SOMMAIRE MUSIQUE LETTRES OUVERTES
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Lettre ouverte à
questions chrétiennes

QUI EST JESUS ?

 




ACTE I

Proposition d'une prière universelle
à l'attention de la Vierge
Marie / Maryam

ACTE II

Le 10.11.2019,
votre serviteur fait lire
cette proposition de prière universelle
à l’improvisateur – compositeur – peintre – sculpteur
athée
Yochk’o Seffer...

ACTE III

Qui est Jésus ?

I.- Jésus dans les Evangiles

II.- Jésus dans le Coran

III.- Jésus dans les Evangiles et le Coran
(Ecriture maîtresse ou servante)

IV.- Création humaine et Création divine

ACTE IV

Pourquoi Jésus est-il mort ?
(Elaboration de Scriptoral,
schéma de Jérusalem céleste ?)

ACTE V

Comment savoir si j'ai la foi ?

ACTE VI

Prier : pourquoi et comment ?
EVENEMENTS TROUBLANTS
Pourquoi prier ?
Comment prier ?

(Résolution optimale : 1920 x 1080)



ACTE I

 

0

Proposition d'une prière universelle
à l'attention de la Vierge
Marie / Maryam

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Marie
pour les chrétiens,
Maryam
pour les musulmans
et pour tous
pleine de grâce,
je Te salue.
Le Seigneur est avec Toi.
Tu es bénie entre toutes les femmes
et Jésus / ʿĪssā,
le fruit de Tes entrailles,
est béni.
Sainte Marie,
Mère de Dieu pour les chrétiens
et Maryam,
Mère du Verbe qu'Allah « jeta » en Toi
pour les musulmans,
avec nos pères juifs,
en correspondance avec
hindouistes, bouddhistes, taoïstes, confucianistes...
et tous les croyants en des spiritualités
respectueuses les unes des autres
sur la planète,
et avec,
en France,
le principe de laïcité, qui reste neutre,
garantit la liberté de culte,
proclame la liberté de conscience,
et ne place aucune croyance
au-dessus des autres,
guide nous,
Marie / Maryam,
toujours, en tous lieux et tous ensemble,
dans la co-naissance à une
Vérité Nouvelle.

Marie / Maryam,
si Tu as inspiré cette prière,
je Te prie de tous nous aider à la réaliser.
Amen / amin.



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ACTE II

 

 

Le 10.11.2019,
votre serviteur fait lire
cette proposition de prière universelle
à l’improvisateur – compositeur – peintre – sculpteur
athée
Yochk’o Seffer...

Jésus/ʿĪssā, "fruit des entrailles" de Marie / Maryam,
Co-Naissance
judéo-christiano / islamique
par Yochk'o Seffer
lundi, 11/11/2019


...Le 11.11.2019,
très fortement inspiré contradictoirement,
il peint ce tableau, que votre serviteur baptise provisoirement
Jésus / ʿĪssā, « fruit des entrailles » de Marie / Maryam
Co-Naissance
judéo-christiano / islamique

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ACTE III

 

 

Qui est Jésus ?
questions du 27/11/2019

 

Jésus dans les Evangiles




Mardi, 26 novembre 2019


Objet : qui est Jésus, dans les Evangiles et le Coran ?

Chers questionneurs,

Selon les Evangiles,
dans le Domaine de la Création divine,
Jésus est Dieu Fils de Dieu,
l’Incarnation du Verbe divin, crucifié et ressuscité.

L’homme étant créé à l’image de Dieu,
il existe une correspondance
entre le domaine de la création humaine
et Celui de la Création divine.

En effet,
les auteurs-compositeurs
confient la parole et la musique
qu’ils conçoivent, à leurs interprètes,
qui sont leurs filles et fils spirituels,
et cela, par l’intermédiaire de la fixation écrite,
qui est une mort,
dont parole et musique vont ressusciter glorieusement,
parfois, des millénaires plus tard.
Au regard de cela,
la terrible Crucifixion de Jésus
paraît être le mode de fixation adapté au phénomène de son Incarnation.
Alors que j’en étais là d’une méditation de bien des années,
j’eus la surprise de voir, dans l’Evangile de Vérité,
que cette idée, à propos de Jésus,
avait déjà été formulée au IIème siècle, je cite :

« C'est pourquoi est apparu Jésus, il a revêtu ce Livre-là. Il fut cloué à un bois ; il inscrivit la disposition du Père sur la Croix. O le grand enseignement ! Jusqu'à la mort il s'est humilié, et la vie éternelle le revêt. Après s'être dépouillé des haillons périssables, il se revêtit de l'Incorruptibilité, ce que personne ne peut lui enlever... » (Evangile de Vérité, vers 180 ap. J.-C., p. 172, Les Evangiles Apocryphes, Editions Retz, 1983). Fin de citation.

Yahweh étant le Père créateur,
Jésus-Christ en est le Parfait Interprète de Fils :
Ne le dit-il pas lui-même, lui qui est venu non pas « abolir », mais « accomplir » la loi ?

