SOMMAIRE MUSIQUE CHROMOPHONIE SCRIPTORALE
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En cliquant sur les 3 tableaux de "Chromophonie scriptorale",
vous entrez dans 72 pages comprenant :
- la Préface de Léopold Sédar Senghor,
- 10 x 1 page de présentation de cycle + 6 tableaux avec leur interprétation poétique particulière,
- une interpretation générale de "Chromophonie scriptorale".
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II, 3.- ORAL = AME DU SCRIPT


La montée lumineuse est de retour
mais cette fois, entre deux espèces d'os,
resserrés à la base, et doublés à l'intérieur,
une façon de prévenir le futur occupant
contre toute extension fantaisiste.

Décollés du sol, ils figurent le script,
fixant de la musique..., du verbe... de l'image...
le sens qui lui donnera vie
s'il trouve en lui
liberté.

Le sens vient d'une terre violette
(couleur de demi-deuil, nuançant aussi la teinte des os),
il fait partie de l'oral, plus et moins :
le plus, c'est l'âme en forme de boule ;
le moins, c'est l'enveloppe.

L'enveloppe commence en corolle de fleur,
ravissante parure,
et finit en un fatras de complications,
étroitement emboîtées les unes dans les autres :
le puzzle toujours !

Le script joue le rôle d'une pompe aspirante et filtrante :
souples et légères, l'âme et sa corolle s'y élèvent de suite,
franchissant en se jouant l'étroite ouverture,
malheureusement, les impedimenta,
par trop encombrants et rigides,
stoppent net le tout.

 
 
   
   



Pour que le sens passe
et que le script vive éternellement
il faudra que l'âme se sépare...
même de sa
parure !




Pour traverser le "script"
l'"oral" se doit
de toute parure débarrasser.


 
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