Prier
La constatation de William Temple,
l’ancien Archevêque de Canterbury,
est excellente :
« Quand je prie, des
coïncidences se produisent.
Quand je ne prie pas,
elles ne se produisent pas »,
sauf que
à partir du moment où elles sont multipliées par au moins deux,
je n’appelle plus cela des coïncidences, mais des signes,
qui nous indiquent les chemins à prendre,
pour diriger notre vie.
C’est ainsi que le flûtiste Roger Bourdin,
remarquant que Marie-Hélène, qui devait devenir ma femme,
était née un 5 décembre, jour de la mort de Mozart,
alors que lui-même était né un 27 janvier, jour de sa naissance,
la prit dans sa classe, bien qu’il n’y ait plus de place libre.
Remarquant, à la suite de cela,
que j’avais passé les premières années de ma vie,
jusqu’à ma communion solennelle, rue Mozart,
et que ma mère était née un 27 janvier,
jour, de la naissance de Mozart,
c’est ainsi que Marie-Hélène
justifia son choix de m’épouser,
estimant que nous étions faits pour nous entendre,
à cause de ces quatre coïncidences avec Mozart.
Depuis, les signes me reliant à Mozart
n’ont pas cessé de se multiplier,
je les ai rapportés dans une page internet intitulée
« Y et Mozart ».
Parmi ces signes,
il faut citer celui du Concerto KV 314 :
Mozart écrivit, en 1777, ce Concerto en ut, pour hautbois.
Il le transcrivit, en 1778, en ré, pour flûte.
Le saxophone soprano est transpositeur,
c’est-à-dire,
qu’on entend un ut, quand il joue un ré,
autrement dit,
quand il joue la partie de flûte, on entend celle de hautbois.
C’est donc comme si Mozart, lui-même, avait transcrit,
pour le saxophone soprano, qui n’existait pas à son époque,
son Concerto de hautbois, en le transcrivant pour flûte.
Pour que ces coïncidences soient un signe,
il faut, ai-je dit, qu’elles soient, au moins, doubles :
c’est bien le cas : le signe est caché, mais fort :
on retrouve dans les dates, 1777 – 1778,
de compositions de ces œuvres,
nos dates de mariages civil et religieux :
16.7.71 - 17.7.71,
moyennant une inversion :
17.7.71 – 17.7.61
et une addition :
17.7.(7+1) - (17.7.6+1),
soient :
1778 - 1777 !
Ma version pour
saxophone soprano
et grand ensemble de saxophones fut créée en 1996.
La page « Y et Mozart »
s’arrête avant l’un des signes les plus importants :
pour le comprendre, il faut savoir que, le 19.8.1778,
Mozart est venu passer un mois chez le duc de Noailles,
à Saint-Germain-En-Laye :
Eh bien ! non seulement, le 19.8.1973 naquit notre fils,
mais surtout, le 19.8.2016, nous réunissons, enfin, la somme nécessaire
pour l’acquisition de notre appartement, à Saint-Germain-En-Laye,
dans l’Orangerie, qui appartint au duc de Noailles,
sur les lieux mêmes,
où Mozart passa un mois en 1778,
et 1778, l’année d’achèvement du Concerto en ré,
qui contient la date de notre mariage religieux par
1778 = 17.7.(7+1) = 17.7.71.
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EVENEMENTS TROUBLANTS
Mais, il s’est passé récemment des évènements des plus troublants,
à une date que la France entière a
remarquée et attendue, si ce n’est pas redoutée :
le 5.12.2019,
228ème anniversaire de la mort de Mozart, le 5.12.1791, et
70ème anniversaire de la naissance de Marie-Hélène,
jour de grève générale et nationale, unanimement connu pour cela,
et beaucoup moins, pour ce qui a eu lieu, pour la seconde fois
en Europe et à l’Opéra royal de Versailles
(la première étant la veille, 4.12.2019),
je veux dire l’opéra de Corigliano :
« Les Fantômes de Versailles ».
Opéra contemporain inattendu,
commande du Metropolitan Opéra de New York
pour fêter son centenaire, il fit un triomphe à sa création,
et fut repris par plusieurs scènes aux États-Unis,
avec un succès permanent, depuis 1991.
Sa musique navigue entre Mozart et Rossini.
Argument :
Les fantômes de Versailles, victimes de la Révolution,
au premier rang desquels Marie-Antoinette et Louis XVI,
attendent, au Purgatoire, que la nouvelle pièce de Beaumarchais,
amoureux de Marie-Antoinette, modifie le cours de l’histoire,
et les fasse échapper à la guillotine.
L’écrivain ne réussira qu’à libérer Marie-Antoinette de sa peur de l’exécution.
Il la rejoint au Royaume des morts, où il l’épouse.
Cette idée de mariage dans la mort pourrait préparer les esprits
à l’idée d’un autre mariage, spirituel celui-là : en effet, si je ne me souviens pas,
qu’il ait jamais été question de mariage entre Beaumarchais et Marie-Antoinette,
il n’en va pas de même avec Mozart, musicalement présent dans cet opéra,
qui l’annonça dans son enfance et, implicitement, me semble-t-il,
à la veille de sa mort, dans sa « Flûte enchantée ».
Enfant :
Ne dit-on pas qu’ayant glissé et étant tombé, sur le parquet ciré de Schönbrunn,
il déclara à Marie-Antoinette, qui le releva, que,
pour la remercier, il l’épouserait, quand il serait grand ?!...
