|
(trois d'entre eux de leur union l'extrémité
entourent),
signes de musique,
ils sont quatre, ce qui,
par le biais du losange
évoque le carré,
c'est à dire, selon l'éméniste conception, (*)
la
littérature.
Le christianisme est présent en cette
croix
qu'au centre des portées
dessine
l'écriture du
verbe
aux prolongements marine décoration,
situant la
source de l'inspiration dans les abyssales origines de la
vie.
Reste l'islam : c'est le T de l'improvisation qui le
signifie,
où, l'horizontal le vertical limite, déniant à
l'écriture
un quelconque pouvoir
transcendantal.
|
|
|
Mais alors
même que le peintre,
en une circonférence qui précisément
n'en a pas, trace le mot "FIN",
sourdant de partout
et tout en question remettant,
invite à l'évolution :
la
contradiction.
Au coeur de trois (!) autres musicaux
cercles ovules
arrivent pour les féconder (en bas
s'opposant)
trois (!) rouges spermatozoïdes - serpents de
la connaissance,
uniques victorieux de la foule des
innombrables prétendants.
Et, tandis qu'interprétée dans un
plan unique, tel l'inconscient la conscience
claire,
l'écriture de la musique au-delà de celle du verbe
s'étend,
vue de dessus, l'image mise à plat, fait nous
sauter la seconde à la face,
comme des profondeurs de
l'océan jaillissant.
Par ailleurs, le "script",
a-t-on dit, n'a aucun pouvoir transcendantal ?
Alors
pourquoi le T, qui en sa hauteur borné, l'inscrit,
est-il
entouré, dépassé, par les figures fécondées
de l'artistique
expression
où toute sa foi place... l'artiste
?
|
|