Ainsi, lorsque, sortant
de Paris, au début du voyage à Varennes, Louis XVI
et Marie-Antoinette batifolèrent en pleine inconscience dans
la campagne, car se croyant libérés par la Grâce
de Dieu des révolutionnaires parisiens, au milieu de leur
"bon peuple" de province, ils n'imaginèrent à
aucun moment que cette Grâce allait avoir pour effet de leur
faire perdre un temps précieux, qui finirait, après
d'autres péripéties du même genre, par les conduire
à l'arrestation de Varennes, précisément sous
le porche de... Dieu ! Et cela, selon les signes de Y,
pour que la descendance du couple royal finisse par comprendre,
après deux siècles ! que le nom de Varennes était
l'indication "Va-à-Rennes !" du chemin menant la
monarchie au lieu de sa résurrection : le Parlement de Rennes,
point de départ de la Révolution (cf. varennes_va-a-rennes.htm#bou,
rennes.p_versailles.htm, paris-varenne.htm
et jacques_chirac.htm#del).
Comment mieux dire que les plans des hommes sont inconciliables
avec Celui de Dieu, car les premiers ne voient que le leurre de
l'intérêt immédiat, alors que le Second vise
l'Intérêt final et véritable de l'ensemble de
la création.
A partir de là, que George W. Bush soit véritablement
le bras de Dieu n'implique absolument pas une nécessaire
victoire de l'Amérique sur ce qu'il appelle les "forces
du mal". Tout dépend, en effet, de ce que le Tout-Puissant
veut : est-ce la pérennité du pouvoir U.S., ou un
passage de relais de ce pouvoir à d'autres nations plus à
même de mener le monde à la réalisation de la
Jérusalem Céleste, la Cité de Lumière,
passage de relais pour l'accélération duquel Georges
W. Bush, est l'instrument effectivement idéal, car aveuglé
par son succès électoral, comme Louis XVI et Marie-Antoinette
par la bouffée d'air frais, après l'enfer de la capitale,
au sortir de Paris, sur le chemin de la guillotine, via Varennes
?
Un signe peut amener de l'eau au moulin de cette interprétation
: la présence commune de Louis XVI, qui y a perdu son pouvoir,
et des U.S.A. qui y affirment le leur sans égard pour leur
ancien allié, à Varennes-en-Argonne, la cité
qui, selon les signes, indique le chemin du vrai pouvoir : le "Va-à-Rennes
!", celui du grand monarque ressuscité, de la descendance
de ce Louis XVI qui contribua à leur Indépendance,
et dont ils écrasent avec tant d'indifférence le souvenir
par leur mémorial, précisément en cette cité
de Varennes-en-Argonne. Cela ne pourrait-il pas fort bien indiquer
que c'est à lui qu'ils doivent passer le relais ?