Je cite : « Esprits sans intelligence, lents à croire tout ce qu'ont annoncé les prophètes ! Ne fallait-il pas que le Christ endurât ces souffrances pour entrer dans sa gloire ? Et commençant par Moïse et parcourant tous les Prophètes, il leur in-ter-pré-ta, dans toutes les Ecritures, ce qui le concernait. » (...) « Telles sont bien les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : il faut que s'accomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. Alors il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Ecritures, et il leur dit : "Ainsi était-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait des morts le troisième jour, et qu'en son Nom, le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem." » (Evangile de Luc, 24; 25-27 ; 44-47, Bible de Jérusalem, Ed. du Cerf.) Fin de citation.

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II.- Jésus dans le Coran






Mais Jésus figure aussi dans le Coran,
sous le nom d’ʿĪssā,
il y est l’apôtre de Dieu,
son Verbe, qu’Allah jeta en Marie, toujours vierge,
appelée Maryam par les musulmans,
et dont il est toujours le fils.
Par contre,
Jésus n’y est ni le Fils d’Allah,
ni crucifié, ni ressuscité, donc,
puisqu’il a été remplacé sur la croix, je cite le Coran :

« Ils disent : "Nous avons mis à mort le Messie, Jésus fils de Marie, l'apôtre de Dieu." Non, ils ne l'ont point tué, ils ne l'ont point crucifié, un autre individu qui lui ressemblait lui fut substitué, et ceux qui disputaient à son sujet ont été eux-mêmes dans le doute (...) » (Coran, IV, 156, Éditions Flammarion). Fin de citation.
Et, plus loin :
 « O vous qui avez reçu les Ecritures, ne dépassez pas les limites dans votre religion, ne dites de Dieu que ce qui est vrai. Le Messie, Jésus fils de Marie, est l'apôtre de Dieu et son Verbe qu'il jeta en Marie : il est un esprit venant de Dieu. Croyez donc en Dieu et en ses apôtres, et ne dites point : il y a Trinité. Cessez de le faire. Ceci vous sera plus avantageux. Car Dieu est unique. Loin de sa gloire qu'il ait eu un fils. A lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Son patronage suffit, il n'a pas besoin d'un agent. » (Coran, IV, 169, Éditions Flammarion). Fin de citaton.

Ces deux conceptions du Verbe divin,
et donc de Jésus, sont très intéressantes, car complémentaires,
comme le montre le domaine de la création humaine,
créée à l’image de la Création divine :
le judéo-christianisme
est la religion de la composition-interprétation,
qui fonctionne en élévation,
c’est la poutre verticale de la Croix,
où l’on met en question le verbe prophétique,
en l’ordonnant, et en s’élevant par suppression des contradictions,
et cela, en allant jusqu’à la Crucifixion :
« si tu es le Fils de Dieu, prouve-le en te libérant toi-même ! »
tandis que l’Islam est la religion contradictoire,
refusant la mise en question du Verbe prophétique
et donc de Jésus, l’apôtre d’Allah, qui le transmet, je cite :

« Nous avons accepté le pacte des enfants d'Israël et leur avons envoyé des prophètes ; toutes les fois que les prophètes leur annonçaient les vérités que rejetaient leurs penchants, ils accusaient les uns d'imposture et assassinaient les autres. » (Coran, V, 74, Éditions Flammarion). Fin de citation.

Dans le domaine de la création divine,
le Verbe prophétique de l’Islam correspond à
l’improvisation dans le domaine de la création humaine.
Ce verbe en a toute la spontanéité, comme le dit Mohammed Arkoun,
dans le Coran des Editions Flammarion, je cite :

« Le langage coranique (...) est spontané : c'est un jaillissement continu de certitudes qui ne s'appuient pas sur une démonstration, mais sur une profonde adéquation aux éléments permanents de la sensibilité humaine. » (Mohammed Arkoun, Coran, 4ème trimestre 1970, Éditions Flammarion). Fin de citation.

Comme l’improvisateur qui,
à la différence du compositeur, n’a pas de filles ou de fils interprète,
et qui jette son improvisation, intouchable, une fois réalisée,
Allah « jette » son Verbe en Marie, qui l’enfante.
Ce Verbe, c’est le Jésus / ʿĪssā du Coran,
qui crée l’ouverture, la poutre horizontale de la Croix,
en y échappant. Il est intouchable, je cite :

« Les musulmans disent que le Coran est "descendu" (sous-entendu : du ciel), que Mohamed n'en est pas l'auteur mais qu'il est seulement le transmetteur de la parole d'Allah. De ce fait, ils considèrent que ce Livre est intouchable. » (Coran, V, 72, Éditions Flammarion). Fin de citation.

