égarement royal d’une nuit et pour faire entrer
la monarchie française dans une nuit de
208 ans – 8 mois – 26 jours
(21.6.1791 – 18.3.2000) !
En fait, c’est comme si celle-ci
était à l’abri, dans ce 48ème degré,
qui la reliait à Attila, le chef des Huns
auquel, Zerfes, toi, qui m'as dévoilé le Premier Cycle Créateur,
tu es énergétiquement relié ;
dès qu’elle en est sortie, en bifurquant à angle droit, vers le Nord,
et le 49ème degré, après Clermont-en-Argonne, elle fut brutalement stoppée,
sous le porche de l’Eglise, où son trop gros carrosse ne passait pas :
Alors...
stoppée par Dieu ?

10) cause tempeste, feu , sang, tranche. : il y a donc deux causes de tempêtes : la mise aux voix minoritaire de la tête capétienne et l'inverse de la direction du «  bon cap »

II.- « Le Seigneur élèvera sa main sur le fleuve, Il l'agitera par son souffle puissant » (Isaïe, XI, 15)

IV.- « Je les ferai passer par le feu » (Zacharie, XIII, 9)

"Vol" : 1ère partie de "voltorte", abréviation du latin "voluntas", sentiment.. I-II : Elévation verticale de la Composition-Interprétation.

Route de traverse ou chemin détourné torta via qui veut dire : détours du labirynthe : avec ces idées de chemin de traverse,de chemin détourné, torturé, de labirynthe, les exégètes montrent combien il ne faut pas craindre de passer par des chemins détournés, tortueux, pour trouver la route qui permettra de sortir des véritables labirynthes verbaux, que sont ces quatrains et sixains

"torte" : 2ème partie de "voltorte", du latin "tortus", torturé, III-IV : Ouverture horizontale de la Destruction-Transformation

Vers 1990.- Scriptoral - Jérusalem Céleste	1995 Cathédrale de la Résurrection Saint Corbinien à Evry
1989.- Pyramide inversée du Louvre

4 mouvements :
I.- « C'est Moi qui vous ferai porter votre fruit » (Osée, XIV, 9)
II.- « Le Seigneur élèvera sa main sur le fleuve, Il l'agitera par son souffle puissant » (Isaïe, XI, 15)
III.- « Je rassemblerai toutes les brebis qui resteront de mon troupeau » (Jérémie, XXIII, 3)
IV.- « Je les ferai passer par le feu » (Zacharie, XIII, 9)

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1, «  Un signe grandiose apparut au ciel : une Femme ! le soleil l'enveloppe, la lune est sous ses pieds et douze étoiles couronnent sa tête ; (Apocalypse 12, 1-18).

Le signe qu'apporte cette Femme de l'Apocalypse,
c'est la double lumière : solaire du jour et lunaire de la nuit.
Solaire, elle respire, en son « manteau, » liberté et amplitude chaleureuse,
Lunaire « sous les pieds, » c'est, au contraire, grisaille et contrainte.
Or, il se trouve que,
saxophoniste, de musique, d'images et de lettres,
j'ai la particularité, de voir les sons en couleurs,
les unes : d'un feu solaire : et les autres d'une grisaille lunaire ;
(la musique et la technique relevant de l'oral et du script)
j'ai toujours cherché, dans le son, les premières
et refusé de m'arrêter aux secondes, que
j'ai toujours cherché à dépasser.
Index