A 35 ans,
deux mois et cinq jours avant de mourir :
Voyons d’abord quelques dates :
Louis XVI : 1754–1793,
Marie-Antoinette : 1755-1793,
Mozart : 1756-1791.
jours précédant le 21 juin 1791,
date de l'arrestation de Varennes
qui conduira à la mort le couple royal français :
Mozart instrumente le Ier acte de sa "Flûte enchantée",
20-22 juin 1791 : dates de l'évasion manquée, stoppée à Varennes,
30 septembre 1791 : création de "La Flûte enchantée",
5 décembre 1791 : mort de Mozart,
8 août 1792 : emprisonnement de la famille royale au Donjon du Temple,
après passage par le salon des Quatre-Glaces au Palais du Temple, en face du Donjon, où
1785 : Marie-Antoinette était venue célébrer ses relevailles
de la naissance du futur Louis XVII, et où
1764 : Mozart enfant est représenté au clavecin,
sur le tableau de Michel Barthélémy Ollivier :
« Thé à l’Anglaise chez le Prince de Conti » :
21 janvier 1793 : exécution de Louis XVI,
16 octobre 1793 : exécution de Marie-Antoinette.
Correspondances
entre réalité historique et fiction de « La Flûte enchantée » ?
La Reine de la Nuit (la monarchie autrichienne ?)
demande au Prince Tamino (Mozart ?)
de libérer sa fille Pamina (Marie-Antoinette ?),
prisonnière de Sarastro (l’esprit templier ?),
non pas le monstre que décrit la Reine de la Nuit,
mais un grand sage.
Sarastro fait garder Pamina par Monostatos et ses esclaves
(les gardiens du donjon du Temple ?)
Sarastro annonce aux prêtres
que les Dieux ont décidé de marier Tamino et Pamina.
Mais auparavant, Tamino et Pamina (avec Papageno), alias Mozart et Marie-Antoinette,
devront traverser des épreuves (guillotine et remontée de la chute ?),
avant de pénétrer dans le
Temple de la Lumière (Jérusalem messianique ?)
Comptant Louis XVI et Mozart dans mes pères spirituels,
je suis donc un descendant spirituel de Louis XVI - Marie-Antoinette et de Mozart,
et comme ce dernier m'a conduit à la Lumière infinie,
s'ouvrant en s'élevant et s'élevant en s'ouvrant de
Scriptoral,
en me montrant le chemin conduisant
de la pyramide du pouvoir créateur d'Ancien Régime
à son inversion qui a tout du pouvoir créateur à venir :
celui
de la Jérusalem messianique,
j'en déduis, qu'à la différence du mariage, apparemment sans intérêt,
imaginé par Corigliano entre Beaumarchais et Marie-Antoinette,
celui de Marie-Antoinette et Mozart est pleinement justifié :
Il conduit la descendance spirituelle de la monarchie d'Ancien Régime,
à la Lumière rédemptrice des Templiers, qu'elle supplicia jadis,
Lumière de Scriptoral, leur véritable trésor.
Question : Comment Dieu te parle-t-Il ?
A. B. : De différentes façons :
la précédente est par approximations secrètes, où Il m'amène à deviner :
Il commence, ici, par attirer l'attention de toute la France sur une date, où Il bloque tout le pays :
le 5.12.2019, sans que quiconque pense au 228ème anniversaire de la mort de Mozart,
et encore moins au 70ème anniversaire (âge de la Sagesse) de Marie-Hélène,
qui en plaisanta : "tout le pays s'arrête pour fêter mon anniversaire !"
et qui m'emmena, toutefois, voir l'opéra,
où je ne serais pas allé sans elle.
Et ensuite, Il prépare, par une fable, dans un opéra à grand succès,
les esprits d'un petit nombre,
à l'idée d'un mariage de Marie-Antoinette dans la mort.
La suite, si je ne me trompe pas, est au prochain numéro,
et continuera de nous mener à la
Révélation apocalyptique.
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Pourquoi prier ?
Je prie pour laisser libre le terrain sur lequel se produiront
les coïncidences dédoublées qui sont des signes,
par lesquels Dieu, Père, Fils et Esprit,
me fait savoir ce qu’il attend de
moi
(cela me fait penser à
« La Plénitude du Vide »,
livre publié par le bouddhiste
Trinh Xuan Thuan chez Albin Michel :
il faut dégager le pré-carré de la prière, de toute matérialité,
pour que, librement, passe la spiritualité).
Question :
Qu’est-ce, donc, que Dieu attend de toi,
par l’entremise de Mozart ?
A. B. :
Mozart est le
Maître de l’inversion
des mots, des sons, des lumières
(il signait souvent Trazom et appelait sa femme Znatsnoc).
En ce qui concerne les signes me liant à lui,
(il en est beaucoup d’autres),
il m’a montré comment,
par l’enchaînement des formes d’esprit de
Composition-Interprétation / Destruction-Transformation respectueuse,
présentes dans les mondes profane et sacré,
on inversait la pyramide du
Pouvoir créateur,
jusqu’à arriver à la
Jérusalem messianique
(cf. ci-dessus).
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Comment prier ?
Pour prier,
je libère mon esprit de toute surcharge
de mémoire ou d’autre, ne gardant que le strict minimum,
afin d’être disponible pour remarquer les coïncidences doubles, qui se présentent,
et analyser en quoi ce sont des signes.
Si je n’ai pas cette disponibilité,
comme cela m’est arrivé, pendant plusieurs années, avant 2016,
parce que je trouvais qu’il n’arrivait rien de neuf,
je passe à côté des coïncidences.
William Temple l’a
fort bien vu.
C’est l’arrivée sur les terres du duc de Noailles, en 2016,
accompagné de Mozart… et de Louis XVI !
qui a tout redéclanché.
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