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III.- Jésus dans les Evangiles et le Coran
(Ecriture maîtresse ou servante)







Jésus, dans les Evangiles,
Verbe incarné de son Père qu’Il interprète parfaitement,
Fils de Yahweh et de Marie,
ressuscité glorieusement de la Crucifixion en trois jours,
comme, dans le domaine de la création humaine,
l’œuvre musicale ou littéraire, non incarnée,
ressuscite glorieusement de l’Ecriture,
jusqu’à des millénaires après sa conception,
et Jésus, dans le Coran,
Verbe prophétique jeté par Allah,
en la Vierge Maryam, sa même Mère,
comme dans le domaine de la création humaine,
l’improvisateur jette son improvisation musicale ou verbale,
sans avoir besoin d’aucun fils / interprète,
Allah, dans sa Création divine, se suffisant à lui-même,
comme l’improvisateur, dans la création humaine.
Ceci nous amène aux deux faces de l’écriture / crucifixion :
elle est maîtresse ou servante :

Elle est maîtresse,
quand elle élève, par résolution des contradictions,
et confère une Vie glorieuse au Verbe ou à la Musique qu’elle a fixé.
Comme le dit l’Evangile de Vérité : après avoir « dépouillé » ce qu’elle fixe
« des haillons périssables », elle le revêt de l'Incorruptibilité,
« ce que personne ne peut lui enlever... »
(Evangile de Vérité, vers 180 ap. J.-C., p. 172,
Les Evangiles Apocryphes, Editions Retz, 1983).
C’est ce qu’Allah, en son Coran, appelle, à mon avis, « dépasser les limites ».
Je cite : « O vous qui avez reçu les Ecritures,
ne dépassez pas les limites, dans votre religion,
ne dites de Dieu que ce qui est vrai (...) ». Fin de citation.
(Coran, IV, 169, Éditions Flammarion)
.
Elle est servante,
quand elle ne change pas un iota de ce qu’elle fixe,
si contradictoire cela soit-il avec les originaux,
ce dont Mohammed Arkoun nous dit, je cite :

« On voit par cette version sur le retour des Israélites en Egypte que Muhammad refait à son gré l'histoire du Peuple de Dieu. Nous nous dispenserons, à l'avenir, de relever les discordances du Coran avec les livres de l'Ecriture ». Fin de citation (Mohammed Arkoun, Coran, p.45, 4ème trimestre 1970, Éditions Flammarion).

Mohammed Arkoun ne se révèle-t-il pas là
comme un adepte du "repentir" compositionnel,
quand il conviendrait mieux de relever toutes les contradictions du Coran,
de les mettre en lumière, comme autant de preuves de leur nécessité
 dans l'évolution créatrice ?

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IV.- Création humaine et Création divine



 

Dans la création humaine,
le cycle créateur comprend 3 formes d’esprit de
composition-interprétation / improvisation totale,
agissant en 4 temps de
composition-interprétation / destruction-transformation respectueuse.
Dans la Création divine, cela correspond,
dans l’hindouisme à
Brahman,
l’Âme Universelle,
comprenant la Trimurti, formée de :
Brahma-Vishnu / Shiva,
Compositeur - Parfait Interprète / Destructeur-Transformateur,
correspondant chez nous à
YHWH – Jésus-Christ / Allah,
qui ne sont pas un seul et même Dieu :
ERREUR…
mais les 3 formes d’esprit de ce même Dieu,
inégales en chacun de nous, pourtant créés à Son Image
(inégalité preuve de notre chute),
et en toute leur plénitude,
dans le Dieu judéo-christiano / islamique,
participant de l’Âme Universelle :
la Jérusalem messianique,
Scriptoral ?

 

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ACTE IV

 

 

Pourquoi Jésus est-il mort ?
question du 4.12.2019

avec réponses à
questions en suspens du 27/11/2019 sur
QUI EST JESUS ?

 

Question 1 : Qu’a réalisé Jésus de si important, par rapport à des créateurs comme Léonard de Vinci ?
Alain Bouhey : C’est l’incendie de Notre-Dame, qui donne la réponse


avec la flèche de Viollet le Duc, calcinée et en morceaux, au pied de la croix lumineuse et intacte : les débris de la flèche, voilà ce que sont appelées à devenir les réalisations humaines, tôt ou tard, tandis que la Croix lumineuse sauvegardée et libérée de son Christ mort ressuscité, montre ce que Jésus nous a véritablement donné de fondamental : la Croix, équilibre du vertical et de l’horizontal, de l’élévation et de l’ouverture, et non ce que symbolise la flèche écroulée : une élévation orgueilleuse, disproportionnée, sans ouverture aucune.
Voilà pourquoi Jésus est mort : pour nous amener à le suivre, dans cette voie d’équilibre de l’élévation et de l’ouverture, qu’il a balisée en en vivant pleinement la mort, jusqu’au sentiment de l’abandon du Père.