IV- BALA DOUMBOUYA :
L'ORAL ET LE SCRIPT

Toutefois,
il ne faut pas croire
que la Femme puisse se passer,
de cette « lune sous les pieds », et cela,
pour deux raisons :
La première, c'est Bala Doumbouya, un balafoniste de tradition orale, qui me la fit remarquer :
« Tu entends, me dit-il, cela, c'est très bien, mais quand je voudrai le rejouer,
je ne le pourrai pas, car je l'aurai oublié, alors que, vous, qui savez
écrire la musique, vous n'aurez qu'à le noter, pour le retrouver. »
La seconde, ce sont les auteurs-compositeurs, qui la mettent en oeuvre,
en multipliant les notations, en les confrontant, jusqu'à ce qu'elles se mettent à « parler »,
en suggèrant un agencement auquel on n'aurait pas pensé, au départ de cet engrangement lunaire « sous les pieds ».
d'une couleur grise de fer, et nous menant, là, où l'on ne savait pas que l'on irait.
Cette façon de reconaître la complémentarité de l'oral et du script,
de défendre la valeur de l'écrit, face à l'oral,
chez la Femme de l'Apocalypse,
comme chez moi,
met en évidence
une première
parenté,
qui
n'a pas
échappé à
Nostradamus,
comme il le dit
en son quatrain IV. 57,
quatrain, où il parle de cette autre femme :
la mienne : « ma femme non femme », toute de spontanéité orale,
supportant très mal ma réflexion scripte, nourrie du reflet lunaire emprisonné sous les pieds de ma mère,
ce pourquoi l'on crut, à tort, que nous avions divorcé !

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V.-
« SA FEMME, NON FEMME
ORALE / SCRIPT SCRIPTORALE »
abouhey1.free.fr/1_chyren.htm#saf

« Ignare enuie au grand Roy supportee,
Tiendra propos deffendre les escripts :
Sa femme non femme par un autre tentee,
Plus double deux ne fort criz. »

Ma Traduction :

« L'ennui né de l'ignorance supportée par le grand Roy,
Le fera tenir des propos défendant les écrits :
Sa femme non femme fut par un autre tentée,
jusqu'à ce qu'un double couple supprime force et cris. »

En fait,
ma femme est « non femme »,
car elle refuse, dit « non, » aux exigences
de la réflexion « scripte » de Scriptorale,
dimension qui me fait « deffendre les escripts, »
ce que Nostradamus a très bien vu,
mais, à l'inverse, a-t-il aussi bien vu, que, dans notre couple,
ce qui me manque, c'est la dimension de la spontanéité orale, qui fait que je suis
l'homme, « non homme, » de ma femme, « non femme, »
(je suis Script, trop script, elle est Orale trop orale).
C'est pourquoi, plutôt que de divorcer,
nous avons à nous réaliser
en Scriptoral ?

Index

Reste la « couronne de douze étoiles » sur la tête de la Femme de L'Apocalypse - ma Mère :
La famille des saxophones étant le terrain d'expérimentation de mon rapport aux deux formes de lumières / sons
- orale & solaire musicale,
- scripte & lunaire technique,

« la couronne de douze étoiles, » c'est l'E.S.F. Ensemble de Saxophones Français,
(ne dit-on pas des artistes particulièrement lumineux que ce sont des stars ?)
ce grand ensemble de douze saxophones - bois qui flamboient,
couronne d'étoiles et manteau de soleil, chez cette Femme,
pour qui j'ai transcrit et publié aux Editions Lemoine,
(« le moine noir en gris dedans Varennes... »
Nostradamus, quatrain IX, 20)
le Concerto KV 314 de Wolfgang Amadeus Mozart,
développement du quatuor de même nom, créé
par Jacques Melzer, Jean-Marie Londeix,
Guy Lacour et Roland Audefroy.

Vidéo 1 : 01 Un grand signe apparut dans le ciel : une Femme, ayant le soleil pour manteau (...) et sur la tête une couronne de douze étoiles.	Vidéo 2 : 01 Un grand signe apparut dans le ciel : une Femme (...) la lune sous les pieds (...).
Vidéo 3 : Scriptoral

Ajoutons à cette parenté sur les couleurs solaires et lunaires,
qui nous font privilégier les premières,
ajoutons, parenté spirituelle, que le nom de cet
Ensemble de Saxophones Français
fait allusion à la France,
qui est la
« fille aînée de l'Eglise. »

Andrée Bouhey , née Fèvre, mère de Chyren , ma mère et Femme couronnée de 12 étoiles, dans l'E.S.F. : Ensemble de Saxophones Français, 12 bois qui flamboient, ici fleurs et...Stars !.

