sur un côté seulement
tir |
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oyen d'escalader le
ciel. |
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Car ici, le dessin enferme la musique en
une espèce de roc
pour fixer dans la pierre le ventre
bourrelé
de "ORAL, AMOUR PLEIN D'AMOUR-PROPRE".
La tête en est
coupée.
Et l'âme tournée vers le bas
croupissant
en ce tronc,
noire et animale,
évoque
quelque
démoniaque chat ou chien.
Mais voilà,
le croquis
déborde du support,
et la superposition de leurs deux
images donne l'impression,
nez-promontoire d'un côté,
bosses de l'autre,
d'un masque de l'antique
tragédie,
avec pour oeil,
le cou tronqué de ce... "bide"
(!)
placé, pour ce résultat véritablement sans queue
ni tête,
sur un triangle, renversé cette
fois.
à côté du rideau sans
pendant, |
la pourpre de se délaver et violacer
sur une scène
bain-de-sang, |
trouée par ci par là de quelque
tache ou rai lumineux, |
s'échappant de la géôle où
l'enchaîne |
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