Question 2 : Cela est-il intellectuel ?
A.B. :
Non, parce que ces deux directions sont pleines de vie, comme l’écriture : l’amour est ouverture horizontale et l’intelligence est élévation verticale, dans le monde profane, comme dans le monde religieux :

  • dans le monde de l’amour humain, le peintre musicien Yochk’o Seffer m’a demandé de lui donner 60 phrases sur le thème de l’évolution créatrice, voici la dernière :  AMOUR INTELLIGENT = ARBRE DE VIE, et voici ce qu’il a peint :

  • le couple se fait face (ouverture horizontale de l’amour) et il est agenouillé, à moitié debout (élévation verticale de l’intelligence).
  • Dans le monde religieux catholique, on ne parle, essentiellement, que de l’amour de Jésus pour l’humanité (ouverture horizontale), en laissant, quasi totalement, de côté, son exigence d’intelligence (Ascension, élévation verticale), telle qu’elle apparaît chez Luc, je cite : « Esprits sans intelligence, lents à croire tout ce qu'ont annoncé les prophètes ! Ne fallait-il pas que le Christ endurât ces souffrances pour entrer dans sa gloire ? Et commençant par Moïse et parcourant tous les Prophètes, il leur interpréta dans toutes les Ecritures ce qui le concernait (...) Telles sont bien les paroles que je vous ai dites quand j'étais encore avec vous : il faut que s'acomplisse tout ce qui est écrit de moi dans la Loi de Moïse, les Prophètes et les Psaumes. Alors il leur ouvrit l'esprit à l'intelligence des Ecritures, et il leur dit : "Ainsi était-il écrit que le Christ souffrirait et ressusciterait des morts le troisième jour, et qu'en son Nom, le repentir en vue de la rémission des péchés serait proclamé à toutes les nations, à commencer par Jérusalem. » (Evangile de Luc, 24; 25-27 ; 44-47, Bible de Jérusalem, Ed. du Cerf).

J'avais dit, la semaine dernière, que la crucifixion de Jésus, c’était la forme d’écriture adaptée à l’incarnation du Verbe de Dieu, et faisant de Jésus en Croix l’aboutissement de l’Ancien Testament, livre composé, qui met en question le verbe des prophètes, jusqu’à la mise en question suprême : cette Crucifixion. Quelle ne fut pas ma surprise de voir, que, dans l’Evangile de Vérité, au IIème siècle ! cette idée était déjà exprimée, je cite :
« C'est pourquoi est apparu Jésus, il a revêtu ce Livre-là. Il fut cloué à un bois ; il inscrivit la disposition du Père sur la Croix. O le grand enseignement ! Jusqu'à la mort il s'est humilié, et la vie éternelle le revêt. Après s'être dépouillé des haillons périssables, il se revêtit de l'Incorruptibilité, ce que personne ne peut lui enlever... » (Evangile de Vérité, vers 180 ap. J.-C., p. 172, Les Evangiles Apocryphes, Editions Retz, 1983).
Cet Evangile nous dit clairement pourquoi Jésus est mort : c’est pour nous amener, avec lui, à nous « dépouiller des haillons périssables » et à nous « revêtir, comme lui, de l’Incorruptibilité ».
Or, l’homme ayant été créé à l’image de Dieu, la création humaine, si elle est respectueuse de la Création divine, est à l’image de cette dernière. Et l’on trouve, dans l’enchaînement des formes d’esprit de composition-interprétation et de destruction-transformation improvisatrice respectueuse de cette création humaine, les mêmes « haillons périssables », et la même accession à l’Incorruptibilité.

Question 3 : Les spiritualités orientales tournent-elles en rond ?
A.B. : En fait, il est une façon de concevoir la relation avec ces spiritualités, qui « tourne en rond » pour déboucher sur ce qui pourrait bien être la Jérusalem messianique.
Dans la création humaine, Yochk’o Seffer m’a donné des indications, parmi lesquelles celles-ci :

  • il m’a dit, notamment, que les lignes en colimaçon dans le trou de lumière au niveau de la bouche de cette terre guerrière, représentaient un escalier descendant, car la lumière que les compositeurs-interprètes cherchent en haut, les improvisateurs la trouvent en bas.

  • Dans ce tableau comme dans d’autres, il a représenté une pyramide, que j’ai reprise comme symbole de la composition. 


Elaboration de Scriptoral,
schéma de Jérusalem messianique ?

Ces indications m’ont conduit à une représentation schématique du cycle créateur, où cycle évoque cercle : ce cycle part de la tradition orale qui est une vie et une lumière pleine d’obscurité contradictoire et de mort (ex. : le soleil tourne autour de la terre, centre du monde…). Dans la création divine, la tradition orale correspond à la tradition prophétique. Toutes deux se situent avant l’écriture,

  • c’est le temps zéro, zéro de l’écriture. Le voici :

  • S’élève sur ce temps zéro, le temps I de la composition. Le voici :

  • Il s’inspire des données de la tradition orale ou prophétique, les met en question, les organise, en résout les contradictions, mais, chaque fois qu’il gagne en élévation, il perd en ouverture, jusqu’au sommet, qui atteint la perfection en même temps que l’extinction de la lumière et la mort. C’est le lieu de l’écriture achevée pour le verbe humain et de la Crucifixion pour le Verbe incarné.
  • S’élève, à son tour, sur ce temps I de composition, le temps II de l’interprétation, qui ressuscite glorieusement le temps précédent. Le voici :

  • Arrivés là, nous sommes au sommet de l’Ascension et de l’élévation. Les temps 0-I-II forment un premier Arbre de Vie. Religieusement, cela correspond donc, chez nous, au judéo-christianisme.
  • Mais ce n’est pas fini. Pour continuer le cycle, succède à ce temps II, qui inverse, en descendant, le temps 0 de tradition orale ou prophétique, un temps III de destruction respectueuse, qui plonge au coeur de l’énergie-lumière de l’inspiration première. Le voici :