Etant celui qui témoigne de la construction de
« Scriptoral(e),
Vaisseau de l’Apocalypse (= Révélation)
de la Nuit du Temple à la Jérusalem Céleste,
l'Ouverture de la
Lumière. »
 Tout me disant que je suis l’homme de l’Apocalypse,
par voie de conséquence, je suis donc le Fils de la Femme de cette Apocalypse,
à la naissance de qui nous assistons ici, dans un accouchement qui est tout, sauf facile :
(« douleurs ! »)
Ce n’est pas étonnant,
car ma mère est née avec une infirmité,
qui la rendait incontinente,
et cela, malgré plusieurs interventions chirurgicales,
réalisées à Beaune, avant ses 18 ans,
interventions qui, toutes, furent des échecs ».
A 18 ans, petite campagnarde, elle vint seule à Paris consulter le Professeur Lébovici :
il tentait des opérations appelées « cofés », qui avaient toutes échoué jusqu’alors et qui consistaient
à brancher l’urètre sur l’intestin, le canal de l’eau sur celui de la terre.
Lorsqu’il vit ma mère,
il sut,
qu’avec elle,
l’opération réussirait,
en raison, lui dit-il, de « la pureté de son sang »,
C’est ce qui arriva et qui correspond  aux phrases 15 et 16 de ce texte.

Du fait de la réussite de l'opération,
le Professeur Lébovici dit à ma mère (la Femme)
que tout le monde considérait comme, à tout jamais, stérile,
il lui dit, qu'elle pourrait avoir, exceptionnellement,
un seul enfant.
Un enfant, c'était déjà
beaucoup trop, et cela eut pour effet,
d'exaspérer le grand Dragon rouge feu, aux
7 têtes surmontées de 7 diadèmes et 10 cornes :
La couleur rouge feu du Dragon qui veut dévorer l'enfant
prouve que ce feu est extérieur, objectivement destructeur,
alors que Scriptoral nous a appris depuis, que, dans le cycle créateur de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation respectueuse,
la bonne Destruction, celle qui va dans le sens de l'évolution créatrice, est intérieure et subjective :
c'est un combat contre soi-même, et non contre autrui !
Mais le plus intéressant est à venir :
ce dragon, aussi serpent, est l'ancêtre de toute une famille :
la famille des... saxophones,
comptant 7 membres
de gauche à droite :
 Sopranino - soprano (« sceptres de fer  »)
alto - ténor - baryton - basse - contrebasse,
7 membres, c'est-à- dire : 7 becs (les 7 têtes), 7 ligatures, (les 7 diadèmes),
restent les 10 cornes :
elles me font penser aux pavillons des saxophones, mais leurs nombres :
7 pour la famille, 12 pour le grand ensemble, ne correspond pas à 10.
Par contre, non seulement, nous sommes le 6 mai 2023, jour du sacre d'un Charles,
Charles III d'Angleterre, ce qui attire mon attention sur ce prénom,
En liaison avec Charles, 10 me parle, ce qui me donne :
Charles X, le dernier des Capétiens - Bourbons,
chiffre où ceux-ci entrèrent dans une nuit,
d'où ils ne sortirent que
les 18/19 mars 2000.
(cf. Mehr Licht II !
ci-dessous).

* Rémi Boissonnas, un de mes élèves, qui, à 88 ans,
commença de faire sonner ce bois de cuivre de saxophone ténor,
aimait à dire (en regardant avec goguenardise, le bec de son instrument) qu'il le
« narguait ».

Fig. 2 : Serpent Fig. 3 : Famille des saxophones, de gauche à droite : Sopranino - soprano (« sceptres de fer  ») alto - ténor - baryton - basse - contrebasse.

4 Sa queue balaie le tiers des étoiles du ciel et les précipite sur la terre. En arrêt devant la Femme en travail, le Dragon s'apprête à dévorer son enfant aussitôt né.

