SOMMAIRE MUSIQUE 5eme REPUBLIQUE
Résolution optimale : 1920 pixels x 1080 pixels


BUSH & DIEU




 




A.- ETATS-UNIS D'AMERIQUE
FRANCE MONARCHIQUE DU XVIIIème SIECLE
ET LEURS OPPOSANTS
I.- SIMILITUDES
II.- OPPOSITIONS
retour au sous-menu








I.- SIMILITUDES


Au XVIIIème siècle, l'influence dans le monde de la France monarchique, héritée du règne de Louis XIV, n'est pas sans lien avec l'actuelle influence américaine :

le français était parlé dans toutes les cours européennes, comme l'anglais est maintenant langue internationale ;
la culture française était connue et appréciée, son architecture imitée, comme sont actuellement majoritairement appréciée dans une bonne partie du monde la culture américaine, et imitée son architecture ;
l'armée de Louis XVI participera, avec Rochambeau et La Fayette à la guerre d'Indépendance des Etats-Unis, comme l'armée de ces derniers participera à deux reprises à la libération de la France ; par ailleurs, l'armée de Louis XVI était si puissante, qu'avec elle, Napoléon conquèrera une bonne partie de l'Europe ;
aux rois par la Grâce de Dieu de l'Ancien Régime français, l'Amérique répond par un actuel président, George W. Bush, se considérant investi d'une mission divine ;
ajoutons une dernière similitude, et non des moindres, sur laquelle nous reviendrons : France monarchique et U.S.A. sont également réunis dans le lieu de la chute royale, Varennes-en-Argonne. La première y est représentée par Louis XVI, et les seconds, par l'état de Pennsylvanie, qui érigea, en 1927, un gigantesque mémorial pour commémorer sa participation à la Guerre 1914-1918, et cela d'une manière si imposante qu'elle efface pratiquement le souvenir de l'arrestation royale (cf. varennes_va-a-rennes.htm#pre).


II.- OPPOSITIONS


Il y a par contre des différences notoires dans la façon dont ces influences s'exercèrent sous l'Ancien Régime français, et s'exercent sous l'actuel régime U.S., et dans les oppositions armées qu'elles rencontrèrent et rencontrent :

pour la France, la puissance militaire s'affirma avec des rois combattant au sein ou à la tête de leur armée, ce qui n'a rien à voir avec la furtive apparition en Irak, au milieu de quelques soldats américains du président George W. Bush ;
un point à mettre à l'actif des U.S.A. : la performance des outils culturels dont ils dotent le monde ; toutefois, ceux-ci véhiculent des oeuvres trop souvent extrêmement violentes et simplistes, bien inférieures à celles que diffusa la France d'Ancien Régime ;
quant aux révolutionnaires qui renversèrent la royauté en 1792, ils étaient à l'intérieur du pays et pensèrent renverser Dieu avec le roi ; la tentative de réinsertion d'une forme de religion par Robespierre, avec le Culte de l'Etre Suprême, ne fut qu'une mascarade ; à l'inverse, les opposants armés au régime américain sont à l'extérieur et se battent au nom d'Allah, cherchant à transformer leurs activités terroristes en guerre de religion, car une défaite des U.S.A. prouverait, tout au moins, l'erreur d'un christianisme, dont leur président se présente comme la vérité.







B.-
Y, BUSH et DIEU
retour au sous-menu







L'importance et la cohérence des signes qu'il a reçus fait que Y se permet de présenter en Scriptoral ce qui lui paraît être le très probable plan de Dieu concernant le passage du pouvoir entre la grande monarchie française d'Ancien Régime et le grand monarque ressuscité annoncé par les prophéties, à travers cinq républiques entrecoupées d'empires et de restaurations royales.

Cela apporte des idées neuves sur la façon dont Dieu conduisit la vie du roi qui le représentait et de ses adversaires au coeur de la Révolution.

C'est pourquoi, en cette guerre que George W. Bush déclara au nom du Tout-Puissant au terrorisme international, via l'Irak, sur le faux prétexte de détention d'armes de destruction massive, il est très intéressant d'examiner, à la lumière du présent site, la valeur de la conception de la relation à Dieu du Président Bush. En effet, s'estimant investi comme nos rois d'une mission divine, ce chef d'état se sent conforté dans son sentiment par sa récente réélection triomphale. La conséquence en est le remaniement ministériel qu'il vient d'effectuer (nous sommes le 18.11.2004), où il place aux postes clés des personnes partageant ses vues, persuadé qu'il est que la "croisade" (!) d'un homme de Dieu ne peut que conduire les Etats-Unis et ses alliés à la victoire.