  • Le cycle s’achève par un temps IV de transformation, elle aussi respectueuse, Le voici :

  • Ces temps III-IV sont respectueux de la composition-interprétation précédente, car ils ne détruisent pas les originaux, mais l’idée qu’ils s’en font. C’est un enrichissement de la création, non un appauvrissement, et cela apporte l’ouverture équilibrant l’élévation première. Religieusement, cela peut correspondre à une civilisation judéo-christiano / islamique, à la condition que composition-interprétation judéo-chrétienne et destruction-transformation islamique se respectent mutuellement.

Ce temps IV de transformation respectueuse est un nouvel oral, qui peut servir de base à un second cycle créateur (V-VI-VII-VIII), avec son nouvel Arbre de Vie (IV-V-VI). Le voici :

Il en va de même pour le temps VIII, qui, lui, peut servir de base inspiratrice à deux derniers cycles créateurs (IX-X-XI-XII et XIII-XIV-XV-XVI), avec leurs deux derniers Arbres de Vie (VIII-IX-X et XII-XIII-XIV). Les voici :

Toutes les places remontantes des formations – transformations 0 – IV – VIII – XII étant occupées, il restait à transformation XVI, une place royale parce que centrale de pyramide inversée se retrouvant à l’endroit, la voici :

 

et provoquant contradictoirement l’illumination de la pyramide inversée de nombre XVII, qui prit le nom de Scriptoral. La voici :

Etant à Saint-Germain-en-Laye, on ne peut pas s’empêcher de remarquer, que le passage XVI-XVII, qui bloqua dans notre histoire, entre Louis XVI et Louis XVII, le 21 janvier 1793, est, ici, totalement libéré. Scriptoral est riche d’enseignement. Son plan correspond à la Jérusalem céleste de l’Apocalypse de Jean, avec son fleuve cruciforme de Lumière et de Vie coulant entre ses quatre Arbres de Vie, quatre coins de la terre ou quatre Evangiles, qui entourent le trône du Père, enchaînement de la transformation XVI et de XVII, la Composition définitive – Trône du Père et du Fils Jésus, Tout ce qui est au Père étant à lui, où la lumière s’ouvre en s’élevant et s’élève en s’ouvrant. La transformation XVI, quant à elle, étant l’aboutissement de la composition I, qui n’est pas sans évoquer le pouvoir pyramidal d’Ancien Régime, abaissé, centré et redressé, comme peut l’être Louis XVI auprès du Père.

Question 4 : Comment Jésus peut-il accepter la mort des innocents ?

A B : Je crois que Jésus n’est pas venu sur terre pour partager définitivement notre vie revêtue des « haillons périssables » de l’Evangile de Vérité, que nous soyons, ou non, innocents. Ces haillons, c’est notre attachement à nous et aux autres pour nous. Jésus a montré que pour s’en débarrasser, il faut donner notre vie sur ce que symbolise la Croix : l’équilibre d’élévation et d’ouverture, d'intelligence et d'amour, conduisant, par la relation respectueuse des formes d’esprit de composition-interprétation / destruction-transformation, à la Jérusalem messianique, où nous serons dans la Gloire du Père et du Christ, Son Fils.

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ACTE V

 

 

Comment savoir si j'ai la foi ?

 



Il y a deux niveaux dans la foi :

  • La foi de Thomas : la foi de Thomas ne croit que ce qu’elle voit ; ainsi, je vois la musique et le verbe humains ressusciter de la fixation par l’écriture, donc, je crois que si le Verbe divin est incarné, le mode de fixation adapté au phénomène de l’Incarnation est la Crucifixion et, la création humaine étant l’image de la Création divine, je crois, dans ces conditions que Jésus est ressuscité. Mais cette foi rationnelle, fondée sur ce qu’on voit, est insuffisante, comme le dit Jésus à Thomas : « Parce que tu m'as vu, tu as cru. Heureux ceux qui n'ont pas vu, et qui ont cru ! » (Evangile de Jean, 20, 29).
  • La foi du centurion romain : le centurion croit sans avoir vu Jésus réaliser de miracle, il ne veut pas le voir, s’en estimant trop indigne. C’est pourquoi, il envoie ses amis, pour lui demander de guérir son serviteur malade. Il ne sait qu’une chose : lui, petit centurion, n’a qu’un mot à dire à ses subordonnés pour qu’ils le fassent. Et il croit qu’il en est de même, à plus forte raison, pour celui qui est béni de Dieu, ce qui suscite l’admiration de Jésus : Entendant cela, il fut dans l’admiration. Il se tourna vers la foule qui le suivait et lui dit : « Même en Israël, je n’ai pas trouvé une telle foi ! » De retour à la maison, les envoyés trouvèrent l’esclave en bonne santé. (Evangile de Luc, 7, 1-10). On remarque toutefois, que, là aussi, le centurion trouve, à sa petite échelle humaine, l’image de la conduite divine, c’est pourquoi il déduit de sa propre conduite, celle de Jésus. La foi du centurion est donc de croire, que, si petit, indigne et païen soit-il, il est, tout de même, l’image de Dieu.