5 Or la Femme mit au monde un enfant mâle, celui qui doit mener toutes les nations avec un sceptre de fer ; et son enfant fut enlevé jusqu'auprès de Dieu et de son trône,

5 (...) L’enfant fut enlevé jusqu’auprès de Dieu et de son Trône,

Que j'aie été,
enlevé, à la naissance, « jusqu'auprès de
Dieu et de son Trône, » rien n'est plus évident, au regard
de la présente Apocalypse, dont je suis chargé de faire la Révélation.
Notons bien que ce n'est pas seulement auprès de Dieu, mais de Dieu et de Son Trône que je suis enlevé,
tant ce trône a un mode de fonctionnement lié à la Lumère et à la Vie de Celui qui l'occupe et qui l'Est
enlèvement qui, au premier abord, ne se fit pas sans douleur et sans l'intervention du Malin.
Celui-ci, en effet, fit glisser ma toute nouvelle et fière Maman, dans l'escalier trop ciré,
de notre maison, louée au 14, rue Mozart, alors même qu'elle me portait !...
Cet accident fut sans dommages pour moi, tellement elle me protégea,
avec le secours, déjà là sans doute, de Mozart, qui, enfant,
ayant glissé sur le parquet, ciré lui aussi, de Schönbrunn,
dit à Marie-Antoinette, qui l'aida à se relever, que,
pour la remercier, quand il serait grand,
il l'épouserait !

6 tandis que la Femme s'enfuyait au désert, où Dieu lui a ménagé un refuge pour qu'elle y soit nourrie mille deux cent soixante jours. .

7 Alors, il y eut une bataille dans le ciel : Michel et ses Anges combattirent le Dragon. Et le Dragon riposta, avec ses Anges,

9 On le jeta donc l'énorme Dragon, l'antique Serpent, le Diable ou le Satan, comme on l'appelle, le séducteur du monde entier, on le jeta sur la terre et ses Anges furent jetés avec lui.

10 Et j'entendis une voix clamer dans le ciel : Désormais, la victoire, la puissance et la royauté sont acquises à notre Dieu et la domination à son Christ« Maintenant voici le salut, la puissance et le règne de notre Dieu, voici le pouvoir de son Christ Puisqu'on a jeté bas l’accusateur de nos frères, celui qui les accusait, jour et nuit, devant notre Dieu. »

Combat satanique contre autrui, quand il fallait un
combat christique contre soi-même.

Ce qui donne la victoire, c'est la Parole
quand, de Vérité,
Elle vient du Créateur.

15 Le Serpent vomit alors de sa gueule comme un fleuve d'eau derrière la Femme pour l'entraîner dans ses flots.

Le vomissement du Dragon-Serpent dont on ne connaît pas la nature,
(ce n'est pas un fleuve d'eau, c'est : « comme un fleuve d'eau »)
et cela rappelle, d'une part, l'incontinence de naissance de ma Mère,
et, d'autre part, la seconde des quatre prophéties que Franz Tournier me donna à créer à Nüremberg :
« II.- Le Seigneur élèvera sa main sur le fleuve, Il l'agitera par son souffle puissant (Isaïe, XI, 15). »

16 Mais la terre vint au secours de la Femme : ouvrant la bouche, elle engloutit le fleuve vomi par la gueule du Dragon.

        «  1999 7 mois est une date très importante, puisqu'elle aboutit à celle de la résurrection du grand Roy d’Angolmois. Elle fait partie du quatrain X, 72, que voici :

«  L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois,
Du ciel viendra un grand Roy d’effrayeur :
Resusciter le grand Roy d’Angolmois,
Avant apres Mars regner par bon heur, »

et ne doit pas être prise pour argent comptant, comme le montre la fin de l'interprétation de Mehr Licht II ! :

      « "L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois" n’était pas Juillet 1999. Par contre, à partir du mois d’Août précédant une année bissextile, il y a non pas 7 mois particuliers, mais 7 fois 7 mois. ils se recouvrent comme un tuilage pendant 13 mois et ont chacun… 213 jours ! (cf. rennes.p_versailles.htm#7mo).