C'est précisément sur ce point que Scriptoral invite à la réflexion. Les signes rapportés dans le présent site ne disent-ils pas :

que la révolution française qui a cru se faire contre le roi et contre Dieu qu'il représentait, s'est en fait réalisée selon la volonté divine, dont les révolutionnaires furent le bras involontaire (cf. varennes_va-a-rennes.htm) ?
que cette Volonté fut d'inverser le pouvoir pyramidal fermé de l'Ancien Régime monarchique, en le décomposant à travers une succession de 5 républiques entrecoupées d'empires et de restaurations royales, afin de mettre en évidence le processus d'inversion pyramidale de Scriptoral, qui est donné à Y pour la Jérusalem Céleste (cf. pyramide.htm...) ?
que cette Jérusalem Céleste se construira en 16/17 temps, grâce à un moteur spirituel à 4 temps de

composition-interprétation / destruction-transformation,

mu par la relation des 3 formes d'esprit de

composition-interprétation / improvisation

ayant leurs correspondances politiques :

droite-centre / gauche,

et religieuses :

judaïsme-christianisme / islam

chez nous, reliés à l'indouisme par sa trimourti :

Brahma-Vishnu / Shiva,

au bouddhisme par le

mandala

apparaissant en Scriptoral, et aux chars d'énergie-lumière égyptien et hébraïque, les

Mer-ka-bah et Merkavah

?
qu'il n'y a donc aucune exclusion de l'islam, bien au contraire, dans la réalisation de cette Cité ?

Ainsi, lorsque, sortant de Paris, au début du voyage à Varennes, Louis XVI et Marie-Antoinette batifolèrent en pleine inconscience dans la campagne, car se croyant libérés par la Grâce de Dieu des révolutionnaires parisiens, au milieu de leur "bon peuple" de province, ils n'imaginèrent à aucun moment que cette Grâce allait avoir pour effet de leur faire perdre un temps précieux, qui finirait, après d'autres péripéties du même genre, par les conduire à l'arrestation de Varennes, précisément sous le porche de... Dieu ! Et cela, selon les signes de Y, pour que la descendance du couple royal finisse par comprendre, après deux siècles ! que le nom de Varennes était l'indication "Va-à-Rennes !" du chemin menant la monarchie au lieu de sa résurrection : le Parlement de Rennes, point de départ de la Révolution (cf. varennes_va-a-rennes.htm#bou, rennes.p_versailles.htm, paris-varenne.htm et jacques_chirac.htm#del). Comment mieux dire que les plans des hommes sont inconciliables avec Celui de Dieu, car les premiers ne voient que le leurre de l'intérêt immédiat, alors que le Second vise l'Intérêt final et véritable de l'ensemble de la création.

A partir de là, que George W. Bush soit véritablement le bras de Dieu n'implique absolument pas une nécessaire victoire de l'Amérique sur ce qu'il appelle les "forces du mal". Tout dépend, en effet, de ce que le Tout-Puissant veut : est-ce la pérennité du pouvoir U.S., ou un passage de relais de ce pouvoir à d'autres nations plus à même de mener le monde à la réalisation de la Jérusalem Céleste, la Cité de Lumière, passage de relais pour l'accélération duquel Georges W. Bush, est l'instrument effectivement idéal, car aveuglé par son succès électoral, comme Louis XVI et Marie-Antoinette par la bouffée d'air frais, après l'enfer de la capitale, au sortir de Paris, sur le chemin de la guillotine, via Varennes ?

Un signe peut amener de l'eau au moulin de cette interprétation : la présence commune de Louis XVI, qui y a perdu son pouvoir, et des U.S.A. qui y affirment le leur sans égard pour leur ancien allié, à Varennes-en-Argonne, la cité qui, selon les signes, indique le chemin du vrai pouvoir : le "Va-à-Rennes !", celui du grand monarque ressuscité, de la descendance de ce Louis XVI qui contribua à leur Indépendance, et dont ils écrasent avec tant d'indifférence le souvenir par leur mémorial, précisément en cette cité de Varennes-en-Argonne. Cela ne pourrait-il pas fort bien indiquer que c'est à lui qu'ils doivent passer le relais ?

Suite de cette page :

Y & Bush








 
^