Quelle est ma foi ?

  • Celle de Thomas : sans aucun doute, mais c’est une foi de peu de valeur, une foi qui voit, par exemple, le soleil tourner autour de la terre et qui le croit.
  • Celle du centurion romain : cela dépend des moments. En effet, je crois qu’il existe des signes venus de l’au-delà, qui nourrissent la foi, dans les temps où ils se produisent. Ils nous remplissent d’enthousiasme et l’enthousiasme, c’est Dieu en nous. C’est pourquoi, il est important d’être attentif à eux. Personnellement, je les ai notés : ils remplissent plus de 950 pages ! Et j’ai mis les principaux sur internet. Voici l’un des derniers : J’ai interprété, il y a plusieurs années, deux quatrains de Nostradamus. Or, Nostradamus, c’est Michel de Nostre – Dame, et j’ai, précisément, eu le sentiment d’être guidé par Marie dans mes interprétations de ces quatrains. Eh bien ! voici ce que j’ai pris pour des signes de confirmation de la validité de mon interprétation : il y a quelques mois, un ouvrier de la société Agem est venu installer un bureau à la maison, Quand il a signé sa feuille de travaux, ma femme a eu la surprise de voir son nom : Nostradamus ! Romain Nostradamus, qui nous a confirmé être un descendant du prophète… Stupéfaction ! d’autant plus que, les signes ne fonctionnant jamais seuls, j’eus l’attention attirée par le prénom de ce descendant : Romain. En effet, je viens, par ma mère, d’un petit village nommé Saint-Romain, qui évoque par son nom, l’Eglise catholique et apostolique romaine et qui a pour spécificité, les noms inexplicables de ses habitants : les arabes, à Saint-Romain-le-Haut et les bédouins à Saint-Romain-le-Bas  (cf. Le Bien Public,  du 17/08/2013) des musulmans ! alors que je travaille, depuis, au moins, trente-cinq ans sur la complémentarité du Judéo-Christianisme et de l’Islam, je vis, là, un signe, qui m’enthousiasma, c’est-à-dire, qui m’emplit de Dieu, comme bien d’autres, auparavant, l’avaient fait, me donnant une foi indiscutable, dans le temps de l’enthousiasme. Mais, Dieu n’a pas fini de me surprendre, et cela, en direct, pas plus tôt qu’aujourd’hui, 09/12/2019. En effet, le jour où Parcours Alpha me demande de réfléchir sur : « comment savoir si j’ai la foi ? » je suis conduit au plus grand exemple de foi reconnu par Jésus, celui du centurion : un païen, et que sait-on de lui ? que, lui aussi, est romain : surprise divine !!!... Ainsi, je crois (foi) que toutes ces données convergentes ne sont pas des coïncidences, mais des signes me confortant dans la foi du centurion romain, que,
    • issu, par ma mère, de Saint-Romain,
    • relié à l’Eglise catholique romaine par le nom de ce village, petit comme Bethleem,
    • dont les noms des habitants (arabes et bédouins) sont ceux de musulmans,

je dois bien mettre en évidence la complémentarité du Judéo-Christianisme et de l’Islam. Donc, à la question : « comment savoir si j’ai la foi ? » je réponds : « en distinguant les signes des coïncidences », ce qui ne veut pas dire, qu’il n’y a pas des moments de doute. Au contraire, plus les signes sont grands, plus grand est le sentiment de solitude qui les précède : c’est le « Père, pourquoi m’as-tu abandonné ? » de Jésus crucifié. La Réponse du Père, c’est la Résurrection dans la Gloire. Notons que Jésus ne met pas en question l’Existence du Père, puisqu’il s’adresse à Lui, seulement Son Soutien, comme quoi la Foi peut être aussi dans le doute.

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ACTE VI

 

 

Prier : pourquoi et comment ?

 

 


Prier

La constatation de William Temple,
l’ancien Archevêque de Canterbury,
est excellente :
« Quand je prie, des
coïncidences se produisent.
Quand je ne prie pas,
elles ne se produisent pas »
,
sauf que
à partir du moment où elles sont multipliées par au moins deux,
je n’appelle plus cela des coïncidences, mais des signes,
qui nous indiquent les chemins à prendre,
pour diriger notre vie.
C’est ainsi que le flûtiste Roger Bourdin,
remarquant que Marie-Hélène, qui devait devenir ma femme,
était née un 5 décembre, jour de la mort de Mozart,
alors que lui-même était né un 27 janvier, jour de sa naissance,
la prit dans sa classe, bien qu’il n’y ait plus de place libre.
Remarquant, à la suite de cela,
que j’avais passé les premières années de ma vie,
jusqu’à ma communion solennelle, rue Mozart,
et que ma mère était née un 27 janvier,
jour, de la naissance de Mozart,
c’est ainsi que Marie-Hélène
justifia son choix de m’épouser,
estimant que nous étions faits pour nous entendre,
à cause de ces quatre coïncidences avec Mozart.
Depuis, les signes me reliant à Mozart
n’ont pas cessé de se multiplier,
je les ai rapportés dans une page internet intitulée
« Y et Mozart ».