      « Nouveau clin d’œil de la Providence ! Il me ramenait à mon 21.3 initial, et commençait de donner une surprenante unité à la prophétie : Ce n’était donc pas sur les terribles évènements du  printemps 99 que Mars règnait par bonheur (invasion serbe du Kosovo - 6 mars 1998 - 10 juin 1999) -, mais sur l’interprétation du quatrain, pour se terminer ce présent 5.12.2000, un Mardi, littéralement… jour de Mars !…

      « 208 et 20.8 m’ayant été donnés quatre fois significativement, en l’été 1999, je fis aller ces 13 mois du 20.8.1999 au 19.9.2000. Ils représentaient 397 jours, 397 l’inverse de 793, et 793, le nombre des triangles et losanges de la pyramide mitterrandienne au Louvre royal, et année, dans le précédent millénaire, de la double décapitation monarchique.

      « Curieusement, le 21 Janvier 2001, jour d’esquisse de ce Mehr Licht ! Acte II (V) fut le 208ème anniversaire de la première de ces décapitations : celle de Louis XVI, le 21 Janvier 1793. »
     « La question posée par le quatrain devint alors : dans les 13 mois débutant le 20 Août 1999, un "grand Roy d’Angolmois" est-il ressuscité par le fait d’un "grand Roy d’effrayeur" venu du ciel. ?

      Je posai d’abord quatre préliminaires vérifiables :

      « « Un : Nostradamus a lié son quatrain à une Lettre à Henri roy de France second. Rédigée en 1558, un an avant la mort de Henri II, cette lettre donne en clair la date d’abolition de la monarchie :

1792.

      « Deux : La grande monarchie française va de 1515 à 1792, de François Ier et Henri II à Louis XVI. Valois-Angoulême, François Ier et Henri II sont les deux grands rois d’Angoumois. Ils se succèdent en 1547, l’année du "coup de Jarnac".

      « Trois : L’abolition monarchique de 1792 partit du Parlement de Bretagne à Rennes, avec l’arrestation, en 1765, du Procureur Général La Chalotais.

        Quatre : Dans la ville de bois qu’était Rennes, le Parlement de Bretagne symbolisait dans la pierre, le roi de Paris. Sa naissance en 1554, sous Henri II, lui donne une origine royale angoumoise. Elle en fait un symbole du… "grand Roy d’Angolmois". »

Puis j’ajoutai :

      «  Ces préliminaires… une fois posés,…n’est-il pas… étonnant… de remarquer, qu’en 1994,…ce symbolique "grand Roy d’Angolmois",… origine de l’abolition monarchique de 1792,… fut… bel et bien… frappé… du ciel… par un "grand Roy d’effrayeur"… : la révolte… des marins-pêcheurs… bretons,…contre… le Premier Ministre Edouard Balladur… présent à Rennes ?

      « une fusée marine… envoyée dans ses combles… embrasa la toiture du palais,… n’en laissant que les murs…. L’incendie… poursuivit… même,… jusqu’en Ile de France,… des vestiges rescapés… en restauration !…

      «  Curieusement,… à cette époque, les deux têtes de l’exécutif français, François Mitterrand et Edouard Balladur,… étaient brocardées par les médias… en François Ier puis Dieu,… et… Louis XVI,… les deux extrémités… de la grande monarchie française par la Grâce de… Dieu !…de sa naissance en 1515,… à sa mort en 1792…. Et… François Ier… premier "grand Roy d’Angolmois"…touchait… à Henri II,… roi d’origine du Parlement de Bretagne,… par le Jarnac… natal… de François Mitterrand….

