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de
de Georg- Friedrich HAENDEL (1685-1759)
deuxième sonate de HAENDEL transcrite par Marcel MULE
Cette sonate était à l’origine pour violon et piano.. Retour au menu
Jacques IBERT (1890-1962)
Compositeur français, né le 15 VIII 1890 à Paris où il est mort, le 5 II 1962.
Etudia avec Gedalge, Nadia Boulanger (Grand Prix de Rome 1919).
Directeur de la Villa Médicis (1936-1962).
Membre de l’Institut de France.
Son Concertinoda camera (1935) est dédié à Sigurd RASCHER (Note : les indications biographiques et critiques de cette vidéo
sont extraites du Répertoire Universel de Musique pour Saxophone, 1844-2003
de Jean-Marie LONDEIX, aux Editions Roncorp.)
« Musicien de la joie, de la clarté, de la bonne humeur ; poète de la nature, de la jeunesse, dans tout ce qu’elle a de santé, de force, d’élan dionysiaque, de verve, de sensibilité spontanée, plus exubérante qu’approfondie. Foncièrement français, Jacques Ibert demande à la musique d’être un art à la fois psychologique et sensuel, il en écarte toute préoccupation idéologique, aussi bien qu’il répugne au pathétique délibéré, c’est-à-dire qui n’est pas strictement conditionné par une impulsion irrésistible. » (R. BERNARD)
« Fuyant les outrances d’écriture et de pensée, il sait échapper à la fadeur. Il ne se refuse pas l’humour. » (Hugo WOLFF
« Son écriture est toujours caractérisée par la clarté, l’élégance et la distinction. » (FASQUELLE)
« Encore que camarade d’A. Honegger et de D. MILHAUD, il ne les a pas toujours suivi dans leurs audaces les plus extrêmes ; bien qu’il s’exprime dans un langage pimenté en surface d’un certain modernisme, il conserve en profondeur le souci de la tradition. Science, élégance, ingéniosité, sont les caractéristiques de cette production considérable, qui sollicite tous les genres. » (Cl . ROSTAND)
« Libre, distinguée, sobre et raffinée, la musique de Jacques IBERT jouit de toutes les qualités d’une pensée française à la fois équilibrée dans ses proportions, subtile dans sa psychologie et recherchée dans ses couleurs. Proche d’Honegger et de Poulenc, esprit épris de clarté il est digne héritier de Ravel. » (G. CANTAGREL).
Henri TOMASI (1901-1972)
Compositeur et chef d’orchestre français, d’origine corse,
Né à Marseille, le 17 VIII 1901, mort à Paris, le 13 I 1972.
Travailla avec P. Vidal et V. d’Indy. Prix de Rome (1927)
ARGUMENT DE LA BALLADE
Sur un vieux thème anglais, long, maigre et flegmatique
Comme lui,
Un clown raconte son histoire spleenétique
A la nuit ;
L’ombre de son destin, le long des quais zigzague,
Et le goût
De mégot qu’en sa bouche ont pris de vieilles blagues
Le rend fou...
Fuir son habit trop large et sa chair monotone
En n’étant,
Entre la joie et la douleur, qu’un saxophone
Hésitant !
Son désespoir, au fond d’une mare sonore,
Coule à pic
Et le clown se résigne à faire rire encore
Le public !
S. Malard
(Note : les indications biographiques et critiques de cette vidéo
sont extraites du Répertoire Universel de Musique pour Saxophone, 1844-2003
de Jean-Marie LONDEIX, aux Editions Roncorp.)
« Sa musique est marquée par des couleurs impressionnistes, il est particulièrement attiré par les sujets exotiques, dépeignant dans de belles couleurs instrumentales des scènes qui se passent en Corse, au Cambodge, au Laos, au Sahara, à Tahiti, etc. Il a également écrit de la musique inspirée du chant grégorien et des chants religieux médiévaux. A la fin de sa vie, motivé par des évènements politiques, il a écrit des pièces en hommage au tiers monde et au Viêt-nam. » (SLONIMSKY)
« Style néo-classique des plus éclectiques où les influences les plus diverses sont discernables. » (Cl. ROSTAND)
« L’idéal de ce musicien est à base de lyrisme ; ayant accepté les lois du théâtre en musique, il s’est créé un langage très personnel grâce à sa sincérité sans détours, à son indépendance et à son sens de la grandeur. » (N. DUFOURCQ)
« Henri Tomasi est un musicien de l’impression sensorielle, ce qui le sauve de l’académisme d’indyste, malgré un certain traditionalisme. » (R. STRICKER)
de Jean-Sébastien BACH (1685-1750)
Suite III (mvts I Prélude - V Bourrées - VI Gigue) transcrite par Jean-Marie LONDEIX
Cette suite était à l’origine pour violoncelle solo Retour au menu