Parmi ces signes,
il faut citer celui du Concerto KV 314 :
Mozart écrivit, en 1777, ce Concerto en ut, pour hautbois.
Il le transcrivit, en 1778, en ré, pour flûte.
Le saxophone soprano est transpositeur,
c’est-à-dire,
qu’on entend un ut, quand il joue un ré,
autrement dit,
quand il joue la partie de flûte, on entend celle de hautbois.
C’est donc comme si Mozart, lui-même, avait transcrit,
pour le saxophone soprano, qui n’existait pas à son époque,
son Concerto de hautbois, en le transcrivant pour flûte.
Pour que ces coïncidences soient un signe,
il faut, ai-je dit, qu’elles soient, au moins, doubles :
c’est bien le cas : le signe est caché, mais fort :
on retrouve dans les dates, 1777 – 1778,
de compositions de ces œuvres,
nos dates de mariages civil et religieux :
16.7.71 - 17.7.71,
moyennant une inversion :
17.7.71 – 17.7.61
et une addition :
17.7.(7+1) - (17.7.6+1),
soient :
1778 - 1777 !
Ma version pour
saxophone soprano
et grand ensemble de saxophones fut créée en 1996.

La page « Y et Mozart »
s’arrête avant l’un des signes les plus importants :
pour le comprendre, il faut savoir que, le 19.8.1778,
Mozart est venu passer un mois chez le duc de Noailles,
à Saint-Germain-En-Laye :
Eh bien ! non seulement, le 19.8.1973 naquit notre fils,
mais surtout, le 19.8.2016, nous réunissons, enfin, la somme nécessaire
pour l’acquisition de notre appartement, à Saint-Germain-En-Laye,
dans l’Orangerie, qui appartint au duc de Noailles,
sur les lieux mêmes,
où Mozart passa un mois en 1778,
et 1778, l’année d’achèvement du Concerto en ré,
qui contient la date de notre mariage religieux par
1778 = 17.7.(7+1) = 17.7.71.

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EVENEMENTS TROUBLANTS

Mais, il s’est passé récemment des évènements des plus troublants,
à une date que la France entière a
remarquée et attendue, si ce n’est pas redoutée :
le 5.12.2019,
228ème anniversaire de la mort de Mozart, le 5.12.1791, et
70ème anniversaire de la naissance de Marie-Hélène,
jour de grève générale et nationale, unanimement connu pour cela,
et beaucoup moins, pour ce qui a eu lieu, pour la seconde fois
en Europe et à l’Opéra royal de Versailles
(la première étant la veille, 4.12.2019),
je veux dire l’opéra de Corigliano :
« Les Fantômes de Versailles ».

Opéra contemporain inattendu,
commande du Metropolitan Opéra de New York
pour fêter son centenaire, il fit un triomphe à sa création,
et fut repris par plusieurs scènes aux États-Unis,
avec un succès permanent, depuis 1991.
Sa musique navigue entre Mozart et Rossini.
Argument :
Les fantômes de Versailles, victimes de la Révolution,
au premier rang desquels Marie-Antoinette et Louis XVI,
attendent, au Purgatoire, que la nouvelle pièce de Beaumarchais,
amoureux de Marie-Antoinette, modifie le cours de l’histoire,
et les fasse échapper à la guillotine.
L’écrivain ne réussira qu’à libérer Marie-Antoinette de sa peur de l’exécution.
Il la rejoint au Royaume des morts, où il l’épouse.

Cette idée de mariage dans la mort pourrait préparer les esprits
à l’idée d’un autre mariage, spirituel celui-là : en effet, si je ne me souviens pas,
qu’il ait jamais été question de mariage entre Beaumarchais et Marie-Antoinette,
il n’en va pas de même avec Mozart, musicalement présent dans cet opéra,
qui l’annonça dans son enfance et, implicitement, me semble-t-il,
à la veille de sa mort, dans sa « Flûte enchantée ».

Enfant :
Ne dit-on pas qu’ayant glissé et étant tombé, sur le parquet ciré de Schönbrunn,
il déclara à Marie-Antoinette, qui le releva, que,
pour la remercier, il l’épouserait, quand il serait grand ?!...

A 35 ans,
deux mois et cinq jours avant de mourir :

Voyons d’abord quelques dates :

Louis XVI : 1754–1793,
Marie-Antoinette : 1755-1793,
Mozart : 1756-1791.
jours précédant le 21 juin 1791,
date de l'arrestation de Varennes
qui conduira à la mort le couple royal français :
Mozart instrumente le Ier acte de sa "Flûte enchantée",
20-22 juin 1791 : dates de l'évasion manquée, stoppée à Varennes,
30 septembre 1791 : création de "La Flûte enchantée",
5 décembre 1791 : mort de Mozart,
8 août 1792 : emprisonnement de la famille royale au Donjon du Temple,
après passage par le salon des Quatre-Glaces au Palais du Temple, en face du Donjon, où
1785 : Marie-Antoinette était venue célébrer ses relevailles
de la naissance du futur Louis XVII, et où
1764 : Mozart enfant est représenté au clavecin,
sur le tableau de Michel Barthélémy Ollivier :
 « Thé à l’Anglaise chez le Prince de Conti » :

21 janvier 1793 : exécution de Louis XVI,
16 octobre 1793 : exécution de Marie-Antoinette.