      « Eh bien !… Détruit du ciel par un "grand Roy d’effrayeur",… ce symbolique… "grand Roy d’Angolmois"… ressuscita… à l’identique de sa royale splendeur,… entre le 20 Août 1999… et le 19 Septembre 2000,… à l’intérieur du noyau même… qui me fut donné… : La Cour d’Appel… le réintégra… le 4 Octobre 1999,… et, à partir… des 6 et 9 Octobre,… commencèrent,… dans un esprit nouveau,… je cite… :

< des manifestations… culturelles et populaires… pour la renaissance du Parlement de Bretagne… >

elles se poursuivirent en 2000. »

       « (- Sur un ton confidentiel - Toujours très curieusement, je découvris pour le 245ème anniversaire de la naissance de Mozart, le Samedi, 27 Janvier 2001, que le jour où me fut révélé le sens du quatrain, celui de ma participation à la manifestation du CNR de Rennes pour la renaissance du Parlement de Bretagne, fut le dernier jour ouvrable du  7ème des 7 mois – 13 mois nés le 20.8.1999. Ce 212ème jour de "mil neuf cens nonante neuf sept mois", qu’acheva le dimanche 213ème, fut un samedi de Mars, le  Samedi, 18 Mars 2000. Cette fin des 7 mois est aussi celle de l’année commencée le 20 Mars 1999.

       « Puisque lié au 20 Mars et au 27 Janvier, début et charnière d’"avant-apres", à 1999 et à l’achèvement des"7 mois", à la renaissance du "Roy d’Angolmois", à Mars, ce Samedi, 18 Mars 2000 fut donc, par excellence, le jour de "Résurrection du grand Roy d’Angolmois", où"par bon heur regna Mars".)

 
Mehr Licht ! II, texte et images : Alain Bouhey,
musique : Jean-François Alexandre.
Si la vidéo ne démarre pas, cliquez ici.

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Mardi, 17 janvier 2023

Bonjour M H,

       En ce mardi (jour de mars), 17 janvier 2023,
je retrouve mon site Scriptoral sur mon Smartphone,
du fond de la clinique Saint Germain, à Saint Germain-en- Laye.
C'est là où m'ont précipité mes ixièmes chutes,
là d'où je viens vous révéler la place dans le chrétienté de Chyren
(anagramme de Henri C -, C étant la lettre initiale du mot Cinq,
Henri V donc -, en qui je me reconnais),
le premier monarque de l'Univers, selon Nostradamus,
qui est, lui, son dernier prophète.

Germain

Signalons, au passage, qu'avec Germain,
une boucle se boucle, puisque,
à l'origine de Scriptoral,
il y a mon diplôme de maîtrise, de lettres modernes, sur
Le Tragique chez Ionesco,
dirigé par Monsieur Germain, François, de son prénom,
ce qui le rattache à tous les François de Scriptoral :
François 1er : roi et pape,
François Bouhey,
Louis-François Bouhey, Aristide, François Bouhey,
Alain, François, Léon Bouhey,
où je figure en dernier...

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Comme par hasard,
dans le temps,
où je suis bloqué cinq semaines,
pour cause de chutes à répétitions, dans une clinique et une ville dédiées à Saint Germain,
et où je constate, qu'avec Germain, la boucle se boucle entre le début et la fin, l'Alpha et l'Oméga, et donc Dieu,
m'est inspirée l'interprétation d'un sixtain, révélant ma place dans la chrétienté,
sixtain correspondant à l'époque contemporaine, que voici :'

Sixain S. 38

« Par eaue & par fer & par grande maladie,
Le pourvoyeur à l'hazard de sa vie
Scaura combien vaut le quintal du bois,
Six cens et quinze ou le dixneufiesme,
On gravera d'un grand prince cinquiesme
L'immortel nom, sur le pied de la Croix. »

Commentaire

« Par eaue » :
les terribles inondations dévastant des régions entières
« & par fer » :
la guerre, laissant ces miracles de technologie,
que sont les chars et autres engins,
comme de vulgaires tas de ferraille
jonchant villes et campagnes
« & par grande maladie » :
le covid 19.
« Le pourvoyeur à l'hazard de sa vie » :
on a voulu voir Poutine dans ce pourvoyeur,
mais Poutine ne pourvoit qu'aux catastrophes par le fer,
il faut donc voir, dans ce pourvoyeur,
un être différent, dont ce président
est l'un des disciples
ou des suppôts,
un être terriblement fantasque, qui,
au hasard des rencontres, agit par l'eau, le fer & la pandémie.
« Scaura combien vaut le quintal du bois » :
On trouve une interprétation cohérente à ce « quintal du bois »
en se référant au quatrain IX, 20, où « la forest de Reines »
représente le département des bois au CNR
maintenant CRR, de Rennes, où je travaillais :
ce « quintal du bois », c'est le quintette des bois :
flûte, hautbois, clarinette, saxophone, basson du département des bois,
c'est-à dire la totalité des bois enseignés dans un conservatoire,
avec, au milieu d'eux, le saxophone, ce bois en cuivre,
insrument de synthèse des formes d'esprit
de composition-interprétation / improvisation
à l'origine de la philosophie  « scriptorale »
du  « Vaisseau de l'Apocalypse »,
qui m'est divinement inspiré.
Ce que
vaut
ce quintette / quintal,
c'est la valeur des rapports des formes d'esprit mises en jeu.
C'est ce que saura le pourvoyeur et qu'il utilisera
pour poursuivre son oeuvre maléfique, que,
comme Vladimir Poutine,
vraisemblablement,
il croit bonne,
« Dieu vous a placé au pouvoir »
lui a dit le patriarche Kirill, pour son 70ème anniversaire, sûr de son bon droit :

        « Aujourd’hui, en ce dimanche du pardon, moi, d’une part, en tant que votre berger, j’appelle tout le monde à pardonner les péchés et les offenses, y compris là où il est très difficile de le faire, là où les gens se battent entre eux. Mais le pardon sans la justice est une capitulation et une faiblesse. Le pardon doit donc s’accompagner du droit indispensable de se placer du côté de la lumière, du côté de la vérité de Dieu, du côté des commandements divins, du côté de ce qui nous révèle la lumière du Christ, sa Parole, son Évangile, ses plus grandes alliances données au genre humain » (6 mars 2022, discours du Patriarche Kirill, Cathédrale du Christ-Sauveur, Moscou).

« Six cens et quinze » :
Ce que vaut d'abord ce quintal/quintette,
c'est 600,
sans que l'on sache de quoi il s'agit, ce qui montre que la solution n'est pas là.
Par contre, en essayant les nombres des constituants de notre nef,
on découvre qu'en multipliant les nombres de ces termes différents, que sont :
formes d'esprit : 3,
de composition-interprétation / improvisation,
temps du cycle créateur : 4,
de composition-interprétation / destruction-transformation respectueuse,
niveaux vibratoires : 50,
on obtient :
3 x 4 x 50 = 600.
..
Ce que vaut, aussi, ce quintal/quintette,
c'est 15, par 3 x 5 :
- premier 5 de ce 15 :
5 Arbres de Vie dans le Vaisseau Scriptoral :
0-I-II - IV-V-VI - VIII-IX-X - XII-XIII -XIV - XVI-XVII
- second 5 de ce 15 :
Au 5ème (XVI-XVII) se réalise la Jérusalem Céleste,
jaillissant du centre du pavé numérique :
1 - V - 9
4 - 8 - 3
7 - 2 - 6


Fig. 1 : Scriptorale - Jérusalem Céleste. © Alain Bouhey D. R.

- troisième 5 de ce 15 :
5 de Henry V.
- Voici ce que, Michel-Henry, vous dites, fort justement, de ce 5,
réduction théosophique (rt) de 50.

        « Dans la lettre à Henri second :
       « Puis apres en sortira du tige celle qui avoit demeuré tant long temps sterille, procedant du cinquantiesme degré, qui renouvellera toute l'Eglise Chrestienne. »
       Avec cinquantième degré transformé parfois en cinquième degré dans certaines versions pour nous rappeler que le numéro pour Henri est cinq.
       Le 50 ème degré d’un siècle est la cinquantième année donc l’année 49. Henri V étant né au XX ème siècle, Nostradamus attire notre attention sur l’année 1949, année probablement importante dans sa vie, comme sur le nombre 949 de ses quatrains qui composent la totalité de ses centuries. »

Voici, d'ailleurs, qui vous donnera du grain à moudre :
- je suis né dans le 5, au 14, rue Mozart :
la rt de 14 (1 + 4) est 5,
- en 1949 (nous y venons) :!
la rt de 1949
(1 + 9 + 4 + 9 = 23 ; 2 + 3 = 5)
est 5 !