Correspondances
entre réalité historique et fiction de « La Flûte enchantée » ?
La Reine de la Nuit (la monarchie autrichienne ?)
demande au Prince Tamino (Mozart ?)
de libérer sa fille Pamina (Marie-Antoinette ?),
prisonnière de Sarastro (l’esprit templier ?),
non pas le monstre que décrit la Reine de la Nuit,
mais un grand sage.
Sarastro fait garder Pamina par Monostatos et ses esclaves
(les gardiens du donjon du Temple ?)
Sarastro annonce aux prêtres
que les Dieux ont décidé de marier Tamino et Pamina.
Mais auparavant, Tamino et Pamina (avec Papageno), alias Mozart et Marie-Antoinette,
devront traverser des épreuves (guillotine et remontée de la chute ?),
avant de pénétrer dans le
Temple de la Lumière (Jérusalem messianique ?)
Comptant Louis XVI et Mozart dans mes pères spirituels,
je suis donc un descendant spirituel de Louis XVI - Marie-Antoinette et de Mozart,
et comme ce dernier m'a conduit à la Lumière infinie,
s'ouvrant en s'élevant et s'élevant en s'ouvrant de
Scriptoral,
en me montrant le chemin conduisant
de la pyramide du pouvoir créateur d'Ancien Régime
à son inversion qui a tout du pouvoir créateur à venir :
celui de la Jérusalem messianique,
j'en déduis, qu'à la différence du mariage, apparemment sans intérêt,
imaginé par Corigliano entre Beaumarchais
et Marie-Antoinette,
celui de Marie-Antoinette et Mozart est pleinement justifié :
Il conduit la descendance spirituelle de la monarchie d'Ancien Régime,
à la Lumière rédemptrice des Templiers, qu'elle supplicia jadis,
Lumière de Scriptoral, leur véritable trésor.

Question : Comment Dieu te parle-t-Il ?
A. B. :
De différentes façons :
la précédente est par approximations secrètes, où Il m'amène à deviner :
Il commence, ici, par attirer l'attention de toute la France sur une date, où Il bloque tout le pays :
le 5.12.2019, sans que quiconque pense au 228ème anniversaire de la mort de Mozart,
et encore moins au 70ème anniversaire (âge de la Sagesse) de Marie-Hélène,
qui en plaisanta : "tout le pays s'arrête pour fêter mon anniversaire !"
et qui m'emmena, toutefois,
voir l'opéra,
où je ne serais pas allé sans elle.
Et ensuite, Il prépare, par une fable, dans un opéra à grand succès,
les esprits d'un petit nombre, à l'idée d'un mariage de Marie-Antoinette dans la mort.
La suite, si je ne me trompe pas, est au prochain numéro,
et continuera de nous mener à la
Révélation apocalyptique
.

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Pourquoi prier ?

Je prie pour laisser libre le terrain sur lequel se produiront
les coïncidences dédoublées qui sont des signes,
par lesquels Dieu, Père, Fils et Esprit,
me fait savoir ce qu’il attend de
moi
(cela me fait penser à
« La Plénitude du Vide »,
livre publié par le bouddhiste
Trinh Xuan Thuan chez Albin Michel :
il faut dégager le pré-carré de la prière, de toute matérialité,
pour que, librement, passe la spiritualité).

Question :
Qu’est-ce, donc, que Dieu attend de toi,
par l’entremise de Mozart ?
A. B. :
Mozart est le
Maître de l’inversion
des mots, des sons, des lumières
(il signait souvent Trazom et appelait sa femme Znatsnoc).
En ce qui concerne les signes me liant à lui,
(il en est beaucoup d’autres),
il m’a montré comment,
par l’enchaînement des formes d’esprit de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation respectueuse,
présentes dans les mondes profane et sacré,
on inversait la pyramide du
Pouvoir créateur,
jusqu’à arriver à la
Jérusalem messianique
(cf. ci-dessus).

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Comment prier ?

Pour prier,
je libère mon esprit de toute surcharge
de mémoire ou d’autre, ne gardant que le strict minimum,
afin d’être disponible pour remarquer les coïncidences doubles, qui se présentent,
et analyser en quoi ce sont des signes.
Si je n’ai pas cette disponibilité,
comme cela m’est arrivé, pendant plusieurs années, avant 2016,
parce que je trouvais qu’il n’arrivait rien de neuf,
je passe à côté des coïncidences.
William Temple l’a
fort bien vu.
C’est l’arrivée sur les terres du duc de Noailles, en 2016,
accompagné de Mozart… et de Louis XVI !
qui a tout redéclanché.


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