Ce que vaut donc ce quintal/l/quintette,
c'est 600 et 15,
mais cela peut être, aussi,
le 19ème, (« ou le dixneufiesme ») :
600 et 15 amènent à la Jérusalem Céleste par les nombres
3, 4, 5, 15, 50, 600,
qu'ils font intervenir dans la construction de Scriptoral, menant à Dieu,
19, c'est 1 et 9, le Premier et le Dernier des nombres réduits théosophiquement,
le Premier et le Dernier, c'est l'Alpha et l'Oméga, qui est aussi Dieu, dont le nom, 19, ne cesse de se faire remarquer dans la terrible épidémie du covid...19 ! sans que personne ne Le reconnaisse,
et ne puisse trouver comment Le prier justement pour que s'arrête ce fléau.

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Personne, sauf un :
Chyren, Henry V,
votre serviteur,
dont il est dit sa place dans la chrétienté :
« On gravera d'un grand prince cinquiesme
L'immortel nom, sur le pied de la Croix ».
Ainsi, ma place est sur le pied de la Croix.
Quelle ne fut pas ma surprise de voir,
en parcourant mes lettres ouvertes
que c'était moi-même,
qui avait procédé à cette gravvure,
plusieurs années auparavant : en voici la genèse :
dès que je sus lire, je fus fasciné par « INRI », le titre de la Croix :
il signifie :
« Jésus le Nazaréen, Roi des Juifs »,
mais, pour moi, c'était :
HENRI,
le prénom de mes deux grands cousins,
deux grands frères, pour le fils unique que j'étais,
bien qu'à l'opposé l'un de l'autre,
l'un, aussi bon vivant,
que l'autre, bien vivant,
je les aimais tous deux.

Fig. 2 : Pied de la Sainte Croix, © Alain Bouhey D. R.

Placé dans la Jérusalem Céleste (cf. figure 1),
le « V » de mon prénom est au point de jaillissement de la divine Lumière,
au centre du pavé numérique. Mais il y a autre chose reliant Monsieur Germain (Ionesco),
la Clinique Saint Germain (qui m'a relevé de mes chutes), la ville royale de Saint Germain En Laye,
les 14 Stations du Chemin de Croix de Notre Seigneur Jésus-Christ,
le 14, où je passai mon enfance, rue Mozart,
et le ... 14 ? (plus de 10, en tous cas),
des chutes, qui viennent de m'immobiliser
5 semaines à la Clinique Saint Germain.
Rappelons que 14 = 5 (1 + 4) en rt
et que 5 écrit V est mon prénom,
au point de jaillissement de la divine Lumière.
Tout tend à dire que Dieu le Père veut me faire partager le Chemin de Croix,
que l'humanité a imposé à Jésus, Son Fils Unique.
Pourquoi ?
pour nous rappeler tout ce qu'il a souffert pour nous
et pour nous signaler que, dans tous les fléaux qui nous frappent,
« Par eaue & par fer & par grande maladie »,
personne, dans les décideurs occidentaux, ne pense à Lui.
Seuls, se soucient de Lui les agresseurs orientaux :
le patriarche Kirill et son ami Vladimir Poutine,
guidés par
« Le pourvoyeur à l'hazard de sa vie. »
Or, que dit Kirill à Poutine ?
« Dieu vous a placé au pouvoir. »
Dès lors, la question qui se pose est la suivante :
Vladimir Poutine est-il un disciple du Christ,
ou un suppôt « luciféré » de Satan ?

Vidéo 1 : Visions du Christ, VII.- LA CROIX
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